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Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

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Lyli

Créature

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 15 jeudi 09 novembre 2017, 19:56:36

Néhérys reprenait des couleurs et vivement son souffle, aspirant et expirant avec une avidité sans pareil, revigorant ses poumons. Quel dommage tout de même, je serais bien aller un peu plus loin avec plus de temps, mais la survie avant tout. Et puis peut-être qu'avec de l'air à volonté, maintenant... Enfin si elle le voulait. Peut-être qu'en dehors du besoin de respirer mes lèvres essuieraient un cuisant refus, que l'idée d'embrasser une femme la répugnait.

Ce n'est rien, et puis en y pensant, partager le même air c'est un peu... romantique non ? Dis-je en riant, le rouge tout de même légèrement aux lèvres.

La suite quant à elle me laisse une mine boudeuse, Néhérys venait de toucher mon point sensible droit dans le mile ! Une queue de poisson ? Si seulement je pouvais, mais ce n'était plus aussi simple depuis cette fâcheuse histoire de malédiction. Comme une gamine, je l'avais un peu mal prit et gonfla les joues, en lui marmonnant qu'ont me l'avait supprimé par la magie. Ca devait faire beaucoup à avaler pour elle en une seule journée. Journée qui déviait d'ailleurs peu à peu dans l'obscurité, l'eau devenant de plus en plus froide. Je savais qu'il nous faudrait bientôt remonter sur les berges si elle ne voulait pas attraper froid ou tomber en hypothermie. En attendant, jetant une oeuillade sur ses bras croisés, je me dis que je peux bien la réchauffer un peu, le temps qu'elle soit prête à replonger pour le chemin inverse. Les escapades répétées en apnée, ça pouvait vite fatigué une constitution aussi fragile.

Moi aussi, j'ai rarement rencontré quelqu'un comme toi, même si tu n'es qu'une humaine. Tu ne sais pratiquement pas nager et pourtant tu n'as pas eu peur de moi, même quand je t'ai avoué la vérité... Si je m'écoutais, je crois qu je serais capable de t'emporter dans l'océan avec moi... Je me mis alors à rire devant cette idée ridicule, saisissant ses deux bras pour les décroiser de sa poitrine, le plus délicatement possible. Mais une humaine ne peut pas vivre dans l'océan... et une sirène n'as pas sa place sur terre. Je n'ai pas le droit de m'attacher...

C'était peut-être pour ça finalement, que je m'entêtais à ne voir les autres que comme de vulgaires proies. Même si c'était un instinct pur, écrit dans mes racines, j'utilisais peut-être ce prétexte pour enfouir tout attachement, et créer une distance inébranlable entre les autres et moi. S'il en était vraiment ainsi, je devais chérir ce moment de douceur et en garder un souvenir indélébile, chérir ces lèvres si douce et ce portrait d'ange.

Enfiin, ça ne m'empêche pas de te réchauffer un peu, l'eau est froide à cette profondeur.

Mon sourire s'était estompé pour un air plus neutre. Mon visage plonge sous l'eau et mes mains s'ancrent sur sa taille pour trouver un appuie et l'aider à se maintenir. Dans cette position avantageuse, jouer avec son corps devient vite tentant, mais je commence gentillement par embrasser son ventre, lui aussi si doux. Mes mains sages, ne le restent pas très longtemps et glissent avec dextérité sur ses fesses, sans violer l'intimité de son maillot. Si elle devait se mettre à nue, je lui en donnerait l'envie de le faire d'elle même, le pouvait compter sur moi et les divines lèvres pour ça, qui quittaient son ventre pour bientôt toiser sa culotte bleue.

Au dela de la surface je me demandais bien ce que Néhérys pouvait ressentir en profitant de mes lèvres contre sa petite culotte, en sentant les bulles d'airs se soufflés contre son intimité, lorsque je m'amusais à généreusement souffler dessus. Son corps était un délice mais je me sentais vite seule et nourrissait le désir qu'elle me rejoigne, les mains caressant toujours ses fesses, l'une d'elle s'octroyant même le luxe de taper fermement une fessée, comme pour réveiller une décharge de plaisir, essayer de lui donner l'initiative de se laisser aller.

Que penses-tu de mon corps... Néhérys ? Qu'en ferait-tu, si je te l'offrait ?

Un mouvement moins sage, tenta de suçoter ses lèvres intimes aux travers de la culotte

Néhérys

Humain(e)

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 16 jeudi 09 novembre 2017, 21:45:36

Je n’avais jamais su apprécier l’oxygène à sa juste valeur, jusqu’à ce que j’en sois privée par la force des choses. Fort heureusement, Lyli se souvint que je ne pouvais pas, contrairement à elle, respirer sous l’eau, et elle me conduisit un peu plus loin, à l’abri d’une grotte qui m’offrait un endroit pour reprendre mon souffle. Toute cette situation paraissait si irréelle, j’avais l’impression de rêver. Pourtant le froid qui m’assaillait soudainement était bien là, et la température de l’eau ne m’aidait pas à me réchauffer. Lyli parlait de manière très libérée, et ça ne me dérangeait pas mais je sentis mes joues rougir lorsqu’elle évoqua nos baisers, qui avaient été ma principale source d’oxygène durant le voyage. J’avais cette impression que la sirène n’avait pas détesté ces instants, et même qu’elle en avait agréablement profité.

« Oui c’est.. Enfin, c’est un peu étrange quand même. »

Curieuse d’en apprendre plus au sujet de la demoiselle, je me permis de l’interroger quant à ses jambes, que je pouvais voir battre alors même que nous étions au fond d’un lac. Si je me fiais aux contes qu’on me racontait depuis mon plus jeune âge, j’avais du mal à comprendre qu’elle ne possède pas cette queue si caractéristique des membres de son espèce. Visiblement mal à l’aise, Lyli éluda ma question et se contenta de souligner mon courage, ou plutôt mon inconscience, d’avoir suivi une parfaite inconnue dans les profondeurs. 

« M’emmener dans l’océan ? Au fond d’un lac c’est une chose, mais je n’suis pas sûre que je te suivrai si loin… Il y a encore tellement de choses que j’aimerais voir sur terre. »

Lyli semblait souffrir de sa condition, et j’en venais à ressentir de la peine pour elle. Mais je ne pouvais décemment pas abandonner ma vie terrestre pour suivre une sirène au fond des mers, parce que malgré mon histoire et mon passé douloureux, je tenais bien trop à la vie qui était la mienne. De nouveau, mon corps tout entier frissonna violemment. Il faisait terriblement froid dans cette grotte, et je n’avais pas pour habitude de me baigner si longtemps. La sirène ne manqua pas de le remarquer, et proposa d’aider à me réchauffer. Ne comprenant pas ce qu’elle avait en tête, je me contentai de rester là, sans bouger, quand elle disparut sous l’eau. C’est alors que ses mains passèrent autour de ma taille, et je sursautai de surprise. A la merci de ses envies, je réprimai un soupir lorsque ses doigts vinrent effleurer mes fesses par-dessus ma petite culotte, tandis que je sentais mon cœur s’accélérer douloureusement dans ma poitrine. La chaleur qui naissait dans mon bas-ventre me troublait, je ne pouvais simplement pas accepter cette possibilité. Finalement, la sirène devint plus entreprenante encore et glissa ses lèvres sur le tissu couvrant mes parties intimes. Mes joues n’avaient jamais été aussi rouges qu’en cet instant, je me sentais me liquéfier sur place tant je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Particulièrement gênée, je resserrai mes cuisses l’une contre l’autre pour l’empêcher de se frayer un passage jusqu’à mon intimité.

« Lyli, qu’est c’que tu… hm.. Non… Arrête ça… »

Soupirai-je pour tenter de l’arrêter. Au lieu de ça, Lyli m’octroya une légère tape sur les fesses, et ses lèvres embrassèrent plus franchement ma petite culotte. Je tentai alors de reculer mais me heurtai très vite à la roche froide et dure de la grotte, me retrouvant ainsi coincée entre la sirène et les parois. Bien qu’épuisée, je trouvais malgré tout la force de placer mes mains sur les épaules de Lyli pour l’inciter à remonter à la surface. Si elle était parvenue à me mettre en confiance, je sentais désormais qu’elle représentait un danger pour moi. Mon corps avait beau réagir à chacune de ses caresses, j’étais terrifiée à l’idée qu’elle puisse vouloir abuser de moi et de ma naïveté à la suivre dans une zone aussi dangereuse pour moi.

« T-tu as un très beau corps Lyli, tu es magnifique, vraiment. Mais je… J’peux pas faire ça. C’est trop.. C’est tellement bizarre ! »

Lyli

Créature

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 17 vendredi 10 novembre 2017, 00:13:21

Tout avait pourtant si bien démarré, son corps doux réchauffait le miens et m'apaisait, les formes de son corps même capturées sous la dentelles me suffisaient amplement. Et pourtant, pourtant ! Néhérys en décida autrement de deux mains sur mes épaules. Un contacte que j'aurais pu aisément briser au vu de nos différences de forces dans l'eau, j'aurais pu envoyer valser ses bras et continuer sans soucis mais la déception de ce geste, venant de ses propres mains..." j'peux pas faire ça", " trop bizarre ? " Pourtant elle l'avait elle même dit, j'étais magnifique à ses yeux, autant que l'ont peut en espérer d'une séduisante sirène. Même son coeur battait comme un tambour de guerre !

Bizarre ? Pourquoi les humains ne peuvent-ils tout simplement pas se laisser porter par leurs envies, pourquoi doivent-ils avoir si honte, tant réfléchir ? Et trouver quand même ça.. bizarre ?

Tout à coups, mes mains se crispent sur les deux épaules de Néhérys, comme un réflex, de toute ma poigne. Interprétant peut-être mal ses mots, je crois avoir compris ou elle voulait en venir en me répétant ses dernier mots, intérieurement. Je grimace alors, avant de rire, rire sous le ridicule en déviant mon bras contre son cou, pour l'écraser avec poigne entre la parois et mon corps.

Oui je comprends ! Tu me trouves belles, mais ce serait trop bizarre, comme ces baisers, ça te dégouterais c'est ça ? Parce que je ne suis pas humaine, je suis une.. comment vous appelez ça chez vous, ah oui ! Une créature ! C'est effrayant une créature !

L'autre main avec tout autant de férocité, empoigne sa poitrine, ne lui laissant pas le choix, le malaxant vivement tout en calant mon genoux entre ses cuisses.

C'est vrai après tout, tu as raison, pourquoi j'essaye de me comporter comme une humaine, je suis une prédatrice, une créature dangereuse. Tu as bien raison d'avoir peur, je peux te noyer.

Je sens qu'il est déjà trop tard pour moi, cette contrariété m'as fait perdre le combat contre mes instincts primaires, et Néhérys s'enfonce bientôt sous l'eau, toujours bloquée entre mon corps et ma parois. Dangereuse, je l'étais, et agir ainsi n'étais surement pas dans mes premiers plans, ni même dans le second. Peut-être qu'en me contrôlant un peu plus, en restant calme, tout aurait été différent et je me serais vite rendue compte qu'elle ne voulait pas dire ce que j'avais compris.

Toi aussi tu es magnifique, je le pense vraiment. Je tord son sein avec énergie, la maintenant sous l'eau malgré la terreur et les bulles qui virevoltent, ne la laissant respirer qu'aux moment critique, avant de la replonger avec un sourire carnassier.Je préfère pas t'aider à respirer comme tout à l'heure, ce serait trop bizarre !

Pourtant, la Lyli blessée mais possédant encore tout ses esprits n'était pas loin, comme emprisonné par une raison factif qui me murmurait que j'étais effrayante à ses yeux, depuis qu'elle avait apprit mon secret. Il ne me faudrait un rien pour revenir à la raison, ne serait-ce qu'un petit geste, une lueur. En attendant, je travaillais encore et toujours sa poitrine en tirant fort sur ses deux tétons quand cela me prenait, comme s'il s'agissait de deux morceaux de caoutchouc que je pouvais étirer à volonté. Tout en bas, l'eau se réchauffe par mes vif friction du genoux contre sa culotte, malmenant toujours la pauvre Néhérys entre l'eau et la surface, épuisant à petit feu ses maigres capacités en apnée. Elle pouvait au moins se rassurer sur mon but, qui n'était pas de la faire sombrer dans l'inconscience.

Néhérys

Humain(e)

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 18 vendredi 10 novembre 2017, 01:00:58

A l’instant où mes yeux avaient croisé ceux de la sirène, j’aurai dû comprendre que ce n’était pas une fille comme les autres. Ca m’apparaissait désormais comme une évidence, mais il était trop tard. En refusant ses avances, je l’avais blessée dans son orgueil. L’expression de son visage changea presque aussitôt, et je commençai déjà à craindre le sort qu’elle me réservait si je ne cédais pas. Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre qu’en réalité, la jolie brune avait simplement mal interprété mes paroles. Je n’avais absolument rien contre le fait qu’elle soit une sirène, à vrai dire, j’étais même plutôt émerveillée de rencontrer une créature si unique pour la première fois de ma vie. Sa voix n’était plus aussi douce qu’elle avait pu l’être quelques instants plus tôt. Lyli haussait le ton, et je commençais à me demander si elle serait réellement capable de me faire du mal.

« Non ! Non c’est pas.. »

Je ne parvenais pas à me défendre, tant la sirène laissait exploser sa colère. Il n’était pas si facile pour moi d’admettre que le sexe était encore quelque-chose d’assez inconnu pour moi, et plus encore avec une femme. J’avais déjà eu quelques copains, mais jamais rien de très sérieux et les quelques relations charnelles que j’avais eues ne m’avaient pas franchement laissé un bon souvenir. C’est sans doute pour cette raison que j’avais tant de mal à accepter qu’elle me touche de cette manière. Ses mains enserraient ma gorge, et mon cœur s’accélérait violemment : Lyli n’avait plus du tout la même attitude que précédemment et devenait agressive, au point de me tenir prise au piège entre son corps brûlant et la paroi froide de la grotte. Soudain, elle empoigna l’un de mes seins avec force tandis que son genou allait se loger entre mes cuisses, m’arrachant malgré moi un gémissement que je ne parvins pas à taire.

« Laisse-moi partir ! »

Criais-je avant d’être entraînée sous l’eau par la jeune femme, qui refusait de lâcher prise. Ses doigts torturaient mes tétons, et je sentais cette même chaleur envahir chaque parcelle de mon corps alors que je continuais de me débattre vivement. Son genou contre ma petite culotte me procurait d’intenses sensations que je refusais d’accepter. Et pourtant, une partie de moi avait envie de plus, cette partie-là adorait cette torture qu’elle me faisait subir. Ayant décidé de ne plus m’embrasser, Lyli me permettait par moment de reprendre un peu d’air mais juste assez pour retourner s’amuser avec mon corps, entièrement à sa merci. Sans que je ne le veuille vraiment, mes cuisses s’écartaient progressivement, signe que mon corps appréciait l’instant bien plus que je ne voulais l’admettre.  Profitant de quelques secondes de répit à la surface de l’eau, je repris la parole d’une voix haletante.

« Hmm… Lyli non… C’est trop embarrassant… »

Mes seins tendus et mes tétons pointés témoignaient pourtant du désir qu’elle était parvenue à éveiller chez moi, mais l’avouer était au-dessus de mes forces. Une nouvelle fois immergée, j’ouvris les yeux pour constater tout le plaisir que Lyli prenait à disposer de mon corps comme bon lui semblait.

Lyli

Créature

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 19 vendredi 10 novembre 2017, 01:39:21

Les bulles qui volaient, les gémissements intenses à la reprise de son souffle, et même ses tentatives de communication à la surface. Plus rien de tout cela ne parvenait à me faire rebrousser chemin, il n'y avait plus que l'eau, une proie, ainsi que moi et mon plaisir égoïste. Trop embarrassant dit-elle ? Elle n'avait qu'à pas tomber à l'eau comme une enfant aussi ! Et un peu de pratique en natation ne lui aurait pas fait de mal, au passage. Ca lui aurait évité de croiser mon chemin si désagréable ! Oui, tant pis pour elle après tout, comme un insecte tombant dans la toile de l'araignée elle s'était engluée dans mon domaine, et c'était dans l'ordre des choses de jouer avec cette petite saute... Cette adorable petite saute.

Oui débat-toi, ce ne serait pas autrement !

Je pinçais douloureusement ses tétons si enflés par le plaisirs, qu'ils semblaient sur le point d'éclater. Je jouais durant de nombreuses minutes avec, alternant toujours entre la surface et l'eau, si fréquemment que j'avais l'impression de la saouler avec son propre oxygène. Pour autant, ça ne dissipais pas mes projets de jouer avec son corps, bien au contraire puisque le genoux céda sa place à mon autre main incrustant sa culotte, pour y chauffer son intimité débordante de plaisir. Un plaisir qu'elle se refusait encore malgré tout. Pourtant, je pouvais déjà bien sentir la chaleur du liquide suintant son antre-jambe, celui là même qui réchauffait mon index arpentant ses parois serrées. Même l'intérieur de son sexe était d'une douceur infinie.

Et tu sais quoi ? tu n'es même pas au bout de tes surprises, je possède un autre secret Néhérys, mais pour ça on a tout notre temps.

Comme elle avait du boire la tasse à diverse reprise je la laissait reprendre son souffle à la surface, mais avec un petit cadeau en prime : Sa culotte, trempée dont je venais de la débarrasser, qui alla se loger directement entre ses lèvres comme un fin bâillon, que je noua derrière sa tête. Pour le plaisir de la voir plus soumise ? Incontestablement, mais aussi parce que je savais au fond de moi, que mon coeur ne tiendrait pas d'autres supplication, qui me ramènerait à la raison. C'était une manière de nouer ses paroles et d'éviter qu'elle me fasse changer d'avis.

De toute façon je n'avais pas besoin de raisons, ça la rendrait adorable, vulnérable, ça me donnait envie de l'embrasser tendrement à travers son bâillon, ce dont je ne me priva pas tout en recommençant à gigoter l'index en elle, avec ferveur. Mes autres doigts longeait son dos pour dégrafer enfin le dernier vêtement et la mettre à nue, laissant son soutient-gorge en dentelle flotter à la surface, devant ses yeux pour qu'elle contemple le dernier rempart de sa pudeur, envolé...

Bon débarras, ça ne lui servait plus de toute façon, et le parcours le long de son échine pu reprendre jusque sur ses petites fesses.

Abandonne toi à l'ivresse, ferme les yeux, oublie tout... Ne ressent plus que ton corps appelant le miens, ton coeur qui hurle silencieusement mon nom.

Le pouce, virevoltant sur son clitoris, apportait un peu de douceur à cette pénétration, bientôt rejoint par un second doigt.

Néhérys

Humain(e)

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 20 vendredi 10 novembre 2017, 02:23:14

Le soudain changement d’attitude de Lyli me déstabilisait complètement. Je n’arrivais pas à comprendre ce que j’avais pu dire de si terrible pour qu’elle se transforme en une prédatrice juste prête à fondre sur sa proie. Et dans ce tableau, la proie, c’était moi. Je ne me faisais d’ailleurs aucune illusion. Piètre nageuse et pas du tout à l’aise dans l’eau, mes chances de m’en sortir indemnes étaient quasiment nulles pour ne pas dire inexistantes. Elle me savait piégée et je la soupçonnais d’adorer la domination qu’elle exerçait sur moi à cet instant. Dans son élément naturel, la sirène avait un large avantage sur moi et ne se privait pas de me le rappeler. J’avais beau me débattre aussi fort que possible, ma faible constitution ne me permettait qu’une endurance très limitée en milieu aquatique. Couplée à mes lacunes en natation, je ne pouvais simplement pas lutter. Pourtant, mon esprit de contradiction reprenait le dessus, si bien que j’essayais malgré tout de lui échapper. Mais la belle tortionnaire avait trouvé un moyen efficace de me forcer à rester en place en pinçant douloureusement mes tétons, m’arrachant à chaque fois quelques gémissements mêlant douleur et plaisir.

La sirène n’en avait pas fini avec moi, loin de là, et bientôt, son genou quitta mon entrejambe pour laisser sa main se faufiler sous ma petite culotte. N’ayant aucune envie de lui faciliter la tâche, je resserrai les cuisses au maximum mais ses doigts parvinrent sans difficulté à se frayer un chemin sur ma fente humide. Son index s’insinua doucement en moi et je réprimai un cri de plaisir, refusant de lui montrer que j’aimais ça, en quelques sortes. Assaillie par une chaleur presque étouffante, je n’avais pas l’intention de la laisser aller plus loin.

« Je te jure que si tu n’retires pas ta main tout de suite je.. Hmmm.. »

Incapable de terminer ma phrase, je subissais les caresses intimes de la sirène qui continuait de me ramener à la surface chaque fois que j’en ressentais le besoin. Cette fois pourtant, elle récupéra ma petite culotte et me l’enfonça dans la bouche, empêchant ainsi toute protestation de ma part. Du bout de ma langue, je goûtais le liquide sucré qui n’avait rien à voir avec l’eau du lac. J’avais beau nier, cette fille était parvenue à me faire mouiller de quelques baisers. Déjà la main libre de la jeune femme s’insinuait dans mon dos pour me débarrasser de mon soutien-gorge, et je me retrouvai finalement entièrement nue, à disposition de Lyli qui semblait ravie de pouvoir assouvir ses envies les plus perverses en se servant de moi. La fatigue s’emparant de moi, j’avais de plus en plus de mal à me débattre, si bien que je n’arrivais pas à la repousser. Je ne répondais plus de rien, seul mon corps réagissait encore aux délicieuses tortures que la sirène m’infligeait. Soudain, elle enfonça un second doigt en moi tandis que son pouce massait doucement mon clitoris, et je sentais vibrer chaque parcelle de ma peau. Me cambrant plus franchement sous l’effet du plaisir qu’elle me procurait, je tentais malgré le baillon de protester encore, mais mes mots s’avéraient parfaitement incompréhensibles. Tout ce que Lyli pouvait encore entendre, c’était les soupirs appuyés et les grognements répétés qui s’échappaient de ma gorge chaque fois qu’elle accentuait ses caresses.

Lyli

Créature

Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)

Réponse 21 vendredi 10 novembre 2017, 14:08:18

La menace avant que la petite culotte ne la fasse taire disparaissait dans le néant, étouffée par le tissus humide, et imbibé de son nectar. Elle pouvait ainsi se rappeler à chaque gémissements que ce gout particulier était le sien, qu'elle y prenait plaisir malgré son corps tendu et stressé. Il allait être difficile de lui offrir la délivrance, même avec deux doigts prêts à tout pour son bonheur. Il était peut-être temps de la bousculer un peu plus, de pousser son corps à ses limites, au bord du précipice qui l'enivrerait.

Je dois l'admettre, ta force de caractère m'étonne. Ton corps si bouillant pourrait lâcher à tout moment, s'évanouir dans le bonheur mais toi, tu résiste encore... Je t'ai sous-estimé. Un sourire sincère se dessinait, au milieu de cette fragilité, cette force qu'elle y mettait était honorable, et me plaisait énormément Cependant, On a tous une limite.

Sur ces mots, j'ancre fermement mes doigts au fond de son puits à plaisir, et y reste, les doigts retroussées comme des crochets cherchant à gratter le fond, et à ne surtout pas s'extirper. Son joli cou, alors offert à tous les supplices possibles, y trouve à nouveau mes lèvres dans ses baisers plus féroces, dignes d'un vrai vampire. J'embrasse, je suçote sa peau douce avec envie et me laisse tenter à mordiller à peine sa chaire, comme une féline joueuse. Sous l'intensité de mes actes, mon corps chaud et tout aussi bouillonnant lui rappel à quel point ma poitrine surplombe la sienne, se blottissant, s'écrasant contre son torse tremblant de plaisir, comme le reste de son corps affolé.
Pourtant, alors que rien ne parait pouvoir être plus intense, je compte déjà bien la prendre par surprise et lui voir si elle résisterait à l'orgasme, avec ce que je prévoyait de lui faire subir. Oh, juste un petit rien... Mais qui ferait amplement la différence.

Ne soit pas si farouche, tu sais, c'est toi qui t'occuperas de moi après ça, Néhérys.

pinçant son bouton d'amour en provocation, je reprends activement mon doigté intense, frottant activement ses parois chaude et tendues, inondé par un liquide loin d'être de l'eau. Ce n'était plus très loin, je le sentais, mais ce n'était pas encore le moment de livrer mon ultime atout, ce petit geste qui la déstabiliserait et la perturberait. Non, je voulais encore jouer un peu avec elle, la faire languir, la faire croire qu'elle pouvait encore maitriser son corps même en frottant ma poitrine contre son thorax, écrasé sous le poids de mes deux orbes lourdes, mais moelleuses. Quel veinarde... imaginer les contradictions que son corps subissait, me faisait moi aussi un sacré effet, de la cyprine perlait déjà à l'aube de mes cuisses alors que je les serrait, un peu comme avait parfois tenté de le faire Néhérys. Seulement pour elle, ce n'était pas autorisé et chaque tentatives se retrouvaient bloqué par un coups de main plus féroce.

J'avais au moins tenu ma promesse de lui faire oublier le froid malgré tout, et pouvait donc soutenir le regards de Néhérys fièrement... Mais je le soutenais aussi pour ne rien louper de son expression finale, pendant le moment opportun. Un moment que je voulais savourer jusque dans le moindre détail et qui poussa mes lèvres dans un dernier baiser, qui glissa son bâillon hors des lèvres d'un jolie coups de dents. Oui, je voulais aussi entendre jusque dans ses derniers cris, ses dernière supplication alors que la pénétration était à son point le plus intense et que la surprise, fit son apparition en un profonde mouvement, venant de derrière. Mon autre main jusque là si sage, qui caressaient ses fesses d'un mouvement si tendre, dérapa sans prévenir pour s'inviter dans un endroit tabou, mais ô combien hérogène. Et ce n'est ni ses plaintes ni des supplications qui feront ressortir cet index, déterminé à stimuler ses parois anales, jsuqu'à en faire cambrer son corps.

Il n'en ressortirait pas tant qu'elle n'aurait pas cédé à cet orgasme explosif.


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