Fusionner des cultes n’était pas une chose aisée. Les Dieux étaient ce qu’ils étaient, car ils avaient des fidèles, des prêtres, des cultistes, des gens qui croyaient en la protection d’une divinité, pas d’une autre. Cela, Sha le comprenait, mais, comme elle l’avait indiqué à Sanguilia, elle savait aussi que leurs ennemis étaient puissants. Ils étaient suffisamment forts pour avoir corrompu les Olympiens. Chargés de défendre Terra contre les menaces divines ou surnaturelles, les Olympiens avaient succombé à leurs vices quand quelqu’un avait réussi à manipuler la jalousie d’Héra pour l’amener à ouvrir la Boîte de Pandore, déversant dans l’Olympe les fléaux divins. Depuis lors, le monde entier sombrait peu à peu dans le chaos, et l’Olympe s’effondrait sur place. Les Olympiens disposaient encore de territoires, d’armées, de cités religieuses qui les servaient, mais leur influence diminuait graduellement... Sans pour autant les rendre moins dangereux. Sha était maintenant en conflit ouvert avec Zeus, et elle savait que ce n’était plus qu’une question de temps avant que les troupes de Zeus ne frappent à sa porte. Pour elle, il était donc important de se rapprocher encore de Sanguilia, mais elle ne voulait pas forcer les choses, ni mettre du froid entre elles.
Pour résoudre cette tension, Sanguilia embrassa tendrement Sha. Un baiser très affectueux, où sa langue fila dans la bouche de la Déesse, ses deux mains posées sur ses joues... Et Sha, elle, alla poser les siennes sur les fesses de Sanguilia, fermant les yeux en répondant à son baiser.
« Hmmmm... »
Sha sourit quand Sanguilia lui demanda si elle la pardonnait. Une lueur espiègle dansa dans les yeux de Sha, qui s’avança brusquement, et coinça Sanguilia contre le mur.
« Non, pas encore... Il n’y a qu’un seul moyen de se faire pardonner avec moi, amour... »
Ce n’était, bien sûr, qu’un prétexte, mais, après tout, tout prétexte était bon pour faire l’amour avec Sanguilia. Sha se concentra un peu, et s’empressa de pénétrer Sanguilia, sous sa robe, avec sa belle verge. Son membre s’enfonça lourdement en elle, profondément, et Sha soupira de plaisir, avant de se retirer un peu, faisant redescendre le corps de la Déesse, qui frottait contre le mur, puis repartit en avant, sentant rapidement sa queue disparaître dans le vagin de la femme, dont les parois n’avaient pas encore totalement oublié le contact avec les queues dures et grosses de Mélisandre.
Sha soupira à nouveau, la pénétrant langoureusement, longuement, ses mains glissant sous la robe de Sanguilia pour caresser ses jambes, et elle continua ses coups de reins, sous le regard envieux, et non moins excité, de Luxuria.
« Hmmmm... Là... C’est ici que Pyrrha va grandir, Sanguilia, alors... Remplissons ce lieu d’amour... Pour elle, pour notre fille... »
Et Sha continua donc à la bourrer.