Retour aux sources! [PV]

Leïla était ravie. Elle avait enfin dégoté un endroit plein de livres, et elle en rêvait depuis très longtemps. Des livres, son royaume, son univers! Il y avait même un bonhomme qui occupait l'accueil, caché derrière ses lunettes, même pas enclin à discuter! Ces petites choses simples et banales rendaient la jeune fille très heureuse. Plus elle découvrait l'extérieur, plus elle était contente d'être enfin sorti. Cependant, son inquiétude première était de paraître normale, car, n'ayant jamais intéragi naturellement avec des gens de son âge, elle avait peur de faire des bourdes...

"Monsieur, demanda-t-elle alors à l'homme qui ne l'écoutait pas au comptoir, où je pourrais trouver des livres sur le comportement des adolescents?"

"Mmm troisième rangée à gauche."

Rien de plus. Comme elle ne voulait aps vraiment ouvrir de conversation pour le moment, elle se dirigea vers la rangée désignée, mais ne trouva pas les livres qu'elle était sensée trouver.

"Mais zut alors! s'exclama-t-elle, Je n'ai plus qu'à chercher moi-même..."

Alors, errant dans les longues et grandes rangées désertes ou presque, Leïla observait tous les livres pour trouver le sujet qui l'interessait.

Don cherchais depuis un bon moment quelque chose pour renflouer son commerce. Il était revenu sur Terre dans le but de trouver ce quelque chose, mais ses recherches s'étaient revelées infructueuses, il était repassé au lycée dans le but de trouver quelque chose là bas, après tout il y avait pas mal de lycéennes ici...Il pouvait toujours tomber sur la perle rare, il passa dans une ruelle et enfila son costume de surveillant qu'il avait volé a un pauvre type qui n'avait plus jamais revu la lumière du soleil après ça...Il réajusta sa cravate, se coiffa correctement, et mit une paire de lunettes sur son nez. A première vue il ressemblait véritablement a un pion, bien batti, mais un pion quand même. Il portait un pantalon en jean et une chemise correcte ainsi qu'une cravate rouge. Il entra dans le lycée et se mit a regarder autour de lui, mais rien qui n'attirat vraiment son attention. Il soupira, passa devant la bibliothèque et se dit que, tant qu'il était là, il allait faire le plein de livres pour pouvoir les lire sur son retour.

-Monsieur, où je pourrais trouver des livres sur le comportement des adolescents?

Don leva le nez et apperçut Leila, bien qu'elle ne l'appercevait pas. Et aussitôt celà tilta dans sa tête, c'est tout ce dont il avait besoin...Pourvu que...Pourvu que...Il s'approcha du documentaliste et lui lança

"Salut, je viens prendre la relève."

-Pff, tu ferais mieux de fermer, y'a personne ici c'est chiant...

Don sourit alors qu'il lui donnait les clefs et sortait de la bibliothèque. C'est vrai que mis a part Leila elle était quasi déserte...Non, il n'y avait apparement personne...Parfait. Il alla fermer la porte derrière l'homme, regardant bien si la jeune fille ne le voyait pas, les enfermant tous les deux dans la bibliothèque. Puis, il alla la rejoindre dans les rayons et lui tapota sur l'épaule

"Excusez moi mademoiselle, vous faites partie de cet établissement?Ou est votre uniforme?"

Lança t'il sèchement a Leila, entrant dans son rôle de surveillant

-Hj-Si tu pouvais décrire ce que tu porte...^^-Hj-

-HJ No problem HJ-

Leïla se retourna, surprise qu'on s'adresse à elle. De plus, ce n'était le documentaliste bourru qu'il y avait en face d'elle, mais une jeune gomme largement plus agréable et enclin à aborder. La jeune fille se retourna vers lui, lui souriant dans sa belle robe blanche et décolletée qui mettait en valeur sa poitrine, ses petits mpieds dans d'adorables sandalettes blanches et les cheveux relevés en une demi-queue de cheval tressée.

"Pardonnez-moi, monsieur...je suis une future élève, je commence les cours demain, mais je voulais venir ici tout d'abord..."

Leïla rougit, doutant soudain de son droit à être présente dans cette tenue dans la bibliothèque du lycée. Avait-elle fait quelque chose de mal? Elle ne le savait aps, mais dans le doute, elle inclina la tête, gênée.

"Pardonnez-moi, Monsieur, ce n'était vraiment pas de ma volonté que d'enfreindre le réglèment de cet établissement...si je l'ai enfreint....désolée!"

Don eut un sourire. Il sentait qu'il allait aimer ce qui allait se passer, l'homme qui se tenait devant elle était imposant, environ deux mètres de haut, une véritable montagne de muscles ambulantes, et ces petites lunettes sur son visage le rendait un peu menaçant, mais son visage était très agréable a regarder malgré tout. Le teint légerement bronzé montrait qu'il n'était pas japonais, peut être un étranger en visite. Bien, il n'avait pas beaucoup de temps a perdre, ni l'envie de passer du temps là dessus a vrai dire, il fronça les sourcils et répondit

"Je suis navré, je vais devoir prendre votre nom, et vous demander de quitter l'établissement jusqu'au lendemain, c'est le reglement."

Il réajusta ses lunettes pour montrer une certaine inflexibilité dans son mouvement, pour montrer également qu'il ne plaisantait pas, mais il s'agissait de bluff evidement, il n'avait aucune idée du reglement de cet établissement. Qui plus est les portes étaient fermées, il ne voulait pas qu'elle parte, il voulait lui demander son nom.

"J'ai bien peur que je doive en parler, vous savez nous sommes très stricts sur l'emprunt de livres, on a eu des vols dernièrement, il suffirait que celà retombe sur vous pour entacher votre scolarité..."

Lança t'il, dans le but de la faire flipper un peu, mais...Rien a faire, il ne pouvait pas détacher ses yeux de son décolleté alléchant

Leïla blêmit pendant qu'il parlait. Alors, s'il y avait quelque chose, elle serait automatiquement accusée? Ce n'était pas juste si elle 'nétais pas coupable.

"C'est injuste! Je n'ai rien fait, moi!"

Elle prit une mine un peu boudeuse, mais, oubliant soudainement que, de un, elle était dans une bibliothèque, et que, de deux, la personne qui était devant elle lui avait semblait d'un premier abord avenant, elle fut prise d'une soudaine impulsion: la porte...

Se diriger vers la porte!

Elle se mit alors à courir à toute vitesse vers la sortie, gênée à mort d'être accusée de vol qui n'avait pas encore eu lieu, et ft bouche bée lorsqu'elle se trouva nez à nez avec la porte...fermée...

"Mais! Qui diable a fermé cette porte?!"

Don eut un sourire goguenard, bien sur qu'elle n'avait rien fait, il venait de tout inventer. Il lui lança alors une platitude pour rebondir sur ce qu'elle lui disait

"Ca, je n'en sais rien mademoiselle, tout ce que je vous demande c'est de me donner votre nom pour que nous puissions enque..."

Il fut surpris de voir la fille courir. Il l'avait accusé de vol injustement, mais celle ci fuyait, avait t'elle quelque chose a se repprocher?Ca a allait être bien plus facile qu'il ne le pensait. Don la suivit en marchant, pas besoin de se presser, la porte était fermée. Elle s'en apperçut et s'eclama qu'on avait fermé la porte.

Le surveillant sortit au détour d'un couloir et sourit

"Pourquoi fuyez vous, mademoiselle?Si vous fuyez, c'est pour une bonne raison : vous êtes le vrai voleur."

Il ne lui disait pas pour autant pourquoi il avait fermé la porte, il sortit un téléphone portable de sa poche et lança

"Très bien, j'appelle la police."

Evidement il ne l'appellerait pas, le but de cette manoeuvre était que Leila l'empeche d'appeller

Leïla était totalement paniquée. Enfermée??? Comme par ses parents, dans un lieu clos, sans pouvoir sortir? ah, non!

Mais déjà, Don arrivait, et elle tremblait.

"La police?!"

La jeune fille blêmit. Alors, il croyait vraiment qu'elle était une criminelle? La jeune fille en avait les larmes aux yeux. Il allait réellement le faire...Le portable était ouvert sous ses yeux...L'inconnu allait donc réellement appeler? Oh, non...pas ça...

*Je voudrais tant être une explosion qui casse ce maudit portable en même temps que cette fichue porte!*

Les yeux de Leïla se mirent alors à scintiller, puis soudain, un nuage de fumée apparut, accompagné d'une explosion, une vraie, la porte étant en charpie, et un éclat ayant décapité le téléphone.

"Pardon...j'ai recommencé!"

Elle se faufila alors par la porte, cachée par la fumée, tentant alors de fuir de là. Elle n'était pas une voleuse, et n'en serait une!

Don vit les yeux de Leila scintiller et il comprit alors son erreur et se jetta purement et simplement sur elle, plus le temps de se soucier de ça, le portable lui eclata dans la main, lui coupant celle ci et il retint un grognement. La porte explosa sous ses yeux et libéra le passage. Maldiction!Avec une explosion pareille ils allaient se faire repérer!Cette fille était une utilisatrice de magie perdue. Il croyait qu'il s'agissait d'une simple humaine et avait sous estimé ses reactions. Don se jetta a sa poursuite, loin d'être aveuglé par le journal, il écoutait les pas de Leila qui hésitaient un peu. Ils n'allaient pas tarder a courir...Si elle croyait lui échapper!Lui le prédateur parfait, elle se mettait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.

Il y avait deux raisons pour laquelle Leila n'allait pas pouvoir se tirer de là facilement. La première était que Don avait pu anticiper l'attaque magique, grâce a sa grande experience de Terra, elle avait donc perdu l'effet de surprise, et avait commencé a courir avant même que le sort soit lancé, et ne s'était pas arrété malgré sa main coupée, la seconde était qu'il était un sportif de haut niveau et elle une jeune fille. Voilà ces deux raisons. Quoi qu'il en soit il ne pouvait pas la laisser filer comme ça.

Don jaillit de la fumée et courrut après Leila devant le regard ahuri des élèves et des professeurs...Niveau discretion c'était loupé, mais son trophée n'en serait que meilleur. Alors qu'elle empruntait un escalier, Don sauta de la rembarde où il se trouvait pour atteindre l'escalier du dessous, tombant littéralement sur Leila, la saisissant par les poignets.

"Je te tiens."

Aussitôt son propre pouvoir se mit en activation comme a son habitude. Les pouvoirs de Leila étaient annulés...Il la fit pivoter et la pris sous son bras...Il entendait les pas venir vers lui, il ne pouvais pas se permettre de rester dans le coin...Trop dangereux. Alors qu'il lui tenait les deux bras, d'un seul de ses gros poings il fouilla dans ses papiers et sortit une de ses fausses pieces d'identitée...Avoir des relations ici permettait tout. Et quand les professeurs arrivèrent, médusés, il leur présenta une carte d'agent de police.

"J'ai mis la main sur un element terroriste, je requisitionnerais une piece de votre etablissement pour interroger celle ci. Je me chargerais de payer la reconstruction.[/i]

Lacha t'il sur un ton autoritaire avant de faire remonter Leila par l'escalier pour la ramener dans la bibliothèque, de force, la tenant fermement par le bras, puis il la jetta au sol, se tenant dans l'encablure de la porte...Il avait bien fallu 2 minutes pour la monter, et il ne l'avait pas laché de tout ce temps...Ce qui signifiait que ses pouvoirs ne reviendraient pas avant deux heures.

"Tu m'en aura causé des emmerdes."

Lança Don tandis qu'il levait sa main a son visage pour remonter ses lunettes, en profitant pour lécher le sang qui coulait de celle ci, d'un air bien sadique

Muette, Leïla s'était laissé remué de tous les côtés sans rien dire. Elle 'navait aps osé une seule seconde ouvrir a bouche. Elle avait tellement peur d'être prise pour une cinglée qu'elle avait préférer étouffer ses appels à l'aide à l'extérieur.

Il faut dire aussi qu'elle n'en revenait pas de ce qui était en train de lui arriver... que venait-il de se passer soudain? Elle cherchait juste des livres pour savoir comment se comporter normalement...et maintenant, elle se retrouvait toute seule, face aux griffes d'un inconnu, terrifiée.

Il ne ressemlait à quelqu'un de relativement sympathique, maintenant, il lui faiait peur. Quelque chose qu'il avait dans le regard lui rappelait un peu son père lorsqu'il sombrait dans la folie. Est-ce que tous les hommes étaient ainsi? Est-ce qu'ils voulaient tous pouvoir abuser des jeunes filles alors qu'elles sont toujours en position de faiblesse? Elle était vraiment terrifiée.

Alors qu'il léchait sa mai à la main, dû au téléphone qu'elle avait fait exploser, elle se mit à souhaiter profondément devenir un courant d'air qui s'échapperait de cette bibliothèque d'où elle se retrouvait à nouveau enfermée...

Enfermée? Non! La porte de sortie avait explosé...alors il lui restait une chance de s'enfuir! Il fallait simplement...passer devant Don...

Glissant alors au sol, Elle se releva, tentant de faire face à cet inconnu qu'elle trouvait maintenant réellement malsain.

"Pourquoi vous me faites ça?"

Elle voulait au moins comprendre, puisqu'elle ne voulait pas deviner par elle-même.

Soit Leila était une professionelle du Bluff et feignait l'innocence avec trop de talent pour qu'elle soit vraiment humaine, soit...Soit elle était vraiment stupide. Ne lui avait t'il pas dit qu'il était surveillant dans cet établissement?Et après la scène, ne devrait t'elle pas être persuadée qu'il était agent de police?Décidement...Cette petite ne finissait pas de le laisser perplexe, mais il ne se laissa pas démonter. Il avait deux heures pour mener sa mission a bien, il aurait surement le temps de prendre plus, mais pour l'instant il avait deux heures de répis. Aussi la masse de muscles qu'il était se dirigea vers Leila et la tira par le bras pour la ramener vers lui avant de lui faire une clef de bras pour les immobiliser

"Cessez de jouer les innocentes, vous avez fait exploser une partie de cet établissement, il ne fais aucun doute que vous êtes une menace. Où avez vous obtenu ces explosifs et quel était votre but premier?Nous le serons bientôt, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous."

Lança Don, impitoyable, il avait changé de rôle comme de chemise, il n'était plus surveillant mais l'agent de police infiltré qu'il avait prétendu être. Décidement, cette fille lui avait fait griller sa couverture dans le lycée, il lui faudrait des mois pour en créer une autre...Il plongea une main dans sa poche et l'ammena jusqu'aux étagères de fer. De là il sortit des menottes, c'était parfois un ustensile très important a emporter en mission pour chercher une marchandise, il accrocha Leila a la bibliothèque, si elle voulait partir elle devrait non seulement la faire s'écrouler et la trainer. Don enleva ses lunettes et les rangea précautionneusement dans sa poche avant de lancer

"Vous allez passer un long séjour a l'ombre miss...C'est bien dommage, une belle femme comme vous...."

Fit Don, a présent qu'il avait attaché Leila, il lui mit la main au fesses sans aucune vergogne. Son pouvoir était suspendu pour bien deux heures et si elle criait personne ne viendrais malgré la porte ouverte, les gens croiraient que ça ferait partie de l'interrogatoire...

Leïla ne savait pas comment réagir correctement, tellement elle était terrifiée. Mais jamais personne n'avait pu empêcher son pouvoir de s'exprimer! Elle savait qu'elle aurait du devenir du vent...pourquoi n'y arrivait-elle pas? De plus, maintenant, elle était attachée? Cela devenait n'importe quoi!

"Je ne suis pas une terroriste, je suis juste une future étudiante!"

Mais ce n'était pas la peine de parler, cet homme ne l'écouterait pas de toute façon. Elle était donc prisonnière...encore une fois...

"Je refuse qu'on m'enferme encore une fois!"

Mais déjà, la main de l'inconnu se posait sur ses faces, lui arrachant un frisson de surprise et de dégoût. Ce n'était pas que ce n'était pas agréable, mais cela la gênait et l'outrageait, au vu des circonstances...c'était pour cela qu'elle avait poussé un cri de surprise. MAis personne ne viedndrait, maintenant que tout le monde croyait qu'elle était une terroriste...

Le reagrdant alors d'un air furieux, elle ne put s'empêcher de lui lancer, aussi terrifiée qu'en colère.

"Vous êtes comme mon père...!"

Don eut un rictus désagréable et celui ci fut suivi d'un sourire, il lécha encore un peu le sang sur cette main. Et regarda Leila depuis l'endroit où il se trouvait, il l'avait attachée là et a présent qu'elle avait les mains prises il pouvait la palper autant qu'il le voulait. Don répliqua avec malice a ce qu'il disait

"Moi je ne vois pas de future étudiante, je vois surtout une très vilaine menteuse..."

Lança t'il tandis qu'il se collait a elle, la rapprochant de lui, passant ses mains autour de son ventre pour la serrer. Don eut un petit rire et lança a Leila

"Mais tu n'a pas le choix ma petite...A partir de maintenant tu es a moi. Tu es mon objet."

Fit il tandis que ses mains caressaient son ventre a travers sa robe. Quand elle lui lança qu'il était comme son père il rit et frappa sa fesse d'une tape

"C'était un charmant homme, j'en suis sur."

A présent, Leila pouvait sentir entre ses deux fesses quelque chose de dur et de rigide, les mains de Don s'avancèrent près de son décolleté, en sortirent un sein et se mit a le pelotter doucement

Leïla ne trouva rien de mieux à faire qu'à dévisager Don d'un regard froid et assassin, ses yeux rouges semblant être aussi tranchants que des lames de rasoirs. Être ainsi à la disposition d'un homme qui la prenait pour un objet...cela lui semblait être un monde de fous! Pour elle, tout ce qu'il se passait semblait issu d'un rêve, ou alors d'un sacré cauchemar qui commençait. Mais comment se sortir de là, avec des menottes de métal au poignets, face à un homme plus vieux, plus grand et plus fort qu'elle, qui la tripotait?

"C'est vous le menteur...Vous êtes le mensonge dans le corps et dans l'âme..."

Mais, pourtant, elle sentait bien quelque chose de dur contre elle, quelque chose que seuls les hommes pouvaient élever...

Leïla déglutit, semblait hésiter entre s'évanouir et perdre totalement son sang froid.

"Un père incestueux ...un violeur...les hommes sont tous pareils..."

Elle marmonnait de colère, car elle savait, cette fois, qu'elle ne pourrait pas s'échapper aussi facilement, puisqu'elle ne pouvait pas faire exploser la bibliothèque comme elle avait fait sauter sa propre maison.

"Et vous n'avez même pas dit votre nom, espèce de pervers!"

Don eut un petit rire quand elle le traita de menteur. Et il pressa son sein en conséquence, avec plus de force et de méchancetée avant de la fesser a nouveau. Décidement cette petite au regard rouge lui plaisait bien, il en tirerais surement un prix d'or au marché au esclaves, mais évidement il devait tester lui même sa propre résistance...Aussi s'amusait t'elle avec elle tant qu'il le pouvait. Mais là il lui faisait mal, pour qu'elle se taise un peu et qu'elle l'écoute, lui qui était a présent son maître

"La ferme, désormais tu me devras obéissance, pour la seule bonne raison que je peux te faire connaître en très peu de temps des souffrances pires que la mort...3

Ses doigts remontaient vers la pointe de son mamelon, le titillant et l'écrasant parfois sous son doigt, il accentuait les caresses avec plaisir, tandis qu'il aggripait la fesse droite de Leila pour la palper encore plus

"Ah, je suis navré, je m'appelle Don. Je suis ton maître a présent, et je vais t'apprendre a me respecter..."

Tout en disant ça, il passa sa main sous sa juppe et lui caressa les jambes pour remonter au niveau de son entrejambe, caressant un peu ce qu'il y avait là a travers le tissu, avant de tirer la culotte le long des jambes et de les saisir a pleine main, lachant le mamelon

"Tu me traites de pervers..."

Il passa sa tête sous la juppe

"Mais vu ton état ça serait plutôt toi la perverse, non?"

Fit il en se mettant a lecher son intimitée avec sa langue, tenant fermement ses pieds pour ne pas qu'elle se débatte

Leïla ne put faire qu'une chose, tellement l'idée que quelqu'un croit qu'elle n'était qu'un objet: elle cracha à la figure de Don, furieuse comme pas permis.

"Je ne suis pas votre chose, et je ne vous dois rien!"

Elle songea à mettre un coup de genoux dans les bijoux de famille, mais ce geste fut arrêté avant qu'elle en ait eu l'intention: Il lui avait bloqué les chevilles en la démunissant de sa culotte!

"Non, pas là! Je vous l'interdis!"

Elle était furieuse, mais ne put s'empêcher de réprimer un gémissement alors que Don commençait à la lécher dans ce qu'elle avait de plus intime, et ce avec sa langue en plus!

"Vous n'êtes...qu'un sale pervers..."

Mais qu'avait-il donc, cet homme, pour faire ça? Et qu'es-ce qu'elle avait, elle, à se sentir soudain aussi fébrile que démunie? Un cauchemar, bien sûr que ce ne pouvait être qu'un cauchemar...avec des senastions drôlement réelles, par contre...