Identité : Camille Catalino
Âge : 16 ans (Anciennement 20 ans)
Sexe : Féminin (Anciennement masculin)
Race : Humaine
Sexualité : Vierge. Elle n’en sait rien, depuis ce qui lui est arrivée. (Anciennement, strictement hétérosexuelle, avec une grande expérience.)
[H.F. (Hors fiche) : L’histoire a été inversé par rapport aux descriptions physiques et mentales pour des raisons qui seront explicités dans l’Histoire. Celle-ci doit être lue pour comprendre les descriptions physiques et mentales. Merci de votre compréhension !
L’utilisation du personnage de Pauline a été approuvé par cette dernière.]
Histoire :
Les Catalino… Une famille que vous connaissez déjà, la plus adorable soumise de Seikusu… Mais là, ce n’est pas la famille « principale » que nous allons voir. Ni Anton Catalino, ni Pauline… Non, une autre branche de la famille. Vous savez, quand on rencontre un homme, il a parfois toute une famille, grande, complexe… Et bien, les Catalino n’échappaient pas à cette règle. A côté d’Anton, se trouvait un petit frère, Piotr, qui n’avait qu’une petite année de moins que son grand frère. Mais ce dernier, sans doute plus séducteur, sans doute plus doué, eut d’abord son premier enfant. En effet, le jeune prodige arriva à se marier et avoir un enfant à seulement 18 ans… Les plus optimistes racontaient que Piotr avait trouvé l’amour aussi rapidement… Les plus cyniques et réalistes voyaient en cela un adolescent qui avait tiré son coup sans protection, mais qui au moins, payait les conséquences de ses actions, en épousant la femme, et garantissant à l’enfant, une vie agréable, et un minimum organisé…
Cependant, parfois, le malheur tombe sur un enfant : malgré une bonne éducation, l’enfant tourne mal. C’était le cas de Camille. Nommé ainsi car sa mère voulait être sûr d’avoir un bon nom, que cela soit un garçon ou une fille, le jeune homme fut un garçon insupportable. Même bébé, il pleurait, mangeait, pleurait, mangeait, pleurait… Insupportable, grandir n’aida pas spécialement. Ses premières années montraient un garçon particulièrement exécrable, malgré ses jeunes années… Faisant bêtises sur bêtises, n’hésitant pas à tirer les queues des chats, pleurant pour un oui ou un non… Le garçon était aussi un parfait comédien, dès son plus jeune âge. Il savait parfaitement être adorable quand on le regardait, pour refaire les conneries une fois que les gens avaient le dos était tourné…
En grandissant… Peut-être allait-il s’améliorer ? Ce n’était pas le cas. Au contraire, un point se renforçait avec le temps : il martyrisait toujours les plus faibles… Et était extrêmement lache. Faisant de la lèche aux plus forts du primaire, il était exactement pareil avec les professeurs. Ainsi, ses souffre-douleurs, dès qu’ils allaient se plaindre à leur professeurs, se faisaient rembarrer : « Comment osez-vous » disaient les professeurs ! Camille est un garçon adorable, travailleur, et qui n’hésite pas à aider les gens qui sont haut placé, et leur dire des compliments. Tous n’étaient pas dupe, bien sur, mais dès que Camille risquait un peu, il se dégonflait, et se cachait. Toujours, ses sales coups se faisaient soit derrière le primaire, puis le Collège, soit grâce à ses groupes d’amis, qui lui permettait d’être à l’abri.
Quel chance que ce garçon n’avait pas de frères ni de sœurs ! Ainsi, une fois dans le cadre familiale, Camille se calmait. Ayant peur de l’autorité, Camille s’était amélioré par rapport à ses parents. On racontait même que ce dernier était entrain de devenir un bon garçon. Ou du moins, faisait des efforts. Etait-il intelligent, doué en cours ? Non, pas vraiment. Il était très moyen. Mais, extrêmement content de voir l’enfant s’améliorer, et étant trop inexpérimentés pour comprendre que le jeune garçon, de 12 ans maintenant, était un jeune manipulateur, ses parents lachaient la surveillance, et laissait le garçon faire un peu ce qu’il voulait. Puis, après tout… Il n’avait que 12 ans. Comment cela pouvait mal tourner ? Et bien, ils avaient raison… Sauf que peu à peu, les années passaient, et le garçon de douze ans, devint un jeune adolescent de quatorze ans, dont les hormones commençaient à le travailler… Et un jour, quand la famille se retrouva ensemble chez Anton Catalino, l’aîné des deux frères, Camille demande à sa jeune cousine :
« Alors, cousine, tu me présentes pas ta chambre ? »
Sous le prétexte d’un jeu, et profitant de la naïveté de la pauvre fille, le fameux jeune homme, d’âge à découvrir cela, put voir pour la première fois une fille nue. Quel ne fut pas sa déception. C’était qu’une fillette, en même temps… Il regarda quand même, mais globalement, aurait préféré voir une vraie femme constituée… Mais c’était bien au moins ! Pauvre Pauline ! Celle-ci ne comprenaient sans doute pas tout ce qui lui arrivait, et n’avait ici qu’un avant goût de ce qu’elle subirait plus tard, après son kidnapping. Mais cela n’avait aucun lien avec son histoire. Une fois son méfait accompli, une fois qu’il estimait qu’il avait… Assez… Joué avec sa cousine, l’avait assez humiliée, il estima qu’il était temps de partir. Alors, prenant les vêtements, il s’installa à la fenêtre, profitant qu’ils étaient au rez-de-chaussée, et déclara :
« C’était sympa comme jeu ! Je garde ça, tu veux ? Tu t’expliqueras avec tes parents ! »
Ce fut sa première vraie crasse. Une horreur sans nom, qui fut sans conséquence, heureusement pour le garçon. Pauline s’était très certainement rhabillée, vu qu’elle était dans sa chambre, et notre cher Camille garda alors les vêtements comme trophée. Il les installa plus tard dans un petit coffre, de sa chambre de Lycée. En effet, il venait d’entrer au Lycée, et il avait décidé de mettre dans son petit appartement, plus une chambre de résidence pour jeune personne. En effet, sous sa propre demande, Camille prit son envol du cocon familiale à l’âge de seize ans. En effet, depuis ce qu’il avait fait subir à Pauline, le fameux Camille se sentait alors en tête, de faire des crimes de plus en plus grave, mais sans jamais se faire prendre. Le frisson de l’interdit… L’adrénaline… Tout cela se mélangeait avec cette immense peur de se faire choper et d’en payer les conséquences. Il voulait faire ce qu’il veux… Tant qu’il n’en payait pas le prix.
Ainsi, commença sa vie au Lycée. Un double jeu tout à fait abject, où se cotoyait de la lèche et de l’obéissance envers toutes personnes ayant de l’autorité, et de la violence sur tout faibles qui s’approchaient de sa trajectoire… Un double jeu qui lui donnait de plus en plus de plaisir, de plus en plus de goût pour tout cela… C’était amusant, et tellement grisant. Sinon, il fit sa première fois, et cela, de manière consentante. Une fille qu’il avait dragué, et avec qui il arriva finalement à conclure, pour son plus grand bonheur. Ce fut génial, et il adora. A telle point que quand celle-ci eut fini, et voulu se coucher… Il déclara que non. C’était pas fini. Et un deuxième tour commença, sans le consentement cette fois de sa copine. Deuxième tour plus violent, bien plus amusant, et ainsi, se termina la meilleure soirée de sa vie…
Ses prochains jours furent dans la peur. Et si cette salope prévenait la police ? Et si elle foutait sa vie en l’air ? Heureusement, cette dernière n’appela jamais la police. Il était sauvé. Il se demanda parfois pourquoi ne l’avait-elle pas fait. Avait-elle considéré que c’était « normal » ? Avait-elle peur d’éventuelle conséquence ? Camille ne le sut jamais. En effet, il ne revit jamais cette demoiselle, mise à part à quelques cours, de temps en temps, ou dans les couloirs, mais les deux n’en parlèrent jamais. Comme si de rien n’était. Cela permit alors à Camille de continuer son lycée, sans complication, alors qu’il approchait maintenant du diplôme final. Bientôt, il sera libre de tout ses cours et autres stupidités. C’était cool ! Donc, il travaillait un minimum, et finalement, le jour J… Réussite ! De rien du tout, mais une réussite quand même. Il était maintenant libre ! Putain, cela faisait super plaisir !
Commença alors une nouvelle partie, et une dernière, de sa vie. Une fois le lycée fini, et le diplôme en poche… Le fameux Camille devina qu’il devait maintenant se trouver une vie… Dur de trouver un boulot, quand l’honnêteté et le travail nous déplaît ! Littéralement, il regretta très rapidement ses années de Lycée. L’époque où tout était facile, et où l’argent coulait à flot, car les parents n’hésitaient pas à donner de l’argent, quand le compte en banque passait dans le rouge, et bien, c’était terminé ! Et dieu que cela lui faisait chier. Il n’avait pas envie de faire un boulot chiant, dur, et dont la rémunération était ridicule… Quant aux études ? Par pitié ! Il avait pas quitté le lycée pour retourner à un truc quasi identique… Fallait pas le prendre pour un gros con non plus ! Il y avait d’autres moyens de vivre dans ce monde...
Alors, il commença la vie « underground ». Récupérant un petit foyer miteux, mais dont le loyer était ridicule, il commença les trafics de drogues, les larcins, et autres magouilles. Encore une fois, sa lâcheté et sa peur des autorités étaient d’une grande aide. Les fournisseurs savaient qu’au moins, avec le Catalino, ils ne risquaient rien… Mais de l’autre côté, ils le méprisaient pour son côté lâche et trouillard. Ainsi, Camille Catalino était la risée de tout le monde de la drogue, mais était apprécié pour son « utilité ». Monsieur croyait qu’il était roi du monde, puissant, efficace, le baron de la drogue… Que nenni ! Il n’était qu’une petite magouille, ridicule et obéissante, qui risquait à tout moment d’être lâché par ses patrons. Ceci étaient clairs sur ce qu’ils pensaient de lui : il n’était rien. Et il ne sera jamais rien.
Finalement, sa vie bascula une soirée, après un deal de shit particulièrement fructueux. Ayant reçu un bon paquet en liquide, et passant dans une ruelle, il vit une belle femme peu vêtue. De suite, il tenta de l’acheter avec des billets. Après tout, c’était sans doute une pute ! Quelle ne fut pas sa surprise, quand la femme le gifla, et se tourna. Son sang ne fit qu’un tour, il plaqua la femme contre le sol. Celle-ci tenta de résister, mais Camille avait plus d’accroches, et arracha les vêtements de cette catin, à ses yeux. Et il prit son pied. Putain, cela faisait du bien ! Cette grosse pute n’avait que ce qu’elle mérite à ses yeux. C’était elle qui avait refusé ses avances, et c’était qu’une femme fragile. Personne pour l’arrêter, personne pour l’empêcher de faire ça, comme toujours, dans ce genre de situation, il se sentait le plus fort. Ainsi, le viol fut pour lui un bon moyen de passer sa soirée, et finalement, une fois son méfait accompli, se rhabillant, il écouta la pauvre femme se plaindre de ce qui lui était arrivée.
« … Je… Je n’avais jamais vu ça… En 1300 ans d’existences... »
Tient, se dit-il alors en s’amusant. Elle avait perdue la tête la pauvre… Et là, un grand flash de lumière l’aveugla, et il en tomba à la renverse. Encore cul nu, il vit la fille qu’il venait de violer, s’être transformer en une fée, une véritable fée… Et elle était furieuse. Il remarqua que tout les coups de violence, et même le fait qu’il l’avait déshabillée avait également disparue : Elle était en parfaite état, comme si de rien n’était. Une seule chose permettait de montrer qu’il avait fait ce terrible viol : la fée était furieuse. Elle regardait l’humain, en croisant les bras, une baguette entre ls mains… C’est pas possible… Non, il était entrain de rêver… La fée, le regarda attentivement, et hésita… Elle avait très envie de le tuer, mais non… Il fallait qu’il comprenne la gravité de ses actes… Elle leva sa baguette, et déclara en hurlant :
« Tu… TU VAS PAYER POUR CELA ! »
Alors, une grande douleur prit tout son corps. C’était indescriptible -donc on va tenter quand même, car je suis folle et/ou masochiste-. Ce fut littéralement comme si son corps était entrain de fondre, ses os, ses muscles, son visage… D’abord, la douleur le prit au niveau de l’entrejambe, qui disparaissait… Il avait envie de crier, mais la douleur était telle qu’elle en devenait blanche, littéralement. Une douleur sourde, qui lui donnait envie de mourir. Son pénis disparaissait, pour laisser place à un vagin tout à fait fonctionnel… Tout ses muscles fondaient, sa cage thoracique était écrasée d’un nouveau poids… Que cela stoppe !!! Heureusement, comme si sa prière sourde avait fini par atteindre les oreilles d’un Dieu, celle-ci prit fin, après facilement cinq minutes de tortures… C’était les pires cinq minutes de sa vie… Et qu’elle ne fut pas sa surprise, de voir que dans ses vêtements flottant… Il était devenu… Une fille. « Elle » était une charmante demoiselle, et avait perdu tout de sa masculinité… La fée, contemplant son action, déclara, avant de disparaître, sa vengeance accomplie :
« Voilà, tu es… Bien mieux comme ça ! Ainsi, tu sais ce qu’est, être une femme. Ou du moins, tu vas le découvrir. Pour payer tes crimes, ceci est ta renaissance. Bonne chance. Réfléchis à tes actions. »
Choquée, la nouvelle jeune demoiselle ne savait pas quoi faire, ni quoi dire. Il… Il venait de rencontrer une fée, et celle-ci l’avait littéralement transformée… En fille ? Mais c’était n’importe quoi ?! Elle se pinça plusieurs fois, se frappa la tête, bref… Tout ce qu’elle pouvait faire pour se convaincre que ce n’était pas un rêve. Une fois la confirmation ayant tombée, il tenta de rentrer chez elle, dans son petit appartement miteux. Camille fut de suite chassé par la concierge… Que faire… Rentrer chez lui, et prévenir ses parents ? Cela faisait 4 ans qu’elle ne les avait pas vu, et jamais ses derniers ne le croiraient s’elle avouait la vérité… Finalement, la réponse vint à « elle ». Alors qu’elle pleurait sur un banc public, un policier en civil, rassuré de la trouver, lui déclara qu’elle devait rentrer au lycée, et que sa « fugue » avait assez durée ! Ne comprenant rien, elle accepta de suivre le policier, ayant trop peur des conséquences d’un refus.
Elle arriva alors à l’ancien dortoir qu’elle occupait. Elle fut bien surprise de découvrir que la chambre était… Tout à fait prête. Avec toutes ses affaires. Comme si les deux années de sa vie après le Lycée ne s’était pas passé… Elle n’avait aucune idée de ce qui s’était passé exactement, mais Camille devinait… Et bien, c’était sans doute que la magie avait sans doute un lien. La fée avait sans doute décidée cela. Elle regarda sa carte de Lycéen, et sa surprise fut de nouveau présente, quand il vit « Camille Catalino », et une photo d’elle, sous sa nouvelle forme, et tout les renseignements d’une nouvelle vie. Elle était une jeune lycéenne, de seize ans, et elle devait tout recommencer… Que… Elle ne pouvait rien faire de plus. Maintenant, tout ce qui lui restait… Et bien c’était une vie normale. Avec un nouveau corps. Sans repères, et avec une peur au ventre de la magie, elle commençait ce grand renouveau.
Physique :
Quel adorable jeune demoiselle ! Dur de penser qu’elle a été un jour un garçon… Rapidement, parlons d’ailleurs de cet ancien garçon. Il avait de nombreuses similitude avec ce qu’elle est devenue, mais globalement, c’était un garçon grand, assez musclé, sans véritablement pouvoir se vanter d’une musculature viril et puissante, aux cheveux marron foncé et court, virant presque au noir, qui seront retrouvés sous sa forme féminine. Mais attendez qu’on arrive aux paragraphes la décrivant elle, la jeune demoiselle. Cheveux court, visage triangulaire, très beaux yeux bleus… Bref, un homme qui aurait put réussir par sa beauté, son charme, si cela n’avait pas été une petite crapule, qui n’avait jamais joué sur son charme, mais plutôt sur sa « force », et son charisme… Pas de bol !
Mais ça, c’était avant. C’était avant la rencontre avec la fée. Maintenant, faisons une description « classique », en zoom. Ainsi, la jeune demoiselle est une demoiselle pas bien grande, vu qu’elle fait un petit mètre soixante, et n’est pas spécialement lourde. -Mais on ne demande pas le poids à une demoiselle- ! Sinon, c’est littéralement une crevette. Adieu les muscles légèrement présent quand il était un homme ? Maintenant, le jeune demoiselle est véritablement fine comme une allumette, et on pourrait aisément faire la blague sur le fait qu’il serait capable de la briser, juste en lui éternuant dessus… Et cela ne serait pas totalement faux. Pour ce qui est des plaisirs féminins, ni sa poitrine ni son fessier n’est très développé. Elle reste assez plate, ce qui ne la dérange pas trop, n’ayant pas trop envie de perdre l’équilibre qu’elle avait quand elle était un garçon.
Comment s’habillait-elle ? Pour le moment, comme elle peut… C’est à dire, avec les uniformes scolaires qu’elle a dans ses placards… Et c’est tout. En effet, elle ne possède aucun autre vêtements… Et heureusement, car ne connaissant rien à comment s’habille une fille, elle s’habillerait comme un sac. Donc, vous imaginez le résultat ? Bref, ainsi, elle profite de la « gentillesse » de la fée, qui avait fait en sorte de permettre à la nouvelle jeune fille d’avoir des tenues à sa fille. C’était… C’était gentil ? Bonne question. Bref, en tout cas, la fameuse jeune demoiselle s’habille toujours assez décemment. Elle a assez peur des hommes, niveau habillement. Chose logique : Elle était attirée, à l’époque où elle était un homme, par les femmes peu vêtue… Elle ne voulait guère attirer les hommes, violeur et autres joyeuseté qu’elle connaissait que trop bien, pour l’avoir été.
Rapprochons-nous… Et regardons donc, le visage de notre jeune demoiselle. Une chose à dire : Camille est mignonne. Sa transformation en fille, a permit alors à la demoiselle d’avoir un visage extrêmement doux, bien plus doux que quand elle était un homme. Très légèrement marqué au niveau du menton, il reste globalement rond, encadré par des cheveux mi-long marron foncé, tendant vers le noir, comme nous avions pu voir à l’époque où elle avait encore un phallus. Mais le plus marquant, ce sont sans doute ses magnifiques yeux bleus. Des yeux bleus clairs, profond, qui sont presque une marque de fabriques chez les Catalino du côté de Piotr. Adorable, la fameuse Camille regrette presque cela parfois, estimant qu’elle aurait moins risquée si elle avait été plus moche… Malheureusement, la fée était allée jusqu’au bout, pour sa punition.
Caractère :
Maintenant que Camille est une fille… Comment décrire son caractère ? Et bien, ce n’est pas forcément chose aisée, mais je tente le coup ! Alors, commençons par ce qui n’a nullement changer… Sa peur de l’autorité. En effet, comme quand elle était un garçon, la fameuse Camille a peur d’une chose, véritablement : C’est l’autorité. Elle a peur des conséquences de ses actes, et très souvent, a tendance à tenter d’y échapper le plus rapidement possible. Vous comprenez ? Ainsi, la jeune demoiselle a tendance à toujours éviter les surveillants, professeurs, policiers… Elle sait très bien que ce qu’elle fait régulièrement est mal. Donc, elle ne veux pas se faire chopper et punir. Trouillarde, peu responsable… Notre fameuse Camille a tendance à oublier que ce qu’on fait… Peux amener de terribles conséquences… Pourtant, sa forme actuelle en est bien liée.
Cela fait d’elle une lache… Peut-on continuer sur ses peurs ? Oui ! En effet, maintenant qu’elle est devenue une fille, et bien… Camille est assez mal à l’aise avec tout cela. Elle sait très bien qu’elle est devenue une demoiselle, et qu’elle peux difficilement faire autrement. Donc, les hommes, mais aussi les femmes, peuvent lui faire peur. Elle a presque l’impression que tout le monde connaît son passé, et peux la faire chanter à tout moment. Bien sur, cela fait naître une grande paranoïa, et une tendance à esquiver les autres… Presque agoraphobe, elle préfère être tranquille, et tenter de vivre sa vie tranquillement, sans qu’elle n’ait le moindre problème… Bien sur, elle devine que cela ne sera pas aussi facile…
Roh la la la… Peut-on au moins lui trouver une qualité, à cette fille ? Et bien…Oui. On peux trouver en effet, une qualité à la jeune demoiselle. Celle-ci est discrète, et peu bavarde, et sait user de sa mignonneté s’il faut. Presque une réminiscence de son enfance, elle se rappelle comment être gentille… Et parfois, cette gentillesse, ce masque, et bien… Devient la réalité. Peu à peu, si on est gentil avec elle, si on l’aide à se sentir bien dans sa peau, qui sait, même, l’aider à être heureuse en temps que fille, on peux se rendre compte que la fée a bien fait de faire de lui une fille : elle devient beaucoup plus sympathique, presque mignonne et gentille. Ce qui lui faut, c’est bien s’occuper d’elle… Très bien s’occuper d’elle. Si on est même un peu sévère, sa crainte de l’autorité peux la transformer en parfaite soumise, en demoiselle qui sera parfaite pour obéir à tout vos ordres, et ainsi, en faire une parfaite esclave. Quoi ? Vous dîtes que c’est méchant… Et bien, vous ne devriez pas… Car voilà ce qui peux arriver, si vous ne le faîtes pas.
En effet, Camille reste Camille. Même devenue une fille, elle garde au fond d’elle, son ancien caractère sadique. Derrière son côté adorable, se cache aussi un être narcissique, et qui a tendance à vouloir posséder tout. Ainsi, si vous êtes gentil mais trop laxiste avec elle… Elle peux très bien considéré que maintenant, vous lui appartenez. Et elle est TRES possessive. Alors, Camille peux décider de vous garder, de faire en sorte que maintenant, vous ne serez qu’à elle. Et personne d’autres aura le droit à vous avoir. Et oui, cette demoiselle peut vite virer Yandere, si elle n’a pas ce qu’elle veux. Ce qui n’est pas une bonne chose. Donc, soyez gentil avec Camille… Mais ne la laissez pas avoir ce qu’elle veux. Matez-la, dressez-la, et vous aurez une Catalino rien que pour vous, obéissante et gentille… C’est comme un élément instable, Camille… Bien géré, cela peux donner de grand résultat… Mais le moindre déséquilibre peux tout faire sauter !
Autre :
Rien de spécifique à dire, à part un IMMENSE merci à Pauline Catalino pour m’avoir permit de faire de Camille un personnage lié à la famille Catalino, ce qui permettra de super RP ensembles <3 Bref, gros coeur à Pauline !
Sinon, DC d’une vachette et d’une paladine raciste !