Maison vide.

   La jeune fille étendit soigneusement le tissu bleuté sur la table vernie, veillant à ce que la surface soit bien lisse. Elle admira un instant le travail, soupirant sous le soleil qui brûlait le moindre centimètres de peau de son corps, et rentra dans la fraicheur de son intérieur. Pour la première fois de sa vie, son maître avait disparu de la surface de la terre. Elle ne l’avait pas vue depuis ce matin … elle étendit sur l’herbe le drap rouge sang sur l’herbe fraîchement coupée, dont l’odeur fraîche lui tournait la tête, lui rappelant un flot de souvenirs étranges et rudes. Elle passa sa douce main le long du tissu, soupirant à nouveau. Vie bien triste … elle attrapa un nouveau tissu qu’elle étendit toujours sur l’herbe, priant pour qu’il ne pleuve pas et que tout puisse sécher. Elle se frotta les mains, rentrant encore dans la maison, captant la fraîcheur du moment avec un sourire.

   Elle n’était pas bien depuis quelques jours. Sa tête fatiguait, elle avait des nausées, peut-être dû aux mauvais traitements … il fallait qu’elle songe vraiment à tenter de s’enfuir. Elle s’installa sur une chaise, en massant ses tempes. Impossible … elle ne pouvait pas. Partir serait une folie pure. Elle perdrait son visage à jamais … Elle se réveillerait avec une tête terrible, un visage qu’elle ne connaitrait pas et qui n’aurait peut-être pas la douceur qu’elle avait maintenant. Elle ne pouvait prendre ce risque.

- On doit m’aider, marmonna-t-elle.

   Effectivement, la jeune fille ne s’en sortirait pas seule cette fois ci. Elle devait s’appuyer sur une personne, de confiance ou non, mais quelqu’un qui lui dirait « vas-y » avec un sourire sincère. Elle se leva, restant sous le porche. Le vent se levait dehors … elle soupira et caressa son poignet, sa main heurtant son bracelet. Dire qu’il suffisait juste qu’elle l’arracha pour être enfin une personne libre … Tout semblait si simple, mais non, ça ne l’était pas. Tout le monde la connaissait et savait qu’elle dépendait de son maître, qu’il faisait ce qu’il voulait d’elle. Mais personne, non, personne ne savait vraiment ce qu’elle ressentait. Elle remit son kimono avec une douceur infinie, celui-ci lui tombant une nouvelle fois le long de l’épaule, et elle s’attarda à admirer un arbre fruitier. Le Ohana mi approchait …

Kuro avait enfin trouvée un contrat fort intéressant. Si la mission était menée à bien , elle recevrait dix milles pièces, autant dire qu'elle pouvait avoir de très bonne info pour rechercher Angelus.

Le but du contrat était de certifier si le proprio de l'adresse qu'elle avait sous les yeux, étaient un geôlier ou une personne tout à fait respectable. Cela dit les preuves s'accumulait pour prouver qu'il étaient un humain de la pire espèce.

La partie facultatif est de libérer, si possible, la prisonnière et de la protéger au cas ou son maître reviendrait par inadvertance.

La chasseuse fit l'inventaire de ce qu'elle avait prit pour cette opération d'espionnage et de sauvetage. Elle avait ces flingue Kiss Girl et Dead Boy, deux desert eagle et deux revolver avec possibilité de faire partir toutes les balles du barillet vers sa cible, elle avait claquée pas mal de frique pour cette dernière acquisition. Elle avait aussi ces deux poignard, quelques potions aux effets diverse et surprenante et une petite surprise si il y avait quelque chose de magique là dessous. Kuro détestait la magie des autres et surtout celle qu'elle ne connaissait pas.

Elle alla vers l'adresse indiquée sur sa feuille et entendit au passage des rumeurs qui fit froid dans les dos. Il y avait bien une prisonnière, belle de surcroit et qui, disait-on, était dominé et brutalisé par une ordure qui était sont maître. Kuro, qui voulait au début passer par la porte principal, s'abstint. Si le maître était là, elle aurait des ennuie et ce connaissant elle les auraient attirée par ces questions peu discrète.

Elle contourna la baraque et passa par le grenier, c'était le meilleur moyen de s'infiltrer, il faut dire que la maison bien que paraissant un peu vieille  étai truffé de système anti-intrusion, de la rigolade pour la chasseuse. Elle descendit prudemment et vit une jeune demoiselle au visage très gracieux, mais l'on voyait qu'elle n'était pas au top de sa santé. Kuro voulut voir si elle avait un tant soi d'émotion. Elle se glissa derrière la jeune fille et l'entendit dire de l'aider.

- Et si cette aide venait maintenant jeune demoiselle, que demanderiez-vous ?

Erwane tourna violemment son visage vers la jeune inconnue. Qui était-elle ? Elle cessa de jouer avec son bracelet pour se retourner entiérement, faisant face à Kuro. Tout se mélangeait ... Avait-elle parlée trop fort ? Venait-on pour l'aider ou était-ce encore un plan de son maitre pour la réduire à néant ? Elle sentit son coeur battre violemment en elle, submergée. Non non, elle l'aurait sû si c'était son maître, elle aurait deviné facilement, sans problémes quelconques. Il y aurait eu cette atmosphére particuliére, tout se serait tû autour d'elle, or les oiseaux chantonnaient toujours, le vent était toujours aussi présent , le ciel normalement bleu. Elle pressa ses mains violemment l'une contre l'autre, comme pour remercier un quelconque seigneur de l'aide qu'on lui apportait.

- Je ... Que ...

Elle inspira violemment, pour se calmer, sentant l'air remuer dans sa poitrine tellement le stress était relevé. Son braceler frottait contre sa peau, et elle ouvrit de grands yeux. Le bracelet ... Elle glissa ses doigts dessus, l'empoignant avec force, l'arrachant, laissant des marques rougies sur sa peau pâles. Les résidus heurtérent le sol ...


Alors sa peau devint plus pâle, se déchirant comme une mue de serpent, ses cheveux s'allongérent et se teintérent d'un noir corbeau. Des yeux verts violents remplacérent les anciennes perles de nacres qui lui servaient de regards. Son kimono tomba, lui laissant une robe courte rouge violente, couvertes de bandes de tissus pendantes le long du corps. Elle changeait ... son apparence douce, noble et respectable devenait autre chose, une apparence plus terrible, plus glauque ...


Le ciel se chargea de noir tandis que la jeune femme regardait encore son corps devenus autre, et des bruits négatif prirent place dans l'air. Erwane se tourna vers Kuro, un regard affolé.

- Il ... m'en veut. Préparez-vous à vous battre, jeune femme ...

Elle serra les poings. Le moment de la révolte était arrivé, elle allait sentir une vengeance atroce percer dans l'air ...

Kuro regarda Erwane arracher littéralement un bracelet, la suite fut surprenant, non pas que Kuro ait vraiment peur de voir une jolie jeune femme douce, devenir une jeune femme tout aussi jolie, mais d'une haine et d'une colère retenue trop longtemps. Ce qui la déplu fut une tension ou plutôt une présence malsaine, presque démoniaque.

- On dirait que la fête commence !

Kuro avait dit cela d'un ton enjouée et sortit Kiss girl et Dead boy. Elle posa un baisé sur chaque canon et murmura.

- C'est à vous de jouez mes beauté.

La chasseuse tira dans les quatres angles de la maison et erigea un kekkaï mineur, qui ne résisterait pas à une attaque dépassant le stade humain. Elle sortie de son sac des balles qui brillait comme la lune.

- J'ai une question, il est comment là ton ex-maître ? humain avec des pouvoirs ou non.

Elle arma ces deux flingues des balles luminescente et fut prête à riposter en cas d'attaque. Elle c'était mit exprès devant Erwane pour la proteger et prendre le moindre projectile à sa place. La misson avait atteint un stade élevé, elle n'hésitera pas à demander une augmentation pour les risques.

- En faite je m'appelle Kuro Tenshi, mercenaire pour te servir.

Erwane eut une moue étonné. Les armes à feu ... cela lui faisait beaucoup trop peur. Elle craignait chaque mouvement, chaque balle, avec une peur feroce. Entre les mains de quelqu'un d'habile, une arme à feu devenait le pire jouet qui soit ... amusant, simple, efficace. Elle se souvenait de son maître qui tentait de la viser avec son "joujou", tirant des balles autour d'elle. Combien de fois avait-elle manquée de crever ? Elle ne comptait plus ...

- Il ... a des pouvoirs puissants, begaya t'elle.

Elle se plaça aux côté de la jeune femme, tremblante, admirant Kuro tout comme ses armes. Cela lui allait bien. Elle avait une puissance bien à elle , unique, qui vous cloue au sol. Une puissance feminine, que les hommes ne peuvent avoir, avec cette habileté et cette agilité qui foudroie et charme.

- Je me nomme Erwane Wina. Mais on m'apelle Herma.

Elle eut un sourire, à nouveau, sentant le vent se lever. Une ombre noire apparut dans un coin, laissant passer un frisson de terreur en Erwane, et la terre doucement trembla, puis violemment, puis doucement ... De la terre surgit une sublime araignée noire, aux crocs acérén qui puait le venin à 10 kilométres à la ronde. Erwane voulu reculer, mais elle se retrouva au sol, maintenu par cette bête cruelle, ou plutôt par les fils lancés par l'araignée. Elle poussa un long cri, immobilisée, se débattant comme une folle, tandis que le vent soufflait un immense " Partez ! Laissez moi mon pantin " à Kuro.

Une veuve noire assez mastard avait prit au piège Erwane, elle entendit aussi une voix glaciale lui dire de laisser la jeune fille. Kuro fit un mouvement éclair et se trouva devant l'araignée les deux canons sur la tête de la bestiole. Deux balle partirent et l'arachnide partie en fumerole.

- Dit au lieu de te cacher comme un lâche, montre un peu ta gueule. Je voudrais te parler.

La chasseuse attendit un moment, rien, absolument rien. Kuro rompit le silence.

- Tu  sait  que la magie que tu utilises est dangereuse. Sache que j'en utilise une bien plus puissante que la tienne. Viens donc te battre par toi même si tu veus récupérer ton pantin, comme tu le dis si froidement.

La chasseuse ne pouvait pas blairer ce genre d'individu qui attaquait de manière lâche et sournoise. elle voulut relever Erwane, mais au moment où elle allait prendre sa main, quelque chose lui entailla l'épaule.

Erwane retomba lourdement sur le sol, un peu sonnée, et s'essuya le front du revers de la main. Que se passait-il ? Il tenait tant à elle que ça , au point de sacrifier une partie de sa puissance pour la garder ? C'était flatteur mais un peu gênant ... elle se releva violemment, et entendit un rire sourd dans l'air. Une forme sombre se materialisa derrière la jeune Erwane, et elle se retrouva avec une main sur le ventre et l'autre sur le cou, plaquée contre un homme. Elle reconnaissait sa respiration, son rire malsain et  son contact douloureux ... Il tourna légérement sa tête sur le côté, faisant craquer un à un les os de sa colonne verterable. Il hocha la tête, et fixa Kuro.

- Ainsi donc tu me prives de mon jouet, petite garce. Et  tu veux discuter avec moi ... c'est trop d'honneur !

Il eut un nouveau rire, leva une de ses mains et fit claquer ses doigt. Les pistolets de Kuro vinrent se poser gentiment entre les doigt de l'homme, et il adressa un immonde regard à la jeune fille. Il mit un pistolet dans chaque main, un sous le visage d'Erwane et rejetta l'autre à Kuro.

- Nous allons jouer un peu ma jolie ...

Il enclencha l'arme, prêt à tirer.

La situation n'était pas en faveur de la chasseuse, la phrase du type eut comme conséquence de faire sortir Kuro de ces gonds et il osait s'en prendre à Erwane. La chasseuse ne bougea pas d'un poil alors qu'elle étati visée

- D'accord pour jouer mais avant tu devrais savoir quelque chose, avorton. J'ai été payée pour enqueter sur toi et au vue de cette acceuille pour le moin explosif, je ferais un rapport indiquant les termes suivants : utilisation de magie interdite, sequestration, chantage à caractère magique, tentative de meutre et ...

Kuro refit un mouvement rapide et réssit à récuperer Erwane, malheureusement les lfingue crachèrent leur balles et la chasseuse se trouva avvuec une balle dans l'épaule. elles n'étaient que à cinq mètre du type.

Que tu me fais bien chier, gamin. Artemis !

La sacoche brilla et un katana turquoise apparut dans la main droite de la chasseuse. L'air vibrait et au moindre mouvement de la lame faisait un son lointain et pourtant peu rassurante. Kuro se mit en garde.

- Je te prierait de me rendre mes deux flingues, tu vas les salir avec tes mains souillé. Je n'aime pas la magie et c'est pour cela que Artemis est là, elle va te faire comprendre qu'une magie dois s'utiliser avec respect et non par envie personnel.

J'activa mon pouvoir, le tatouage apparut, il ne faisait aucun doute qu'il le reconnaitrait comme ma marque, en forme de lotus, sur le front, qui désignait les être maudits et qui devaient mourrir jeune. J'était furax contre ce type qui ne respectait rien, prendre un otage était lâche, prendre ces armes un suicide et traiter une fille de cette manière quelque chose qu'elle ne pouvait pas qualifier, tellement l'acte était impardonnable.

Il y eut un cris strident similaire au cri de l'aigle et un oiseau de glace, apparaissant d'où on ne sait où se posa sur l'épaule de Kuro, qui le gratta la tête avec sqa main libre.

- Heureuse de te revoir Shiva. On doit démolir ce petit humain, tu m'aides ?

L'oiseau déploya ces ailes et se positionna au dessus de Kuro prêt à proteger Erwane. Il s'agissait maintenant d'un duel entre Kuro et ce sale type. La chasseuse sentit son corps commencer à chauffer et suait, la balle ne faisait pas d'effet secondaire sur les humains, mais elle avait un effet pour le moins gênant sur la chasseuse, son corps ne savait plus gerer la chaleur et augmentait la tempreature du corps et elle perdait la faculter de faire des mouvement rapide, sous peine de se consumer toute seule.

L'homme eut un regard et un air hautain. Peste, elle savait se battre ! Elle avait là des armes destructrices, et un regard de tueuse. ce n'était pas une empoté comme sa chère esclave, incapable de se battre et de combattre, qui avait trop peur des coups. Il eut cependant un regard amusé, relevant les yeux. Il claqua des doigt, une cigarette apparaut au bord de ses lèvres.

- Je vois, je vois ... Tu es d'une puissance malsaine, petite. Tu me plais beaucoup ...

Il leva la main au dessus de lui, ses veines ressortant, et ses muscles se crispant, tandis qu'une sublime épée moyen-âgeuse apparaissait entre ses mains. Il eut un sourire en remarquant l'effet qu'avait sa balle, et son regard devint noir.

- Tu souffres, petite ? Quel dommage ...

Il claqua entre ses doigt, emettant un bruit sec et violent. La balle se mit à remuer, à bouger au fond de l'epaule de la jeune femme, avançant, reculant, remuant afin de la faire souffrir davantage. La lame de l'épée brillait.

- J'espére que tu te sens capable de te battre ... dit il d'un ton sadique.

Kuro ne fut pas du tout impressionée par ce petit tour de magie, par contre le sort qui fisait bouger la balle la faisait souffrir terriblement, mais au lieux de crier de douleur, elle s mordit la lèvre inferieur jusqu'au sang. La chasseuse sortie un Desert Eagle et tira une balle dans l'épaule en faisant ressortir les deux balles. elle ne souffrirait plus et pouvait refaire des mouvement rapide sans que son corps ne consume, bien que l'effet était toujours là bien que minime, mais elle perdait son sang en échange.

- Je ne suis pas capable de me battre, je suis capable de te tuer petit sorcier décrepit.

D'un mouvement rapide elel coupa le cigare du type et se remit à la place où elle était.

- Arrête de fumer tu vas te tuer la santé.

Elle eut un petit sourire.

- Alors ? Je t'attend, tu ne veus pas récuperer ton chère pantin, à moins que tu ne veuille autres chose, tu sais tous peu se résoudre, je préfère m'arranger avec les parties plutôt que d'utiliser ma force.

L'homme fit scintiller sa lame coupante, dangereuse. Il laissa tomber la suite du mégot sur le sol. Difficile d'impressionner une aussi forte tête ... il grogna un instant, faisant tournoyer dans sa main son épée, comme si elle était légére comme une vulgaire plume.

- D'accord, d'accord, je vois ...

Il toussa un instant, et claqua dans ses doigts trois fois. Trois claquements de doigt redouté de la jeune Erwane. Elle savait ce qu'ils signifiaient, elle ne le savait que trop bien. Quand il claquait trois fois ainsi, elle devait le rejoindre, aller le voir, le " divertir " comme il disait si bien. Quand il faisait cela ... elle fixa ses poignets. Des racines sortirent de sous terre et s'enroulérent autour de ses poignets tendres et fins. Elle eut un petit cri, resta muette de surprise quand elle sentit les racines la bloquer sur le sol. Elle releva les yeux vers son maître, et sentit d'autres racines s'enrouler tout autour d'elle. L'homme eut un sourire mauvais.

- Je te propose un deal, jeune chasseuse. Battons nous. Si tu gagnes, tu repars avec elle. Si tu perds, je la garde. Et ne tente même pas de couper ses racines, où un merveilleux poison touchera la délicate peau de cette chére Erwane pour la reduire à un tas de bouillie infâme ...  C'est ma derniére arme, cette chére plante. J'abats mes cartes. Toutes mes cartes ...

Il soupira un grand coup, regardant sa montre.

- Sachant que d'ici 10 minutes à peine, cette chére jeune fille ne sera plus qu'une amas de racines ...

Kuro étati vraiment dans une situation délicate. Elle vint voir l'état de sa protégée, rien de grave, mais la séve de la plante serait un ennuis. La chasseuse mis son doigt dans sa plaie et le déposa sur le front de Erwane. La plante ne réagit pas, normal, aucune aggression envers elle n'avait été portée. LE sang sur le front de la prisonnière se transforma en une faible lueur de lumière.

- Je vais t'éclater petit merdeux. Une info, trente minute, c'est le temps qu'elle dispose maintenant.

On pouvait voir sur la peau de la chasseuse des marques d'étreinte, les même que la plante ferais.

- Ne croit pas être le seul à posseder un peu de magie, même uin idiot peut en faire, pour peu qu'il sacrifie une chose.

Ce sort était très élémentaire, il s'agissait d'un transfert de blessure, mais le sang permettait de ralentir le déplacement de ces racine. Elle mit son katana en position droite et l'oiseau s'occuppais de relaxer Erwane avec une mélopée très douce .

D'un coup sans prévenir, Kuor attaqua, elle faucha devant elle, puis fit un mouvement éclair pour se trouver dans le dos de son adversaire et tenter de lui couper la tête et ceux sans ménagement, elle ne rencontra que le vide.