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Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

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Calliope Tick

Humain(e)

La rousse aimait prodiguer ainsi du plaisir à un homme. Ses lèvres gourmandes flattaient la verge tendue, se resserraient dessus pour l’aspirer avec vigueur, avec passion. Elle était comme une nymphomane affamée, à cette instant, prenant soin de chaque partie de l’anatomie mâle du démon. Ses mains fines et agiles comblaient son corps de délicates attentions, ne négligeant rien sur leur passage. Et qu’il était dur, ainsi fiché entre ses lèvres ! Elle aimait le sexe, et ne s’en cachait pas. Sa langue virevoltait comme elle pouvait sur la douce peau veinée. Si au début le teint rouge du Diablotin avait surpris Calliope, elle s’y était vite habituée.

Pompant avec ardeur cette délicieuse virilité, la petite humaine y prenait grand plaisir. Grâce aux encouragements d’Alastar, elle savait qu’elle s’y prenait bien. Elle aimait l’entendre le lui dire. Avec un gémissement, alors qu’elle sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir une nouvelle fois. Elle le laissa docilement agripper sa chevelure, et modula sa respiration alors qu’il se plantait plus loin encore dans sa gorge. Elle sentit le sperme qui jaillissait par jet, tapissant sa gorge, coulant dans sa trachée mais pas seulement. Alors qu’elle avalait comme elle pouvait ce qu’il lui offrait si généreusement, un surplus venait envahir le reste de sa bouche, faisant gonfler ses joues comme elle serrait les lèvres plus fort sur la queue dressée pour ne rien perdre.

L’appendice caudale contre son dos l’avait faite frissonner au départ, et son dos s’était doucement creusé pour s’y frotter doucement. Sous les encouragements de l’incube, la jeune femme avalait doucement sa jouissance, savourant la texture et le goût. Etait-ce aphrodisiaque ? Peut-être. Elle ne saurait le dire. Mais son excitation redoubla encore, stimulée par le fait de l’avoir senti se libérer en elle, par le fait de déguster, littéralement, ce plaisir qui venait de jaillir.

Finalement, elle réussit à tout avaler. Quand le démon retira sa masculinité encore érigée d’entre ses lèvres, la coquine rousse ne manqua pas de la nettoyer d’un coup de langue taquin. Assise sur ses talons, elle l’observait avec amusement et désir. Son regard brillait de convoitise, alors qu’elle se redressait doucement, venait se coller contre lui en embrassant sa peau rouge avec délectation.

« Tu es délicieux, Alastar, souffla-t-elle alors que ses lèvres atteignaient le lobe de son oreille. »

Ses mains l’enlacèrent tandis qu’elle venait l’embrasser presque chastement, sa bouche filant sur sa joue pour glisser dans son cou et y mordiller sa peau. Elle était encore chaude comme la braise, la petite Calliope. Brûlante de désir. Entre ses cuisses déjà trempée, elle sentait le feu de son excitation enfler.

« J’aime cette ardeur que tu as… Et cette vigueur insatiable… »

Elle aimait vraiment ces étreintes avec l’incube. Elle se sentait belle, désirée. Choyée. Chose qui ne lui était pas arrivée depuis très longtemps. Ses mauvais souvenirs s’effaçaient finalement, remplacés par ces instants de plaisir pur, de jouissance du corps et de l’âme.

« Tu veux qu’on essaie le salon à présent ? Chuchota-t-elle avec un plaisir évident. »

Dans cet appartement, c’était la première fois qu’elle y prenait du plaisir ainsi. Ou même, du plaisir tout court. Elle n’avait jamais invité d’homme ici, et ne s’était pas vraiment donné de plaisir en solitaire depuis un moment. Prenant les mains du Diablotin, elle le tira avec elle, féline, vers le canapé qui campait dans le salon. Un caméscope était rangé sur une étagère, au-dessus de l’écran plat. Quand son regard passa dessus, une idée naquit dans son esprit. Elle n’avait jamais trop aimé le fait de filmer des ébats, principalement parce que les seules fois où son amant avait fait ça, c’était pour mieux la faire chanter après. Mais tant qu’elle y était à reprendre confiance en elle, autant briser les tabous qu’elle s’était imposé.

Relâchant les mains de l’incube, l’irlandaise se déplaça en roulant des hanches jusqu’aux étagères, et se mit sur la pointe des pieds, en tendant le bras, pour attraper l’appareil qu’elle visait. Dépliant le caméscope, elle constata qu’elle avait enlevé la batterie pour qu’il ne se décharge par trop. Tâtonnant encore un peu sur l’étagère, elle finit par trouver cette dernière, et sourit en l’insérant dans la cavité faite exprès. Allumant l’appareil, elle se retourna vers Alastar avec un grand sourire.

« Est-ce que ça te tente d’enregistrer nos performances pour voir ce que ça donne après ? »

Le Diablotin

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Cette femme était une véritable petite perle, et elle était la preuve de l’amour inconsidéré d’Alastar pour les humains. Ah ! Quelle idée certains de ses confrères démoniaques avait de vouloir les asservir ! Ils étaient tellement plus amusants ainsi, tellement plus atypiques, avec leur moralité contradictoire, avec leurs désirs, leurs pulsions, leurs envies secrètes et profondes… Oui, Alastar les aimait beaucoup, et cette Calliope, cette petite salope qui venait encore de le sucer, et qui se révélait insatiable, avait déjà une petite place dans le cœur chaud d’Alastar. L’Incube se régalait de ces femmes, de ce beau sexe maltraité et délaissé, qui ne demandait qu’à se faire besogner. Il avait joui en elle, et, docile, la suivit dans le salon. Il savourait son corps quand elle frottait sa peau douce et tendre contre le sien, il savourait ses soupirs, ses frottements, ses gémissements, son espièglerie, sa joie de vivre… Magnifique, elle était tout simplement magnifique. Alastar se retrouva donc dans le salon, avec un sourire sur les lèvres.

« C’est normal, je suis un Incube… Plus je suis sexuellement satisfait, et plus je suis excite. C’est ce qu’on peut vraiment appeler une cercle vicieux… Toi, en revanche… Tes capacités sont incroyables. »

Et il ne disait pas ça que pour la flatter, il le pensait sincèrement. Insatiable, cette Calliope voulait continuer à lui faire l’amour, et ça ne dérangeait nullement Alastar. Il pouvait volontiers passer des jours et des jours à faire l’amour, sans rien d’autre. La majeure partie du temps de l’Incube était consacrée aux relations sexuelles, après tout, et cette femme n’allait pas être une exception. Ils se rapprochèrent donc du fauteuil, quand Calliope eut une autre idée. En souriant lentement, Alastar s’assit sur le fauteuil, et la vit chercher un caméscope avec une batterie, en roulant délicieusement des hanches. Tout à fait naturellement, l’être à la peau rouge n’en perdait pas une miette, se délectant de ses longues jambes fuselées, et, bien entendu, de son beau petit cul. Il n’y avait pas à dire : Alastar adorait les fesses des femmes. De belles bosses rondes et tendres, extrêmement douces et moelleuses. Il adorait les pétrir, il adorait sentir les femmes s’abandonner entre ses bras, leur corps s’affaiblissant contre lui, leurs soupirs dans ses oreilles, leur corps se frottant contre son torse musclé et glabre… Oui, oui, tout cela était superbe.

Il la vit se hisser sur la pointe des pieds, et il put voir que, entre ses cuisses, sa mouille coulait lentement, venant laisser, sur le sol, de petits traînées, comme de délicates gouttelettes. Il sourit à nouveau, puis elle se retourna, en lui présentant l’objet, avec une envie derrière la tête, une envie comme il les aimait… Une envie perverse. Assise sur le fauteuil, mains posées sur les accoudoirs, jambes écartées, son sexe pointant vers la femme, et elle lui proposa de… Filmer leurs ébats.

« Est-ce que ça te tente d’enregistrer nos performances pour voir ce que ça donne après ? »

Alastar sourit donc, amusé, et, soudain, l’appareil s’échappa des mains de Calliope, et s’illumina en l’air, tournoyant sur place.

« Hum… C’est une idée… Très inspirante, ma belle Calliope. Mais je sais déjà ce que nous donnons, tous les deux… Néanmoins, j’aime l’idée que, quand le bel Ange que je suis disparaîtra de ta vie, tu t’amuseras à contempler cette vidéo, et, quand tu te coucheras seule dans ton grand lit, ou avec un homme incapable de te satisfaire, car tu auras goûté au plus beau des fruits, tu invoqueras mon nom… Qu’il est bon, ma chère, de t’imaginer me désirer, te caresser intimement dans ton lit en murmurant entre tes belles petites lèvres assoiffées mon nom… »

Du moins, ce n’était pas son vrai nom, mais chaque démon connaissait la règle : si quelqu’un connaissait son vrai nom, alors il était son esclave. Alastar s’amusait, et était orgueilleux… Mais il pouvait se permettre de l’être, car il était un Incube. En attendant, l’appareil filmait les jambes de la femme, ses fesses, ses seins, remontant tout autour d’elle. Il se releva ensuite, et l’appareil s’écarta, afin de faire un plan plus large, zoomant toutefois sur le sexe de l’homme.

« Maintenant, Calliope, je vais te faire hurler… »

Son corps s’était rapproché du sien, et sa main caressa sa joue, avant de s’appuyer sur son menton. Il souleva légèrement sa belle tête, et l’embrassa sur les lèvres, tendrement, enfonçant sa langue dans sa bouche, sa queue caudale en profitant pour frotter ses jambes, ses ailerons récoltant un peu de sa cyprine, la grattant afin de la faire frissonner. Il prolongea le baiser pendant quelques secondes, roulant sa langue dans celle de la femme, et s’écarta ensuite d’elle, conservant sur les lèvres son sourire.

« Mets-toi à quatre pattes… Comme la petite chienne que tu es aimes bien… Puis demande à ce que je te baise… Sois convaincante, car la caméra sera devant ton visage, à fixer ta souffrance et ton désir… »

Sa voix roulait doucement le long de ses lèvres, mais était chargée de désir et de pulsions sexuelles.
DC d’Alice Korvander.

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Calliope Tick

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Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 32 dimanche 26 juillet 2015, 16:48:06

Le compliment, car c’en était un, fit sourire la rousse. Elle ne se considérait pas aussi spéciale. Bien que, il est vrai, sa résistance était assez surprenante. Mais son côté pragmatique résolut le problème pour elle, penchant en faveur de l’hypothèse suivante : La présence de l’incube à ses côtés, sa faveur et ses jouissances en elle favorisaient son endurance. Parce que, franchement, elle n’avait rien d’incroyable, si ce n’était sa capacité à tomber sur les mauvais gars, jusqu’alors. Satisfaite de l’explication que son esprit venait de formuler, la jeune femme continua sur sa lancée, proposant de filmer leurs ébats. Une façon, pour elle, de garder une trace du fait que sa chance avait enfin tourné.

Le Diablotin avait une autre raison d’accepter avec joie, et Calliope ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait aussi raison, en partie. Se remémorer simplement leurs ébats n’aurait peut-être pas suffit. Alors que si elle avait la vidéo sous les yeux… Rien qu’à cette idée, son intimité se remit à s’humidifier, une nouvelle fois, impatiente d’accueillir la vigueur de l’incube en elle. Elle observa un instant la caméra, qui s’était mise à léviter, scintillante, et tournoyant autour d’elle pour filmer les détails les plus intimes de son corps.

Elle sourit quand il s’avança vers elle, et leva la tête pour profiter de ses lèvres, ouvrant les siennes de bon gré pour mêler sa langue à la sienne. Elle appréciait son contact, autant qu’il semblait l’apprécier elle. Ses mains se mirent à caresser distraitement le corps masculin, s’accrochant aux contours des muscles fermes, remontant dans son dos pour venir lui agripper la nuque alors qu’il faisait couler sa queue caudale contre elle. Elle frissonna à nouveau, sous son toucher, alors que son excitation s’amplifiait. Ses yeux accrochèrent la caméra, et elle frémit de plus belle.

Quand il s’écarta, pour lui ordonner de se mettre à quatre pattes, elle s’exécuta aussi docilement que si cela avait été son idée. Elle aurait pu l’être, mais le fait qu’il l’ait mentionnée en premier le rendait maître de cette union, ce que ne détestait pas la belle rousse. Les mains ainsi posées sur le sol, les genoux repliés, elle creusa le dos pour lui tendre son fessier rebondi, le regard agrandit par le désir. Elle détourna ses prunelles de celles d’Alastar, fixant à présent la caméra comme s’il s’agissait du démon lui-même. Ses lèvres brillaient, humidifiées par sa langue qui venait de les parcourir.

« Oh, Alastar, tu me rends folle… Folle de désir, de plaisir… J’ai l’impression d’être en manque… Je ne désir qu’une chose, c’est que tu viennes me combler. Encore, et encore. Viens me prendre, je t’en prie, mon très cher et séduisant incube. Viens posséder ta petite chienne assoiffée de toi. Mmm… Je suis déjà prête pour toi, attendre ainsi me frustre… C’en est presque douloureux. Et pourtant… Mmm, et pourtant c’est délicieux aussi… Alastar, je t’en supplie… Prends-moi, comme une bête. Baise-moi, fais-moi l’amour, rempli-moi de ton jus… »

Elle y mettait tout son cœur, n’ayant même pas à feindre devant la caméra. Elle haletait presque, rien qu’en imaginant qu’il venait la posséder ainsi, son esprit partant déjà dans ses fantasmes les plus crus.

« Je veux sentir ta vigueur me pénétrer, me marteler… Je veux sentir ta queue me déchirer, me combler encore plus… »

Et elle retourna la tête, ondulant ses hanches, pour gratifier le Diablotin d’une œillade tout sauf chaste.

Le Diablotin

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Quand on voyait Calliope, on comprenait mieux pourquoi Alastar était un si mauvais Incube. Mauvais, car, contrairement à bien de ses confrères ou consœurs, il ne mangeait jamais l’âme de ses partenaires. Quand on invoquait un démon, il fallait toujours se méfier des lignes en petits caractères sur le contrat. Car, quand on couchait avec un démon de Luxure, ce dernier avait le droit, si vous ne l’aviez pas épuisé, d’avaler votre âme. C’est ainsi qu’on disait que les succubes étaient des trésors aux mortels interdits. Alastar, lui, n’avait toutefois jamais été incapable de tuer ses amantes ou ses amants, et, pour le comprendre, il suffisait de s’arrêter sur cette scène. À quatre pattes, Calliope était là, devant lui, sorte d’ode flamboyante à la beauté, nymphe à la chevelure de feu, dans une position des plus sexuelles. Quand elle courbait ses reins, ou remuait ses hanches, elle était d’une beauté, d’une telle beauté… Oh oui, Alastar ne pouvait que l’aimer, et, plus elle se mettait à parler, devant l’objectif de la caméra, qui oscillait entre des plans serrés sur son visage ou des plans élargis permettant de voir la courbe de ses seins, et plus sa queue devenait dure et douloureuse. Le Diablotin serra lentement les poings, enfonçant ses griffes dans sa chair, et les rouvrit encore, en respirant lentement. Sa queue caudale remuait de gauche à droite, et il louchait sur le joli cul de Calliope.

Ils baisaient ensemble depuis des heures, et ce n’était pas sur le point d’arriver, pour le plus grand plaisir du beau diable, qui s’approcha lentement d’elle. Elle parlait, d’une voix si belle, prononçant des mots si beaux… Ahlàlà, et dire qu’elle était célibataire ?! Pour lui, la seule explication raisonnable venait du fait qu’elle était tout simplement trop belle et trop douée pour pouvoir s’entacher avec un seul homme. Non, elle méritait d’avoir autant d’hommes qu’elle le voulait, car elle était comme une Princesse du sexe, une Reine de la luxure. Elle finit par tourner la tête, l’observant avec ses yeux de braise, ceux d’une magnifique et sensuelle séductrice. Oui, oui, si belle… Ah, quel heureux veinard ! Le brave Diablotin la vit remuer des hanches, montrant ses belles fesses, et il s’approcha encore… La caméra se déplaça alors, se relevant pour se rapprocher d’Alastar, et fixa le bassin de la femme, son beau petit cul, puis la grosse verge rouge de l’Incube, saillante et tendue, avec une veine qui remuait le long de sa peau.

« Hmmm… »

Il se pinça les lèvres, et l’une de ses mains caressa tendrement le postérieur de la femme… Puis il pinça sa chair moelleuse entre ses doigts griffus, et sa queue caudale se déplaça, et fouetta le cul de la femme. Un délicat coup de fouet, qui le fit sourire. Sa queue tendue heurta ensuite sa chair, et il posa son autre main sur elle, et s’humecta les lèvres.

« Ah, ma chère Calliope, tu es vraiment une femme incroyable… Je sais que, vous les humains, n’aimez pas trop ça, mais… Quand tu seras morte, sache que je me battrais pour récupérer ton âme. Tu feras une succube magnifique, ma chérie… »

Parler de mort était toujours glauque pour les humains, ce qui, pour Alastar, était un peu contradictoire. La mort était l’étape naturelle de la vie, et il lui semblait donc naturel de l’évoquer, et ce d’autant plus qu’un démon savait qu’elle ne signifiait pas la fin. De plus, les humains eux-mêmes ne décrivaient-ils pas l’orgasme comme une petite mort ? Il y avait bien des choses qu’il ne comprenait pas chez les humains, mais il était sûr d’une chose : quand Calliope mourrait, si son âme finissait en Enfer, il lui réserverait une place dans leur palais. Une belle place chaude et douillette.

Ses mains continuaient à pétrit ses fesses, et il finit par agir. L’homme s’avança, se courbant en avant, et son torse épousa la forme de son dos. Sa queue caudale se déplaça encore, et s’enroula autour de la taille de Calliope, heurtant son tendre estomac, ses mains venant se crisper sur ses seins. Il les massa, tout en y trouvant un appui supplémentaire. Alastar usa alors de ses muscles d’Incube, et souleva la jeune femme. Il y alla lentement, et la plaqua contre lui, en se redressant, pour la maintenir en hauteur face à lui. Elle était là, suspendue au-dessus du vide, et il glissa ses mains de ses seins pour s’appuyer sur ses chevilles, et embrassa le creux de son cou, léchant et mordillant sa belle peau.

« Observe bien, maintenant, ma chérie… Les pouvoirs et les petits tours d’un Incube espiègle qui a envie de te traiter comme la pute lubrique que tu es… »

L’être rouge avait murmuré ça dans le creux de son oreille, et tendit son doigt vers la télévision, face aux deux amants. Cette dernière s’alluma alors, et diffusa l’image affichée sur la caméra.


« Je vais te baiser sous tes yeux… »

La caméra se fixa alors sur la vulve de la femme. On pouvait voir, dans les angles, les doigts rouges d’Alastar, et, au centre le sexe de la femme, et la verge rouge, pointue et assoiffée, du diable. Il souleva alors le corps de la femme, puis son sexe se redressa, et, ensuite… Et bien, il crispa ses doigts sur la chair de la femme, pour la faire souffrir un peu, et abaissa ensuite ses hanches… Sa vulve trempée s’empala sur le sexe, le trou rencontra le bâton, et il y eut un petit bruit de claquement. Ce délicieux petit bruit.

Cet irrésistible petit bruit.
DC d’Alice Korvander.

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Calliope Tick

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Calliope se laissait complètement aller, avec Alastar. Elle explorait sa sexualité encore plus profondément qu’elle ne l’avait jamais fait. Et pourtant, elle avait eu l’occasion de le faire à de nombreuses reprises, par le passé. Mais à ce moment-là, on l’utilisait. Et ça, elle ne pouvait l’accepter. On l’utilisait sans son consentement. C’était inadmissible. Pour la jeune femme, des relations sexuelles épanouies passaient par le plaisir mutuel, par le consentement tacite et par une confiance inébranlable. Or, elle n’avait eu aucun de ces trois critères, lors de ses mésaventures.

Avec l’incube, par contre, ils étaient là, les critères. Elle appréciait d’autant plus cette relation qu’il lui permettait de reprendre confiance en elle, de pouvoir à nouveau apprécier son corps et sa sensualité, et d’apprécier un mâle. Elle se sentait vraiment bien. Et excitée, aussi. Très très excitée.

L’irlandaise ondula doucement sous la prise du démon, appréciant son toucher, le son de sa voix et les jeux coquins à venir. Elle sourit en voyant la camera braquée sur elle, et son sourire s’élargit en avisant la télé qui s’alluma soudain. La chaleur qui l’embrasait toute entière fit palpiter son cœur un peu plus vite, alors que l’image montrait un gros plan sur son intimité détrempée. L’image de la vilité écarlate du démon -érigée pour elle, par elle, pour son plaisir- lui fit pousser un gémissement d’envie. Ses lèvres intimes étaient rouges aussi. Moins que la chair de l’incube, mais malgré tout plus que la normale. Il faut dire qu’ils n’y allaient pas de main morte, et que ce qui allait suivre ne serait pas leur première étreinte.

Elle fit un petit bruit de gorge alors que les doigts d’Alastar s’enfonçaient un peu plus dans sa chair, impatiente et brûlante. C’est un râle de plaisir qui suivit ensuite, alors que la verge tendue venait pourfendre ses chairs intimes, s’enfonçant en elle pour y retrouvé le doux fourreau qu’elle était. Les sensations, c’était une chose. Mais le voir en face, en même temps, ça en était une autre. Cette situation était vraiment perverse et vraiment très excitante. Elle en gémit d’autant plus, manquant de couvrir le bruit de succion que faisait son abricot trempé en aspirant la virilité du démon, que la sensation de le retrouver en elle manqua de la faire défaillir. Elle ne s’en lassait pas. Loin de là. Ivre de ces sensations grisantes, elle bénit le démon de la retenir de la sorte. S’il n’avait pas été là pour la soutenir, elle se serait effondrée au sol, molle poupée de chair abandonnée aux affres du plaisir.

« Oh, Alastar…, lâcha-t-elle dans un gémissement alors qu’il se calait au fond de son être, cognant contre ce fameux point C, non loin du col de son utérus. »

Comme un automatisme, son corps chercha à bouger, à ressentir encore cette plénitude qu’elle avait lorsqu’il s’enfonçait en elle. Rejetant la tête en arrière, de biais, la rousse pouvait encore voir l’écran et son excitation redoubla, si c’était possible.

« Baise-moi comme une chienne, défonce-moi face à cette caméra, lâcha-t-elle d’un ton rauque de désir. Fais-moi tienne, remplis-moi, comme la salope que je suis, poursuivit-elle en tendant une main derrière elle pour agripper le démon. »

Elle aimait cette vulgarité, cette situation. Elle appréciait de n’être qu’une marionnette de chair que l’incube manipulait, qu’il utilisait de la sorte. Et pourtant, elle n’aurait jamais pensé aimé se soumettre de la sorte pendant des rapports intimes. Mais Alastar dépassait toutes ses inhibitions, il la guérissait et lui rendait cette confiance en elle qu’elle n’aurait jamais dû perdre.

Ses prunelles étaient fixées sur la télévision, et elle poussa un gémissement étranglé en contractant ses muscles vaginaux autour de sa hampe de chair.

« Aaaah, je t’en supplie, glissa-t-elle en bougeant ses hanches, impatiente et électrisée. »

Le Diablotin

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En tapant à la porte de l’Incube, Calliope avait frappé à la bonne porte. Les démons de Luxure étaient loin, pour la plupart, d’être aussi gentils que lui. En ce moment, Alastar était surtout intéressé par faire plaisir à cette femme, par satisfaire l’appétit terrible qui semblait habiter en elle. C’était aussi pour ça qu’il aimait bien Seikusu. Avec cette ville, il y avait quelque chose de particulier, quelque chose qu’il ne retrouvait pas ailleurs. Les femmes de Seikusu étaient relativement résistantes, très endurantes, comme s’il y avait, dans cette ville, quelque chose qui justifiait la forte lubricité qui y régnait. Et, quoi que soit ce quelque chose, il ne dérangeait sûrement pas Alastar. Que ce soit les lycéennes en culotte courte du lycée Mishima,  ou les femmes mûres comme Calliope, les délicieux fruits qui se trouvaient ici étaient tous très mûrs.

Il explorait doucement le corps de Calliope, caressant sa peau, se frottant à elle, comme si ce corps était celui d’une idole. Une peau chaude, tendre, moelleuse à souhait, attestant de hanches solides. La magie se mélangeait au sexe, ce qui ne gênait clairement pas Calliope. Elle voyait les caméras flottant autour d’eux comme un moyen supplémentaire d’excitation, notamment quand, jaugeant son œil sur l’écran télévisé, elle y vit un gros plan sur leurs sexes mutuels.

Ensemble, ils avaient déjà fait de multiples positions, elle avait pu voir que son amant était solide, résistant, et costaud. Et il comptait encore longuement profiter d’elle, poursuivre cette délicieuse orgie. Soupirant lentement, il appréciait cette sensation. Cette attente, comme l’insupportable calme avant la tempête... La sensation ô combien douloureuse de son mandrin, lourd et tendu, qui semblait respirer les effluves de plaisir s’échappant des délicieuses lèvres intimes de Calliope. Il était là, dressé devant, comme un soldat aiguisant et lubrifiant sa baïonnette avant de charger dans la tranchée ennemie. Alastar remuait un peu des hanches, soulevant ainsi sa queue, qui se redressait pour taper contre le corps de la femme, glissant dessus. Oui, il la frustrait, et il se frustrait, comme un stentor qui modulerait sa voix pour enflammer l’ardeur de ses troupes.

Alors, elle lui demanda de la baiser comme une « chienne », de la remplir comme une « salope », et, bonheur suprême, ultime excitation de sa fierté masculine comblée, le supplia. Il ne put que sourire, sa queue caudale venant caresser son corps... Puis il donna une petite gifle sur ses fesses.

« Oui, si tu me prends par les sentiments... »

Il se pencha alors vers elle, courbant son dos vers l’avant, sa queue venant davantage caresser ses cuisses, et il se rapprocha ainsi de sa tête, venant mordiller un peu son cou.

« ...Laisse-moi donc te faire hurler. »

Il se releva alors, se remettant bien debout, écarta un peu les jambes, puis crispa ses mains sur les hanches de la femme... Et donna un coup de reins. Comme si son sexe était aimanté par celui de Calliope, il s’enfonça alors en elle, lourdement, filant en quelques secondes jusqu’à la garde, puis se recula, et retourna en elle. Sa queue avait beau être grosse et épaisse, les lèvres intimes de Calliope avaient déjà goûté à ce membre, à cette virilité, et, ce faisant, elles étaient prêtes à le recevoir, prêtes à danser avec lui. La chair claqua contre celle de Calliope, ses testicules heurtèrent ses fesses, tandis qu’il se reculait, puis revenait à l’assaut, s’enfonçant davantage dans cette tranchée luisante et inondée.

Ses mains serraient les fesses de la femme, et il la prenait en levrette, soupirant lentement, la sentant couiner et gémir, en subissant ses assauts. La levrette, une position magique, qu’Alastar aimait autant que celle où il se retrouvait sous le corps de la femme. L’Incube avait ses petites préférences, et, s’il aimait bien la position actuelle, c’était parce que son amante était à quatre pattes devant lui, et qu’il avait, outre une vue fantastique, une amplitude beaucoup plus forte. Les mouvements que l’homme pouvait donner étaient bien plus importants, bien plus forts.

« Haaaa... !! Putain, ouais ! »

Une nouvelle gifle s’abattit sur la croupe de la femme, plus forte. Il sentait l’adrénaline éclater en lui, fusant le long de ses veines, tout en continuant ses mouvements, tout en la prenant, encore et encore.

« Tu aimes ça, hein, ma petite pute ? Hhhmmm... J’ai beau t’avoir déjà baisé dans tous les sens possibles... Haaa... Je me sens encore comme un assoiffé quand je m’enfonce en toi. Hum, ma douce Calliope ! Quelle chienne formidable tu fais ! »

Sa main caressa ses cheveux, et il s’empara alors de ces derniers. Il ne cherchait pas à les arracher, mais à maximiser encore les mouvements qu’il faisait, en s’en servant pour soulever le corps de Calliope, avant de les relâcher.

Alastar était bien loin d’en avoir fini avec elle, et sa main alternait entre les cheveux et le cul de Calliope, sur lequel il revenait fréquemment se poser, afin de la gifler... Encore.
DC d’Alice Korvander.

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Calliope Tick

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Oh oui, oh oui, oui, oui, mille fois oui. Calliope adorait qu’Alastar la démonte de la sorte. A quatre pattes sur le sol, elle ondulait et gémissait, criant même quand il giflait ses fesses bombées, adorant ce soupçon de souffrance qui rougissait sa peau tendre, et la prise dans sa crinière ne faisait que renforcer cette tension insoutenable qui l’habitait. Elle adorait qu’il la pénètre avec force et volupté, et de voir leurs ébats sur la télé, grâce à la caméra qui filmait toujours, ça la rendait encore plus tremblante de désir.

« J’adore, parvint-elle à haleter. Possèdes-moi comme…Ah ! Comme ta petite putain personnelle, ajouta-t-elle en gémissant de plus belle. »

Son désir exacerbé par l’angle nouveau sous lequel elle observait leur étreinte, sous lequel elle s’observait être prise sauvagement… C’était terriblement sexy. Déglutissant avant de s’étouffer à force de gémir sans avaler sa salive, la rousse ondulait son corps pour répondre aux sollicitations de l’incube. La caméra se déplaça devant elle, et filma encore plus bas, se glissant sous sa lourde poitrine qui ballotait pour venir la laisser admirer l’emboîtement de leurs sexes sur le grand écran.

« Oh, dieu, oui ! Cria-t-elle en observant son intimité ruisselante et rougie, gonflée par le plaisir charnel. »

Elle redoubla d’ardeur à creuser le dos, ses muscles intimes se resserrant férocement sur le sexe raidi qui la pénétrait, l’aspirant encore plus si c’était possible.  Ses gémissements ressortaient par les enceintes de la télé, et donnait à la scène une sorte d’irréalité fascinante, comme un écho qui se poursuivrait bien après la fin.

« Oh Alastar…. Plus fort, lâcha-t-elle, sa voix se changeant en un cri rauque sur la fin alors qu’elle se cambrait de plus belle. Pitié, démontes-moi comme la pire des traînées. »

Oh, qu’elle était vilaine, la petite Calliope. Transfigurée par le plaisir qui faisait trembler ses membres, qui déformait ses traits en une grimace de luxure pure. Elle serrait tellement ses muscles, ses cuisses, que sa féminité suintait de plus belle de cette liqueur féminine à l’arôme lourd.

« J’ai-J’aime quand tu me prends ainsi… J’aime voi-voir ça sur grand écran… »

La caméra s’était à nouveau déplacée, pour fixer un gros plan sur le dessus de son dos. On y voyait à présent les rondeurs de ses fesses et, plus bas, la verge écarlate qui labourait son vagin. On voyait aussi l’anneau rougi de son anus, presque pourpre, exposé en gros plan. Et Calliope se mit à supplier le démon de l’honorer également par la suite.

Le Diablotin

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    Spéléologue amateur de trous
Ah, quelle femme ! Cette Calliope était une autochtone admirable, la preuve que les démons avaient raison de banquer sur les humains. Ils faisaient l’amour depuis des heures, maintenant, avaient exploré quantité de positions, et, à chaque fois, Calliope en redemandait, revenait à la charge. Rien ne semblait pouvoir l’épuiser, ni tarir sa soif. Pauvre femme... Oui, le Diablotin se sentait désolé pour elle, car il savait que les humains étaient peu endurants par nature, les mâles ayant tendance à se dégonfler dès le premier coup tiré. Alors, quand on voyait une telle femme, une telle énergie... Oui, Alastar comprenait pourquoi elle était célibataire, alors qu’elle avait toutes les qualités requises pour plaire à n’importe quel homme. Elle avait justement tropde qualités, trop d’endurance, trop de soif... Bien trop pour qu’un simple humain puisse la contenter. En ce sens, leur rencontre avait quelque chose de miraculeux, Alastar venant épancher les soifs de cette femme.

Calliope se faisait ainsi prendre en étant à quatre pattes, tandis que l’homme, imperturbablement, la labourait, s’enfonçant dans son vagin. La position de la levrette marchait très bien, tant pour un coït que pour une sodomie, car, étant debout, il avait naturellement plus d’amplitude. Le Diablotin la prenait donc, s’enfonçant en elle, sa virilité bien grosse labourant les chairs de la femme. Ses mains se crispaient sur son corps, et il admirait le spectacle, salivant dessus, de la sueur coulant progressivement le long de son torse.

« Hmmm... Ah... Calliope, hmmm... »

Elle haletait, elle hurlait, mais, tout en la prenant, il sentait sa frustration croître. Diable ! Quelle femme ! Alors qu’il la prenait, et qu’elle mouillait, elle en voulait encore plus ! Alastar aurait pu utiliser sa queue caudale pour pouvoir la prendre par le cul, mais... Il avait déjà fait ça, et une autre idée vint germer dans son esprit. Un fin et bref sourire naquit même sur ses lèvres, et, probablement à la surprise de Calliope, il se retira alors. Le choc fut saisissant, sa grosse queue sortant d’un corps agréable, chaud et liquide, pour se retrouver à l’air libre. Une brève sensation de vertige le traversa, tandis que son membre semblait pulser dans le vide, oscillant à chacune des profondes respirations de son porteur. Serrant les poings, Alastar soupira lentement, puis ferma les yeux, et se concentra.

La magie se mit à vibrer autour de lui, et, très rapidement, Calliope allait comprendre ce qu’il faisait. En effet, au bout de quelques instants, une sorte de fine vapeur rouge s’échappa de son corps, tournoyant autour de lui, répandant un souffle chaud et sensuel, puis la vapeur grossit, se concentra... Et se transforma. C’est ainsi que, à côté d’Alastar, un autre Alastar arriva. Un clone de l’Incube, similaire en tout point à ce dernier, avec la même rigidité à hauteur de la queue.

« Haaaa... Navré de t’avoir fait attendre, ma salope...
 -  Mais, pour soulager une pute comme toi, il va falloir mettre les bouchées doubles ! »

Les deux Incubes s’approchèrent alors, et la magie continua à agir. Depuis le plafond, des tentacules rouges jaillirent, et vinrent saisir les poignets de la femme, puis la forcèrent à se redresser. D’autres tentacules s’enroulèrent autour de ses chevilles pour faciliter le déplacement, et, en quelques instants, la femme se retrouva avec les bras et les jambes écartés, en position de croix, entourée par les deux démons.

Arborant un sourire vorace, Alastar, qui se masturbait légèrement, retourna se perdre en elle, et son clone, de son côté, en profita pour s’enfoncer dans ses fesses.

Il n’y eut aucun baiser, si ce n’est un mordillement du cou de la femme. Aucun baiser, car Alastar voulait l’entendre hurler.
DC d’Alice Korvander.

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Tags : demon erotique vaginal anal fellation