Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

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Lissandre Verrières

Humain(e)

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°1

Lissandre était excitée. Non comme une femme nue et en sueurs en-dessous un bel homme. Non, plutôt comme une enfant le jour de Noël. En effet, elle était au début d’une nouvelle vie. Marcher dans cette rue était comme un rêve. Car Lissandre arpentait pour la première fois un autre univers que celui de la Terre.

Nexus était pour les terriens une ville qualifiée de médiévale. Les maisons étaient faites de pierre piquetées. Certains murs étaient carrément décorés de poutres de bois. Des enseignes métalliques pendaient au-dessus des têtes des habitants et des touristes. Un fer à cheval pour le maréchal-ferrant, une enclume pour le forgeron.

En mentionnant les touristes, Lissandre Verrières y ressemblait sans pouvoir en douter. En effet, la jeune femme n’était pas habillée de vêtements d’époque. Elle ne portait pas une robe simple comme cette femme avec son baquet sous le bras qui allait laver son linge. Non. Lissandre était habillée d’une combinaison intégrale et très moulante de couleur rose. Par-dessus se trouvait un manteau de couleur or. Les regards se tournaient obligatoirement sur elle mais elle en avait l’habitude. C’était déjà le cas sur Terre.

Lissandre sortit les mains de ses poches. Une petite caméra se trouvait dans sa main droite. Elle appuya sur le bouton et commença à filmer. Elle ne savait pas encore quoi. Pour le moment, elle filmait des environnements. Elle cherchait un cadrage. Sa Muse ne marchant pas encore à côté d’elle, elle faisait sans.

L’agitation de la rue donnait de la vie à ses images. Certaines personnes étaient intéressantes mais l’apprentie-réalisatrice n’avait pas encore eu de déclic. Alors elle continuait de marcher. Elle marcha jusqu’à un carrefour. La grande rue donnait maintenant la possibilité de pénétrer dans une ruelle à sa gauche ou à sa droite. Lissandre s’arrêta et commença à faire un plan unique à trois-cent-soixante-degrés.

C’est là qu’elle la vit. Pourquoi elle et pas une autre ? Lissandre ne savait pas. Mais le déclic venait de se produire dans sa tête.

L’objectif de la petite caméra était dirigé vers une humaine comme elle. Une jeune femme de son âge qui possédait un corps incroyable. En se rapprochant d’elle, les yeux fixés sur le petit écran de la caméra, Lissandre comprit le métier de sa Muse : c’était une prostituée. Une très belle.

Arrivée à son niveau, elle s’exclama avec toute l’énergie et la passion qui la caractérisait :

« Bonjour ! Est-ce que tu pourrais m’aider ? Je m’appelle Lissandre. »

Seulement à ce moment, elle releva les yeux pour observer directement le visage de la belle prostituée.

Lylas Hana

Humain(e)

Les journées à Nexus se ressemblaient pour les filles comme elle, il n’y avait pas grand-chose à faire si ce n’était attendre qu’un client point le bout de son nez pour s’offrir les services des filles de joie. Lylas était toujours dans la même ruelle vêtue de toujours le même habit lorsqu’elle était en travail, si on pouvait réellement appeler ça un habit, le fin tissue vert qui lui recouvrait le corps ne dissimulait rien de ses formes généreuses. Son corps était parfait, sa peau était douce, ses seins bien rond et ferme étaient imposants et son ventre était bien plat, il n’y avait sur elle aucun stigmate de ses nombreuses grossesses à répétition. Son visage était si beau que l’on pouvait facilement la prendre pour un diamant brut, pur et innocent.

La jeune femme était réputé et les clients ne manquait pas et aucun voyou n’osait s’en prendre à elle pour en abuser sans payer, tout le monde savait qu’elle était sous la protection de maîtres très influents et puissants qui ne laisseraient pas leur favorite se faire malmener sans leur accord. Lylas était donc en quelque sorte une privilégiée malgré sa triste condition. Rien qu’aujourd’hui elle avait eu la visite d’une dizaine de clients, certains n’ayant pas assez d’argent pour prendre une chambre à l’auberge se contentaient de la prendre contre le mur en finissant vite leurs besogne pour ne pas se faire attraper, la prostitution n’était pas interdite mais copuler en pleine rue l’était.

La belle avait d’ailleurs encore un fin filet de sperme qui coulait le long de sa jambe du rapport éclair qui venait de se dérouler juste avant qu’une inconnu s’approche d’elle en lui demandant si elle pouvait l’aider. Elle n’était pas spécialement attirée par les femmes mais quand il fallait le faire, elle savait comment s’en occuper aussi, elle hocha donc la tête doucement :

« Moi c’est Lylas. Que voulez vous que je fasse ? »

Elle lui sourit doucement en mettant en avant son corps pour mettre encore plus sa poitrine en valeur, la prenant pour une cliente classique.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°2

La poitrine de Lylas attira inévitablement le regard de Lissandre. D’abord parce que la prostituée les mettait en avant pour se vendre. Mais aussi parce que la bourgeoise avait une petite poitrine qui attirait plutôt les commentaires du style « planche à pain » que les compliments.

Momentanément hypnotisée par son corps, Lissandre en oublia la petite caméra qu’elle avait à la main. Appareil qui continuait à filmer et enregistrer le début de conversation entre les deux femmes.

« C’est la première fois que j’arpente ces rues et je suis à la recherche de ma Muse. »

Peut-être pas une introduction des plus précises pour annoncer ses projets filmographiques. Mais elle n’y pouvait rien, il y avait quelque chose dans les proportions de la prostituée, quelque chose dans l’éclat de ses yeux qui la déconcentrait.

« Pardon, je suis tellement plongé dans mon projet que j’en oublie que les autres ne sont pas dans ma tête. Laisse-moi te donner un peu de contexte. »

Lissandre expliqua alors qu’elle était une touriste, qu’elle venait de la Terre et qu’elle recherchait l’inspiration pour tourner des films pornographiques. Elle n’essayait pas d’utiliser des formules alambiquées. Elle ne tournait pas autour du pot. Ce n’était pas son genre de perdre du temps. Puis elle continua à expliquer. Elle était à la recherche de quelqu’un, d’un lieu ou encore d’un contexte. Elle recherchait sans savoir quoi chercher.

« Et je t’ai vu en te filmant. Oh ! »

La petite caméra dans sa main. L’appareil était enfin revenu à la conscience de l’apprentie-réalisatrice.

« Ça te dérange que je te filmes et que je nous enregistres parler ? »

Lylas Hana

Humain(e)

Lylas avait beaucoup voyagé au cours de ses accompagnements d’aventuriers, elle avait vu de nombreuses créatures, de nombreux monstres, elle avait également vu des magies très puissantes mais elle n’était jamais allé jusqu’à Tekhos et elle ne connaissait de la technologie que de simple rumeurs. La belle demoiselle ne comprenait donc pas grand-chose à ce que racontait celle qui venait  de l’aborder. Elle se contentait donc de regarder l’autre femme qui lui parlait, elle écoutait en scrutant un peu son corps, ce qu’on l’on pouvait tout de suite remarquer c’est qu’elle était bien moins gâtée en ce qui concernait les formes mais elle était tout de même assez jolie :

« Je ne comprend pas grand-chose à ce que vous dites. Je ne sais pas ce que vous voulez dire par tourner des films. »

Puisqu’elle avait eut l’inspiration en voyant Lylas c’est que cette dernière devait sûrement faire l’affaire pour les projets de l’inconnu. Même si c’était la première qu’elle la voyait, elle avait sûrement compris ce que Lylas faisait et cela devait donc avoir un rapport avec le sexe. Elle fixait le petit boitier que tenait l’autre femme dans la main et approcha le doit pour toucher la lentille :

« Vous venez de Tekhos ? C’est pour ça que vous dîtes des choses bizarres et que vous avez un objets étrange dans la main ? »

Cependant même si elle ne comprenait pas vraiment ce qu’on lui voulait ça n’avait pas l’air bien méchant alors elle hocha la tête :

« Je veux bien vous aidez comme je peux alors qu’est-ce que je peux vous raconter qui vous intéresserait ? »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

Réponse 4 dimanche 03 novembre 2019, 10:37:41

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°3

D’abord ses yeux s’ouvrirent de surprise. Lylas ne comprenait pas un mot de ce qu’elle lui racontait. Puis un petit sourire apparut sur le visage de Lissandre. Son cerveau commençait à aligner les faits. Elle n’était pas sur Terre et elle était une touriste. Elle était étrange mais le monde qu’elle foulait avait sa propre étrangeté. Il fallait qu’elle s’adapte.

« Je viens d’ailleurs. Je viens de très loin. »

Mieux valait mentir par omission que donner trop de détails. Lissandre sortit un petit mouchoir de sa poche sur lequel avait été brodé les initiales de son prénom et de son nom « L.V. ». Elle nettoya la lentille que le doigt de Lylas avait sali.

« S’il te plaît, ne touche plus l’œil de ma créature. Elle n’aime pas ça. »

Est-ce qu’elle allait trop loin ? A quel point la technologie était connue sur ce monde ? Dans l’idée, Lissandre se prenait désormais pour une sorte de magicienne. Et elle était accompagnée d’une créature, -sa caméra- qui avait des facultés extraordinaires.

« Caméra est une créature extraordinaire. Elle a la capacité de retenir tout ce qu’elle voit et entend. Bien entendu, je ne peux pas te montrer ce qu’elle a appris ici. Je n’ai pas accès à tout mon matériel. »

Elle sourit à Lylas. Pour elle, l’explication se tenait et l’autre sujet pouvait être abordé. Elle regarda les passants dans la rue. Un attira son attention. Il paraissait un peu gêné et ne cessait de jeter des regards à la dérobade à Lylas. Très probablement un client qui attendait son tour.

« Lylas, tu pourrais me raconter une de tes journées ? Peut-être celle d’aujourd’hui ? Ou alors une autre où il s’est passé des événements qui restent gravé dans ta mémoire par leur intensité ? »

L’homme allait attendre son tour. A moins qu’il ne perde patience ? Est-ce qu’elle était en danger de se trouver sur un homme en rut ? Ou alors les mœurs étaient si libérées dans ce monde qu’elle allait assister à une passe dans la ruelle en tant que spectatrice ? Si c’était le cas, sa petite caméra filmerait tout. C’était sur et certain !

Lylas Hana

Humain(e)

Re : Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

Réponse 5 dimanche 03 novembre 2019, 16:48:53

Lylas ne savait pet être pas ce qu’était une caméra mais elle plissa tout de même les yeux quand l’inconnu lui révéla que c’était une créature. Elle avait vue des choses que la terrienne ne pouvait même pas imaginer mais elle savait que ce qu’elle tenait n’était pas quelque chose de vivant, un œil en verre ça ne fonctionnait que pour les pirates et les borgnes. Cela la vexa un peu qu’on la prenne pour moins intelligente qu’elle n’était, cela devait être une sorte d’artefact magique mais jamais elle ne croirait que c’était une créature quelconque :

« J’en ai vu plein des créatures et ça s’en est pas une. Mais vous devriez faire attention avec vos artefacts magiques, il y a plein de voleur qui seraient intéresser. »

Il n’y avait pas que les magiciens qui aimaient collectionner ce genre d’objet et plus c’était étrange et au fonctionnement mystérieux plus le prix pouvait être élevé à la revente. Lylas ne faisait pas attention aux passants et elle était déjà occupée alors si un client était là il devrait attendre qu’elle ait finie avec l’inconnue qui lui demandait vraiment des choses bizarres. Personne ne s’intéressait aux journées des prostituée car cela semblait assez prévisible comme réponse. Elle haussa les épaules avant de répondre :

« Eh bien c’est assez simple comme journée. Je me lève, je viens ici pour montrer que je suis en service et puis les clients viennent. Des fois on va à l’auberge, chez eux, dans leur carrosse ou pour les moins fortuné et les pressés directement dans la rue mais ce n’est pas très bien apprécié alors il faut que cela soit vite fait. »

Elle se dit que ce qui intéresserait l’autre femme c’était sûrement ses aventures quand elle accompagnait des voyageurs :

« Mais si je suis aussi populaire aussi c’est parce que je propose également mes services pour les aventuriers, les marins ou les marchands d’esclaves alors quand je suis dans ce genre de travail je voyage beaucoup. Mais je ne pourrais pas vraiment dire laquelle serait la plus marquante ,il y en a beaucoup. Des fois je dois m’occuper des animaux, des fois je suis avec des troupes entière et les nuits sont longues, parfois je suis enfermée pendant des semaines dans la cages de terranides qui n’ont rien à faire d’autre que de se soulager sans cesse. Et puis des fois ceux que je suis se font attaquer et je me retrouve la seule survivante parce que les troll ou quelque soit les assaillants on envie de s’amuser aussi. Mais une des choses les plus étranges qu’il me soit arriver c’est que j’ai été enceinte de plusieurs espèces en même temps. »

Elle espérait que ça convienne à l’étrangère.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

Réponse 6 dimanche 03 novembre 2019, 18:28:48

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°4

Lissandre était désolée. Elle vit sur le visage de Laylas qu’elle l’avait blessé en la prenant pour une idiote. Bien entendu, elle voulait s’excuser. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle aimait bien la prostituée. Une sorte de connexion, probablement. Mais elle n’eut pas le temps, de s’excuser. Peut-être dû à son expérience, Laylas passa très vite à autre chose. Elle devait être habituée à toute sorte de caprice de ses clients.

*Désolé. Je suis désolé, Laylas. *

Elle le pensa tout de même. Peut-être qu’elle le ressentirait. Peut-être pas. Mais elle se sentait un petit peu moins coupable.

Ensuite, elle commença à raconter sa journée type. D’un parler assez franc, Lissandre ne sentit pas sa Muse surgir. Peut-être y avait de la matière à explorer au sujet du carrosse et de ses occupants.

Puis la surprise !

Clairement exprimée sur son visage, Lissandre ne s’attendait pas du tout à ça. Certes, sur Terre, elle s’était laissé allez à quelques scénarios fantaisistes. La culture japonaise aidant avec, par exemple, des créatures tentaculaires. Mais ce que lui révéla Laylas alla au-delà de ses espérances !

« Je- Waouh ! »

Son visage s’émerveilla. Si ça avait été quelqu’un d’autre, elle aurait ressenti de la peine. De la culpabilité. Un sentiment d’urgence à aider quelqu’un qui se faisait « torturer ». Le terme n’était peut-être pas le bon. Mais son travail ressemblait à de terribles épreuves…

« D’abord, je te remercie pour me parler. Vraiment. Je vais être franche avec toi, je ne m’attendais pas à tout ça. »

Lissandre se maudit de ne pas être plus comme sa sœur. Elle qui était une maniaque du contrôle et qui voyait son cœur battre plus rapidement quand elle ne maîtrisait pas son sujet. Des terranides ? C’était ces humanoïdes qui semblaient croiser avec des animaux ? Comme cet homme dans la rue avec son visage d’écailles vertes ou encore cette femme qui avait de petites ailes inutiles dans son dos ?

« J’aurais tellement de questions à te poser. »

L’apprentie-réalisatrice essaya de remonter le flot d’informations. Puis elle préféra se fixer sur la dernière et celle qui paraissait le plus important pour la prostituée.

« Tu sembles très jeune et tu as déjà été enceinte. Ton corps est vraiment magnifique ! Mais je ne suis pas sûr de comprendre. Tu as des jumeaux ou plus de différents pères ? Je ne pensais pas que c’était possible. Tu peux m’en dire plus ? »

Lissandre ne savait plus ce qu’elle voulait savoir. L’identité des pères ? Les parties de jambe-en-l’air ? Le futur de ses enfants ? En fait, elle voulait tout savoir.

Lylas Hana

Humain(e)

Re : Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

Réponse 7 dimanche 03 novembre 2019, 20:21:40

Ce qu’elle racontait semblait stupéfier son interlocutrice et l’émerveillait, pour Lylas c’était devenu son quotidien depuis longtemps. Elle ne s’était jamais demander si elle aimait sa condition ou non, le sexe faisait partie de sa vie depuis le plus jeune âge que ce soit d’abord avec sa mère qui était elle-même prostituée ou elle-même qui avait du se soumettre aux hommes les plus pervers à un âge qui horrifierait la terrienne. Le sexe ne lui avait jamais fait connaître le plaisir, elle ne savait pas vraiment si elle aimait ça ou pas, elle ne ressentait plus grand-chose tant elle avait connue d’aventure. Elle le faisait parce que c’est ce à quoi elle était douée et qu’une fois dans ce monde il était difficile de s’en sortir. L’histoire de sa grossesse surprenant semblait intéresser l’étrangère qui lui posa des question dessus, elle haussa les épaules avant de répondre :

« J’ai vingt-trois ans oui et j’ai eu le ventre gros pour la première fois à douze ans, dès que mon corps eut été près cela. Et je le suis régulièrement, avec mon métier ça arrive presque tout le temps. »

Elle ne se souvenait même plus de la dernière période plus longue que trois ou quatre mois sans être grosse. Son interlocutrice devait sûrement calculer le nombre potentiel d’enfant en partant sur une base de neuf mois de grossesse mais Lylas savait maintenant que ce délai ne valait que lorsque le géniteur était purement humain, lorsqu’il s’agissait d’un autre type de créature la durée était variable et souvent moindre :

« Pour ce que je viens de te dire c’était deux enfants de père différents en même temps dans le ventre. L’un venait visiblement d’un ogre et l’autre d’un homme-ours. »

Elle ne savait même pas que c’était possible avant que cela lui arrive mais ce devait être très rare car c’était la seule fois où ce genre de chose lui était arriver :

« Mais je ne garde pas mes enfants, les maîtres les prennent dès que j’accouche et je ne sais pas ce qu’ils viennent et je ne me suis jamais poser la question. »

Elle fit glisser son habit, dévoilant ainsi son corps totalement nue sans se cacher et passa une main sur son ventre parfaitement plat :

« Je n’ai jamais eu de marques de grossesse, les autres femmes on le voit pour la plupart mais moi mon corps redevient comme avant presque instantanément dans la semaine qui suit. »

Elle savait que tout le monde la trouvait très belle même si elle n’avais pas d’avis là-dessus elle même et elle avait appris à en jouer.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana]

Réponse 8 dimanche 03 novembre 2019, 21:52:18

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°5

C’était incroyable. La vie de Lylas était un feuilleton pornographique. Une série entremêlant la fantasy et la pornographique. Un genre qui n’existait pas sur Terre. En même temps, comment les commerciaux auraient pu réussir à vendre ça au grand public ? En fait, en y repensant, c’était stupéfiant. Aux informations télévisées, la violence était commune. Et d’un autre côté, le sexe était partout et devait être l’élément le plus vendeur. Le meilleur argument marketing.

Mais Lissandre digressait mentalement. Elle avait une Muse sous ses yeux. Il ne fallait pas qu’elle la perde.

Restait que l’esprit humain était puissant. Un bourreau était plus terrifiant quand il jouait sur le côté psychologique que sur la souffrance physique. Car la victime imaginait toujours le pire. Alors, quand Lissandre imagina la douce et belle Lylas aux mains d’un ogre et d’un homme-ours…

Avant même qu’elle puisse demander des détails sur la taille d’un ogre, -que ce soit sa hauteur du hau de la tête aux pieds ou de la longueur du bout du gland à la base de la verge- Lylas se déshabillait devant Lissandre. En plein milieu de la foule.

« Tu es très belle. »

C’était vrai. Ce n’était pas une marque de politesse ni une ruse pour draguer une autre femme. Lissandre qui se croit hétérosexuelle trouve vraiment Lylas magnifique. Elle avait une peau magnifique. Elle préférait sa peau de latex rose. La texture plus dure, plus lisse, plus mouillée. Sans compter le fait que le latex rose grossissait un peu sa poitrine et la remontait encore plus haut.

Lissandre se faisait cette remarque, ses yeux parcourant le corps de la prostituée. C’est alors qu’elle remarqua le passage du dernier client : la trace de sperme le long de sa jambe.

« Je peux ? »

Sa main s’approchait doucement du ventre sans marque de grossesse. En attente de la réponse.

Puis elle pensa à sa caméra. Elle se retourna et la posa sur une caisse juste à côté. L’appareil filmerait ainsi les deux femmes et leurs prochaines actions. Lissandre aurait les deux mains de libre et des images avec un meilleur cadrage.

Si Lylas l’autorisait à toucher son corps, la main de Lissandre reviendrait le long de son corps pour en sortir son mouchoir. Pas pour nettoyer la lentille cette fois, mais pour essuyer le sperme. Ensuite, elle laisserait glisser ses doigts le long du ventre pour s’arrêter juste au-dessus de son sexe. Car de nouvelles questions émergeraient. Des questions liées aux conséquences d’accouchements.

Lylas Hana

Humain(e)

Lylas n’avait aucun mal à se déshabiller devant quelqu’un, après tout il était difficile de faire son métier en restant habiller et puis elle avouait qu’elle préférait être nue, il y avait plus de sensation lorsque le corps nu était libre face aux élément tel que le vent venant glisser sur lui. Les habits n’étaient guère plus qu’une convention sociale à laquelle se pliait Lylas quand bien même son habit habituel était si léger et transparent qu’il ne servait pas à grand-chose. Tout comme le sexe ne lui procurait pas de plaisir particulier, elle n’était pas non plus attiré par un quelconque corps, elle savait dire qu’elle trouvait quelqu’un de joli ou pas mais jamais elle ne ressentait d’attirance pour quelqu’un.

Peut être qu’avec une autre vie Lylas aurait eu une idée précise de ce qui lui plaisait mais ce n’était pas le cas et elle se contentait d’agir par instinct et habitude. Elle dévoilait donc son corps parfait à l’étrangère sans la moindre once de pudeur. Elle lui montrait à quel point sa peau était douce, son énorme poitrine bien qu’imposante ne semblait pas si disproportionnée que ça malgré la finesse et la grâce du reste de son corps. Sa longue chevelure blonde lui tombait jusqu’au cheville et une fine et délicate toison de la même couleur recouvrait son pubis. Ses hanches étaient larges et développée laissant sa silhouette se terminer sur des fesses fermes et délicieusement agréable à l’image du reste de son corps. Un véritable corps de déesse que l’on avait du mal à imaginer souillée par des dizaines d’hommes chaque jour tant une chose si précieuse était rare.

Alors que Lissandre parcourait son corps des yeux en s’approchant, Lylas posa ses mains sur sa poitrine pour commencer à se peloter délicatement. Ses doigts venait masser la délicate surface de ses seins, venant disparaître lors des palpations. Certains passant c’étaient arrêter pour regarder le spectacle par dessus l’épaule de la terrienne et certains lançaient même des pièces, parfois juste pour la plaisir du spectacle, parfois en espérant pouvoir y participer. Souriant doucement à celle qui ne lui avait toujours pas dit son nom, elle hocha la tête pour répondre à sa question :

« Oui, tu peux toucher. »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°6

Et elle toucha. Lissandre ne le regretta pas. Lylas avait vraiment une peau d’une extraordinaire qualité. Elle était douce. Une peau qu’elle aurait aimé avoir. Avec cette même peau, elle aurait surement fait pareil : se peloter ainsi.

La bourgeoise sortit son mouchoir et essuya la jambe de la prostituée qui était maculée de sperme. Elle replia convenablement le tissu et le remit dans sa poche. Puis sa main revint sur le ventre de Lylas. Ses doigts ne comprenaient pas l’absence de marque de grossesse. Ses mêmes doigts qui s’arrêtèrent dans la toison dorée. Comme si cette dernière était un point de non-retour. Un avertissement.

Des pièces tombaient plus ou moins loin des deux femmes. Lissandre était partagée. Elle n’était pas habituée à autant de spectacle. Elle-même était plutôt une innocente colombe qu’une nymphomaniaque en manque. Alors elle éprouvait autant de la gêne à attirer l’attention du public sur la prostituée qu’à ressentir une forme d’excitation. Le problème en était la nature.

*Pourquoi est-ce je suis excitée comme ça ? Est-ce que c’est la situation ? Un autre monde et des autres mœurs ? Ou est-ce que je me découvre un goût pour les femmes ? C’est peut-être surement elle. Tout simplement. Elle a quelque chose de spéciale. Elle… Oui, il n’y a pas d’autres mots. Elle m’attire inexplicablement. *

L’apprentie-réalisatrice voulait demander aux propriétaires des pièces de s’approcher. Elle voulait voir le sexe sur Nexus. Elle voulait apprendre à connaître les terranides. Découvrir sans maquillage ni déguisement les particularités physiques de leur corps. Lissandre vivait un rêve éveillé. Un scénario typique de manga.

La femme voulait éloigner Lylas de cette ruelle. Rentrer dans une maison et obtenir un peu d’intimité. Car elle était aussi bourgeoise et avait donc les moyens de s’offrir la prostituée. Elle avait ce trait de la haute société de voir certaines personnes comme leurs choses. C’était son trésor. Ça devenait sa drogue.

*Elle me rend dingue. Je ne sais plus quoi faire ! *

Les pommettes rouges. Le sourire malicieux. Lissandre n’avait toujours rien dit. Elle regardait. Elle se délectait. Sa main toujours posé sur le ventre de Lylas.

Lylas Hana

Humain(e)

Se faire toucher ne dérangeait pas Lylas, elle était là pour ça après tout et elle jouait de ses charmes qu’elle savait puissant. Il y avait assez peu de femme qui venait s’offrir le service des prostitué et même si ce n’était pas ce qu’elle préférait faire, Lylas ne voyait pas de problème à s’occuper d’une femme ou se faire tripoter par une femme. Elle laissait donc Lissandre passer ses mains sur elle, lui laissant le plaisir de la découverte de son corps si gracieux. Quant à elle, elle continuait de se peloter pour peut être donner des idées à cette curieuse qui semblait se poser des questions sur les femmes. Pourtant elle avait l’air d’en être une de femme alors elle devait sûrement déjà en avoir vu au moins un de corps de femme nu.

L’étrangère avait beau se montrer curieuse, elle se contentait de toucher son ventre et son bas vente n’allant pas plus loin que sa toison d’or. Lylas n’était pas là pour prendre d’initiative et c’était donc à la terrienne de décider de ce qu’elle voulait aire avec elle car plus elle mettait du temps à décider plus les passants curieux se massaient derrière elle attendant de voir ce qui allait se passer. A part les voyageurs de passages tout le monde connaissait la belle prostitué et même s’ils n’étaient pas des clients consommateurs ils avaient déjà pu voir de quoi elle était capable.

Lylas lâcha un de ses seins pour poser sa main sur celle de Lissandre qui ne semblait pas vouloir se décider et l’accompagna dans un glissement qui avait pour but de faire atteindre sa vulve à ses doigts. Toujours en guidant la mains de l’autre femme, elle se caressa doucement avant de  faire  glisser ses doigts entre ses lèvres intimes :

« Il va falloir décider ce que vous voulez faire parce que des clients attendent donc soit vous prenez leur place soit vous les laissez venir.’

Quelque soit la solution qu’elle choisirait, Lylas s’en contenterait mais en l’état actuel Lissandre profitait de son corps sans payer et ce n’était pas correct pour les autres clients. Même si elle n’avait pas d’objectif particulier à atteindre, il fallait bien qu’elle gagne de l’argent.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°7

C’était comme caressé de l’or fin. La toison de Lylas provoquait des frissons dans le corps de Lissandre. Elle se sentait perdre pied…

Jusqu’à ce que la prostituée lui pose un ultimatum !

« Comment ? »

La bourgeoise observa les clients qui attendaient. Il y en avait quelques-uns qui faisait la queue. Dont un qui se la touchait carrément à travers le tissu de son pantalon. Lissandre retourna son attention sur Lylas.

« Je- »

Un blocage. Son cerveau buguait. Une décision devait être prise.

« Je voudrais te proposer un marché. »

Lissandre se rendit compte que ses doigts jouaient toujours avec la toison. Faisant des allers-retours entre les poils ronds et la frontière de son sexe. Frôlant parfois le clitoris, parfois les grandes lèvres. A chaque fois elle se retirait rapidement : comme si elle était prise en faute sur le moment. Somme toute : un jeu.

Elle se rapprocha de la prostituée et retira sa main.

« Choisis le client le plus atypique. Celui qui sera le plus spectaculaire. Je paie sa passe et la mienne en tant que spectatrice. »

Elle avait envie de tourner la tête. De découvrir les créatures les plus insolites. Car Lissandre avait toujours en tête des images d’une créature forcément monstrueuse, grasse et immense. Elle pensait à l’ogre qui avait enfanté Lylas. Mais elle se retenait de tourner la tête. Elle ne voulait pas se faire des films si l’issue était une déception. Sans compter qu’elle préférait avoir la surprise. C’était un bon levier pour jouer et exacerber les ressentis.

« Alors, nous avons un marché ? »

Lylas Hana

Humain(e)

En effet, Lylas était une prostituée et elle vendait son corps pour gagner son argent et laisser quelqu’un le caresser sans rémunération c’était de la perte sèche et bien qu’elle appréciait la discutions avec l’autre femme, elle devait reprendre ses affaires alors si Lissandre ne voulait pas s’offrir les services de Lylas il fallait laisser la place aux autres. Ce que lui proposa l’étrangère la surpris un peu mais elle haussa les épaules pour signifier qu’elle ne voyait pas de problème à ça. Elle savait que certains hommes étaient exciter en voyant leur femme coucher avec d’autres hommes, peut être que c’était pareil avec elle et que ce qui l’excitait c’était de voir d’autres personnes s’envoyer en l’air.

Lylas se gratta la tête en regardant la foule, elle lui avait dit de prendre le client le plus atypique et surprenant mais il n’y avait rien de particulièrement impressionnant. Peut être que son histoire avec l’ogre l’avait excité mais ce genre de monstre ne se trouvait pas en ville, pas vivant du moins et la foule ce constituait d’humain et de terranide tout ce qu’il y avait de plus classique. Sûrement qu’un terranide pur sang ferait l’affaire mais encore fallait-il en trouver, les voyageurs venant des contrées glacée étaient rare et ceux n’étant pas réduit à l’esclavage n’était guère représenté à Nexus. Mais elle en trouva finalement un et le pointa du doigt pour qu’il s’avance. Un véritable colosse à la musculature impressionnante, il était si massif que deux comme lui aurait du mal à se croiser dans cette petite ruelle, plus de deux mètre de pur muscle pour un homme-dragon qui semblait être là plus par curiosité qu’autre chose :

« Je veux lui, il te convient ? »

Elle alla le chercher pour le tirer vers Lissandre et se colla à lui, pour elle ce n’était pas un profil de client très spécial mais puisque l’étrangère semblait être émerveillé par des choses simples cela devrait lui aller :

« Mais si tu veux pouvoir regarder tranquillement et que ça dure assez longtemps pour que ce soit intéressant, il faut aller quelque part d’autre. J’ai le droit de me mettre nue ici mais le sexe en pleine rue c’est interdit et je ne pense pas qu’un coup de seulement quelque seconde t’intéresse. »

Elle avait trouver de quoi faire plaisir à sa cliente, elle attendait maintenant pour la suivre là où elle voulait que cela se passe.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°8

Lissandre le détaille du haut de ses cornes à l’extrémité de sa queue. Non, pas celle qu’il gardait dans son pantalon. Une véritable queue qui fouettait l’air derrière son dos. Plutôt son cul étant donné l’atmosphère.

*Je vis une histoire d’aventure de la Terre. Je vais me réveiller. Je ne vois que ça comme solution. *

Ses deux mètres de hauteur. Cette quantité haltérophilique de muscles. Ses deux cornes recourbées sur le haut de son crâne. Sans compter de véritables écailles.

*Alors autant en profiter, ma grande ! *

« Je valide ton choix. Il me convient tout à fait ! »

Certes, il y avait un petit pincement de cœur. Une petite déception. En effet, le dragon de ne possédait pas d’elle et il n’avait pas accueilli le choix de la prostituée par une gerbe de flamme. Mais Lissandre souriait. De petites étoiles dans les yeux, elle le détaillait encore une fois de haut en bas. Son esprit commençant à spéculer sur ce qui était caché.

« Ma caméra ! »

Elle était là pour faire un reportage. Le but premier était de filmer du matériau pour trouver l’inspiration. Et elle voulait absolument filmer ce dragon qui se tenait devant elle. Qui se rapprochait des deux femmes. Il n’avait pas froid aux yeux et était assuré dans sa démarche. Aucune peur. Aucune gêne. Même un sourire et de l’envie !

« Bonjour. »

Lissandre se sentait petite. Faible. Comme une petite enfante qui fait face à son géant de papa. Sauf que là, elle était une adulte et il lui provoquait des papillons dans le ventre. Ses joues ne voulaient pas revenir à leur couleur originel.

« Hum, je peux payer pour une chambre dans une taverne. Ou n’importe quelle autre pièce, s’il y a mieux dans les environs. »

Elle avait évoqué la taverne car c’était le lieu premier auquel on pensait dans une histoire de fantasy. Et elle se sentait comme une héroïne de ce type d’histoire !

« Je peux même payer une tournée de bière ! »

Trop d’excitation. Trop d’imagination. Elle avait surement parlé plus vite qu’elle ne l’aurait voulu. Mais, après tout, l’alcool ne pouvait pas empirer cette belle situation qui se profilait.


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