Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Jay Xisteplu

Humain(e)

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jeudi 01 novembre 2018, 17:47:06

SHLIIIINNNGG

Un batte de baseball fend l'air pour cogner dans une balle avant de voir celle-ci s'envoler de plus en plus haut dans le ciel. « Ouaaaahh ! », « Ouais ! », « Home run ! », « Kyaaa, Shigeo-kuuunnn ! »...
Des nombreuses acclamations s'élèvent dans le stade où jouent deux clubs de baseball lycéen. L'une des deux équipes est celle de Mishima, ce lycée tristement célèbre dans les médias pour les nombreux faits-divers dont il est l'origine. Elle mène d'ailleurs 3 points à 1 dans la cinquième manche. Ce Shigeo-kun risque d'être bien reçu et traité par ses camarades féminines à la fin de la rencontre si le score ne bouge pas car son home-run a fait marquer deux points à son équipe.
Oui, Mishima est un établissement où le sexe est un loisir quotidien même si il n'est pas forcément pratiqué en pleine journée. Sauf si on connait les bons endroits... Arlan n'est pas professeur de sport, ni responsable du club de baseball. Sa présence au stade est uniquement dû au fait que tout le lycée est fermé aujourd'hui pour encourager leur équipe qui n'avait encore jamais atteint les demies finales d'un tournoi national par le passé. Comme quoi l'éducation passe après la popularité de l'établissement aux yeux de la direction. Cela offrira au moins un repos mérité au professeur de sciences sociales qui en profite au maximum.
Après plus d'une heure de jeu le match se termine sur une victoire solide de Mishima. Si la coutume est respectée, toute l'équipe risque de mettre du temps à sortir du vestiaire car je vois déjà le club des supporters quitter les tribunes et la majorité des filles qui le compose avancent timidement en serrant les cuisses. Aaah, roulez jeunesse !
Il est tout juste 18h et les enseignants ont prévu de se réunir ensemble dans un restaurant pour prendre un verre et manger un morceau dans un petit restaurant pas loin. L'ambiance est bonne, détendue, tout le monde s'amuse et rigole en enchaînant les anecdotes sur les élèves ou des débats aussi inutiles les une que les autres mais que l'on ne peut s'empêcher de lancer. Solis se surprend de passer un bon moment et de se lâcher plus qu'à son habitude auprès de ses collègues. Le temps défile à une vitesse folle et voilà qu'il est déjà 19h20. Nullement fatigué, voir débordant d'énergie, Solis décide de rester encore un peu alors que ses derniers collègues prennent congé de lui. Un peu de calme ne peut pas faire de mal après tout. Assis à sa table en regardant dehors à travers la fenêtre il laisse son index vagabonder sur les rebords de son verra à moitié vide. Quand une voix d'homme vient interrompre son moment de paix.

« Allez, z'en voulez, faites pas genre ! Les nanas se fringues pas comme ça pour sortir les poubelles. »
« Z'etes trois et nous deux. C'est nikel pour un p'tit karaoké, en plus on a des micros custom rien que pour vous. »

Sur une table un peu plus loin au fond du restaurant se trouvaient trois jeunes femmes. De très belles femmes quitte à être précis. Elles se font harceler par deux espèces de voyous dont les intention ne font aucun doute et dont les notions de tact ou de séduction semblent leur être inconnu. Les jeunes femmes les repoussent d'abord gentiment en leur faisant comprendre qu'elles ne sont clairement pas intéressées. Cela n'a pas l'air d'arrêter les frotteurs dont un s'approche de la blonde de manière un peu trop évidente. Il est évident que cela risque de mal finir car je la vois se saisir de sa fourchette avec une lueur glaciale dans les yeux.
Ni une ni deux, Arlan se lève et décide de les rejoindre.

« Pardon, j'arrive en retard. Je sais qu'on avait dit 19h, mais les bouchons...
Ah ? Ce sont des amis à vous ? Salut, je m'appelle Solis.
»


Il me présente de façon parfaitement naturelle aux deux hommes qui ne savent plus quoi répondre, surpris plus qu'autre chose de la situation.

« Euh... Ouais, salut ! Vous êtes ensemble ? Elles ont rien dit. »

« Oui, elles sont très timides de nature. On a beau être à Seikusu, même si certaines femmes s'habillent de façon légères elles ne sont pas toutes des femmes faciles ou des filles de joie. »

Frustrés, les deux hommes se relèvent et s'en vont en les couvrant d'insultes gratuites.

« Pff, les trous de ses putes ressemblent sûrement à rien à force de ce faire niquer dans des ruelles. »

Solis fait alors signe à une serveuse et lui demande de resservir la même chose à ces demoiselles avant de repartir en leur faisant un clin d’œil.
« Modifié: dimanche 11 novembre 2018, 21:25:33 par Arlan Solis »
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 1 dimanche 11 novembre 2018, 19:55:07

Attablée avec Cyanure et Maïa, la demi-déesse observait les environs avec une moue ennuyée. Les deux succubes à ses côtés discutaient de l'évolution des mœurs des mortels. Enfin, discutaient... Disons que c'était une vive discussion avec la fille qui s'opposait à la mère. La fille qui maintenait qu'il fallait être un minimum pudique et décent pour draguer, et non pas s'afficher ouvertement nue. Que cette dernière méthode était vulgaire, aux yeux des mortels. Et la mère soutenait l'inverse. Mais c'est parce qu'elle n'avait pas grandi dans ce monde, Maïa, elle n'y venait que pour se sustenter, avant d'y être exilée. Elle ne comprenait pas la façon de fonctionner des humains. Cyanure, en revanche, était assez jeune lors de l'exil pour s'approprier la façon de faire des mortels. Et elle était en constante opposition avec ses trois aînées, sur ce sujet.

La sorcière ricana, alors que Cyanure rappelait à Maïa que cette dernière avait passé la nuit en cellule il y avait de cela quelques jours, justement à cause de ça. Exhibitionnisme, avait clamé le policier, avant de l'embarquer. Il faut dire que la succube n'y avait pas été avec le dos de la cuillère. Soutenant qu'elle pouvait chasser seule, elle s'était présentée à la bibliothèque de la faculté de la ville uniquement vêtue d'un pagne ornemental et d'une parure de bijoux sur la poitrine. Oh, bien sûr, elle avait fait de l'effet aux nombreux jeunes présents. Mais elle était aussi tombée sur un adulte en pleine possession de ses moyens, inflexibles, qui faisait passer son devoir avant son plaisir. Et ce, malgré les insinuations envoyées par la magie de la démone.

Cressida détourna la tête pour ne pas éclater de rire, et ainsi s'attirer un regard réprobateur et vexé de la part de Maïa. Elle donna même un petit coup de pied dans la jambe de Cyanure pour l'empêcher de poursuivre sur sa lancée.

Toute envie de sourire la déserta cependant en captant l'aura de deux hommes qui s'approchaient de leur table. Ils... Eh bien, leur aura empestait, tout simplement. Luxure, vice, violence... Ils n'étaient pas novices dans le harcèlement de femmes, et n'hésitaient pas à outrepasser leurs droits, considérant qu'un "non" voulait forcément dire "oui, mais je veux vous faire mariner".

« Hey, salut beautés. Vous êtes toutes seules, dites-moi...
Ça tombe bien, on cherchait de la compagnie. Et vous êtes... Wahou ! Super bonnes ! »

D'un reniflement méprisant, Cressida tourna la tête. Si Cyanure semblait comme elle, dégoûtée par ces deux hommes, Maïa avait une lueur calculatrice au fond du regard. Elle n'écouta pas les répliques, pendant un court instant, inspirant profondément pour ne pas foudroyer sur place les importuns. Cyanure sembla refréner sa mère et envoyer bouler calmement les deux hommes, mais Cressida n'écouta pas. Elle serra les doigts autour de sa fourchette, envisageant avec sérieux l'envie de la planter quelque part dans le corps des intrus. La main ? Non, ça ne faisait pas assez mal. Le sexe ? Trop évident. Les yeux, peut-être ? Ou la langue ?

« Allez, z'en voulez, faites pas genre ! Les nanas se fringues pas comme ça pour sortir les poubelles.
Z'etes trois et nous deux. C'est nikel pour un p'tit karaoké, en plus on a des micros custom rien que pour vous. »

Finalement, peut-être que le sexe serait une bonne idée. C'est sûr, ils seraient customisés leurs micros là.

« Pardon, j'arrive en retard. Je sais qu'on avait dit 19h, mais les bouchons...
Ah ? Ce sont des amis à vous ? Salut, je m'appelle Solis.
»

La sorcière fut aussi surprise que les deux hommes, lorsqu'un troisième les interrompit. Elle jaugea le nouveau venu, fronçant les sourcils, alors que Cyanure sautait sur l'occasion de se débarrasser des deux relous sans qu'il n'y ait de meurtre ou de mutilation, attrapant la main du dernier arrivé avec un sourire.

« Euh... Ouais, salut ! Vous êtes ensemble ? Elles ont rien dit.
Oui, elles sont très timides de nature. On a beau être à Seikusu, même si certaines femmes s'habillent de façon légères elles ne sont pas toutes des femmes faciles ou des filles de joie. »

Cyanure acquiesça vivement, sans dire un mot, tandis que Cressida prenait un air offusqué, qui devait sans doute coller à la situation, si on imaginait qu'elle s'offusquait d'être qualifiée de fille de joie. En réalité, elle se sentait navrée que dès qu'une femme était habillée de façon un peu moulante, qu'elle portait une jupe plus courte qu'au-dessus des genoux, on disait qu'elle s'habillait légèrement. Et elle ne pensait pas du tout s'être habillée légèrement, en plus. D'accord, son short était à peine jusqu'à mi-cuisse. D'accord, elle portait un crop-top en dentelle qui s'arrêtait au-dessus de son nombril. Mais on ne voyait pas non plus ses seins, couvert par un haut de bikini. Et puis merde, elle s'habillait bien comme elle le voulait, non ?

« Pff, leurs trous de ses putes ressemblent sûrement à rien à force de ce faire niquer dans des ruelles. »

Elle ne se contrôla pas, à cette dernière réplique des intrus qui s'éloignaient. D'un geste du doigt, elle fit en sorte qu'ils se prennent la porte vitrée du restaurant de plein fouet. Elle fulminait, et seule Cyanure parvenait à la calmer, d'une main apaisante posée sur sa cuisse.

La demi-déesse décida alors de regarder le dernier arrivé. Comment avait-il dit qu'il s'appelait ? Solis ? Mh.

Elle n'eut rien le temps de se décider à faire qu'il faisait signe à la serveuse et retournait à sa place. Cressida l'observa encore un instant, puis se tourna vers les deux succubes qui discutaient de son intervention.

« Eh bien, je le trouve... Tout à fait charmant, ce jeune homme. J'irais bien le remercier à ma manière, souriait Maïa, la plus âgée de la tablée.
Mère ! Il nous a aidé, et vous voulez lui voler son âme ? Vous êtes irrécupérable... Déplora Cyanure. »

Cressida secoua la tête. La serveuse ramena un plat de frites, sous le regard reconnaissant des succubes, et la sorcière plongea dedans. Elle avait encore faim, finalement.

« Personne ne volera l'âme de personne. Je crois, d'ailleurs, que tu devrais ramener ta mère à la maison, Cyanure. Je vais le remercier personnellement. Et je ne veux aucun incident ! »

Maïa, qui allait ouvrir la bouche, soupira. Mais comme le sortilège lancé par la demi-déesse pour masquer les attributs démoniaque était très utile, elle ne contesta pas. Cyanure souffla, rassurée. Et elle se leva, après avoir avalé la moitié des frites, à l'instar de la sorcière. Celle-ci retint Maïa un instant, soufflant quelques mots à propos des sinistres individus venus les ennuyer, et la succube paraissait rayonner, impatiente de rentrer.

Terminant son coca, déposant quelques billets sur la table, la blonde s'approcha alors de leur "sauveur".

« Bonjour. Solis, c'est cela ? Nous n'avons pas eu le temps de vous remercier, avec mes amies. Elles ont dû rentrer, malheureusement, elles ne se sentaient pas bien. Mais je tenais à vous exprimer notre reconnaissance. Je peux vous payer un café, pour terminer votre repas ? Oh, et je m'appelle Cressida. »

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 2 samedi 17 novembre 2018, 18:10:30

Encore un peu excité de ce qui venait de se passer, l'enseignant décida de rester encore un peu et commanda une assiette de frites pour manger quelque chose et prendre ainsi le temps de se calmer. Assis sur une des banquettes près de la fenêtre, il regardé les jeunes femmes à il venait de rendre service discuter entre elle pendant quelques minutes sans pour autant savoir de quoi il s'agissait. Même si l'une d'entre elle le regarda avec une certaine insistance avant de quitter l'endroit accompagnée de la plus jeune.

Mettre un terme à ce genre de situation était une activité aussi routinière que de prendre son déjeuner le midi à Mishima. Les menaces physiques ou de natures sexuelles étaient monnaie courante à Mishima, le lycée où il enseignait depuis un moment déjà. Les voyous aimaient y assoir leur autorité auprès de leurs camarades en violant leurs petites amies sous leurs yeux. Et encore, cela ne concernait que les plus gentils d'entre eux. En bonnes ordures en herbe, les plus tordus allaient jusqu'à les faire violer par toute leur bande, les prostituer auprès de vieillards riches, les faire tourner dans des pornos ou... les balancer dans des cages pleines de chiens en rut qui les baiseront des heures durant. Certaines rumeurs parlent d'actes encore plus glauques et gores, de quoi vous couper l’appétit pour plusieurs jours.

Alors que l'enseignant pensa que les trois femmes étaient parties ensemble, suivies par la troisième, cette dernière était en fait venue le rejoindre à sa table.

« Bonjour. Solis, c'est cela ? Nous n'avons pas eu le temps de vous remercier, avec mes amies. »

« En effet... Et ce n'était rien, vraiment. »

« Elles ont dû rentrer, malheureusement, elles ne se sentaient pas bien. Mais je tenais à vous exprimer notre reconnaissance. Je peux vous payer un café, pour terminer votre repas ? Oh, et je m'appelle Cressida. »

« Enchanté, Cressida. Je pense que l'on peut se tutoyer après ce qui vient de se passer, sauf si cela pose problème. J'accepte volontiers si tu me tiens compagnie un moment. Il me reste d'ailleurs quelques frites à finir avant de commander autre chose. Ah, tu peux m'appeler Arlan. »

Parler à une inconnue n'était pas toujours une mince affaire, surtout pour un homme qui préfère éviter les interactions sociales autant que possible. Il n'allait cependant pas s'en aller en abandonnant une jeune femme qui venait le remercier de sa bonne action. Un léger sourire, innocent, il engagea alors la discussion pour ne pas qu'un malaise s'installe entre eux deux.

« J'espère que tes deux amies vont bien et qu'elles pourront entrer chez elles sans incident. Ce genre de voyous se trouve partout dans les rues de Seikusu. Et pas que... J'en vois régulièrement dans le lycée où j'enseigne. Ah oui, je suis enseignant à Mishima, même si ce n'est pas le genre d'établissement dont on crie le nom sur les toits. Et toi ? »

Beaucoup d'hommes n'auraient pas hésiter à profiter de la situation pour draguer la femme qu'ils auraient sauvé. Voir réclamer une récompense pour leur bonne action. Alors que, logiquement, un bon samaritain ne demande rien quand il aide son prochain. Sauf que Seikusu était un lieu où tous les prétextes étaient bons pour tirer un coup vite fait, même dans des toilettes crasseuses ou une ruelle dont les poubelles déborderaient de seringues usagées.

« J'étais en sortie scolaire plus tôt et je passe le temps ici avant de rentrer corriger des copies, alors je ne suis pas contre un peu de compagnie je dois avouer. Discuter d'autre chose que de devoirs, de contrôles, de réunion disciplinaire et autres joyeusetés me ferait le plus grand bien. Ma voiture est garé derrière le restaurant également si tu veux que je te raccompagne ensuite. En tout bien tout honneur. »
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 3 dimanche 18 novembre 2018, 00:05:26

Sans incidents ? Certainement pas. Enfin, il y en aurait eu plus d'un, si elles étaient restées, cela dit. Cressida retint un sourire en songeant à ce qu'elle avait soufflé à Maïa avant que les deux succubes ne quittent les lieux. Elles allaient bien s'amuser, avec Leandra et Mycelle. Bon, Cyanure sans doute un peu moins. La pauvre n'étaient pas aussi... Définitive, que ses aïeules. Mais elle ne s'ennuierait pas non plus. Elle aurait sans doute la primeur, vu que les anciennes se chargeraient du divertissement final.

Elle reporta son attention sur l'homme en face d'elle, passant une main distraite dans ses boucles blondes. Un sourire affable étirait ses lippes alors qu'elle l'écoutait. Il était donc professeur au lycée Mishima, hein ? Ce nom ressortait beaucoup, surtout dans certains milieux. A vrai dire, c'était un peu le cas de la ville aussi. La sorcière se demandait d'ailleurs s'il n'y avait pas une sorte de voile magique autour de Seïkusu, qui empêcherait les activités glauques et étranges qui s'y passait de filtrer et de remonter jusqu'au gouvernement. Mais, après tout, c'était bien possible. Ou peut-être un charme qui atténuait les retombées que cela aurait pu avoir n'importe où dans le monde.

« Ne t'en fais pas, Arlan, mes amies savent s'en sortir dans ce genre de situation, ricana légèrement la blonde, adoptant le tutoiement proposé. Alors tu es professeur, hein ? Former de jeunes esprits encore pures et malléables, c'est intéressant ? »

Elle lui adressa un clin d’œil, sachant pertinemment que les jeunes esprits en question n'étaient pas si purs, dans ce lycée. Pas si malléable non plus, sans doute. Machinalement, ayant l'habitude de tout partager avec les succubes, la demi-déesse se saisit du verre posé devant Arlan et en but une gorgée. Elle ne semblait pas se rendre compte qu'elle n'était pas à la maison, et que ce comportement pouvait être perçu comme gênant. Puis elle posa le dos contre la banquette.

« Pour ma part... Oh, ce n'est pas très passionnant, en fait. Je suis en vacances chez mes amies, que tu as pu voir. Mais j'hésite de plus en plus à tout plaquer et venir vivre ici. »

Ou, plus précisément, à rester indéfiniment chez les succubes. C'est-à-dire qu'elle n'avait pas de fiche de poste, pour être une déesse, et qu'en plus, elle était persona non-grata en Olympe. Et le Japon, ça valait tout aussi bien la Grèce, vu qu'elle n'était proche de personne avant d'arriver à Seïkusu. Sa sœur lui manquait. Leurs disputes lui manquait. Mais elle n'était plus là, Rose. Et, à cette pensée, son regard se voilà légèrement, avant qu'elle ne revienne à sa discussion avec Arlan.

« A vrai dire, je n'ai pas vraiment d'emploi. J'ai vécu une grande partie de ma vie en Grèce, mais j'ai un peu voyagé, par-ci, par-là... Et je suis un peu brouillée avec ma famille, en ce moment, donc je n'ai pas vraiment envie de rentrer. Rien de bien intéressant, en somme, conclut-elle, dissimulant un sourire ironique en pensant à la magie omniprésente dans sa vie. Pardonnes-moi, mais tu es professeur de quoi ? Je ne t'ennuierais pas avec les histoires de devoirs et de copies à corriger, promis ! »

Elle souriait largement à la fin de sa phrase, et piqua même une frite à son compagnon. Ses prunelles s'affairaient d'ailleurs à le détailler attentivement. Il était plutôt bel homme. Pas qu'elle soit très difficile, mais il fallait le noter. Maïa n'avait pas tort. Mais elle n'aurait pas voulu le voir finir en dessert pour la mère de Cyanure. Il était serviable, après tout, prompt à voler au secours des demoiselles qu'il croyait en détresse. Et même à les raccompagner, ensuite. A cette pensée, d'ailleurs, elle écarquilla légèrement les yeux.

« Oups, ne crois pas que j'ai ignoré ta proposition de me ramener, elle m'est juste sortie de la tête. C'est que je n'ai pas souvent l'occasion de discuter avec un séduisant professeur de lycée. Et, si vraiment ça ne te dérange pas, alors ce serait avec plaisir, reprit Cressida. En tout bien tout honneur, ou non, termina-t-elle avec un nouveau sourire, malicieux cette fois. »

Il avait l'air vraiment sympathique. Et une partie d'elle regrettait que le monde des mortels soit si... Fermé, en ce qui concernait le surnaturel. Bon, ça l'était beaucoup moins, à Seïkusu, mais ce n'est pas pour ça que les gens allaient accueillir à bras ouverts des demi-déesses et des succubes. Elle était donc obligée de mentir à Arlan, au moins partiellement. Et ça ne lui plaisait que moyennement. Mais elle trouverait un moyen d'évacuer cette légère frustration. Moins elle parlerait de sa vie privée, moins elle aurait à mentir. Elle aurait pu aussi couper court à la discussion, après l'avoir remercié, pour ne pas avoir à lui mentir, mais il méritait mieux que ça. Ils étaient rares, ceux qui bougeaient leur culs en voyant des femmes se faire harceler.

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 4 dimanche 18 novembre 2018, 03:20:18

Des femmes, il en avait rencontré par le passé, mais aucune comme Cressida. Elle possédait quelque chose de différent, d'intrigant dans sa gestuelle et sa façon de s'exprimer. Elle était loin des femmes vulgaires qui parcourent les rues de la ville de Seikusu. Son aura était particulière, comme magique. Il se plaisait à discuter avec elle de façon simple, décontractée.

Alors que la mystérieuse blonde l'interrogeait sur son activité, celui-ci lui répondit avec franchise, toujours légèrement souriant :

« Ma matière principale sont les sciences sociales, même si il m'arrive de donner des cours de soutien dans les matières générales quand les élèves me le demandent. Et notre société en a bien besoin en ce moment lorsqu'on voit la situation de Seikusu. Mais voilà que je m’emballe... »

Leur discussion est si agréable et animées qu'il ne remarqua pas le temps défiler. Il était déjà presque 20h alors qui partageait son assiette de frite avec son rencard inopiné dans ce restaurant à moitié plein désormais. Le regard de la jeune était baladeur et il s'en était logiquement rendu compte. Sans pour autant en tirer la moindre conclusion.


« Ah ah, merci... Mais je pourrais te retourner le compliment. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut croiser une si belle femme dans cette ville. Je serai ravi de te raccompagner, bien entendu. Pour la suite de la soirée, nus pouvons rester encore un moment pour faire plus ample connaissance avant d'aller ailleurs. »

Arlan n'était pas un E.S.P.er même si il possédait quelques faibles pouvoirs télékinétiques qui lui permettaient de déplacer quelques objets légers. Un pouvoir dont il ne se servait que très rarement et en aucun cas avec les femmes dont il ne connaissait rien. Cependant il voulait épater la sublime blonde qui lui flirtait clairement avec lui sans être trop directe non plus. Laissant planer un certain doute sur ses intentions.

Lui, qui était d'une nature si secrète, se sentait particulièrement à l'aise avec la séduisante créature qui lui faisait de l’œil et qui avait une certaine lueur dans le regard qui lui donnait envie d'aller plus loin. Jamais il n'avait ressentit quelque chose de similaire auparavant. Peut-être qu'elle aussi possédait des pouvoirs, la probabilité n'était pas nulle. Arlan avait un quatrième sens pour déceler ces choses là, même si son intuition ne lui permettait que de déceler brièvement les choses. A moins de toucher la personne, déceler une source de magie ou de pouvoir surnaturel lui était impossible. Et là encore... rien n'était garanti. Il tenta cependant sa chance d'épater un peu la séduisante jeune femme.

« Ouvre la bouche et ne bouge pas d'où tu es, je veux te montrer un tour de magie. Ce n'est rien d'extraordinaire cependant, je te préviens. »

Devant l'approbation de la jeune femme, il se concentra pour déplacer l'une des dernières frites de l'assiette jusqu'à la tâche de ketchup avant de la faire léviter jusqu'aux lèvres pulpeuses. Ces lèvres qui semblaient si douces, si tentantes... Déconcentré par la beauté de la blonde, la frite échappa à son contrôle et s'échoua alors dans le décolleté de celle-ci.

« Pardon ! Je ne voulais pas... Vraiment ! C'est la première fois que je perds ma concentration durant ce genre de tour. J'ai regardé tes lèvres et puis... Pardon, voilà que je me mets à parler de façon déplacée ! »

Confus, il se jeta sur les serviettes propres avant d'en tendre une à Cressida.
« Modifié: dimanche 18 novembre 2018, 13:10:19 par Arlan Solis »
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 5 dimanche 18 novembre 2018, 12:46:19

Elle était réellement intéressée, et écoutait Arlan lui répondre avec un léger sourire aux lèvres. Elle n'avait pas été au lycée, au collège ou à des institutions de la sorte, mais elle s'était un peu renseignée. Aussi voyait-elle à peu près ce qu'il enseignait. Rester un peu plus longtemps ici ne la dérangeait pas, en aussi bonne compagnie, aussi se contenta-t-elle d'acquiescer, croisant les mains sur la table pour s'empêcher de continuer à piocher dans les frites qu'il lui restait.

A sa demande, elle resta immobile, et ouvrit la bouche. Elle était curieuse de savoir ce qu'il préparait, et il pouvait le voir au léger sourire imprimé sur ses lèvres gourmandes malgré sa mâchoire ouverte. Ses prunelles ne le quittaient pas une seconde, et elle arqua un sourcil en voyant une frite s'élever dans l'air, puis se tremper dans le ketchup. Un tour de magie, hein ? Sûrement pas de la prestidigitation, comme le font ceux qu se targuent d'être des magiciens, dans ce monde. Ce n'était peut-être rien d'extraordinaire, pour lui, mais c'était déjà plus intéressant que les tours avec les jeux de cartes auxquels elle avait eu droit. Elle fixait d'ailleurs la frite, qui se rapprochait de ses lèvres, amusée, et sursauta quand la gravité reprit ses droits et que l'aliment baigna dans son décolleté.

L'air embarrassé d'Arlan la fit rire joyeusement. Pas un éclat de rire moqueur, mais un son clair, franc, sincère. Il semblait sincèrement navré, et elle secoua la tête lorsque son rire cessa. Elle lui fit un clin d’œil, amusée, et essaya de le rassurer.

« Ne t'en fais pas, je sais que ma beauté fait perdre ses moyens à tous les hommes, et même aux femmes. Mais regardes, ce n'est rien de bien grave ! »

Mise en confiance, la demi-déesse écarta les bras, et le professeur put voir la frite qui commençait à sortir du décolleté, laissant des traces rouges de ketchup, et flotta jusqu'à ses lèvres. Elle la happa avec une certaine sensualité, l'aspirant entre ses lèvres, avant de la manger. Et sa langue sortit ensuite pour lécher les traces de sauce qui persistaient sur ses lippes.

« C'est assez impressionnant. Je n'ai pas rencontré beaucoup de personnes capables de petits tours de la sortes, au fil de mes errances, commenta-t-elle. »

Peut-être qu'elle agit ensuite pour déconcentrer un peu plus le professeur, ou peut-être que c'était juste une façon naturelle d'être pour elle, mais Cressida plongea un doigt dan son décolleté, récoltant habilement les quelques marques de ketchup sur sa peau pâle, heureuse de constater que le haut de bikini et la dentelle de son top avaient été épargnés. Presque machinalement, elle porta les doigts à ses lèvres, les aspirant comme la frite avant eux, les suçotant, nettoyant le ketchup, avant de les retirer avec un petit bruit de succion qui pouvait être considéré comme hautement érotique. Surtout en voyant la convoitise brillant fugacement dans son regard cobalt.

Elle prit finalement une serviette, aimablement tendue par Arlan, pour essuyer les dernières traces humides laissées par la sauce, et la reposa sur la table, à peine dépliée.

« Crois-moi, tu ne me parles pas de façon déplacée. Ou alors, tu t'es retenu avant, glissa-t-elle avec un sourire félin, en posant ses coudes sur la table, s'appuyant sur ses avants-bras, et mettant discrètement sa poitrine en valeur. Me parler de façon déplacée aurait été de dire, par exemple, qu'en voyant mes lèvres, tu les imaginais serrées contre ton sexe, l'aspirant avec gourmandise. »

Sa voix s'était faite plus basse, plus sensuelle, alors qu'elle s'appuyait sur la table, avancée jusqu'au milieu, plus ou moins. Elle souriait toujours, et une lueur grivoise illumina le bleu profond de ses prunelles.

« L'imaginais-tu ? Avais-tu l'impression de les sentir se refermer fermement sur ta peau douce ? De te sentir attiré jusqu'au fond de ma gorge, et au-delà ? Je peux te montrer ce que cela ferait, si tu veux, termina-t-elle en tendant une main vers lui, caressant les siennes distraitement. »

Et, sous la table, ses jambes s'étaient étendues, ses pieds venaient frotter contre ceux du professeur, contre ses mollets, remontant doucement mais sûrement. Il pouvait d'ailleurs constater qu'elle avait retiré l'une de ses chaussures d'été à talons, et que c'est un pied nu qui se frayait un chemin contre sa jambe, qui venait se nicher délicatement entre ses cuisses, comme pour constater si elle lui faisait de l'effet.

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 6 dimanche 18 novembre 2018, 14:10:12

Le comportement de l'enseignant ressemblait plus à celui d'un jeune homme en face de son premier béguin que de celui d'un adulte de son âge face à une femme lors d'un rendez-vous galant. Le flirt était pourtant présent, mais surtout chez la belle blonde qui ne perdait pas une occasion de le titiller par une petite phrase, une intonation, un regard, un geste...

Sa maladresse la fit également rire, pas gênée un seul instant de ce qu'il venait de se passer. Elle se mit même à jouer avec la frite couverte de ketchup à l'aide de ses lèvres dans des mouvements sensuels pour provoquer l'homme qui était captivé par ce qui se déroulait sous ses yeux. Des femmes il en a rencontré, des très séduisantes. Mais pas comme elle, aucune n'avait ce petit quelque chose que Cressida dégageait. La façon avec sa langue récupéra le sel et le ketchup qui étaient restés dessus aurait fait pâlir un cul béni.

Et c'est encore pire lorsqu'elle associe la parole au geste en le félicitant sur son petit tour avant poursuivre son geste consistant à récupérer les résidus de cette sauce rouge sucrée qui ressortaient de la naissance de sa poitrine qui devait être plus que généreuse. Sa peau blanche, ainsi tâchée donnait envie à Arlan de remplacer les doigts de la jeune femme par les siens. Le temps semblait figé autour de la table, pour lui du moins. Les voix des autres clients qui discutaient à leur table, des serveuses qui prenaient et livraient les commandes, de la porte d'entrée où se trouvait une sonnette.
C'était le silence absolu dans ses oreilles, son attention n'étant fixé que sur la plantureuse créature qui lui tenait compagnie en le provoquant.

Toujours maître de lui-même en toute circonstance, il se surprenait à avoir un début d'érection pour quelque chose d'aussi simple. Puis, la jeune et jolie tentatrice mis un terme au petit jeu de séduction gentillet qui s'était installé entre les deux adultes. Ses propos devenant plus directs, plus coquins.

« Eh bien... Je dois avouer que oui, un peu. »

Et ce n'était qu'un euphémisme lorsqu'elle l'allumeuse remplaça la pauvre frite qu'il devait glisser entre ses lèvres par sa verge dans ce scénario hypothétique. Sauf qu'il n'y avait pas pensé, pas directement du moins... Et l'idée ne serait pas pour lui déplaire car la fellation est un des petits plaisirs auxquels il ne dit jamais non. Sans parler du fait qu'il n'a pas eu de rapport depuis plusieurs jours, le rendant plus nerveux et désireux de voir la chose se réaliser.

La tension sexuelle qui augmentait un peu plus chaque seconde ne semblait pas suffire à Cressida qui s'appuya sur ses coudes en avançant son visage vers le sien alors que sa poitrine était désormais bien plus visible pour l'enseignant qui était en train de déglutir avant de pouvoir répondre quoi que ce soit. Sa main gauche tenait fermement la table pour se retenir de faire quelque chose de malvenu dans ce lieu public.
Son dernier commentaire fit rompre quelque chose dans son esprit. Utiliser une petite voix sensuelle pour le provoquer à faire quelque chose d'interdit dans un lieu public multipliait par cent l'excitation qu'il tentait de contrôler jusque là.

Les doigts de la jeune femme se baladant désormais sur les siennes qu'il tenaient fermées l'une dans l'autre, il répondit :
« Je... Non, pas directement... Mais c'est si tentant. Par contre... ici ? Dans ce restaurant ? Oui, j'adorerai me faire sucer dans un restaurant, ce serait une première pour moi, surtout par une si belle femme. »

Son érection commençai déjà à se former sous son pantalon, sans pour autant être entière. C'est là que celle-ci surenchérit en le caressant avec ses pieds, les faisant remonter doucement le long de ses jambes à lui avant de laisser le droit masser sa bosse naissante. C'était trop ! Pourquoi se retenir après de telles provocations ? Elle était plus que consentante, non ? De sa main droite à lui, il agrippa le pied de la blonde pour le caresser doucement à son tour, comme lors d'un massage. Pendant plusieurs secondes, son pouce massant sensuellement la plante de ce pied parfait. Jusqu'à le poser délicatement sur son sexe qui était désormais assez ferme.

« Ce n'est pas pour me vanter, mais aucune femme n'est encore parvenue à avaler  tout mon sperme après une fellation. Et comme je n'ai pas eu de rapport depuis une semaine, il y a des chances que j'en mette partout, même sur toi. Mais tu es libre de venir le vérifier par toi-même. »

Sur cette dernière phrase, il ouvrit sa braguette en laissant sa ceinture attachée pour frotter le pied de la jeune femme dessus afin qu'elle ressente mieux la dureté et la chaleur de sa bite en manque de contact.
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 7 dimanche 18 novembre 2018, 16:34:06

« Ici, dans ce restaurant, approuva-t-elle. Sous cette table, précisa-t-elle ensuite. »

Elle souriait, fière de son petit effet sur l'homme. La demi-déesse appréciait indéniablement les affaires du sexe, même si ce n'était pas une succube. Passer du temps avec Cyanure et ses aïeules laissait des traces. Elle était plus prompte à dire clairement ce qu'elle désirait, à ne pas s'embarrasser de faux-semblants. Et ce n'était pas forcément une mauvaise chose, à en juger par la réaction d'Arlan. Un délicieux frisson remonta le long de sa jambe lorsqu'il caressa la plante de son pied. En d'autres circonstances, ça aurait pu se transformer en chatouilles, mais dans ce cas précis... Dans ce cas précis, c'était bon. Et sentir, ensuite, la forme oblongue de son sexe sous son pied, ça ne fit qu'échauffer davantage la blonde.

Une canine meurtrit sa lèvre inférieure, alors que dans son esprit surgissait des images fort peu catholiques. Les paroles du professeur de sciences sociales attisèrent les braises d'un désir naissant, et ses pupilles se dilatèrent légèrement, mangeant un peu plus l'iris, assombrissant son regard, alors qu'elle imaginait très précisément la scène. Elle sourit, passa une langue mutine sur la lèvre malmenée, et jeta un regard autour d'elle. Personne ne semblait faire attention à eux. Pas que ça la dérangeait, mais elle s'en voudrait de finir en garde-à-vue pour atteinte aux bonnes mœurs. Maïa ne manquerait pas de se moquer d'elle, et Cyanure en rajouterait une couche. Elle frotta son pied avec joie contre le membre éveillé, pendant un instant, avant de décocher un clin d’œil à Arlan.

« Challenge accepted, souffla-t-elle en anglais, alors que son pied délaissait lentement son occupation. »

Elle n'était pas prude, ou pudique. Elle n'était pas innocente, et elle ne reculait pas devant un bon défi, devant la perspective d'un moment agréable, chaud, enivrant. Avec un petit gloussement, ses fesses glissèrent sur la banquette, et elle disparut sous la table. Un fin voile de magie donnait l'illusion qu'il n'y avait jamais eu personne à sa place, et qu'il n'y avait personne qui s'approchait, agenouillée, des jambes du professeur, qui se glissait entre elles. Un enchantement de base, apprit auprès de sa mère.

Ses mains remontèrent contre les mollets masculins, comme l'avaient fait ses pieds peu avant. Ses doigts glissèrent contre les cuisses, alors qu'elle approchait sa tête, que ses boucles dorées couvraient le pantalon. Levant la tête, elle jeta un regard brûlant à Arlan. Elle ne baissa pas les yeux, alors qu'elle approchait sa bouche du tissu qui moulait l'objet de ses désirs. Qu'elle l'embrassait doucement, que sa langue laissait une traînée humide en remontant sur la longueur. Puis ses doigts débouclèrent habilement la ceinture, alors qu'elle continuait de flatter la rigidité du membre à travers le pantalon, que sa langue venait s'insinuer dans l'ouverture de la braguette pour faire de même avec le sous-vêtement.

« Même si tu en mets partout, susurre-t-elle, il ne faudra pas gâcher. »

Et la ceinture se détacha, les pans du pantalon s'écartant plus largement, permettant ainsi à la langue mutine de remonter jusqu'en haut, à travers le boxer, et aux lèvres gourmandes de venir aspirer l'extrémité toujours moulée par le tissu. Sa salive imprégnait le sous-vêtement, et son regard brilla d'un éclat sauvage, affamé, alors que ses doigts se glissaient sous l'élastique. Elle joua un instant ainsi, achevant de tremper le tissu, mais finit par tirer dessus, libérant partiellement son objectif.

« Tu ne prends pas de café, pour terminer ton repas ? Ronronna-t-elle, alors que l'illusion se dissipa légèrement. »

En faisait vraiment attention, on pouvait apercevoir sa silhouette, agenouillée entre les jambes du professeur, sa crinière blonde recouvrant ses genoux. Elle aimait le défi, et prendre le risque d'être vue... Eh bien, ça en valait la chandelle. Ça décuplait son désir, à vrai dire.

Souriante, elle lapa le gland, lentement, avec une passion inimitable. Elle savourait le goût salé de sa peau, la douceur sous ses papilles, et referma finalement ses lèvres sur l'appendice, comme si elle suçotait une Chupa Chups.

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 8 dimanche 18 novembre 2018, 17:55:19

Déjà bien excité par les paroles crues et directes de la blonde, le fait qu'elle accepté de lui faire un petit plaisir sous la table du restaurant était un signe de non retour. Faire machine arrière lui était désormais impossible. Pas qu'il en eut envie, juste que voilà... Avoir une porte de sortie peut toujours s'avérer utile.Tout doucement, en gloussant comme la vilaine coquine qu'elle était, Cressida se laissa glisser lentement sous la table après avoir jeté un regard autour d'elle pour s'assurer que personne ne la voit faire.

Surpris sur l'instant, réalisant qu'elle venait de changer de position lorsqu'elle retira son pied d'entre sa main, pour quitter la banquette depuis laquelle celle-ci le taquinait habillement.

« Mais... Non ! J'y crois pas, tu vas vraiment le faire ? »


Sa question tomba dans l'oreille d'une sourde car elle ne s'embêta même pas à lui répondre. Plus concentrée, ou attirée, par la colonne de chair brûlante avec laquelle elle voulait faire plus ample connaissance. Même si l'envie de se faire sucer de cette façon était un fantasme pour beaucoup d'hommes, le fait d'être pris sur le fait le dérangeait quelque peu. Il était perdu entre excitation et crainte, ce qui est parfaitement compréhensible vu la situation un poil cocasse.

C'est à cet instant qu'il perdit littéralement toute envie d'arrêter les mouvements de sa partenaire. Celui où son visage magnifique sorti d'entre ses cuisses pendant que ses mains remontaient sur celles-ci par-dessus son pantalon en le fixant du regard. Ses pupilles dans lesquelles on pouvait lire la luxure se perdre dans les siennes. Le regard malicieux de la blonde était fixé sur le sien alors que ses lèvres venaient se déposer sur le tissu qui servait de rempart à la tige gonflée. Les légers bruits humides qui provenaient de sa bouche prouvaient que l'envie de lui faire plaisir était là.

« Oui, regarde-moi dans les yeux en même temps, c'est parfait. Prends ton temps pour... Seigneur ! »

Alors qu'elle retirait la boucle de sa ceinture en poursuivant ses mouvements de langues habiles, le boxer gros de l'enseignant commençait à virer au noir à cause de la petite quantité de salive que la blonde lui offrait. Inutile même pour lui de retirer son caleçon pour sentir ce liquide transparent et chaud traverser le tissu pour atteindre la peau de son membre. Savourer une fellation était plus agréable que de la forcer pour lui. Il n'était pas question de domination ou de soumission, juste de partage. De voir une femme prête à vous procurer du plaisir d'elle même sans avoir à lui donner d'ordre.

Poursuivant son mouvement et avec toujours une forte envie de le chauffer autant que possible, elle parvenu à se débarrasser de sa ceinture pour avoir un accès plus dégagé à cette verge dont le gland commençait presque à déborder au niveau du trou servant à y enfiler sa jambe droite, elle insista sur ce qui allait arriver à son précieux fluide protéiné. Ignorant clairement ce qui l'attendait car Arlan n'avait pas menti ou tenté de se venter concernant son débit lors de l'orgasme.

Le souffle devenant un peu plus lourd, une main agrippée sur un rebord de la table et l'autre sur la banquette, il lui répondit tant bien que mal.
« J'ai vraiment hâte de voir ça... Mmmmnnn ! Même si, sans vouloir t'o-Oooooh-ffenser, je doute que ce soit possible pour une seule femme. »

Le professeur était excité, bien évidemment, mais il se retenait plus de sortir sa verge de lui même pour l'enfoncer brutalement dans la bouche de sa partenaire que de bander trop vite ou de jouir. Son amour pour les plaisirs lents et sensuels était son seul côté soumis chez lui. Jamais il ne lui était venu de tenter le bondage avec une dominatrice, que cela soit du hard ou du soft avec des menottes à fourrure.

A l'instant où la blonde incendiaire lui demanda si il allait commander un café, il comprit qu'elle celle-ci était une adepte du frisson. Aimant jouer avec son environnement pour décupler son plaisir sans pour autant se montrer volontairement en public. Un peu comme se toucher dans le taxi en rentrant d'une soirée, tirer un coup rapide dans un placard ou la chambre d'un membre de sa famille durant un évènement important et que la maison est pleine de monde ou encore dans un ascenseur aux murs en verres transparent.
Et ce n'était pas pour le déplaire, au contraire. Aussi étrange que cela puisse paraître, un homme pensera toujours qu'être surpris en plein acte avec une jolie femme boostera son égo et sa virilité. Oui, c'est clairement stupide, sauf que ce phénomène est plus fort que sa propre raison.

« Si bien sûr. Mais on risque de te voir... Heureusement que tu ne fais pas trop de bruit pour l'instant. En tout cas tu sais y faire. Je donnerai cher pour me faire réveiller de cette façon avant d'aller travailler. »

Un léger sourire aux lèvres et un regard affectueux, il n'eut aucun mal à soutenir celui de la sublime créature qui le suçait de façon délicate jusque là. Lui réservant sûrement sa meilleure technique pour plus tard afin de savourer l'instant autant que possible. Il attendit quelques minutes qu'une serveuse libre passe tout en se faisant pomper la verge et les bourses pour passer commande avec une voix légèrement cassée.

« Excusez-moi, je... Kuuuh ! pourrais avoir un café... serré, s'il vous plaît ? »

La plus gênée fut la serveuse qui ne savait pas comment prendre sa façon de lui passer sa commande. Heureusement qu'elle n'avait pas vu ce qui se déroulait quelques centimètres plus bas. Et heureusement aussi qu'elle ne lui avait pas proposé du lait avec, ça aurait ajouté un effet comique à la situation. Savourant les caresses buccales offertes par la bouche experte de Cressida, il tenta de lui demander quelque chose de plus.

« Est-ce que tu pourrais mieux me sucer les couilles ? J'en ai vraiment besoin car j'ai l'impression qu'elles pèsent des tonnes. »

Marquant une petite pause de quelques secondes, il rajouta dans sa barbe : « Pardon d'avance pour ce qui risque d'arriver.... »
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 9 dimanche 18 novembre 2018, 22:02:10

La demi-déesse prenait son temps, découvrant avec plaisir la longueur rigide qu'il cachait sous son pantalon. Ses doigts fins sortaient délicatement sa gourmandise de son emballage de tissu, le portant à ses lèvres curieuses. Elle ne détournait pas le regard, ravie de voir quel effet elle avait sur lui. Ses lèvres se serraient autour du gland, sa langue en découvrait toute la surface, toutes les aspérités. Elle aspirait, suçotait, et ne le quittait pas des yeux alors même qu'il commandait un café. La serveuse, si près, ne jeta même pas un regard plus bas que le visage du professeur.

Elle dut détourner le regard, penchant la tête, pour le prendre plus loin entre ses lèvres, lubrifiant la peau veinée, caressante. Elle prenait encore son temps, le faisant pénétrer doucement de plus en plus loin, ne négligeant pas de faire passer le boxer sous ses fesses, de le tirer un peu plus loin, pour atteindre les bourses gonflées qu'elle caressa doucement, qu'elle griffa à peine du bout de l'ongle, avant de les emprisonner entre ses doigts.

Un petit gémissement étouffé s'écrasa contre la chair brûlante qu'elle avalait, acquiesçant à la demande. Délivrant la queue luisante de ses lèvres, mais y enroulant rapidement les doigts pour ne pas la délaisser, ses lèvres descendirent doucement, embrassant toujours la peau nue, jusqu'à se poser contre le scrotum. Elle lécha délicatement, féline, relevant les yeux vers Arlan, et ouvrit la bouche pour aspirer la peau entre ses lèvres. Elle ouvrit plus grand, et elle les goba presque d'un coup, un petit bruit de succion venant accompagner le mouvement. Elles étaient lourdes, chaudes, ces bourses. Pleines. Oh oui, Cressida allait se faire une joie de les vider.

Tandis que sa main droite coulissait le long de la verge tendue, que ses lèvres et sa langue s'affairaient sur les couilles, sa main gauche caressait la cuisse du professeur, remontant, glissant vers la main agrippée à la banquette, nouant ses doigts entre les siens. Elle y mettait du cœur à l'ouvrage, délaissant parfois les bourses pour revenir enfourner la queue dressée, et elle finit même pas attirer la main qu'elle tenait vers ses cheveux, l'invitant à y passer les doigts, à s'y agripper.

La serveuse ne tarda pas à revenir, le bruit de ses talons s'immobilisant à côté de la table.

« Et voici votre café serré, monsieur, souffla-t-elle, toujours un peu gênée suite à la prise de la commande. »

Elle ne se fit d'ailleurs pas prier pour partir, faisant volte-face presque aussitôt. Quand à la sorcière, sous la table, elle masqua un petit rire en s'empalant un peu plus contre la verge qu'elle délaissa à nouveau pour revenir aspirer les testicules, jouant avec sa langue contre sa peau sensible, appuyant presque son nez contre l'aine masculine.

Le sucer ainsi l'excitait également beaucoup. Et une fois la main d'Arlan posé sur sa tête, elle retira la sienne, revenant s'agripper à ses cuisses, glissant le long de sa jambe pour enfin venir frotter son intimité à travers le mini-short en jean. Oh, elle allait à coup sûr passer une agréable soirée. Elle gémit à cette pensée, et redoubla d'ardeur en revenant prendre la queue entre ses lèvres, en s'y empalant rapidement, vigoureusement.

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 10 lundi 19 novembre 2018, 22:00:07

Ses propos d'il y a quelques minutes étaient loin d'être des mensonges... Car la jeune femme prenait très bien en bouche le morceau de viande lourd, dur, veiné que l'homme lui proposait sous cette table. La passion et l'envie qu'elle mettait dans ses gestes étaient claire. La blonde avait envie de lui faire plaisir, envie de sucer sa tige imposante, d'astiquer ce gland caoutchouteux qui parvenait à épouser la forme de ses joues depuis l'intérieur de sa chaude et humide bouche.

Arlan se mit particulièrement à trembler lorsque la pulpeuse créature retira ses ongles de ses bourses pleines pour y déposer ses lèvres à sa demande. Son commentaire n'était pas une expression graveleuse de son envie mais un réel besoin à satisfaire. En plus de ne pas avoir eu l'occasion de jouir pendant plusieurs jours, ses testicules ne lui avaient jamais semblé être aussi lourd que ce soir. Il ignorait si c'était une impression ou un changement physique qui se produisait pendant cet acte sensuel et savoureux.
D'autant plus qu'il aime cette sensation particulière quand sa verge brûlante est libérée de la bouche d'une femme pour profiter de l'air frais grâce à la salive qui le recouvre. Un mélange entre la chaleur dégagée naturellement par sa verge et celle de la bave puis celle de l'air de la pièce où il se trouve. Surtout que le froid entre régulièrement dans le restaurant entre chaque départ ou arrivée d'un client.

Quel homme ne voudrait pas voir une femme aussi belle et volontaire vous aspirer les bourses pendant qu'elle vous branle lentement, gracieusement tout en maintenant le contact visuel ? Cela peut paraître stupide ou un gâchis vu son talent dans ce domaine, mais sentir sa douce main le branler doucement en remontant jusqu'à son gland pour le caresser du bout des doigts était tout aussi délicieux que d'avoir sa verge entière dans sa bouche. Un changement des plus agréable et excitant.

Alors que la langue douce et baveuse de Cressida s'affairait à masser les sacs de sauce blanche, sa main gauche caressa la droite d'Arlan avec tendresse, mêlant ses doigts aux sien comme le ferait un couple de personne cherchant plus la douceur de l'acte que la brutalité qui peut y être associée. Après lui avoir prouvé que satisfaire ses désirs était son but principal, elle n'en oubliait pas forcément le sien en reprenant son chibre de nouveau dans sa bouche pour un nouveau changement de température dans l'autre sens cette fois. Remplaçant les caresses de sa main par celles de ses lèvres douces. Cela dura deux petites minutes avant qu'elle ne guide la main de l'enseignant sur sa superbe chevelure dorée. Probablement plus pour la guider, la pousser à tenter une ou deux gorge profonde si tel est son souhait. Les fellation brutales et baveuses, il les apprécie autant que les douces et sensuelles. Il fallait juste savoir en profiter en fonction de la situation et de la partenaire.

Son attention était fixée sous la table, au point de ne pas entendre la serveuse lui apporter son café. Ce n'est qu'une fois repartie qu'il remarqua son passage.

« Ah ? Euh... Oui, merci ! », répondit-il à la serveuse qui lui tournait déjà le dos. Son empressement laissait supposer qu'elle s'était rendue compte que quelque chose n'allait pas, même si elle ne fit aucune remarque. L'enseignant, gêné, se tourna de nouveau vers sa partenaire du moment.

« C'est malin, j'étais tellement absorbé par ton regard que j'en ai oublié le reste. C'est criminel d'être aussi envoutante, j'espère que tu le sais. Et en tant que figure d'autorité, je vais devoir y remédier. »

Tout en terminant sa phrase, il remarqua que les mains de la plantureuse blonde n'étaient plus visibles, probablement entre ses propres cuisses pour se procurer un peu de plaisir ou soulager autant que possible son inconfort. Ne laissant plus que sa bouche pour s'occuper de son membre et la main droite d'Arlan pour accompagner le rythme et la pression exercée sur sa tête qu'il tenait désormais. Et il ne se fit pas privé pour appuyer sur l'arrière du crâne de la blonde pour la faire avancer un peu plus vers la base de son phallus sans pour autant y parvenir. Au moins cinq bons centimètres les séparaient l'un de l'autre. Est-ce que....
Oui, sa verge était, elle aussi, plus imposante que d'habitude. Il ne comprenait plus rien à ce qui lui arrivait après cette étrange sensation au niveau de son scrotum, voilà que son pénis fait des siennes.

Entre les légers gémissements étouffés de la blonde qui se caressait et les bruits de succion qui se mélangeaient à ses propres grognements qu'il retenait du mieux possible, Arlan guidait sa partenaire pour avaler son sexe durant plusieurs minutes pour y imposer son rythme avant d'arriver au moment fatidique. Allait-il jouir dans sa bouche ? Sur son visage ? Lui demander ce qu'elle préfère ?

« Cressida, ma belle, je suis presque à bout. Où veux-tu que je- »

Avant même de pouvoir finir sa phrase, une fenêtre se brisa violemment deux tables devant la leur. Un homme, visiblement l'un des deux dragueurs de tout à l'heure, était couvert de sang et dans un sale état après avoir valsé entre le mur de verre où se tenait une jeune femme dont des éclairs sortaient des yeux. Probablement une énième tentative de drague qui avait mal tourné cette fois.

Sauf qu'au même moment, tous les muscles d'Arlan se relâchèrent en même temps que sa concentration alors qu'il venait de sortir sa verge de la bouche de la blonde pour lui demander ce qu'elle préférait. Elle n'eut ni le choix de choisir, ni même celui de se préparer à recevoir une énorme quantité de sperme sur le visage, le liquide blanc gélatineux recouvrant alors tout son visage en une fraction de seconde. Son débit de sperme avait toujours été au-dessus de la normale, mais jamais à ce point. Quelque chose clochait visiblement, sauf que le moment et le lieu étaient tous deux mal choisis pour y réfléchir.

« Mince, il faut qu'on parte d'ici avant que ça ne dégénère ! On pourra toujours reprendre... »


Il ne s'était même pas rendu compte de son geste, trop occupé à regarder ce qu'il se passait plus loin. La montée d'adrénaline provoquée par cette surprise a probablement masquée le plaisir de sa jouissance. Ce ne fut le cas que lorsqu'il s'inquiéta pour Cressida en tentant tournant son regard vers elle une nouvelle fois. Un regard impossible à repérer sous cette masse de liquide gluant qui masquait tout. Paniqué, gêné, il attrapé plusieurs serviettes pour l'aider à se débarrasser de sa semence qui venait s'écraser lourdement sur le sol.

« Désolé ! Je n'ai pas du tout pu retenir mon geste ! Mais... Vite ! Sortons d'ici ! Ma voiture est juste à côté ! »

Déposant un billet dont la somme valait le double de celle de son repas, l'enseignant quitta le restaurant sans se faire remarquer avec la jeune femme.
« Modifié: lundi 19 novembre 2018, 22:07:24 par Arlan Solis »
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 11 mardi 20 novembre 2018, 18:33:28

Si elle n'avait pas eu la bouche occupée, Cressida en aurait gloussé, flattée de voir que ses caresses buccales distrayaient l'attention d'Arlan au point qu'il en oublie la serveuse.

Étrangement, alors qu'elle appréciait la poigne de l'enseignant sur ses cheveux, elle ne parvint pas à l'avaler complètement. Il faudrait qu'elle redouble d'ardeur. Qu'elle pousse sa gorge à s'habituer à sa taille pour pouvoir coller ses lèvres contre son aine. C'était incroyablement excitant, ce petit défi.

Le rythme adopté par l'homme lui convenait parfaitement. Sa salive lubrifiait parfaitement le chibre qu'elle aspirait. Elle coulissait sans problème dessus, respirant brièvement par le nez, s'employant à lui faire profiter de ses talents, de son expérience. Elle adorait ça. Elle le sentait, entre ses lèvres, qu'il approchait du point de rupture.

Un petit gémissement l'encouragea à continuer, a ne pas hésiter à remplir sa gorge. Elle voulait le goûter, le sentir atteindre le nirvana contre sa langue, son palais.

Sa gourmandise extraite d'entre ses lèvres, la blonde avait gardé la bouche ouverte. Et tout s'enchaîna rapidement. Si vite qu'elle n'eut pas le temps de réaliser.

D'un coup, elle se retrouva le visage littéralement couvert de sperme. Une partie glissa contre sa langue sortie, avalée presque par réflexe. Par gourmandise. Le reste couvrait ses traits, imprégnait ses cheveux.

Le bruit de verre brisé lui parvint à rebours, quand Arlan la tira de sous la table. Une serviette essuya rapidement son visage, dégageant sa vision. Elle se lécha les lèvres, suivant par réflexe son compagnon en courant.

Ils étaient débraillés en arrivant à la voiture. Du sperme avait coulé contre son buste, maculant son décolleté. Nerveusement, la sorcière se mit à rire. La situation était vraiment inédite. Se glissant sur le siège de la voiture, elle darda un regard amusé sur Arlan. Ses doigts ramassèrent le liquide qui couvrait sa poitrine, le portant à ses lèvres avec un air malicieux, lascif.

« Ce n'est pas de ta faute, ricana-t-elle. Et c'était... Amusant ! Tu as un bon débit ! »

Elle lui décoche un clin d'oeil, avant de réfléchir à ce qui venait de se passer. Pas à l'arrosage copieux dont elle avait été la cible, mais a ce qui avait déclenché cette arrosage, outre ses talents buccaux. Elle avait juste aperçu un homme blessé et une vitre brisée, mais elle ne s'y était pas attardée. En soupirant, elle tourne la tête vers l'enseignant.

« C'est dommage d'avoir gâché autant, laisse-t-elle échapper en finissant de nettoyer son décolleté et son visage. Serais-tu prêt a un autre round ? Ou es-tu... Refroidi ? Termine-t-elle malicieusement. »

La demi-déesse, en tout cas, restait sur sa faim. Elle se tortilla légèrement sur le siège, rajustant son short, et étendit ses jambes devant elle.

« Flûte, j'ai oublié de remettre ma chaussure, constate-t-elle en retirant la seconde pour ne pas faire dépareillée. »

Elle se concentra un instant, avant de sourire quand la sandale manquante se matérialisa sur ses genoux.

« Problème réglé, commente-t-elle en laissant la chaussure rejoindre sa jumelle sur le sol. »

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 12 mercredi 21 novembre 2018, 00:51:06

Ses gestes guidés par l'urgence de quitter le restaurant le plus rapidement possible sans se faire remarquer afin d'éviter d'être embarqué par l'étrange situations qui se déroulait à quelques centimètres de la table où il prenait un plaisir fou sur une banquette, l'enseignant se trouvait désormais sur le parking du restaurant. Il s'était rhabillé dans la hâte, glissant sa verge dont le gland était trempé de gélatine blanche avec laquelle il venait de recouvrir intégralement le visage de sa partenaire. Une fois dehors, le cœur battant toujours à cent à l'heure, il prit les clefs de sa voiture pour la déverrouiller et laisser la blonde y entrer.

Le souffle saccadé, le regard fixé devant lui, il lui a fallu trente bonnes secondes pour reprendre son calme. Habitué aux situations à risque lors de ses chasses contre les créatures surnaturelles telles que des succubes ou des ghoules, Arlan déteste être prit de court. Alors voir un homme traverser la fenêtre d'un restaurant par une E.S.P.er pendant qu'une femme lui fait une gâterie le frustrait énormément. Un peu plus calme, il se tourna vers la femme qui lui avait procuré un plaisir intense quelques minutes plus tôt pour rencontrer son regard. La situation semblait l'amuser, bien plus que lui en tout cas. Son premier geste fut de récupérer la crème épaisse qui lui collait à la peau au niveau de la poitrine avec trois de ses doigts pour l'amener délicatement en direction de sa bouche pour l'avaler goulument. A croire que sa soif de sexe ne connait aucune limite ou gêne.

« Vraiment ? Ce genre d'évènement t'amuse ? J'envie ton insouciance...  »

Son ton n'était pas méprisant ou sarcastique. Il témoignait plus de la surprise et de l'incrédulité. Avant de poursuivre en répondant à sa remarque sur l'éjaculation plus conséquente qu'il en était habitué.

« Pour tout te dire, je n'ai jamais éjaculé aussi fort de ma vie. Je jouis toujours plus que la normale, cela a toujours été le cas. Sauf que là... Et la taille de ma verge aussi. »

Les surprises ne faisaient que s'enchaîner chez le professeur depuis la fin de cette sortie scolaire. Et l'incendiaire créature dont il venait de faire la connaissance ne comptait pas le laisser partir sans une nuit de passion à ses côtés vu son comportement coquin et ses commentaires crus. Sa soif de sexe et de semence n'était pas à remettre en question un seul instant.

« Comme je te l'ai dis avant, aucun femme n'est parvenue à avaler toute ma semence avant. Alors j'ai l'habitude du gâchis si je dois reprendre tes propos. »

Sa façon provocante de savourer la semence qui restait sur son décolleté et son visage tout en lui demandant si il voulait remettre ça de nouveau avec elle remplaça son hésitation en excitation avec une efficacité terrifiante. Sa verge lui collait sous son boxer à cause des résidus de sperme suite à son remballage précipité.

« Si on parle de température, je crois que tu n'as aucun problème à la faire monter. Oui... J'ai envie de toi, mais pas ici, la police risque d'arriver d'une minute à l'autre. On peut se trouver un coin tranquille pour le faire dans la voiture, aller à l'hôtel, chez moi ou ailleurs. A toi de me dire ce que tu préfères. »

Une chaussure manquant à l'appel, la blonde pulpeuse utilisa une sorte de magie pour faire revenir la seconde sur ses genoux. Elle n'était pas qu'une simple humaine, cela ne faisait plus le moindre doute. Était-elle la source des changements physiques chez l'enseignant ? Pour cela il allai devoir se renseigner sur elle, sa nature, son passé. Mais de manière brusque comme il s'y était prit avec Sydney à l'époque.
Arlan se pencha alors vers la jeune femme en déposant l'index de sa main gauche sur le haut du décolleté de la jeune blonde. C'est elle qui le chauffait depuis le départ après tout. Très lentement, il fit descendre son doigt jusqu'à son sein gauche dans le but de trouver son téton qui était visible à travers les deux couches de tissu qu'elle portait. Une fois le bout de chair repéré, son pouce porta assistance à son autre doigt pour le pincer avec une certaine pression. Là encore, avec une certaine force, il se mit à faire tourner légèrement le mamelon dressé avant de frotter dessus avec le bout de son index.

Ses caresses étaient comme celles que la blonde lui avait offertes plus tôt : douces et passionnées. Après quelques secondes à titiller la poitrine de celle-ci, il délaissa ses généreuses montagnes pour vérifier l'état de son intimité. Glissant sa main gauche sous son short mais par-dessus sa culotte, le liquide qui traversait le bout de tissu n'était pas de l'eau. Caressant doucement sa vulve, effleurant son bouton au passage, il retira sa main de ce four que représentait le mini-short pour se lécher les doigts à son tour. Imitant l’allumeuse qui avait fait de même avec son sperme quelques secondes avant.

« J'espère que tu parviendras à tenir jusqu'à ce que tu décides de la suite de la soirée. »

Avant même d'entendre sa réponse, Arlan inséra la clé dans le contact, démarra la voiture pour quitter le parking du restaurant sous les sons des sirènes qui se faisaient de plus en plus audibles au loin.
Compte fermé !

Cressida Terpsidora

Créature

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 13 mercredi 21 novembre 2018, 16:55:27

Être une demi-déesse pouvait suffire à blaser la jeune femme, surtout après plus de trois siècles à vivre. Mais, circonstances aggravantes, vivre avec quatre succubes depuis un moment, ça avait de quoi donner un autre sens au mot "surprise". Se faire interrompre en pleine fellation dans un restaurant par un homme projeté à travers la vitre, au final, ce n'était rien comparé à certaines situations qu'elle avait connu. Elle n'allait cependant pas dévoiler ainsi son pedigree à Arlan, quand bien même il ne semblait pas être un simple humain. Pas avant d'être sûre qu'il n'irait pas trouver les succubes pour les tuer. Elle-même ne risquait rien. Contrairement à sa sœur, Rose, elle n'avait pas abandonner son immortalité. Elle ne le ferait jamais, a moins d'être lassée de vivre. Et encore, il y aurait sûrement son père pour l'empêcher de faire cette connerie.

Revenant à l'enseignant, Cressida sourit. Repenser à cette impressionnante décharge l'électrisait. Et les doigts qui agaçaient sa poitrine, qui vinrent caresser sa fleur à travers le short... Elle se tortilla de plus belle sur le siège, un gémissement franchissant la barrière entrouverte de ses lèvres. Son excitation était encore vive. Elle jeta un regard embrasé a son compagnon.

« On peut tout faire, si tu es assez endurant, susurra-t-elle alors qu'il quittait le parking. Et plus encore ! »

Posant une main sur la cuisse du professeur, elle sourit et caressa de ses doigts la bosse que dessinait encore le sexe masculin au travers le tissu. Elle poussa même le vice à l'en extraire, surveillant la route du coin de l'œil, et le branla fermement. Le maintenir en condition était indispensable. Et elle s'amusa tout le long du chemin, rectifiant par un soupçon de magie la trajectoire lorsque c'était nécessaire.

Quand le frein à main fut enclenché, elle s'occupa de celui de son amant, venant happer l'extrémité violacée du sexe tendu. Ses doigts remplacèrent bientôt sa bouche alors qu'elle gratifiait de quelques caresses appuyées avec sa langue, ses lèvres. Elle chercha, de sa main libre, la manette pour reculer le siège face au volant.

Redressant la tête, ses yeux brillant de désir, la sorcière délaissa rapidement son jouet pour déboutonner et ôter agilement son short, le laissant tomber près de ses chaussures. Son bas de bikini le rejoignit bien vite alors qu'elle enjambait l'homme pour venir se frotter contre lui, le chevauchant légèrement. Prenant appui d'une main sur le siège conducteur, elle guida l'érection contre son intimité, l'y frottant un moment, l'imprégnant de son désir.

« Chiche de me porter, ainsi, jusqu'à chez toi ? Questionna la blonde avec un sourire amusé, en s'empalant avec un gémissement de pur plaisir. »

Rien de doux, a cette introduction. Elle s'est juste laissée tomber sur la verge dressée, sa chair s'écartant au passage de la masse de chair masculine jusqu'à ce qu'il bute au fond. Elle y resta moment, tremblante, adorant cette sensation. Là, rien ne restait à l'air libre. Oh c'était bon, c'était divin.

Avec un autre gémissement, elle arqua un sourcil, attendant de voir s'il allait relever le défi.

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : Un menu GIGA Best of [PV Cressida Terpsidora]

Réponse 14 mercredi 21 novembre 2018, 17:00:59

Les mains sur le volant et le pied sur l'accélérateur, Arland quitta le parking du restaurant en excellente compagnie. Vérifiant le circulation avant de s'engager, il se tourna instinctivement vers la blonde qui semblait être de plus en plus excitée par la perspective d'aller plus loin. Son regard était plein d'étoiles, plein de luxure, d'envie de lui sauter dessus pendant qu'il conduisait. Sa soif de sexe semblait être aussi grande que sa relation particulièrement ambigu avec le danger. Quand elle s'amusa à lui proposer de faire tout un tas de choses peu catholiques, il lui répondit :

« Pour être franc, j'ignore ce dont je pourrais être capable ce soir. Mais je peux jouir au cinq fois par jour au bas mot. Alors... Ton "plus encore" m'intrigue. »

Toujours les yeux rivés sur la route, il eut un léger soubresaut en sentant la main de sa passagère se poser sur sa cuisse droite. S'arrêtant à un feu rouge quelques secondes plus tard, il remarqua un léger sourire malicieux illustrer son visage. Excepté que son geste ne se stoppa pas là, elle fut remonter ses doigts jusqu'à la bosse qui déformait légèrement son pantalon suite aux commentaires salaces de la jeune blonde et de ses propres caresses sur son corps brûlant. Désireuse de le maintenir en état d'excitation tout le long du trajet, elle ne se retint pas de le masturber délicatement mais non sans difficulté. Les doux doigts de Cressida ne suffisaient pas à contrebalancer l'effet collant de la semence séchée qui avait dégouliné sur certaines parties de sa tige. Peut-être même que d'avoir une femme jouer avec sa bite encore couverte de son liquide l'excitait d'avantage qu'une simple branlette. Surtout que Cressida était une femme que rien ne semblait déranger en matière de sexe. Sa poigne se voulait plus ferme qu'avant, probablement à cause du sperme séché, encore une fois. Cela dura dix bonne minutes, laissant le temps que les deux personnages d'arriver dans le parking.

« Oups ! Mais... »

Sans comprendre ce qui lui arrivait, l'enseignant vit la jeune blonde déposer sa bouche chaude et humide une nouvelle fois sur sa queue pour la faire durcir et la nettoyer par la même occasion. Alors qu'il se contentait de savourer l'instant, son dos et sa tête basculèrent en arrière lorsque sa partenaire actionna le levier pour reculer et rabattre légèrement son siège. Le sucer semblait être un plaisir qui ne la lassait pas, au contraire. Sentir cette bite durcir entre ses lèvres pulpeuses et sa langue baveuse devait satisfaire un certain besoin chez elle. La colonne de chair déjà plus imposante et dure, sans pour autant l'être autant que dans le restaurant, elle lâcha prise pour défaire et retirer le mini-short et sa culotte trempée pour les faire tomber sur le tapis devant son siège. Dans un mouvement sensuel et énergique, Cressida enjamba l'enseignant pour frotte sa vulve contre le sexe partiellement dressé de son homme d'un soir. Ondulant pendant une petite dizaine de seconde son corps contre le sien pour le motiver encore un peu, elle déposa sa main droite à gauche du visage d'Arlan pour saisir l'appuie tête et maintenir son équilibre pendant que sa main gauche tenait la verge qu'elle guidait entre les lèvres de son intimité. Juste avant de s'empaler dessus d'un coup sec, elle lui demandé si celui-ci était assez courageux pour rester en elle jusqu'à ce qu'ils rejoignent son appartement tout en ricanant de façon lascive. La pénétration fut surprenante, légèrement brutale car il senti la peau de son sexe sur sa totalité se frotter contre les parois humides de son vagin en une fraction de seconde. Son gland buta même contre quelque chose au bout de cette action. Que risque-t-il de se passer si sa verge se remet à gonfler autant que tout à l'heure ?

« J'aime les femmes qui savent ce qu'elles veulent et je ne suis pas du genre à me dégonfler. »

Seule sa braguette était ouverte, donc son pantalon ne risquait pas de lui échapper dans un mouvement mal maîtriser. Rompant le contact et retirant la clé de celui-ci par la même occasion, il ouvrit la portière du côté conducteur de sa main gauche (il a une voiture européenne) tout en maintenant la femme contre lui grâce à sa main droite qui se trouvait dans le chute de rein de celle-ci. Sa généreuse poitrine écrasée contre son torse lui procurait encore plus d'énergie et d'envie de poursuivre dans son entreprise. Ce n'est pas sans mal qu'il maintint son équilibre en quittant sa voiture, son corps emboité dans celui de Cressida. Tels deux pièces d'un jeu de construction coincées, collées entre elles et qui refusent d'être séparées l'une de l'autre. Des deux, la blonde torride était clairement la plus entreprenante car en plus de cette position qui ne masquait rien de ce qu'ils faisaient, elle se retrouvait désormais cul nu ! La soulevant une nouvelle fois, Arlan la déposa quelques secondes sur le capot de la voiture pour verrouiller le véhicule en laissant le mini-short et la culotte à l'intérieur. L'excitation et le frisson de la situation lui empêchaient de réfléchir plus que de nécessité sur le moment.
*BIIIIIP* ! Ceci fait, il agrippa fermement sa partenaire pour l'embrasser à pleine bouche pendant que sont autre bras maintenait le parfait cul rond avec lequel il ferait de nombreuses choses si l'occasion finirait par se présenter.

« Qu'est-ce qui me prends de faire un truc pareil ? Tu as une mauvaise influence sur moi. Jamais je n'aurais fait quelque chose d'aussi insolite normalement. »

Posant cette fois ses lèvres dans son cou qu'il embrasse fougueusement en suçotant un peu sa peau par moment, il avança jusqu'à la porte en verre qu'il ouvra grâce à son dos en s'appuyant dessus. Désormais devant l'ascenseur qu'ils attendaient tout en échangeant quelques baisers baveux et mouvements de hanches subtils, les portes de la machin s'ouvrèrent pour les accueillir. D'un geste brusque, Arlan plaqua sa partenaire contre un des murs pour appuyer sur le bon bouton. Grâce à ce nouvelle appui, il pouvait désormais tenir la blonde par les fesses pour les soulever plus haut et les faire redescendre d'un coup sec. Une fois, deux fois, dix fois ! Puis les portes s'ouvrèrent... trois étages plus tôt ! Un vieux couple se tenait là, surpris du spectacle qui se déroulait sous leurs yeux. La mamie fut d'ailleurs la plus satisfaite de cette surprise en leur lançant :  « Les jeunes ne se privent plus de rien aujourd'hui. Montre-lui que tu es homme, mon petit ! Son petit cul mérite bien ça ! »
Solis se retint de la reprendre sur le derrière de la blonde qui était loin d'être petit, pour son plus grand plaisir d'ailleurs. Une quinzaine de secondes plus tard, les portes se refermèrent lentement entre les deux couples sous un affectueux geste de la main de la grand-mère qui tenait le paquet de son mari dans l'autre.

« Mon Dieu... J'aurais décidément tout vu et vécu ce soir. Tout est ta faute ! Tu as été vilaine et je vais devoir te passer un sermon une fois arrivé. »

Joignant cette fois le geste à la parole, il se mit à labourer la chatte brûlante et humide dans laquelle se trouvait sa verge qui continuait de gagner en volume et dureté. En plus de l'énergie croissante dans chaque coup de hanche, ses mains faisaient remonter et descendre le fessier bombé dans lequel ses doigts s'enfonçaient avec poigne. Arrivé à son étage, il ne se calma quelques instants pour la soulever de nouveau et la porter jusqu'à sa chambre. Son défi était réussi avec brio.

« J'espère que tu es prête à tenir parole. La nuit risque d'être longue pour toi. »
Compte fermé !


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