Étalé sur elle, Nathan s’enfonçait dans son corps, ne ressentant que très peu d’hésitation. Cette pute avait un corps magnifique, qui était effectivement, pour lui, une aubaine. C’était assez facile à comprendre : le but de la Bête était de procréer, de se reproduire, d’enfanter... Ce faisant, Nathan ressentait une attirance un peu plus forte pour les femmes bien en chair, solides, celles qui pouvaient tenir debout, et pouvaient assurer ses coups de reins. Pour autant, la Bête était assez généreuse sur les autres femmes. Tant que ça avait un trou, après tout... Écrasé dans son dos, Nathan remuait son chibre, son vit s’enfonçant dans l’espace étroit du cul de la belle, qui se tortillait sous lui. Elle aussi, en proie à l’excitation, faillit bien vendre la mèche. Elle ne le voyait pas, mais Nathan sentait encore des excroissances pousser le long de son corps, ce qui, entre autre, avait pour effet positif de grossir sa verge. La Bête était là, à l’affût, hurlant dans son esprit, grognant dans son estomac, redonnant à Nathan la force qu’il lui manquait, le policier puisant dans un puits sans fin de sexe, de luxure, et de perversion. Sa verge remuait en avant, en arrière, s’enfonçant dans cette chair, et ses mains ne restèrent pas en reste.
Il avait une main sur les cheveux de la femme, en soutien, afin d’éviter qu’il ne s’écroule sur elle. L’autre caressait ses hanches, glissant le long de sa peau, et ses lèvres mordillaient son épaule, savourant cette peau douce et chaude. Ah ! La joie d’explorer le corps d’une femme, de le découvrir, de l’explorer dans tous les sens ! Ce n’était vraiment que là, le corps collé à celui d’une femme, que Nathan pouvait véritablement prétendre être heureux. Il savourait cette femme, le sexe ayant en lui ce potentiel d’aliénation si jouissif. Il ne pensait alors à rien d’autre, simplement à se vider les couilles dans le cul de cette salope de classe internationale. Avec son corps occidental et ses formes lourdes, elle était aux antipodes de la taille de guêpe japonaise, ces pisseuses qui s’écroulaient en quelques secondes, comme un deux face à un flush royal. Elle ? Elle était un putain de steak tartare, servi à point, accompagné avec toute la garniture, la sauce barbecue, le sel. Un foutu plat du cul fait pour nourrir tout un troupeau, et Nathan était en train de se tailler la part du lion. Sa main libre se promenait lentement, presque avec une certaine forme de tendresse, en total paradoxe avec la manière dont il était en train de lui broyer le corps. Il s’affalait sur elle, s’écrasait avec la force d’un mammouth chargé aux amphétamines, l’excitation sexuelle dopant son imagination, amplifiant les sensations physiques effectivement ressenties. C’était une tornade, une saloperie de mistral qui les emportait. Il l’entendait gémir, hurler, couiner, et sa main la laissait tourner sa tête, afin de lui permettre de respirer. Il la prenait contre le sol, dans ce cul étroit, dans ce trou qui était progressivement en train de s’écarter, sans savoir que la Bête, à son insu, agissait pour l’aider.
Autour de sa verge, de discrets tentacules noirs balançaient en effet une sorte de liquide, de jus visant à lubrifier les parois, et à faciliter les glissements. Diable, la Bête ne voulait pas non plus tuer cette femme en l’enculant un peu trop fort ! Nathan la démontait comme un cheval au triple galop remontant la marée, mais elle conservait une certaine forme de romantisme et d’attention à l’égard de sa partenaire... Ce que cette main libre et ses baisers sur ses épaules caractérisaient... Cependant, pour être honnête, il fallait bien reconnaître que, pendant cet exercice, Nathan la mordait et l’insultait copieusement, plutôt que l’embrassait. Pour être exact, on le voyait s’astiquer sur elle, soupirer, grogner, lâchant quelques jurons bien sentis quand l’occasion se faisait sentir :
« Huuuuunnn... Puuute... Haaaaa... Ouais, salope, ça te plaît… Hein?! Putain, ouais !! Ouais, ouais, ouais, ouuuaaaaaiiiisss !! Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... Pétasse !! »
Hurlant, grognant, et parfois même soupirant, Nathan remuait de plus en plus, les couinements de cette femme le berçant, sonnant à ses oreilles comme de magnifiques choses. Sa main glissait le long de ses côtes, se déplaçant parfois pour agripper l’un de ses seins. Ses doigts se retrouvaient alors entre le corps de Lulu et le sol, ce qui faisait qu’il était en train de les écrabouiller... Mais au moins en profitait-il pour palper ce corps, pour pincer ce téton, pour se serrer contre elle, et pour pouvoir, ainsi, mieux continuer à la baiser, à la défoncer royalement.
Lulu lui parla alors, voulant qu’il éprouve ses formes, et qu’il aille plus vite... Pour toute réponse, un grognement s’échappa des lèvres de l’homme, qui tira alors sur les cheveux bleus de la femme, soulevant sa tête en arrière. Sa main libre gifla le cul de cette nana, violemment, et il approcha sa bouche de son oreille, venant la lécher :
« T’en fais pas, ma salope... Quand j’en aurais fini avec toi, petite pute, tu croiras avoir fait un rodéo dans les étoiles. »
Nathan libéra ses cheveux, reposa sa main sur sa tête, et la pénétra davantage. Ses jambes se frottaient aux siennes, et, dans son dos, des tentacules noirâtres poussèrent, une excroissance noirâtre jaillissant le long de sa moelle épinière. Les tentacules formèrent comme des pattes arachnéennes, se posant à droite et à gauche des deux amants. Impossible pour la femme de les voir, mais ils servirent de soutien aux mouvements de Nathan, se pliant et se redressant, entraînant avec eux le corps de l’homme, soulevant à chaque fois le corps de la femme de plusieurs centimètres, avant de la renvoyer s’abattre sur le sol, son corps s’aspergeant dans sa sueur et dans sa mouille. C’était douloureux, intense, mais ô combien excitant. Nathan allait de plus en plus vite, et, sous l’effet de l’effort physique et de l’excitation, les mots disparaissaient dans son esprit, remplacés par des borborygmes, des grognements, des soupirs, et des gesticulations.
Il la baisait comme s’il était une bête en manque venant de tomber sur une partenaire du sexe féminin. Personne n’aurait pu l’attirer jusqu’à ce qu’il se soulage dans son vide-couilles improvisé. Baiser cette salope... C’était maintenant son seul objectif.