La menace avant que la petite culotte ne la fasse taire disparaissait dans le néant, étouffée par le tissus humide, et imbibé de son nectar. Elle pouvait ainsi se rappeler à chaque gémissements que ce gout particulier était le sien, qu'elle y prenait plaisir malgré son corps tendu et stressé. Il allait être difficile de lui offrir la délivrance, même avec deux doigts prêts à tout pour son bonheur. Il était peut-être temps de la bousculer un peu plus, de pousser son corps à ses limites, au bord du précipice qui l'enivrerait.
Je dois l'admettre, ta force de caractère m'étonne. Ton corps si bouillant pourrait lâcher à tout moment, s'évanouir dans le bonheur mais toi, tu résiste encore... Je t'ai sous-estimé. Un sourire sincère se dessinait, au milieu de cette fragilité, cette force qu'elle y mettait était honorable, et me plaisait énormément Cependant, On a tous une limite.
Sur ces mots, j'ancre fermement mes doigts au fond de son puits à plaisir, et y reste, les doigts retroussées comme des crochets cherchant à gratter le fond, et à ne surtout pas s'extirper. Son joli cou, alors offert à tous les supplices possibles, y trouve à nouveau mes lèvres dans ses baisers plus féroces, dignes d'un vrai vampire. J'embrasse, je suçote sa peau douce avec envie et me laisse tenter à mordiller à peine sa chaire, comme une féline joueuse. Sous l'intensité de mes actes, mon corps chaud et tout aussi bouillonnant lui rappel à quel point ma poitrine surplombe la sienne, se blottissant, s'écrasant contre son torse tremblant de plaisir, comme le reste de son corps affolé.
Pourtant, alors que rien ne parait pouvoir être plus intense, je compte déjà bien la prendre par surprise et lui voir si elle résisterait à l'orgasme, avec ce que je prévoyait de lui faire subir. Oh, juste un petit rien... Mais qui ferait amplement la différence.
Ne soit pas si farouche, tu sais, c'est toi qui t'occuperas de moi après ça, Néhérys.
pinçant son bouton d'amour en provocation, je reprends activement mon doigté intense, frottant activement ses parois chaude et tendues, inondé par un liquide loin d'être de l'eau. Ce n'était plus très loin, je le sentais, mais ce n'était pas encore le moment de livrer mon ultime atout, ce petit geste qui la déstabiliserait et la perturberait. Non, je voulais encore jouer un peu avec elle, la faire languir, la faire croire qu'elle pouvait encore maitriser son corps même en frottant ma poitrine contre son thorax, écrasé sous le poids de mes deux orbes lourdes, mais moelleuses. Quel veinarde... imaginer les contradictions que son corps subissait, me faisait moi aussi un sacré effet, de la cyprine perlait déjà à l'aube de mes cuisses alors que je les serrait, un peu comme avait parfois tenté de le faire Néhérys. Seulement pour elle, ce n'était pas autorisé et chaque tentatives se retrouvaient bloqué par un coups de main plus féroce.
J'avais au moins tenu ma promesse de lui faire oublier le froid malgré tout, et pouvait donc soutenir le regards de Néhérys fièrement... Mais je le soutenais aussi pour ne rien louper de son expression finale, pendant le moment opportun. Un moment que je voulais savourer jusque dans le moindre détail et qui poussa mes lèvres dans un dernier baiser, qui glissa son bâillon hors des lèvres d'un jolie coups de dents. Oui, je voulais aussi entendre jusque dans ses derniers cris, ses dernière supplication alors que la pénétration était à son point le plus intense et que la surprise, fit son apparition en un profonde mouvement, venant de derrière. Mon autre main jusque là si sage, qui caressaient ses fesses d'un mouvement si tendre, dérapa sans prévenir pour s'inviter dans un endroit tabou, mais ô combien hérogène. Et ce n'est ni ses plaintes ni des supplications qui feront ressortir cet index, déterminé à stimuler ses parois anales, jsuqu'à en faire cambrer son corps.
Il n'en ressortirait pas tant qu'elle n'aurait pas cédé à cet orgasme explosif.