Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Fania Lacour

Humain(e)

Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

jeudi 11 septembre 2014, 14:29:23

Fania  faisait quelques emplettes en ville et en profiter pour patrouiller pour vérifier si chaque commerçant qu’elle rencontrait était en adage avec la loi. Certains commerçants lui proposèrent de jeter l’éponge en lui proposant un humble pot-de-vin ce à quoi elle répondit qu’elle n’était la putain de personne et que peut être certains de gardes de la cité acceptait mais que c’était à la base contre la loi et que si les dits commerçants ne  voulaient pas voir leurs boutiques fermaient, ils avaient tout intérêt à la fermer et vite. C’était la manière d’imposer la justice en ville. Il fallait éviter la corruption à tout prix. Bien sur, Fania Lacour avait ses points faibles et n’était pas infaillible mais l’argent n’était pas vraiment un de ceux là. En revanche, il arrivait qu’elle ferme les yeux sur les activités des esclavagistes en échange d’une nuit avec une esclave. Il faut dire que depuis qu’elle avait perdu Jeanne et Dame Milena, elle avait certains désirs qu’elle ne pouvait pas calmer et il était encore assez mal vue par la société même si cela se démocratiser d’avoir des penchants pour le beau-sexe quand on était soit même une femme. De toute manière, les choses sur quoi elle fermait les yeux étaient insignifiantes et les marchands pensaient s’attirer sa loyauté d’où elle en retirer généralement de précieux renseignements pour le trône de Nexus. En effet, elle ne ferait jamais passer son petit plaisir personnelle devant sa loyauté au trône de Nexus, il en était même hors de question. Le Conseil  lui-même avait régulé le trafic d’esclave. La reine, et elle le savait car c’était de notoriété publique au château, était contre l’esclavage mais elle songea que la reine elle-même était encore vierge et n’avait donc jamais pu profiter d’une nuit de plaisir avec une esclave. Si elle avait connu ça sans doute, sa vision sur l’esclavagisme serait tout autre. De plus, les esclaves étaient souvent consentant d’obéir à Maîtresse Fania comme elle aimait bien se faire appeler. Elle avait d’ailleurs acheté un remarquable fouet dont on lui avait dit que les propriétés s’accordaient parfaitement avec ses activités nocturnes même si en apparence le fouet semblait être une arme. Fania savait donc faire la part des choses entre son travail et son petit jardin secret. Elle se demandait dès fois si Ronald Langley était au courant de cette double vie mais elle ne le savait pas.

C’est donc après avoir gourmandé trois commerçants et avoir acheté un fouet chez l’un d’entre eux qu’elle aperçut un jeune page courir vers elle. On distinguait les pages, des petits mendiants qui couraient en ville pour distribuer des messages et que l’on appeler un coureur grâce à leurs tenues. Le page étant habillé en tenue noble tandis que le coureur était en haillons. La personne qui s’adressa à elle était donc bien un page avec sa tenue aristocratique bleu. Il venait lui annoncer que la Reine Elena Ivory faisait mander Dame Lacour au plus vite à la salle du trône pour entrevue personnelle. Elle remercia le page et lui donna quelques pièces de cuivre comme il en était souvent coutume. Elle se demanda si elle avait quelque chose à se reprocher et jugea que non puisqu’elle avait toujours était irréprochable envers le trône. Mais, c’était plutôt rare de voir la reine en personne. Généralement, tous ses rapports allaient vers Ronald Langley et quand l’affaire était sérieuse la Reine était mise au courant directement par Fania. Elle avait vu au total 16 fois la reine en trois ans. La première fois étant lors de sa cérémonie d’adoubement. Chaque entrevue avec la Reine se passait calmement jusqu’à ce que Fania finisse son rapport  et la Reine posait ensuite des questions. Fania l’avait vu grandir. Quand la Reine avait treize ans elle ressemblait plus à une enfant que maintenant. Ses formes s’étaient épaissit et faisait d’elle une fière jeune femme. Fania se rappela qu’à 15 ans, elle avait perdu sa propre virginité avec Dame Milena et ne comprenait pas pourquoi la Reine n’en avait pas fait autant. Dame Mélisi semblait d’ailleurs prédestinée à ce genre de tâche. Il était d’ailleurs reconnut que Dame Mélisi n’était pas la dernière pour sauter sur tout ce qui bougeait. Il y avait eu par exemple cette histoire avec une mage noire.

Fania se rendit donc en chemin vers le château en se demandant qui serait présent. Il y aurait sans doute Ronald Langley par qui tous ses rapports passaient. Dame Mélisi serait sans doute présente après tout elle était la première conseillère de la Reine. La Reine était aussi présente mais ça coulait de source. Elle se demanda si ses déductions s’avéraient justes ce qui prouverait son talent pour les énigmes.  Elle se pressa un peu mais pas trop pour aller au château car il fallait montrer qu’elle avait fait au plus vite sans non plus paraître essoufflée. Elle ne rencontra aucune résistance à son arrivée car elle était connue  depuis le temps. Quand elle arriva, à la salle du trône, la garde annonça que Dame Lacour était arrivée.

Fania entra dans la salle du trône et constata qu’elle avait raison et que Messire Langley, Dame Mélisi et la Reine Elena Ivory étaient tous présents. Elle sourit de loin et traversa le long tapis rouge pour se mettre sur un genou, la tête baissée et le visage impassible. Elle savait où était son devoir et c’est donc face à la Reine qu’elle était à genoux. Elle s’exclama :

-Ma reine, vous m’avez fait mandez et je suis venue au plus vite. Que puis-je faire pour vous servir ?

Elle était toujours dans cette étrange posture en attendant que la Reine intervienne. Elle n’avait pas  fait attention à Langley et à Mélisi pour l’instant toute son attention était sur sa reine.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 1 jeudi 11 septembre 2014, 22:03:12

« Alors, les rapports sont formels ? »

Ronald « Scar » Langley, Commandant de la Garde Royale, Chambellan du Palais d’Ivoire, acquiesça de la tête. Ils se tenaient dans la Salle du Trône, une grande pièce large avec un tapis rouge au centre, et deux rangées de colonnes en marbre, à gauche et à droite, donnant sur de grandes fenêtres ouvertes permettant de diffuser de l’air frais, et d’entendre le son des mouettes et des navires s’avançant dans le port de la ville.

« Tous parlent d’un vaisseau fait de mains d’hommes morts qui remontent le long des estuaires, attaquent les villages côtiers, puis repart ensuite dans la brume.
 -  Il ne pourrait s’agir que de simples pirates, espéra Elena. Rien n’indique que...
 -  Nous ne pouvons pas nier les indices plus longtemps, Majesté, tempéra la voix d’Adamante. Il me faut y aller. »

Elena soupira, se mordillant les lèvres. Être séparée de sa magicienne ne la tentait pas. Adamante était plus que ça, elle était même plus que sa première conseillère magique : elle était son amie. Probablement la seule qu’Elena puisse vraiment avoir, la seule qui pensait avant tout à Elena, avant de voir en elle la Reine Ivory, l’héritière de Nexus. Jamiël, sa tutrice, voyait Elena comme la fille qu’elle n’aurait jamais, comme la dette qu’elle avait à payer pour son ancienne amitié avec Nöly Ivory. Et Langley, lui, la voyait surtout comme la dernière des Ivory, dont la protection était indispensable pour que la lignée royale nexusienne se perpétue, et que la guerre civile soit évitée. Seule Adamante, son amie d’enfance, la connaissait mieux que personne. Par conséquent, la perspective de lavoir partir était horrible, même si Elena la comprenait.

Il y a quelques semaines, des attaques avaient commencé le long des côtes, au sud de Nexus. Des attaques isolées, loin des forts portuaires, ciblant de petits villages, voire de simples hameaux, ou de simples bateaux de pêches. Les pillards avaient ravagé les villages, les incendiant, laissant de nombreux cadavres, et en capturant d’autres. Le seigneur local avait envoyé ses troupes, et avait surtout ramassé des cadavres. Le plus troublant était que ces pirates n’avaient volé aucune marchandise de valeur, et on disait que, quand il arrivait, il y avait une brume épaisse. Plusieurs navires avaient été coulées en mer, et, peu à peu, les rapports affluaient, parlant de pirates maléfiques, de la Chasse Sauvage menant une nouvelle Traque. Le sud de Nexus était envahie par une épidémie. Une sorte de violente grippe qui se répandait dans les campagnes et les villes. Elle n’était pas mortelle, mais elle suffisait à exciter l’imaginaire craintif de la populace. La Chasse Sauvage, disait-on, était un ensemble de cavaliers morts-vivants, des fantômes, annonciateurs de temps durs et troubles, comme des cyclones, des guerres... Ou des épidémies bactériologiques. Le seigneur local, un duc, demandait l’aide de la Couronne, et Adamante, après avoir mené des recherches magiques, avait déclaré que c’était effectivement un phénomène surnaturel. Elle comptait y aller, mais elle avait besoin d’aide... Et elle ne voulait pas y aller avec toute une garnison, sous peine de déclencher un mouvement de panique.

C’est dans cet état d’esprit qu’Elena avait, sur conseil de Ronald, invité le chevalier Lacour à venir, afin de lui proposer cette mission. C’était une femme fiable, loyale et efficace, qui était appréciée de la population et des seigneurs locaux, pour sa beauté, son efficacité, et sa grande autorité. Les pages l’annoncèrent, et, quelques minutes plus tard, on la vit entrer. Aucun garde ne la surveillait, car sa loyauté ne faisait aucun doute.

Elena était la seule assise, sur son trône, situé sur un petit perron, Ronald à sa droite, et Adamante à sa gauche. Fania s’avança rapidement, fière, déterminée, belle et élégante, et fléchit un genou devant Elena, la faisant, comme à chaque fois, frissonner. Que la Reine soit humble paraissait impensable, mais il ne fallait pas oublier qu’elle avait passé les dix premières années de son enfance dans un monastère, où on lui avait inculqué l’humilité, l’obéissance, et le respect envers son prochain.

« Ma reine, vous m’avez fait mander et je suis venue au plus vite. Que puis-je faire pour vous servir ? » demanda-t-elle.

La Reine hocha la tête, et répondit rapidement :

« Relevez-vous, Chevalier Lacour. Je vous remercie d’avoir accepté de nous voir au plus vite, et je vous demande d’accepter mes excuses pour rompre ainsi votre repos. Messire Langley nous a fait part de vos excellents états de service, et la Couronne aimerait, si vous le pouvez, vous engager dans une affaire qui réclame votre assistance. »

Adamante enchaîna alors :

« Avez-vous entendu parler des attaques qui ont lieu au sud de notre royaume ? »
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:05 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 2 vendredi 12 septembre 2014, 17:34:36

Toujours à genoux, Fania avait entendu l’ordre de se relever ce qu’elle fit et resta droite et fier en écoutant le monologue de la reine avec toute son attention mais bientôt la reine fut coupée par Adamante qui disait t-on était réellement la tête pensante derrière la Reine bien qu’elle ne osait pas bien âgée comparée à Ronald Langley. Le peuple la surnommer même la  "Catin"  au même titre que la reine était surnommé la "Bâtarde". Les roturiers pouvaient parfois être si vulgaires dans leur propos et ce n’est pas Fania qui pourrait penser ce genre de chose. Elle ne connaissait pas vraiment Adamante mais si c’était une catin alors qu’est ce qu’elle serait elle aux yeux du peuple à sa place ? Elle ne l’osait vraiment pas l’imaginer même si les roturiers avaient trop peur d’elle pour se permettre ce genre d’insulte à la place elle portait le nom de Gant de velours .

Elle n’eut d’ailleurs pas le temps de répondra à la reine que Dame Mélisi prit la parole avant qu’elle puisse répondre, elle n’eu d’autre choix de se tourner vers elle. La reine pouvait paraître un peu prude ce qui n’était pas du tout le cas d’Adamante qui était beaucoup plus direct dans son attitude. Fania réfléchit à ce que lui demanda Adamante. Effectivement, elle avait perçut des rumeurs dans Nexus. Des réfugiés provenant de villes côtières étaient arrive en ville proclamant que leur village était détruit. Le bruit courait que c’était des pirates les responsables! Toutefois, les on-dit était bien court et personne ne croyait véritablement à ces histoires. Et, Fania ne savait pas où ses attaques s’étaient déroulés cela pouvait tout aussi bien être au nord qu’au sud de Nexus. Elle répondit donc en toute franchise :

-Ma Dame, j’ai effectivement entendu parler d’attaque mais je ne sais guère si elles sont dans le sud ou dans le nord. Tout ce que je peux dire, c’est que les attaques se situaient manifestement dans les côtes et qu’ils s’agiraient de pirates mais ce ne sont là que des rumeurs et il n’est pas sur que cela soit vrai. Le manque de clarté dans les informations m’empêche de tirer des conclusions sur ces actes. De plus, ce n’est peut être pas ce que vous envisagiez en parlent d’attaques dans le sud.

Fania se retourna et s’adressa à ce moment-là à la reine qu’Adamante avait légèrement coupée :

-Ma reine, Vous ne devriez pas vous excusez d’interrompre mon repos. Je suis chevalier de Nexus et quand ma reine me mande, j’accours ! dit-elle sur un ton fier et droit comme un i.

Elle reprit :

-Je suis aussi ravie que Messire Langley approuve mes états de service. Toutefois, je présuppose que vous m’avait venir soit pour régler cette histoire d’attaques, soit pour enquêter sur ces attaques. Un mot de vous ma Reine et j’agirais comme bon vous semblera.

Ses talents d’enquêtrice l’avait menée sur ses théories et elle ne doutait pas se tromper. Toutefois, il y avait des inconnues dans l’équation. Serait-ce un voyage en solitaire ? Une escorte ? Avait-elle était trop audacieuse en dictant le comportement de la Reine ? N’en faisait-elle pas trop ? Elle n’en savait rien mais la reine était encore jeune et ne se posait sans doute pas toutes ses questions. Le but de Fania avait toujours de montrer sa loyauté et son affection à la reine car elle était justement jeune et que plus tard elle accorderait sans doute plus de pouvoir  à Fania comme Ministre par exemple ou Conseiller. C’était son ambition à plus long terme.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 3 dimanche 14 septembre 2014, 01:10:48

Ronald ne fut guère surpris d’apprendre que Fania Lecour, le « Gant de velours », avait entendu parler de ces attaques Elle soupçonnait également des pirates, ce qui était le signe qu’elle n’en savait pas plus que ce que les crieurs publics disaient. Ronald était un homme ouvert à la magie, comme bien des Nexusiens, et, si très souvent des évènements prétendument magiques n’étaient en réalité que de la superstition, il arrivait aussi que ce soit plus compliqué que ça. Ronald avait un mauvais pressentiment avec ces attaques, car les différents rapports reçus concordaient tous sur ce point. Une mystérieuse brume, des tueurs sanguinaires qui ravageaient la côte... Si la situation continuait à s’envenimer, la Cour n’aurait pas d’autres choix que d’envoyer une garnison. Une solution que Ronald souhaitait, en réalité.

Fania s’était relevée, et annonça à Elena que cette dernière n’avait pas à se sentir responsable ou gênée de l’avoir mandé. La Reine sourit légèrement, un sourire humble et poli devant ce compliment agréable. Ses joues rosirent légèrement, car il fallait bien admettre que de tels compliments étaient rares à entendre. Elena s’en humecta les lèvres. Fania était prête à faire tout ce qu’elle lui demandait, sans rechigner, et sans même s’interroger sur le bienfondé qu’il y avait à suivre les demandes d’une femme qui n’était pas encore majeure.

« Et bien... Je dois admettre que votre dévotion me touche beaucoup, Chevalier Lacour, et me flatte. Quoiqu’il en soit, nous aimerions effectivement que vous participiez à cette mission, que vous alliez sur place pour vous renseigner, mais vous n’y irez pas toute seule. »

Adamante choisit ce moment pour intervenir à nouveau, se déplaçant lentement vers la femme, une lueur mielleuse dans ses yeux. Elle était effectivement plus mâture qu’Elena, plus joueuse, et qu’elle savait quel était le passe-temps favori de Lacour quand elle retournait à Nexus. Quand Ronald l’avait recruté, il avait diligenté à son encontre une enquête, afin de s’assurer qu’elle ne soit pas une rebelle. L’enquête était assez intrusive et poussive, portant sur des éléments liés à la vie privée. C’est de cette manière que les services royaux avaient fini par savoir que Fania passait son temps libre dans des harems de luxe. L’information n’avait pas filé jusqu’aux oreilles chastes de la Reine, mais Adamante, elle, était loin d’être aussi prude. Elle savait que les paysans aigris la surnommaient « La Salope de Nexus », et autres surnoms élogieux... Pour le coup, ils n’avaient pas spécialement tort. Sans être une succube, Adamante avait fait son expérience sexuelle, essentiellement à l’académie magique où elle avait suivi des cours afin de devenir une magicienne. Outre coucher entre élèves, il arrivait aussi que des prostituées de luxe soient invitées pour telle ou telle occasion. De plus, Adamante avait aussi, lors d’un voyage scolaire, fait une incursion à Tekhos Metropolis, la visite nocturne dans les rues de la capitale s’étant révélée... Très enrichissante.

Cette Fania était vraiment belle, et Adamante lui sourit brièvement, un sourire en coin, avant de lui parler :

« En fait, vous m’accompagnerez, Chevalier Lacour. Vous serez ma protection rapprochée si jamais les choses devenaient venir à dégénérer. Nous ignorons ce qui se passe là-bas, et nous avons besoin d’informations supplémentaires avant de déployer la cavalerie. Il se peut que ces rapports soient erronés, ou qu’il ne s’agisse que d’une bande de pirates... Ou de bien pire encore. Nous ne devrons prendre aucun risque, et, si les choses s’avèrent aussi dangereuses que nous le pensons, nous appellerons la cavalerie. »

Adamante s’était rapprochée de la femme, suffisamment pour confirmer ce qu’elle avait vu de loin : cette femme était vraiment bien roulée. Un véritable spectacle visuel... Et elle était sûrement plus que ça.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:13 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 4 dimanche 14 septembre 2014, 17:02:45

Fania écoutait sa Reine et constata qu’elle fut un peu gêné par la témérité des sentiments de loyauté envers la Couronne. Mais, il fallait bien comprendre que Fania servirait la Reine jusqu’à sa mort et si la Reine venait à disparaître, elle servirait la suivante avec la même affection. C’était une femme de l’ombre d la Couronne et la Couronne valait plus qu’un simple titre, c’était une institution qu’il fallait défendre à tout prix. Et, Fania s’en chargeait avec dévotion depuis trois ans. Et, même avant car en tant qu’écuyer elle menait déjà des missions pour Nexus.

Fania vit qu’Adamante marchait lentement avec un drôle de regard. On aurait dit presque une attitude féline. Oui, un gros chat qui étudie lentement le terrain pour manger la souris. Fania connaissait ce regard. Elle avait le même quand elle jugeait le potentielle d’une esclave dans le harem. C’était le regard qui permettait de déterminer si la personne en face soi pourrait être un bon partenaire sexuelle. Comme pour confirmer, sa théorie Adamante sourit juste avant de parler.

Il s’agissait donc d’une mission d’escorte et d’enquête avec possibilité de renfort. Adamante serait loin d’être un poids avec ces capacités magiques. Tout le monde savait que la famille Mélisi était réputée pour avoir  de très puissantes magiciennes. Et, Adamante ne faisait pas exeption à la règle. Toutefois, Fania se sentit stressé, elle n’avait pas vraiment l’habitude de côtoyer de noble aussi proche. Le protocole mettait toujours une petite barrière à cela. Et d’après, ce qu’elle avait compris Adamante et elle voyagerait de concert. Toutefois, elle n’avait pas le temps de songer à cela et elle demanda :

-Ma reine, j’irais donc me renseignez sur ce qui se passe et j’accompagnerais Dame Mélisi à destination. Dame Mélisi sera la seule à voyager avec moi ? Comment vous faire parvenir mes messages ? Pa la procédure habituelle, en envoyant un pigeon voyageur à Messire Langley ou bien jugez-vous l’affaire trop délicate et préférez un autre moyen ? Je pense que nous pouvons nous servir du fait que Dame Mélisi est magicienne pour se servir d’un sort télépathique à vous envoyer.  Nous partons, je suppose dès que tout le monde est prêt ?

Pourquoi fallait-elle qu’elle demande si Dame Mélisi voyagerait-elle seule avec elle. Elle s’en voulait car cela pouvait paraître entièrement déplacé et ne pouvait être plus direct que si elle avait dit Ma reine, puis-je coucher avec Dame Mélisi ? Ce n’était pas qu’elle était contre car Dame Mélisi bien qu’encore jeune était attirante et posséder des belles formes. De plus Adamante elle-même, semblait attirer par elle. Elle ne put s’empêcher de rougir et seule Adamante qui était suffisamment proche d’elle pouvait s’en apercevoir. Elle fallait qu’elle reprenne contenance et son visage redevint impassible. On aurait presque dit qu’elle n’avait jamais rougit et il fallait avoir des yeux de lynx pour s’en rendre compte. Tout doute étant partit, elle s’exprima :

-Dame Mélisi, soyez sans crainte vous serez protégé au péril de ma vie. Je sais l’affection que vous porte la Reine et je ferais bien attention à ce qu’il ne vous arrive rien.  Vous serez en sécurité avec moi.

Elle se voulait rassurante pour Adamante et réconfortante pour Elena. Elle effectua même une révérence envers dame Mélisi ce qui témoignait de la profondeur de son serment. Encore une fois ses propos pouvaient être mal compris.  Toutefois son visage resta impassible.  Il était hors de question de montrer un instant de faiblesse devant sa Reine. Elle se redressa de toute sa majesté et attendit les réponses à ses questions.

Elle songea assez rapidement que Langley devait rester pour protéger la Reine. Adamante qui s’éloigner du château, Langley qui restait le seul rempart. Fania songea que c’était le bon moment pour faire une attaque sur la Reine et eut un mauvais pressentiment. Toutefois, Langley avait sans doute tout préparé. Et, il n’y avait nul besoin de formuler ses inquiétudes. La Reine était jeune et il valait mieux ne pas la brusquer.
« Modifié: mercredi 17 septembre 2014, 01:55:48 par Fania Lacour »

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 5 mercredi 17 septembre 2014, 01:46:41


Château Discordia

Loin du Palais d’Ivoire, Presque à l’autre bout du monde, tandis qu’Adamante, Elena, et Fania planifiaient leur mission, d’autres individus planifiaient la leur. Grand bien vous fasse si vous n’aviez encore jamais entendu parler du Château Discordia, ou des terres qui l’entourent. Leur ancien nom n’existait plus nulle part, et les conteurs de légendes en donnaient désormais la dernière appellation connue : les Malterres de la Discorde. Le Château Discordia avait jadis été le siège d’une puissante baronnie ashnardienne, un clan influent. Maintenant, c’était un endroit lugubre, qui avait été séparé de l’Empire. Pour y aller, le chemin était balisé, et facile à suivre : marchez jusqu’à la capitale d’Ashnard, puis avancez vers le Mont Olympe. Vous arriverez à Fedic, dernière contrée ashnardienne, dernière ville avant des terres inconnues et dangereuses. Là, vous pourrez, soit continuer à prendre la route principale pour tenter d’obtenir votre chance en tentant d’escalader le Mont Olympe. Cependant, vous pouvez aussi, si le cœur vous en dit, vous engager sur une autre route, consistant à traverser un ancien marais, soit à pied, soit en payant un passeur assez fou pour vous emmener de l’autre côté. Vous débarquiez alors au sein des Malterres de la Discorde.

Endroit maudit, que l’on disait hanté par la folie de son Maître, siégeant en haut de sa tour, un château appelé »Casse-Roi Russe », les Malterres étaient un endroit de perdition et de désolation. On disait que les régions entourant le Mont Olympe étaient l’une des plus dangereuses du monde. Aucune force ne cherchait à venir les réguler, car les monstres qui s’y trouvaient étaient redoutables. Jadis, quand les Malterres n’étaient pas les Malterres, elles constituaient une ultime halte avant le voyage vers l’Olympe, mais, désormais, cette halte n’existait plus. Quiconque entrait dans les Malterres risquait de perdre son chemin, de sentir la Discorde l’envahir... Et si, par malheur, il arrivait à survivre, alors il pouvait rejoindre le Château Discordia.

Cet immense château de tours et de pointes était visible à des dizaines de kilomètres à la ronde. Immense et majestueux, il se dégageait de ce château une impression de mal, de souffrance ancestrale. Tout semblait vide et inanimé ici, à l’image du petit château médiéval qui se tenait à ses pieds. Pourtant, si un voyageur venait en quête de halte, il verrait des lueurs rouges derrière les fenêtres, il entendrait les portes grincer, et il comprendrait alors que, si la vie avait un jour émergé ici, elle avait été totalement corrompue parla Discorde. Un malaise perpétuel envahissait le cœur des étrangers, mais ceux se tenant dans le Château ne ressentaient pas ce malaise. Ils y étaient habitués.

« Elle en a déjà réuni trois... Le temps nous manque. »

On le surnommait parfois encore « The Good Man », à l’époque où il n’était encore qu’un escroc et un arnaqueur profitant de la naïveté des gens pour leur extorquer des fonds, en prétextant réaliser des œuvres caritatives. Peu à peu, il avait commencé à gagner une certaine influence politique, et le « Good Man » était maintenant recherché par de nombreux États. Son véritable nom, toutefois, était celui de John Farson, et, derrière son masque rouge, une puissance phénoménale sommeillait. Il se faisait passer pour un révolutionnaire, promettant à ceux qui le suivraient un nouveau monde, un nouveau régime, qu’il appelait l’Affiliation.

Les deux hommes avançaient dans une longue et large galerie, et son acolyte grogna, parlant d’une voix profonde et cruelle, visqueuse et sadique :

« La petite Reine progresse, oui, mais elle est encore perdue, encore dans le vague et dans le flou... »

Cette voix appartenait à celle d’Allistair Finch, un monstre autrefois humain, qui avait vendu son âme au Diable... Ou à ce qui s’en rapprochait le plus. Il n’y avait pas de mots assez forts pour décrire la démence et l’ambition de Finch. Il avait renoncé au nom du pouvoir à tout ce qui faisait de lui un être humain, et était originaire de la Terre, où il était poursuivi par des forces très spéciales pour avoir commandé une secte utilisant des sacrifices humains pour augmenter la puissance de ses adeptes.

Le Magicien les avait appelés, et ils avaient répondu Ils s’avançaient vers le trône de Discordia, dans les profondeurs du château, en se demandant si le Roi serait là... Mais, comme d’habitude, il était probable qu’il laisserait son pantin s’exprimer... Le Magicien. Ensemble, ils discuteraient du sort de cette femme... Elena Ivory, la petite Reine.

Ce serait sûrement une conversation passionnante.



Au Palais d’Ivoire, l’ambiance était un peu différente, surtout pour Adamante, qui s’amusait du trouble qu’elle percevait dans l’esprit de Fania. La jeune femme posa plusieurs questions, désirant savoir si elles partiraient toutes deux, et comment elles pourraient communiquer avec le Palais.

« Je transmettrais mes rapports à Jamiël par le biais d’un miroir magique. C’est une technique de communication fiable et discrète. Vous n’avez pas à vous en faire pour les oreilles indiscrètes, Chevalier Lacour. »

Elena n’avait évidemment rien remarqué, mais Adamante, elle, n’était pas dupe. Elle vit ainsi Fania rougir, et comprit les pensées que cette dernière devait avoir en tête, des pensées qui confirmaient que sa réputation n’était pas infondée. Adamante, face à elle, se permit alors de sourire d’un air entendu. Les joues rouges de cette Fania étaient un véritable plaisir, même si son rougissement était plutôt discret. Il ne fallait pas non plus qu’on se méprenne sur ses intentions, et Fania, après une révérence aussi inattendue qu’inutile, se mit à nouveau à parler, comme pour mettre fin à ce trouble, conservant son calme à la perfection :

« Dame Mélisi, soyez sans crainte vous serez protégée au péril de ma vie. Je sais l’affection que vous porte la Reine et je ferais bien attention à ce qu’il ne vous arrive rien.  Vous serez en sécurité avec moi. »

Adamante se surprit à glousser, et Elena intervint alors, sur un ton chaleureux :

« Votre dévotion est admirable, Chevalier Lacour. »

Admirable... Adamante n’aurait pas dit mieux, et sa main se leva alors, venant caresser l’une des joues de la femme :

« Avec une garde du corps telle comme vous, je me sens entièrement en sécurité... »

Comme pour mieux la provoquer, Adamante se rapprocha alors d’elle, et murmura dans le creux de son oreille, dans un laps de temps correspondant à quelques secondes :

« Reste ensuite à savoir qui te protègera de moi, jolie blonde... »

Ça, c’était une tout autre question !
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:28 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 6 mercredi 17 septembre 2014, 20:25:02

Fania écoutait la conversation qui se prolongeait et elle entendit un nom qui lui était pas inconnu. Dame Jamiel avait été d’après les on-dit la personne qui avait eut la lourde tâche d’élever la Reine De Nexus ainsi qu’Adamante. On disait d’elle que c’était une puissante magicienne et qu’elle avait élevé la Reine car elle se reprochait quelque chose lié à la disparition des parents de la Reine. Fania avait aperçut quelques fois Jamiel et elle restait une femme d’une grande beauté malgré son âge.

Elle entendit sa Reine lui faire un compliment pendant qu’Adamante lui expliquer qu’elle se sentait en sécurité avec elle. Adamante se permit même de lui poser  une main sur la joue de Fania. Fania la regarda droit dans les yeux et ne put s’empêcher de rougir à nouveau. Elle sentait bien qu’Adamante la charmait et elle réussissait. Elle réussissait même un peut trop bien car Fania sentit monter en elle ou plutôt descendre un faible liquide et elle se demanda ce qu’elle faisait. Elle ne pouvait agir comme ça pas en présence de sa Reine ! C’était interdit !

Mais, le problème avec les interdits c’est qu’il suffit de les mentionner pour qu’ils soient brisés car l’idée de passer l’interdiction et de mouiller devant sa Reine était très tentante. Comme si elle n’était pas suffisamment  tentée, Adamante s’approcha un peu plus en lui disant clairement qu’elle comptait lui mettre le grappin. Fania ne pouvait en supporter davantage. Pendant qu’elle se mordait la lèvre inférieure, elle ressentit un liquide tombait sur sa culotte. Et bien, qu’il y ait trop peu de liquide pour laisser apparaître une tâche, elle se sentit mal à l’aise quand elle regarda la Reine.

De folles idées s’échappèrent de sa tête pendant l’espace de quelques instants. Elle se vit en train de se jeter sur Adamante avec fougue de l’embrasser, de lui arracher ses vêtements, de jouer avec ses seins, de la doigter pendant que sa Reine regardait et apprécier le spectacle. En revanche, quelque chose la fit retourner sur terre quand elle aperçut Langley. Elle ne pouvait pas le greffer au tableau. Langley était un homme et cela coupait toute envie à Fania de poursuivre ses pensées érotiques.

Elle profita qu’Adamante était proche de ses oreilles pour lui murmurer :

-Je ne pense pas avoir besoin de me protéger de vous, Dame Mélisi…

Pendant qu’elle parlait  Adamante pouvait sentir son souffle chaud contre son oreille. C’était certes une réponse positive au charme d’Adamante. Puis, elle se redressa à contre-cœur et demanda à la Reine :

-Ma reine, avant de partir, j’aimerais savoir quels moyens allons-nous utiliser pour nous déplacer… à pied  en cheval ou  par téléportation ? Je propose qu’une fois qu’on aura mis ce point à terme. Nous nous préparons Dame Mélisi et moi-même et onus partirons dans l’heure à moins que vous ayez besoin de temps pour vous, Dame Mélisi.

Elle restait impassible quand elle s’exprimait à la reine mais elle s’était permis un léger sourire quand elle s’était retournée pour parler à Dame Mélisi. Peut-être, Dame Mélisi voudrait se mettre le plus en valeur pour attirer Fania ? Jusqu’où Adamante agirait avec audace ? C’était une question des plus perturbantes pour Fania. Il y avait quelque chose que Fania ne savait pas faire c’était être patiente. Elle aurait pu elle aurait assouvie ses envie et son rêve érotique serait devenu réalité. Mais, des petites choses comme le protocole et la dignité empêchaient cela.

Elle ne s’était jamais imaginer possible de fricoter avec la cour, bien qu’elle en fasse partie. Mais, Adamante prouvait le contraire et c’était une des rares première fois qu’une femme s’intéressait à elle sans débourser la moindre pièce d’or. Car, ce n’était pas évident d’être lesbienne dans la société actuelle. Hormis les nombreuses esclaves sexuelles qu’elle avait goûté, il n’y eut que deux personnes qui avait compté pour elle, Dame Alessandra et Jeanne. L’une avait été sa mentor dans la chevalerie , l’autre sa compagnon d’arme.

Fania songea que cette entrevue arrivait à son terme mais elle n’en était pas sur où plutôt si elle en était sur mais elle ne pouvait agir tant de la Reine ne l’ordonnait. Partir, sans que la Reine ne l’ordonne serait une terrible offense irréparable. Elle attendait donc en regardant la Reine en sentant toutefois Adamante proche d’elle, son cœur ne pouvait s’empêcher de rater quelques battements de cœur.




« Modifié: samedi 20 septembre 2014, 20:33:34 par Fania Lacour »

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 7 vendredi 19 septembre 2014, 01:55:45

NEXUS

Langley haussa un sourcil interrogateur en voyant Adamante et Fania assez proches, parlant à voix basse. Elena, elle, fronçait lentement les sourcils, curieuse. De quoi pouvaient-elles bien parler ? L’échange fut bref, et elle ne posa aucune question. Il s’agissait sans doute d’un conseil stratégique, car les deux femmes allaient devoir être ensemble pendant de nombreuses semaines. Or, comme Adamante le supposait, Elena ignorait totalement que l’un des passe-temps favoris de Fania était, à la capitale, d’aller dans des harems. De fait, elle n’aurait même jamais pu se poser la question. La Reine avait grandi dans une tour d’ivoire, et, si elle savait que les sujets la dégradaient régulièrement en la traitant de noms orduriers, elle s’imaginait que les choses étaient différentes pour les chevaliers et les membres de la Cour. Cependant, Elena savait qu’Adamante n’était pas vierge, mais elle avait du mal à lui en parler, car elle continuait à voir en elle son amie d’enfance, et Adamante, quant à elle, ne voulait pas choquer la Reine en abordant ces sujets... Mais, dans les faits, chacune des deux aurait été aussi ravie l’une que l’autre d’en parler. C’est juste qu’Elena était la Reine, et, surtout, la Survivante.

Fania était très belle, et elle s’écarta d’Adamante, s’adressant à nouveau à Elena, afin de savoir quand elle pourrait partir, visiblement désireuse de mener le plus vite possible sa mission :

« Ma Reine, avant de partir, j’aimerais savoir quels moyens allons-nous utiliser pour nous déplacer… à pied  en cheval ou  par téléportation ? Je propose qu’une fois qu’on aura mis ce point à terme. Nous nous préparons Dame Mélisi et moi-même et nous partirons dans l’heure à moins que vous ayez besoin de temps pour vous, Dame Mélisi. »

Adamante se retourna à son tour, et croisa les bras devant ses seins. Elle savait que Fania était en train de mouiller. Ses sens étaient affinés par la magie, et elle s’était entraînée à percevoir ce genre de choses, trouvant amusant (et excitant) de savoir qui était en train de bander ou de mouiller en s’adressant à la Reine. Il fallait bien l’admettre : Elena était d’une grande beauté. Faisant plus vieille que son âge réel, ses magnifiques yeux vairons lui donnaient un air magique... Ça, en plus de ses beaux cheveux, de ses superbes joues, et de ses belles lèvres raffinées qu’on aimerait qu’embrasser fermement.

« La téléportation à deux est toujours risquée, Chevalier Lacour. Nous prendrons un miroir magique pour nous amener dans les quartiers du magicien se trouvant auprès du duc d’Entwood, et, de là, nous emprunterons des chevaux. »

Les attaques recensées par les rapports avaient principalement eu lieu sur les rivages du duché d’Entwood. Le duc d’Entwood, comme bien des ducs, des barons, ou des comtes, avait un conseiller magique, et Adamante était en contact avec lui. Se téléporter sans l’assistance d’un objet, comme un miroir magique, revenait techniquement à transplaner. Adamante savait le fait, mais le transplanage était très risqué, surtout avec une autre personne. Si on ne réussissait pas son sort à la perfection, on pouvait ne transplaner qu’une partie de son corps, et il suffisait d’une variation de quelques minuscules millimètres pour que le corps se retrouve partiellement explosé en heurtant une surface solide. Les livres et les manuels magiques recelaient d’anecdotes sur des apprentis magiciens qui s’étaient retrouvés avec un bras encastré dans le mur. Leur bras avait littéralement explosé sur place, ce qui expliquait pourquoi la technique de la transplanage était réservée aux apprentis les plus avancés. Elle était fermement déconseillée sur de grandes distances, car il fallait avoir une représentation visuelle parfaite de la zone de réception pour ne pas mourir prématurément. Adamante ne voulait prendre aucun risque.

« Par conséquent, je pense que le mieux est que je vous montre comment ce miroir fonctionne... Nous pourrons partir dans la journée, sauf si Sa Majesté souhaite mon assistance pour quelque chose...
 -  Non, porter secours aux vassaux de la Couronne est une priorité absolue. »

Elena se releva alors, et marcha vers les deux femmes, puis sourit à l’attention de Fania, un sourire plein d’innocence. La jeune Nexusienne était inquiète. Ces histoires de pillage instauraient en elle un mauvais pressentiment, comme s’il y avait quelque chose d’autre derrière, quelque chose de bien plus dangereux que de simples pillards.

« Prenez soin de vous, Chevalier Lacour, et sachez bien que tous mes vœux de bonheur vous accompagnent dans cette mission... Et toi aussi, Adamante. »

Adamante lui sourit, et sa main alla caresser la joue d’Elena, cette fois.

« Ne t’en fais pas pour moi, Elena. »

Elena se pinça les lèvres, et, sans prévenir, aller se ruer dans les bras d’Adamante, optant pour un câlin aussi inattendu que surprenant... Et assez déplacé pour Langley, qui grognait sur place.

« Je veux que tu reviennes !
 -  J’ai l’un des meilleurs chevaliers de la Couronne pour me protéger, il ne m’arrivera rien. »

Adamante lui caressait les cheveux, et Elena se retira, puis, prenant conscience que ce geste d’affection pouvait paraître déplacé devant une invitée, sentit ses joues rosir poliment. Langley choisit ce moment pour intervenir, de sa voix forte et bourrue :

« Pas d’héroïsme impromptu ! Entwood dispose d’une bonne armée, et, si besoin est, la capitale pourra envoyer en quelques jours des renforts supplémentaires. Votre ordre de mission consiste à obtenir des informations, pas à vous lancer dans une vendetta personnelle. »

Il estimait nécessaire de rappeler cet objectif, afin d’éviter les débordements héroïques malvenus.



CHÂTEAU DISCORDIA

« Il y a des évolutions positives. Herzeleid est prête à nous aider le moment venu, et nous disposons maintenant d’un joker au sein de Sylvandell qui, toujours le moment venu, pourra s’avérer d’une précieuse aide. Êtes-vous prêt, Farson ?
 -  Les endoctrinements continuent, et les rangs de l’Affiliation grimpent de plus en plus. Je tiendrais les délais, comme je l’ai garanti. »

Ils étaient dans la salle du Trône de Discordia... Un trône vide, car le Roi ne siégeait plus dans ce fort. À la place, ils avaient son chambellan, son bras droit... Le Magicien. Il portait une énigmatique robe. De loin, elle semblait noire, mais, quand on se rapprochait, on pouvait voir qu’il y avait plusieurs variations de couleurs. Elle devenait verte, puis bleue, ou d’un rouge carmin. Le Magicien avait bien des noms, bien des appellations, et aucun des deux ne connaissait sa véritable identité... Une identité qui, de toute manière, n’aurait eu aucune importance.

« Formidable, formidable, lâcha-t-il, sur un ton empreint d’ironie. Quant à vous, Finch ?
 -  Les cobayes du réseau de Farson et les sujets d’expérience ne manquent pas, fort heureusement. Tout se déroule bien de ce point de vue, la machine est bien rodée. »

Le Magicien restait debout, sans rien dire, hochant lentement la tête. Sa capuche était relevée, mais elle n’empêchait pas de voir son visage, de voir les longs cheveux noirs bruns qui filaient en cascade dans son dos, ou de voir le sourire satisfait qui étirait son visage. Il se mit à marcher lentement.

« Alors, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, c’est ça ? Dans ce cas, mes amis, pourquoi est-ce que je vous sens si tracassé ? Pourquoi est-ce que je vois ici et là des inconsistances ? »

Farson aurait tué n’importe qui lui ayant parlé sur ce dos, et il en allait de même pour Finch... Mais les deux savaient qui était sous cette capuche, et que cet homme-là leur était inaccessible. Ce n’était que grâce à sa magie qu’ils n’étaient pas affectés par la Discorde du Roi... Ou alors, parce qu’ils étaient eux-mêmes déjà suffisamment fous comme ça, et que plus rien ne pouvait les perturber, car ils étaient déjà corrompus.

« Ici et là, Farson, des gens traquent l’Affiliation. Vos réseaux ne sont plus inconnus... Quant à vous, Finch, votre incompétence notoire à stopper les élans de la petite Reine l’ont amené à agir. Il est très mécontent.
 -  À agir ? Qu’est-ce que vous voulez dire par là ? »

Le Magicien leur tournait le dos, sans rien dire. Le Roi n’intervenait jamais pour ce genre d’affaires, déléguant les tâches subalternes au Magicien... Et c’était là encore une bonne chose, car l’intervention du Roi n’était jamais une bonne chose pour ses subordonnés.

« Il a rappelé la Chasse Sauvage, et l’a lâché sur Nexus. Nous ne pouvons pas permettre que la Reine réunisse son troupeau. Il ne le veut pas, et je suppose que vous comprendrez bien vite qu’il n’est pas dans notre intérêt d’aller contre sa volonté, n’est-ce pas ? Ou de continuer encore à le décevoir... »

Farson soupira légèrement en croisant les bras.

« Ne me parlez pas comme à un vulgaire marchand de poissons, Flagg, ou... »

Flagg ouvrit la paume de sa main, et une lueur rouge en jaillit. Farson poussa un hurlement de douleur en sentant ses tympans se mettre à exploser. Toutes ses veines se mirent à saillir de son corps, et il tomba à genoux, en poussant des hurlements de douleur.

« Alors, parlez à LUI, Farson ! Justifiez votre incompétence devant LUI ! Exprimez-vous donc !! »

Dans la paume de Flagg, brûlait l’Œil du Roi Cramoisi, et sa magie infernale se mettait à jaillir par ce biais. La Discorde explosait, et du sang jaillissait des narines de Farson, le long de ses lèvres, filant sur le sol par les ouvertures dans son masque. Flagg ferma le poing, mais le « Good Man » restait prostré au sol, épuisé, le corps tremblant.

« Ce que le Roi donne, le Roi peut le reprendre. Gardez-vous bien de ne jamais ignorer cette leçon. »

Farson venait, en tout cas, de s’en souvenir.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:35 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 8 samedi 20 septembre 2014, 20:32:41

Fania entendit Adamante parlait de miroir magique et elle comprit que c’était plus simple pour voyager car elle se retrouverait directement dans le duché d’Entwood ce qui était une bonne chose car le voyage serait bien moins long. Après quoi les chevaux permettront de voyage au plus vite. Elle n’y connaissait rien en magie et cela se voyait car Adamante la recadrait à chaque fois. Elle voulut prendre la parole sur le fait qu’éventuellement elle acceptait quelques notions sur les miroirs magiques quand la Reine se mit à intervenir indiquant à Adamante qu’elle devait se hâter. Elle se leva de son trône et se mit à sourire à Fania. Fania sentit un petit battement de cœur tressaillir.

Elle indique à Fania qu’elle était avec elle et  elle s’inquiéta pour Adamante. Adamante avait réagit en lui caressant la joue de la même façon qu’elle avait fait avec la Reine.  Fania songea si la Reine voyait l’amour qui se dégageait d’Adamante. Après tout, elle avait fait la même chose avec Fania en lui disant qu’elle voudrait bien lui faire l’amour. Fania comprit à ce moment-là qu’Adamante avait peut-être malgré elle envie de la Reine. La Reine était naïve et ne le comprenait pas. Toutefois, elle se rua sur elle pour lui faire un câlin ! Fania sentit à nouveau couler un peu de liquide entre ses jambes….

C’en était trop pour elle ! Voir Adamante et sa Reine en train de se faire un câlin allait à l’encontre de ses rêves les plus fous ! Jamais, elle ne se serait imaginée  une telle scène.  Son cerveau imagina la reine et Adamante nu en train de jouer avec leurs corps…

-Comme je vous l’ai dit, ma Reine, Dame Mélisi reviendra, dit-elle avec ses pensées lubriques en tête.

Elle vit la Reine rougir un peu et s’empressa de lui prendre sa main et de l’embrasser pour faire démontrer qu'elle en faisait un serment. Elle aurait bien aimé poursuivre plus loin quand elle entendit Langley parlait. Et, elle se redressa ayant encore le parfum de sa douce Reine sur ses lèvres.

Heureusement, que Langley s’était mis à parler  car entendre sa voix puissante d’homme lui coupa toute envie de mouiller. Ah! Langley, ce brave Langley on l’attendait toujours au tournant pour régler toutes les situations. Fania se sentit gênée d’avoir eu un tel élan envers sa Reine. Mais, ne rougit, toutefois pas. Elle répondit à Langley :

-Messire Langley, je sais ce que je fais et je tiens à ma vie très fortement. Je ne commettrais pas d’élan d’héroïsme impromptu. La sécurité de Dame Mélisi passe avant toute chose. Je mènerais cette enquête avec le moins de risques possibles.

Ma Reine ne me pardonnerait jamais si Dame Mélisi venait à disparaître et c’est pourquoi nous reviendrons toutes les deux victorieuses de notre mission.
Son ton était calme et assurant. Quand on l’écouter, on ne pouvait mettre en doute qu’elle avait raison. Elle ne s’était pas montrer froide envers Langley. Elle émettait seulement la vérité qu’elle pensait acquise.

-Sur ce, Ma Reine si vous nous donnez votre accord. Nous partirons sous peu une fois que Dame Mélisi m’aura expliqué comment fonctionnent les miroirs magiques.

Fania attendit donc à nouveau que sa Reine lui dise que l’entrevue était terminée. Elle songea vaguement que c’était peut-être la dernière fois qu’elle revoyait sa douce Reine aux yeux vérons.

Elle regardait tour à tour  Adamante et Elena se demandait qui était la plus belle des deux. Oui, Fania avait tout de la perverse et elle assumait plutôt mal cette situation quand cela empiéter sur ses devoirs.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 9 dimanche 21 septembre 2014, 02:11:45

Elena annonça la fin de leur entrevue, et souhaita, encore une fois, bon courage aux deux femmes, résistant à l’envie de faire un nouveau câlin à Adamante. En soi, il n’y avait pas particulièrement d’urgence à rejoindre le duché d’Entwood... Et Adamante avait désormais clairement senti l’excitation sexuelle de la femme. Elle fit donc signe à Fania de la suivre, et s’aventura le long des coursives du Palais d’Ivoire. Elle s’était déjà séparée d’Elena pendant plusieurs jours, durant le cadre de sa formation magique, et il fallait bien admettre qu’elle n’y était pas habituée. Plus d’une fois sur deux, elle dormait avec Elena, dans son lit, et, très souvent, elle avait envie de lui faire l’amour... De lui ôter sa virginité. Adamante était sûre qu’Elena ne serait pas contre, mais que la Reine n’osait pas. Nexus la préoccupait tellement qu’elle en oubliait son propre bonheur, comme si, en un sens, elle se refusait à être heureuse tant que Nexus souffrait. Elle n’était pas dépressive, non, mais Adamante la connaissait suffisamment bien pour savoir comment elle fonctionnait.

La magicienne ne disait rien, jusqu’à rejoindre ses appartements personnels. Sa chambre jouxtait celle d’Elena. Elle était grande et spacieuse, avec un balcon permettant de voir la mer, un grand lit à baldaquins, des commodes, plusieurs tableaux, et un bureau, sur lequel un grimoire magique se trouvait, ainsi que des notes personnelles. Son miroir magique se trouvait là, dans un coin, un vaste miroir qui, à première vue, ressemblait à un simple miroir... Banal, et sans aucune originalité apparente. On pouvait y voir son reflet, et, pourtant, ce miroir était enchanté. Près de ce dernier, il y avait, sur un guéridon, une sorte de boule de cristal magique permettant de faire fonctionner le miroir. Ce miroir était relié à de multiples autres miroirs, dont celui du mage d’Entwood. Adamante le caressa du bout des doigts, puis se retourna alors, un sourire sur le coin des lèvres, en dévisageant Fania.

Cette femme était vraiment d’une grande beauté, et la magicienne s’en pinça brièvement les lèvres, puis s’approcha un peu d’elle.

« Tu sais... Messire Langley serait très fâché d’apprendre que l’un de ses chevaliers mouille come une petite catin devant la Reine de Nexus... »

Le ton aurait pu être accusateur ou offusqué, mais Adamante parlait en réalité de manière assez amusée, une lueur espiègle dans les yeux. Elle se rapprocha d’elle, en roulant un peu des hanches, sa longue robe de magicienne ondulant avec sa peau, et sa main vint à nouveau caresser la joue de Fania.

« Sa Majesté est encore vierge... Et je t’avouerai que c’est un état de fait que j’aimerais bien faire évoluer. Notre Reine mérite un peu de bonheur. »

Elle lui sourit, révélant ses dents, et ses mains allèrent caresser les hanches de la femme, glissant le long de son corset en cuir. Leurs seins se heurtaient ensemble.

« Tu m’as imaginé lui faire l’amour, hein ? Je sais que tu aimes fréquenter certains établissements spéciaux la nuit... »

Adamante ponctua cette phrase en allant lécher la nuque de la femme, sensuellement.

« Raconte-moi tes fantasmes... » enchaîna-t-elle ensuite, une lueur de désir brûlant dans ses yeux.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:46 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 10 dimanche 21 septembre 2014, 15:56:17

La Reine mit fin à l’entretien. Fania exerça une révérence pour dire en revoir comme le protocole l’exigeait et suivit Adamante dans un dédale de couloir qu’elle ne connaissait pas. C’était normal car elle n’avait jamais visité le couloir se situant dans les appartements royaux où l’on trouvait la chambre de la Reine bien entendu mais aussi la chambre d’Adamante, sa fidèle amie et Conseillère.

Fania n’entendit pas Adamante discutait sur le trajet sans doute que ce qu’elle avait à dire était confidentielle. Quand Fania entra dans la chambre, elle aperçut du mobilier de luxe, un agréable balcon. Dans cette chambre, tout transpirait la magie que ce soit les grimoires magiques où le fameux miroir vers lequel Adamante s’était dirigé. Fania songea que cela devait être le fameux miroir lui permettant  de se téléporter vers Entwood. Fania ne disait toujours rien.

Adamante se retourna soudainement en souriant. Fania aperçut même son pincement de lèvre sans doute que la magicienne réfléchissait sur comment expliquer l’utilisation du miroir à une néophyte. C’est là qu’elle indiqua à Fania que…. Non, elle devait avoir mal entendue.  Adamante savait qu’elle avait mouillée tout à l’heure. Elle rougit très violemment ce coup-ci car elle ne s’attendait pas à un tel rebondissement.

Fania n’eut pas le temps de réagir que la magicienne était sur elle lui caressant la joue. La suite de ses paroles mit Fania en confiance car Adamante ne lui cacha pas qu’elle aussi elle voulait conquérir la Reine. Ses mains se baladèrent sur son corset pendant que leurs seins se touchaient. Fania prit l’initiative de caresser les fesses d’Adamante car elle savait que les discours passaient mieux avec des petites caresses.

Adamante savait tout. Elle savait que Fania avait imaginé la Reine et Adamante en plein ébat. C’était un rêve fréquent qu’elle faisait parfois la nuit ce qui l’excitait beaucoup au point de se masturber dessus certaines fois. Elle sentit d’un coup une petite langue sur la nuque. Elle tressaillait et Adamante pouvait sentir son souffle chaud contre sa tête pendant que sa mouille recoulait. Adamante lui demanda de lui parler de ses fantasmes…

-Je ne peux rien vous cacher, Dame Mélisi…. Mon fantasme le plus fou…. C’est de pouvoir faire l’amour à notre Reine mais pas n’importe comment. J’aimerais lui apprendre le sexe dans une relation maîtresse/esclave. Je vous vois aussi dans mon fantasme, vous seriez là pour guider la Reine lui montrer qu’elle n’a rien à craindre à obéir aux ordres qu’on lui donne. Bien sur, tout se ferait petit à petit pour ne pas la choquer. Mais, imaginez le tableau à long terme ! Vous la prenant par derrière pendant qu’elle cris votre prénom en disant : Adamante ! Adamante ! Moi, je serais devant elle et me lécherait mon intimité par sa royal langue car elle veut assouvir les besoins de Maîtresse Fania Pendant qu’elle s’occupe de nous, nous nous regardant en plein ébat et prenant notre pied cruellement….

Fania avait glissé cela à l’oreille de la magicienne. Elle lui avait tout raconté de but en blanc et pendant qu’elle parlait elle mouillait de plus en plus. Il y avait quelque chose en Adamante qui faisait que l’on voulait se confier naturellement. De plus, Fania doutait qu’elle pouvait cacher ce fantasme plus longtemps vu ce que lui avait révélé Adamante plus tôt.

Fania se sentant de plus en plus excitée souleva  Adamante qui était plus jeune qu’elle et l’amena sur son lit. Elle la fit glisser sur le lit et pendant qu’une main lui caressait sa joue. L’autre alla se mettre sous sa robe et commença à caresser son intimité.

-Et vous, Dame Mélisi…. Quel est votre fantasme le plus fou ? Je vous ai raconté le mien… Racontez moi le votre !

Puis elle l'embrassa dans le cou et la regarda intensément pendant que Fania la masturbait pour voir sa réaction. Fania adorait dominait dans le sexe et Adamante allait le comprendre maintenant qu’elle avait réveillé la bête.
« Modifié: mardi 23 septembre 2014, 20:10:41 par Fania Lacour »

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 11 mardi 23 septembre 2014, 01:40:43

De fait, Adamante ignorait que Fania avait fantasmé sur une relation sexuelle entre elle et Elena. Elle n’avait fait que le supposer... Et elle avait visiblement fait mouche, vu la délicieuse rougeur qui inonda les joues de Fania. Les mains du chevalier se posèrent sur sa croupe, les caressant, et elle se mit à parler, à lui expliquer que son fantasme consistait à voir Adamante et Elena se faire l’amour, et à ce qu’Elena, la Reine de Nexus, devienne l’esclave sexuelle de Fania. Entendre ce fantasme, sincère et honnête, fit sourire Adamante, un sourire pervers et qui se voulait... Confident. Comme si elle comprenait ce que la belle blonde ressentait. Elle était orgueilleuse pour se dire qu’elle pouvait être la « Maîtresse » de la Reine de Nexus, mais, à vrai dire, beaucoup de sujets de la Reine devaient partager ce désir : mettre un collier autour du cou de la femme, et appliquer le fouet sur son fessier.

Entreprenante, Fania poussa ensuite Adamante, qui se retrouva allongée sur le lit, et sentit la main de la Nexusienne filer sous sa robe, s’attaquant à son sexe, ses doigts cherchant sa fleur intime. La magicienne se mordilla les lèvres en sentant un frisson de plaisir la traverser, remontant tout le long de son corps. Fania avait livré ses désirs, et, en toute logique, elle demanda la même chose de la part d’Adamante :

« Et vous, Dame Mélisi…. Quel est votre fantasme le plus fou ? Je vous ai raconté le mien… Racontez-moi le vôtre ! »

Le ton était autoritaire, confirmant bien que cette femme était dominante. Restée relativement inactive jusqu’à présent, Adamante s’appuya sur ses bras, se redressant un peu, et remua un doigt. Dans le dos de Fania, il y eut comme une poussée de vent, et le chevalier tomba alors contre Adamante. Un sourire sur le coin des lèvres, la magicienne empoigna ses cheveux, et l’embrassa alors pour toute réponse, goûtant enfin aux lèvres de la femme... C’était un baiser qu’elle souhaitait faire depuis longtemps, maintenant, et, joignant le geste à la parole, elle retourna la femme, la plaquant sur le lit, Adamante glissant ensuite une main dans ses cheveux, les rabattant derrière l’une de ses oreilles. Une main sur l’épaule de Fania, l’autre alla caresser l’un de ses seins.

La belle femme rousse observait Fania dans les yeux, un sourire sur le coin des lèvres, et avança sa main, ses doigts venant caresser les tendres lèvres de la femme, s’y enfonçant légèrement. Elle invitait volontiers Fania à venir les mordiller.

« Compte tenu des circonstances, tu peux juste m’appeler ‘‘Adamante’’, Fania... Et je dois admettre qu’imaginer que Sa Majesté puisse être ton esclave sexuel est... Très vilain. Je n’ose imaginer la tête que Ronald ferait si tu venais avouer cela... »

Le sourire malicieux sur les lèvres d’Adamante signifiait clairement qu’elle la taquinait, et son doigt continuait à s’enfoncer dans la bouche de la femme.

« Elena est encore vierge, tu sais... Ce qui n’est pas mon cas... Et mon plus grand désir est de lui ôter cette virginité, car je sais que c’est ce que son corps souhaite, et je pense que ça ne lui fera que du bien. »

Adamante connaissait Elena depuis suffisamment longtemps pour le savoir. Il était temps qu’Elena accepte de se dire qu’elle était digne de ses parents, et qu’elle avait le droit de vivre, soit, autrement dit, qu’elle n’avait pas à se reprocher de vivre là où toute sa famille avait échoué. Le doigt d’Adamante se retira des lèvres de Fania, et elle l’embrassa à nouveau, plus fermement, envoyant sa main s’agripper à ses cheveux, les serrant durant ce long échange. Un baiser langoureux et intense, où la magicienne gémissait et soupirait, enfonçant sa langue dans la bouche de la femme, jouant avec elle.

Le baiser finit par se rompre au bout d’une bonne minute, et la magicienne le termina par un baiser d’esquimau, envoyant son nez frôler celui de la femme, jouant avec lui. Elle le toucha délicatement, glissant contre ce dernier, s’y frottant tendrement et doucement.

« Et je pense que tu pourras m’aider... Ce serait un beau cadeau à lui offrir avant notre départ vers Entwood, tu ne crois pas ? Toi et moi... En train de lui faire l’amour, de caresser son beau petit cul, de la voir nue, et de l’entendre soupirer en gémissant nos noms... Tu sais qu’on dort encore ensemble, elle et moi ? C’est terrible de devoir se retenir quand elle utilise mes seins comme un oreiller... Oui, je crois qu’il est temps de la faire grandir. »

La magicienne ne comptait tout simplement plus le nombre de nuits où elle s’était retrouvée avec les ovaires en feu en attendant qu’Elena se lâche, et en la regardant dormir, aussi belle qu’un beau bébé, assoupie contre son corps.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:12:53 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 12 mardi 23 septembre 2014, 21:53:29

Fania se sentit basculer  vers Adamante et cette dernière en profita pour l’embrasser. Fania pouvait sentir toute la fougue devant cette jeune personne. Elle savait qu’Adamante dans ses gestes réclamait plus de chose, elle était encore si jeune bien que Fania ne lui indiqua pas. Le plaisir que voulait Adamante était un plaisir précoce qui se consumait le pus vite possible. Fania répondit au baiser tendrement.

Elle sentit Adamante touchait ses cheveux et sa poitrine. Fania vit le doigt se déplacer vers elle et entreprit de le mordiller et de le lécher du bout de la langue pendant qu’Adamante discutait, elle continuait à caresser cette dernière sous sa robe bien qu’elle fut en position de dominée. Elle prit part qu’elle pouvait tutoyer et appeler Dame Mélisi par son prénom.

- Tu es dans le vrai, Adamante, je suis une vilaine fille et c’est ce côté vilain qui fait que je me masturbe en pensant à toi certaines nuits… En revanche, je ne suis pas la seule dans cette pièce à être vilaine et à nourrir des idées qui ferait pâlir Messire Langley à la vitesse de l’éclair. Adamante, tu n’as pas besoin de me dire que tu n’es pas vierge cela se voit. Les vierges sont plus timides d’habitude… et n’accepte pas l’idée qu’on leur touche le vagin avant même de les embrasser. Tu sais peut être deux trois petites choses sur moi… mais ne me sous-estime pas sur mes talents d’enquêtrice. Ma perception des choses de la vie est assez exceptionnelle. Après tout, le Royaume lui-même  le reconnait…

Fania lui sourit et elle profita de ce moment pour l’embrasser. Pendant le baiser Fania entendit la magicienne gémir signe que ses caresses sur son entrejambe devait lui plaire… L’autre de main de Fania étant occupé à caresser ses cheveux roux. Fania s’appropriait la jolie rousse petit à petit.  Le baiser se termina trop vite à son goût et Fania accueillit le nez d’Adamante contre le sien. C’était très érotique.

-Pauvre petite Adamante, cela doit être très dur den pas se faire toucher les seins et comme pour appuyer ses propos elle fit glisser sa main qui était dans ses cheveux vers sa poitrine en la malaxant doucement. Notre  Reine doit te faire vivre un cruel délice, j’aurais eu bien du mal à me retenir à ta place…

Fania aurait été à la place d’Adamante, elle aurait peut être pas agi les premières nuits mais dans un deuxième temps elle se serait amusée à toucher la Reine à divers endroits érotiques pendant son sommeil laissant le désir l’envahir chaque nuit. Les paroles d’Adamante avait fait mouiller Fania car elle s’était imaginer touchant les fesses de sa Reine….

-Dis-moi Adamante, je suis curieuse… Tu voudrais lui faire vivre notre petit cadeau avant notre départ… Mais, comment comptes-tu t’y prendre ? Je veux dire qu’elle n’a pas forcément envie de céder à la tentation…. Comment vas-tu t’y prendre pour qu’elle veuille bien approuver l’idée qu’on lui fasse l’amour ?

Fania se releva en se mettant en position assise pendant qu’elle regardait Adamante fixement dans es yeux et qu’elle voyait qu’elle appréciait ce qu’elle faisait avec sa main sur son entrejambe et sa poitrine. Fania elle-même approuver l’expertise d’Adamante sur sa poitrine. Si Adamante ne trouvait pas une idée sur le comment de la soumission de la Reine, Fania jetterait son dévolue sur la rousse qui en subirait les conséquences… Après tout, Maîtresse Fania ne pardonne pas !

Adamante par sa discussion retenait encore la bête en cage qu’était Fania, la fille qui adoptait un comportement de sadisme dans le sexe. Adamante la retenait car Fania se disait que si elle pouvait se faire Adamante et la Reine cela valait bien le coup d’attendre. D’autant que la Reine étant vierge, elle serait une proie beaucoup plus facile au sadisme de Fania. Si Adamante ne trouvait pas de solution  à ce dilemme, Fania se vengerait probablement sur Adamante et en ferait sa petite soumise.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 13 vendredi 26 septembre 2014, 01:35:54

Qu’Elena puisse dormir avec Adamante était curieux, et, pour le comprendre, il fallait remonter à l’époque du monastère de Saint-Antoine, où elles avaient grandi toutes les deux... Elena n’avait jamais oublié la mort de ses parents, leur absence, et elle était incapable de dormir la nuit sans faire de cauchemars. Plus tard, Adamante avait appris que son sang était empoisonné, empoisonné par l’infâme substance qui avait été utilisée pour empêcher Nöly de mener une grossesse à terme. Le seul réconfort qu’Elena avait pour dormir était de dormir contre Adamante, avec elle... Il n’y avait que comme ça qu’elle ne cauchemardait pas, qu’elle arrivait à faire des nuits complètes. Le Judicateur Althuis leur avait expliqué que ceci venait du fait qu’Adamante était l’une des treize personnes qu’Elena était supposée réunir pour venir à bout de leur ennemi, ce que le Judicateur avait appelé « les Immortels ». Une appellation plus symbolique qu’autre chose, car Adamante n’avait pas grand-chose d’immortel... Quoiqu’il en soit, les deux femmes avaient gardé l’habitude de dormir souvent ensemble, et, même si Elena ne le faisait plus systématiquement chaque nuit, elle avait toujours tendance à le faire assez fréquemment... Ce qui était de plus en plus difficile à gérer pour la Mélisaine, car elle avait mûri, elle, et elle avait grandi. En ce sens, Fania n’avait pas spécialement tort en disant que ce qu’elle vivait était un « cruel délice ». Elena engendrait une dose de frustration qui amenait Adamante à les épancher auprès de ses amies, ou d’esclaves... Oh, elle les traitait très bien quand elle allait les voir.

Fania, de son côté, exprima son inquiétude sur l’art et la manière de convaincre Elena de céder à leurs avances. Ses angoisses amenèrent sur les lèvres d’Adamante un léger sourire. Elle l’embrassa à nouveau, sur les lèvres. Son plan, elle y réfléchissait depuis des semaines, en réalité, même avant d’avoir contacté Fania. Plus le temps passait, et plus Adamante voyait la virginité d’Elena comme une obsession. Elle ne supporterait pas que quelqu’un d’autre qu’elle ne la lui retire... C’était égoïste, mais c’était comme ça. Elena n’était pas que la Reine de Nexus à ses yeux, elle était aussi sa plus vieille amie, plus proche d’elle que sa propre famille.

« Je pense m’y prendre de la plus simple des manières, Fania... »

Inutile d’inventer un plan tortueux avec Elena, il suffisait simplement de compter sur la dose de frustration sexuelle qui devait forcément sommeiller en elle. Adamante avait beaucoup hésité avant de sauter le pas, car elle avait peur d’échouer, et qu’Elena soit horrifiée par ce qu’elle voit... Mais Elena était maintenant suffisamment mâture pour avoir ses règles. C’est juste que personne ne lui avait parlé du sexe, contrairement à Adamante, qui avait bénéficié de l’expertise de ses amies magiciennes. Elena, elle, restait la Reine, au sommet du pouvoir, désespérément seule, car on voyait avant tout en elle la Reine, et non pas Elena... Or, on ne parlait pas de cul avec une Reine, surtout quand elle était aussi gracieuse qu’Elena.

Adamante recommençait à embrasser Fania, en sentant bien que la curiosité de cette dernière avait pris le pas sur le plaisir immédiat qu’elle ressentait... La perspective de coucher simultanément avec Elena Ivory et Adamante Mélisi ! Elle en avait probablement des étoiles dans les yeux.

« Je vais l’inviter ce soir dans ma chambre, et je lui dirais qu’il est temps pour elle de grandir... J’ignore totalement comment elle réagira sur le coup, mais je suis convaincue qu’elle acceptera... »

C’était son plan. Très court, très bref, très synthétique, reposant en grande partie sur l’improvisation... On ne pouvait théoriquement pas vraiment parler d’un plan, mais il fallait bien comprendre qu’Elena n’était pas pareille que les autres. Le lien qu’Adamante partageait avec elle était sacré, et elle s’en voudrait à vie si elle faisait une fausse note. Tandis que Fania s’était mise en position assise, Adamante, elle, se coucha à côté d’elle, sur le dos, sa main venant caresser celui de Fania.

« Bien sûr, je reste ouverte à toutes les propositions... »
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 21:13:00 par Elena Ivory »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Fania Lacour

Humain(e)

Re : Je suis à votre service! (Pv: Elena Ivory)

Réponse 14 vendredi 26 septembre 2014, 17:57:11

Adamante se dégagea quelques peu des caresses de Fania en décidant de s’allonger sur le dos tout en caressant la main de Fania. C’était une situation particulière pour les deux femmes. Elles avaient chacune envie d’assouvir leurs pulsions mais elles se retenaient pour réfléchir à comment assouvit leurs pulsions en même temps que ceux de la reine. Elles retenaient leurs plaisirs immédiats pour un plaisir plus intense dans le futur.

-Tu n'as pas fait l'amour avec beaucoup de vierges pour croire qu’elle va te tomber dans les bras comme ça…J’ai bien une idée, Adamante… Tout à l’heure j’ai bien vu que la Reine t’as serré dans ses bras et recherchait un plaisir tactile malgré elle. On peut jouer sur ce fait là… Ce soir, quand tu la verras, tu lui diras que tu es inquiète pour ta mission et que tu sais qu’elle a peur. Tu lui proposeras un massage pour la décontracter… si c’est ton amie, elle acceptera. Sauf, que tu lui feras pas n’importe quel massage. Tu insisteras bien sur certaines zones érogènes comme la partie entre les poumons et les seins qui sont à la fois une zone érogène et qui peux procurer l’euphorie. Tu as aussi ses cuisses, ses oreilles. Une fois, qu’elle sera pas mal échauffée  et que tu constateras qu’elle mouille tu passeras tes doigts sur cette mouille et tu prendras un air choqué en lui disant qu’elle s’est faite dessus et tu essaieras d’essuyer avec ta main son sexe et tu lui expliqueras pendant qu’elle est excitée qu’elle continue à se faire dessus. Tu pourras en principe commence à l’embrasser à ce moment-là. Puis, tu lui diras que je dois venir pour une raison ou une autre. Je viendrais dans une de mes magnifiques tenues de maîtresse avec un petit martinet et je lui dirais qu’elle a été une vilaine fille et qu’elle doit te laisser l’essuyer convenablement. Elle sera peut être étonnée mais vu dan l’était où tu l’auras mise. Je ne pense pas qu’elle fera d’opposition, au contraire elle sera la première à accepter. Pendant que tu l’embrasseras, je lui indiquerai ce qu’elle doit faire pour te soulager et avant la fin de la soirée, on aura toute les deux ce que l’on veut. Tu lui auras pris sa virginité et je l’aurais dominé.

Fania s’était approché de la belle Adamante et l’avait chevauché tout en lui indiquant ses informations au creux de l’oreille, elle avait doigté la jeune Adamante espérant que ces idées perverses lui procurerait un orgasme. De son autre main, elle lui caressa les cheveux.

-Alors, mon idée te plaît ? Tu es conquise ? C’est tout ce que j’ai trouvé avec si peu de temps… En revanche si tu as besoin d’aide pour savoir comment appliquer le massage dont je t’ai parlé… Je peux te montrer en l’appliquant sur toi. Tu comprendras peut être mieux ce que je veux dire. Bien que dans ton cas, tu sembles déjà fortement excitée et un telle massage ne servirait sans doute à rien, juste à faire monter ta frustration. Je ne serais pas contre le fait que tu jouisses ma belle. C’est un petit avant goût de ce qui t’attends ce soir… Tes années de frustration vont s’arrêter et tu vas enfin pouvoir jouir de ce qui te revient de droit !

Fania était ce genre de fille qui insinuer des idées perverses sur ces victimes. Elle essayait de viser le tourment psychologique de sa victime. Elle pouvait bien sur jouer sur le tourment physique mais elle préférait nettement les tourments psychologiques. Dans le cas d’Adamante, c’était tellement simple de voir qui la tourmenter, l’idée insidieuse de coucher avec sa Reine, de lui ôter sa virginité était présente depuis un long moment déjà si ce n’est des années. Fania le ressentait de tout son être et le voyait. Elle accablait Adamante par son tourment. Toutefois, Fania était réputé pour aider ses victimes à se sentir mieux après avoir expliquer leur tourment en leur prodiguant des conseils. Et, les malheureuses victimes obéissaient, sans doute le dose de plaisir qu’elle le procurer à ce moment là abaissait des barrières psychiques qui sont normalement là mais qui s’abaissent pour que le plaisir puisse envahir la personne.

-Je sais que tu te retiens mais ce soir…. Il n’est question de faire marche arrière…. Alllez, je veux t’entendre jouir en disant que tu veux coucher avec ta Reine, ton amie, la douce Elena Ivory. Je veux voir la détermination apparaître alors que tu jouis. Dis-le ! Tu verras, tu te sentiras bien mieux après. C’est une phrase toute simple. "Je vais prendre la virginité de ma reine". Tu vas la traiter comme ton amante, comme ta salope…

Fania se demandait si elle n’allait pas trop loin en utilisant des propos injurieux devant Adamante et qui ciblait sa Reine. Toutefois, elle pouvait sentir les tortillements de plaisir d’Adamante et elle savait que les propos injurieux étaient excitants. Fania voulait voir Adamante gagnait par sa conviction. Elle ne voulait pas la voir faillir. Bien sur, elle avait exposé ses idées à Fania mais elle semblait pas assez convaincue pour Fania. Le chevalier de Nexus souhait juste l’aider à trouver sa voie.
« Modifié: vendredi 26 septembre 2014, 18:13:19 par Fania Lacour »


Répondre
Tags :