Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

vendredi 22 août 2014, 11:06:24


Lulu en mode tapineuse infiltrée.

Je ferai semblant de te vouloir pour ce qui est à l'intérieur de toi
Mais quand j'irai à l'intérieur je voudrai en ressortir aussitôt
Je suis ton premier et dernier dépôt pendant la maladie et en enfer
Je ne te promettrai jamais un jardin, tu ne feras que m'arroser
Lyrics de Slutgarden*

Au loin, au abord des quartier de la toussaints, à la juste limite de la zone industriel et des Docks... On peut entendre le claquement irrégulier des talons d'une femme sur asphaltage craquelé d'un trottoir. Cette femme... C'était une pute. Mais pas n'importe quelle gourgandine, les amis, Oh grand non ! Ce soir, la reine des putes, c'est plus que jamais notre adorable et sympathique Lucrezia. Ces belles jambes fuselées était ce soir mis en valeur par des bas résilles, surplombés par de belles cuissardes à talons en cuir noir et luisantes. Son déhanchée, toujours aussi provocateur, ne manquais pas, par moment, de dévoiler sa culotte rose bonbon, maigrement recouverte par une minijupe en cuir, moulant son gros derch à queue de la manière la plus bandante qu'il puisse être. Pour le haut, Lulu avait opté pour une sorte de brassière en latex recouverte par un manteau de fourrure rose pétante, rammstein inside motherfucker !* Elle s'était maquillée de sorte à ce que ses cicatrices soit quasi-invisibles et elle avait rehaussée tout son ensemble avec du maquillage violet/fushia pour les yeux et un bon gros stick à lèvres noir, pour sa bouche à pipe.

Elle trimbalait sur elle, un sac imitation peau d'jaguar avec tout ce qu'il faut à une pute pour bien travailler, un long chapelet de capotes (qui, soit dit en passant, était inutilement long, hein. Surtout que là où elle ce trouve, y'a pas masse de clients) une barquette de margarine, des seringues d’héroïne, un vieux godemichet noir de 25 cm, des p'tit cleanex et... bas c'est tout... Ah, si ! Son bon vieux rasoir de barbier, en cas de coup dur ou d'envie de meurtre pressente.

Bref, Lulu déambulait depuis prêt d'une heure dans cet endroit désert et, quelque peu fatiguée par sa marche, elle fini par s'adosser à un vieux réverbère, avant de farfouillait dans son sac qui sentait bon le parfum bad-game au notes archi-sucrées, Parfum dont lulu s'était aspergée le corps avant de partir en missions. Tiens, d'ailleurs, pourquoi elle faisait ça ? Et bien disons qu'elle était plus ou moins en recherche d'un homme pour la nuit, sauf qu'en sa qualité de tueuse en série ultra médiatisé, lulu pouvait pas trop ce permettre d'y aller habillée comme d'habitude vers les hommes... Donc du coup, elle c'était mis en pute. Ce qui, en plus de lui remplir le cul et la bouche, lui remplissait aussi le porte-feuille.

Enfin, toujours est il que notre Duchesse était entrain de farfouiller dans son sac à la recherche de... Un chewing gum ? Ouai, Lulu venait de sortir un gros chewing-gum saveur framboise, qu'elle s'empressa de prendre en bouche et de lentement mâcher de la manière la plus nonchalante possible. Faisant par moment, de grosse bulles, avant de les ravaler aussitôt.

Bon... Il arrive le client, là...

Lulu commençait à perdre patiente et en plus, pour couroner le tout, une très légère envie de pisser se mit à pointer le bout de son nez.



[HRP] * Le chanteur de Rammstein porte à peu prêt la même veste que lulu, quand il chante "Ich tu dir weh"
D'autre part, le titre me viens d'une musique de marilyn manson, qui porte le même nom.
Slutgarden is here ! Enjoy  :).



Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 1 samedi 23 août 2014, 02:48:45

*Traîne pas en route, Nattie-boy !*

La voix, encore et toujours elle. Raffermissant la prise de ses mains sur le volant, Nathan grogna.

« La ferme ! »

Parler à voix haute dans sa voiture en étant seul était très certainement le signe clair de sa schizophrénie latente sur le point d’exploser. Le policier roulait rapidement, circulant le long des rues de Seikusu, en s’enfonçant dans les profondeurs de la Toussaint. Il roulait à basse allure, voyant dans les ruelles, devant des restaurants et des cafés, une succession de putes et de prostituées asiatiques. La Toussaint était sous la coupe réglée des Guramu, et la prostitution était un trafic sur lequel Akihiro avait la mainmise. Nathan savait, par sa profession de policier, que ce trafic était actuellement le centre d’affrontements entre différents clans de Yakuzas, impliquant notamment la Mafia russe, qui voulait exporter sur le sol nippon les putes venues d’Europe de l’Est. Ces oppositions donnaient lieu à des bains de sang sanglants entre les différents gangs.

Nathan roulait rapidement, sortant de ce quartier. Les flics étaient en planque par ici, se faisant passer pour des clients, essayant de rejoindre des prostituées pour leur offrir de la protection en échange de leurs informations contre leurs macs, afin d’obtenir des informations suffisamment fortes pour démanteler ce trafic. Le policier n’était pas là pour ça. Il s’arrêta à un feu rouge, et sortit la petite flasque d’alcool située dans la poche intérieure de sa veste. Elle était déjà moitié vide, et il la considéra silencieusement.

*Tu crois que t’aliéner en t’aspergeant la gueule de cette saloperie aidera ta libido à aller mieux, Nattie-boy ? Tu crois que tout est de ma faute ? Tu as oublié ce qu’une symbiose signifie ?! Tu as autant envie que moi de chatte, d’une belle nana à qui défoncer le cul ! Alors, bordel, arrête de te comporter comme un putain de pédé eunuque, et accueille l’une de ces salopes !*

Fermant les yeux, Nathan avala une autre partie de la flasque, et soupira. L’alcool le fit trembler, comme si sa bouche était en feu, mais la voix insipide et caverneuse de la Bête en fut noyée. Il soupira à nouveau. Le feu était passé au vert, mais Nathan ne bougeait pas, et il y avait une femme à côté, une prostituée maquillée de partout, et qui semblait à peine avoir acquis la puberté. Voyant que la voiture ne démarrait pas, et que le moteur était toujours en route, elle commença à se rapprocher. En grognant, Nathan démarra à nouveau.

Il ne s’était pas rasé depuis plusieurs jours. La Bête avait parfois des remontées d’hormone, et lui... Et bien, lui, il était toujours désespérément seul. Les films pornos bas de gamme qu’il se matait dans son appartement ne suffisaient guère à retenir la soif de la Bête. Hier soir, Nathan avait également roulé dans le quartier, mais n’avait embarqué aucune pute, suscitant la rage de la Bête, une rage si forte que, aujourd’hui, il avait failli serrer une jeune stagiaire dans un placard à balais. Il s’était retenu de justesse devant ce cul insolent, un véritable appel au viol, et continuait à nouveau à rouler dans la ville, se maudissant, et se dégoûtant lui-même de sombrer devant ses instincts primaires.

*Merde, t’as vraiment les couilles atrophiées, Nattie ! Défoncer des culs, j’vois pas ce que ça a de mal ! Si j’étais l’âme dirigeante de votre pays de merde, j’imposerai même des séances de culs obligatoires, afin de renforcer les liens entre les gens. C’est la meilleure arme contre la dépression, alors, pour la centième fois, cesse d’agir en vieux baltringue eunuque, trouve-toi une pute, et laisse-moi lui péter le cul sévère !*

Tout en finesse et en poésie. Nathan soupira, et continua sa route, s’engageant dans une autre partie de la Toussaint, près de la zone industrielle et du port... L’endroit le plus triste de la ville. C’était un quartier qui avait souffert des dernières crises économiques, et plusieurs usines avaient fermé, appauvrissant tout le quartier. Squatteurs, toxicos, fugueurs, hantaient cette partie de la ville. Nathan s’avançait lentement, ne voyant rien de plus que des clodos... Jusqu’à ce que ses phares englobent le corps d’une femme. Elle portait un blouson, une minijupe, et un lourd soutien-gorge noir en latex. Une pute hors-concours. Et elle ne ressemblait pas à une putain de gamine de 13 ans. Ça, même pour la Bête, ce n’était pas fun. Il voulait des formes, lui ! Des femmes solides afin d’endurer la passion du sexe !

Nathan sentit sa queue le tancer à nouveau, et soupira lentement. Il ralentit, à tel point qu’il dut rétrograder en première vitesse, et s’arrêta devant la femme, ses pneus frôlant le trottoir.

*Putain, putain, mais qu’est-ce que je fous, là ?!
Ce qu’il faut faire, Nattie !
Je ne devrais pas faire ça...
Merde, cette pute est une putain de salope ! Elle bosse en Solo, c’est pas le quartier des clans ici ! Baise-là !!
*

Le policier soupira à nouveau, et abaissa la vitre du côté passager, puis appuya sur le bouton commandant l’ouverture automatique des portes. La porte côté passager s’entrouvrit, pour laisser la femme rentrer.

La disgrâce totale.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 2 samedi 23 août 2014, 13:22:37

Enfin. Après une heure sans la trace d'un seul potentiel client, une voiture dédaigna enfin s'arrêter à auteur de notre Duchesse Elle arqua un sourcils en éclatant une bulle de chewing-gum, avant de le ravaler bien vite
Elle put alors voir la vitre du coter passager se baisser, entendant par la suite le "clac" de l'ouverture des portes
Cet homme était visiblement très intéressé par notre psychopute et il avait bien raison, Lucrezia était une pure bombasse, un doubles lots de salopes et une pompeuse hors pairs, magnifiquement mise en valeurs par sa tenue de catins qui moulait à merveille son cul et ses nibards de déesse.

Lulu s’avançât donc vers la porte, en ce déhanchant de la manière la plus lascive possible, toute en mastiquant son chewing-gum avec nonchalance, en prenant bien soins de jouer avec ses lèvres et sa langue, afin que son client ais une bonne grosse trique, bien raide. Un fois au niveau de la fenêtre, Lucrezia se penchât allègrement, laissant à la vue de ce Bel homme, son opulente poitrine. L'homme qui était au volant était plutôt bien foutu, un peu mal rasée, bien bâti... Ouai, Lulu avait à faire un type qui, rien qu'a son allure, transpirait la virilité à plein nez. Un type un peu dans le même genre que cet Ulrik, ce bel inconnu venu de nul part et qui l'avait ramoné avec son "gros furet" dans tout les sens possible. Aaaaah... cet Ulrik... Quel homme. Enfin bref, là, pour l'heure, Lulu avait un autre chat à fouetter et autant dire qu'il était plutôt pas mal, donc autant y aller.

Salut mon roudoudou, tu veux de moi ce soir, hm ? lâchât elle lascivement en lui faisant un clin d’œil aguicheur.
Aller... Je grimpe chérie, on discutera après.

Elle lançât un vague petit coup d’œil aux alentours, avant d'ouvrir la porte, de s'asseoir à sa place et de refermer le tout derrière elle.

Aller jolie cœur, emmène nous dans un petit coins tranquille, tu veux bien ?

En disant cela, elle avait posée sa mains gauche sur la cuisse de ce bel homme au charme des plus ténébreux. Le désir commençait à lui brûler le bas ventre et autant dire qu'une très légère odeur de chatte commençait à se rependre. Ce soir, Lulu avait vraiment envie de niquer.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 3 samedi 23 août 2014, 20:03:00

*J’la sens pas, cette nana, Nattie-boy... Les putes traînent pas dans ce quartier, ça sent le coup fourré. Tu crois qu’elle va essayer de nous planter ? De nous voler ? Héhé, ce serait fun, ça !
Ferme-là !
Hey, man, peace and love ! Je suis ton pote, et tu es le mien, tu sais comment ça marche !
*

Nathan vit la femme s’avancer lentement, ses seins opulents jaillissant dans la fenêtre. Il avait regardé prudemment autour de lui, et n’avait vu aucune trace d’un quelconque mac. Une free-lance avait peu de chance de percer dans le trafic de la prostitution. Si elle commençait à piquer trop de clients, les Yakuzas viendraient, soit lui proposer de bosser pour eux, soit lui casseraient les deux genoux et découperaient son corps dans une usine de pâtés pour chiens. Nathan vit la femme se pencher vers lui, lui faisant un clin d’œil outrancier... Et il en vint à se dire que, pour se farcir une telle traînée, il fallait vraiment être au bout du rouleau. Ainsi, tandis qu’elle s’installait tranquillement, il sortit à nouveau sa flasque de la poche intérieur de son veston, et but une nouvelle rasade.

Bavarde, elle posa une main sur sa cuisse droite, et son regard croisa le sien. Nathan était assez méconnaissable. Sa barbe poussait plutôt vite, et il se l’essuya du revers de la manche, enlevant les traces de bière qui figuraient dessus, puis lui parla rapidement, d’une voix rauque, légèrement éreintée par l’alcool et par la présence de la Bête en lui :

« Ferme-là, chérie... Et retire ta main de ma cuisse, je n’ai plus accès au levier de vitesse. »

Il soupira, et démarra rapidement, en grognant.

*Sois pas si ronchon, Nattie-boy, cette salope a envie de se faire défoncer, et on va pleinement la satisfaire ! Héhé, ça ouais !!*

Le policier était trop patraque pour reconnaître cette femme, ou pour simplement s’intéresser à elle. S’il n’avait pas l’esprit autant embrumé, et en proie à une lutte interne, il aurait peut-être reconnu, malgré le maquillage et le changement de coiffure, le visage sévère et strict de la Duchesse. À son corps défendant, la Duchesse était normalement censée être morte, et il n’avait jamais été chargé d’enquêter sur elle. Tout ce qu’il voulait, en ce moment, c’était soulager sa queue. Il roulait lentement, dans des rues désertiques, et le parfum enivrant de cette femme montait à ses narines... Ou alors, c’était simplement la putain de Bête en lui qui le narguait. Quoi qu’il en soit, Nathan avait une brusque remontée de testostérone, et s’arrêta en plein milieu d’une rue sombre dans le quartier portuaire.

Il tourna sa tête vers la femme.

« Okay, c’est le moment de te distinguer, darling. J’sais pas combien tu prends pour une pipe, et je m’en fous. Je te double la mise si tu me fais une pipe là, tout de suite. »

Une main sur le volant, l’autre avait déboutonné sa ceinture, ne tardant pas à exhiber son mandrin. Il avait un sexe assez gros, un effet secondaire du fait de posséder en lui la Bête. Sa main alla ensuite saisir les cheveux de la femme, afin de la guider vers son membre, et il se remit à démarrer, tenant le cerceau d’une seule main pour l’heure. Changer de vitesse l’amena à frotter le frein à main contre les seins de la femme, ses doigts heurtant ce délicieux latex. Il en frissonna.

« Putain, ma salope, soupira-t-il alors. J’ai une de ces envies de te baiser... »

Ça le démangeait même sévèrement !
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 4 samedi 23 août 2014, 21:29:11

« Ferme-là, chérie... Et retire ta main de ma cuisse, je n’ai plus accès au levier de vitesse. »
voilà qui n'était pas très gentil, ce qui amena d'ailleurs Lucrezia à légèrement froncer les sourcils en affichant une petit mou mécontente. Elle retira donc sa mains, avant de se murer dans un silence, à de rares occasion troublée par ses mastications et ses bulles de chewing-gum. Mais c'est alors qu'en plein milieu d'une rue mal éclairée, le belle homme vint enfin à se montrer sous son vrai jour.

« Okay, c’est le moment de te distinguer, darling. J’sais pas combien tu prends pour une pipe, et je m’en fous. Je te double la mise si tu me fais une pipe là, tout de suite. »

Il la regarda, elle le regarda et... Et hop, le bel homme vint à sortir sa verge de son emballage, une bel queue bien épaisse, mais encore un peut flacide. l'inconnu vint ensuite à attraper Lucrezia par les cheveux, amenant alors sa bite juste sous le nez de notre Psychopute. Le jeune femme huma se sexe, puis,  elle s'en saisie au niveau de sa base en le décalottant bien comme il faut, mettant à nue son gland turgescent, qui ne cessait de croître et de gonfler.

HmmmMmMmM... Ggghmmmm

Et voilà, elle venait de le prendre goulûment en bouche, tendis que cet homme conduisait tranquillement à travers les rues sombres et sordides de la zone portuaire. Seigneur... Que son "levier de vitesse" était bon ! Elle le sentait pulser dans sa bouche, tendis qu'elle empruntait faiblement un mouvement de vas et viens, renforçait par un pompage assidue et gourmand. Elle put alors entendre l'homme soupirait sous ses soins, ce qui, en sois, n'était pas vraiment une surprise, Lucrezia ayant depuis longtemps, une terrible réputation de suceuse.

HmmmMmM... Avait elle alors soupirait, avant de sortir cette énorme queue, luisante de salive de sa bouche et ce, dans un bruit de succion particulièrement audible. La faisant ensuite frotter contre sa joue et ses lèvres.
Lucrezia avait toujours son chewing-gum en bouche et elle fit un belle bulle, avant de se remettre à lécher se mont de chair, particulièrement appétissant puis de finalement, le remettre bien au chaud dans sa bouche, le pompant ainsi avec hardeur et dévotion.

Rapidement, elle mis l'un de ses seins à l'air, afin que l'homme, s'il le désire, vienne faire un petit "pouet-pouet".
D'autre part, l'odeur de la chatte à Lulu commençait à emplir tout l'espace de la voiture... Une chance qu'elle ce soit lavée.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 5 mardi 26 août 2014, 01:27:39

Une main sur le cerceau, l’autre avait péniblement réussi à passer la deuxième, tandis que son invitée était en train de le sucer en mastiquant son putain de chewing-gum. Quand Nathan était dans ses mauvais jours, le résultat n’était pas très beau à voir, et la patience n’était pas l’un de ces forts. Il était alors autant un danger pour les autres que pour lui-même... Mais surtout pour les autres de l’autre sexe. La pauvre femme risquait d’en faire les frais si elle continuait à le faire chier avec cette saloperie de chewing-gum qu’elle avait mastiqué comme une morfale se faisant les dents sur un Big Mac après quinze jours à bouffer des merdes d’haricots verts avec des salades niçoises. La main de Nathan se crispa sur le volant, et il réussit à abaisser le frein à main  en frottant les seins, puis releva sa main, la posant sur la tête de la femme, veillant ainsi à ce que cette dernière ne s’éloigne pas trop de son mandrin.

À son corps défendant, cette salope se débrouillait plutôt bien, et il enfonçait généreusement sa verge dans sa bouche. D’un autre côté, Nathan était tellement en manque ce soir que même une petite vieille ayant perdu toutes ses dents aurait suffi pour qu’il lui éjacule dans la gueule. Il était comme un véritable dalleux en manque de sexe, et, en sentant le plaisir affluer, en sentant ce plaisir venir, sa vision se voila légèrement, et il perdit brièvement le contrôle de son véhicule. Le côté droit du véhicule frotta contre le trottoir, et il fit une brusque embardée à gauche, partant sur une rue adjacente. Il y avait un pont suspendu pour les piétons, une succession d’immeubles tristes et étroits. Il freina en s’approchant d’une petite rue sur la droite, et bifurqua là-dedans. Dans sa tête, il se disait que c’était vraiment cool de se faire sucer la queue en train de conduire. Oh ouais, putain !

Et, comme pour l’énerver, la salope fit à nouveau claquer sa bulle de chewing-gum. Un grognement mécontent s’échappa des lèvres de Nathan, qui força à nouveau sur la nuque de la femme. Son sexe était recouvert de la salive de cette femme, et continuait à s’enfoncer en elle. Il n’avait pas baissé la tête, se concentrant sur sa conduite. La rue les amena le long du port, et il grilla allègrement un panneau « STOP » en s’engageant dans une rue plus grande, qui longeait le port. La prostituée continuait à avaler sa queue avec talent, enfonçant sa verge dans les profondeurs de sa bouche. Elle tapait contre sa gorge, et il continuait à lui maintenir la tête, roulant jusqu’à trouver une entrée dans le port.

Freinant à nouveau, il enfonça la pédale d’embrayage, et sa main retourna, tant bien que mal, s’agripper au frein à main. Il sentit l’un des seins de la femme, son téton glissant entre ses doigts. Il remonta le frein à main, glissant en première. La voiture tressauta, et sa queue glissa dans la bouche de la femme, s’enfonçant dans sa gorge quand Nathan atteignit les ralentisseurs marquant l’une des entrées du port. Il n’y avait pas de portiques de sécurité, et il s’engagea dans les allées du port, jusqu’à s’arrêter devant un entrepôt.

« Haaa... La vache, t’es douée, ma chérie ! »

Il posa sa main sous sa voiture, et leva le levier, permettant de reculer le fauteuil. Son sexe se retira de la bouche de la femme, et il put voir qu’il y avait, dessus, des traces de maquillage noirâtres. C’est bien ce qu’il pensait : cette nana était carrossée comme une voiture volée.

« Allez, danse sur moi, ma chérie... Et jette-moi ce putain de chewing-gum ! »

Il écarta légèrement les cuisses, comme pour l’accueillir contre lui.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 6 mercredi 27 août 2014, 15:33:33

Les lèvres pulpeuses de notre tueuses filait lentement sur cet appétissant mandrin. L’enserrant avec gourmandise et passion, afin d'en extraire le délicieux liquide blanchâtre dont lulu raffole tant. Cette dernière poussait de petit gémissement de plaisir afin d'attiser l'excitation de son client, mais ce dernier ne semblait pas trop la regarder... A un moment, la voiture tressauta, ce qui eu pour effet d'enfoncer d'un coup sec la queue de l'homme au fond de la gorge de lulu, ce sur quoi la jeune femme hoqueta un coup avant de se remettre à goulûment sucer cette belle bite. L'homme arrêta par la suite son véhicule, avant d'abaisser son siège, libérant ainsi sa queue du fourreau bien chaud et baveux de notre tueuse.

« Allez, danse sur moi, ma chérie... Et jette-moi ce putain de chewing-gum ! » Lui avait il demandé, avant d'écarter les jambes.

Lucrezia se mordit les lèvres en le regardant, le regard emplis de vice et d'impatience. Seigneur, qu'elle en avait envie ! Enfin ! Enfin, elle allait pouvoir se faire baiser ! C'est alors avec qu'une certaine grâce que Lulu enleva sa culotte, avant de venir poser  ses mains contre le torse de ce beau mâle en rut, amenant par la suite son corps juste au dessus du siens. Elle put sentir le gland humide et chaud de l'homme frotter contre ses lèvres dégoulinantes de cyprine, cyprine qui venait alors s'écraser en petites gouttes sur le jeans de son client. Lentement, en ne quittant pas l'homme du regard, Lulu se mis à prendre un petit air innocent de gamine, tout en entortillant l'une de ses couette autour de son index, avant de délicatement sortir son chewing-gum de sa bouche  à l'aide de son autre main, afin de le mettre dans le cendrier.

J'aime jouer avec la quéquette des beaux messieurs inconnus ♥

Avec une certaine taquinerie, Lulu fit frotter ses lèvres intimes contre le gland de cet amant, avant de finalement, se mettre bien en position, soit, les deux mains mises sur les abdos du client et  les jambes bien écartées en mode "grenouille". Ce sur quoi, Lulu vint à lentement relever son popotin, afin de se mettre le plus possible en alignement avec le mandrin de son homme. Par la suite elle fit lentement descendre ses lèvres vers le bel obélisque de chair, fièrement au garde à vous, prêt à ce faire engloutir par "la bouche du bas" de notre Duchesse. Le geste étant lent, doux, sensuel et oh combien jouissif, pour Lulu du moins, cette dernière pus sentir le gland de l'homme s’immisçait petit à petit en elle, écartant délicatement son antre chaude et suintante de cyprine. Là, la bouche ouverte et les yeux mis clos, Lucrezia commençât à pousser de petit "ha", "oh" et "ouh" de plaisir. Et une fois à mis parcour, VLAM ! Lulu s'empala entièrement sur le vit de l'homme et ce, dans un grand râle de plaisir.

Aaaaaaaaah... ah... haaaaan... Entreprit t'elle de dire en se déhanchant lentement sur l'homme, mettant au passage, ses deux seins à l'air libre.

Tètent mes gros seins baby, suce les moi comme j'ai put de sucer ta grossehaaaannn... Bite !

L'homme était certes un peu distant avec Lulu, mais il avait au moins le mérite d'avoir un mandrin des plus... jouissif.
« Modifié: mercredi 27 août 2014, 19:00:44 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 7 vendredi 29 août 2014, 01:24:32

Elle se rapprocha lentement de lui. Le pauvre homme avait toujours l’esprit embrumé, peinant à se contrôler, peinant à comprendre ce qui lui arrivait. Dans sa tête, tout se mélangeait, tout se confondait, et le sexe devenait un halo de lumière dans l’obscurité ténébreuse de ses pensées. Sa femme, sa situation, le fait d’être au Japon... Tout était si indécis, comme son alcoolisme, sa dépression latente, le fait que Sylvie soit une psychopathe dont il n’avait plus de nouvelles depuis des semaines, le sentiment d’être devenu un rat de laboratoire pour le gouvernement... Sa queue douloureuse était comme un phare dans cet océan troublé. Si son esprit n’avait pas été si épars, si ses pensées n’étaient pas si confuses, et s’il ne se sentait pas sur le point de fondre en larmes derrière son agressivité, son instinct de flic lui aurait soufflé qui était vraiment cette femme... Mais la Duchesse était toujours considérée comme morte, les quelques meurtres récents reprenant son mode opératoire étant pour l’heure attribués à des imitateurs. Le sexe, d’un autre côté, était quelque chose de simple, et de clair. Une envie pressante, un besoin de niquer et de tringler une nana. Pas de sentiments, il voulait juste se vider les couilles, et trouver un palliatif à son cœur en morceaux. Il était une épave d’alcool, et, sans la Bête, sans les pulsions préhistoriques qui remontaient dans son corps, il serait en train de boire dans son appartement miteux... Mais, d’un autre côté, s’il n’avait pas la Bête, il serait toujours à Seattle, avec Sylvie, et ils auraient eu un enfant.

Son esprit pensa encore à elle le temps que la femme se déplace, mais, quand les lèvres intimes du con de la femme frottèrent son sexe, il soupira faiblement, voyant son corps langoureux, gracieux, ses formes généreuses. Elle s’empala sur lui lentement, et il soupira, son mandrin disparaissant en elle, englouti dans son corps. Une main caressait le dos magnifique de cette femme, et l’autre appuya machinalement sur un bouton de son autoradio, enclenchant sa playlist personnelle.

Elle s’était totalement empalée sur lui, après avoir pris son temps, et il soupira, basculant sa tête en arrière sous la vague de plaisir, tandis que son autoradio se mettait en marche, enclenchant la première piste de son CD. Go All The Way des Raspberries s’enclencha. Une musique appropriée : la BBC l’avait censure à l’époque à cause de ses lyrics, très suggestifs d’un point de vue sexuel.

« Hum... Putain, ouais... » soupira-t-il.

Son siège était en train de craquer, et la tête de la femme heurtait le plafond de sa voiture. Lui avait foutu une main contre sa minijupe en latex, serrant son beau cul, et, quand elle lui demanda de sucer ses lourds seins, il ne se fit pas prier, et s’avança. Cette nana avait de ces nibards ! La vache...Il en prit un en bouche, et le suça fortement, sa langue glissant sur son téton. Une main sur ses fesses, l’autre grattait le haut du dos de la femme, remontant pour caresser sa nuque, tirant légèrement sur ses cheveux. Son membre se perdait en elle, bien au chaud, et il suçait activement son téton, « tétant » à sa manière, en jouant avec son téton. Sa langue glissait dessus, et il mordillait sa belle peau. Nathan soupirait lentement, ses vêtements commençant à le serrer.

Il libéra les fesses de la femme, et entreprit de déboutonner sa chemise blanche, qu’il portait sous sa veste. Malheureusement, du fait de la proximité de la femme, ses gestes étaient imprécis, mais, à plusieurs reprises, ses doigts heurtèrent ceux de la femme. Il aurait pu libérer son sein pour lui dire de le faire, mais il espérait que cette femme le comprendrait toute seule. Elle était après tout censée être une professionnelle, non ? Plutôt que d’envoyer cette main dans son dos, il choisit de la poser sur son autre sein, pinçant ce dernier, ses doigts s’enfonçant dans ce généreux mont de chair, son pouce et son index venant pincer ce téton.

Mine de rien, il se sentait mieux, car la soif de la Bête était apaisée.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 8 vendredi 29 août 2014, 18:45:46

Lulu se déhanchait lentement sur cet homme en poussant de  petits gémissements entrecoupait de soupirs. Il faut bien avouer qu'elle avait là, un magnifique spécimens entre les cuisses, une belle queue, aussi raide que la justice ! Et dieu sais que la justice, Lulu la connais... Quoique avec elle, elle avait était plutôt molle. Enfin, là n'était pas la question, pour l'heure, Lulu, sous couvert de son excellent costume de psychopute, était entrain d'agréablement prendre son pied. Ce beau mâle lui mordillait amoureusement le sein en éprouvant son corps de succube meurtrière, sur fond d'une musique, rock'n'roll. l'homme tentât bien de défaire  sa chemise, mes finalement, il laissa bien vite tomber l'affaire, préférant se rabattre sur l'un des nichons de Lulu. Cette dernière émit un léger sourire, avant de délicatement poser ses doigts sur le torse de l'homme afin de finir le déboutonnage qu'il avait entreprit de faire. Elle retira un à un les bouton, mettant par la suite les beaux abdos et les pectoraux saillants de son clients à l'air libre.

HaaaAAaa... que... Que voilà un bien beau spécimens... haaaa....

Lulu remuait son cul-cul d'une manière des plus sensuelle, se cambrant avec grâce sur ce bel étalons d'un soir. Doucement, elle vint à se coucher sur l'homme, avant de ce mettre à lui lécher le corps, suçant amoureusement se torse viril, déposant ici et là, plusieurs suçons rendues plus noirs encore à cause de son stick à lèvres. Les lèvres de la Duchesse remontèrent ensuite au niveau du cou de son client et alors qu'elle lui refit un long et langoureux suçons, elle accentua le remonter et la re-descente de son bassin sur le sexe de l'homme, s'enfonçant par moment sur son vit avec violence et ce, dans un claquement des plus obscène. La verge titanesque de son amant était tout bonnement un putain de mat de bateau ! Et Lulu n'avait aucun mal à jouer dessus, faisant par moment couiner les suspensions de la voiture et craquer le siège conducteur de ce cher monsieur. Une chance que nos deux protagonistes soit seuls au alentours, car là, ils n'étaient pas très discrets...

Haaan... Promet moi de t'occuper de ma rondelle, HAAaaaaAAnmmmmmmmh.... baby... Lui avait elle dit en lui mordillant par lui suite le lobe de son oreille gauche.

Cet étalons avait tout du type d'homme que Lulu aimait. Et ce soir, elle était prête à faire des heures supplémentaires... Payées en nature, bien entendu.
« Modifié: vendredi 29 août 2014, 18:53:09 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 9 dimanche 31 août 2014, 01:50:03

Les Raspberries peinaient à donner la réplique face aux hurlements de la pute. Elle se dandinait contre lui, et alla le déboutonner, exhibant son torse en écartant sa chemise, s’y débrouillant mieux que lui. Les boutons le gênaient, il n’avait pas réussi à les enlever. Tout fondait dans son esprit, autour du con de cette femme. Il était en train de la pilonner... Ou, plutôt de se faire pilonner. Elle se pressait contre lui, léchant sa peau, suçant son corps, se frottant lascivement. Lui leva l’une de ses mains, empoignant les cheveux de la femme, soupirant lentement, piégé entre elle et le dossier son fauteuil. Le désir le dominait, rythmant les battements nerveux qui agitaient son corps. Elle glissait sur lui, jusqu’à totalement s’empaler, toute sa queue disparaissant en elle. Pour le coup, il admettait volontiers qu’il était plutôt bien membré. La Bête n’aimait pas les petits calibres, et il savait que, avant d’avoir en lui ce monstre symbiotique ancestral, il avait eu un phallus moins gros... Ou alors, c’est que, auparavant, la taille de son pénis ne l’intéressait pas. Il aimait Sylvie, à cette époque, et rien d’autre n’avait d’importance. Maintenant, il se tapait une pute dans sa bagnole, une pute maquillée comme une voiture volée, qui piaillait comme une hyène en furie en se dandinant sur sa queue. Qu’était-il devenu ? Dans sa tête, il sentait encore des substrats de conscience se plaindre, le harcelant, lui rappelant que ce n’était pas ça qu’il était censé faire. Il fallait retrouver Sylvie, la soigner, et se soigner, supprimer ce maudit symbiote, puis retrouver une vie normale.

« Hummm... »

L’homme releva le visage de la femme, et l’embrassa, plaquant ses lèvres contre les siennes. Son parfum lui agressait les narines, son maquillage lui pétait à la gueule comme un putain de projecteur. Le baiser était intense, profond. Il bandait comme un taureau en rut, comme un vieux détraqué sexuel qui avait besoin de sa dose. Nathan se déplaça légèrement, remuant son corps, en conservant une main sur le cul garni de cette pute. Le dos de la femme heurta son volant quand il se déplaça, déclenchant le klaxon, qui hurla au milieu du port. La voiture continuait à remuer, comme dans un mauvais film érotique... De gauche à droite. Elle dansait de plus en plus sur lui, afin d’accompagner les mouvements de sa verge. Il faisait une putain de chaleur à crever, sa queue lui faisait un mal de chien, et, de plus en plus, Nathan ne ressentait qu’une seule envie, dominatrice, englobant peu à peu toute sa psyché : baiser cette sale truie comme la dernière des putes... Ce que, techniquement, elle était. Elle devenait une femme-objet au service de l’appétit insatiable de la sexualité débridée de Nathan, l’ensemble s’exprimant par son vit tendu et turgescent, qui se perdait en elle, ramonant les tréfonds de son corps.

Il retira ses lèvres de la sienne, plaquant sa tête contre le dossier. Elle portait des espèces de nattes à la Barbie... Mais elle n’avait rien d’une gentille petite fille. Elle se dandinait sur sa verge, se trémoussait sur sa queue, se pressait contre lui, et elle lui avait demandé de la prendre par le cul, de la sodomiser... De l’enculer bien fort. Quel était le mot exact qu’elle avait employé, déjà ? Ah oui, s’occuper de sa rondelle !

« T’in... T’inquiètes pas, chérie... Je vais m’occuper de toi bien comme il faut, humm... »

Pour l’heure, il avait juste envie de la baiser, de la défoncer bien fort. Le reste, en l’état, était sans importance. La voix de sa conscience se réduisait à un discret murmure, et il continuait à pincer ses fesses. Il ne comptait pas la sodomiser dans sa voiture, car l’habitacle restait un peu petit... Mais il ne l’avait pas amené au port pour rien non plus.

Il allait lui refaire le pont et la lunette arrière. Sans problème même, c’était compris dans le forfait.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 10 lundi 01 septembre 2014, 13:21:49

L'homme embrassa langoureusement Lucrezia, puis il lui affirma qu'il allait s'occuper de sa jolie croupe "bien comme il faut". Voilà qui était plutôt réjouissant pour notre tueuse, elle qui aime tellement se faire sodomiser comme une folle dans des endroits insalubres. La chaleur commençait a se faire lourde dans l'habitacle de la voiture, ce mêlant au effluves corporelles et au parfums sucrée de La Duchesse. Cette dernière se mit à légèrement bouger , amenant alors ses seins juste en fasse du visage de son amant, tendis qu'elle continuer a fortement se trémousser sur le vit gonflé de désir de ce bel étalons. Les reins de Lulu jouer une bien jolie valse sur le corps de cet homme, adoptant une très forte cambrure à chacun des vas et viens de Notre Psychopute sur le corps de son client.

Haaaan... HAnnn... oui... oui... comme ça... hmmmmmMmm !

Lucrezia ferma ses yeux en se mordant les lèvres de plaisir, dieu que c'était bon ! La Duchesse poussait de petit gémissement tendis qu'en fond, la musique que l'homme avait mise venait de se terminer, passant à une autre piste que Lucrezia ne connaissait pas plus que la première et puis franchement, là, elle s'en foutait. Les seins de la jeune femme prenait un malin plaisir à caresser le visage de cette homme d'un soir, se dandinant odieusement devant ses nez, comme s'il le narguer, pendant que son vit, lui, était bien au chaud dans la chatte humide et doucereuse de Lucrezia. Depuis son retour des tréfonds de Seikusu, elle n'avait pas eu de réel rapports avec un homme, pas même une fellation au travers d'un trou, nan, rien de rien. Elle s'était contenter d'assouvir ses désir les plus horribles, en tuant, le soir de sa remonter, une pute, pute que Lucrezia avait vraiment (mais alors vraiment) salement arrangée. comme si les deux mois d'abstinence c'était d'un seul coup déverser sur cette pauvre femme. Lucrezia l'avait littéralement défigurée, lui crevant les yeux en lui tailladant le visage avec son rasoir, avant de mutiler son corps et de rependre les organes partout autour de la scène du crime, avant d'inscrire les mots "from hell" en lettres de sang sur l'un des mur qui ce trouvait là. Les autorités policières ignorait que Lucrezia était toujours en vie... Mais au seins de la police et de la populations, le fait que personne n'ais retrouvé le corps de lulu, suffisait à semer un certain trouble. Lucrezia avait aussi fait une autre victime, une gamine. Cette fois, elle avait pris tout son temps et elle avait fait sa bien, plus proprement que le soir où elle avait tuée la pute. il n'y avait pas eu d'entaille, juste une belle éviscération et plusieurs mutilations au niveau de sexe. Le liens entre les deux victimes, c'était bien évidement, la disparitions de leur utérus et c'est bien ce petit détail qui poussait les autorité à penser à un imitateur, tendis que d'autres, pensait tout simplement qu'elle était de retour.

Mais pour l'heure, le seule délit que Lulu faisait, c'était de niquer dans un lieux publique avec un homme dont elle ne connaissait rien. Cela faisait à présent une bonne petite quinzaines de minutes que notre couple se faisait chaudement l'amour  et plus lucrezia sentait cette énorme vit frémir en elle, plus elle se rapprocher de l'orgasme.

Je... Je crois que... Je vais jouir baby... HaaaAAAnmmmmm


Lucrezia se déhancha de plus en plus vite et avec plus d'ardeur encore sur le mont de chair de cet homme. Elle pouvait sentir les pulsation cardiaque de ce dernier au travers de son énorme sexe chaud et virile, un putain d'mandrin qui lui emplissait la chatte comme jamais ! Oh seigneur, Lulu se mis à contracter ses muscle et là, elle put  sentir la moutarde lui monter au nez ! Dans un ultime mouvement de rein, Lulu fit glisser sa chatte jusqu'au gland de l'homme, avant de violemment venir se ré-empaler dessus dans un immense râle de plaisir.

Haaaaaa... Haaaa...

Le corps de Lulu était parcouru de frissons, tendis qu'elle, la bouche ouverte et les yeux clos, elle appréciait chaque petites secondes de ce pur instant de jouissance.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 11 mercredi 03 septembre 2014, 01:57:30

Cette femme dandinait ses seins sous ses yeux, et il rapprocha sa bouche, allant les embrasser et les sucer. Sa bouche titilla son téton, mordant sur sa chair, tirant dessus avant de la relâcher, faisant claquer sa poitrine. Le policier soupirait lentement, dans un tel état qu’il aurait été incapable de reconnaître sa femme s’il était sous son nez. Impossible pour lui de reconnaître la Duchesse. Il ne voyait qu’une pute bien garnie, qui agissait en-dehors des circuits normaux, sans la présence d’un mac. Elle ne risquait pas de faire de vieux os dans cette situation, mais il s’en moquait. Pour l’heure, il avait juste envie de la baiser, et ce sexe tendu s’enfonçant dans son corps était une chose magnifique. Il déplaça son autre main, celle qui ne s’attaquait pas à l’autre sein de la femme, pour serrer ses fesses, les pressant et les pinçant, donnant quelques petites gifles. Les proportions de cette femme étaient superbes, tout simplement. Il savourait son contact, savourait les gémissements de cette femme, savourait son plaisir.

Elle finit par s’abandonner en elle, par jouir longuement, se déversant contre sa queue. Nathan le sentit, grâce à la Bête. Elle mouillait déjà, mais, quand elle eut un orgasme, le policier la sentit, se déversant longuement, en ne criant même plus, se contentant de savourer son orgasme. Lui était en telle sensation de manque qu’il se déversa également en elle, crispant alors ses deux mains sur les fesses de la femme, pétrissant son cul en jouissant longuement en elle, envoyant son sperme se déverser dans son organisme.

« Hum... » soupira-t-il ensuite en basculant sa tête en arrière.

C’était délicieusement bon, et jouir venait de le soulager un peu. Il cligna lentement des yeux, avant de regarder cette femme. Dans l’obscurité de l’habitacle, il vit ses longs cheveux bleus, et fronça lentement les sourcils. Des cheveux bleus... Récemment, la police avait trouvé deux cadavres qui rappelaient le mode opératoire de la Duchesse. Ces meurtres n’avaient pas encore réussi à sortir au public, et la police maintenait officiellement la thèse d’un imitateur, mais certains policiers commençaient à se demander si la Duchesse, dont le corps n’avait jamais été retrouvé, était encore en vie... Et elle avait les cheveux bleus, ainsi qu’une poitrine énorme. Cependant, on était au Japon. Il n’y avait pas qu’une seule femme avec des cheveux bleus et une poitrine énorme. Pourquoi repensait-il soudain à cette femme ? Elle était probablement morte, maintenant.

Nathan soupirait lentement, sentant un mélange de sueur et de sexe dans sa voiture, et il ouvrit la portière de la voiture.

« Allez, sors, poupée... »

Il n’y avait pas assez de place dans la voiture, et le pauvre homme avait encore une triquer d’enfer, qui l’empêchait de réfléchir, l’amenant probablement à voir la Duchesse partout. Ils sortirent donc. Le port était vide à cette heure de la nuit, et ils étaient devant un entrepôt abandonné. Nathan y rentra en ouvrant une porte latérale. L’entrepôt avait jadis été incendié suite à un accident industriel qui avait atteint plusieurs machines. L’incendie avait détruit l’entrepôt, et la société qui l’exploitait ne l’avait jamais reconstruit, ayant fait faillite parla suite. Tôt ou tard, l’entrepôt serait reconstruit, et il était maintenant devenu un refuge de squatteurs, de clodos, et de toxicos’. Nathan s’avança lentement, personne ne s’intéressant à lui. Il se rendit dans une pièce, un petit bureau avec des vitres crasseuses, où se trouvait un clodo.

Nathan n’eut qu’à brandir sa carte de policier en lui ordonnant de se casser, et l’homme obtempéra. Il puait l’alcool, tenant dans sa main une bouteille recouverte par un sac, et rampa lentement, sans rien dire, si ce n’est en soupirant, baragouinant dans sa barbe sur la brutalité policière. Nathan soupira lentement, se demandant encore ce qu’il fabriquait dans un tel endroit. Ça puait la crasse, c’était sale, rempli de détraqués, de fugueurs, de putes, de drogués tellement shootés qu’ils ne sentaient plus rien, ayant des absences qui duraient plusieurs heures.

« Je crois qu’il est temps de te défoncer le cul, ma chérie... » lâcha l’homme en se retournant vers elle.

Et même sacrément temps, vu la manière dont sa verge déformait à nouveau son pantalon.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 12 mercredi 03 septembre 2014, 19:29:23

Finalement, cet homme avait lui aussi conclue cet acte en jouissant abondement dans la chatte de notre Duchesse. La jeune femme, déjà toute émoustillée par son propre orgasme n'en fut que plus comblées encore, frissonnant à chaque putain de giclée que cette homme lui balançât dans la chatte. Après ça, nos deux protagonistes restèrent visées l'un à l'autre le temps de rependre leurs esprits respectifs. Lucrezia enleva ensuite cette énorme mandrin de son con suintant de cyprine et de foutre chaud, les deux substances formante alors un mélange gluant qui dégoulinât abondement sur les sièges de la voitures. L'homme aéra la voiture et demanda à notre Psychoputhe de sortir, ce qu'elle fit sans broncher, en prenant soins de ramasser son sac et... Sa culotte ! Très important la culotte. Nos deux tourtereaux allèrent ensuite dans un vieille entrepôt crasseux plein de types craignos, des junkies, des clodos, des putes... Rien de bien reluisant me direz vous, mais au fond dans cette partie reculée de la ville, rien ne l'est.

Notre couple arrivât ensuite dans un petit bureaux à par et là... Lulu allait faire une bien effroyable découverte.
Alors qu'elle farfouillait dans son sac, l'homme vint à sortir de sa poche une carte, mais pas n'importe quelle carte, oooh grand nom ! Un carte de police ! L'homme l'avait brandie juste au moment ou Lucrezia avait levés les yeux pour regarder le clodos à qui son client s'adresser et... Et là paf ! Retournement de situation ! Le client est un putain de keuf Lulu, ta sucer et tu t'est tapée un putain de poulet !

*Oooooh... merde... .*

Durant une fraction de seconde qui lui avait alors parut une éternité, Lulu c'était figée sur place, les yeux grands ouverts. Elle était partagée entre le fait de partir à toutes jambes comme une dingue... Rester là et ce faire sauvagement enculer ou...

*bordel...*
« Je crois qu’il est temps de te défoncer le cul, ma chérie... » Lui avait il dit en ce retournant vers elle. Ce sur quoi Lucrezia due bien vite reprendre ses esprits, il ne fallait pas qu'il ce doute d'un truc !

Je... Tu... Tu est un policier ? Wow... Lui avait elle alors répondue en se rapprochant lascivement de lui. J'ai... C'est assez troublant, moi qui suis une prostitué, j'ai toujours un peut de mal avec les forces de police... Je... J'ai tendance à consommer de la drogue et... Enfin...

Extérieurement, Lucrezia ne laissait rien paraître. Intérieurement... Elle n'en menait pas large. Toutefois... Après quelques secondes de réflexions... Lulu fini par en conclure que cet homme, ce beau policier en civile, était là uniquement par hasard. Lucrezia ne devait surtout pas céder à la panique et, par chance, elle savait cacher ses émotions au autres.

Je... C'est tellement rare de voir de si beau hommes dans la police... Lui avait elle dit en se rapprochant, avant de finalement  ce mettre à l'embrasser langoureusement.

*Putain... J'embrasse un putain d'flic et.... HaaaAaAn... seigneur... Que cet homme est bon !*

Lucrezia ferma ses yeux... Et elle se laissât aller. Si elle rester calme et si elle ne faisait aucun faux pas, cet homme ne la démasquerait pas et puis... Au fond, n'était elle pas morte ? C'est sur cette ultime pensée que notre Duchesse vint à lentement rompre son baiser, avant de voir naître au fond des yeux de cet homme, un fantasme qui la travaillait depuis longtemps... Un fantasme qu'elle c'était jusqu'à là interdis, par pur logique mais là... à cet instant, sous couvert de son déguisement de pute... Elle aller pouvoir le faire... Baiser avec un flic ! Cet idée qui l'avait terrifier au début, avait fini par la reconquérir. Savoir que cet homme était un loyal soldat de l'ordre eu comme effet d'exciter encore plus notre tueuse, un peu comme le fait de niquer dans un lieux publique... IL y avait cette notion de danger, d'insécurité, le risque de ce faire attraper... Lucrezia avait toujours au fond d'elle, la crainte d'être attrapée, mais seigneur, qu'est ce qu'elle était chaude pour ce faire baiser là !

Lentement, les doigt de la Duchesse se mirent à descendre dans le pantalons de ce poulet et, avec un petit sourire au coins des lèvres... Elle lui dit.

Dite moi monsieur l'agent... Vous n'auriez pas une belle paire de menottes pour une vilaine fille comme moi ? J'ai fait des choses sales... et il faut me punir ~♥

Elle clos ce petit discours par un autre baiser, avant d’amoureusement se mettre à branler se bel étalons de la justice, justice au moins aussi raide que ça queue.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 13 mercredi 03 septembre 2014, 20:59:18

Son instinct de policier était aux abonnés absents. Sinon, il aurait tout de suite compris que cette femme était louche. Ce qu’elle venait de faire était un aveu dissimulé. Elle avait spontanément avoué une petite infraction, à savoir la consommation de stupéfiants. C’était une démarche qu’on observait parfois chez les délinquants : avouer une petite infraction pour que les flics vous lâchent, et que vous n’avouiez pas votre véritable délit. Si Nathan n’avait pas été à ce point en manque, si la Bête ne continuait pas à l’obséder, et s’il avait encore en lui un peu de bon sens, il aurait compris que cette femme n’essayait pas de dissimuler le fait qu’elle se droguait... Une prostituée qui se drogue, c’était à peu près aussi normal qu’une bonne sœur priant tous les Dimanche matins. À l’entendre, il était le seul flic qui se fasse sucer la queue par des putes... Mais il était trop patraque pour comprendre qu’elle mentait, qu’elle jouait le rôle d’une prostituée. Toutes les prostituées de la ville savaient que les policiers étaient les premiers clients des putes, c’était une forme de corruption très en vue. Pour empêcher la Brigade des mœurs d’enfermer des macs’, ces derniers leur offraient gratis des putes, et, si elles étaient majeures, elles étaient aussi très souvent mineures. Seikusu était une ville gangrénée par la corruption, à l’image du Japon, où, malgré le durcissement de la législation, les Yakuzas formaient un véritable gouvernement secondaire. Il était fréquent que les citoyens viennent, à la manière des Siciliens s’adressant aux Parrains locaux, voir des Yakuzas, afin de leur demander des services : retrouver le type qui avait violé leur fille pour l’émasculer, ou harceler des délégués syndicaux menaçant de faire une grève.

Il ne dit rien, et se contenta de répondre à son baiser, caressant ses cheveux, savourant le parfum de cette femme, savourant sa perversion. Le pauvre Américain était déboussolé, la Bête continuant à le harceler. Dans sa tête, il entendait la voix du flic lui dire que cette femme cachait quelque chose de gros, mais il l’entendait aussi distinctement qu’une poésie dans un mistral. Leur baiser était intense et long, Nathan l’embrassant sans hésitation, caressant son dos, glissant une main pour retourner masser son délicieux cul. La poitrine énorme de cette femme s’enfonçait contre son torse, et il sentit l’une des mains de la femme s’aventurer dans son pantalon.

« Dites-moi monsieur l'agent... Vous n'auriez pas une belle paire de menottes pour une vilaine fille comme moi ? J'ai fait des choses sales... et il faut me punir. »

La punir... Nathan avait un moyen très simple de la punir, en laissant parler la Bête. Il eut une brève vision en fermant les yeux, vision dopée par le goût des lèvres de la femme sur sa bouche, et par cette main qui astiquait son mandrin. Il voyait la Bête se réveiller, il voyait les tentacules saisir chacun des membres de la femme, l’immobilisant en croix, avant de la baiser sauvagement, enfonçant des verges dans tous ses trous, avant de sèchement la fouetter. L’homme rouvrit les yeux, revenant à lui. Non... Il ne pouvait pas la sortir.

Le policier soupira lentement, et frotta son nez contre le sien.

« Des menottes, hein ? Petite salope... »

Il glissa sa main dans la poche arrière de son jean, et sortit la paire. C’était une belle paire de menottes à l’ancienne, lourde et en fer. Il la tenait d’une main, la menotte glissant le long de son doigt.

« Tu veux une fouille corporelle, c’est ça ? Où est-ce que je t’attache, petite salope ? »

Petite salope. Il trouvait que ça lui allait plutôt bien, avec son maquillage. Un joli petit surnom.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 14 jeudi 04 septembre 2014, 17:27:51

Petite salope... Voilà comment l'homme nomma notre Duchesse... Petite salope. Cette appellation fit frémir lucrezia d'excitation et quand elle vit son client sortir de sa poche une belle paire de menottes, là, Lulu n'en fut que plus chaude. Ce type était peut être un  policier, mais seigneur... Lulu avait vraiment envie de jouer ce soir ! En plus, malgré toutes la crasse présentes sur les vitres, on pouvait toujours plus ou moins voir au travers, ce qui en gros, avec toutes les personnes présentes de l'autre coté de cet petit bureau, revenait à faire de l’exhibitionnisme et même si Lulu n'en était pas fan, cela ajoutait un peu plus de piquant à cette soirée qui s’annoncer torride.

« Tu veux une fouille corporelle, c’est ça ? Où est-ce que je t’attache, petite salope ? »

Lulu le regarda d'un air joueur, avant de tourner sa tête vers un épais tuyaux d'eau qui partait d'un vieux lavabos pour arriver au plafond. Elle rompit sa branlette puis sans rien dire, elle se dirigea lentement vers le lavabos. Une fois devant ce dernier, elle mis ses mains sur le tuyaux en cambrant son dos comme un chienne, afin de bien mettre son cul en position puis, sur un ton sensuelle et soumis, elle lâchât :

Ici monsieur l'agent... C'est ici que je veux que vous m'attachiez pour l'instant...J'ai était une vilaine petite salope et Je veux que vous me fassiez une violente fouille corporel... Allez y, utilisez votre grosse matraque et n'hésitait pas à me fouetter le cul avec votre belle ceinture de cuir. en disant cela, Lucrezia l'avait regardé d'un air suppliant, avant de se pourlécher les lèvres comme la grosse salope qu'elle était.

La cyprine dégoulinait abondement le long des cuisses de Lucrezia, à un tel point que sa culotte en était complètement imbibée, laissant à la vue de l'homme les contour de ses lèvres intimes. La position de Lulu n'était pas vraiment des plus confortable, toutefois, si plus tard l'homme voudrait la changer de place et l'attacher ailleurs, l'endroit ne manquer pas d'autre tuyaux et il y avait même un vieux lit à l'ancienne, avec une vieille armature en fer et une tête de lit à barreaux. Ce soir, Lulu comptait bien ce faire violemment tringler dans tout les sens, un peu comme cette fameuse nuit où elle avait fait la connaissance de cet Ulrik, ce fabuleux blondinet venu de nul part et qui lui avait fait vivre l'une des nuit les plus mémorable de sa toute sa vie. En y repensant, Lucrezia se mordit les lèvres, sentant bien qu'elle aller encore prendre cher... très cher.

Haaaan... Monsieur l'agent, je me languis de votre belle matraque, dépêchez vous de l’enduire de lubrifiant et de venir me la mettre... Sinon votre vilaine petite salope risque de partir.

Lulu était tellement en chaleur qu'elle en était rendue à frotter ses jambes l'une à l'autre, dandinant fièrement son cul-cul d'un manière des plus arrogante. D'autre part... Il s'avérer que ledit "lubrifiant" dont parlais Lucrezia n'était autre que... Et bien q'une antique barquette de margarine... Ouai, c'est tous ce qu'elle avait put trouver donc du coup... Voilà quoi.

D'un autre coté, l'homme pouvait très bien faire fit de la margarine et ce mettre à violemment sodomiser notre psychopute... à sec... cette dernière aurait peut être plus mal, mais franchement, c'est pas ce qui la dérangerais, bien au contraire.

« Modifié: jeudi 04 septembre 2014, 21:03:36 par Lucrezia.H.Nietzsche »



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