C’est dingue, mais au contact de la peau si douce de Sophia, j’ai perdu un peu les pédales. Désormais, ma bouche ne pouvait plus s’empêcher de lécher et de mordiller chaque carré de peau souple sur sa poitrine. Les tétons en particulier et, en les sentant durcir sous ma langue, je ne pouvais plus m’empêcher de les suçoter. Franchement, j’en avais carrément oublié tout le reste.
Oublié l’arrestation, mes ventes merdiques, mes emmerdes, tout ce qui m’importait c’était de faire gémir Sophia. Peu importe que ce soit une flic à ce stade. D’ailleurs, cette manière d’être ainsi à ses ordres, ça m’excitait plus que la normale et j’étais littéralement suspendu à ce qu’elle m’ordonnait. Ce jeu m’avait fait jeter au loin mes ennuis de la journée, et j’étais bien trop occupée à dévorer cette poitrine pour penser au lendemain.
"J’avoue, j’suis qu’une délinquante, je mérite qu-…"
En sentant sa main caresser mon sexe déjà en feu, j’inspirai brusquement, totalement surprise par le contact. A la base, j’étais déjà bien chauffée par toute cette situation mais là, ça en devenait presque douloureux. J’échappai même un couinement lorsqu’elle me toucha ainsi.
"Elle est à vous cette arme, m’dame, j'vous la laisse entièrement."
Afin d’éviter de couiner davantage, je me jetai à nouveau sur sa poitrine comme une affamée. Si ça pouvait m'éviter de gémir comme une folle en la sentant me caresser, autant lui faire plaisir en même temps. C’est vrai que ce n’était qu’un jeu, mais m’imaginer être à ses ordres me donnait littéralement des bouffées de chaleur.
Boum, à peine le temps de profiter davantage que Sophia fit basculer le fauteuil en arrière. J’allais protester mais en la voyant retirer sa dernière pièce de lingerie, je me ravisai. Les yeux brillants d’excitation, je me mordis la lèvre en contemplant cette entrejambe déjà humide, salivant déjà à l’idée d’y glisser ma langue. Et d’ailleurs, ça devait réellement se lire sur mon visage.
Bien malgré moi, j’ouvrai la bouche d’impatience, la langue légèrement sortie, ne demandant pas mieux que de retrouver un nouvel endroit à lécher. Ouais, je me lâchai bien plus que je ne l'aurais cru, mais c’était plus fort que moi. Franchement, je n'aurais pas cru avoir ce côté soumise.
"Oui m’dame, tout ce que vous voulez."
Et je ne me fis pas prier. Ma bouche se rua littéralement sur les grandes lèvres de Sophia, aspirant l’humidité qui s’y trouvait tout en les écartant pour y faufiler ma langue. C’était peut-être dû à mon inexpérience, mais j’avais carrément envie de m’abandonner à ses ordres, être aux petits soins et dévorer sa fleur. C'était tellement bon, j'en bavai peut-être même un peu. Je la léchai autant que je pouvais même si je n’étais pas certaine de connaitre les endroits les plus sensibles.
Mais peu importe, j’aspirai ce petit bouton, glissant ma langue en elle autant que possible et ne lésinai pas sur les coups de langue. J’en gémissais même, agrippant au passage ses fesses dans mes mains pour mieux l’attirer contre moi et enfouir mon visage entre ses cuisses. Même si mon érection, qui tâchait mon caleçon de petites gouttes transparentes, m’était désormais douloureuse, je ne voulais pas arrêter cette frénésie. Bon certes, sauf si Sophia me donne d’autres ordres. Mais pour l’instant, je m’occupai de son plaisir uniquement et j’espérai me débrouiller correctement pour la satisfaire.