Reportage pornographique dans une rue médiévale [avec Lylas Hana] – réponse n°24
La bourgeoise en armure rose suivit du regard l’action de la belle prostituée. Elle ne s’attendait pas à la voir prendre déjà les devants. Curieuse, elle s’accroupit et découvrit à temps le baiser sur le membre équin.
*Quoi ? Un seul centaure ne te suffit pas ? *Lissandre imaginait déjà le sexe en érection de l’homme-cheval. Les proportions lui paraissaient déjà impossibles. Alors se faire prendre par plusieurs centaures ? La réalisatrice de film porno essayait de créer des scènes, des situations mais elle devait avouer que son imaginaire était mis au tapis. Son mental pour l’instant faisait veto.
« Dans un premier temps, il souhaite te prendre seule. Moi et sa petite humaine seront les seules spectatrices. »Le centaure avait fait part à Lissandre de la petite humaine qui l’accompagnait presque tout le temps. En somme, c’était une esclave qui s’occupait de lui. Ça allait de sa nourriture, à sa toilette en passant par ses envies. Lissandre n’avait pas voulu savoir ce que ses envies signifiaient exactement.
*Pas tout de suite en tout cas. Le suspense est la clé. *Le petit groupe traversa la ville. Et autant dire qu’ils ne passèrent pas inaperçus. Entre le centaure, la bourgeoise en armure et la prostituée quasi nue. Il y eut des regards surpris. Mais aussi des sifflements d’hommes qui aurait fourragé l’une ou l’autre des femmes.
La traversée de la ville ne fut qu’une étape obligatoire mais sans rien d’exceptionnel. Les dernières maisons furent déjà derrière le petit groupe et la forêt à quelques centaines de mètres d’eux. Plongée dans ses scénarios imaginaires et ses fantasmes nouveaux, Lissandre fut silencieuse tout au long du trajet.
La baisse de luminosité sortit la bourgeoise de ses pensées. Le petit groupe était entré dans la forêt. Très vite, le centaure retrouva sa petite humaine. Elle souhaita un bon retour à son maître et s’inclina pour souhaiter la bienvenue aux deux femmes.
Puis les trois femmes et le centaure quittèrent le sentier pour se diriger vers une petite clairière. Le moment d’honorer le contrat était venu. Le centaure forcément bien bâti regarda avec envie la belle prostituée. La bourgeoise allumait sa caméra sous l’œil intriguée de l’esclave humaine.