Son érection était en train de faire pointer son sexe, et la vampire comprit rapidement, vu les hésitations de la femme et ses inquiétudes, qu’elle était probablement vierge. Mélinda avait une sorte d’instinct profond pour identifier les vierges, et elle les aimait tout particulièrement. Si Lucas avait encore été vierge, elle aurait probablement laissé à Lucie sa virginité, afin que ce soit vraiment leur première fois... Mais Lucas était désormais aux antipodes de la virginité, tant de femmes et d’hommes lui ayant fait l’amour, dans tous les sens du terme, depuis qu’il était arrivé au harem. La pauvre Lucie tremblait sur place, désormais bine plus encline à l’idée de coucher avec la vampire qu’auparavant... Elle avait peur de décevoir Lucas, ce qui fit sourire Mélinda. Leurs visages étaient proches l’un de l’autre, et Lucie lui avait dit qu’elle avait peur que sa verge ne soit pas à la hauteur des attentes de son frère.
Le sourire de la vampire se mit à s’accentuer quand Lucie lui dit qu’elle allait bientôt jouir.
« Je ne te masturbe même pas vraiment, Lucie... Tu vas avoir besoin d’une bonne formation pour satisfaire ton frère. Il aime quand les parties de sexe sont longues, et ses amantes régulières baignent dans un environnement sexuel depuis leur enfance. Elles passent la première partie de leur vie à se renseigner, et deviennent ensuite des prostituées redoutablement talentueuses. Des reines du sexe. La concurrence est rude, ma petite... Mais, concernant la taille de ton sexe... »
La vampire retira sa main de la verge de la femme, qui déformait sa jupe, et elle s’écarta, restant dans le dos de la femme. Lucie put alors entendre un bruit de glissement de vêtements. Mélinda venait de dénouer le nœud du lacet noir à hauteur de ses seins, ce qui eut pour effet de faire tomber toute sa robe. Cette dernière s’affala, le haut de sa robe s’ouvrant dans tous les sens comme les pétales d’une fleur, formant ensuite un indicible paquet sur le sol. Elle n’avait plus qu’une culotte verte, qu’elle retira également, et se retrouva ainsi toute nue. Mélinda se positionna ensuite devant Lucie, un sourire sur le coin des lèvres.
Ne portant plus rien, on pouvait voir sa pâle et chaude peau, avec ses seins lourds et confortables. Mélinda adorait s’observer dans le miroir, ou coucher avec elle-même quand elle avait la chance de rencontrer des Polymorphes. Elle se trouvait parfaite. La modestie n’était vraiment pas ce qui caractérisait Mélinda. La femme lui sourit lentement, et désigna du doigt son intimité, proprement épilée, une petite fente élégante.
« Tu vois bien, la fente intime d’une femme n’est pas si grande que ça... Plus tu es excitée, et plus ta verge sera grosse... Mais, si tu veux vraiment que ta queue grandisse, sache que mon harem propose des fioles qui améliorent la vitalité des pénis. »
Elle esquissa un léger sourire, puis s’agenouilla devant la femme, et tira sur sa jupe, sans hésitation.
« Laisse-moi la voir, ta queue... »
Elle tira sur les vêtements, puis fourra sa main dans la culotte de la femme, pressant sa verge, et la fit sortir. Le bâton de chair se mit ainsi à pointer à l’air libre, et Mélinda se pencha davantage, sa bouche se rapprochant de la sienne. Elle lécha cette verge, délicatement, sachant que, cette fois, Lucie ne ferait rien pour la repousser. Elle était charmée, conquise par l’effet du plaisir sexuel qui montait en elle.
« Je vais la sucer... Et tu vas jouir dans ma bouche, Lucie. Le sperme est une substance trop précieuse pour qu’on se permette de la prendre. Tu peux me caresser les cheveux, si tu veux... Lucas adore sucer des belles queues, mais il faut qu’une fellation dure longtemps pour qu’il l’apprécie. Mieux vaut donc que je commence à te former. »
Joignant le geste à la parole, elle enfourna alors le sexe de Lucie dans sa bouche, levant ses yeux verts pour la regarder, remuant d’avant en arrière sur sa queue, aspirant l’air en creusant ses joues, sa langue venant titiller la verge de la femme, roulant lentement dessus, tendrement.