Une soirée animale [PV]

J'avais eu une très, très longue journée aujourd'hui. A commencer par mes cours au lycée, qui me parurent IN-TER-MI-NABLE, assise à une table de 9h30 à 19h30. Heureusement qu'il y avait de petites pauses, quand même, à la fin je n'en pouvais plus. Ensuite, je pensais rentrer rapidement chez moi, me reposer, mais évidemment non, ça aurait été trop facile. Un problème technique était survenu dans le métro, et aucune rame n'y circulait jusqu'au lendemain matin. Génial, vraiment. J'ai mis près de deux heures pour rentrer chez moi, à marcher à travers toute la ville ! Bon, en chemin, je me suis tout de même arrêté au supermarché, pour faire quelque courses alimentaires.

Lorsque finalement je suis arrivée chez moi, ma première réaction fut de m'écrouler sur le canapé. *Aaaah, enfin !* Ça faisait vraiment du bien de pouvoir se reposer un peu. Je restais ainsi de longue minute, à me relaxer, sans bouger ni penser à rien. J'aurais même pu m'endormir sur le champ, si je n'avais pas aussi faim. Bon, j'avais des choses à faire, et vraiment sommeil, alors autant en finir au plus vite pour que je puisse aller dormir.

Je me préparai une omelette à la hâte, que j'engloutis en quelques minutes, avant d'aller prendre une courte douche bien chaude. Je me savonnai et rinçai, ignorant mes cheveux pour ne pas perdre de temps à les sécher, et sortit rapidement. Après avoir enfilé un pyjama, un pantalon et un haut à manches longues, aux couleurs vives sur fond gris clair, je me jetai sur le lit. *Allez, au dodo maintenant !* Il ne me fallut que quelques minutes pour tomber dans les bras de Morphée.

Quelques temps plus tard, au milieu de la nuit...

« Mmmhh... ? »

Je me suis réveillée toute seule, sans raison. J'ouvris progressivement les yeux, cherchai ma paire de lunette à tâtons, et un coup d’œil sur mon téléphone me confirma que je n'avais dormi que quelques heures à peine. Bizarre. Je n'avais pas l'impression d'avoir bien dormi pourtant, c'était plutôt... comme un mauvais pressentiment. La sensation d'être épiée, de ne pas être seule. Un peu inquiète, je me redressai, assise sur le lit, les jambes sous les draps, et observai les alentours. Ma chambre était plongée dans la pénombre, les reflets argentés de la lune filtrant faiblement à travers la vitre. En dehors de ça, rien ne semblait sortir de l'ordinaire. Pourtant, mon pressentiment ne me quittait pas. Non, je devais certainement me faire des idées...

Kogas était un démon de rang inférieur et son apparence ainsi que son comportement le montrait plutôt bien, la créature avait l’apparence d’un loup géant de la taille d’un homme et ses facultés de communication étaient très limitées. C’était typiquement le genre de serviteur démoniaque qu’une apprentie sorcière pouvait apprendre à invoquer en premier mais malgré son apparence d’un vulgaire animal, il n’en restait pas moins un démon bien plus puissant physiquement et psychiquement qu’un humain lambda surtout de par sa carrure de loup très imposant.

C’était la nuit que le démon loup arpentait le monde des hommes afin de se nourrir, un coup de patte suffisait à décapiter un humain et il fallait aussi peu de temps pour le dévorer intégralement, emportant son âme avec son corps. Mais pour ce qui était des femelles, il avait un traitement tout particulier. En effet, lorsqu’il trouvait une  femelle à son goût, il ne la tuait et ne la dévorait pas tout de suite, il la violait.Peu survivait au traitement et celles qui y parvenait restaient marquées à vie par cette vision du loup énorme doté d’une lance de chair si grosse qu’il était impossible pour une femme humaine d’en retirer un quelconque plaisir entrain de les salir.

Cette nuit là d’ailleurs, il s’était introduit dans le domicile d’une jeune femme. Malgré sa taille, il était facile pour lui d’aller et venir chez les humains comme bon lui semblait, ses capacités de démons lui permettait de passer au travers de leurs portes, fenêtres ou murs, ce qui était plutôt pratique pour accomplir ses méfaits. Il se trouvait dans la chambre de sa victime, il la regardait dormir alors qu’il se trouvait au plafond, de la bave tombant de temps à autre sur le lit. Sa présence rendait l’atmosphère plus lourd que d’habitude, ce qui fit se réveiller la jeune femme.

Il l’observait toujours alors qu’elle se redressait sans quitter son lit, Kogas quant à lui commençait à bouger rapidement et dans un parfait silence. Il se trouvait désormais devant le lit, toujours invisible dans le noir et le peu de rayon lunaire s’infiltrant dans la pièce ne pouvait le trahir. Il sauta donc sur le lit, pour se retrouver la tête face au visage de la demoiselle, ses yeux s’illuminant d’un rouge venu d’outremonde et sa gueule s’ouvrit pour montrer ses dents monstrueuses et la bave coula encore plus. Il ne gronda pas, ne fit aucun autre geste que cette apparition surprise, c’était la réaction de l’humaine qui allait sceller son sort.

Tout était si calme, pas un mouvement, pas un bruit. Ce qui n'avait rien d'étonnant, au beau milieu de la nuit. Je murmurais, pour moi-même.

« Je dois rêver... »

Alors que je m'apprêtais à m'enrouler dans mes draps, et à retourner me coucher, une étrange lumière attira mon attention. Deux lueurs rouges apparurent, juste au dessus du lit, venues de nul part. Je les fixais, inquiète, en me demandant d'où elles pouvaient provenir... et la réponse ne tarda pas à apparaitre, juste devant moi. Une gueule béante surgit à quelque centimètre de mon visage, monstrueuse, baveuse, aux crocs terrifiants. Une vision d'horreur ! Prise de panique, je cédais à mon instinct, et ma première réaction fût de crier d'effroi.

« Yaaaaahhh ! »

Je me reculai vivement, m'éloignant le plus possible de cette bête, jusqu'à me retrouver acculée, le dos contre la tête de lit. J'avais levé mes draps jusqu'au cou, dans un réflexe vain et puéril de me protéger. Après tout, ça n'était pas comme si la fine épaisseur de tissus allait ne serait-ce que le ralentir, mais j'étais complétement affolée. Il y avait un monstre sur mon lit ! Un monstre, oui. Avec son museau, ses crocs, ses quatre pattes et sa fourrure sombre, il avait tout d'un loup. Pourtant, ses yeux brillaient dans la nuit, d'un rouge inquiétant, presque démoniaque. Ce devait-être un cauchemar, forcément ! Il n'y avait pas d'autre explication. Seulement voilà, même si c'était le cas, j'étais beaucoup trop terrifiée pour garder mon sang-froid, et réfléchir de manière rationnelle. Ou même, réfléchir tout court.

« Qu-qu-qu... »

Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Telles étaient les questions que j'aurais voulu poser, si seulement j'arrivais à faire autre chose que de bégayer. Je le fixais, incapable de détourner les yeux de ses crocs, qui pouvait me déchiqueter d'un seul coup de mâchoire. Je n'osais pas bouger, ayant trop peur de le provoquer, l'inciter à m'attaquer. S'il avait voulu me dévorer, il l'aurait sans doute déjà fait, n'est-ce pas ? Peut-être, ou peut-être pas. Si ça se trouvait, il avait l'intention de jouer avec sa nourriture avant, je n'en savais rien ! C'était la seule explication que mon esprit paniqué parvenait plus ou moins à trouver. Recroquevillée sous mes draps, j'avais toujours aussi peur, mais le choc de son apparition était passé. Je réussi à lui dire, en ne bégayant pas trop.

« S'il v-vous plait... n-ne me mangez p-pas... »

Mon ton était plaintif, suppliant. Je me sentais un peu ridicule, à demander à ce loup de m'épargner, mais j'étais poussée par la crainte. Et puis, même si c'était un loup, il en émanait quelque chose d'un peu... surnaturel. Ce qui rendait la situation encore plus cauchemardesque et terrifiante.

« Pitié... »

Même  si ça faculté de parler la langue des humains se limitait à quelque mots, le démon à la forme de loup la comprenait parfaitement et il pouvait comprendre la peur dans les paroles et la réaction de la demoiselle à laquelle il faisait face. Il la regardait essayer de se cacher en remontant ses bras sur elle comme si cela pouvait la protéger d’une quelconque façon.  Kogas s’approcha donc un peu plus, faisant quelque peu craquer le lit sous son poids, sa gueule grande ouverte ne cessant de montrer sa monstrueuse dentition.

Bien que cela l’amusait, le monstre n’aimait pas faire durer la fête, c’est pourquoi il leva une patte en sortant ses griffes grandes que ses  dents et il donna un coup pour déchirer tout le tissu qui se trouvait entre lui et le corps de sa victime. Le coup fut aussi rapide que l’éclair mais ce n’était pas de simple lacération qui vinrent déchirer seulement les draps, ils tombèrent en petites miettes comme si des centaines voir des milliers de coups de griffes venaient d’être porter, les vêtements de nuit de la demoiselle connurent le même sort. Un seul coup de patte visible avait été porter et pourtant l’effet avait été dévastateur et très précis, le corps de la victime n’avait aucune trace, pas même d’effleurement alors qu’ils était seulement à quelque millimètres de son habits qui avait été  réduit en miettes.

Kogas approcha sa gueule de l’humaine et posa sa longue et épaisse langue sur la visage pour le lécher, l’enduisant de sa salive. En se redressant, il posa ses pattes avant sur le mur contre lequel reposait le lit, donnant pleine vue sur ses parties basse à Jessica. Elle eut d’ailleurs tout le loisir d’observer un membre légèrement rosé apparaître et grossir en s’allongeant jusqu’à atteindre une taille équivalente à trois fois son homologue humain tant en longueur qu’en largeur.

« Femelle. Quatre. Pattes. »

Les mots avaient été formuler avec une voix très gutturales et très difficilement compréhensible mais c’était bien le démon qui venait de les prononcer. Et même si elle ne l’avait pas compris et qu’elle n’avait entendu que des grognements, la situation ne laissait pas vraiment place à l’interprétation, les intentions du démon-loup était claires.

Mon regard ne quittait pas le sien, ces deux lueurs rouges scintillantes dans la pénombre. L'éclat lunaire était tout juste suffisant pour distinguer les formes et emplacements du mobilier de ma chambre, et de mes affaires, mais le loup était si proche de moi que je parvenais sans peine à le voir. Même si, finalement, j'étais beaucoup trop terrorisée pour avoir l'occasion de l'observer sous tous les angles. Lorsque de grandes dents pointues menaçaient de vous déchiqueter, à quelques centimètres de votre visage, on avait d'autre priorités en tête ! Aussi, j'attendais, impatiemment, priant au fond de moi pour que le loup se ravise, et décide de partir et de me laisser tranquille. Un vœu qui paraissait bien naïf, mais je n'avais pas le choix. C'était ça, ou attendre impuissante de savoir ce qu'il venait faire chez moi. Lorsque, enfin, il se mit un bouger, ce fût pour me donner un coup de patte, griffes en avant, qui me fît hurler de panique.

« Hiiiiii ! »

Je sursautai, me cognant le dos contre mon lit, et ferma les yeux, par réflexe. Pour moi, c'était terminé, mon heure était venue, il s'était décidé à m'achever. *Je ne veux pas mourir !* ... Pourtant, j'étais toujours là. Je n'avais rien senti. Intriguée, mais toujours apeurée, j'ouvris lentement les yeux, pour découvrir que le loup se tenait toujours devant moi, la gueule menaçante, bavant sur mes draps... qui avaient été déchiquetés ? Et mon pyjama aussi !? Il n'en restait plus rien, si ce n'était des lambeaux éparpillés un peu partout. Je me cachais précipitamment les seins derrière mes bras, par réflexe, gênée d'être ainsi mise à nue. Je n'étais pourtant pas au bout de mes surprises. Une grimace de dégout crispa mon visage, lorsque il se mit à le lécher, de sa longue langue baveuse, mais je ne bronchai pas, et restait immobile, seule ma poitrine se soulevait au rythme de ma respiration saccadée. *Pitié, faîtes qu'il s'en aille.* Mais mes espoirs étaient vains. Au contraire, il se rapprochait de plus en plus de moi, me bloquant le passage entre ses pattes, sa fourrure me chatouillant les épaules, et s'exprima pour la première fois, avec des espèces de grognements qui ressemblaient à des mots.

« Qu-quoi... ? »

Je n'étais pas sûre d'avoir bien compris, mais lorsque mon regard se posa sur son entrejambe, cela ne fît plus aucun doute. Il voulait que je me mette à quatre pattes ? Et ses intentions paraissaient très claires. Sa verge était tendue dans ma direction, énorme et massive, de couleur rose et de forme canine. Je déglutis faiblement, en rougissant. D'un coté, j'étais un peu soulagée, de savoir qu'il ne comptait pas me dévorer. Mais, d'un autre coté... Je continuais à fixer sa queue, incrédule. Elle était si grosse ! Ce loup voulait vraiment me saillir avec ça ? C'était pour des raisons différentes, cette fois, mais j'avais toujours aussi peur. La vue était excitante, je devais bien l'admettre, mais je craignais que ça ne soit terriblement douloureux. Aussi, je tentais de l'apaiser, en espérant lui faire changer d'avis.

« Allons... pas besoin de me mettre à quatre pattes... on peut, hum, trouver un arrangement ? Quelque chose d'autre... qui puisse te faire plaisir aussi... ? »

Tout en parlant, avec douceur, et une crainte difficile à dissimuler, je tendais le bras en direction de sa queue. Je la pris tant bien que mal entre mes mains, refermant mes doigts dessus. Elle était si épaisse que je ne parvenais pas à en faire le tour. Je m'efforçais pourtant de serrer, doucement, et de la caresser, sur sa longueur. Je le masturbais doucement, en espérant soulager son excitation, et lui faire passer l'envie de me prendre à quatre pattes. Peut-être que si j'arrivais à le faire jouir, il allait partir ?

Le démon se fichait de faire mal ou non à ses victime lorsqu’il s’agissait de femelle et qu’il décidait de leur grimper dessus avant de décider quoi en faire pour la suite. En effet, se retrouver à servir pour le plaisir sexuel de Kogas ne signifiait pas pour autant ne pas finir dévorer une fois cela fait ou même pendant que cela se faisait, ce n’était pas quelque chose qui dérangeait le démon. Mais ce qui le dérangeait c’était qu’on ne lui obéisse pas, la plupart du temps cela était dû à sa faculté de communication très limité mais quand on l’avait comprit c’était encore pire.

Le loup grogna en regardant l’humaine qui ne semblait pas très coopérative et avait préférer poser ses mains sur son sexe plutôt que se mettre à quatre pattes pour qu’il puisse la saillir. Le monstre, donna donc un violent coup de butoir en avant afin de frapper l’humaine avec son membre dont elle pu ressentir toute la dureté. Il ne visait pas et se contenter de donner des coups en se servant de son sexe comme bélier contre le corps de la demoiselle. Il était bien décider à rentrer et lui faisait comprendre qu’il n’hésiterait pas à créer  le trou par lequel il passerait si elle résistait.

Lorsqu’il s’arrêta après le déluge de coups de sexe, il approcha sa tête du visage de Jessica et il ouvrit grand la gueule devant, sa gueule ouverte pouvait facilement accueillir la tête de l’humaine et ses dents accédées promettait une grande douleur si elles se refermait sur elle. Il grogna une nouvelle fois pour lui faire comprendre qu’il n’hésiterais pas une seule seconde.

En dépit de ma bonne foi, et de ma tentative de lui procurer du plaisir, le démon ne semblait pas content, pas content du tout même ! Il se mit à grogner et à claquer des crocs, l'air menaçant. Peut-être que je n'allais pas assez vite ? Raffermissant ma prise sur son sexe, j’accélérais le rythme, mais cela n'avait pas l'air de le satisfaire non plus. Il commença à remuer son bassin, à me donner des coups de sa grosse queue, aussi raide et rigide qu'une matraque, malgré la tendresse de sa chair. Je me faisais littéralement biffler de partout, au visage mais aussi sur les bras, sur ma poitrine, sur mon ventre. C'était assez violent, et me rappelait que je me trouvais en présence d'un loup terrifiant, qui n'hésiterait pas à me croquer en deux s'il le souhaitait... Néanmoins, malgré les circonstances, je trouvais quand même le contact de sa hampe de chair contre ma peau follement excitant. *C'est pas le moment de devenir perverse, Jessica, allez, ressaisi-toi !* C'était difficile, je n'arrivais pas à rester insensible aux frottements de sa verge, rose et lisse, sur moi. Sans même parler de sa forme particulière... j'en aurais presque ouvert la bouche, à vrai dire, pour y gouter... si je n'avais pas peur qu'elle me décroche la mâchoire, tant elle était massive !

Le démon cessa alors ses coups de butoir, sans raison apparente. Que se passait-il ? La seule réponse à mon doute fût sa gueule béante qui se rapprocha dangereusement de ma tête... comme s'il voulait me croquer ! Je faisais tous les efforts du monde pour rester immobile, surtout que je risquais de me couper méchamment contre ses crocs au moindre faux mouvement. Ce qui ne m’empêchait pas, au fond, de paniquer complétement, en m'imaginant qu'il allait me dévorer toute crue. Je respirais bruyamment, rapidement, les battements de mon cœur s’accélérant à une vitesse folle.

« Hiiiii ! Non c'est bon j'ai compris, j'ai compriiis ! Ne me mangez pas, pitié... ! »

Il s'immobilisa, me laissant un moment pour me calmer, mais ses grognements étaient clairs. Il voulait que je me mette à quatre pattes, et ce n'était pas négociable. Je déglutis faiblement, soupesant mes choix. Soit je laissais le loup me défoncer le bassin, ce qui promettait d'être aussi excitant que douloureux... soit je le laissais me dévorer. C'était bel et bien les deux seuls choix que j'avais, si tant est que se laisser dévorer soit un choix valide. Donc, non, je n'avais pas vraiment le choix.

Avec une extrême précaution, je reculais ma tête de la gueule du loup, prenant soin d'éviter ses crocs, en espérant qu'il ne voit pas là un acte de rébellion. Je me retournai ensuite sur le lit, et me mit à quatre patte, conformément à ses ordres. La croupe tendue dans sa direction, je m'appuyais fermement sur les mains, et serrais les dents, prête à accueillir son énorme verge en moi. Ma vulve était luisante de cyprine, et mon intimité très humide de l'intérieur, sa queue ayant quand même réussi à me faire mouiller, plus tôt. Néanmoins, je ne me faisais pas d'illusion, et m'attendais au pire...

« S'il vous plait... ne me faîtes pas de mal... »

Le démon se reculait un peu en regardant l’humaine se résigner à obéir et àa se mettre à quatre patte afin de lui offrir ce qu’il voulait. La docilité était un trait de caractère essentiel si on ne voulait pas souffrir entre les griffes où les crocs du loup démoniaque qui n’appréciait guère de perdre du temps tant bien même que ce puisse être plaisant aussi. Il attendit donc, qu’elle soit en position pour se placer au-dessus d’elle. La créature était si massive que la différence de taille était flagrante quand il se plaça. Il s’affaissa légèrement, afin de se presser contre le dos de l’humaine, elle pouvait ressentir  la chaleur de la fourrure de la bête mais également observer au plus près sa tête qui se retrouvait près de la sienne.

Il ne fallu pas beaucoup de temps pour que l’imposant sexe bestial vienne trouver l’entrée de l’intimité déjà humide de l’humaine. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le gland et les premiers centimètre entrèrent tout à fait normalement comme si l’épaisseur du membre n’avait été qu’une illusion. Cependant, il n’y avait aucune illusion, simplement ue adaptation du démon à ses victime, entrer dans les humaines étaient une chose plutôt difficile quand on avait un membre aussi imposant, il avait donc modifier cette partie du corps afin de pouvoir s’immiscer en elle plus facilement avant que la taille redevienne celle aperçu auparavant. Les démons avaient des pouvoirs, même les plus bestiaux tel que Kogas et il savait les utiliser.

C’est donc dans un coup puissant que le démon-loup fit entrer le reste de son imposant sexe qui avait bel et bien l’épaisseur qui avait tant fait peur à l’humaine. Il s’écrasa comme un bélier dans le fond de l’intimité de Jessica et chacun des aller-et-venu qui suivirent fut aussi brusque et brutal. La majeure partie de l’anatomie de Kogas était toujours à l’extérieur, c’était un des inconvénients lorsqu’il décidait de monter une humaine, tout faire entrer n’était pas conseillé, s’il voulait la garder bien vivante pour le reste de la sailli. Cependant, ça ne l’empêchait pas d’y aller et d’y revenir avec force et puissance, venant s’écraser et déformer la paroi qui l’empêchait de s’engouffrer encore plus loin.

A chaque mouvement, il grognait et sa gueule près du visage de l’humaine s’ouvrait pour faire sortir  une langue elle aussi d’une taille hors-du-commun qui venait lécher la peau de la proie du loup. Le visage, le cou, le haut du dos, rien ne lui échappait.

« Humaine. Petite. Bonne. »

De nouveaux grognements gutturaux à la faible articulation ponctués par ce qui pouvait se rapprocher d’un rire. 

Je déglutis faiblement, crispée sur le lit, à quatre patte et la croupe offerte. Tout cela était trop réel pour n'être qu'un simple rêve, ou même cauchemar. Il m'était inutile d’espérer me réveiller, et m'en sortir, malheureusement, je n'avais pas d'autre choix que de laisser cette bête réclamer ce qu'il souhaitait. Ce qui, en l'occurrence, consistait à me baiser sauvagement. Même si cela ravissait ma passion pour le sexe, et que je trouvais ça assez excitant, en un sens... une profonde angoisse m'étreignait, à l'idée d'accueillir son énorme sexe en moi... même plus, à l'idée de me faire défoncer, presque littéralement, par ce loup féroce !

« Mmmnnh... »

Il commença alors doucement à me pénétrer... et, à ma grande surprise, ce n'était finalement pas si terrible ? Sa queue massive s'enfonça sans difficulté en moi, comme une verge normale à vrai dire, c'était assez inattendue. Agréable, même. Tant mieux, devrais-je dire ! Je n'eus cependant pas le temps de savourer pleinement sa chaude présence. Un puissant coup de bassin me propulsa en avant, à presque m'en faire perdre l'équilibre, et je sentis alors enfin toute l'énormité de son sexe aller et venir violemment en moi.

« Mais qu-aaaaah ! »

Le loup m'arracha un cri de douleur mêlé de plaisir et d'incompréhension. Que venait-il d'arriver !? Tout avait l'air de bien se passer, et l'instant d'après, sa queue avait grossi comme si de rien n'était ! Je serrais les dents pour ne pas crier davantage, ce qui ne m’empêchait pas de gémir intensément à chacune de ses puissantes pénétrations.

« Gnnnh ! ... Mmmhh ! »

C'était... incroyable ! L'animal remuait furieusement sur moi, frottait sa douce fourrure contre mon dos, me léchait de sa longue langue baveuse, et me baisait si fort que tout mon corps tremblait à chaque assaut de sa grosse queue. Elle me tapait cruellement jusqu'au fond, et écartait sans ménagement mes parois pour se frayer un passage dans mon intimité pourtant bien lubrifiée par mouille. *Oh, oui, que c'était bon !* C'était brutal, et assez douloureux, je n'étais pas habituée à un sexe aussi énorme et puissant... pourtant, je devais le reconnaitre, j'en éprouvais beaucoup plus de plaisir que je ne l'aurais imaginé.

« Han ! Tu... mmh... tu es bon... aaaahh ! ... aussi... »

Je lui répondis de cette simple petite remarque. Je n’exagérais pas, c'était délicieusement intense, mais le lui faire savoir n'était pas ma principale raison. Je voulais surtout essayer de flatter son égo, le complimenter, le rendre de bonne humeur. Fourrer sa queue dans une chatte étroite et humide devait sans doute être suffisant pour ça, certes, mais ses coups de langue et ses crocs proches de ma peau continuaient à faire résonner ses menaces dans mon esprit. Ce n'était pas très rassurant... pourtant c'était si excitant !

Je couinais de douleur et de plaisir, remuant mon corps au rythme des puissants chocs de son bassin contre mes fesses, en essayant tant bien que mal d'amortir ses violents assauts en moi. Sa queue était si énorme qu'elle déformait légèrement mon ventre, formant une bosse sur son passage. C'était si violent que j'avais du mal à rester en place, et finit par m'écrouler à moitié sur le lit, appuyée sur mes coudes, pendant que mes hanches se soulevaient presque d'eux-même, empalée sur la verge du loup. Je voulais qu'il ralentisse un peu, qu'il y aille plus doucement, mais d'un autre coté, j'aimais trop ça pour l'arrêter dans son élan, et puis, je ne voulais pas qu'il s’énerve contre moi... alors je me laissais faire, docile, le visage plaqué contre l'oreiller pour étouffer mes gémissements.

« Mmmmhhh ! .... Mmmmmhh ! »