Il l'avait retournée violemment, sans qu'elle puisse rien faire pour s'y opposer...Blanche Neige était traité comme une anodine poupée de chiffon, docile, obéissante et qu'on pouvait malmener à volonté...Plaquée contre le sol, les pointes durs des seins de sa proie étaient littéralement écrasées sur les oreillers de soie qui tapissaient le fond du cercueil tandis qu'elle subissait la pénétration, les vas et viens d'un appendice dur et rageur dans un vagin offert. Seffer Aelias, debout, la prenant par derrière et la traitant comme un vulgaire gibier de chasse, qu'on allait bientôt achever, avait saisit le fessier à la peau blanche et rebondit de sa princesse. Le prédateur nocturne écarta alors ces fesses fermes, pour mieux contempler son membre en action.
- Non … non …
Non ? Ne comprenait elle pas que cela ne servait à rien...Ces supplications vaines poussaient même le vampire à accélérer l'entrée et la sortie de son sexe dans la jeune femme, la traversant de part en part et lui arrachant des gémissements. Dans le contexte actuel, dire non, s'opposer a l'être des ténèbres, était un peu comme le gibier, le faisan abattu, qui se débattait dans son propre sang...C'est à dire, inutile.
Ce gibier et objet de plaisir s'agitait dans tous les sens, ses jambes se tendaient et son corps criait encore...encore, encore plus de coups tandis que Seffer, à l'écoute des demandes du corps de sa Reine des Neiges, accélérait le rythme des vas et viens, arrachant de petits cris aigus à la princesse. La honte...Le plaisir coupable avait poussé sa captive à baissé la tête, la repliant en direction du coussin, comme pour oublier la présence de son dominateur, un signe de la réussite du vampire...
- On voit ici que de jeunes enfants, Surtout de jeunes filles, Belles, bien faites et gentilles...
La morale d'un conte très adaptée à la situation de la jeune femme : Le Petit Chaperon Rouge de Perrault...qui signifiait littéralement, il est pas bien de parler à des inconnus...surtout si ils sont charmeurs, revenait à l'esprit du prédateur nocturne, qui par générosité et sadisme, la dictait à sa proie, lui donnant ainsi une petite leçon.
- La morale d'un conte qui vous correspond...Mais la fin est dès plus intéressante : Je dis le loup, car tous les loups ne sont pas de la même sorte : Il en est d’une humeur accorte...Qui, privés, complaisants et doux, suivent les jeunes demoiselles jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles....
Et il conclut par un puissant coup de son sexe dans le vagin de la jeune femme.
- Mais, hélas ! qui ne sait que ces loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux ! Quel beau conte, non ?