Union équine [Pv Clad]

Cela faisait désormais plusieurs semaines que Konoka vivait dans sa réserve Novaquienne et l'ennuis était en train de la gagner peu à peu. Déjà, le fait d'être loin de tout ce qu'elle avait connue était en soi un sacré problème. Pas de télé, pas d'ordinateur, pas de sorties entre copines, pas de film ou de musique, pas de shopping... Absolument rien à faire... Si encore elle s'était retrouvée sur ce monde sous sa forme humaine, ça aurait été, avec les études qu'elle avait fait elle aurait pu s'adapter et trouver du travail, mais sous cette apparence équine, c'était à peine si les Novaquiennes déniaient l'écouter et la prendre au sérieux. Le pire était qu'elle était, pour ainsi dire, la seule jument de l'île. Et les Terranides et Furry restant essentiellement entre eux, elle était pour ainsi dire, seule.

Évidement, étant considérée comme une simple terranide équidé, Konoka ne dormais pas dans un lit, même rudimentaire, mais dans un tas de foin, dans une étable. Autant dire, rien de vraiment très confortable. Chaque soir, il lui fallait du temps avant de parvenir à s'endormir et, comme chaque nuit, elle avait le sommeil agité. À un moment, elle se mît à rouler sur le côté, si bien qu'elle se serait mangée un mur... Si elle n'avait pas été happée par une faille, qui la renvoya brièvement dans la proche forêt de Seikusu. Cela ne dura toutefois pas, car à peine deux secondes plus tard, un autre portail l'aspira et la renvoya très loin de Novac.

Lorsque Konoka se réveilla le lendemain matin, elle fut dans un premier temps surprise d'ouvrir les yeux sur du vert et non du brun. Il lui fallut un moment pour réaliser qu'elle était étalée dans l'herbe d'une praire et non dans son box plein de foin. Et réaliser qu'elle n'était plus enfermée dans une réserve, mais libre. Elle essaya de se relever, mais sentit une vive douleur au niveau de son tibia droit et retomba en avant. Visiblement, la jeune jument avait dû se casser quelque chose durant la nuit.

Elle vit alors une forme sombre approcher et la héla pour attirer son attention.

- Hé ! Par ici ! S'il vous plait, aidez moi !

Version NSFW de l'avatar utilisé


Aaron était de sorti aujourd'hui, il avait quitté sa somptueuse demeure tôt ce matin pour aller faire de petites emplettes et surtout s'occuper de son immense prairie. Immense était le mot, grande de près de trois mille hectares, l'étalon faisait son possible pour la rendre plus vivable que jamais. En effet, il lui arrivait très fréquemment de prêter une parcelle de sa propriété afin d'aider des congénères. C'est pourquoi il avait installé environ une cinquantaine de granges et d'étables sur toute sa prairie. Oui, Aaron aidait son prochain, il aimait trop la vie et tout ce qu'elle lui apportait. Que ce soit des humains, des Terranides, des Furry, ou bien des équins comme lui, qu'importe, ce qu'il voulait c'était aidé son prochain.

Nous retrouvons donc Aaron dans sa prairie, plus précisémment dans une des prairies qui avaient servi de maison d'hôte à un couple équin la nuit dernière. Et on peut dire qu'ils n'y étaient pas aller de main morte . Tout l'étable était en désordre, même l'étage où il y a des grands et confortables lit, était en pagaille. L'étalon rangea la résidence pendant presque deux heures, c'était comme neuf. Mais il était presque dix heures du matin et il n'avait pas encore fait son sport matinal. Il décida donc de se mettre en condition, il enleva ses vêtements et s'habilla de juste un short. Son imposant pénis, même au repos dépassait légèrement de sous le tissu de la jambe droite. Mais on ne peut pas dire qu'il n'en avait pas l'habitude, donc il fit avec.

Aaron sortit de l'étable et se mit à courir, écouteurs dans les oreilles, Ipod dernier cri dans la main, il fonça comme un magnifique étalon loin dans l'horizon. Il couru pendant presque une heure, sa chanson préférée passait dans ses oreilles, mais un autre son bizarre venait l'empêcher d'en profiter un maximum. Il regarda son Ipod pour voir si le problème ne venait pas de là, enleva une oreillette et c'est à ce moment là qu'il entendit crier. Il s'arrêta net, et se mit à chercher du regard par où le son venait. Il vit une silhouette à même le sol, main en l'air, le supplier de venir l'aider. Ni une ni deux, l'étalon déboula à toute vitesse pour arriver devant la jolie terranide équidée. Il enleva ses oreillettes et commença à parler :

« Qu'il y a-t-il mademoiselle vous avez un problème ? » dit-il en se baissant, afin d'avoir un meilleur aperçu.

Il remarqua très rapidement qu'au niveau de sa jambe s'était enflée.  

« Bougez pas, je m'occupe de tout. Restez bien immobile. » dit-il en la prenant sur la longueur.

Ayantsles muscles très développés, il n'eut aucun mal à porter la jeune fille. Il la porta de cette façon jusqu'à l'étable qu'il venait de quitter. Heureusement pour lui, même si ça faisait une heure qu'il était parti, il avait tourner autour de celle-ci, donc en moins de dix minutes il se retrouva à l'intérieur. Il monta alors les escaliers et déposa Konoka dans le lit qu'il venait de refaire tout à l'heure. Il s'empressa de ramener bandages, médicaments, pomades, etc, tout l'attirail nécessaire afin de soigner sa jambe.

Quelques minutes passèrent :

« Voilà, j'espère que ça ira mieux comme ça. Moi c'est Aaron, enchanté ! » dit-il en serrant le bandage sur la jambe de Konoka.

Très vite, la jeune jument vit un étalon pas mal musclé approcher d'elle. Et en toute honnêteté, elle fut surprise de le voir vêtu d'un short, un appareil à la main avec des écouteurs. Depuis qu'elle était sur ce monde, Konoka était habituée aux récits d'esclavagisme et de terranides vivant dans des tribus sauvages... Et là, elle tombait sur un équidé comme elle, mais visiblement parfaitement civilisé. Est-ce qu'enfin la chance avait-elle fini par tournée ? Après tout, quitte à ne jamais reprendre son apparence humaine, autant vivre avec des semblables civilisés que dans un enclos.

Konoka se fit alors porter dans les bras de l'étalon comme une princesse jusqu'à chez lui, une belle demeure un peu campagnarde mais qui avait du charme, jusqu'à être déposée dans un lit. Un LIT ! Pas un tapis de foin dans un box à cheval, un vrai lit moelleux ! Cela faisait bien deux mois facile qu'elle n'avait rien connue de tel ! Après lui avoir demandé de ne pas bouger, il s'absenta quelques instants, avant de revenir avec des bandages. Pas un seul instant il n'avait fait de remarque sur sa nudité, de même que son membre, en parti visible en bas de son short, ne montrait aucun signe d'activité. Soit il était tant habitué de voir des femelles nues qu'il n'en faisait plus cas, soit s'était un vrai professionnel.

- Je... Ahh... Je m'appelle Konoka... Je ne sait pas trop comment je me suis retrouvée ici... Hier soir j'étais à Novac et ce matin, je me réveil au milieu de nul part... Aïe... Où somme nous exactement ?

La jument s'appelait de Konoka, nom très beau comme elle. En effet, en serrant une dernière fois le bandage au niveau de sa jambe, il remarqua alors sa nudité. Brouillé par l'envie d'aider la jeune  fille, il n'avait même pas remarqué qu'elle était complètement à poil. Il put alors regarder son joli corps, ses gros seins, ses longues jambes et sa petite chatte tout rose. De ne pas voir ses fesses était preque un supplice. Mais Aaron n'en était pas là, il se demandait surtout pourquoi elle ne portait pas de vêtements. Il imaginait déjà ce qu'il y avait dans l'armoire de la chambre, qui se trouvait à droite du lit. Mais avant, la jeune fille paressait perdue, elle lui demanda où est-ce qu'elle était :

« Nous sommes sur ma propriété, à une vingtaine de kilomètres de Equina, la ville voisine. » dit-il un genou par terre devant le lit. « D'ailleurs c'est étonnant que vous ayiez pu entrer dans ma prairie, comment vous avez fait ? » dit-il en se frottant le menton.

Effectivement, la résidence était surveillée, et bien qu'il soit ouvert à aider tout le monde, à ouvrir à n'importe qui aurait besoin d'aide, il aimait savoir qui venait et qui repartait.

Bref, la nudité de la jument continuait de l'interpeller, pas désagréable à regarder au contraire, mais il n'était pas commun de voir ça. Donc il reprit :

« Mais … Je veux dire … Pourquoi êtes-vous nue ? Vous avez perdu vos vêtements ? J'en ai en rechange si vous voulez. » dit-il en pointant du doigt l'armoire.

Aaron était habitué à baiser des femelles, il adorait ça d'ailleurs, mais il en fallait plus pour l'exciter et que ça se voit sur son pénis. Bien membré, son pénis avoisinait les quarantes centimètres au repos et dépassait allègrement les soixantes une fois excitée. C'est d'ailleurs pour ça, ainsi que ces muscles qu'il avait autant de succès auprès  des femmes.

Konoka appris donc qu'elle était sur la propriété d'Aaron, qui elle même se situait à une vingtaine de kilomètre de la ville la plus proche. Au vu de son nom, ce devait donc être une région où ne vivait principalement que des équidés... Pour que ce soit une ville civilisée, ce devait donc être dans le royaume terranide, assez loin de la capitale malgré tout, vu qu'il n'y faisait pas un froid glacial, comme elle avait entendue dire... Quant à sa question sur comment la jeune jument avait fait pour arriver jusqu'ici malgré la surveillance... Elle décida d'y répondre en même temps que celle de sa nudité, qui avait malgré tout fini par arrivée, bien que cela ne semblait être que de la pure curiosité, au vu de son intonation.

- Comme je vous l'ai dit, je viens de Novac... Tout du moins, c'est là bas que j'étais ces derniers temps...

Konoka profita que le bandage soit terminé pour se hisser sur ses bras, afin de se mettre en position assise, mais les jambes toujours allongées sur le lit.

- J'ignore comment je me suis retrouvée ici... J'imagine qu'un portail m'a hapée pendant mon sommeil, avant de me renvoyer ici... Quant à ma nudité... Pour résumer rapidement, j'ai vécue deux mois dans une réserve naturelle pour Terranides, à Novac, où j'étais traitée comme une terranide sauvage.

Ne sachant comment il réagirait si elle lui annonçait qu'elle était humaine autrefois et s'il connaissait l'existence de la Terre, elle préféra aller au plus simple, d'autant que cette région de Terra semblait civilisée.

- Avant ça, je faisais des études classiques jusqu'à l'obtention de mon diplôme... Un soir, en rentrant chez moi, je me suis fait assommée par derrière et je me suis réveillée dans une cage dans un campement... Sans vêtements. Il ne faut pas être devin pour savoir ce qui me serait arrivée alors j'ai profité d'une occasion pour m'échapper... Et j'ai croisée une patrouille Novaquienne, qui n'a rien trouvée de mieux à faire que de me mettre en "sécurité" dans cette réserve et m'y oublier...

Ce portail était une véritable bénédiction. La réserve Novaquienne étant sur une île isolée, dont le seul accès se fait par les airs, à une heure de la côte, elle n'aurait jamais pu en sortir autrement, surtout vu le peu d'intérêt que les Novaquiennes portaient à ses dires. De fait, même si elle devait rester une jument pour la fin de ses jours, au moins, elle avait maintenant une chance de refaire sa vie.

Plus la jument en disait sur sa vie passée et plus Aaron avait de la compassion. Comment des êtres aussi horribles pouvaient vivre dans ce monde et lui faire autant de mal. Surtout qu'il s'agit de Konoka, elle est magnifique, à l'air gentille et de bonne éducation. Notamment lorsqu'elle lui dit qu'elle avait fait des études. Par-contre il ne comprenait rien lorsqu'elle lui parla des villes, pays ou planêtes par lesquelles elle était passé. Lui ce qu'il savait c'est qu'il était sur Equestria et plus précisément à Equina. Les étalons et les juments dictaient ce monde, et bien que les humains aient fait leur apparition il y a deçà quelques années, tout le monde vivait dans une paix durable, à l'abri du danger.

« Je … Je ne comprends pas … Novac ? » dit-il curieux.

La technologie ici, ne permettait pas de créer des portails de téléportation, donc lorsque la jeune fille lui parla de ça, il se demanda presque si elle se foutait pas de lui. Mais il décida de la croire. Il la laissa finir de comter son histoire et continua.

« En tout cas, sache que vous êtes la bienvenue dans cette maison et évidemment vous pouvez rester le plus longtemps possible. » dit-il en lui caressant légèrement sa jambe, là où était plassé le bandage. « Ca ne vaut pas la maison où j'habite, mais je pense que ça ira très bien. » dit-il en lui souriant.

Cependant, l'étalon ne put s'empêcher de profiter du corps de Konoka, à chaque fois qu'il lui parlait il ne pouvait s'empêcher de regarder ses très jolies seins, mais surtout ses tétons tout roses qui pointaient. Etait-ce naturel, ou bien était-elle juste excitée ? Aaron essaya de s'enlever cette idée de la tête et décida de se lever en lui signifiant qu'il allait lui chercher un verre d'eau. C'était tout à fait normal, il fallait qu'elle reprenne des forces et ne surtout pas se déshydrater. Il revint quelques secondes plus tard, avec un grand verre d'eau fraîche.

« Tenez ! Ca devrait vous faire du bien. » dit-il en lui tendant le verre.

Il s'asseya à présent sur le lit, à quelques centimètres de la jument.

Konoka réalisa que son hôte ne connaissais pas Novac, suite à sa question. En soi, ce n'était pas anormal, seules les grandes capitales devaient être connues, comme Tekhos ou Nexus. Elle le remercia d'un signe de tête lorsqu'il lui proposa un verre d'eau fraîche après s'être brièvement absenté et fut bien évidement ravie qu'il lui propose de rester autant de temps qu'elle le souhaitait, au moins le temps qu'elle se rétablisse.

- Merci.. Pour en revenir à Novac, c'est... Une sorte de cité futuriste mêlant technologie et énergie propre, en grande partie habitée par des humaines... Ça aurait pu être sympa si elle considéraient les terranides et furry comme leurs égaux et si elles ne voyaient pas les mâles comme une espèce inférieure... Mêmes ceux de leur propre race neson guère mieux traités que nous...

Aaron devait le voir que Konoka était sincère, un truc pareil, ça ne s'invente pas, il faut le vivre. De même qu'elle n'était pas gênée le moins du monde par sa nudité permanente. Il faut croire qu'être forcée de vivre ainsi deux mois avec les autres, ça change radicalement son mode de vie.

- Du reste, je n'ai jamais vue Novac de mes yeux, vu que j'ai directement été transportée dans leur réserve... C'est seulement ce que m'on dit les femmes qui m'y ont emmenées. Si ça peut vous aider à la situer, c'est entre Edoras, une cité plus traditionnelle, et Tekhos, la mégapole...

La jument bu quelques gorgées de son verre et vit que son hôte était complètement perdu dans ses explication. C'est à ce moment là qu'elle réalisa qu'elle n'était peut être plus sur Terra, en fin de compte.

- Où... Où est située Equina ? La seule région que je connais de Terra ou pareille ville peut exister, c'est dans le royaume terranide...

C'était le plus important pour elle, l'info qui lui manquait. Si elle était près de Zon'da, alors cela signifiait qu'elle était toujours sur Terra... Mais si elle était ailleurs, alors Konoka était sur un autre monde... Encore...

Konoka  continua dans ses explications, elle lui parla de Novac, cette ville ou ce pays paraissait horrible au vue de ses dires, des femmes humaines contrôlaient tout et traitaient leurs semblables ainsi que les autres espèces comme des moins que rien. Tout l'opposé d'Equina, c'est d'ailleurs pour ça que Aaron avait du mal à imaginer pareil monde. Mais il croyait la jeune fille et ne voulait pas la couper jusqu'à qu'elle lui pose la question d'où se situait précisément Equina.

« Et bien on est à Equestria.» dit-il tout simplement. « Ce monde a beaucoup changé, mais depuis quelques années nous vivons tous dans une paix durable. Nous avons à la tête des étalons et des juments comme nous. Ce  qui facilite grandement le dialogue. » dit-il en se grattant l'arrière du crâne.

Plusieurs minutes passèrent, Konoka et Aaron discutèrent pendant de longues heures, rigolèrent beaucoup aussi. Il était presque quatorze heures passés maintenant.

« Il est déjà cette heure là ?! Vous avez certainement besoin de repos. Je peux vous laisser dormir toute seul si vous le voulez. » dit-il en se relevant légèrement du lit.

Sa propriété était des plus sécurisée, donc elle n'avait aucune crainte à que des gêneurs viennent l'embêter, que ce soit en pleine journée ou en pleine nuit. Cependant, la présence de Konoka ne le dérangeait pas du tout, la voir nue comme ça, lui avait légèrement donner envie d'être plus proche avec. Il n'avait fait l'amour qu'avec trois juments hier et il était déjà en manque. Seul soucis, c'est qu'il trouvait la jument assez fine, presque humaine. Pourrait-elle encaissé son phalus giganstesque ? Mais là n'est pas la question, Aaron se releva et commença à partir.

« Si vous avez besoin de quoi que ce soit, il y a mon numéro d'enregistrer dans le téléphone fixe de la maison. » dit-il prévenant.

Konoka avait donc bien la confirmation qu'elle ne se trouvait plus sur Terra. Une nation entière et moderne dirigée par des furry équins, elle en aurait forcément entendue parlée. Si tel pays avait existé et était connus, les Novaquiennes l'auraient forcément écoutées. Dans un sens, elle ne risquait donc plus rien, dans un monde où sa race était dominante et ne pratiquait pas l'esclavage sexuel. Mais en même temps, il y'avait toujours peu de chance qu'elle rentre sur Terre et ne retrouve sa mère. Au moins pouvait-elle refaire sa vie ici...

Pendant quelque heures, la jeune jument appris donc tout ce qu'elle avait à savoir sur ce monde. Equina, la ville la plus proche, semblait avoir le même niveau de civilisation de Seikusu. Il existait bien entendu d'autres grandes villes et villages connus dans le pays: Ponyville, un petit village pittoresque à la campagne, spécialisé dans les pommes, la confiture et le cidre ; Jumanathan, la grande ville et le centre des affaires ; Las Pegasus, le Las Vegas de ce monde, essentiellement dédiés aux grosses fortunes et, enfin, Canterlot, la capitale du pays, une ville moderne entourant un pic. Autrefois, il y'avait un château à son sommet mais, aujourd'hui, c'était le centre gouvernemental des élus, depuis qu'une guerre récente l'avait réduit en gravats.

Il lui parla également de régions plus exotiques, où vivaient d'autres créatures, comme une ville dans les nuages pour les pégases, ou de cristal hors du pays pour les licornes, qui pratiquaient la magie... Plus loin, on pouvait même trouver des griffons ou des sirènes, mi chevaux mi poisson... Pour Aaron, les deux derniers ne semblaient être que des légendes, ne les ayant jamais vus lui même, contrairement aux pégases et licornes, très courants dans le pays.

En retour, Konoka lui parla de ce qu'elle savais sur Terra. Des régions Tekhanes très avancées technologiquement et ayant fait de la science fiction une réalité, de la dictature Ashnardienne et des créatures démoniaques la peuplant, de Nexus, la cité État mêlant moyen âge et fantasy et enfin, de Zon'da, le royaume terranide libre. Elle lui raconta que sur ce monde, les humains étaient majoritaires et ne se gênaient pas pour réduire les pauvres de leur race, mais aussi les autres races, en esclavage sexuel, qui comprenait aussi bien les terranides, des humains avec des attributs animal, que les créatures tels que les sirènes ou les lamais et les furry de toutes espèces. Bref, un monde ou il valait mieux naître humain ou démon dans une famille aisée.

Le temps passa et l'étalon réalisa qu'il était 14h passé, ce qui expliquait pourquoi Konoka avait un peu faim. Il laissa donc la jument un peu seule, sans doute le temps de préparer un repas, mandant qu'elle se reposait un peu. La jeune femelle pu donc profiter un peu plus de son lit douillet des plus confortable, en songeant à ce qu'elle ferait désormais... Quand il lui avait détaillé les villes du pays, Konoka n'avait pu s'empêcher de songer à ce dessin animé qu'elle regardait étant petite. Il était impressionnant que les espèces et les villes existaient réellement. Mais la s'arrêtait la comparaison. Tandis que le dessin animé montrait un pays enfantin et coloré, la réalité montrait au contraire une société moderne et qui pouvait parfois entrer en guerre avec d'autres nations. De plus, Aaron avait l'air d'être un jeune adulte, probablement entre 20 et 25 ans... Et pourtant, elle n'avait vue aucune marque de beauté sur ces flanc, de même qu'il n'avait montré aucun signe de surprise en n'en voyant aucune sur les siens. Comme quoi, ce devait aussi être un truc fantaisiste.

Konoka pu se reposer une petite demi-heure, avant que l'étalon ne revienne avec un plateau bien garnit, un vrai repas. Elle constata également qu'il étais cette fois-ci complètement nu, son long sexe se balançant entre ses jambes, au rythme de ses pas. Sans doute était-il plus à l'aise ainsi lorsqu'il était chez lui. Évidement, cela ne la gêna pas tant que ça, trouvant même cela plus normal, au vu de sa propre expérience.

- Hmm... Ça sent bon... Qu'est-ce que c'est ?

Elle ne connaissait pas ce plat, sans doute une spécialité de la région ?

Effectivement le jeune homme était descendu préparer un petit plat. Il passa quelques minutes en bas ddans la cuisine. Il essaya de mélanger tous les légumes qui étaient présent dans sa prairie, tomates, salades, herbes, graines, carottes. Bien que devenu civilisés, la race de Aaron gardait néanmoins les mêmes goûts que les chevaux apprivoisés et dotés que très peu d'intelligence. Il se hâta. Il ne voulait pas faire attendre Konoka, qui devait mourir de faim en haut. Dans la précipitation, il mis de la sauce faites maison sur son short. Il l'enleva, révélant la gigantesque queue de ce dernier. Un peu gêné de devoir monter de la sorte, mais après tout la jument était elle aussi nue et ça n'avait pas l'air de lui poser de problème. Il prit les deux plats et monta l'escalier pour se retrouver à l'étage et entra directement dans la chambre. Là, Konoka était couchée de tout son long, sur le lit, en train de regarder la télévision. Avec son pied, il approcha la table de lit et y déposa le plat de la jeune fille.

« J'espère que ça te plaira, il s'agit de mets que j'ai trouvé dans mes champs. Il y a de la tomate, des carottes, des graines, de la salade et plein d'autre chose. » dit-il en montrant avec sa fourchette tous les légumes présent dans l'assiette. « Bon appétit ! » dit-il en se couchant à côté d'elle.

Ils mangèrent et discutèrent pendant de longues minutes, c'était une très agréable conversation, si bien que Aaron ne remarqua même pas que son pénis était posé sur la cuisse droite de Konoka. Il faut dire que son pénis était tellement grand et gros qu'il lui était difficile de le cacher ou de le garder bien droit sur lui. D'habitude il s'arrange pour porter quelque chose quand il est avec quelqu'un, et quand il est nu c'est rare qu'il le soit avec quelqu'un sans devoir baiser. Foutu sauce ! Cependant, Aaron ne fit pas attention et continua de parler à la jeune fille.

« Bref, tout ça pour dire que les chasseurs ne sont plus de ce monde et c'est tant mieux. » dit-il en rigolant. « Sinon, j'espère que le plat t'as plu. » dit-il en pointant les deux assiettes posées sur la table de nuit. « Tu veux peut-être un dessert ? » dit-il en la regardant dans les yeux.

Etait-ce une invitation ?

C'était donc un plat très végétarien, une salade de légumes et de graines, probablement d'avoine, avec de la sauce. Effectivement, ça avait l'air bon, et ça l'était. Ça la changeait des bacs d'avoine auxquels elle avait eu droit durant deux mois non stop. Ils discutèrent un peu en regardant la télévision, côte à côte sur le lit. Regarder la télévision... Là encore, une activité qui lui avait grandement manquée, et qui pourtant était des plus anodines. Durant son repas, Konoka sentit un truc mou basculer sur sa jambe. Il s'agissait du sexe de son hôte, ce qui la fit légèrement rosir mais ne dit rien pour autant. Et après quelques instants, il lui proposa un dessert, sur un ton des plus équivoque. À cela, Konoka posa simplement sa main sur l'épais membre d'Aaron et commença à le caresser, de haut en bas.

- Je ne l'ai probablement pas dis, mais... Dans cette réserve, j'étais la seule de notre race... À un moment, il y'a eu deux faux équins qui m'ont pris ma virginité, avant de partir, des sortes de créatures metamorphes de passage... J'ai eu l'impression d'être trompée... Donc techniquement... J'ai encore jamais goûtée au membre d'un vrai étalon...

La jeune jument continua de branler son hôte, jusqu'à ce que son sexe ne gagné en taille et ne se raidisse. À ce moment là, elle approcha son visage du sien et dis, dans un souffle, juste avant de l'embrasser.

- Et... Tout ce que je peux faire pour rembourser ma dette envers vous... C'est de payer en nature...

Les deux individus regardèrent la télévision pendant une bonne vingtaine de minutes, puis Aaron sentit quelque chose sur sa queue. Il regarda  et vit la main de Konoka le toucher et commencer à le branler. Etant très tactile, son pénis se raidit aussitôt tandis que sa longueur augmenta de quelques centimètres. Elle lui dit qu'elle avait été abusé étant plus jeune, mais quelle était déçue de ne pas avoir connu la    bite d'un vrai étalon comme lui. Elle s'approcha de lui et il sentit ses lèvres se poser sur les siennes. Elle avait très bon goût. Il profita pleinement de ses baisers et des doigts qui venaient lui toucher le pénis.

« Je me ferai un plaisir de te faire goûter ma queue. » dit-il en posant sa main sur la hanche de Konota. « Et pour ce qui est de rembourser ta dette ; tu n'en as aucune, donc tu n'es pas obligé de faire ça. » dit-il en l'embrassant de nouveau.

Mais Aaron se posait des questions, il avait une habitude bien à lui de baiser avec ses conquêtes. En effet, il devenait quelqu'un d'autre lorsqu'il s'agissait de le faire. C'est-à-dire qu'il aimait le faire avec force, se servir de sa partenaire comme d'un vulgaire objet. Lui enlever toute force et lui faire mal. Toutes ces conquêtes en redemandaient, donc c'est qu'il devait bien le faire. Mais autre chose l'embêtait ; comment allait-elle pouvoir encaisser son phalus gigantesque ? Elle avait un petit corps, et même si sa chatte était bien développée et bombée, il avait peur que ce ne soit pas suffisant. Il verrait bien de toute façon.

Aaron remonta sa main, afin de lui toucher les seins. Il les toucha à pleine main, pinçant régulièrement ses jolies tétons. En parallèle, il continua de l'embrasser. Après quelques instants, il se releva légèrement, pour la prendre par la taille et la poser sur lui. Son épais pénis venait toucher tout le long du dos de Konoka.

« Tu es belle. Comment a-t-on pu te faire autant de mal ? » dit-il en lui prenant les deux seins à pleine main.

Très vite, Konoka se retrouva sur Aaron, ses jambes de part et d'autres de son bassin et son membre contre une bonne partie de son dos. À sa question, la jument n'avait pas de réponse... Peut être que c'était son physique et son apparence fragile, justement, qui donnait envie d'abuser d'elle... Surtout, Konoka était un peu naïve et inexpérimentée en matière de sexe. Sa seule expérience était la nuit durant laquelle elle avait perdue sa virginité, ainsi qu'une bonne part de son innocence. Elle aimait le sexe avec un membre équin, et avait donc été grandement frustrée suite à ce rapport. Sauf que là, tout de suite, elle avait une occasion de se soulager enfin de toute cette frustration et elle comptait bien en profiter.

Ainsi, embrassant toujours son amant tandis qu'il prenait soin de sa poitrine, Konoka ondula du bassin, son clitoris frottant doucement contre le pubis de l'étalon et l'excitait par la même occasion. Puis au bout de quelques minutes, elle plia une de ses jambes, afin de permettre au membre gargantuesque de passer devant. La jeune femelle se redressa alors, venant caler son membre entre ses seins. Même dans cette position, le gland arrivait à son menton.

- Je ne suis peut être pas obligée de faire ça... Mais j'en ai malgré tout envie...

Konoka commença alors à faire des vas et viens sur la hampe de chair, en pressant ses doux seins dessus, amenant ses tétons à se rencontrer et se frôler, penchant la tête en avant afin de prendre le gland en bouche et le lécher tendrement, sans cesser d'onduler sur lui et frottant ainsi son bouton d'amour contre ses testicules. Le geste, lascive, contribua à faire grimper graduellement le plaisir des deux amants. Prendre en gorge profonde un tel engin était impossible pour la jeune femelle, c'était bien trop gros pour sa petite bouche. Faire entrer son gland était déjà bien, mais elle compensait avec un tas d'autres petites attentions agréables.

Et elle continua ainsi jusqu'à ce que son lait masculin n'explose entre ses lèvres...

Konoka se débrouillait merveilleusement bien. Son corps bougeait dans tous les sens, il pouvait sentir sa jolie chatte rose se frotter à ses testicules, pendant que sa bouche gobait un bout de son gland, tout en pressant la base avec ses seins. Le spectacle était magnifique. Sa bite se raidit d'un coup, elle grandit encore de quelques centimètres, puis il fini par ne plus en pouvoir et une épaisse giclée de foutre s'échappa de son pénis. Elle arriva directement dans la bouche de la jument, celle-ci ne pouvant évidemment pas tout prendre, en fut recouverte. Ses cheveux, sa tête, ses épaules, ainsi que ses seins  et ses jambes en était maculés.

« Woah ! … Rare … Sont les femelles qui m'ont mis dans un état pareil, aussi rapidement. » dit-il en lui souriant.

Cependant, son membre resta à la même longueur et se raidit même un peu plus. Il faut dire que l'étalon avait le pouvoir de jouir à volonté. C'est d'ailleurs pour ça qu'il enchainait les conquêtes. Ces dernières pouvaient tenir trois à quatres fois mais plus. Il espérait dans un coin de sa tête que ce serait différent avec Konoka.

Aaron rapprocha la jeune fille de lui à l'aide de ses mains, la faisant passer de nouveau devant son énorme bite, pour ensuite la faire basculer sur le dos. Il se mit sur elle, ses bras musclés de chaque côté de sa tête. Il se baissa et lui lâcha un baiser, il mélangea sa langue et sa salive à la sienne. Ils s'embrassèrent de la sorte pendant un long et bon moment. Sa bite grandissait encore, elle était maintenant au niveau de son menton, et passait entre ses seins. Mais l'étalon avait trop envie d'elle, ni une ni deux, il fit glisser son pénis sur son ventre et l'entra directement dans sa chatte. Pour le moment, seulement un quart de sa bite était rentré.

« J'espère … que … je ne te fais pas … trop mal. » dit-il en profitant pleinement de l'intérieur de la jolie chatte de Konoka.

Le mâle commença les vas et vient de façon frénétique. Avec ses mains libres il entra un doigt dans la bouche de la belle, tandis que son autre main avait prit position sur une ses fesses bien galbées. Il n'hésita pas à la serrer très fort, parfois même en la pinçant. Là, n'était que le début de ce qu'allait lui faire subir le bel étalon ...

Konoka était certes peu expérimentée en matière de sexe, mais elle compensait avec un peu d'imagination et de débrouillardise. À son niveau, on expérimente généralement plus qu'autre chose. Quand une technique ne fonctionne pas, on l'oublie et, quand elle marche, on la garde et on l'améliore. Le pazzuri et la fellation, elle connaissait déjà. Et visiblement, l'idée d'onduler et de frotter son intimité contre les testicules de son amant rendait l'acte plus efficace encore, au vu de la rapidité avec laquelle il avait jouit. La jeune femelle pût donc rapidement goûter à sa semence, fluide et au goût prononcé. Son sperme était bon, légèrement additif. En tout cas, elle qui n'était pas très perverse de base, en voulais encore et elle bu autant qu'elle pût. Malgré tout, plusieurs giclées parvinrent à s'échapper d'entre ses lèvres et maculèrent une bonne partie de son corps, sans la dégoûter pour autant.

- Je sais pas si on te l'as déjà dis... Mais j'adore ton sperme, Aaron...

C'est ce qu'elle eu tout juste le temps de dire, avant de se retrouver sur le dos et d'embrasser langoureusement l'étalon. La pénétration ne se fit pas sans douceur mais, d'une part, Konoka était très excitée et mouillait donc beaucoup et, d'autre part, c'était peut être un sexe équin massif, mais dans une intimité équine. Autrement dit, il entra tout seul en elle au quart de sa taille. À sa question, elle lui répondit, avec une expression de bonheur.

- Non... C'est bon... Haaaa... Tu... Tu peux t'enfoncer plus loin... Haaaa...

Son intimité trempée et ruisselante de cyprine imprégnait le sexe du mâle et le lubrifiait en abondance. Mais surtout, il pu constater rapidement que, malgré ses vas et viens, il n'était pas au fond de sa chatte. En s'enfonçant plus loin, comme elle le lui demanda, son sexe fut englouti en elle jusqu'à un peu plus de la moitié, avant de buter au fond. S'il passait le col, il se retrouverait aux trois quart et, en s'enfonçant complètement en elle, déformerait légèrement son ventre. Ce n'est pourtant que dans ce dernier cas de figure que la jument laissa pleinement s'exprimer son plaisir.

- Haaaaa.... Haaaaa.... Aarooooon... Haaaaa....

S'il pensait lui faire mal, il réalisera bien vite que c'était vraiment tout le contraire qui se passait. Le corps de la frêle jument tressautait sous sa prise, pris de légers tremblement de plaisir et sa chatte ruisselant de mouille. Néanmoins, elle n'était pas en ahegao. Elle prenait son pied mais sans sombrer dans la dépravation la plus totale pour autant. Malgré son inexpérience, elle démontrait la une bonne endurance et une volonté forte. Konoka voulait simplement profiter de chaque seconde de plaisir, sans se déconnecter de la réalité.