Visiteur du soir ou... ? [pv Valian]

   Enfin ! Enfin quoi ? Et bien enfin les soldates de la section Delta S on droit à une semaine de repos, accordé de bonne grâce par Kakashi afin de les récompenser de leur dure travail. C'était le moment de profiter de son salaire et d'oublier le travail. Chaque membre allait dans son coin, allant rendre visite à leur famille, profiter des magasins ou faire quelque activités qu'elles n'avaient pas eu l'occasion de faire. Ilinia était partie faire les magasins avec Mixim et Ania*, portant pour l'occasion leur vêtements civils, s'amusant à essayer des vêtements de toute sortes et de faire mettre à Ilinia des lingeries érotiques ou à la limite du dégradant tout en prenant des photos juste pour s'amuser à la voir rouge comme une pivoine, essayant vainement de se cacher ou de les empêcher de mettre ces vêtements.

   Elles en ressortirent avec deux trois sac, avant de passer dans d'autres magasins, de vêtements ou de bijoux, de bric-à-brac divers où Ania fit l’acquisition d'une boite à musique qui l'avait attirer. Elles s’arrêtèrent dans une chocolaterie, pour s'offrit une petite gourmandise, passèrent dans un sex shop pour Mixim qui voulait acheter un cadeau, pour qui, les deux autres ne voulurent pas savoir ni ce qu'elle avait acheter quand elle ressortie de la boutique avec un paquet long de plusieurs dizaine de centimètre et d'au moins huit en largeur et hauteur.

   Elles passèrent ainsi toute la journée a faire les magasins, croisant parfois une amie ou d'autre membre de la section Delta S, qui les accompagner avant de vaquer à ses occupations. Ce fut quand le soleil commença à ce coucher, que Mixim quitta les deux autres, afin de rejoindre sa mère qui voulait la revoir avant le nuit, ayant des choses à faire avec elle. Les deux autres continuèrent, jusqu'à ce que le soleil se couche et que Ania ne parte retrouver sa sœur qui devait avoir quitter son boulot, laissant seul Ilinia. Celle-ci retourna au centre commercial, afin de rejoindre sa voiture. Cela lui prit du temps, coupant parfois par des petites ruelles désertes, éclairer faiblement, gagnant une peu de temps. Une fois arriver et dans sa voiture, elle repartie vers le sud Tekhos afin de rejoindre un quartier plutôt modeste, là ou se situer son appartement.

   Il lui fallut une dizaine de minutes pour y arriver. C'était un quartier plutôt calme, principalement habiter par des personnes au revenue plutôt bon, un endroit sans risque de se faire prendre par des hommes qui veulent vous violer ou des racailles qui veulent votre portefeuille. Les immeuble était entre les vingt et trente étage, contrairement aux gratte ciels d'autre quartier. L'immeuble où elle vivait était le plus proche de l'entrée du quartier et elle habitait au sixième étage, dans un appartement de quinze mètres carrés. Propre et bien entretenue, possédant tout pour vivre normalement. Après s'être garer, elle grimpa vite les escalier, avant d'entré dans son appartemet, ne fermant pas sa porte, comptant le faire plus tard.

-Yléne ! Appela Ilinia. Yléne ! Où est encore passer ce chat.

   Elle fouilla rapidement son appartement sans la trouver. Sans doute encore partie fréquenter les autres chats du quartier et faire l'idiote. Sur ces pensées, elle alla au micro onde, préparer sa pizza, avant de se mettre sur son fauteuil, d'allumer la télé et de regarder les infos attendant la fin de la cuisson.


*/!\ Attention ! Il s'agit nullement d'un nouveau personnage, il s'agit de celui-ci, je l'ai renommer car son ancien prénom était merdique ! Tout mes rps contenant son ancien prénom Jane seront modifier !

Le vampire passa un doigt ennuyé sur le haut de la commode. Pas de poussière. Au moins, elle entretenait son appartement, elle ne se laissait pas aller. En esthète, il choisissait ses proies avec soin. Celle-ci ne dérogeait pas, puisqu'Ilinia avait un physique attrayant, presque parfait. En plus de cela, l'appartement n'était pas bien compliqué à investir. Pendant deux nuits, le vampire avait observé la jeune femme, ses allers et venus, les heures où elle était chez elle. Tout ça pour décider du moment où il s'introduirait chez elle afin de la ponctionner d'un peu de sang. Si elle s'avérait goûteuse, il reviendrait probablement, après lui avoir effacé la mémoire.

Ce soir là donc, l'appartement désert avait vu le vampire ouvrir la porte avec une facilité déconcertante, produisant une clé à la mesure de la serrure rien qu'à l'aide d'un os modelé comme il le fallait. Les avantages de pouvoir modeler la chair. Il scruta un instant les lieux, avant qu'un chat belliqueux se mette à lui souffler dessus. Il ouvrit la fenêtre, et fit sortir la bête, afin de l'enfermer dehors. Hors de question de se faire repérer à cause d'une boule de poils.

Il était temps d'attendre. Inspection, intrusion dans la vie privée de la demoiselle, en fouillant ses placards, ses tiroirs. Puis l'heure venant, il s'était glissé dans la penderie, jusqu'à entendre la porte s'ouvrir, et la jeune femme arriver dans les lieux. Elle appelait le chat, elle se déplaçait, bref elle n'avait aucune idée de sa présence ici. Le bruit d'un micro-onde, des pas, une télévision. Elle devait s'installer pour manger. Lentement et sans bruit, Valian s'extirpa de sa cachette, afin de réapparaître dans le couloir. Il avait repéré le tableau électrique dans le couloir, et s'en approcha pour abaisser le fusible principal. D'un seul coup, la lumière s'éteignit dans tout l'appartement, ainsi que la télévision, laissant la demoiselle dans le noir. Elle allait devoir venir vers le tableau électrique pour remettre le courant, et il n'aurait à ce moment là aucun mal à la mordre.

Autant que faire se peut, il préférait agir comme ça car la morsure était comme un puissant aphrodisiaque : elle provoquait chez la victime un violent orgasme, de quoi la rendre bien plus docile une fois cet évènement passé.

   Tranquille, assisse dans canapé, a se prélasser. Elle aurait du prendre une bière, mais elle n'avait pas envie de quitter son canapé, le frigo trop loin. Dire qu'a cette l'heure elle serait encore à la caserne, avant de revenir à une heure pas possible. Vive les congés ! Ce soir elle voulait rester seule, elle avait vue ses parents hier, elle irait les voir demain et faire une soirée avec ses amies. Ce soir elle voulait être seule et tranquille et profité rapidement de son bon lit. C'était des pensées naïves, elle ignorant ce qui allait se passer.

   Les infos parlaient d'une bataille qui fut remporter au la main, repoussant les formiens d'une zone industrielle où était extrait et traiter les métaux pour l'armement. Elle ne put s’empêcher de souffler d'exaspération. Oui la bataille avait été remporter, mais on ne parla pas de la perte des quelques millions de crédit concernant les usines de traitement et des engins d'excavation, et de plusieurs soldates portaient disparue. Elle tenait ça de Kakashi, qui tenait ça de quelque amies haut placer. Les infos passèrent à la suite parlant des mères de Juliette, qui firent, encore une fois, dons d'un paquet d'argent conséquent à l'armement des troupes, avant... de s'éteindre.

   La lumière aussi venait aussi de s'éteindre. Son appartement fut plonger dans le noir et elle n'entendait plus le micro-onde.

-Et merde...

   Sûrement madame Rotha, une vielle femme de 80 ans, détestable et radin comme pas possible. Si on ne payait pas le loyer en temps et heure, à la seconde près, en une fois et la somme exacte, elle coupait le courant de tout l'immeuble, l'eau avec, tant qu'on ne la payait pas, elle se moquait de ce qu'on lui disait, seul l'argent pouvait la faire remettre le courant. Sûrement encore à cause de cette idiote de Falia, une étudiante incapable de payer à l'heure et qui était toujours la premier à râler. Un jour elle lui botterait le cul pour qu'elle apprenne à payer.

   Elle habitua ses yeux à l'obscurité, et heureusement qu'elle connaissait son appart par cœur, au moins elle ne risque pas de se casser la gueule. Elle se leva et alla voir le compteur, ça venait peut être de là, peut être un fusible qui avait sauter ou bien il a rendue l'âme, depuis le temps. Elle se déplaça lentement, elle devrait pensée à mettre les lampes torches autre part que dans la salle de bain, qui était à l'autre bout du couloir. Elle passa dans le couloir et s’arrêta. Ce n'était qu'une impression, mais elle ne se sentait pas seul et mal à l'aise..

   Elle reprit sa marche, mais lentement, elle n'aimait pas cette impression. Bon elle devait se faire des idées, le noir complet ne l'aidant pas. Elle continua à avancer vers la salle de bain, afin de prendre une lampe. La peur la saisit, quand elle sentie quelque chose ou quelqu'un attraper ses bras et les bloquer dans son dos, puis une main l'attrapa au visage, cherchant à dévoiler son cou. On voulait sûrement lui planter une seringue et la droguée ! Ni une, ni deux elle écrasa le pied de son agresseur, plusieurs fois, dégagea sa tête et donna un coup de boule en arrière, frappant à la tête son adversaire. Usant de la force de ses jambes, elle se propulsa en arrière, parvenant à faire chavirer son adversaire.

   Les deux s’écrasèrent par terre et Ilinia se débattit férocement, empêchant son ennemi de pourvoir correctement la maîtriser. Elle tordit les doigts de la mains à force de gigoter et dégagea ses bras. Elle se releva rapidement et se retourna. Elle ne pouvait pas perdre de temps à chercher une lampe ou autre, son adversaire aurait tout le temps de l'avoir, crier à l'aide donnerait à son ennemie quelque précieuse seconde pour l'avoir, elle devait frapper en première et vite, le temps de pouvoir sortir du couloir, la sortie du côté de son agresseur. Si elle parvenait à passer derrière lui elle pourra s'enfuir, se cacher quelque part était la pire des choses, sans issues, elle était perdue et donnerait le temps à son adversaire pour l'avoir. De plus les appartements était insonnoriser, pour ne pas déranger les voisins.

   Elle chargea et tenta un high kick, mais rencontra que le vide, elle abattit violemment sa jambe, pour ne pas laisser de prise, baissa et se propulsa en avant, heurta son adversaire, elle le plaqua se leva à moities, ses mains rencontrant les bras de son adversaire, cherchant à empécher son adversaire de se relever, mettant un genoux sur son torse après s'être mise au dessus. Elle ne chercha pas à fuir, cela laisserait le temps de se faire attrapait par la jambe, tomber et se faire ainsi dominer. Elle ne pourra pas tenir éternellement, se devant de trouver une solution. Elle ignorait encore qui était son adversaire, mais elle put deviner un homme, mais elle ignorait tout de lui et ne voyait rien, si il était armée ou autre.

Il s'attendait à de la résistance, mais peut-être pas autant. Tapis dans l'ombre, il guettait les mouvements. Une ombre un peu plus loin, qu'il devinait sans peine. De part sa nature et ses sens hors du commun, il la voyait presque comme en plein jour. Elle tâtonnait, cherchait le compteur. Alors qu'elle allait rallumer, il se saisit de la jeune proie, essayant de la maîtriser. Elle en avait décidé autrement.

Remué et surtout surpris de la résistance, Valian chancela et tomba sous les ruades de la jeune femme. Bien qu'ayant de la force et une rapidité plus élevée qu'un humain, Valian n'avait rien d'un combattant. Il se concentrait sur l'érudition, pas sur son physique. A terre, la jeune femme sur lui, il tentait de la maîtriser, mais elle était comme en furie. Il bloquait ses coups sans trop de mal, mais il ne parvenait pas à reprendre le dessus, à se redresser ou à la renverser. Etrangement, il ne comprenait pas pourquoi elle ne criait pas. Il croyait que les voisins entendraient, ignorant de l'insonorisation des lieux.

Elle savait se battre, et plus les secondes s'écoulaient plus il se demandait comment il pourrait retourner la situation à son avantage. Elle se débattait bien trop pour pouvoir espérer faire ça proprement. Il restait peu de solutions, et même s'il n'aimait pas la violence, il allait devoir y avoir recours. Il attrapa la jambe qui le retenait, le genou contre son torse, et tenta de lui tordre la jambe. Sans succès car la jeune femme était trop bien placé, et il reçut un nouveau coup dans le même laps de temps, ne pouvant pas se protéger en même temps.

Elle ne lui laissait pas trop le choix. L'issue était inévitable, et la voix du vampire s'éleva. Il parlait, d'une manière simple, comme l'on discuterait avec quelqu'un de manière tout à fait normale.

Arrête.

Le mot résonna dans la tête de la jeune femme. Un seul mot, mais un ordre impérieux. Et une envie, comme si elle ne désirait faire que cela. Il lui ordonnait, et elle devait obéir. Aucun autre choix, même si son esprit savait qu'elle ne devait pas, le corps se sentait obligé d'obtempérer. Sans peine il repoussa alors la jeune femme qui avait arrêté de se débattre. Il se releva, remis un peu en place sa chemise froissée par la bagarre.

Tiens toi tranquille. Tais toi. Et reste assise.

Il aligna les ordres qui comme le premier s'insinuèrent en elle comme une obligation morale, une voie toute tracée. Debout devant elle, il soupira bruyamment, légèrement ennuyé par la situation. Il comptait se nourrir et repartir, pas dévoiler sa nature et devoir s'attarder ici. Mais maintenant, il n'avait plus trop le choix.

Suis moi.

Il prit la direction du salon, sans avoir rallumer la lumière. Les lieux toujours dans la pénombre, il s'arrêta près du canapé, sans pour l'instant s'asseoir.

Je n'aime pas les rebelles dans ton genre. Elles sont trop imprévisibles, et j'aime les proies dociles. Je peux te faire confiance ?

Elle pourra sentir comme un déclic en elle. La possibilité d'agir comme elle le souhaitait, comme avant. Elle n'était plus réduite à suivre ses ordres, mais pour combien de temps ?

   Elle était bloquer, dans le noir, sans vraiment de plan pour se tirer de là. Si elle retire son genoux, l'homme aura assurément le dessus, car elle n'est pas dans la meilleur position pour le contrer dans se cas là. Elle se devait de trouver une solution et vite, sans quoi cette situation pourrait durer des heures ou elle se fatiguerait de maintenir son adversaire au sol. Si seulement elle avait au moins un objet contondant à porter des mains, ça serait plus facile. Elle sentie une main tenter dégager son genoux, mais elle résista, mettant son poids sur son genoux pour le rendre plus difficile à bouger et de sa main droite elle tenta de frapper la tête de son agresseur, mais frappa plus l'épaule.

   Les deux personnages étaient bloquer, l'un ne pouvant bouger, plaquer contre le sol, l'autre ne pouvant pas bouger au risque de relâcher son étreinte et qu'il puise en profiter à son avantage. C'était le genre de situation qui pouvait durer des heures, tant qu'aucun ne pourra prendre l'avantage sur l'autre. Mais la solution vain rapidement, de la part de l'inconnu.

Arrête.

   D'abord choquer par le ton de la voix, comme si l'homme lui parlait comme si ils étaient autour d'un café, puis ce qu'il dit, ne comprenant pas pourquoi il lui disait ça, comme si elle allait l'écouter, puis effrayer quand le mot résonna dans sa tête, comme si quelqu'un parlait dans une grotte qui lui renvoyait l’écho de ses paroles. Enfin sans comprendre et tout en étant effrayer, son corps arrêta de maintenir l'homme à terre. Elle voulue se remettre en position, pourtant elle continua quelque chose l’empêcher de s'opposer à cette ordre qui lui fut donner, son corps resta en suspend, laissant l'homme libre de ses mouvement. Sa frayeur augmenta d'un cran, n'arrivant pas à comprendre ce qui lui arrivait, ni à le réaliser pleinement. L'homme la repoussa, Ilinia ne fit rien pour l'en empêcher ni pour le remettre à terre. Elle l'entendit se relever, elle fit de même, mais de nouveau l'homme se remit à parler.

Tiens toi tranquille. Tais toi. Et reste assise.

   Et encore une fois elle obéit contre son gré. Elle s'assit en tailleur, elle ne fit rien et ne dit rien, malgré la furieuse envie de lui rentrer dans le lard, s'opposant toujours à cette envie étrangère de lui obéir, ne pouvant décemment pas lui désobéir. Elle entendit la respiration forte de l'homme, sûrement à cause de du fait qu'elle ce soit débattu. Toujours effrayer par cette... capacité, Ilinia commençant à savoir contre qui elle à faire : un E.S.P er. Jeanne leur en avait parler, des personnes d'ôter d'une sorte de pouvoir unique, plus ou moins utile et puissant, elle en avait rencontrer durant son enfance et dans une mission. Ilinia n'y avait jamais vraiment crue, pensant que Jeanne fessait ça pour s'amuser.

Suis moi.

   L'homme mit fin à ses pensées, la même envie possédant son esprit, la forçant à se relever et de suivre docilement l'homme, jusqu'au petit salon, l’éloignant encore plus de la porte, situer à l'opposer. Elle n'avait réellement aucune chance, peut être qu'en se bouchant les oreilles, elle serait à « protéger » de son pouvoir ? Mais elle perdrait ainsi ses bras pour se protéger et repousser l'homme, de plus une seul ordre de sa part pourrait l'obliger à faire des choses qu'elle n'a pas envie de faire. Qu'es qu'il allait faire ? La violer sûrement et peut être la voler voir la torture et la tué dans le pire des cas., mais elle pencher plus pour  la première hypothèse. Elle ignorait en réalité la véritable nature de l'homme et ce qu'il voulait.

   Elle s’arrêta, l'homme ayant du faire de même, se remettant à lui parler.

Je n'aime pas les rebelles dans ton genre. Elles sont trop imprévisibles, et j'aime les proies dociles. Je peux te faire confiance ?

   Cette envie de lui obéir disparue, lui redonnant la possibilité d'agir librement. Mais elle ne fit rien, trop stupéfaite et abasourdit. Soit ce type ne sait pas ce qu'il dit, soit il est vraiment sérieux, dans les deux cas Ilinia le prenait pour un parfait idiot. Comme si elle allait se laisser faire ! De plus il lui confirma qu'il était venue pour la violé, et apparemment, il avait un choix très précis pour ces victimes, mais qu'il était naïf, pensant qu'Ilinia allait être docile. Elle à déjà était violé et ne voulait pas que ça recommence !

-Primo, j'ignore qui tu es, mais tu m'as l'air bien confiant ou naïf ou stupide pour me dire ça. Secundo tu peux aller de faire mettre !

   Sans perdre de temps, Ilinia tenta de s'enfuir en se bouchat les oreilles, l'homme ne lui bloquait pas le passage et elle connaissait bien le chemins pour ne pas se cogner, mais la pression et le tresse ne l'aidant pas à se calmer et à agir efficacement. Il devait sûrement porter des lunettes infrarouge, sinon il n'aurait pas couper le courant et donc il la voyait. Elle ne voulait pas se battre, son pouvoir et le noir était deux facteur trop défavorisant pour elle. Si elle tente de se battre, l'homme pourra la voir, riposter et utiliser son pouvoir alors que ses mains bloqueront les siennes. Se battre avec seulement les jambes tout en bouchant ses oreilles dans le noir n'était pas le meilleurs, elle pourrait heurtait un objet ou un mur et donc perdre l'avantage.

   Elle espérait pouvoir atteindre la porte avant qu'il ne puisse la rattraper.

La jeune femme était amusante. Touchante de naïveté. Elle ne comptait pas se laisser faire, et se permettait même de le menacer. Si seulement les choses pouvaient être simples pour une fois ... Il n'avait pas le temps d'y réfléchir, car elle fuyait déjà en direction de l'entrée de l'appartement, probablement afin de quitter les lieux et mettre le plus de distance possible entre elle et lui. Il se mit lui aussi en marche, d'un pas plus lent. Il avait bien vu qu'elle se cachait les oreilles, probablement en pensant qu'elle pouvait ainsi échapper à son contrôle, alors qu'il parlait directement dans sa tête, par la pensée.

Il la laissera courir jusqu'au couloir, là où ils se sont battus. Elle est à moins de deux mètres de la porte d'entrée lorsque la voix résonne à nouveau dans sa tête.

Arrête toi.

Et donc acte. Il la rattrapera sans le moindre effort, venant à sa hauteur pour lui sussurrer.

Suis moi, encore.

Et de l'obliger à revenir vers le salon, en un jeu sadique ou elle voyait que même avec les mains sur les oreilles, elle se voyait obligé de suivre ses ordres. Il finit par s'asseoir dans le canapé et lorgna sur la jeune femme d'un air désolé.

Prend place ici, à genoux.

Il désignait l'espace entre ses jambes pour compléter son ordre. Il respira profondément, portant son regard au plafond en attendant qu'elle obtempère.

Je suis venu ici pour me nourrir. Je n'ai pas peur de le dire, car ce n'est pas un soucis que vous soyez au courant de la situation, de ce qui va se passer.

Là, il laissait sous entendre qu'il allait l'éliminer une fois tout ceci terminé. En fait il n'en était rien, il souhaitait simplement lui mettre la pression, afin qu'elle prenne avec soulagement les prochaines paroles.

J'effacerai votre mémoire à mon départ. Vous aurez passé une soirée agréable, sans rien qui soit venue la troubler.

Il se redressa subitement pour reporter son regard sur elle et continuer.

Je n'ai pas d'autres choix car vous vous êtes défendue. Maintenant il y a deux possibilités. Soit vous vous montrez docile, et les prochaines heures seront agréables, pour vous comme pour moi. Soit vous désobéissez encore, et je vous promet que vous le regretterez. Je le répète, puis-je vous faire confiance ?

Elle sentira alors une douleur dans sa tête, comme un mal de tête fugace et brutal. Déjà parti, il ne laissait que le souvenir de cette sensation. Et de nouveau, elle se retrouvait libre de ses mouvements. Si elle désobéissait encore, il sévirait.

   Elle avançait pas assez rapidement à sont goût, elle devait éviter de se cogner, se servant des ses jambes comme des senseurs, afin de ne pas se cogner et se diriger la où elle le souhaiter, vers la sortie. Une chance qu'elle n'avait pas fermer la porte à clés, ça lui fera gagner un temps précieux. Elle ne l'entendait pas vue qu'elle se bouchait les oreilles, mais savait qu'il la suivait, et s'étonna qu'il ne soit pas plus rapide que ça. Elle n'aimait pas ça. Il lui fallut un petit bout de temps pour finalement arriver à la porte, il ne lui restait que deux pas à faire et elle serait sauver !

Arrête toi.

   La voix de l'homme retentit dans sa tête, Ilinia sentit ses entrailles se remplir de plombs en fusion, comment ? Son corps obéit et s’arrêta, elle ne pouvait pas s'opposer à sa volonté, même si l'envie de fuit était fort. Ses bras se remirent le long de son corps. La porte était devant elle, entrain de la nargué. Si prêt du but, si prêt. C'est quoi son pouvoir ? Elle croyait que se boucher les oreilles auraient suffit, ça marchait autrement qu'avec la voix ? Toujours est-il que l'homme vint prêt d'elle et lui souffla dans l'oreille de nouveau ordre, et ne pouvant s'y soustraire, elle le suivit jusqu'au salon, retour au point de départ.

   Elle s’arrêta, en même temps que l'inconnue s'installa dans son canapé. Elle transpirait un peu, tresser et commençant à être apeurer. Qu'est qui va lui arriver ?

Prend place ici, à genoux.

   Ne percevant que brièvement la silhouette de l'homme, l’empêchant d'être sur son apparence, le mouvement de son bras qu'elle distingua et l'ordre confirmèrent ses craintes, il allait la violé ! Elle ne pouvait pas s'enlever ce mot de la tête, fessant une fixette dessus. Elle se mit donc a genoux, entre les jambes écartaient de l'homme s'attendant au pire. Mais il se remit à lui parlait, cette fois de se nourrir, ce dont Ilinia n'arriva pas à comprendre le sens et la raison, puis de ce qui aller ce passer. Elle avait vue juste, il allait la violé, voir plus : la tuer après ! Elle ne pouvais toujours pas agir, ne pouvant que regarder la silhouette de l'inconnue. Elle aurait due faire comme Schield depuis le temps qu'elle le rabâche, garder une arme sur soit, h24 ou à porter de mains dans son appart.

   Mais la suite la surprit autant qu'elle fut soulager, même si elle n'y croyait pas quand l'homme lui dit qui lui effacera la mémoire. Elle restera en vie, mais sera quand même violé. Il se redressa, son entrejambe à la bonne hauteur, devant le visage d'Ilinia, qui déglutit, quelque sueur froide coulant le long de son dos.

Je n'ai pas d'autres choix car vous vous êtes défendue. Maintenant il y a deux possibilités. Soit vous vous montrez docile, et les prochaines heures seront agréables, pour vous comme pour moi. Soit vous désobéissez encore, et je vous promet que vous le regretterez. Je le répète, puis-je vous faire confiance ?

   Puis elle sentit une affreuse douleur dans sa tête, brève, mais suffisamment intense pour lui faire lâcher un grognement de douleur. Ce fut rapide, elle n'osa même pas imaginer ce que cela donnerait sur une plus longue durer. Puis elle ressentit une libération, un poids s'enlever de sa tête. Elle était à nouveau libre, mais elle ne fit rien, cette homme était effrayant, elle n'arrivait pas à trouver un moyen pour le battre. Il pouvait la manipuler par la parole et sûrement par la pensée, lui provoquer des douleurs au crane intense. Elle ne savait plus si elle devait le considérer comme un simple E.S.P er ou pire. Ça ne se limite peut être pas à un pouvoir sans doute, selon les cas.

   Elle dit rien, partager entre l'envie de le frapper dans les bijoux ou d'éviter de subir pire. Elle ne voulait pas lui obéir, ne voulant pas se donner aussi facilement, mais cette homme possède des capacités inconnues, pouvant facilement la mettre hors d’états de nuire si elle n'agit pas comme il veut. Comment l'avoir ? C'était une situation tendue pour elle, dans les deux réponses possibles elle finira sans doute violé, mais une des réponse lourde de conséquence. Elle ne savait pas comment agir, pas préparer face à une tel adversaire, si elle le renverse, il aura toujours le temps de lui interdire de faire plus ou de lui causer d'horrible migraine. Ou bien elle fait un mélange des deux, d'agir quand il passera à l'acte, il baissera sûrement sa garde ! Et ça lui donnera une fenêtre d'ouverture pour le maîtriser !

   C'était un plan risque et sûrement foireux, mais elle n'a que ça. Et puis des plans foireux, la section Delta S avait connue pire venant de Mistrial : une cible se planque dans un immeuble ? Je fais sauter une façade de l'immeuble !

-Je.... commença t-elle d'un ton mêlant crainte et résignation, sans avoir à le faire semblant. J'accepte... je veux pas souffrir.... v... vous serez doux hein ?

   Un peu de naïveté pour mieux tromper la cible, même si elle l'espérait un peu. Un ton où l'homme verrait qu'il a gagner et que sa victimes se laisse faire. Si il est comme les autres hommes qui supporte pas les femmes et qui ne veut que les baiser, il foncera tête baisser. Sauf si il y'a un pépin, comme ce mot « nourrir », dont Ilinia ne comprenait pas le sens dans la situation présente.