Médicament 100 % bio [PV : Komaki Azuka]

Hiyori, cet étrange petit être croisé par Akita et à qui cette dernière avait donné beaucoup de réconfort, du moins c’est ainsi que la dame-plante voit les choses. Lui avait donné l’adresse de sa mère qui serait intéressée par ses fleurs et ses fruits. Elle ne voyait pas en quoi cela peut intéressée qui que ce soit, mais cela a éveillé sa curiosité. Le plan ne lui est guère utile, mais grâce à Hiyori et à ses précieux conseils, la dame-plante pu trouver facilement son chemin, sans rien demander à personne. C’est surtout ce qui est le plus important à ses yeux, ne pas dépendre de ses êtres de chairs à qui elle fait si peu confiance. Le bâtiment était étrange pour la femme-plante, beaucoup de verre, presque plus de verre que de pierre, beaucoup de lumière, ce n’est pas pour lui déplaire.

La mignonne Hiyori lui a conseillée de ne pas passer par l’entrée principale, car il y aurait trop de monde. Aussi Akita passe par l’entrée de service. Hiyori ayant prévenu sa mère celle-ci aura laissé la porte ouverte. En effet, entrant sans bruit dans le bâtiment, elle se perd un peu, mais elle suit les indications laissées par la maman. La nuit est tombé et c’est tant mieux pour tout le monde. Pour la dame plante évidemment qui ne risque pas de rencontres inutiles, voir dangereuses, pour les habitants de la ville qui risqueraient une réaction agressive ou disproportionnée de la dame-plante, les patients qui se reposent et pour la maman qui pourra rencontrer quelqu’un plus discrètement. Pour reconnaître la maman, la dame-plante a préféré son parfum à une photo. Ainsi, elle peut la reconnaître plus facilement à l’odeur qu’à l’apparence.

Guidée par les pores de sa peau, lui servant autant à respirer qu’à sentir, la fille du Grand Arbre arrive dans une pièce peu éclairée, avec une grande table au milieu et deux chaises. Une jeune femme, ressemblant à Hiyori mais en plus âgée, attend visiblement quelqu’un.

"Hiyori a dit à Akita de venir ici. Car maman de Hiyori serait intéressée par ses fruits."

L’immense chevelure verte arbore tous les types de fruits qu’Akita peut produire. D’ailleurs l’un d’eux tombe sur la grand table et roule pour arriver jusqu’en son milieu, sans que cela n’attire l’attention réelle de la dame-plante.

Pianotant distraitement sur mon portable, je suis de nouveau le fil de messages avec ma fille Hiyori, toujours assez intriguée par ses derniers messages et ce qui m'amène à attendre dans cette pièce.
Apparemment, ma petite princesse a rencontré une étrange femme, une "femme-plante" et cette dernière aurait apparemment accepté une proposition d'Hiyori me concernant.

Dernièrement, je me suis retrouvé à gérer une certaine crise de composants à la pharmacie de l'hôpital, après un gros cambriolage et plusieurs médicaments ayant disparus du jour au lendemain. En attendant de se faire rembourser et recevoir de nouvelles commandes, nous devons trouver une autre source de médicaments, pour s'occuper de nos patients.

C'est pour ça qu'Hiyori a dû informer cette femme de mes travaux à la maison, concernant les médicaments faits à base de plantes et divers végétaux.
Décidément, ma fille chérie a toujours le cœur sur la main et je suis vraiment heureuse d'avoir une possible piste pour régler cette crise.
Cependant, je ne comprends pas pourquoi j'ai dû mettre un peu de parfum sur moi pour cette rencontre; apparemment, ce serait pour aider cette "Akita" à me trouver.

Je sursaute soudainement, lorsque je vois une silhouette arriver à moi.
Avec la faible lumière, je remarque quand même d'étrange motifs sur la peau... dénudée de cette femme? Détaillant légèrement ses courbes voluptueuses et elle dégage un certain charme je dois avouer.
Je m'incline devant elle respectueusement:

- Bonjour, je m'appelle Komaki et il semblerait que vous ayez rencontré ma fille Hiyori. Elle m'a expliqué que vous pouviez m'aider par rapport... à vos fruits?
Vous... vous cultiviez des plantes et des fruits du coup? Serait-ce possible d'étudier ces fruits, que je sache s'ils seraient utiles à mes patients?

Haussant un sourcil, je vois un fruit tomber de la tête de la femme et rouler sur la table. Je me penche sur la table, pour récupérer le fruit et l'observer sous tous les angles, assez intriguée:

- C'est étrange... ça ne ressemble en rien à ce que je connais... et l'odeur est assez forte... Ca s'appelle comment, sans vouloir être indiscrète, juste curieuse?

Étrange pour la dame-plante, étrange et peu commun que quelqu’un ne soit pas terrifié ou ne la prenne pour un être de chair déguisé en plante. Ou peut-être le pense t-elle sans vouloir ou pouvoir le dire, Akita ne comprend guère ces êtres étranges qui vivent sur ce monde et qui ont ces villes, ces maisons, ces objets, ces odeurs bonnes ou immondes. Leurs comportements lui sont encore plus étranges à comprendre et encore plus à analyser. La jeune femme qui lui fait face ressemble énormément à Hiyori, mais en plus âgée. Donc Akita en déduit que c’est bien sa maman, Komaki. Elle se penche. Pourquoi ? La dame-plante ne sait pas, ne comprend pas, une fois de plus. Mais elle est une plante, alors ça ne la surprend pas et elle ne cherche pas plus à comprendre.

"Cultivez ?"

La femme-plante réfléchit un instant pour comprendre le sens de ce mot. Après ce long moment où elle chercher à rassembler ses souvenirs, elle finit par comprendre.

"Non, Akita ne fait pas de trous pour planter des graines. Akita les fait pousser sur elle."

Les mains vertes arrachent plusieurs fruits de sa chevelure et étale l’assortiment complet des ces même fruits. Tous avec des formes, des couleurs, des goûts et des odeurs différentes, impossible à trouver dans ce monde et sans équivalent dans leurs apparence et leurs effets.

"Akita a aussi des fleurs. Mais moins forts que les fruits."

Lorsque son interlocutrice comment se nomme le fruit, la tête verte se penche sur le côté comme un animal intrigué. Quelle étrange question, les êtres de chair donnent des noms à leurs cheveux, leurs yeux ou leurs pieds ?

"Un nom ? Non, ils n’ont aucun nom. Ce sont des fruits. Ils se mangent, c’est tout."

Intriguée et aussi fascinée par la chose, j'observe avec de grands yeux pétillant de curiosité cette ravissante dame montrer ses prouesses, en extirpant des fruits directement de son corps et les étaler devant moi.
J'observe un temps chaque fruit, vraiment curieuse sur l'instant; j'ai l'impression de voir par moments des versions "alternées" des fruits terriens habituels.

- Ouah... Vous voulez dire que vous produisez vous-même les nutriments pour produire les fruits sur votre corps? C'est fantastique...

Mon regard ne sait plus où donner de la tête, allant de l'étalage de fruits sur la table au corps de la dénommée Akita, que je dévisage et détaille un temps... avant de rosir, remarquant que j'ai dérivé assez vite sur ses jolies formes féminines.

- Hum... Et donc, ces fruits ont quels effets au juste?

Akita regarde interloquée l’être de chair. Celui-ci est comme fasciné, hypnotisé par ce qui ne sont que de simples fruits. Comme si ces êtres de  chairs étaient fascinés par un cheveu ou un orteil. Ils sont si étranges, mais qu’est-elle pour juger ? Elle est une plante, ils sont bien trop différents d’elle pour qu’elle les comprenne correctement. Lorsque la dame remarque les yeux braquées sur elle qui la détaille, elle penche la tête sur le côté, ne comprenant pas cette fixation sur sa personne. Peut-être que la tenue qu’elle a décidé de copier avec ses vrilles dérange son interlocutrice. Aussi décide t-elle de l’ôter, complètement. Révélant ses courbes féminines et végétales, elle décide de garde une apparence de femme exclusivement. La dame-plante se dit que si son interlocutrice est une femme, elle aura moins peur si elle parle à quelqu’un qui lui ressemble le plus possible.

"Nutriments ? Nourriture ? Oui, comme la terre, l’eau, le soleil. Comme toutes les plantes, oui. Les fleurs, les fruits, ça évitent les insectes qui pourraient nous manger. Mais le grand arbre lui fait pousser des fruits qui nous font naître."

Une longue vrille végétale s’étire comme une branche et vient pointer, tout à tour, chacun des fruits.

"Il n’y a que les êtres de chair qui y sont sensibles. Les plantes, ça ne nous fait rien et les insectes tombent malades, ils peuvent mourir. Mais ils ne peuvent s’empêcher de les manger. Le jaune  vous fait faire pipi, c’est comme ça que vous dites, non ? Le marron vous fait rejeter de la terre. Le vert vous fait rejeter quelque chose par la bouche. Le bleu vous empêche de "tousser", je ne sais pas ce que ça veut dire. Le blanc, je ne sais pas. Je le mange. Le bleu, c’est de l’eau, c’est très précieux. Le rose vous oblige à vouloir faire des petits êtres de chairs, enfin je crois que ça se dit comme ça. Les fleurs font pareil que les fruits, mais c’est moins fort. Et plus vous êtes petits, plus les effets sont forts."

De plus en plus intriguée par cette femme, je croise les bras et me penche d'avantage en avant, pour l'écouter avec plus d'attention encore.
Donc elle serait issue d'un grand arbre et aurait comme "pouvoir" le fait de pouvoir faire pousser des plantes sur elle-même?
Je rougie doucement, en voyant que le corps de la femme-plante change subitement, pour se retrouver... entièrement nue devant moi. Mon regard se perd un temps sur ses jolies courbes et je souries de plus belle à la dame:

- Vous... Vous avez un corps des plus ravissants, madame Akita; je comprends mieux les compliments de Hiyori à votre sujet.

Pouffant un peu de rire sur l'instant, sur quelques descriptions de Akita sur ces fruits, je suis d'avantage fascinée par les diverses propriétés.
Le dernier fruit me fait hausser un sourcil, observant plus attentivement le rose que je prends entre mes mains, le soupesant un temps et l'observant sous tous les angles:

- Oh... Ce serait... un aphrodisiaque? C'est comme le... le gingembre c'est ça?
Et le blanc, vous ne savez vraiment pas ce qu'il fait, malgré le fait qu'il pousse sur votre corps?

[Voilà, désolé de l'attente. ^^"]

Visiblement l’être de chair, qui est la mère d’Hiyori, ne semble pas comprendre les explications de la dame-plante. Malgré ses efforts pour communiquer avec elle, il semble qu’il faille trouver un autre moyen pour qu’elle comprenne des explications qui seront compliquées à Akita de fournir par le seul biais de la parole. Elle se rapproche alors lentement de la femme pour ne pas l’effrayer. Elle attrape un fruit aphrodisiaque dans sa chevelure et le glisse entre ses lèvres, le tenant fermement. Ses mains viennent doucement saisir les joues de son interlocutrice. Et elle… l’embrasse sur la bouche. Lentement, longuement, faisait glisser le fruit à l’intérieur des joues de la femme. Cela fait, elle se recule doucement et retire ses lèvres.

"Allez-y, mâchez doucement et avalez-le. L’effet ne devrait pas tarder."

Pour être sûr que l’effet soit efficace. La dame-plante s’agenouille et fait glisser la culotte de l’humaine vers le bas. Elle reste un long moment à observer le sexe féminin dévoilé, sensible aux bruit, s’assurant que le fruit est bien mâché et avaler. Ses mains écarte les cuisses, dévoile mieux le sexe féminin.

"C’est de là que vient Hiyori."

Sa longue langue se déploie alors et se glisse dans la vulve, traverser le vagin et vient taquiner l’entrée de l’utérus et se met à remuer lentement et avec application. Ses lèvres se soudent aux lèvres intimes et elles viennent aspirer le petit bouton d’amour. Les mains viennent caresse les fesses, les écartant ou les rapprochant de temps. Le fruit ne va pas tarder à agir et Komaki va en ressentir les effets, certes de moindre effet sur elle qui est une adulte.

Je n'étais pas spécialement prudente ou réservée sur l'instant, mais surtout vraiment curieuse de la femme qui me fait face. Son apparence, les étranges pouvoirs qu'elle a et la variété de choses qu'elle peut faire avec ces fruits fascinants. Certes, elles est vraiment séduisante et cette plante aphrodisiaque me tente beaucoup... mais la femme de science en moi veut décidément en savoir plus.

Je sursaute soudainement, lorsqu'elle vient m'embrasser, frémissant longuement, alors que je sens quelque chose être glissé dans ma bouche.
Je bloque un temps, alors qu'elle s'agenouille devant moi, me déshabillant sans que je n'y oppose résistance... Et puis zut, tant pis pour la science, je verrai ça plus tard au pire!
Je mâche et avale le fruit, restant silencieuse et attentive aux réactions de mon organisme.

- Ah... Je... Oui on peut dire ça comme... han!

Je sursaute et gémis longuement, alors qu'elle enfouit sa langue en moi, comme un tentacule emplissant le moindre centimètre-carré de mon intimité. Elle joue en même temps avec mes fesses et je sens des bouffées de chaleur m'envahir... sauf qu'elles ne semblent pas seulement venir de mon intimité, mais aussi de mon ventre et je fais bien vite le rapprochement avec le fruit que j'ai avalé.
Je me tortille et gémis de plus belle, mes mains se glissant vers ma poitrine encore couverte, la massant et la pétrissant doucement:

- Ouah... J'ai si chaud en si peu de temps...