Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Psychosocial [Vaashounet :3]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 30 samedi 05 décembre 2015, 12:40:25

Belle ? Ça, pour sur que lulu l'était ! Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Lucrezia a toujours sue plaire aux hommes avec ses jolies formes et ses rondeurs bien positionnées et ce, au grand damne des autres femmes qui travaillaient avec elle. C'est simple, à l'époque où notre charmante tueuse était encore une douce infirmière, il ne ce passait pas une journée sans que lulu ne ce fasse troncher et ce, que ce soit par les patient, les internes ou les chirurgiens, sans parler de toutes les petites séances de saphismes avec certaines de ses collègues ou encore les petites pauses frotti-frotta en solo dans les toilettes (mais ça, comme c'est solo, ça compte pas vraiment.). Lucrezia a donc toujours plus ou moins était une salope, d'ailleurs, le mot « salope » ne raisonne plus vraiment comme une insulte dans sa tête mais plus comme un charmant petit surnom, un adorable sobriquet qu'elle aime entendre de la voix de ses amants comme… Ce flic par exemple, celui-là même qui lui avait cassé le cul en miette et qui, avec une certaine malice l'avait appelée « petite salope »… Aaah… Petite salope… Tout en faisant glisser ses seins sur le mat de Vaas, Lucrezia ce rappelât ce surnom, un surnom simple, basique et outrageusement vulgaire mais qui, comme cité plus haut, raisonnait dans la tête à Lulu comme un délicat surnom… Genre, « petite salope » pour Lucrezia, c'est comme « ma puce » ou « ma chérie » pour les femmes normales.

« hmmpfff… Aaahh… j'aime tellement ça, hmmm... branler des queueS avec mes seins, fiooouu ! »

C'est clair… Autant, une simple branlette ne procure pas grand chose à notre Duchesse, autant, quand elle commence à le faire avec ses seins, ça devient tout de suite plus érogène. Lucrezia, comme toutes les femmes, a les seins très sensible et donc, forcement, le fait d'avoir un gros engin calé entre les nibards, ça l'émoustille de partout ! Mais en générale, toucher de la bite, ça fait toujours un petit quelque chose à notre tueuse, c'est comme sucer, ça l'apaise, ça lui procure une sorte de satisfaction étrange qui la pousse à pomper toujours plus ardemment la queue de ses amants jusqu'à ce que ces dernier ne finisse par… enfin, lui offrir son due quoi, un due qu'elle avalera avec gourmandise ou, à défaut, qu'elle ce prendra en pleine face.
Tout en continuant de faire rouler ses seins sur la verge de Vaas, Lucrezia poussait de petits soupir et de petits gémissement tout à fait adorables tout en gardant les yeux rivés sur son grand fou, ce dernier semblait vraiment ravis du traitement que Lucrezia lui offrait.
Puis… Finalement, après plusieurs minutes, Lucrezia revint à reprendre la queue de l'homme en main, enserrant cette dernière au niveau de la base, avant de la lécher et de la faire frotter contre son visage, humant alors avec délice le musc délicieusement puissant de ce beau mâle.

« Hmmm… C'est tout chaud et tout dur… Et cette odeur… ça me rend folle ! Haaa... » Susurrât elle alors en regardant l'homme dans les yeux, tout en faisant glisser le gland de vaas sur sa joue puis sur ses lèvres.
«Je pourrait faire ça pendant des heures… et des heures… et des heures… Haaa… comme quand je suis dans les chiottes de métro… Hmmm… je suce bite sur bites et les gens me laisse ce qu'il veulent tu vois hmmm… C'est tellement dégradant et mystérieux à la fois… haaannn... »

En disant cela, Lulu continuait de faire frotter son visage sur la hampe de son amant, la bouche entre ouverte, avec au fond des yeux un air de chienne en chaleur. Puis… Calmement, elle ferma les yeux en prenant une grande aspiration nasal, emplissant alors ses narines du musc virile que son amant lui offrait, avant de donner un grand coup de langue sur sa verge, verge qu'elle ce remit ensuite à branler avec ses seins tout en lui gobant le gland.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 31 lundi 14 décembre 2015, 11:51:04

Là, debout devant elle, Vaas vibrait de plaisir. Le brave pirate n’avait que des raisons d’être excité, et, quand il entendit la femme lui dire qu’elle aimait enfiler des pipes dans les chiottes d’une rame de métro, l’homme se surprit à rire, en hochant la tête, et posa ensuite sa main sur les cheveux bleus de la belle femme.

« Ha, putain ! J’imagine la légende... La Duchesse, la grande tueuse, en train de sucer des queues pour dix yens de l’heure dans des chiottes merdiques, entre le gars qui pisse et l’autre qui nous balance sa chiée ! Merde, t’es genre totalement givrée, en fait ! Ah, putain ! »

Mais ouais, totalement folle, quoi ! Et on osait dire que c’était lui le cinglé... Juste parce que Vaas pouvait parfois se montrer UN PEU colérique. Alors qu’il débarquait dans un pays où on vous suçait la pine dans le métro, ou dans des cafés, et où on se faisait servir pour des serveuses en tenue de maid ou de neko, soit des fantasmes sexuels ambulants. Et encore, Vaas ne parlait même pas de tous ces clips télévisés complètement psychédéliques, qui semblaient avoir été écrits par des mecs sous LSD... Des gars qui en avaient clairement trop pris ! Et lui ? Merde, mais, en comparaison, Vaas était un modèle de vertu et d’intégrité !

Ah, la bonne blague ! En souriant encore, il se repencha vers la femme, et vit cette dernière prendre son sexe en bouche, ce qui amena son autre main à venir se poser sur son crâne, son corps se mettant lentement à remuer. La femme avait l’air d’aimer qu’on lui dise qu’elle était belle... Comme toutes les femmes, quoi ! Vaas avait beau rire, en réalité, il l’aimait bien. Non, sérieux, cette nana... Elle avait le sens des responsabilités, et, même si elle était un peu tarée, ha, qu’elle suçait bien ! De la sueur commençait à couler le long de son corps, et ses mains se crispaient sur ses cheveux, accompagnant les mouvements buccaux et linguaux de la femme.

« Hannn... Ouais, ma chérie, ouais, suce bien, suuuce bien... Merde, mais c’est vrai que t’es douée ! Avec une copine comme toi... Même pas besoin d’aller aux putes, hey ! On se contente de se servir à domicile ! Haha, ouais, ouuuuaaaiiiis, bébé !! »

C’est que Vaas aimait ça, qu’on lui suce la queue... Et, mine de rien, quand la femme était consentante, c’était... Encore plus excitant ! Tellement excitant que, s’il avait son paquet à la main, Vaas n’aurait pas été contre un petit bedo’ tout en se faisant astiquer le poireau. Peut-être une idée pour une prochaine fois ? Il la laissait donc faire, jusqu’à ce qu’elle enfonce bien ce membre dans sa bouche, sa queue allant taper contre sa gorge, le faisant soupirer.

Elle l’avait bien échauffé. Il avait adoré la voir frotter son visage contre sa queue, comme pour s’asperger de son odeur, avant de le prendre en bouche. Que c’était bon ! Des plaisirs simples, ancestraux, et délicieux à ressentir.

« Hum... ! Ouais, vas-y... Putain, chérie, tu vas me faire balancer la purée, à force ! »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 32 lundi 28 décembre 2015, 12:03:07

Lulu était cinglée, certes, mais ce type l'était tout autant qu'elle et, c'était là la raison de leur attirance mutuelle. Deux fous, un homme et une femme, tout deux plutôt bien gaulés qui plus est… Ouai, pour sur que le courant ne pouvait que passer.

« Hmmm... »

Plus ou moins silencieusement, notre Duchesse continuait à s'occuper de son amant pendant que ce dernier parlait de l'avantage indéniable d'avoir une copine comme lulu chez soi. Cependant, Lucrezia, elle, ne savait pas trop comment tout ceci aller tourner, était elle prête a rester un peu de temps avec lui ? Genre, comme un couple à part entière ? Est ce qu'elle pouvait vraiment faire confiance à ce type ? Et puis… Que ferait elle si jamais il venait par inadvertance à pénétrer dans sa pièce « sacrée », ici, en plein coeur de ce sanatorium ? Aurait elle suffisamment de sang froid pour pas lui sauter dessus et l’étriper ? Enfin… Pour l'heure, tout ceci ne tracassait pas trop notre chère Lulu qui, en bonne petite chienne, s’effarait à pomper le délicieux mandrin de ce psycho-roméo, ses lèvres glissant habilement sur le mat de ce dernier dans un bruit de succions obscènes. Mais, bien vite, Lucrezia vint à extirper cette bonne queue pulsante de sa bouche, afin de la remettre bien au chaud entre ses seins tout en regardant l'homme avec un petit regard espiègle et joueur, s'offrant  même le luxe de lui tirer la langue… Oui, elle s'amusait beaucoup !

« Dit moi… Après… tu pourra me faire une gâterie à moi aussi… Hm ? » Lui demandât elle alors en continuant de faire rouler ses seins sur le mat pulsant et chaud de son homme, une queue que Lucrezia mourait d’envie de sentir une fois encore au fond d'elle… Mais, comme elle venait de finement le demander, Lulu, ensuite, voulait que ce soit au tour de Vaas de la gâter car, pour être tout à fait  honnête, Lulu n'avait pas souvent la chance de ce faire brouter. Mais… Bientôt, Lucrezia sentit la verge de l'homme pulser plus férocement encore entre ses seins et, voyant qu'il s’apprêter à jouir, notre tueuse s'empressa d'ouvrir la bouche en accélérant le mouvement de vas et viens avec ses seins avant de finalement recevoir son due, soit, un bonne grosse éjaculation qui lui éclaboussa le menton, la bouche et le torse.

« Hmaaa… Haaa oui ! …. Hmmm ! »

La femme ferma les yeux tendis que la verge de Vaas balançât son ultime giclée de foutre sur elle, foutre qu'elle avala avec délice et dévotions. Suite à quoi, la tueuse ce recula légèrement, ses seins revenant alors a leurs place en rebondissant fièrement, la semence de Vaas dégoulinant entre et sur ses derniers.

« Haaanw… Regarde, je suis toute cochonne maintenant… Hmmpff… » Glissat elle alors en regardant sa poitrine maculé du foutre de Vaas avant de relever la tête vers son amant en souriant malicieusement pour finalement attraper la verge dudit amant par la base et d'à nouveau la faire glisser sur son visage, recouvrant alors ce dernier de quelque traînées de sperme.

« Hmmm… Dit moi… avant de me lécher le timbre à la cave… Tu aurait le temps pour me faire prendre une petite douchette ? »

Et… Lucrezia esquissa un léger sourire. Oui… Lulu était vraiment folle… Mais bon, c'était pas comme ci on le savait pas déjà, hein. Cependant, que Vaas n'aille pas s'imaginer que Lulu était ouverte à toute les pratiques, la « golden shower » était certes une pratiques qu'elle aimait tester de temps à autres mais… C'est tout, au delà de ça, c'était non ! Alors certains diront « oui mais elle tripote les viscère étou » ouai mais non… Lucrezia avait ses limites et la scatophile ou même la zoophilie ne l'on jamais attirées et ne l'attireront jamais, pour elle, c'était des « tue-l'amour » et puis… Sérieux quoi, pour elle qui était cynophobe, baiser avec un chien… huuu ! Rien que d'y penser, elle en avait la chair de poule !

« Alors mon chou… Tu veux bien faire une petite toilette à ta chienne de casse ? Hm ? Histoire de marquer ton territoire ou je sais pas trop quoi.♥ » Lui demandât elle alors en secouant la queue légèrement flaccide de Vaas.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 33 lundi 28 décembre 2015, 12:42:56

Pour Vaas, il y avait quelque chose qui ne tournait pas droit dans ce monde. Quoi, il n’aurait su le dire avec précision, mais, enfin, et en toute honnêteté, si ce monde était vraiment, comme on le disait, une terre de liberté, on pourrait baiser sans problème, comme on le voulait, et tout... Mais, au lieu de ça, on continuait à s’entre-tuer pour trois dollars, on massacrait à tour de bras, on armait des gosses dans des bidonvilles pour se faire sauter le caisson, on formait des milices, et, pendant ce temps, la jeunesse des pays riches continuait à dilapider son argent et son temps dans des fêtes inutiles en se défonçant à la coke, cette même drogue qui, dans la majorité des cas, servait à financer l’esclavage moderne, les tueries de masse... Et c’était cette même jeunesse, cette même population, qui montait aux créneaux pour dénoncer la pauvreté dans le Tiers-Monde, la guerre, le terrorisme... Vaas ne critiquait même pas les gouvernements, car, pour lui, les gouvernements n’étaient que le reflet de la population. C’était ça, la démocratie, non ? Élire ses propres représentants ? Il n’y avait que les hommes pour trouver à y redire, comme si zéro et zéro, en s’additionnant, pouvaient faire autre chose qu’un zéro pointé. Quand on confiait à des cons le soin de nommer leurs dirigeants, il fallait s’attendre à ce que les dirigeants soient aussi cons que la masse, ou soient suffisamment intelligents pour savoir qu’ils avaient affaire à des cons. Le foutu monde marchait sur la foutue tête ! Vaas n’avait de respect pour aucun de ces hypocrites, aucun de ces enculés de junkies, d’hippies pro-nègres, et de ces merdasses de yuppins bobos-gauchistes, qui défendaient allègrement la paix dans le monde avec le bédo au coin des lèvres, sans savoir que ce qu’ils fumaient réellement, ce n’était pas de l’herbe, mais le sang de l’exploitation moderne.

Et c’était lui le dingue ? Sérieusement ?! Tout ce que Vaas faisait, c’était être le miroir qui mettait les gens face à leurs propres contradictions. Lui était lucide, car il savait qu’il n’y avait qu’une seule chose, véritablement, qui comptait en ce monde : le pouvoir. Oubliez toutes ces conneries sur l’amour, les sentiments, le romantisme, et ces merdes qu’on sortait à des chiards et à des gamins prépubères. L’être humain était génétiquement pensé et encodé pour ne penser qu’à lui, et pour satisfaire ses propres désirs. Alors, pourquoi s’en faire pour les petits nègres de l’Afrique subsaharienne, ou pour les millions de Chinois obligés de faire des pompes Adidas dans des usines où la poussière avait remplacé l’oxygène ? Rien à foutre... Rien à foutre, putain ! Et quoi de plus naturel, suivant cette logique, que de s’envoyer justement en l’air avec une pute aux gros nichons, et sapée comme une Déesse du porno ?

« Hmmm... Pompe bien, ma chérie... »

Et elle pompait ! Ses seins, c’était comme un morceau du Paradis. Doux, gros, amples, généreux, ils emprisonnaient sa queue avec une force incroyable, un magnétisme terrifiant, quelque chose qui vous rappelait que, malgré tous vos efforts, malgré tout ce que l’humanité avait déployé pour tenter de l’oublier, l’Homme restait, fondamentalement, un animal. Et, en tant que tel, l’Homme était soumis à ses plus bas et à ses plus vils instincts... Et Dieu, que c’était bon ! Vaas ne s’en lasserait jamais, surtout avec une femme comme ça. Une femme qui, comme lui, admettait la vacuité de la vie, l’insondable inexistence des valeurs morales et des conceptions philosophiques. Le cul et le meurtre, voilà les seules choses tangibles, car ces deux éléments étaient les colonnes vertébrales du Pouvoir, avec un grand « -P ».

La crème de Vaas sortit généreusement, aspergeant le doux corps de cette femme, et l’homme resta là, face à elle, son mandrin encore chaud, même si son vit avait, du fait de son érection, perdu de sa superbe. Il caressait encore le corps de cette femme, et Vaas la regarda avec envie, lèvres entrouvertes. Le visage de Lucrezia caressa sa queue, comme une sorte de chienne voulant recevoir une caresse de son maître, des traits de sperme glissant le long de son visage.

« Ma chérie, si la sensualité devait avoir un nom... Merde, ce sera sûrement le tien qui serait écrit, tu sais... Avec de grosses lettres roses bien flashy ! »

Elle lui demanda alors... De marquer son territoire. Un sourire amusé éclaira alors les lèvres de Vaas devant cette demande, sans aucun doute inattendue, mais qui l’amusait.

« Marquer mon territoire ? Comme un foutu chien ? Tu me plais, ma chérie... »

Elle était imaginative, il aimait ça. Et, juste après avoir joui, il suffirait de se forcer un peu pour faire sortir la vessie. Vaas ferma donc les yeux, respira lentement, sa queue face au visage de Lucrezia... Puis, après quelques secondes, la douche dorée éclata. Son urine jaillit, et éclaboussa joyeusement le visage de la Duchesse.

« Aaaaah, putain ! »

Il pissait tellement que c’en était presque douloureux, le flux venant grossir pendant quelques secondes, tandis que l’homme continuait à vider. Libre à elle de voir si elle voulait avaler son urine ou non. Il paraît que la pisse a de bonnes valeurs sanitaires.

Ça allait être l’occasion de le vérifier !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 34 lundi 28 décembre 2015, 14:23:24

« Ma chérie, si la sensualité devait avoir un nom... Merde, ce sera sûrement le tien qui serait écrit, tu sais... Avec de grosses lettres roses bien flashy !»

Pour sur qu'un gros serait tout à fait indiqué pour décrire la sensualité vulgaire et provocante de notre Duchesse. Lucrezia était une véritable déesse du crime, une femme qui avait ce don d'être à la fois totalement débraillée et sexy à la fois, comme ci le look de pute ultra-chaude avait était fait pour elle. D'ailleurs, quand Lucrezia vas tapiner, elle reviens toujours chez elle avec une bonne liasse de billet et, des fois, avec le ventre bien remplis… dans tout les sens du terme car, généralement, en plus de la semence de ses clients, la belle à parfois la chance de tomber sur un type plus sympa que les autres qui lui aura offert un bigmac ou un kebab et… Lucrezia, en bonne pute, lui aura offert un tour de circuit en plus avec un petit arrêt à la pompe avant.

Mais… Lulu ce souvient aussi de quelque clients un peut ingrat qui, après avoir eu ce qu'il voulait, ce tire en lui payant moins que ce qu'ils doivent. Mais généralement, Lulu les reconnaît ces gars là, ce sont des types de la pègres qui, lassés des gamines squelettiques qui leur servent de gagne pain vienne voir si l'herbe est plus verte ailleurs et… Avec Lulu, autant dire qu'ils sont toujours satisfaits.
Fort heureusement, la discrétion de Lucrezia et le fait qu'elle ne tapine pas tout les soir lui évite de prendre trop d'argent au différente organisation mafieuse oooh, certes, ils savent qu'elle existes, les russes surtout, vus qu'elle traîne en bordure de leur territoire mais… Il la laisse. D'ailleurs ces cher buveur de vodka lui on même donné un surnom à notre Lulu « Mol'ka » ou « Moloka » (Moloko voulant dire lait en russe).
Tiens, il est d'ailleurs intéressant de noter que, les russes sont généralement plus sympa que les Yakuza, alors, certes, il sont pas super tendre quand ils ramones lulu mais… Elle repart toujours avec une petite insulte gentiment grasse et un billet en plus alors que les yakuza c'est… « Je rentre, je sort, je t'envoie balader. » et… Et bien comme cité plus haut, ils ont tendance à mal la payer (mais fort heureusement, les yakuza ne représente même pas la moitié du quart de sa clientèle)

Et puis… Il y a les autres, les bonhommes de passages, les hommes fraîchement largués par leur nana, les macho du dimanche, les flics un peu alcoolos sur les bord en recherche de compagnie enfin… Une armés de queue avide de venir ce réchauffer entre les lèvres de notre Duchesse, Duchesse sous couvert de sa somptueuse tenue de Prostipute édulcorée et sensuellement provocante.
Enfin, pour l'heure, Lulu était Lulu, avec sa belle tenue d'infirmière en latex luisant maculé ici et là du foutre de son homme qui, fièrement, ce dressait devant elle, la verge un peu molle .

« Marquer mon territoire ? Comme un foutu chien ? Tu me plais, ma chérie... »

La femme esquissa un autre petit sourire en position accroupie, les jambe écartée, les deux mains sur les genoux, le torse bombé et les bas des reins légèrement voûté. Lulu avait vraiment des penchant déviant par moment… Et il n'en avait pas vus le quart ! Que ce soit son urophilie (qui est sûrement due au fait que, plus jeune, lulu souffrait d'énurésie et ce, jusqu'à l'age de 14 ans)
que ce soit son amour de la semence, son attrait à la domination face au femme et sa soumissions face au hommes ou encore, son fantasme sodomite, le plaisir qu'elle tire de la souffrances des autres, le fait qu'elle adore ce prendre des claques sur le cul, de ce faire bifler, son attrait pour les glory-hole, pour le gokkun (boire le sperme d'un homme dans un verre ou dans n'importe quel récipient) et… Enfin, Lucrezia est une pure pécheresse, aussi dégradant que soit ses fantasme, elle prend toujours un pied monstre a leur donner vies ! Mais… L'un des plus gros trip sexuel de Lulu, c'est de tout combiner avec non pas un, ni deux mais TROIS Bonhommes ! Ça… Lucrezia le fait rarement voir jamais mais… Quand elle aura enfin l'occasion de rouler des galoches à trois queues en même temps, rien  ne pourrais la rendre plus heureuse. En revanche, l'idée de ce faire gang-banger… Hmmm… ça l'attire moins, enfin, si, le fait d'avoir une foule de queue autour d'elle ça la fait forcement vibrer mais c'est plus le concept de tournante qui la fait douter… Quoi que… En y réfléchissant un peu, si un soir où notre lulu est déguisée en pute et qu'une tripoter de beaux mec venait à lui proposer une baise entre pote… Il y a des chances pour qu'elle dise oui… Mais ils devront ce montrer un minimum respectueux et la payer grassement ensuite.

Mais bon, revenons en à notre charmant petit couples. Lulu, qui était donc bien en place n'eut pas à attendre longtemps pour que Vaas lui pisse dessus sans aucune gène ni aucune forme de honte, comme ci Lulu était son urinoir quoi… Et la réactions de Lucrezia ne fut nullement différente, elle soupira en fermant les yeux en sentant l'urine de son amant venir s’écraser sur son opulente poitrine, avant que le jet ne fasse un petit bon pour venir humidifier son visage et son menton. Et, bientôt, Lucrezia, en parfaite salope dégénérée entrouvris ses lèvres, sortit sa langue et happa au passage l'urine de Vaas à la manière d'une chienne assoiffée, comme pour lui montrer à quel poins la femme qu'il avait en-fasse de lui était une femme faite pour lui, pour lui, l'homme qui grillait des mec et qui, sans aucune forme de peur ni de gène, baisait avec une tueuse en série.

Un véritable Disney-porn-trash-movie ~ ❤


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 35 lundi 28 décembre 2015, 21:54:47

Ça, merde, il aurait dû le filmer ! Un bon vieux snuff movie à l’ancienne, avec tout ce qu’il y avait pour exciter les gamins prépubères qui se branlaient sur Internet devant ce genre de conneries : des mecs cramés, puis du cul à l’ancienne, avec une petite touche de bien dégueulasse quand il lui pissait dessus. Mais il fallait être réaliste. Dès que ça parlait de bite et d’urine, les Américains vous censuraient tout ça en invoquant la liberté de conscience. Le droit de cramer des mecs en les faisant griller comme des saucisses ? Cool, bro’, fais péter la sono’, mais fous-moi une pute qui se fait pisser dessus, et là, tu te reçois toutes les associations féministes sur le dos, toutes ces salopes de gouines-lesbos-frigides qui prétendaient servir la Cause des salopes juste parce qu’elles étaient incapables de se trouver un mec pour leur défoncer leur putain de gros cul à la con ! Il pissa donc contre le visage de cette femme, une douche dorée qui finit en absorption quand sa queue alla se planter contre les lèvres de la femme, et il termina sa course en elle, pendant quelques secondes supplémentaires.

« Haaaa... PUTAIN, ouais !! »

Vaas se retira ensuite, visiblement rassasié, et marcha un peu, rigolant à moitié.

« T’es cinglée, ma salope. Ah, putain, on va faire un malheur, tous les deux ! »

Il frappa joyeusement dans ses mains, comme pour exprimer tout son bonheur à cette idée. Vaas & Lucrezia, comme une version moderne, glauque et trash’ de Bonnie & la putain de Clyde ! De quoi en oublier un peu toute cette tuerie et cette frénésie quotidienne... Vaas avait torturé et massacré ses propres hommes sans aucune hésitation, par amour pour son bébé, pour cette belle femme toute de latex qui était maintenant recouverte de pisse. Il avait marqué son territoire, comme elle l’avait si bien dit. L’homme soupira donc, puis s’étira lentement, faisant craquer les articulations de son dos, puis l’observa encore un peu.

« Allez, ma belle, je vais pas te baiser dans cet état, ce serait pas sain. Tu dois bien avoir une espèce de douche dans ton nid douillet ? Et... J’sais pas, moi, une tenue de rechange ? J’suis pas sûr que le latex et la pisse, ça fasse bon ménage. »

Qu’allaient-ils faire, maintenant ? Pas baiser toute la nuit, tout de même, ça allait vite devenir chiant. Vaas faisait partie de ces gens qui considéraient qu’il ne fallait pas abuser des bonnes choses, sous peine de s’en lasser... Et ouais, ça valait même pour le cul et les massacres.

« Allez, fais-toi belle, ma chérie, qu’on s’éclate ensuite encore un peu... »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 36 mardi 29 décembre 2015, 17:02:19

Hmmmgmm… Haammm….

Lucrezia soupira faiblement par le nez quand son amant vint à enfoncer son gland entre ses lèvres afin d’inonder du reste de son urine la bouche de notre charmante psycho-pute. Et, bien évidemment, cette dernière avala le tout en une ample gorgée sonore. L'urine n'était pas spécialement bon mais… Lulu, pour une raison obscure n'était pas le moins du monde repoussée à l'idée d'avaler ce liquide, au contraire, notre Duchesse du crime trouvait ce petit jeu, fort excitant malgré sa nature dégradante et sale. Mais bientôt, elle vit son homme ce reculer pour ce mettre à faire quelque pas en claquant dans ses mains d'un air enjoué. Il semblait heureux d'être avec elle et, cette constatation amena lucrezia  à sourire tendis qu'elle essuyait du dos de sa main l'urine et le foutre qui maculait sa belle bouche et son menton.

« Allez, ma belle, je vais pas te baiser dans cet état, ce serait pas sain. Tu dois bien avoir une espèce de douche dans ton nid douillet ? Et... J’sais pas, moi, une tenue de rechange ? J’suis pas sûr que le latex et la pisse, ça fasse bon ménage. »

Lucrezia ce redressa lentement en remettant son opulente poitrine en place avant de ce rapprocher de son beau mâle encore en tenue d'Adam. Là, la jeune femme vint a poser ses mains sur ses abdos, abdos qu'elle caressa en le regardant dans les yeux avec un petit sourire taquins et amusé.

« Oui, t'en fait pas chou… J'ai une douche dans mon petit nid d'amour. ❤  »
Le jeune femme vint alors a l'embrasser brièvement sur la bouche avant de lui susurrer à l'oreille ces quelques mots :
« Et tu sais quoi… Tu seras le premier mec a venir dans ma chambre depuis que je suis ici. »

Lucrezia poussa un petit gloussement avant de ce reculer afin de laisser à Vaas le temps de ce rhabiller et, une fois que ceci fut fait, elle l'attrapa avec enthousiasme par la main avant de le guider dans son sanatorium labyrinthique et ce, d'un pas enjoué.
En y repensant, il est vrai que Lucrezia n'avait jamais eu l'occasion d'inviter un homme dans son antre et, encore moins dans sa chambre… Ou plutôt, le taudis qui lui servait de chambre.
Une fois devant la porte de cette dernière, Lucrezia ce tourna brièvement vers vaas et, d'un air un brin anxieuse elle vint à lui dire :

« Je… Tu fera pas gaffe au bazar… J'ai pas vraiment eu le temps de ranger... »

Et, une fois cela dit… Elle ouvrit la porte. Offrant alors au yeux de Vaas une chambre d'hopital pour deux personnes (mais avec un seul lit) « un peu » en bazar avec ici et là des pile de linge propres et sales, des bouteilles d'alcool plus ou moins vide, des seringues usagées, de nombreux jouets féminins, de la drogues… Beaucoup de drogues et, au milieux de touts ça (et d'autre trucs) il y avait un grand lit pour deux personnes (rassemblant enfaîte deux lits une personnes) et, dans le coin droit de la pièce, juste à coté de l'entrée, il y avait la fameuse cabine de salle de bain avec douche intégrée !

« Bon aller… Vus qu'il faut que je me fasse toute belle ❤ . »

Et hop, devant lui, Lucrezia ce mit à ce dévêtir, laissant tomber au sol son uniforme en latex, ses gants puis ses bas, ce retrouvant alors toute nue devant lui ! Là, pour sur que Vaas devait avoir une belle vus d'ensemble ! Lucrezia, visiblement joueuse revint alors auprès de son homme afin de le câliner un peu.

« Mais dite moi monsieur, ça vous tente pas de prendre une petite douche avec moi ? Même si on baise pas, ça peu toujours être bon à faire non ? »

En disant cela, lulu c'était permise de prendre les mains de vaas afin de rediriger celle ci au niveau de ses hanche et de ses fesses, fesses qu'elle dandinait fièrement sous la paume de ce beau mal des îles. La femme ce voulait joueuse, taquine et, au fond de ses yeux brillait une lueur espiègle et tentatrice tendis qu'elle ce mordait les lèvres d'impatiences à l'idée de ce laver avec lui… S'il le voulait, bien entendue.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 37 samedi 02 janvier 2016, 13:09:58

« Et ouais, désolé les gars... Je sais que vous vous êtes rincés l’œil, que c’était... Super-sexy et tout... Surtout toi, Freddy, t’as l’air d’en avoir une bien dure, mais... Vous avez entendu la dame ? Je suis invité dans sa chambre, un honneur exceptionnel pour le gentleman que je suis. Alors, veuillez nous excuser... Mais un homme doit savoir faire plaisir aux dames quand on lui demande gentiment. »

Freddy sembla lentement hocher de la tête. Bien sûr, le cadavre grillé ne s’appelait pas Freddy, et il n’était pas vraiment en train de bander, mais... Et bien, il fallait bien saluer son public. Vaas s’écarta donc, laissant les deux cadavres là, décidé à s’en occuper après (c’était à l’homme qu’il revenait de sortir les poubelles, après tout), et rejoignit donc la belle Duchesse dans sa loge royale. En l’occurrence, une chambre d’hôpital comprenant de multiples seringues, et pas mal de grains de coke. Il y avait, en fait, un bel assortiment, niveau coke. Vaas ne dit rien. La drogue, il aimait ça. Cette femme avait de bons goûts. De fait, beaucoup de gens disaient que, si Vaas était aussi cinglé, c’était à force de se shooter à Rook Island, en usant de la drogue spéciale qui était cultivée là-bas. D’aucuns disaient aussi que ses facultés exceptionnelles au combat venaient de là, car on disait que certaines plantes de Rook Island avaient des effets hallucinogènes, augmentant le rythme cardiaque, et augmentant donc les performances et les capacités des hommes, au dé&triment de leur santé mentale. Mais bon, aucune étude scientifique n’avait été réalisée sur les plants de Rook Island, et aucune expertise psychiatrique n’avait un jour été réalisée sur la personne de Vaas. Alors, qui pouvait dire qu’il était cinglé ? Et puis, lui, il se trouvait sain... C’est juste le reste du monde qui était hypocrite.

Lucrezia l’arracha à ses pensées en se dirigeant vers la salle de bains, et se déshabilla rapidement. Nue, elle était aussi magnifique qu’avec sa robe... Plus ? Moins ? Difficile à dire... Sérieux, c’était hard, quoi ! Ah, la beauté du beau sexe... Elle dandinait son petit cul comme une salope en manque, et ce alors qu’il venait de lui pisser dessus.

*Merde...*

Il bandait à nouveau. L’homme s’avança alors quand la femme lui proposa de prendre la douche ensemble, sauf qu’il s’agissait d’une douche d’hôpital... Donc, clairement pas une douche « King Size », plutôt un placard à balais. Vaas se déshabilla à son tour, finissant tout nu, avec une belle trique. Cependant, avant de la rejoindre, il attrapa une seringue qui traînait dans un coin, et esquissa un léger sourire.

« Ça, ça a l’air d’être... Pas mal. Parfait, pour planer un coup... »

L’homme la rejoignit ensuite, et se colla contre elle dans la cabine de la douche, refermant la porte derrière lui. Son sexe caressait le corps de la femme, et les seins de Lucrezia caressaient son torse. Souriant, Vaas approcha la seringue du cou de la femme, et l’enfonça lentement en elle.

« Réfléchis à comment tu veux que je te prenne... Sur le devant... Ou sur le derrière, en te plaquant contre le mur, comme si tu étais une petite pute d’étudiante sortant de ses cours se faisant sodomiser en allant aux chiottes dans le métro... »

Il répandit la moitié du liquide en elle, puis se planta, à son tour, la seringue, se la vidant.

« Aaaahh... Puutain !! »

Il balança ensuite la seringue dans un coin, et sentit son érection s’accroître... Ainsi que sa nervosité, et son envie de baiser.

Que Lucrezia choisisse vite, ou il allait la retourner, et la baiser joyeusement !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 38 samedi 02 janvier 2016, 21:00:15

Lulu regarda son prince quelque seconde, avant de le voir ce mettre à son tour à nue et… diantre, qu'il était vigoureux le bougre ! <3 Il était de nouveau bien dur son bonhomme et, avouons le, là visions de cette belle verge pulsante de désir fit fondre une fois encore le petit cœur de Lulu.
« Ho… » Soupirat elle alors en écarquillant légèrement les yeux, visualisant alors ce mat fièrement dressé, prêt à lui farfouiller le corps comme la première des putes… Enfin, non, comme la « Princesse » des putes. La femme esquissa par la suite un léger sourire en croisant le regard de son homme puis, tout en glissant une caresse sur le gland de Vaas, Lucrezia prit la route de sa cabine, faisant un léger toujours sur elle même avant d'entrer dedans, laissant ensuite sa tête et un peu de son épaule dépasser, la vitre (un peu sale) laissant entrevoir par transparence floutée, le restes des formes de notre Duchesse.

« Aller Vaassoux… Ne fait pas attendre ta princesse~❤ »

Et là, Lulu vit l'homme prendre l'une de ses seringues avant d'enfin la rejoindre dans la petite cabine et… seigneur, qu'ils étaient à l'étroit nos deux tourtereaux ! Lulu pouvait sentir taper contre sa peau le mat de ce psycho-roméo, une sensation oooh combien délicieuse, c'était.. ; tout chaud et dur… La femme ne put que lâcher un soupir en fermant les yeux face à son homme, sentant son parfums, son musc viril et son torse, là, tout contre elle.
Mais… Bientôt, l'homme vint à lentement enfoncer l'aiguille dans le cou de Lucrezia, faisait faiblement couiner cette dernière… Avant de la détendre. C'était… piouf ! Comme ci d'un coup, le corps de Lucrezia venait à ce vaporiser, ne laissant que son esprit, esprit qui  semblait quand à lui flottait, comme un petit papillons mais… Lulu était suffisamment habituée à la drogue pour rester concentrée et, plus ou moins « lucide ».

« Réfléchis à comment tu veux que je te prenne... Sur le devant... Ou sur le derrière, en te plaquant contre le mur, comme si tu étais une petite pute d’étudiante sortant de ses cours se faisant sodomiser en allant aux chiottes dans le métro... »
« Haaaannnw...Vaas~ » Souffla elle alors en ce pendant au coup de l'homme, soufflant faiblement en directions de son visage avec, au fond des yeux, une lueur chaude et sensuelle.
« Je… Je veut que tu me fasse une gateriiiehmmmmbllblblblblbgrmmblll »
Elle fit ensuite une petite mou boudeuse puis… Elle émit un petit sourire coquins, comprenant qu'avec lui, ça ne servait à rien de lutter et, en bonne amante, Lulu vint à lui dire :
« Chope moi les jambes, lève moi au dessus du sol et décalque moi l'minou mon chou~❤ »

Minou que notre Tueuse avait de très joli d'ailleurs, finement rasé et ce, à la manière « ticket de métro » Même ci, généralement, elle aime la garder glabre, notre duchesse ce permettait de temps à autres des petits extra, comme la fois où elle c'était faite une croix médicale, un petit détail fort amusent d'ailleurs <3.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 39 samedi 02 janvier 2016, 22:42:46

Le corps nu de Vaas s’était fièrement présenté aux yeux de la Duchesse. C’était un corps musclé, un corps de guerrier, avec son lot de cicatrices. Par exemple, sur son torse, il y avait la cicatrice d’un petit trou, là où une balle l’avait atteinte, autrefois, et son corps était aussi parcouru, ici et là, de quelques lignes blanches, souvenir de coups de couteaux, ou de griffures. Rook Island était une île paradisiaque, mais dont la beauté dissimulait la dangerosité. Il fallait y vivre pour le réaliser. Rook Island n’était pas l’une de ces îles à touristes, où tout avait été aseptisé. C’était, au contraire, une zone dangereuse, sauvage, mortelle, où la Nature avait encore tous ses droits, dominant les faibles constructions humaines, à l’image de l’épaisse montagne qui se dressait en son centre. Vaas était donc là, s’exhibant dans toute sa nudité, face à cette femme, cette tueuse, après s’être joyeusement drogué.

La drogue remuait dans ses veines, boostant son adrénaline, ses sens, son excitation... Et la Duchesse, face à lui, ne pouvait guère tergiverser. Qu’elle se décide, putain, ou Vaas irait lui ramoner le cul, en mode « Grand-Seigneur » ! L’homme était impatient, assoiffé, et, comprenant ça, la femme proposa de la prendre contre le mur, à l’ancienne. L’eau leur tombait dessus, et Vaas, la respiration lourde et profonde, chargea.

« Ouais... Viens par là, ma chérie ! »

Et hop ! Vaas la souleva par les hanches, puis sa verge alla se planter en elle, le dos de la Duchesse venant joyeusement taper contre le carrelage, au fond de la cabine. L’eau tomba sur le visage de Vaas, qui alla embrasser la femme, et continua à remuer, son sexe lui faisant un foutu mal de chien... Ah putain !

« Woooww, bordel, ce que t’es bonne, ma chérie !! HAHAHAHAHAHA, puuuuuuutain, c’est d’enfer !! Hummm... Hoooo, ma salooope !! »

La drogue le rendait joyeusement euphorique, d’une humeur légère, et guilleret... Ce qui, chez Vaas, était très particulier. Le brave homme continuait à la prendre, s’enfonçant dans le corps ample, doux, et bien musclé, de la femme, allant également l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes. Un tendre et sensuel baiser, au milieu de toute cette débauche de luxure et de sexe.

« Hmmmm... Bébé, haaaa... J’adore te baiser ! »

Vaas continuait à la ramoner, à la pilonner, ayant l’impression d’être une espèce de taureau bourré aux stéroïdes en train de baiser une biche... Mais c’était peut-être la drogue qui lui faisait ça, car il avait l’impression de planer, comme s’il était en train de se doucher dans un arc-en-ciel. D’ailleurs, ça se voyait, parce que le mur carrelé, y devenait rose, et un mur, normalement, ça rosit pas... Sauf si on l’arrose. Rose... Arrose...

Sous l’effet de la drogue, Vaas se faisait poétique !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 40 dimanche 03 janvier 2016, 13:13:37

Visiblement, la drogue n'avait pas le même effet sur Lucrezia et sur Vaas, tendis qu'elle faisait « calmement » planer Lulu, Vaas, lui, devenait plus… pimpant… Oui, c'est ça, plus pimpant !
Et diantre, c'est qu'il était pressé le bougre ! À peine notre charmante Duchesse lui avait elle dit comment qu'il devait la prendre que l'homme l'attrapa par la taille, avant d'aller une fois encore lui fourrer sa queue dans l'un de ses trous. L'homme était brutal dans ses mouvement, cela faisait à peine une minute qu'il fourrer notre pauvre lulu, que Vaas était déjà à plein régime, cependant, il prit le temps d'embrasser amoureusement la femme, planquant alors sa bouche contre les belles lèvres pulpeuses de Lucrezia, cette dernière profitant alors de cet instant pour littéralement avaler la langue de l'homme, suçant alors ce qu'elle pouvait dudit appendice avant de finalement le relâcher, laissant un long fil de bave entre les deux bouches.

« HmMmM HaaaaAaa… Ont avaient dit qu'ont baiserais p-phAaaaAa…. Haaanwwwmmm !!! »

Lucrezia était complètement dans la lune à présent et, pendant que l'homme la prenait sèchement contre la faillance blanche de la douche, notre pauvre lulu faisait tourner sa tête en roulant des yeux, bouche entrouverte, poussant de long et profonds soupirs de satisfactions. Puis, lentement et avec une certaine expertise, Lucrezia vint à ce cramponner au bassin de Vaas à l'aide de ses jambes, assurant encore plus l'emprise de Vaas sur elle et ce, dans le seule but de pouvoir encore plus ce faire péter comme une truie. ('fin, une belle truie quoi, dans le genre, peggi la cochonne)

Haaaannnwmmm… HMMM !!! Mon chOoOuUUuW... »

Et hop ! Lulu alla enlacer le coup de Vaas, afin de lui sucer la peau du cou, créant alors un gros suçons bien visible qui, ensuite, fut suivit d'un long coup de langue partant du bas de la gorge de l'homme pour finalement rejoindre son l'obe d'oreille, l'obe que notre Duchesse mordilla ensuite  joyeusement.



Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 41 dimanche 03 janvier 2016, 17:52:21

La drogue, sur Vaas, avait de curieux effets, et la came de la Duchesse... Ohhh putain, c’était d’enfer ! Le brave contrebandier planait et bandait dur, et n’entendit même pas la Duchesse parler. Tout ce qu’il voyait, c’était une salope en manque de queue, et il lui fourrait ça dans le gosier, enfouissant sa queue, qui semblait s’être transformé en un furieux python prêt à bondir. L’eau bouillonnait autour de lui, et, dans ce trip’, seul le sexe s’implantait. Vaas voulait des sensations fortes, et s’envoyait joyeusement en l’air avec cette femme, flottant dans un espace entre le rêve et le réel.

Elle alla se lover contre lui, mordillant son cou, et lui posa ses mains sur chacun des seins de la femme, et pinça les tétons, tout en continuant ses coups de reins. Rien que pour ça, la drogue était quelque chose de merveilleux, car, après ce que Vaas avait fait, sans cette injection, il n’aurait jamais pu prendre ainsi la Duchesse. Or, Lucrezia méritait un homme galant, un gentleman qui la prendrait bien comme il faut, qui satisferait sa soif et ses ardeurs. Car, après tout, c’est tout ce qu’on attendait d’un homme vis-à-vis d’une femme, non ? Qu’il la baise bien, qu’il la fasse hurler, qu’il la soulage, et qu’il la fasse jouir, bien comme il faut ! Et c’était quelque chose que Vaas comptait faire, en la prenant bien, grognant et soupirant, son corps allant s’aplatir contre celui de Lucrezia.

« Haaaa... Ma salope, huuummmm... Ha !! Si c’est bon, putain !! »

Quoi de mieux que du cul après du meurtre ? L’homme continuait à la baiser, et son poing alla soudain frapper le mur, tandis qu’il continuait à remuer, et le coup fut si fort qu’il en ébrécha un carreau. Vaas retourna alors voracement l’embrasser, goûtant à la longue et juteuse langue de la Duchesse, tandis que son sexe, lui, continuait à se perdre en elle, remontant dans les tréfonds du corps de la Duchesse. Vaas la baisait joyeusement, et se délectait des coups de cul de Lucrezia contre le mur, provoquant des chocs sourds, et ô combien agréables à entendre.

Vaas soupirait lentement, profondément, tout en continuant à jouer avec elle, encore et encore.

« Ouuuaaaiiissss... Whoooo... !! »

La langue de l’homme sortit en plein élan, alors que sa tête partait vers l’arrière, une lueur folle dans les yeux. Même lui était incapable de dire à quoi il pensait en ce moment. Ses pensées étaient comme une bombe au shrapnel qui venait d’éclater, et il fallait donc se rabattre sur la notion la plus simple et la plus compréhensible qui soit.

Baiser cette femme.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 42 lundi 04 janvier 2016, 14:12:13

« Huummmnnpfff ! Haaa… Haaaa Vaas ! HmmM !

Lulu était complètement déboussolée avec tous ça et elle ne savait manifestement plus où donner de la tête. L'homme était brutal, fougueux et visiblement bien décidé à prendre son pied. Mais… Notre Duchesse n'était pas en reste non plus, la drogue, bien que la rendant moins « vive » que d'habitude, décuplait son plaisir et les sensation qu'elle ressentait en son bas ventre. Mais même sans drogue, Lulu aurait sûrement ressentit à peu de chose prêt la même chose… avec une pointe de douleur en plus peut être car, la femme le savait, Vaas était entrain de taper contre son col utérin, le bout de son gland allant même légèrement ouvrir ce dernier !

« HmMmPFF… HaaaAaa ! »


Que c'était délicieux ! Lulu en avait des palpitations, son petit coeur tout mou s'emballant à chacun des coups de reins de son amant.La pauvre haletait comme une chienne en chaleur tout en poussant de petit couinement tout à fait adorables et, c'était d'ailleurs ça la magie avec Lucrezia, même en sachant que c'était une bouchère fini, elle n'en restait pas moins une femme et, quand elle ce retrouvait face à un homme, notre charmante Duchesse devenait plus soumise et incroyablement docile et ce, d'autant plus qu'en l'homme en face d'elle était un beau mal dans la force de l'age <3
La femme roulât fébrilement des yeux en faisant papillonner ses paupières avant de ce mettre à légèrement ventiler, tout ce sexe brutal et toute cette drogue… seigneur ! Que c'était bon ! La femme en avait presque des tournis et, heureusement que Vaas la tenait fermement.
« Haaanw... Vaas je… fiuuUu.. Hmmaa ! »
La poitrine de notre Duchesse s'emplissait et ce vidait rapidement d'air tendis que sa lourde paire de seins remuait au rythme des coup de reins de son Amant, un spectacle vraiment délicieux surtout quand on sais la paire de nibards que Lulu a en sa possessions, de beaux seins bien ronds et bien lourds, de véritable obus que la femme aimait mettre en valeur.

Cet alors que lulu sentit en elle grimper le plaisir, un plaisir au combien délicieux que la femme comptait bien accroître et ce, en ce mettant tout bonnement à bouger son bassin d'une manière fébrile et saccadée tendis qu'elle ce pourlécher les lèvres en faisant tourner sa tête en roulant des yeux.

La drogue, c'est mal m'voyez… Mais des fois, c'est quand même cool !


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 43 lundi 04 janvier 2016, 17:08:46

Vaas voyait devant ses yeux les Soeurs-paradis en train de se dandiner et de lui faire de l’œil, là, avec leurs tétons roses... Les seins de la Duchesse remuaient sous ses yeux, et il était enivré par elle, excité par l’odeur de cette femme, par ses formes, par le goût de sa chatte quand son chien allait la perforer. L’homme était un animal préhistorique dans cette douche, laissant parler ses plus simples pulsions, et il se frottait contre ce corps, en oubliant tout le reste, même Diego et José, les deux couillons qui avaient grillé comme des steaks frites sur leurs chaises. Il n’y avait que lui et elle qui comptaient, lui et son bébé, sa Princeza, comme il l’appelait, et qui, en ce moment, était sa puta. Une belle pute qu’il était en train de farcir, la remplissant comme le cul d’une pute de dinde le jour de Thanksgiving. Vaas ne ressentait en ce moment pas spécialement la fatigue, l’adrénaline, boostée par le shoot’, dopant ses veines.

« Hmmm... Hrrrr... »

Il grognait presque, et alla à nouveau l’embrasser, mordillant ses lèvres, puis la déplaça, et l’envoya heurter, non pas le mur, mais l’une des parois de la douche, provoquant un claquement sonore. La vitre, fort heureusement, était solide, et l’eau de la douche aspergea le dos de Vaas, qui continua à la prendre, leurs corps brillant en surbrillance par-delà la vitre enfumée de la douche. Un magnifique spectacle érotique pour quiconque aurait la chance de le voir... Même si débarquer dans la tanière de Lucrezia ne pouvait pas vraiment permettre à quiconque d’être qualifié de « chanceux »... En tout cas, Vaas, lui prenait bien, une main sur ses hanches, et l’autre venant pétrir l’un de ses seins.

Sa queue lui donnait l’impression d’être un organe en feu, comme une sorte de lance à feu, qui s’engouffrait dans la chatte de Lucrezia, qui lui donnait l’impression de la brûler. Elle irradiait ! Sa rougeur se transformait en flamme, et il avait l’impression de niquer une bougie, de s’envoyer en l’air avec un candélabre. L’homme se pencha, et alla saisir son sein, puis embrassa son téton, la soulevant, tout en multipliant les coups, la porte vitrée continuant à ployer sous leurs coups de reins.

Délaissant ses seins, Vaas retourna la prendre par son intimité, encore et encore, multipliant ses bourrades.

« Haaaa... !! »

Son orgasme approchait joyeusement...

Et, Dieu, que tout cela était bon !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 44 lundi 04 janvier 2016, 18:26:00

Visiblement, les seins de Lucrezia plaisait beaucoup à Vaas et, c'est plutôt normal au fond au vus de leur tailles et de leur formes ! Il est vrai qu'elle avait vraiment de jolie formes notre Duchesse, des formes qui, à n'en pas douter, devait jouer beaucoup sur les rentrée d'argent lorsque lucrezia ce prostituait. Car, au fond, il est vrai que des jolie nana comme notre Lulu il n'y en avait pas énormément non plus sur les trottoir, enfin… Si, il y en avait mais généralement (et surtout sur le territoire du Guramu) on pouvait compter plus de gamines que de nana bien en chair.
Et… Là où Lucrezia avait l'habitude de traîner, elle apparaissait souvent comme une Oasis au milieu du désert, généralement, elle était toujours seule, sous un réverbère et, quand un homme ne venait pas à elle, elle s'arrangeait toujours pour lui « pomper » du fric.
Mais encore une fois, ce petit jeu n'était pas quotidiens et, c'est généralement en fin de semaine, le vendredi ou le samedi que notre Duchesse tapine discrètement, en restant loins de ses enfoirée de Yakuza car, eux, même s'ils pouvaient de temps à autres venir la voir, n'aimerait guère la compter sur leur territoires.
Nan, encore une fois, Lulu restait bien au « chaud » sur les doc et leurs alentours et, plus précisément, là où les russe sont implantés.
Ces dernier, bien évidement sont pas non plus super enchanté de voir une nana pointer son cul de temps à autres, mais… Allez savoir pourquoi, il la tolère… Ou alors c'est juste parce que certains de leur membre lui ramone le cul de temps à autres et qu'elle est pas vilaine... en plus d'être plutôt douée.

Enfin bon, pour l'heure, notre sacrée Duchesse était uniquement entrain de ce faire prendre par son Vaas d'amour et… Dieu sais qu'il était doué cet homme ! Enfin, il était surtout dopé là mais, Lucrezia avait encore en elle le souvenir de la sodomie que son amant lui avait fait et, pour sur que cette baise sous héroïne allait elle aussi rester quelque temps dans son esprit. L'homme, visiblement en « fusion » alla prendre en bouche l'un des seins de la femme, avant d'avidement lui pomper le tétons avec dévotions tout en ne ralentissent pas une seule seconde la cadence. D'ailleurs, la porte vitrée allait être pour le coup « bénie » car, lulu était là entrain de faire l'amour dans sa douche pour la première fois ! Une chose magnifique donc… Ou pas, car au fond d'elle même et ce malgré la drogue, lulu espérait que la porte allait tenir bon !

« Hmmm… HaaaAa… V-vaas je crois que je v-vais jouiIiIIir hmmmpff ! »

La jeune femme cambra alors son dos en continuant de donner de petit coup de bassin, avant d'accélerer la cadence à son tour en penchant ça tête en arrière. Là, les yeux clos, la femme ce mit alors à s'empaler d'elle même sur la queue de Vaas, faisant alors dépasser de son col le gland de son amant, un sensation brutal qui cependant faisait vibrer notre Duchesse déjà complètement abasourdit par la drogue.

« HmMmM VAAS JE… HMMMHAAAAAANNN OUI ! OUI ! OUIIIIIII ! HAAAAANW OUIII !!!! »

Et là, à chaque « oui », Lucrezia donna un coup de reins contre son amant et ce de manière croissante jusqu'à ce que finalement, le plaisir éclate en elle avant d'éclabousser l'entrejambe de Vaas en plusieurs jet de cyprines chaotiquement balancer ici et là.

« Haaanw.. Vaas… Haa... 
»

Lucrezia vint ensuite à ce relâcher d'un coup, sa tête allant alors cogner contre la vitre. Elle était tout essoufflée, trempée et chaude comme une bouillotte mais… dieux que c'était bon <3.



Répondre
Tags : torture psychopathe