Pourquoi les peaux fragiles ne pouvait pas le laisser tranquille, pourquoi voulait-il toujours l'attacher, lui faire du mal ou le mettre dans une boite en métal ?
Après de nombreuses évasions et re capturé, Klaus ne l'avait pas comprit et ne le comprendrait sûrement jamais et cela serait sûrement mieux pour lui comme pour les peaux fragiles. Nouvelle évasion, nouvelle escapade, nouvelle tentative pour quitter cette ville labyrinthe, cette fois-ci, sans se retrouver dans un endroit tout froid de préférence.
Klaus avait de nouveau suivi les odeurs néfaste de cet endroit, il avait bien retenu que ses meilleures chances pour pouvoir retourner chez lui et éviter les gardes se trouvait dans les quartiers qui sentait le plus la pourriture et les déjections. Là bas, au moins, il ne verrait pas beaucoup de monde et pourrait chercher la sorti plus tranquillement, sans avoir à être trop sur ses gardes. Ses pas lourd marchait donc avec une certaine rapidité, sa silhouette titanesque courbé vers l'avant pour se rabaisser un peu et se concentrer sur les parfums de la ville.
Après quelques dizaines de minutes, il y était enfin, cette endroit presque vide et sentant la puanteur. Maintenant, il lui fallait trouver la fin de cette ville, et il se disait que les rivières et les cours d'eau ne l'aiderait pas, où l'enverrait peut-être affronter d'autres épreuves.
Sa recherche continuait donc, respirant, écoutant autour de lui, quand, dans une ruelle qui sentait le régurgitait de peau fragile, il put voir un groupe d'entre eux, parlant, criant et riant. Les regardant du coin de la rue, il put voir qu'une autre petite personne était parmi eux, une petite personne qui sentait bien différemment et qui ne leur ressemblait pas. Elle possédait des petites oreilles pointu et touffues sur la tête, mais n'en avait jamais vu auparavant.
Se rapprochant d'abord doucement, il se mit à respirer un peu plus en leur direction, intrigué par leur ton de voix. Puis, les odeurs vinrent lui donner les informations qu'il cherchait. Des peaux fragiles, une odeur de malpropre, d'urine, de transpiration, mais aussi une odeur plus agréable, plus fleurie, plus douce, mais accompagnée d'une grande peur ainsi qu'une odeur qu'il ne reconnaissait pas du tout.
Un peu plus près, il pouvait voir que les peaux fragiles tentait de faire quelque chose qui n'avait pas l'air du tout de lui plaire, de la forcer, les voyant baisser leur pantalon. Klaus se demanda si les petites personnes avaient plusieurs saisons des crues chez eux pour en voir autant avoir envie. Eux, contrairement au tetard de la derniere fois, avait l'air plus ou moins adulte, du peu que Klaus pouvait en voir chez eux et avait donc sûrement passé le rite pour pouvoir se reproduire, mais apparurent, celle convoité n'avait pas du tout envie et ils avaient l'air de tenter de la forcer.
Cela ne se faisait pas, cela allait contre le rite de la déesse et il était à lui de corriger cela. Le saurien se mit donc à râler lourdement dans la ruelle un son bruyant, puissant et grave, résonnant dans sa gorge, son buste, faisant vibrer ses écailles les plus grandes, ainsi que l'ouïe des personnes les plus proche. Puis, après ce son de défi et d'avertissement envers eux, les voyant seulement se retourner sans bouger, il chargea à pleine vitesse.
Ses pas faisaient trembler le sol sous sa motivation, sa gueule ouverte, laissant la largeur de ses mâchoires et la taille de ses dents se faire totalement visible, son regard doré, fixer sur ses adversaires. Il se tordit ensuite un peu sur le côté, plaçant son bras gauche sur son coté droit avant de fermer son poing le ramenant viollement en l'air avec force et vitesse, venant frapper le premier venu. La violence du coup se fit entendre dans son geste comme dans le bruit de l'impact entre le revers de son avant-bras musclé et le peau fragile, le faisant voler de quelque mètre, se retrouvant à percuter son camarade. Quelques choses avaient dû se briser en lui, car son nez et sa bouche se mirent à saigner, laissant une trace sur le bras de Klaus.
Toujours surpris et maintenant choqué, les vauriens se mirent à crier de peur avant de partir en courant, l'un d'eux rattrapant un peu leur couardise en aidant leur ami bléssé à se relever difficilement pour partir avec eux.
Klaus respirait lourdement, rapidement et bruyamment, le goût du combat ayant pris le pas sur ses pensées avant de sentir l'odeur du sang sur son bras. Le sien ? Le leur ? il ne s'en était pas vraiment aperçu et lécha donc cela pour le vérifier, nettoyant son bras au cas où. Le goût du combat, le goût de l'honneur, voilà ce que cela sonnait en lui lorsque sa langue toucha le sang. S'il avait pu sourire, il l'aurait sûrement eut bien visible sur son visage, mais, à la place, claque simplement de la mâchoire.
La victoire était donc à lui, même si elle avait été plus que simple à son goût et, se releva de toute ça taille, comme pour affirmer cela et montrer sa position de dominant dans cet endroit. Mais bien vite sa mémoire lui revint de la raison, outre passant le plaisir de la bataille, l'odeur fleuri et inconnue revenant dans ses narines. Refermant sa gueule, il se tourna en direction de celle-ci, revoyant la petite personne aux oreilles pointues. Elle sentait toujours la peur aussi, mais en la regardant attentivement, elle n'avait pas l'air d'avoir été blessé.
" Ikosota toli Kada ?" *
L'interrogeat-il au cas où elle était blesse, mais qu'il ne le voyait pas et au cas où contrairement aux autres, elle le comprendrait.
* " Personne aux petites oreilles blessé ? "