Histoire
Hahaha ! Je me sens toujours amusée en repensant à ma naissance. Née dans des gerbes alchimique, ayant au début une forme cauchemardesque, puis devenant de plus en plus humaine au fil des secondes pour arborer une apparence atypique. Je n'ai aucune souvenir du corps de terranide oiseau, ni des cendre divines qui ont servi à créer ce corps artificiel qu'est le mien. Je suis née des méandre de l'alchimie interdite, celle de la transmutation humaine, bien que les terranides ne sont qu'à moitié humain. Dès ma naissance j'avais acquit un instinct de survie, un élément bien utile quand on se retrouver fasse à son créateur qui peut nous renvoyer vers le néant. C'est pour cela que je fis ce qu'il disait, non sans éprouver de la colère à me faire dicter par un simple humain. Il vint à me donner le nom de sa femme, hahaha ! L'amour est décidément un point faible chez ses êtres primitifs. En un mois j'acquis tout ce qu'il fallait pour dominer les faibles, des armes, de l'argent et suffisamment de pion pour les pousser à s’entre-tuer. Je n'avais plus besoin de mon créateur et organisa son meurtre, le pauvre put voir mon sourire satisfait avant de pousser son dernier souffle. Hmmm, j'ai aimé voir la tristesse dans ses yeux, ce sentiment d'avoir été trahi par la créature qu'il pensait avoir bien dressé. N'ayant plus besoin des autres pions je me suis arrangée pour qu'ils disparaissent les uns après les autres, aucun n'eut le plaisir de goûter à mon corps et bien leurs en fut car je les auraient torturés pour avoir pensé me posséder.
Les mois qui suivirent furent assez laborieux. En effet, la plupart des esclavagistes crurent que j'étais une simple volaille, hihi, beaucoup de chasseurs périrent sur mon domaine, exposant leurs têtes sur une lance pour signaler aux suivant le destin funeste de ceux qui s'opposent à moi. Suspectant certaine servante d'être de mèche je n'hésitais pas une seule seconde à les décapiter, tout comme leurs familles. La trahison est quelques chose d'héréditaire et il est plus rassurant de détruire la mauvaise graine jusqu'à la racine. Le domaine de l'alchimiste vit rapidement sa population se réduire, entre les suspicions de traîtres et les fuyards il y avait bon nombre de personne à exterminer. Certain tentèrent de se rebeller en prenant les armes contre moi … Mouahahaha … c'était la meilleur blague de l'époque. Ils ne pouvaient rien me faire, si ce n'est voir qu'en me tuant je revenais à la vie, encore et encore. Ce groupe de rebelle fut la seule nourriture des paysans du coin, taxant leurs fermes. Les personnes intelligentes vinrent à se soumettre à mon autorité suprême, les autres furent simplement tués sans exception, nul envie d'avoir un espion ou un traître dans mes rangs.
Je fini cependant par être trahi par un sale ver de terre, qui réussi à me faire boire de l'obsidienne liquide. J'appris part cet acte que ce liquide avait le même effet qu'un puissant somnifère, tout comme que je n'étais pas affecté par les magies attaquant un être vivant, mais que j'avais le même rang qu'un simple artefact. Ce ne fut qu'à mon réveil que les chasseurs me faisaient face, avec une dizaine de mage qui m'avaient enchaînés. Ne croyez pas que je me sois bien conduite envers ses microbes. Ils usèrent de bon nombre de méthode, mais jamais ils n'eurent suffisamment de puissance pour me désintégrer totalement ou m'infliger des blessures si forte que cela m'aurais rendu folle. Non, ils n'étaient rien d'autre que des fourmis tentant de me mordre avec leurs si faibles pinces. Ils tentèrent de retirer la pierre sur ma poitrine, de m'empoisonner, me droguer, m'immoler, me geler. Ils ne réussirent à rien. Même me décapiter n'avait fait que rendre leurs jeux si ridicule que je me marrais à chaque fois.
Pour chaque erreur, ils perdaient au moins une personne. La mise à mort de ses cloportes pouvaient varier, morsure à la gorge, plume d'acier dans le poitrail, démembrement ou encore éclatement de cervelle contre un mur. Pendant près d'une année il tentèrent tout ce qui leurs étaient possible. Les vermines durent se rendre compte que je n'avais qu'un endroit où aller. La prison d'Eternum. Cette prison était visiblement le seul lieu ayant le pouvoir de retenir ma force et mes capacités surhumaine. Je fus donc placé dans une des cellules les plus solide dans le secteur le plus rude, contenant tout plein de monstre, à croire que ses tas informes me ressemble. La plupart périrent en osant poser leurs pattes dégoulinante sur ma personne. Les gardes durent faire appel à l'Ordre Immaculée pour le tenir en laisse. Ses bâtards devaient se cacher sous des artefacts puissants pour me retenir, prouvant encore une fois leurs faiblesses face à moi. Ils ne purent cependant rien faire d'autre que de m'entraver, ils ne pouvaient pas me tuer, voulant savoir pourquoi mon corps était plus résistant qu'un homonculus normal. Je n'allais pas leurs dire que j'avais une ascendance divine, cela aurait été similaire à compatir à leurs impuissances.
Tout les jours était le même refrain, des être inférieurs venaient me regarder, puis partaient la queue entre les jambes. Aucun ne voulait prendre le risque de mourir en me prenant comme esclave et cela me faisait rire à chaque fois, même quand les gardes me frappèrent pour me faire taire. Ils ne pouvaient rien faire face à ma divine personne. Quelque fois il arrivait qu'un nouveau se la pète un peu trop et je me faisais un plaisir de l'écraser contre le mur pour lui montrer ma supériorité. Grâce à cela j'ai à présent une réputation solide et seul les condamnés à mort ou les idiots, prenaient le risque de m’asticoter.
Physique
Mais je vais vous faire l'honneur d'observer mon corps. Je suis composé d'un corps de terranide oiseau et donc je possède des attribut de volatile. Dans mon dos, un peu au-dessus des hanches, sortent une paire d'aile aussi noir que l'encre de chine. Pour mes oreilles ne les cherchez pas, ils sont dissimulé sous une petite touffe de plume, comme tout les oiseaux. J'ai une chevelure aussi noir que mes plumes, descendant sur ma croupe et encadrant mon visage d'où vous ne pourrez quitter mon regard. Quand des yeux rouge avec un iris bestiale vous regarde, il est souvent déconseillé de détourner le regard. Je veux observer votre peur. Un peu plus bas vous verrez une pierre rouge entre ma belle poitrine, je suis assez satisfaite de sa taille et encore vous ne voyez là que sa taille compressée par ma tenue. La déesse devait être bonne de son vivant, maintenant sa magnifique poitrine m'appartient. Que dire du reste qui est tout aussi sublime. J'ai un corps qui pourrait être encore plus attractif si je portais autre chose que la tenue de bagnard. On ne peut pas admirer mon merveilleux corps en forme de sablier ou encore cette croupe si ferme et ronde. Ce corps appartiendrais à quelqu'un d'autre je l'aurais tout de suite choisi comme concubine, mais il est à moi, rien qu'à moi. Haaaa, je ne peux me lasser d'admirer mes jambes fuselées et mes bras douce, des mains soignées et aux ongles parfaitement entretenue, le rêve que toute femme supérieur souhaite avoir et le tout éternellement. Si la tenue d'Eve n'était pas le signe de l'infériorité je me serais certainement baladée ainsi, faisant baver ses toutous en manque de femelle. J'aime porter des tenues riches, dans les soies les plus rares et les bijoux les plus finement ouvragés, mais ce n'est pas dans ce trou paumé que je trouverais des vêtements qui vont parfaitement à ce corps divin.
Caractère
Vous me dites arrogante ? Ne vous trompez donc pas de terme, ce n'est pas ma faute si vous n'êtes pas capable de reconnaître votre infériorité par rapport à ma noble personne. Après tout je pourrais vous écraser comme vous le faites pour de vulgaire fourmis et ne tentez pas de me provoquer car je pourrait très bien vous réduire en bouillie. J'aime les personnes qui sont intelligentes et s’aplatissent devant moi, mais pas trop, car elles deviennent bien souvent gênante et je dois … faire table rase. Ne pensez aucunement pouvoir me dompter, je suis l'alpha, la dominante, une déesse par rapport à vous, simple vers de terre répugnant et inexistant. Si je ne vous punis pas pour votre insolence ou votre traîtrise, sachez que cela ne saura que retardé et plus j'attends, plus terrible est la punition. J'éprouve bon nombre de plaisir à torturer les faibles, les entendre crier, supplier et aussi agoniser. Donner la mort est cependant moins bien jouissif que de maintenir l'insecte en vie et le torturer encore et encore, jusqu’à ce qu'il craque et se donne la mort.
Il y a une chose qui m'insupporte, la présence d'alchimiste, les seules êtres capable de m'infliger de grave dégâts. Heureusement ce genre de personne ne cours pas les rues et je doute franchement que l'un d'eux vienne en face de moi. Face à l'homonculus que je suis, je doute qu'un simple alchimiste puisse me tuer et je n'éprouveras aucune pitié à décapiter le fou qui oserait essayer.
Par contre je serais plus douce envers la personne qui saura me faire sortir de ce trou. J'ai beau être d'une grande puissance, je peux bien dédommager la personne qui arrivera à me faire quitter cet endroit poussiéreux et ennuyeux. Que cette personne ne s'attende pas à ce que je partage sa couche ou encore lui obéisse comme ses déchets en vente sur les étales.
Autre
J'ai oublié de parler de mes capacités en tant qu'homonculus.
Je peux me restaurer presque intégralement tant que l'on ne détruit pas la pierre entre mes seins, mais il vous faudra une très grande puissance et une armée d'alchimiste pour en venir à bout.
Mes ailes peuvent devenir du diamant par compression de carbone. En battant des ailes ou en saisissant mes plumes je peux les retirer et ils se transforment en plume de diamant, autant dire que ce n'est pas une armure de fer qui vous empêchera de finir comme une pelote d'épingles.
Je peux déployer un puissance herculéenne, pratique pour écraser le crâne de fourmis ou encore les perforer du poing.
Sexuaité
Le sexe ? Oui j'ai eu quelque aventure, je reste dominante dans mes rapports et la première personne à juger mes actes découvre que le plaisir personnel rime avec la souffrance d'autrui.
Nom / Prénom / Surnom
Je n'ai pas de nom, Superbia me suffit.
/!\Doublette de Tomo/!\