Lorsqu’elle s’avance, Nathan fronce les sourcils, pour l’inciter, comme lorsqu’elle était plus jeune, à ne pas l’importuner et à vaquer à ses propres occupations. Ce n’est pas ce qu’il désire profondément bien sûr, mais l’affaire dont il discute est importante; un double homicide, intervenu trois ans plus tôt au domicile d’un couple bourgeois. Aucun objet de valeur n’ayant été dérobé, le crime crapuleux avait été immédiatement écarté et…
Putain… Oui, non, ce n’est rien Smith. Poursuivez.”
Médusé, il observe le short glisser sur ses hanches, puis sur ses cuisses, avant de chuter à ses pieds, suivi de sa petite culotte, dévoilant son pubis. Agité de violentes pulsions, l’homme s’efforce de se reprendre, détourne le regard. Sa queue est énorme à présent, et pulse contre l’entrejambe de son pantalon. Mouvement de recul, presque de crainte lorsqu’elle s’approche, mais il est déjà collé contre son bureau; toute retraite lui est impossible. Il endure le souffle tiède de la jeune femme contre contre son cou, soupire lorsque ses doigts agiles glissent sous sa ceinture pour s’emparer de son chibre brûlant, suintant de pré-sperme. Son regard croise de nouveau celui de sa nièce, sans qu’il ne cesse de discuter avec son subordonnée d’une voix éteinte, absente. Sa respiration s’accélère, de la transpiration perle sur son front, la petite salope. Quelque part, il bénit Smith. Sans lui, il aurait déjà cédé, déjà enfoncé son vit dans les entrailles de la petite.
“Hm.”
Il sursaute, en même temps que June. Maladroitement et d’une seule main, il s’efforce de fourrer son chibre érigé dans son futal, mais ne parvient pas à le fermer. color=#e85e61]“Très bien, j’attends votre rapport pour demain matin. Beau boulot, Smith.[/color]” Il raccroche, tend l’oreille. C’était limite. June lui tourne le dos à présent. Elle a pris la peine de remonter son short sur ses hanches, mais sa culotte gît encore sur le sol. D’un coup de semelle, il l’envoie sous son bureau, au cas où. Lorsqu’elle fait volte-face, c’est lui qui fond sur elle, après avoir balancé son téléphone portable sur la paperasse de son bureau. Sa grosse main s’empare de son poignet et il guide sa petite main sur son gros sexe. De l'autre, il déboutonne fiévreusement son short, abaisse la glissière de sa fermeture éclair. “Montre-la moi encore, ta petite chatte”, il murmure, tout prêt de son oreille. Il fait glisser le short le long des cuisses de la brunette, une nouvelle fois. Dans la cuisine, sa femme s’active déjà, on entend le bruit des ustensiles qui s’entrechoquent. Comme nous deux, bientôt.
“Là, assise.” Il se contient toujours. Il a envie de la brusquer, de la baiser brutalement, sa jolie petite nièce.
Le short est tombé au sol. Il repousse quelques dossiers du bras, assied June sur son bureau, se glisse entre ses cuisses, se penche pour l’embrasser. C’est hésitant, sale, brusque. Sa langue caresse celle de sa nièce, de la salive glisse le long de son menton. “Branle-moi encore ma puce. Fort, avec tes deux mains…” Les siens de gros doigts, se referment sur la gorge offerte de la jeune femme, qu’il serre, sans l’écraser. L’autre main caresse la peau de sa joue, se perd dans la cascade de ses cheveux bruns.