Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un Voeu ? [PV]

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Hestia

Dieu

Un Voeu ? [PV]

dimanche 09 août 2009, 02:04:25

A la différence de la plupart des êtres vivants, Hestia était une Déesse, avec un grand D. Et donc, à la différence de la plupart des êtres vivants, elle pouvait accoster n'importe quel passage sans le fouler du pied. N'entendez pas par là une téleportation : c'est un peu plus compliquée que cela, et surtout beaucoup moins grossier. C'est un Art, l'Art qu'ont les Déesses depuis les Origines, et dont personne ne peut définir la nature. Dieux et Déesses se projettent à l'endroit qu'il leur plaît, grâce à cet Art. C'est tout simplement trop complexe pour un esprit simplement humain.

La Déesse du Feu n'avait donc pas eu à faire beaucoup de chemin, pour arriver devant cette étrange demeure. Une habitation d'une beauté et d'une complexité visuelle rare, surtout dans un tel endroit. L'aura qui émanait d'un lieu aussi beau ne pouvait être que bénefique : c'était du moins ce que Hestia percevait, et comme toutes les Déesses, elle ne se trompait pratiquement jamais.

La voici donc guidée par cette aura dont elle n'arrivait pas à définir l'exacte identité. Elle se doutait que n'importe quel être trouverait cela étrange. Ses pieds semblaient avancer sans sa volonté. Dans un sens, c'était même inquiétant. Quelle était cette étrange force qui pouvait piéger dans ses griffes la plus puissante forme de vie qui pouvait exister ?
Cela ne suffit pas à Hestia pour lui faire perdre une serénité acqusie depuis longtemps, et, sans grande résistance, elle laissa l'Aura guider ses pas divins, à travers le kekkai, tout d'abord, pourtant hermétiquement fermé, pour interdire l'accés aux indésirables. Un chemin plus lointain à travers les dalles de pierre, qui semblaient être disposées chacune sur une place bien précise, avec un goût sûr. Puis venait le couloir. Ce couloir dont le tatami faisait résonner les talons cramoisies de la Divine, qui se prenait au jeu en gardant tout de même une certaine méfiance.

Puis, l'Aura la stoppa, lui laissant le contrôle de ses membres en douceur. Hestia stoppa ainsi son chemin juste avant l'entrée d'une salla laquée de blanc. La beauté et la serénité de ce lieu, qui avait tout de même encore beaucoup à envier à l'Olympe, n'acheva pas d'endormir sa méfiance, mais un sourire apparut sur la magnifique opale de son visage, rendant ce lieu encore plus attirant. On aurait dit que la beauté de cette Déesse était tout ce qu'il manquait à l'habitation, et son propriétaire ne pouvait pas ne pas l'avoir remarqué.


« ...Ma visite était-elle attendue ? »


D'un mouvement de sa main droite, la Divinité replaça sa cape en peau de larynx. Son sourire en demi-lune éclairait toujours autant la pièce, d'un voile de mystère qui se rajouta à celui déjà entièrement présent.

A la différence de la plupart des êtres vivants, l'inconnue de faisait pas peur à Hestia.
Et c'était tant mieux.
Pour Elle, l'Amour est un Feu qui Vivifie.
Pour Vous, c'est une Flamme qui Dévore.

RP EN COURS...
La Braise... contre la Flamme. [Aphrodite]
Un Voeu ? [Daclusia]
Le Crépuscule. [Cyanne]
Un haton perdu sur la berge... [Diane]

Daclusia Khaleos

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Re : Un Voeu ? [PV]

Réponse 1 dimanche 09 août 2009, 02:44:02

Il y avait comme une senteur sucrée dans l'air. De la vanille. De la vanille, et de la cannelle aussi. Un tel arôme ne pouvait passé inaperçu pour le moindre visiteur, sauf si celui-ci avait le nez tranché. Il était si fort, si intense, qu'on aurait dit qu'un pot ayant longtemps prit de l'âge, fermé hermétiquement, venait de libérer d'un seul coup tout le goût et toute la force de son parfum en un seul instant. Imperceptible depuis l'extérieur. Impression grisante à l'entrée. Plaisir olfactif à chaque pas, de plus en plus fort à chaque avancée dans la bâtisse.

Au fond, dans le jardin, du côté opposé à la rue, et donc invisible pour un visiteur prenant la porte principale, on nageait dans une expression béate de bonheur couleur guimauve. Affalé, dans un kimono bleu marine à motifs de lys blancs, survolés de ci de là par quelques papillons tout aussi purs, les yeux clos pour bien focaliser toute sa perception sur son nez, un homme. Un vendeur. Un JYL. Daclusia.
Ses pieds nus caressés par la brise fraîche du vent de soir d'été, il humait, drogué à ce parfum, le résultat de la macération d'un brin de vanille et d'extraits de cannelle qui avaient passé juste ce qu'il fallait de temps au fond d'un pot à épice. À ses côtés, tout aussi béas face à cet arôme paradisiaque, Atheo, Adeus, qui laissaient avec leur enthousiasme de petit garçons ces relents flatter leur sens.
Ce pot, il l'avait reçu en payement d'un ancien client... Un petit vieux, très sympathique, sur qui le temps n'avait eu d'autres emprises que la grisaille qui parsemait sa tête et l'assagissement qui caractérise ceux qui ont vu la vie de bout en blanc. Il avait peur de quitter la vie en laissant derrière lui des peines et des regrets. Son vœu était de pouvoir quitter ce monde serein. Ce pot fut le payement. Ensuite, ils avaient trinqué autour d'un thé à la menthe, et s'étaient laissés emporté dans une partie d'échec.
Et maintenant, plusieurs jours plus tard, ceux qui reçurent ce met gastronomique cinq étoiles pour le nez en profitaient pleinement... Est-ce un hasard si c'était aussi le moment de la visite d'une certaine déesse...? Hehe... Je pourrais répondre, mais j'aurais peur de me répéter...

Le hasard n'est pas de ce monde...

Extirpant une flasque de l'intérieur de son kimono, et levant les yeux au ciel pour y voir les nuages et leur danse, plus belle encore que celle des meilleures troupes, on pouvait deviner du JYL qu'il était heureux. Des moments comme ceux-ci étaient rares, et il fallait en profiter à fond... Entre deux gorgées d'un liquide ambré à l'odeur douce et sucrée, Daclusia prit la parole. Parlait-il tout seul? Parlait-il à Até et Adé? Avait-il prit conscience d'une présence étrangère dans sa demeure? Qui peut le dire...


" Pour compléter ce banquet des sens, je ne vois rien de mieux qu'un bon thé à la menthe... Ce fumet pour le nez, cette boisson pour la langue, les murmures du vent pour mes tympans, sa caresse pour ma peau... "

La tête du vendeur bascula vers l'avant, quittant des yeux les nimbus et autres cumulus, pour se poser vers la déesse, qui était au bout du couloir. Couloir dont la porte coulissante était ouverte, transformant ce pan de la maison en véritable terrasse couverte.

" ... Et une déesse pour mes yeux... "

Après un geste en spirale de sa main tenant la flasque de thé, signifiant quelque chose comme "Santé!", Daclusia planta littéralement la flasque dans sa bouche, la termina en une goulée, et après un "Haaaaa!" satisfait, replongea dans la contemplation des nuages, comme si de rien n'était, et comme si il n'avait pas de visiteur...

Un de ces nuages avaient la forme d'un papillon... Et celui juste en dessous, d'un feu... Ils se mélangeaient lentement, comme si l'insecte se brûlait les ailes à une flamme trop attirante pour en sentir le danger...

Hestia

Dieu

Re : Un Voeu ? [PV]

Réponse 2 dimanche 09 août 2009, 03:30:03

La Divinité était habituée à ce que sa présence se fasse en retourner plus d'un. Dix. Ou peut-être trente. Ils contemplait, parfois touchaient. Se brûlaient les doigts, parfois gravement.

Il n'y avait pas encore eu, dans ce monde tellement différent de celui que Hestia avait fait l'honneur de fouler de ses pieds de geisha, un être assez résistant à l'aura Divine qu'elle répandait sur son passage. A ce jour, tout le monde l'avait vu se donner à des centaines et des centaines de regards, tous de nature différente et parfois, ou plutôt souvent, outrageusement lubriques.

Il y avait cet homme au kimono de soie, qui préferait regarder l'infinie étendue azurienne, fouettée de part et d'autres de queue de chat blanches...
Lui, ne la regardait nullement. Elle, ne s'en trouvait pas injuriée pour autant.

Une Divinité habituelle exigeait souvent que l'on pose ses yeux sur elle. Pour vouer un culte, on devait commencer par en détailler la Nature. Certains mortels trop butés s'était fait arracher leurs yeux par des Déesses trop... vaniteuses.

Qu'importait à Hestia, qui avait trop bon coeur, de se retrouver miré par cet étrange personnage ? Elle-même se contentait d'observer les lieux, en gardant un oeil sur Daclusia.

Il n'était définitivement pas un humain normal.


« C'est une invitée pour le Maître ! »
« Une invitée pour le Maître ! »

Des voix juvéniles effleurèrent les oreilles de la Divine, et quatres petites mains spectrales vinrent s'accrocher à sa cape et à sa jupe, la tirant doucement, mais avec l'énergie que les enfants possèdent tous, et qui mute forcément, le stade de la maturité passé. Hestia parvint à se faire plus froide pour ne pas abîmer ce contact.

Elle regarda dans le blanc des yeux de ces deux visages clairs... en déduisit rapidement que ces deux garçonnets exprimait une joie froide. Deux sourires pâles, comme leurs lèvres blanches.
Ils n'avaient pas d'âmes.

La Déesse se laissa tirer de par et d'autres, pour pénetrer dans le jardin et marcher sur le chemin de dalles de pierre, semblable à celui de l'entrée. L'attention de Daclusia sur le chemin des nuages n'en fut pas dérangé.

Les deux petits hommes reprirent place près de leur Maître, l'enlaçant presque du bout des doigts.

Hestia, elle, se contenta de sourire, plus attendrie par les chérubins qu'autre chose. Cependant, devant tant de mystère, elle se sentait moins puissante que jamais. Pourtant, ses pouvoirs étaient pleins. Elle aurait pu faire brûler ce si charmant foyer d'un claquement de doigt, si elle l'avait voulu.

Mais ça n'était pas dans sa Nature...
Daclusia avait beaucoup de chance.


« Le fait qu'aucune âme ne les habite ne semble pas vous déranger, outre-mesure... l'ont-ils perdu par votre faute ? »

C'était encore une question, la Divine était intarissable. Le cas de ces deux enfants lui faisait pitié. Des corps sans âmes, elle en avait déjà vu. La froideur qu'ils dégageaient ne l'avait jamais mise à l'aise.

Sur ce point, elle éprouvait quelque chose d'humain. Alors que la Déesse, c'était elle. Oui, mais la plus douce des Déesses. Celle qui se coupait en quatre pour donner un logis à un sans-abri. Celle qui ne brûlait la chair d'un homme à vif qu'en cas extrême. Arès, lui, à sa place, en aurait tué dix pour un qu'elle blessait. Comme tout les autres Dieux d'ailleurs.

Daclusia savait-il tout ça ?
Pour Elle, l'Amour est un Feu qui Vivifie.
Pour Vous, c'est une Flamme qui Dévore.

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La Braise... contre la Flamme. [Aphrodite]
Un Voeu ? [Daclusia]
Le Crépuscule. [Cyanne]
Un haton perdu sur la berge... [Diane]

Daclusia Khaleos

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Re : Un Voeu ? [PV]

Réponse 3 lundi 10 août 2009, 12:49:18

Bien qu'arborant toujours la même allure si détachée, le JYL semblait à peine réveillé. Comme si il était plongé en plein rêve, mais que son corps gardait les yeux ouvert... Comme un somnambule rêvant de la réalité...
Aussi, le fait que, tout à coup, il se mette à parler, aussi longuement que distinctement, aussi neutre qu'avertissant, pouvait paraître étrange... Même à une déesse.


" Oui et non... Oui car c'est à cause de moi, d'une certaine manière, qu'ils sont comme ça... Oui car j'aurais pu être celui qui leur enleva leur âme...
Non car ce n'était pas moi... Et non car pour leur arracher l'âme... "


Malgré le fait que la flasque soit vide, le vendeur porta le récipient à ses lèvres, et bascula machinalement la tête en arrière pour en aspirer les dernières gouttes.

" ... Il faudrait déjà qu'ils en aient jamais possédé une... "

Les jumeaux se regardèrent droit dans les yeux. Les voir ainsi était un spectacle touchant, mais déstabilisant. Leurs deux yeux sans reflet sont durs à fixer normalement... Mais quand ils se fixent mutuellement... La dimension que prend leurs prunelles passe de passage interdimensionel à fin fond d'un trou noir... Et encore... On est loin du compte...
Daclusia continuait de parler. Imperturbable. Comme si énoncer les règles de son magasin étaient devenus un méchanisme mal graissé, ou un disque rayé qu'on avait trop mit sur le phonographe.


" Bienvenue dans ma modeste boutique... Une boutique où l'on exauce les vœux... Vous pouvez demander n'importe quoi, mais il y aura toujours une compensation à payer, proportionnelle au vœux. "

Il insista sur le fait que la compensation soit proportionnelle au vœu, et qu'elle pouvait demander n'importe quoi.
Après quoi, le vendeur fit une pause, souffla dans l'air. Ce souffle provoqua un nuage de vapeur en face de sa bouche, et malgré une température fraîche pour cette période de l'année, il ne faisait pas assez froid pour ça. Prouvant, d'une certaine manière, que le monde était plus froid pour le JYL que pour les autres gens...
Son regard se détacha de la déesse, pour fixer l'olivier du jardin, juste derrière le puits. En fleurs, des fleurs blanches à corolle, caché par les quelques rares feuilles encore présentes. En effet, les oliviers, bien que capable de garder les même feuilles pendant trois ans, les perdent au cours de l'été... Mais ce n'est pas pour cette raison que le JYL gardait cet arbre... Non, il aimait juste les olives.

Até et Adé, eux, pendant ce temps, jouaient entre eux à se lancer un bonbon, subtilisé dans une poche intérieure du kimono de leur maître, en se servant uniquement de leur pouce. Comme à chaque fois, le contraste était assez étonnant entre cet homme, qui semblait ailleurs, et ces enfants, souriants et innocents.
Le fait qu'Até attrape la friandise entre ses dents et la croque dans un bruit mat fut assez pour remettre les pieds sur terre au vendeur. Comme étonné de se trouver là, il cligna rapidement des yeux, secoua un peu sa tête, et s'adressa à sa cliente, en redressant son dos au mur:


" Alors, que puis-je faire pour vous? "

Hestia

Dieu

Re : Un Voeu ? [PV]

Réponse 4 dimanche 23 août 2009, 05:06:35

En regardant ce jeune garçon aux allures de prince des rues, Hestia eut immédiatement un mot qui lui vint à l'esprit, pour le caractériser : amusant.
Oui, il était amusant, ce J.C. Daclusia.

Pas dans le sens moqueur du terme : il inspirait en effet un certain... respect, une certaine puissance qui laissait penser que l'on avait affaire à quelqu'un qui ne se préoccupait nullement des règles élémentaires. Il avait accueilli Hestia dans sa boutique, une Déesse contrôlant l'élément le plus destructeur de la Nature en elle-même. Mais il aurait tout aussi bien pu accueillir un pauvre pèlerin boiteux. Ou même une succube, comme on n'en faisait dans les bas-fonds de l'Enfer.

Il aurait pu donner l'hospitalité à n'importe qui, la présence d'un autre être, à choisir dans les milles facettes du caractère, ne l'aurait nullement troublé. Elle en était sûre.

En cela, il était amusant.

Les jumeaux, l'olivier, le ciel, les nuages. Tout semblait l'intriguer, beaucoup plus que l'apparition soudaine d'une Divinité dans son jardin.


" Bienvenue dans ma modeste boutique... Une boutique où l'on exauce les vœux... Vous pouvez demander n'importe quoi, mais il y aura toujours une compensation à payer, proportionnelle au vœux. "

Hestia, qui s'était entre-temps assise dans l'herbe, en position d'Amazone, fronça les sourcils. Mais en même temps un doux sourire vint éclairer son visage, déjà lumineux de beauté.

" Alors, que puis-je faire pour vous? "

Il avait beau être au courant du statut de Hestia, il forçait le passage comme un simplet...
Dieu qu'il était amusant.

La Divine ne put retenir un petit rire, camouflé presque aussitôt par une main d'albâtre. Un rire innocent, un rire d'enfant, qui montait en flèche, et ressemblait étrangement au son que produiraient les cordes d'une harpe dorée...
Pour s'expliquer, la Déesse des Flammes finit par se calmer, et se relever, pour se rapprocher de Daclusia, un sourire amusé sur ses lèvres fines.

Elle était Hestia. Déesse du Foyer protectrice, mais aussi Déesse du Feu, sous toutes ses coutures, et sous toutes ses formes. Elle pouvait maîtriser l'incendie le plus ravageur, allumer mille bougies d'un geste de la main...
Elle possédait l'un des plus puissants pouvoirs, et il en résultait la possession de biens des plus précieux. Et son statut de Déesse était enviable par la plus heureuse des femmes.

Comment aurait-elle eu quelque chose à demander, dans ces conditions ? C'était impossible. C'était même risible. Et c'est pour ça qu'elle avait rit, dans la plus puissante des innocences.


« Ce n'est pas drôle de posséder tout ce que l'on désire, parfois, vous savez. »

Elle expliquait tout, et rien en même temps, avec cette phrase, et son fameux sourire. La situation était elle aussi grotesque : elle n'avait rien à faire ici, étant donné qu'elle n'avait rien à demander.

Enfin... pas tout à fait.
Mais ce qu'elle avait à demander, il n'aurait pas pu l'exaucer, de toutes façons.

Quoique...
Pour Elle, l'Amour est un Feu qui Vivifie.
Pour Vous, c'est une Flamme qui Dévore.

RP EN COURS...
La Braise... contre la Flamme. [Aphrodite]
Un Voeu ? [Daclusia]
Le Crépuscule. [Cyanne]
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