Un doigt.
Ses yeux susurrent le désir qu'elle éprouve, j'ai perdu un démon et ses trésors, je gagne une déesse et son corps, le deal me convient.
Un doigt.
Il s'enfonce davantage alors qu'elle souffle l'envie qu'elle a de me voir continuer attouchements intimes et exploration d'elle, son souffle divin est sur mon visage, je l'attire davantage contre moi, plaquée qu'elle est contre ma virilité brandie, gorgée de sang, mise à nue par la dextérité que je soupçonne assistée de magie de ma sulfureuse maîtresse.
Maîtresse ? Le jeu ne prend pas ce chemin, je la devinerais assez encline à se laisser dominer par un être inférieur, sorte de jeu pervers propre aux puissants...
Son entrejambe moite est désormais plaquée contre ma queue... Nos ondulations se font plus lascives, envieuses, moites.. Déjà sa fente coulisse le long de mon membre, traçant un sillon humide sur la peau veineuse...
Deux doigts.
Plus profonds, joueurs, taquins, écartant ses chairs, cet orifice serré qui m'électrise, alors que je la sens davantage s'humidifier, coulant tout contre ce pieu sur lequel je l'empalerai bientôt.
Deux doigts et nos respirations se font haletante, alors que le baiser que je lui offre tient davantage du vorace festin, je croque sa bouche, nos langues dérapent peu à peu sur les peaux de nos visages... Deux doigts qui vont et viennent plus rapidement, maintenant, la baisant des mes mortelles phalanges, aspirant à nouveau sa langue, la suçant...
Alors qu'au rythme de nos ondulations je sens mon gland caresser son bouton gonflé, proche, si proche de la pénétrer, trop proche, l'envie de céder à la fourrer sur le champ est immense mais je représente ici la race humaine et si je ne la prendrai jamais à l'instar d'un dieu je compte bien lui montrer comment un insecte compte la faire jouir. Et rejouir.
Deux doigts.
Et je m'arrête là... À grand regret, ils quittent doucement son cul serré, cette violation de son antre fut un délectable plaisir qui m'a redoutablement excité. Elle aussi, si j'en crois ses yeux presque déçus ?
Je me laisse retomber doucement en arrière, rompant le baiser qu'un mince filet de salive prolonge.. Avant que la distance ne le coupe. Allongé sur le dos j'attire ses cuisses à moi... La traîne sur mon torse, je sens sa mouille couler dans la manoeuvre, sur tout le chemin, sur ma peau.
Je vois cette appétissante chatte progresser lentement vers moi, vers mon but, mon festin, je la regarde, elle ne voit désormais mon visage plus qu'entre ses cuisses, les effluves que m'envoient son sexe stimulé me font redoubler d'excitation.. Mes yeux se plantent dans les siens..
Je veux te boire à la source, déesse... Je veux ton divin nectar...
Coule sur moi.. Assieds-toi sur mon visage.
Je ne la quitte pas des yeux, formulant ma brûlante requête alors que mes mains caressent sa peau au pigment si particulier, s'en allant glisser sur son ventre et cueillir ses généreux seins, mes pouces tournant autour de ses pointes dardées.. Ainsi caressant sa poitrine je la regarde, cette chatte bouillante si proche de ma bouche.. Je la provoque, laissant doucement ma langue sortir d'entre mes lèvres, comme la promesse de la laper jusqu'à la dernière goutte de jus.