Le Grand Concours qui fait trembler dans les basses-cours !

/!\ ATTENTION /!\

A partir du round 6, tous les poèmes seront proposés anonymement ! Les joueurs devront donc envoyer leur création par MP à Maelie, qui les repostera ici. Les auteurs des poèmes seront révélés une fois les votes du round terminés !

Le Grand Concours
Poésie, rimes et larmes

Petit peuple de LGJ !

Oyé oyé ! Ici même se tiendra un tournoi qui nous l'espérons, restera gravé dans les mémoires pour des décennies !

Durant cette joute nous ne croiserons pas le fer mais nous coasserons des vers, de toute la force de nos poitrines enflées de grandiloquence ! Les plus futés d'entre vous l'ont d'ors et déjà compris, c'est de concours de poésie qu'il s'agit. Une lutte sans merci qui fera dans la sueur et la dentelle, où seule la plume la plus vive et la plus acérée l'emportera.

Nous vous donneront rendez-vous une fois par semaine, tous les dimanches à 21h, pour vous permettre de vous affronter. Chaque round durera une semaine, durant laquelle les participants devront composer et poster (ici) un poème sur un thème prédéfini, d'un nombre de vers limité (4, 6 vers...) A la fin de la semaine, les joueurs seront départagé par un vote des membres, qui pourront désigner leurs favoris. Les poètes en herbe accumuleront ainsi des points, points qui les mèneront à la victoire (ou non).

Aucune inscription à cet événement n'est requise, et il n'est pas nécessaire de participer à toutes les manches (mais si vous avez la rage de vaincre vous le ferez, n'est-ce pas ?)

Nous afficherons les poèmes en éditant ce message afin qu'il soit facile de retrouver les créations de chacun, vous pouvez donc flooder comme des cochons en dessous.

HUITIÈME ROUND !

Thème : La première chute
Contrainte : 6 à 8 vers + un titre !
Date limite : Jeudi 4 Juin, minuit !

Poèmes du SEPTIÈME round :

Charriée au gré du flux, toute d'effluves chargée,
Fausse ; l'offrande avait affaissé l'instinct grégaire
D'un géant des grands fonds. Méphistophèle enragé,
Par le pic fixé à son gosier, foudre et tonnerre
Fort il gronde, frappe la grève et déchire l'onde.

Mais feux et fers saignent son ego, l'attaquent en nombre.
Ferrée sa gueule, folle géhenne – de son monde
Dégagé, fuit sa force. Au bout du fil, l'âme sombre.

L'hameçon.

Consonnes : F, G, R

Revers de fortune

Suspendue telle un funambule,
Une araignée file sa toile.
File, tisse ma belle amie...

Hélas, un geste et tout s'annule.
Car, sans savoir qu'il agit mal,
L'enfant est le pire ennemi.

Consonne : L

Un pas de trop.

Loin sur la couronne qui cintrait les contrées reculées,
Loin au dessus des corps, dans un ciel inachevé,
La blancheur et la délicate forme d'un ange se discerne.
Ivre sur sa corde, son coeur flanche et le monde hiberne.

Céleste, elle suit le long fil, cil blanc sur fond alpins,
Les souffles se sont tus, elle crie, crache un soupir,
Et son corps, en pleine procession, tombe dans le sombre ravin.
Le chaos reprend, et si certain y crurent, rien ne fit écho à leurs désirs.

C, N et L

Équilibre

Comme un funambule, je marche sur le fil.
La chute ne m'effraie pas. Calmement, j'avance.
Sans filet je m'élance, chemin de faïence.

Je sens un souffle et mon estomac, indocile,
Comme un enfant, râle, me fait lâcher prise.
Comme un funambule, c'est la fin, par la brise.

Consonnes : C F L M N

Spoiler: Rounds_précédents (cliquer pour montrer/cacher)

1ER ROUND ! (on commence direct, parce qu'on a le sang chaud)

Thème : Corde(s) et tremblement(s)
Contrainte : 6 vers maximum
Date limite : Dimanche 12 Avril, 11h40 !

DEUXIÈME ROUND !

Thème : Regard(s) et reflet(s)
Contrainte : 6 vers maximum
Date limite : Dimanche 19 Avril, 11h40 !

TROISIÈME ROUND !

Thème : Le cœur et l'enveloppe
Contrainte : Entre 4 et 6 vers, plus un mot de fin (qui servira à titrer votre poème dans le sondage).
Date limite : Dimanche 26 Avril, 11h40 !

QUATRIÈME ROUND !

Thème : Bouche(s) béante(s)
Contrainte : 4 à 6 vers
Date limite : Mardi 5 Mai, minuit !

CINQUIÈME ROUND !

Thème : Le retour du bâton
Contrainte : 4 à 6 vers
Date limite : Mardi 12 Mai, minuit !

SIXIÈME ROUND !

Thème : Brise-glace
Contrainte : 6 à 8 vers + un titre !
Date limite : Jeudi 21 Mai, minuit !

Round.... 7... putain ça commence à faire des grands nombres, compliqué pour moi.

Thème : Sur le fil
Contrainte : 6 à 8 vers + une consonne au choix devant apparaître au moins 2 fois par vers + un titre + anonymat
Date limite : Jeudi 28 juin, minuit !

LES POÈMES

Poèmes du premier round :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

La corde est raide, et les yeux sont clos,
Car l'homme, qui autrefois, contait milles mots,
Ce soir oublia de chercher son pardon.

Son corps n'eut de cesse de trembler,
Et c'est alors que son esprit vint s'embrumer.
L'homme s'est pendu, aux portes de sa maison.

Darthestar.

Il n'y a pas de sens à ce que je te fait, juste un enchaînement de noeus et de fantasmes.
Suspendue comme une biche, la biche que j'ai longuement traquée, brisée et attachée.
Mon étoile s'étiolera quand dans tes yeux vitreux la lumière s'effacera.

Quand le chanvre brulant prendra ton dernier souffle, je pourrais me repaitre de toi.
Tremblante et suffocante je sent enfin venir le point culminant de mon rituel malsain.
toi ma putain-pantin joyeusement pendue à l'arbre de mes fantasmes décadents.

Lucrezia.H.Nietzsche.

Comme si rien d'autre n'importait
J'en frémis, tremblant d'excitation
Comme si rien d'autre n'existait
Je frotte la corde d'attention
Comme si rien d'autre ne comptait
Que ma guitare de sensation.

Smash.

Poèmes du second round :

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Qui est-ce, de l’autre côté,
Qui sans cesse vient m’épier ?
Il me ressemble et il m’intrigue.

Le verre ne peut l’arrêter.
L’eau veut aussi me le montrer,
De l’autre côté de la digue.

Andizia & Terka

Tu n'avais pas songé,
Toi, mon tout petit valet,
Tu n'avais pas songé,
Que je pourrais t'enfermer.
Mais mon âme t'a capturé,
Et dans leurs reflets, seul, tu transparais.

Enora

Perdue dans mes pensées,
J'erre devant ce miroir.
Résidus de mon passé
Et vestiges de ma gloire.
Je ne me reconnais plus,
Je ne me regarde plus.

Smash

Au coeur des steppes glacées, se trouvent des visages
Meurtris, brisés, ne connaissant même plus d'âges.
Ce sont des seigneurs, des empereurs, des hères,
Des êtres qui ont vécus plusieurs millénaires,
Et qui tournent leurs regards froids vers le présent.
Dans la toundra, les esprits veillent, en s'apaisant.

Darthestar

Tu découvriras au fond du gouffre le reflet diffus de ton être dissolue
un fruit  muet qui aurait pourri bien avant d'avoir grandi et moi je ris de te voir perdre pied
l'onde rigide tranche ta chair de jeune fille et dans tes yeux, ta pureté s'étiole a jamais

Ton petit coeur détruit est mort là où ton esprit a choisit de rouler comme un cadavre
Le reflet livide de ton passé n'est plus qu'un amas d'enfance broyé et brisé comme un miroir souillé
Ton regard roule et tu convulse dans ta propre destruction, mais la traversé ne fait que commencer...

Lucrezia

Les jours s'écoulent et le temps vibre
Dans la nuit où mon reflet m'éclaire.
Là où le temps s'arrête, là où je suis libre.

Enfant des cieux, enfant de la terre,
Ma vision, haïssant de tant de ferveur,
Tombe mon poing ; sept ans de malheur.

Lyan Rose

Poèmes du troisième round :

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Autant s'en écoule du coeur meurtri,
De pleines douleurs, de peines infinies,
De souffrances et de mots de colère,
Que l'enveloppe exprime, que tendrement elle sert
Au point de s'étouffer sous le poids de sa tristesse
Au point de se tuer par manque de souplesse.
Détresse.

Darthestar.

Quelques mots doux que je glisse sur le papier,
Ces quelques mots doux qui s'échappent de ma plume.
Quelques mots doux, enfermés dans cette enveloppe.
En moi, je sens l'inspirant souffle de Calliope
Et les mots son tombés, aussi lourds que l'enclume.
Je t'offre ceci, les mots d'un coeur estropié.
Destinée

Smash.

Poèmes du quatrième round :

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Une boulimie sans fin, qui s'étanche dans le sang,
Dans la chair rompue, dans les os blanchit des innocents.

Un besoin cruel qui ne s'exprime que par ces dents
Qui mâchouillent, qui tranchent, qui claquent, qui annihilent,
La vie d'un ogre qui dévore vieillards, adultes, et enfants.

Le temps gourmand, qui dans sa bouche béante jette toute vie futile.

Darthestar

Sur les pavés grisés de la rue
Lentement, ton sang vermeil, s'écoule
Progressant, dans la nuit apparue,
Encore et encor, parmi la foule.

Pour finir, sagement, dans l'égout,
Cette bouche qui avale tout.

Smash

Je veux murmurer ma peine,
Sangloter et la gémir
Même si les larmes sont vaines.
Je veux parler, je veux la dire.
Mais mon coeur lui seul s'exprime :
Je crie, je hurle ! vers les cîmes.

Gabriel Valmy

Dans le creux de tes bras,
Jusqu'au bout de tes doigts,
J'entends ton coeur qui bat.
Dans le creux de mes bras,
Jusqu'au bout de mes doigts,
Je sens ton coeur qui bat.

Enora

Perdu au milieu d'une foule muselée
Je ne veux que sortir de ce rêve éveillé

Je hurle et crie, à en réveiller les démons
Prêt à tout pour nous ramener à la raison.

Vous pouvez faire taire ma bouche béante
Mais l'esprit de mes pairs, à jamais mes mots hantent

Deisui Kichigai

Poèmes du round 5 :

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Pif ! Paf ! Mais qu’entends-je donc ici ?
Mais enfin, se battrait-on séant ?
Eh oui, ce n’est point qu’un jeu d’enfant !
Un coup, et en voilà un d’occis.
Sa lance roule jusqu’à mes pieds.
Je la prends… A mon tour de frapper !

Double-lune

Le bruit d'un bâton tombé à mes pieds,
Le souffle court, chaud, au bas de ma jambe.
J'observe l'étendue face à moi
Et, subitement, je m'entends crier
A mon noble compagnon qui enjambe
Cette barrière et va chercher son bois.

Smash

Vas-y ! Cogne ! Frappe ! Immonde engeance !

Mes rêves s'écrasent sous tes phalanges :
Tu peins sur ma peau ta marque sanglante,
Comme un terrible, odieux Michel-Ange !

J'encaisse, je subis, et je patiente,
Regarde mon œil, je promets vengeance !

Gabriel Valmy

Mes yeux sont clos, ma peau saigne, mes mains sont glaciales,
Je l'ai cherché, provoqué. J'ai mérité ces mandales,
Le temps s'arrête pour moi. Il me transit. Il m'avale.

Il y a longtemps j'ai péché. Je me retrouve ainsi dans ce triste espace
Je ne suis plus rien. Juste chair et glace,
Les yeux ouvert, je vois sa cape noire. De dépit, je l'enlace.

Zenoriel

Je prends le bâton  en bambou
Pour me faire battre sur la joue.  
Qui rougis sous la puissance des coups.  

Le retour n'est certe pas une plume.
Je devrais avoir un gout d'amertume  
Mais je suis sortie malgré tout de la Brume.

Yamie Kuroïe

Tu as brisé mon esprit
Ne m'a laissé que la vie

Mais les chaînes sont rouillées
Et mon corps fou libéré

Tu rembourses ma démence
A l'heure de la vengeance

Deisui Kichigai

C'est d'un long envol qu'il revient
C'est d'un souffle violent qu'il l'étreint
Voguant sur les cieux, oiseau majestueux
L'aiguillon me revient dans les mains
Merci à toi, mon chien.

Enora

Sixième round

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Péripéties

Dans ce navire, plus solide que d'aucun
Nombreux sont les rêveurs, nombreux sont les marins
Qui ne voient en dehors que de belles sirènes.

Sirènes qui chantent d'une voix en peine.
Belles créatures vengeuses, haineuses
Guidant le géant de fer droit à la Faucheuse.

Par le fond elles l'enlace,
Lui qui a brisé leur glace.

Au coeur des roches, loin dans les tombeaux du temps,
Se dispersent les poussières de givre et glas du vent
Contre la prison éternelle de l'espèce oubliée de chacun,
L'espèce sans nom, dont les si beau feux se sont éteints.

Un coeur de cristal au sommet de sa vie et de son ère
Un mélange inconnu de sentiments, de sensations sans pairs
Un écho de pureté dans l'antre de l'hiver, l'antre du sommeil
Et un éclat, une tâche, une zébrure sur le front de celle qui veille.

Un bris de cristal

Sous cette brise glaciale 
Je sens ma peau devenir pale.
J'avance tant bien que mal

Sans voir ou je met les pieds.
Au risque de me les briser
Je ne veux pas finir gelée.

Sous cette brise

Me voilà, petite créature dans cet endroit géant,
Il n'y a rien depuis un moment. A part ce trou béant,
Silence malsain, dans cet endroit dément.

Je lève les yeux lentement, non sans appréhension,
Les aiguilles ont suffisamment tournées. Je dois faire attention,
Mon courage revenu, je me doit de passer à l’exécution.

La bouche sèche, le regard perdu, je m'excuse pour cette blague idiote...

Humour polaire.

LE PODIUM

Darthestar :20 points (Dis iz da leadah !)
Smash : 11 points
Enora : 5 points
Gabriel Valmy : 5 points
Lucrezia : 3 points
Zenoriel : 3 points
Deisui Kichigaï : 2 points
Double-Lune : 2 point
Lyan-Rose : ZERO, ZERO, ZEEEEERRRROOO, GROS NUL !! JETEZ LUI DES CAILLOUX DANS SA FAAAACE !

Vainqueur du premier round : Darthestar !
Vainqueuse du second round : Enora !
Vainqueur du troisième round : Darthestar !
Vainqueur du quatrième round : Nul !
Vainqueur du cinquième round : Valmy !
Vainqueur du sixième round : Darthestar !

Venez, il va y avoir du sport !

Mais... c'est pas d'la merde éè

Voilà ma participation.




*Fuit*

Je participe ! 

J'suis nulle en vers, mais j'essaierai.

Je promets rien, hein, parce que je suis VRAIMENT mauvaise en vers, surtout s'il s'agit d'alexandrins. Mais j'essaierai.

Je promets rien, hein, parce que je suis VRAIMENT mauvaise en vers, surtout s'il s'agit d'alexandrins. Mais j'essaierai.

Ma chère, de douze pieds il n'est nul besoin.

Bon bon bon ...
Vu que j'ai posté pas mal de poésies ici, je ne peux pas me défiler n'est-ce pas ?

Ma contribution en spoilers :

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La corde est raide, et les yeux sont clos,
Car l'homme, qui autrefois, contait milles mots,
Ce soir oublia de chercher son pardon.

Son corps n'eut de cesse de trembler,
Et c'est alors que son esprit vint s'embrumer.
L'homme s'est pendu, aux portes de sa maison.

Plein de joie et d'allégresse.

C'est p't'être parce que je suis une teub, mais parmi toutes les interprétations que j'avais imaginées, ben j'avais pas pensé à celle de Dourthounet.

(Remarquez que SP fait des vers de 4 pieds ! )

hop !

j'ai longuement hésité et... du coup, j'ai moi aussi opté pour une aude à la joie et à l'amour entre deux êtres <3

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Il n'y a pas de sens à ce que je te fait, juste un enchaînement de noeus et de fantasmes.
Suspendue comme une biche, la biche que j'ai longuement traquée, brisée et attachée.
Mon étoile s'étiolera quand dans tes yeux vitreux la lumière s'effacera.

Quand le chanvre brulant prendra ton dernier souffle, je pourrais me repaitre de toi.
Tremblante et suffocante je sent enfin venir le point culminant de mon rituel malsain.
toi ma putain-pantin joyeusement pendue à l'arbre de mes fantasmes décadents.

PS: pour ceux qui désirerait savoir plus en détail de qui parle ce poème, libre à eux de me MP. ^_^ (oui, ce texte parle d'une personne ayant réellement existé :3 )

Moi qui pensais que t'allais faire un poème gentil sur l'alpinisme D:

Attention, je participe et je réserve la dernière place.

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Comme si rien d'autre n'importait
J'en frémis, tremblant d'excitation
Comme si rien d'autre n'existait
Je frotte la corde d'attention
Comme si rien d'autre ne comptait
Que ma guitare de sensation.

Allez, à la semaine prochaine. :p

Alors voilà, Maelie n'est pas là ce soir, alors je me fais Maelie d'intérim. <3 Hum. Non, ce n'est pas la bonne couleur. Désolé.

Nous sommes vraiment heureux du nombre et de la qualité des participations. Nous craignions un peu que ça n'intéresse pas les gens. Merci de nous prouver (mais avait-il vraiment besoin de le prouver ?) que les membres de LGJ sont des poètes !

Les poèmes que vous nous avez écrit sont donc placés dans le premier message, et vous allez pouvoir voter pour votre préféré, et ce jusqu'à la semaine prochaine !

Mais le concours ne s'arrête pas là ! Une nouvelle semaine, un nouveau thème. Le suivant est donc :

REGARD et de REFLET.

En espérant que cela vous inspire au moins autant !

Il n'y a pas de limite de vers pour cette épreuve?