Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Calliope Tick le jeudi 17 juillet 2014, 16:27:19

Titre: Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le jeudi 17 juillet 2014, 16:27:19
« Tu es sûre ? Ce n'est pas un peu dangereux ? »

La voix hésitante, Calliope croisa les jambes sur le canapé. Elle dirigeait son regard incertain vers une petite japonaise dont les cheveux étaient péroxydés.

« Mais oui. C'est sans dangers. Selon le livre, le démon sera prisonnier du cercle de sel et de cristaux. Il sera obligé d'obéir aux moindres de nos ordres. »

Peu convaincue, la rousse regarda tour à tour ses quatres amies. La japonaise blonde, Nana. Puis une petite coréenne aussi brune que la nuit, Ayaka, et aussi menue qu'une enfant. Son regard passa ensuite à Jill, une européenne exilée. Blonde aussi, mais plus sulfureuse que la japonaise. Et enfin, elle termina avec Octavia, la débauchée. Franco-Japonaise, brune, et terriblement sensuelle. Décadente. Rassurée par la détermination de ses amies, Calliope se leva, et rejoignit le cercle qu'elles formaient sur le parquet de son salon. Elle leur donna la main, et psalmodia avec elles le soit-disant rituel.

Nana jetait des ingrédients dans un espèce de chaudron fumant. Puis elle fit passer, parmi elle, une dague effilée. Les autres filles évitèrent soignement de se couper, embrassant délicatement la lame. Mais Calliope se montra plus maladroite, et elle s'entailla la lèvre inférieur, dans le coin droit. Une goutte de sang tomba sur l'argent de la lame. Poussant un petit gémissement, la rousse lécha sa lèvre, et rendit la dague à Nana qui la plongea dans la mixture bouillonnante.

Alors, avec les autres, Calliope récita son texte, peu convaincue cependant.

« Viens, je t'en conjures, et exauces mes désirs les plus profonds. Viens, et obéis-moi. Je t'appelle, démon. »

Grand silence. Seule la musique mystique mise par Octavia troublait le silence dans l'appartement. Elles attendirent un moment. Dix minutes peut-être. Mais rien ne se passa. Découragée, et un peu soulagée, Calliope se leva. Les autres filles étaient déçues. Elles ramassèrent le matériel en silence. Puis, se saluant, les filles finirent par partir, laissant Calliope seule.

Calant tout le matériel du rituel dans un placard, elle partit prendre une longue douche chaude. Quand elle en sortit, dégoulinante, la salle de bain était embuée. Elle s'enroula dans une serviette éponge, et alla dans sa chambre. Malgré la pénombre, elle se dirigea sans encombre vers son armoir. Elle en sortit une petite culotte en dentelle et en coton, blanche, et l'enfila une fois séchée.

Laissant tomber la serviette sur le séchoir, elle se glisse alors dans ses draps, appréciant la douceur et la fraîcheur du satin. Mais quelque chose la chiffonnait. Une... Une présence ?

Elle tourna la tête. Son lit était plutôt grand. Et, de l'autre côté, une silhouette sombre. Dans le noir, elle ne distinguait rien de plus que les contours. Mais ça lui suffit. En sursautant, elle manqua de tomber du lit. Se réfugiant au bout du matelas, serrant le drap de satin contre elle, elle laissa échapper d'une voix qui se voulait imposante (mais dont le résultat n'était guère probant) :

« Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le vendredi 18 juillet 2014, 02:05:34
Dans la vie d’un démon aussi demandé qu’Alastar, on s’ennuyait rarement. Hier encore, il était à consoler une femme incapable de jouir avec son amant, un bon-à-rien incapable de la prendre bien comme il faut, éjaculateur précoce. Le couple suivait une thérapie, les pauvres. Apprendre à se servir de sa quéquétte, pour un homme, c’était le comble ! Ayant un appareil qui fonctionnait très bien, Alastar s’était empressé d’en faire la démonstration à la jeune femme, la baisant dans son bureau, en se faisant passer pour son employeur. Il lui avait laissé un petit cadeau en gestation dans son ventre, et était reparti heureux, en la laissant étalée contre le mur. Ses hurlements avaient été entendus par la secrétaire, et le regard qu’elle avait jeté à son « employeur » quand Alastar était sorti laissait entendre qu’il avait fait son Cupidon

Il n’avait donc que des raisons d’être heureux, et, ce soir, il se reposait chez lui, dans le palais infernal des Magoa, un temple voué à la luxure et à la débauche sexuelle la plus totale. Il couchait avec plusieurs femmes quand il avait ressenti, dans ses entrailles, un appel lointain. Troublé, il s’était relevé, et avait fouillé dans ses souvenirs. Quelqu’un cherchait à l’appeler… De bien mauvaise manière. Il reconnut cinq gouttes de sang, un bien maigre sacrifice pour invoquer un incube, et remonta à la source magique de l’invocation. Aucun glyphe, aucun cercle protecteur, des amatrices prépubères en manque de sexe qui invoquaient un démon pour s’amuser. Le grand classique des soirées copines où, après avoir distillé toute leur haine contre ces foutus mecs idiots qui ne comprenaient rien, elles en venaient à verser dans l’occultisme, pour glousser ensuite comme des dines. Parfois, des démons farceurs s’amusaient à les paniquer, mais, généralement, les démons ne sentaient rien… Sauf que, cette fois, il y avait quelque chose de particulier, quelque chose qui avait attiré Magoa.

Une esclave dansait sur lui en s’empalant sur sa verge, enceinte du Diablotin depuis plusieurs femmes. Parmi les groupes sanguins, il y en avait un qu’il reconnaissait, et le répertoria rapidement : une métisse. Père français, mère japonaise. Octavia. Il l’avait culbuté il y a quelques années, et Alastar avait une mémoire sexuelle terrifiante, se rappelant intégralement de toutes ses conquêtes. Il avait couché avec cette fille lors d’une soirée étudiante. Elle était ivre, et il l’avait baisé jusqu’à l’aube, en lui disant qu’il était un étudiant australien… Allez savoir pourquoi, les gens fantasmaient sur les Australiens. Elle était chaude comme la braise, et il fallait croire qu’elle l’avait mis enceinte.

*Je devrais arrêter d’engrosser toutes mes partenaires…*

C’était le signe qu’il était en bonne santé, oui, mais c’était tout de même légèrement effrayant. Elle avait probablement du avorter. Alastar hésita un peu à aller les voir. De mémoire, cette Octavia était plutôt belle, et, pour un Incube, cet argument était souvent central. Ces autres minettes devaient probablement être belles aussi. Il termina de coucher avec son esclave, jouissant en elle, puis se releva, et choisit d’accepter leur invitation. Pour un Incube, rien n’était plus facile que de sortir de sa dimension infernale, car il suffisait qu’une seule personne soit dans un état de frustration sexuelle pour que les Anges ne viennent pas dire quoi que ce soit. L’argument cynique du Diablotin était de considérer que, ce faisant, les Anges pouvaient se rincer l’œil depuis leurs tours d’ivoires.

Il se téléporta donc, et atterrit dans la chambre de la propriétaire de l’appartement. Il adorait inspecter seul les chambres des filles. Il ouvrit tous les placards, fit son curieux, sans aucune gêne, tandis que la propriétaire des lieux se douchait. En voyant ces petites culottes, il sentit l’érection revenir à nouveau, et hésita à aller la rejoindre dans la douche.. La baiser en sentant l’eau chaude ruisseler sur leurs corps, dans un espace clos… Sans gêne, Alastar renifla l’une de ses culottes. Aurait-il eu plus de temps qu’il aurait joui dans plusieurs de ses sous-vêtements, ne serait-ce que pour satisfaire son côté farceur.

La douche se termina alors, et Alastar sortit de ses pensées joueuses.

*Non… Attends-là plutôt dans son lit..*

D’un point de vue sexuel, un lit était une banque mémorielle impressionnante. Alastar referma tous les meubles, à l’aide de la magie, et se glissa dans le lit. Il frissonna au contact des draps en satin, et commença à renifler le lit, afin d’en sentir les effluves sexuelles… Le nombre de fois où elle s’était caressée, où elle avait joui, les dépôts de cyprine ou les traces de sperme… Il pouvait les sentir.

C’était un véritable archéologue du cul.

Il sentait chez cette humaine une puissance sexuelle très stimulante, un appel particulièrement grisant. Pour autant, il n’eut guère l’occasion d’en savoir plus, car la porte s’ouvrit, laissant entrer la femme, en serviette. N’osant plus respirer, Alastar se retourna, et usa rapidement de sa vision pour voir à travers sa serviette, faisant parler sa magie. Il loucha sans vergogne sur son adorable petit cul, et la laissa enfiler sa culotte. Son sexe bandait de plus en plus, tendu à lui en faire mal. Elle avait attrapé une culotte qu’il avait reniflé et même léché.

*Ah, j’aurais du jouir dedans !*

Maudite soit sa timidité ! La femme, qui n’avait toujours pas remarqué sa présence, s’approcha ensuite, toute nue, avec ses lourds seins se dandinant devant elle, du lit, et l’ouvrit, avant de se glisser à l’intérieur. Alastar était sidéré par une attitude aussi... Absente. Semblant alors réaliser qu’elle n’était pas seule, et qu’Alastar soufflait de plus en plus fort, rapprochant ses doigts de sa nuque, elle tourna la tête… Puis bondit sur le côté du lit, s’arrachant à l’attraction de ses doigts.

Elle ne le voyait pas vraiment dans la nuit, et lui demanda qui il était. Les yeux d’Alastar se mirent alors à luire dans l’obscurité, et un sourire carnassier éclaira son visage.

« Qui je suis ? Une belle petite poulette invite donc des inconnus chez elle ? Ce n’est pas très prudent, qui sait sur quel genre de malade sexuel elles pourraient tomber… »

Alastar se décida à lui faire une petite démonstration, et claqua des doigts.

Immédiatement, toute la pièce prit feu. Tous les placards s’ouvrirent, et tous les vêtements s’enflammèrent, de même que le sol, les murs, ou le lit. Un feu tonitruant et surpuissant qui éclaira toute la pièce, révélant le corps rougeâtre et séduisant du démon, qui écarta à l’aide de sa queue caudale la couette. Les flammes brûlaient dangereusement, et, d’un autre claquement de doigts, Alastar les éteignit toutes, replongeant la pièce dans l’obscurité…

…À l’exception de bougies brûlant dans les coins, apparues comme par enchantement.

« Voilà qui donne un caractère plus intimiste, ma chère… Je suis Alastar Magoa, Incube de mon état. Un vrai démon, avec la peau rouge, les cornes, la queue caudale, et qui fantasme sur ton petit cul bien moulant. »

Tout était dit. Il sourit à nouveau, et poursuivit :

« Toi et tes copines ont tenté de m’invoquer, et, dans mon extrême mansuétude, j’ai décidé d’y faire droit… »

Un sourire moqueur éclaira son visage.

« Alors, tu ne sautes pas de joie en me voyant ? Ton lit est vraiment très confortable, en tout cas… »

Son ton était doux, sensuel, presque cajoleur… Mais il ne fallait pas faire confiance aux démons.

N’est-ce pas ?
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le vendredi 18 juillet 2014, 15:27:17
« Qui je suis ? Une belle petite poulette invite donc des inconnus chez elle ? Ce n’est pas très prudent, qui sait sur quel genre de malade sexuel elles pourraient tomber… »

La voix de l'homme, car s'en était un, la fit frissonner. Un mélange confus de peur, mais également d'une pointe de curiosité et d'excitation. La jeune femme n'avait pas eu de relations sexuelles depuis un petit moment, maintenant, et savoir un homme si près d'elle, ne pas pouvoir le dévisager clairement, ça avait un petit côté excitant.

Cependant, ça ne dura pas. Bientôt, la pièce prit feu. La luminosité lui permit de voir l'homme, et de constater que non seulement ce n'était pas vraiment un homme, mais qu'en plus, il était nu.

Mais le caractère spectaculaire des flammes qui dansaient dans la chambre eut raison de la logique de Calliope, et, terrifiée, elle revint presque contre l'inconnu qui était dans son lit. Sa terreur devait se lire sur on visage. Elle compris, confusément, que l'homme était un démon. Mais ça ne l'empêcha pas, Dieu sait pourquoi, de chercher une protection près de lui.

Quand elle s'en rendit compte, elle sursauta de nouveau. Et s'écarta de plus belle. Elle était perdue. Effrayée. Surprise. Et de nouveau, un peu excitée, même si elle ne voulait pas se l'avouer. Les flammes s'éteignirent, mais des bougies subsistèrent, permettant aux deux individus de se voir plutôt nettement.

« Voilà qui donne un caractère plus intimiste, ma chère… Je suis Alastar Magoa, Incube de mon état. Un vrai démon, avec la peau rouge, les cornes, la queue caudale, et qui fantasme sur ton petit cul bien moulant. »

Elle ne sut comment réagir à cette annonce. Hurler de peur ? S'offrir sans résistance à lui ? Quitter la pièce et revenir armée pour le menacer ?

« Toi et tes copines ont tenté de m’invoquer, et, dans mon extrême mansuétude, j’ai décidé d’y faire droit… »

Oh. Ainsi donc, ce pseudo rituel avait fonctionné. Se mordant la lèvre, Calliope se promit de faire bouffer à Nana ses idées pourries. La prochaine fois, elle s'abstiendrait de participer.

« Alors, tu ne sautes pas de joie en me voyant ? Ton lit est vraiment très confortable, en tout cas… »

Elle déglutit rapidement.

« Euh... Vous ne me voulez pas de mal ? »

Elle était un peu perdue. Pourtant, elle était très rationnelle en temps normal. Mais là... Mise devant le fait accompli, elle révisait toutes ses certitudes sur l'occulte et le paranormal.

Il paraissait vraiment digne de confiance. Elle avait envie de lui faire confiance. Mais était-ce vraiment raisonnable ? Sûrement que non. Pourtant, une petite voix en elle soufflait : Puisqu'il est là. Autant en profiter. Non ?

Bien sûr, elle pourrait. Mais elle hésitait. La peur, sans doute. La surprise. Et puis, il n'était pas si mal. Le teint rouge de sa peau, ses cornes et son regard... Autant d'argument en faveur du démon. Il lui plaisait, sans qu'elle ne veuille se l'avouer. Et il était nu. Dans son lit. Avec elle, qui était aussi presque nue.

« Vous... »

Elle s'interrompit. Le vouvoyer mettait une distance entre eux. Et elle avait l'impression d'être une enfant qui parle à son professeur.

« Tu... Tu es là pour faire quoi ? Accomplir des voeux ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le samedi 19 juillet 2014, 02:27:58
Son petit tour marchait toujours. Mais elle ne tomba pas dans les pommes. Un bon point pour elle. Elle était paniquée, oui, mais ce qu’il avait reniflé sur son lit était conforme à ce qu’elle était : en manque. Une belle petite poulette sexuellement frustrée. Peut-être que c’était finalement ça qui l’avait attiré, en définitive... Le Diablotin avait un grand cœur. Il ne supportait pas la misère humaine, et partait du principe que le cul était sacré. Dans sa philosophie du monde, Alastar considérait que le meilleur moyen de répandre l’amour et la paix entre les peuples, c’était de les décoincer du cul et d’organiser des orgies collectives. Hey, ce n’était pas si stupide que ça ! Pour Alastar, toute créature vivante était naturellement appelée au sexe, un moyen de se reproduire. La Nature était bien faite, et appelait les espèces à se reproduire. Si on ne pratiquait pas régulièrement une activité sexuelle, le corps était en manque, et ce manque engendrait une frustration, une frustration qui engendrait de la colère, de la jalousie, de la convoitise, de la rage... Bref, des tas de trucs négatifs. Alors que, inversement, quand on baisait, on avait le corps apaisé, et il en allait de même pour l’esprit. Voilà pourquoi Alastar avait comme vision utopique du monde un immense bordel à ciel ouvert où tous les litiges seraient résumés à coups de triques, et où il pourrait butiner des Anges à longueur de journée en enchaînant les femmes en les prenant contre des parcmètres (Alastar n’avait encore jamais fait l’amour contre un parcmètre, c’était une idée à tenter).

Pour l’heure, sa dulcinée oscillait entre l’envie de foutre le camp en hurlant au démon comme une hystérique venant de décrocher la cagnotte au Loto, et l’envie de s’empaler sur sa verge. Tout nu, Alastar exposait son corps sans crainte. Il savait qu’il était beau. Les Incubes et les succubes étaient les plus beaux des démons, car ils étaient des créatures de Luxure... Ceux qu’on pardonnait, car ils ne faisaient généralement pas trop de mal. Les Anges ne les aimaient pas, bien évidemment, mais ils reconnaissaient que ces démons-là, surtout les Incubes, n’étaient pas spécialement dangereux, et qu’on pouvait donc tolérer, dans un moindre mal, leurs agissements dans les Plans Intermédiaires. Et puis, de toute manière, il avait été appelé... Un appel totalement foireux, certes, mais un appel quand même.

Durant son petit tour, la femme s’était rapprochée de lui, et il observait ses belles tâches de rousseur, sa longue chevelure, sa silhouette veste, ses seins complets et généreux, et... Aaaaah, bon sang, il avait furieusement envie de la baiser ! Alastar restait calme, mais on pouvait voir que sa queue de l’avant était tendue, et que sa queue caudale remuait sur le lit, fouettant ce dernier. Elle lui demanda s’il comptait lui faire du mal, et il répondit avec un sourire énigmatique, ses beaux yeux bleus plantés dans ceux de la femme, qui reprit ensuite, décontenancée, demandant s’il était là pour accomplir des vœux.

En entendant ça, Alastar cligna des yeux. Couché sur le flanc, il soutenait sa tête avec l’une de ses mains, et répondit rapidement :

« Est-ce que j’ai l’air de ressembler à un génie, trésor ? Toi et tes copines avez joué avec le feu... Votre Maman ne vous a donc jamais dit qu’il ne fallait pas invoquer les démons sans y réfléchir ? Aucun glyphe de protection, aucun sceau, rien... Si votre sort avait réellement marché, vous seriez déjà mortes toutes les quatre. »

Il le disait sans exagérer. Il se déplaça alors, se téléportant comme par enchantement, dans un nuage de fumée rougeâtre. La fumée dégageait une délicieuse odeur, et il apparut dans le dos de la femme, s’appuyant contre l’un de ses meubles, bras croisés.

« Les démons n’aiment pas qu’on les invoque comme de vulgaires chiens. Nous avons notre honneur. Ne l’oublie jamais quand tu négocies avec un démon. Un démon est avant tout quelqu’un de fier. Si tu l’invoques sans précaution, soit il te tuera, soit il t’asservira... Vous avez foiré mon invocation, mais vous m’avez quand même invoqué. J’ai donc le droit de faire de toi mon esclave à vie, de t’emmener là d’où je viens... Sauf si tu arrives à me prouver que tu tiens à ta liberté. »

Il s’avança vers elle, et posa une main sur son menton. Un véritable étau. Le Diablotin n’était pas le démon le plus fort qui soit, mais il connaissait tout de même certains tours, et ses doigts se serrèrent sur le menton de la femme. Un sourire perlait sur le coin des lèvres du Diablotin, et sa queue caudale se déplaça alors, heurtant les fesses de la femme. Elle s’enfonça contre sa croupe, heurtant sa culotte.

« Si tu arrives à être une hôte agréable, alors je te laisserais tranquille... Voici mon prix, jeune femme. Vous êtes quatre à m’avoir invoqué, il me semble donc logique que tu doives m’endurer pendant quatre jours. Sois une excellente hôtesse pendant quatre jours, et ta dette sera effacée. »

Son visage se rapprochait du sien, et il relâcha son menton.

« Crois-moi que tu n’auras pas à le regretter, certains démons seraient bien plus terribles que moi... Quatre jours entiers avec un Incube... Certaines de tes congénères seraient prêtes à se damner pour avoir cette chance. Tu as beaucoup de chance, j’aime tes tâches-de-rousseurs. »

Ses lèvres étaient proches de celles de la femme. Alastar connaissait la loi, et, au sein de l’Enfer, il n’y avait qu’une seule loi qui tienne : leur honneur. Les démons étaient retors entre eux, hypocrites, menteurs, manipulateurs, meurtriers, cruels, mais c’était parce qu’ils plaçaient comme valeur cardinale à leur espèce leur honneur. La parole d’un démon était toujours valable. Un démon ne mentait tout simplement jamais ; il disait juste parfois la vérité de manière détournée.

« Si ce marché te convient, tu sais comment le sceller, ma jolie... »

Un baiser pour sceller l’accord.

Comme un conte de fées.

Un conte où la Princesse serait une frustrée en puissance et le Prince charmant un Incube avec deux queues.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le samedi 19 juillet 2014, 21:48:34
« Est-ce que j’ai l’air de ressembler à un génie, trésor ? Toi et tes copines avez joué avec le feu... Votre Maman ne vous a donc jamais dit qu’il ne fallait pas invoquer les démons sans y réfléchir ? Aucun glyphe de protection, aucun sceau, rien... Si votre sort avait réellement marché, vous seriez déjà mortes toutes les quatre. »

Non. Effectivement. Il ne ressemblait pas à un génie. Calliope voyait ces derniers comme le stéréotype livré par le dessin animé Disney, Aladdin. Un bon génie, bleu, aimable et plein d'humour, contre un mauvais génie, rouge, mauvais et bourré de rancoeur. Mais cet hom- Non, ce démon, il ne ressemblait à rien de tout ça. Elle le trouvait séduisant, plein de malice, et elle se sentait indéniablement prête à lui faire confiance. Pas à lui donner le bon Dieu sans confession, mais... Elle ne savait pas, au juste, ce qui lui prenait. Elle était déstabilisée. Décontenancée. Déboussolée.

Excitée, aussi.

Son regard ne cessait de parcourir le corps à nu du démon, effleurant les ciselures des muscles, la masculinité très honorable, et cette queue qui bougeait doucement, cet attribut que l'on attribuait toujours aux démons dans les histoires. Elle était excitée, et intriguée. Inexplicablement rassurée.

« Les démons n’aiment pas qu’on les invoque comme de vulgaires chiens. Nous avons notre honneur. Ne l’oublie jamais quand tu négocies avec un démon. Un démon est avant tout quelqu’un de fier. Si tu l’invoques sans précaution, soit il te tuera, soit il t’asservira... Vous avez foiré mon invocation, mais vous m’avez quand même invoqué. J’ai donc le droit de faire de toi mon esclave à vie, de t’emmener là d’où je viens... Sauf si tu arrives à me prouver que tu tiens à ta liberté. »

Les derniers mots d'Alastar arrachèrent Calliope à sa contemplation de l'espace où il s'était tenu avant de disparaître. Esclave ? Non. Jamais. Plutôt mourir. Elle avait déjà expérimenté la chose, par le passé. Et c'était loin de lui avoir plu. Elle ne voulait surtout pas réitérer l'expérience. Elle éviterait ce sujet autant que possible. A n'importe quel prix.

Elle ne tourna pas la tête pour observer le visage de l'Incube, mais elle ressentait nettement sa présence dans son dos. Elle, nue. Lui, également. Troublante situation.

« Si tu arrives à être une hôte agréable, alors je te laisserais tranquille... Voici mon prix, jeune femme. Vous êtes quatre à m’avoir invoqué, il me semble donc logique que tu doives m’endurer pendant quatre jours. Sois une excellente hôtesse pendant quatre jours, et ta dette sera effacée. »

Bon. Ce n'était pas déraisonnable, comme prix. Ce ne serait pas non plus une tâche trop désagréable à effectuer. Calliope a toujours été une bonne hôtesse. Une bonne poire aussi. Elle attirait les ennuis bien plus que n'importe qui. Heureusement, il semblait y avoir un ange gardien qui la faisait s'en sortir avec le moins de dommages possible. Le seul soucis de cet ange gardien, c'est que ce serait mieux s'il se débrouillait pour éviter qu'elle ne se mette dans les ennuis. Avant, que ça n'arrive. Et pas après.

Elle se raidit un peu plus, néanmoins, quand les doigts d'Alastar formèrent une étreinte un peu forte autour de son menton. Qu'elle sentit l'attribut caudale venir... Explorer... Ses fesses rebondies. Un territoire qu'elle aurait voulu encore vierge, par ailleurs. Mais la mauvaise fortune n'avait pas tenu compte de ses souhaits, de ses réticences.

Elle voulut dégager son menton, et chassa ses pensées parasites, revenant observer le visage du démon.

« Crois-moi que tu n’auras pas à le regretter, certains démons seraient bien plus terribles que moi... Quatre jours entiers avec un Incube... Certaines de tes congénères seraient prêtes à se damner pour avoir cette chance. Tu as beaucoup de chance, j’aime tes tâches-de-rousseurs. »

Oh, alors ça, elle voulait bien le croire sur parole, concernant les autres démons. Elle n'avait aucune envie de vérifier par elle-même. Mais quant à savoir si c'était réellement une chance, de passer quatre jours entiers avec un Incube... ça restait à voir. Ils allaient faire quoi pendant ces quatre jours ? Du sexe à ne plus en finir ? Ça risquait de piquer un peu, quand même. Elle doutait, toutefois, qu'il ne soit là juste pour boire un thé, mater un film ou jouer au Monopoly.

« Si ce marché te convient, tu sais comment le sceller, ma jolie... »

Oh, elle s'en doutait. Elle rouvrit les yeux. Elle ne se souvenait pas les avoir fermé. Ça avait dû se produire au moment où il avait approché son visage du sien. Elle avait décidément passé trop de temps sans contact masculin, pour être troublée aussi vite, et par trois fois rien.

Les lèvres du démons n'étaient qu'à quelques centimètres des siennes. Elle pouvait sentir son souffle caresser son visage.  Elle pouvait sentir la chaleur qui émanait de lui, et se propageait à elle. Elle entrouvrit les lèvres. Délicatement. Au ralentis, comme si elle n'était pas bien sûre de ce qu'elle faisait, elle approchait son visage. Ses lèvres. Calliope n'était pas réputée pour savoir choisir des hommes bons pour elle. Mais elle fonçait tête baissée, ou presque.

Et ce soir-là, ça ne fit pas exception.

Bientôt, les lèvres de la rousse vinrent caresser celles du démon. Doucement, elle darda la pointe de sa langue entre elles, et caressa les lèvres du démons. Une invitation. Une promesse. Un pacte scellé.

Prenant conscience de son geste, elle n'eut aucun remord. Au contraire. Ce fut comme si elle était boostée par cette idée. Un pacte avec le démon. Grisante situation. Elle se montra moins timide, plus passionnée. Ses lèvres se collèrent férocement contre celle d'Alastar, et elle s'arqua légèrement pour venir à sa rencontre toute entière. Presque nue. Ses mains vinrent effleurer la peau rouge du diablotin, puis s'y agripper fermement, le rapprochant d'elle.

Tout en l'embrassant, elle faisait le premier pas. Comme elle avait déjà vu faire dans pleins de films. Elle l'attirait vers elle. Sur elle. Elle s'allongeait sur le lit, continuant à le tirer contre elle, jusqu'à ce que son dos touche les oreillers. Jusqu'à ce qu'elle sente le poids du corps du démon contre le sien. Elle se trouvait soudain excitée. Affamée. La touche de sensualité apportée par les bougie n'y était pas non plus étrangère.

« Comme ça ? Souffla-t-elle du bout des lèvres, rompant l'étreinte linguale. Je l'ai bien scellé ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le dimanche 20 juillet 2014, 02:30:35
Le pacte fut rapidement scellé, et avec un engouement croissant. Les lèvres de Calliope se posèrent sur les siennes, sans qu’elle ne cherche vraiment à hésiter, ou à argumenter. La femme agit rapidement, surprenant presque Alastar. Elle posa ses lèvres contre les siennes, il les ouvrit, et sentit la langue de sa partenaire se rapprocher. Pour une humaine normale, faire l’amour pendant quatre jours semblait surréaliste. Pour Alastar, ce n’était pas si impressionnant que ça. En tant qu’Incube, il se nourrissait de l’énergie sexuelle. Le sexe était une force qu’il puisait pour renouveler ses forces. Il répondit à son baiser, sentant la femme prendre de plus en plus d’assurance, remontant ses mains pour les serrer près de sa nuque, ses seins s’enfonçant dans son torse. Le Diablotin frissonnait au contact de ses deux mamelons contre sa peau, et ses mains enlacèrent tendrement la femme, caressant son dos, la serrant contre son corps.

Alastar n’était pas qu’une brute sexuelle épaisse couchant furieusement avec ses amantes. Il savait aussi se montrer doux et tendre, comme le plus romantique des amants. Le Diablotin l’embrassait tendrement, yeux clos, sa queue caudale remuant toujours contre les fesses de la femme, sa verge tendue heurtant son ventre, sous son nombril. Il la sentit forcer, il sentit le baiser s’accentuer. Le plaisir montait en flèche dans le corps de sa partenaire, s’accroissant très rapidement. C’était intense, particulièrement tendre, et ce baiser était une excellente promesse pour le reste à venir. Elle l’embrassait avec une tendre ferveur, et il sentait toute cette accumulation sur le point d’exploser.

La femme se reculait lentement contre son lit, et il ne fit rien pour la retenir. Les chevilles de Calliope heurtèrent le rebord du lit, et elle se laissa tomber en arrière, s’affalant sur le lit, en sa compagnie, le corps du Diablotin s’écrasant sur le sien. Ses deux seins s’enfoncèrent encore contre son torse, formant comme deux délicieuses bosses chaudes et douces. La belle avait atterri contre ses oreilles, et il délaissa son dos, posant une main sur un autre oreiller, le serrant. Il l’embrassait à son tour, et fourra sa langue dans sa bouche. Cette dernière remua en elle, jouant avec la sienne, la serrant. Son autre main était posée sur les cheveux de la femme, les serrant, et il soupirait dans sa bouche, gémissant de plaisir, remuant un peu son corps contre elle. Son sexe en érection frottait contre la peau chaude de la femme, et, sous ce long et magnifique baiser, les idées et les fantasmes explosaient dans son esprit, fusant dans tous les sens. Pour le coup, on ne pouvait pas dénier au Diablotin un manque d’imagination.

Le baiser finit par se rompre, et Alastar redressa légèrement la tête, son éternel sourire sur le coin des lèvres.

« Tu as des lèvres délicieuses, Calliope... C’est magnifique de t’embrasser. »

Il avait bien le droit de la complimenter un peu. S’il connaissait son nom, c’était tout simplement parce qu’elle l’avait invoqué, et qu’il s’était un peu renseigné sur elle. Alastar n’était pas un télépathe, mais il savait lire les noms sur les boîtes aux lettres, ou sur les factures. Il se tenait au-dessus d’elle, l’observant silencieusement, et posa un doigt sur la bouche de Calliope, l’enfonçant tendrement en elle, remuant ce dernier. C’était comme une promesse pour ce qui allait suivre. Un sourire amusé éclairait les lèvres du diable rouge, et il le retira rapidement.

« Je pourrais te dire le programme... Mais je pense qu’un peu de mystère ne te fera pas de mal. Tu es chaude comme un volcan en éruption, ma belle... Ta misère sexuelle est vraiment triste, surtout pour une aussi belle poulette... Mais, pour répondre à ta question, oui, le pacte est scellé. Délicieusement scellé, même. »

Le Diablotin aimait bien parler. C’était même un grand bavard, ce qui lui valait souvent des coups de fouet de la part de sa charmante sœur, Onyxian. Il se pencha vers la femme, et ne retourna pas sur ses lèvres, mais sur ses seins. Il voulait encore la chauffer un peu, et sa poitrine l’attirait. Sa bouche se posa sur cette dernière, et il suça l’un de ses tétons, remuant sa langue dessus, le mordillant, l’autre sein de la dame ne tardant pas à être flatté par sa délicieuse main, qui pinça ce bout de chair rose.

Alastar prenait soin de ses amantes. On pouvait dire tout ce qu’on voulait de lui, mais il s’efforçait toujours d’imprimer dans leur esprit un souvenir impérissable.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 22 juillet 2014, 15:18:21
Alors qu'elle l'attirait contre elle, inexplicablement sensuelle avec cet inconnu, ce démon, l'embrassant avec une pointe d'excitation, elle sentait la dureté de son excitation contre son corps. Et ça la fit redoubler d'ardeur, jouant de sa langue contre la sienne, laissant un gémissement étouffé se faire entendre.

« Tu as des lèvres délicieuses, Calliope... C’est magnifique de t’embrasser. »

Le compliment la toucha. La rassura. Elle se mordilla les lèvres, avant qu'il ne vienne glisser un doigt entre elle. Joueuse, malicieuse, elle le suçota. D'abord la dernière phalange, sa langue caressant l'ongle alors qu'elle jetait un regard brûlant vers l'incube. Puis, elle le laissa l'enfoncer un peu plus. Elle l'aspira doucement, comme une promesse coquine. Comme une démonstration de ce qu'elle savait faire.

« Je pourrais te dire le programme... Mais je pense qu’un peu de mystère ne te fera pas de mal. Tu es chaude comme un volcan en éruption, ma belle... Ta misère sexuelle est vraiment triste, surtout pour une aussi belle poulette... Mais, pour répondre à ta question, oui, le pacte est scellé. Délicieusement scellé, même. »

Sourire amusé. Sourire chaleureux. Calliope ne restait pas de marbre devant Alastar. Elle se sentait s'enflammer. Quand il posa ses lèvres sur la pointe de l'un de ses seins. Qu'il mordille autant qu'il le voulait. Le contact bref et léger de ses dents sur son téton, de ses lèvres sur son mamelon, et de ses mains sur la courbe lourde de sa poitrine l'excitait. Elle se sentait moite. Mouillée. Il n'était pas avare en attentions, et son deuxième sein fut également gratifié de quelques caresses humides.

Soupirant doucement, elle passa ses doigts sur les épaules nues du diablotin, venant caresser la peau écarlate, savourant la chaleur qui émanait de son corps. Elle bomba un peu le torse, lui offrant sa poitrine comme le plus délicieux des mets. Elle commençait à être moins lucide. Chaude comme la braise. Le manque de relations charnelles ces derniers temps la rendait plus réceptive. Plus facilement excitée.

« Hmm... Oui, je suis chaude. Bouillante. Brûlante... »

Les mots s'échappaient sans qu'elle ne les contrôlent. Elle avoua son désir pour lui. Son corps se tendit contre lui, recherchant un contact prolongé, appuyé. Écartant les cuisses, elle se plaqua contre lui. Contre cette raideur qui pouvait lui donner tant de bien. Elle laissa ses doigts dériver, venant caresser les bras puissants du démon, se glissant contre les biceps, puis allant explorer le dos d'Alastar, effleurant sa peau, les muscles qui roulaient en dessous... Et finalement, elle vint agripper ses reins, cherchant à le sentir roide contre ses cuisses. Entre ses cuisses.

« Oh, Alastar... »

Son regard se fit malicieux, alors qu'elle lança, faussement détachée :

« Tu me montre un aperçu de ce que tu sais faire ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le jeudi 24 juillet 2014, 01:58:10
Cette belle femme lui avoua être bouillante. Il pouvait le confirmer. Le désir de Callipe éclatait contre lui. Il la sentait monter en flèche, s’enivrant à son contact. L’Incube ne dégageait en soi aucun phéromone qui aurait pu justifier cet état d’excitation. Il fallait croire que la pauvre était frustrée au point de croire à la venue d’un Messie en sa personne. Alastar, sauveur de ces dames ! Quand on vous disait qu’il avait une âme noble ! Calliope se serrait contre lui, bombant le torse, au fur et à mesure qu’il jouait avec ses seins. Il aimait ça, le Diablotin, il aimait profiter de son corps, il aimait sentir ces draps de velours contre lui, cette doucereuse sensation de féminité, ce mélange de volupté, de douceur, et de sauvagerie. Il aimait les femmes, indéniablement, surtout quand elles étaient belles, et qu’elles entretenaient leur beauté comme cette femme. Le Diablotin accomplissait presque une mission d’intérêt général... En tout cas, c’est comme ça qu’il voyait ce qu’il était en train de faire. Il ne venait pas forcer une femme à faire quelque chose d’impudique, il venait la soulager de sa frustration. Au-delà de leur invocation raté, il était bien possible que ce soit ça, en définitive, qui l’ait attiré : la promesse d’une longue étreinte amoureuse avec cette femme, la promesse de marquer son âme... Les démons voyaient sur le long terme. S’étendre avec un démon, goûter à sa luxure, voilà qui, selon les circonstances, pouvait vous garantir, si votre dossier n’était pas solide, la perspective de finir en Enfer... Et la trace d’un Incube ne disparaissait jamais totalement. C’était un pari sur l’avenir, mais Alastar retrouvait ainsi parfois certaines de ses amantes, qui, une fois dans la mort, devenaient à nouveau ses amantes. Pour le coup, il ne serait pas contre la perspective de goûter à nouveau à cette femme, de coucher avec elle pour l’éternité, et de la baiser suffisamment pour qu’elle finisse par devenir, elle aussi, une délicieuse succube qui reviendrait sur Terre tenter les mortels... Mais, bien sûr, ça n’était pas tout de suite.

Rêveur, le Diablotin revint à lui-même, profitant de l’instant présent, du corps de cette femme, de ces monts de chair, de ce corps qui se blottissait contre le sien en quête de caresses et d’une tendresse infernale, ce qu’il était tout à fait disposé à lui fournir. Contrairement à bien des collègues, féminins, mais parfois aussi masculins, il ne cherchait pas à piéger ses amantes. Les succubes, par exemple, étaient réputées pour être des trésors aux mortels interdits. L’amant qui ne parvenait pas à les satisfaire voyait son âme être dévorée par les succubes, devenant alors une espèce de pâle zombie, et un démon mineur. Alastar était moins traître.

Il s’attaqua aux seins de la femme avant de lentement se redresser. Elle se pressait contre lui, en maque, et il lui sourit, de ce sourire insolent et taquin qui le caractérisait si bien, ses beaux yeux bleus dévisageant la femme. Ses mains, encore une fois, allèrent se poser sur les seins de la femme. Il ne négligeait certainement pas cette partie du corps féminin. Les deux monts de douceur du beau sexe pouvaient faire tant de choses, quand on savait bien les manier. Les expertes mains de l’Incube les palpaient généreusement, avec un talent indéniable, afin de la faire languir, afin de la placer dans un état où elle ne pouvait que gémir, et peu à peu se laisser aller.

« Je pourrais te caresser les seins jusqu’à t’en faire perdre la raison, Calliope, t’exciter suffisamment jusqu’à ce que tu ne deviennes qu’une chienne ayant perdu toute conscience d’elle-même... Tu invoques des forces qui te dépassent, ma chérie. Pauvre petite mortelle arrogante, tu es si belle... »

Il la reniflait, savourant son odeur, et lécha son épaule, remontant le long de sa peau pour l’embrasser dans le creux de la nuque. Son sexe tapait contre les cuisses de la femme, s’enfonçant contre sa culotte, se glissant entre ses jambes. Sa verge semblait presque se diriger toute seule, tapant contre son intimité, se heurtant aux plis du sous-vêtement.

« Mais je ne suis pas aussi cruel... Ma pauvre, tu as du tellement souffrir, sur ce lit... Les belles femmes comme toi ne devraient pas être si frustrées, ma beauté. »

Il posa ses lèvres sur les siennes, l’embrassant. Une main se posa sur sa nuque, et l’autre coupa la culotte en deux d’un coup de griffe, son doigt filant sous cette dernière. Il remua un peu son bassin, et put finalement la fourrer, la libérant de sa souffrance. Comme si tout le corps de Calliope n’attendait que ça, la verge du Diablotin s’enfonça en elle, comme une main dans un gant.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le jeudi 24 juillet 2014, 16:51:43
Avait-elle cherché inconsciemment à appeler un démon pour satisfaire ce besoin-là ? Cette frustration flottait-elle en elle lors du rituel ? Peut-être. Possible. Probable même. Ses pensées se mélangeaient, et s'entrechoquaient avec le désir qu'il faisait naître en elle.

A première vue, la belle paraissait peu farouche. Peut-être était-ce bien vrai, mais la situation présente ne se présentait pas à tout le monde. Qu'elle cède aussi facilement, surtout étant donné la beauté du démon qui prenait un tel soin de sa poitrine, c'était facilement compréhensible. Si on ajoute à ça une longue abstinence, ça en devenait parfaitement justifié.

« Je pourrais te caresser les seins jusqu’à t’en faire perdre la raison, Calliope, t’exciter suffisamment jusqu’à ce que tu ne deviennes qu’une chienne ayant perdu toute conscience d’elle-même... Tu invoques des forces qui te dépassent, ma chérie. Pauvre petite mortelle arrogante, tu es si belle... »

Un gémissement lui échappa, alors qu'elle n'en pouvait plus d'être ainsi attisée, de se languir tellement. Elle soupira à nouveau quand la raideur mâle du diablotin entre ses cuisses. La présence de son sous-vêtement était de trop. Elle n'aurait pas dû le mettre avant de venir se coucher.

La rousse gémissait ce qu'elle pouvait, s'arquant pour venir se coller à l'incube. Elle était excitée. En manque. Elle n'en pouvait plus de cette attente. C'était insoutenable. Elle croyait perdre la tête, ses reins brûlant comme un brasier de la Saint Jean.

« Mais je ne suis pas aussi cruel... Ma pauvre, tu as du tellement souffrir, sur ce lit... Les belles femmes comme toi ne devraient pas être si frustrées, ma beauté. »

Elle ne répondit que pas un gémissement étouffé. Ses lèvres s'ouvrirent d'elles-même, répondant au baiser avec chaleur. Ses mains venaient caresser le corps d'Alastar, le pressant contre elle. Finalement, alors qu'elle était moite, trempée même, il vint soulager la tension qui l'habitait. La culotte ne fut plus un obstacle, et elle le sentit contre ses lèvres intimes. Il força l'entrée, et se retrouva prit dans un fourreau étroit, bouillant. Son intrusion la fit s'arquer contre lui, le poussant plus encore, jusqu'à ce qu'il viennent se ficher au fond.

Elle ressentait pleinement les sensations délicieuses que la pénétration lui procurait. Elle frémit, et griffa même un peu son amant dans le feu de l'action.

« Oh, c'est... Si bon... »

Électrisée, Calliope avait le regard grand ouvert. Ses pupilles étaient dilatées par le plaisir, à tel point qu'on ne distinguait presque plus l'iris. Elle semblait envoûtée. Il lui semblait qu'Alastar était fait pour elle. Il remplissait parfaitement son intimité. Elle serra les cuisses, le gardant contre elle un instant. Puis, d'elle-même, elle fit bouger son bassin. Elle se sentait bien là, dominée par la taille du démon, par la puissance qu'il dégageait. Et par son sexe qui l'empalait. Elle rejeta sa tête sur l'oreiller, gémissant plus fort. La boule de plaisir au creux de ses reins semblait enfler, enfler encore, à n'en plus finir.

« Ooooh... Alastar... »

Elle plongea son regard dans le sien, partageant son ressenti et s'agrippant à lui en même temps. Elle remonta ses genoux, presque contre sa poitrine, s'offrant toute entière et resserrant ses cuisses près de ses côtes à lui.

« Prends-moi sauvagement, souffla-t-elle, avide de sensations fortes. Fais-moi connaître l'extase, je t'en prie... »

Elle le regardait avec un air si séducteur, si... Suppliant... Elle avait vraiment besoin de se défouler, d'évacuer la frustration qui avait grandi en elle.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le dimanche 27 juillet 2014, 02:32:00
Ah ! Ah, que c’était bon ! Alastar revenait au schéma classique et éternel de la pénétration, de l’acte sexuel en ce qu’il avait de plus simple, de plus pur, de plus jouissif. Le Diablotin était loin d’être contre l’idée des préliminaires. Le sexe ressemblait à une sorte de montagne, ou, plus exactement, de toboggan. Plus on montait, et plus la descente était agréable. Dans le sexe, l’échelle du toboggan correspondait aux préliminaires, et l’extase à la descente, quand le vent vous fouettait au visage, et que le plaisir montait. De fait, tout le talent d’un Incube reposait sur l’exercice des préliminaires, sur la manière d’aiguiser la femme... C’était généralement elle qui, inconsciemment, appelait le démon, mais, très souvent, les femmes se refusaient à faire quelque chose qui leur semblait socialement inacceptable. Alastar se devait donc de les rassurer, de leur offrir un havre de paix entre ses doigts. Avec Calliope, les choses étaient différentes. La frustration de cette femme était forte, et elle s’était abandonnée à lui, résistant avec la force d’un deux face à un flush royal.

Il l’embrassa généreusement, puis retira ses lèvres, l’embrassant dans le creux du cou, léchant sa peau, la mordillant légèrement. Alastar voulait l’entendre gémir, il voulait l’entendre se tortiller et le supplier. Les gémissements d’une femme... N’y avait-il pas son plus onctueux que ceux-là ? Il les attendait avec une envie violente, Calliope fondant sous sa verge. Son antre intime s’était rapidement inondée afin de l’accueillir, et il donnait des coups de reins solides, ses tendres mains caressant le dos et les cheveux de la femme, en soutien. Sa queue caudale remuait, déformant la couverture en soie, et sa verge enflait et grossissait, afin de remplir au mieux possible l’espace offert à elle. Son sexe heurtait le clitoris de la femme, la rencontrant, s’unissant avec elle, fusionnant dans son corps. C’était le sexe, l’union des corps, une osmose préhistorique et intense. Il remuait en elle, comme il avait pu remuer dans le corps de tant de femmes, et c’était particulièrement agréable. Il se serrait contre elle, se lovant contre son corps chaud, et l’entendit le supplier.

*Gourmande..., songeait-il. Une simple pénétration ne te suffit pas, hein ?*

Il ne lui en tenait pas rigueur, et se contenta de légèrement sourire, l’un de ces sourires espiègles. Il était néanmoins peu convaincu que cette femme en tienne compte. Calliope avait relevé ses jambes, les enroulant autour de sa taille, contribuant à le maintenir contre elle. Elle en voulait plus, et il hocha lentement la tête, reculant son visage, l’observant. Si belle, si désirable. Son corps remuait tout seul, de plus en plus vite, de plus en plus lourdement.

« Très bien, ma puce... Si c’est ce que tu veux, je vais te baiser comme une grosse truie. »

Sa queue caudale tira sur la couverture en soie, l’envoyant s’envoler contre le mur, et il se releva rapidement. Une main serra les cheveux de Calliope, et une autre se posa sur les fesses de la femme. Le Diablotin se mit ainsi sur pied, à côté du lit, et maintint la femme contre elle. Sa main restait sur les fesses de la femme, et il se serra, continuant à remuer son sexe en elle. Sa queue caudale, quant à elle, vint à se déplacer, et caressa à nouveau les fesses de la femme, s’enfonçant dans sa croupe, dans cette petite raie. Son fondement était là, un petit trou rose. Alastar avait des pouvoirs magiques, qu’il utilisa.

Le bout de sa queue cracha une sorte de fluide dans le corps de la femme, s’enfonçant en elle. Il lubrifiait ses fesses, et resserra sa main sur ses cheveux.

« Je vais te baiser sèchement, ma petite salope, susurra Alastar contre son oreille, embrassant tendrement sa peau, la léchant. Tu la sens, hein ? Je vais défoncer tous tes trous de petite salope et te faire hurler... Oh oui, ma pute, tu vas hurler ! »

Il claqua ses fesses, sèchement. Elle était en manque, et il allait lui offrir ce qu’elle voulait : de la bestialité, de la sauvagerie... La baiser comme un démon le ferait. Il serra à nouveau ses cheveux, et sa queue caudale se transforma, le bout pointu se transformant en une longue verge effilée. Avec son autre main, il continuait à écarter ses fesses, et la pénétra alors là-dedans.

« Ooooohhhh, tu si étroite, ma chééérie !! Haaaan booordel qu’est-ce que c’est bon ! On n’a pas du souvent te défoncer le cul, HEIN ?! Héhé... SALOPE ! »

Il remuait en elle, ses deux queues bougeant en alternance dans son corps.

« Haaaan, tu mouilles comme une traînée, Calliope, devant un DÉMON ! Tu es une incorrigible... Petite... Pute..., glissa-t-il dans son oreille, murmurant les derniers mots. Et je vais te tringler comme tel, ma belle.[Pendant des heures et des heures, tu seras ma chose, une chose que je vais fourrer et baiser sans relâche. Je vais vider mes couilles en toi, et te faire hurler à t’en casser la voix. »

Il termina sa phrase en serrant sa main dans son dos, la griffant légèrement, ses dents venant ensuite mordiller son oreille.

Les choses sérieuses commençaient.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 05 août 2014, 02:45:59
« Très bien, ma puce... Si c’est ce que tu veux, je vais te baiser comme une grosse truie. »

Un soupire répondit au démon, alors qu'elle se laissait docilement faire. Agrippée à lui, elle posait presque sa tête contre la main qui lui maintenait les cheveux. Elle sentait toujours, en elle, l'imposante queue du démon qui l'écartelait sans pitié. Délicieusement puissante et comme adaptée à sa propre morphologie. Comme elle aimait la sentir racler contre ses parois intimes, provoquant d'indicibles petits frissons de plaisir.

Et quand cet autre membre de l'incube -cette queue pointue que tout bon diable possède dans l'imaginaire collectif- s'insinua entre ses fesses, crachant cet espèce de fluide lubrifiant qu'elle sentit pénétrer sa rosette presque vierge, un petit gémissement lui échappa.

« Je vais te baiser sèchement, ma petite salope. »

Le contraste entre les mots crus, et les gestes tendres d'Alastar faisaient frémir la rousse de plaisir. D'anticipation.

« Tu la sens, hein ? Je vais défoncer tous tes trous de petite salope et te faire hurler... Oh oui, ma pute, tu vas hurler ! »

Oui !, voulait-elle lancer, mais elle se mordit les lèvres à la place, arquant doucement le dos dès lors qu'elle sentit le bout de cette seconde queue effleurer son anus offert. Lubrifié.

« Ooooohhhh, tu si étroite, ma chééérie !! Haaaan booordel qu’est-ce que c’est bon ! On n’a pas du souvent te défoncer le cul, HEIN ?! Héhé... SALOPE ! »

Un gémissement lui répondit, alors que la sensation d'être doublement prise par l'incube lui faisait perdre la tête. Non, en effet, peu avaient profité de cet antre secret, et aucun n'avait su donner le moindre plaisir à la jeune femme de cette façon. Aucun, jusqu'à ce soir. Alastar savait s'y prendre. Même si la sensation était légèrement inconfortable au début, elle devint vite plutôt plaisante. Une pointe de douleur se faisait ressentir parfois, alors que son fondement s'adaptait à la présence en elle de ce second membre, mais rien de comparable à ce qu'elle avait autrefois vécu. C'était bien meilleur, ce soir.

« Haaaan, tu mouilles comme une traînée, Calliope, devant un DÉMON ! Tu es une incorrigible... Petite... Pute... »

Bien sûr qu'elle mouillait abondamment. Elle désirait Alastar d'une telle façon... Et ça faisait aussi trop longtemps qu'elle n'avait pas été remplie ainsi, comblée par la présence masculine... Elle gémit plus fort, s'agrippant à ses épaules, inclinant la tête contre ces doigts qui étaient crochetés dans sa chevelure.

« Et je vais te tringler comme telle, ma belle. Pendant des heures et des heures, tu seras ma chose, une chose que je vais fourrer et baiser sans relâche. Je vais vider mes couilles en toi, et te faire hurler à t’en casser la voix. »

Elle ne doutait pas de la véracité de ses propos. Resserrant ses cuisses autour du démon, elle lâcha même un cri quand les ongles de ce dernier éraflèrent la peau sensible de son dos. C'était si... Bon ! Surtout après autant d'abstinence forcée.

« Oui... Oui... Ouiii... Fais de moi... Haaa... Ce qu'il... Te... Plairaaaa... Oh, Alastar... Hmmm. »

Ses hanches bougeaient contre les siennes, et la sensation des deux membres en elle, presque collés si ce n'était ses parois intimes, qui bougeaient en décalé l'une de l'autre... Tellement bon... Dans l'action, elle planta délicatement ses dents dans l'épaule de l'Incube, étouffant un cri. Mais bien vite, elle rejeta la tête en arrière, préférant laisser libre court à ce plaisir qui l'envahissait, qui la faisait succomber.

« Aaaah ! Alastaaar... »

Ses doigts vinrent, à leur tour, griffer le dos du démon sous l'assaut du plaisir. Elle ne voyait plus que lui. Elle ne sentait plus que lui. En elle. Partout en elle. La faisant crier parfois, et gémir souvent, au rythme de ses coups de reins. De ses coups de queue. C'était exactement ce dont elle rêvait. Bestial. Sauvage. Suave. Passionné. C'était ainsi qu'elle voyait les relations charnelles. Peut-être pas avec un démon, certes, mais dans l'idée, c'était pareil. Elle, femme comblée, presque soumise. Lui, Alastar, homme fort, dominateur, et délicieusement bon amant. Tendre, mais à la fois brute. Et elle, Calliope, féline, autant que câline.

« Si... Booon... Hmmm. »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le vendredi 08 août 2014, 02:11:51
Un Incube... Un démon du sexe, créature de Luxure, spécialisé dans le sexe, dans la corruption, dans la Tentation et dans le désir. La Luxure, l’un des Sept Péchés capitaux, était son domaine de spécialité. Maudit soit le jour où un simple humain, avec sa petite queue rabougrie, son gros bide, et son haleine de chacal, serait plus raffiné et plus sensuel que lui. Alastar savait qu’il était beau, et qu’il était doué. Orgueilleux ? Il l’était juste un peu... Comme on pourrait l’être après avoir fait l’amour depuis des siècles avec des femmes magnifiques, venant de toutes les civilisations possibles. Ici, il avait littéralement éclipsé les préliminaires, se concentrant sur l’essentiel : faire plaisir à cette femme gourmande. Être un démon ne signifiait en effet pas nécessairement qu’on voudrait tuer tout le monde, voler les âmes des humains, ou quoi que ce soit d’autre. Le Diablotin volait juste un peu de leur corps en leur faisant joyeusement l’amour. Souvent, il faisait ça sur les femmes mariées, les mères de famille... Bref, des femmes pour qui la Luxure signifiait quelque chose. Avec cette petite Calliope, ce n’était que du plaisir. Rien que ça. Il était venu volontairement la voir, en répondant à une invocation ratée, usant de ce prétexte fallacieux pour labourer généreusement le corps de la femme. Alastar était un homme assez tendre et doux, galant, mais il pouvait aussi être d’une grande sauvagerie, et d’une vigueur redoutable.

Ses mains étaient posées sur les fesses de Calliope, les malaxant et les écartant l’une de l’autre, facilitant ainsi le passage de sa queue caudale. La belle était doublement pénétrée, son corps rebondissant contre celui d’Alastar, ses seins sautillant contre son torse. Elle haletait, gémissait, le griffait, aiguisant le plaisir du démon, l’excitant furieusement. Elle était en train de se perdre, et elle était belle, tellement belle, si belle ! Le Diablotin adorait ça, et sa queue caudale remuait comme un serpent. Il remonta l’une de ses mains, glissant le long du dos de la femme, et s’agrippa à sa nuque, serrant ses cheveux. Il s’en servit comme soutien, continuant à remuer son corps d’avant en arrière, sa verge s’enfonçant dans les profondeurs de la femme, maltraitant son clitoris. Que c’était bon ! Ah ! Qu’il aimait ça ! Alastar savourait pleinement le corps de cette femme, cette délicieuse beauté, tendre, chaude, ferme, et si pleine de perversion... Si pleine de frustration, si pleine, si pleine... La pénétrer était un plaisir énorme, rappelant à chaque fois à l’Incube combien il était verni d’être un démon de Luxure, au lieu d’un démon issu des autres Sphères. Cette sensation était merveilleuse, tout simplement. L’une de ses mains continuait à rester sur le cul de Calliope, se crispant à ses belles fesses tendres.

« Hum... Haaa !! »

Même lui soupirait et gémissait, ne voulant pas lui gâcher son plaisir. Il lui avait dit qu’il la prendrait pendant des heures, et il tint presque parole. Le Diablotin pénétra en effet Calliope ainsi pendant une heure, son corps serré contre le sien. Il ralentissait parfois le rythme, pour pouvoir l’embrasser, et reprenait ensuite de plus bel, multipliant des orgasmes généreux, jouissant longuement en elle, balançant des filaments et des filaments de sperme, sans relâche. Son corps se heurtait à celui de la femme, et, encore et encore, il la pénétrait. Encore et encore, il jouissait, frissonnant de plaisir à chaque fois que la tension sur son corps se relâchait subitement. Pour lui, c’était une sensation divine, la preuve que le bonheur n’était pas une notion angélique, mais bien infernale. Le sexe, le sexe, le sexe... Il n’arrivait pas à s’en lasser, pas plus que le charme du beau sexe. Cette Calliope était une véritable bénédiction, pleine de promesses, et le Diablotin ne regrettait pas du tout sa présence ici. Comment l’aurait-il pu, de toute manière ? Ils faisaient l’amour furieusement, elle le griffait sous l’effet d’un plaisir qui explosait en elle. Oh oui, ça, personne n’avait jamais du la prendre comme ça auparavant ! Ce qu’elle vivait était tout simplement unique, et lui aussi... Ah, vive le beau sexe, vive la chair féminine, vive leurs trous délicieux !

Il la libéra au bout d’une bonne heure, donc, retirant lentement sa queue caudale, laissant se déverser un flot de sperme. Sa queue trempée se frotta contre le dos de Calliope, et il ralentit lentement ses mouvements de bassin, conservant néanmoins encore un peu son sexe en elle.

« Oh, si ça fait du bien... Tu sais, je pourrais encore te baiser toute la nuit comme ça... Mais je suis un homme galant. »

Quand Alastar disait qu’il était infatigable, ce n’était pas de la fanfaronnade. Plus cette femme jouissait, plus elle éprouvait du plaisir, et plus lui-même sentait son énergie être renforcée, accrue. Il l’embrassa tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche, et retira sa tête, laissant Calliope poser la sienne contre son torse. Sa main glissa sur sa joue, la caressant avec une tendresse infinie. Sur ses lèvres, il avait un léger sourire rassurant.

« Tu peux te reposer, Calliope... À moins que tu ne sois gourmande au point de vouloir encore te faire tringler pour cette nuit ? »

Avec sa queue caudale, il récupérait des dépôts de sperme, et rapprocha le bout de sa queue de la bouche de la femme.

« Tiens, ma belle, lèche ma belle crème en te reposant... »

Sa queue caudale avait toujours la forme effilée d’une verge, et l’extrémité était recouverte, ici et là, de traces blanches. Son propre jus intime, qu’il lui offrait sans hésitation.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 19 août 2014, 17:59:46
« Hum... Haaa !! »

Calliope n'était pas mieux. Elle criait, gémissait, soupirait sans cesse. Et le temps passait. Elle n'avait pas la notion des minutes qui s'écoulaient. Elle était entièrement concentrée sur le plaisir qu'elle ressentait. Les orgasmes qui dévastaient son être, la vidant peu à peu de son énergie, de sa frustration. Il aurait pu s'écouler une heure, comme treize, elle n'en savait rien. Elle était en train de nager, presque de se noyer, dans le plaisir qui la submergeait.

Finalement, Alastar la libéra un peu, alors qu'elle était à bout de force, et que le surplus de plaisir commençait à devenir un peu douloureux. Elle avait un sourire rêveur aux lèvres, mais elle n'était pas aussi endurante que le démon.

« Oh, si ça fait du bien... Tu sais, je pourrais encore te baiser toute la nuit comme ça... Mais je suis un homme galant. »

Elle lâcha un rire faible, amusé. Agrippée à ce dieu du sexe, elle semblait perdue, incapable de raisonner de façon sensée. Son regard était empli de passion, et elle répondit au baiser avec ardeur, bien qu'il pouvait sentir que c'était moins violent qu'au début. Elle n'avait plus la force de continuer pour le moment, et elle sentait la douce euphorie des orgasmes couler dans ses veines comme l'héroïne dans celles d'un drogué.

Elle posa docilement sa tête contre le torse puissant de l'incube, respirant avec une pointe de malice la fragrance épicée qui se dégageait de sa peau. Un mélange de souffre et... De sexe, sans doute.

« Tu peux te reposer, Calliope... À moins que tu ne sois gourmande au point de vouloir encore te faire tringler pour cette nuit ? »

Un autre petit rire jaillit de son corps épuisé, tandis qu'elle resserrait sa prise autour des épaules d'Alastar.

« Tiens, ma belle, lèche ma belle crème en te reposant... »

Son regard se baissa sur cette seconde queue qui lui avait apporté tant de plaisir, et un sourire malicieux étira ses lèvres. Elle darda sa langue hors de sa bouche, et lécha -d'abord timidement- ce qu'il lui offrait. Elle prit plus d'assurance par la suite, et elle lui prodigua alors une fellation en bonne et due forme, appliquée et consciencieuse.

Dès qu'elle eut pleinement et parfaitement nettoyé ce membre masculin qu'il lui présentait, elle releva les yeux, taquine.

« C'était... Oh... Tellement bon... »

Elle se lovait contre le Diablotin, se rejetant en arrière pour l'attirer vers le matelas, pour qu'ils se couche l'un contre l'autre.

« Je serais de nouveau gourmande demain... Mais là... »

Un bâillement interrompit sa phrase, qu'elle masqua par une main frôlant ses lèvres. Elle se reprit ensuite, et plongea à nouveau son regard vers son amant diabolique.

« Je suis sûr que tu as plein d'autres ressources à me montrer, hmm ? »

Elle rêvait d'une douche pour le moment, mais le sommeil était si tentant...

Finalement, la raison l'emporta, et elle se dégagea délicatement de l'étreinte du Diablotin. Elle l'embrassa, chastement, et se leva, un peu flageolante.

« Je.. Vais prendre une douche. Je reviens vite. Sauf si tu veux me rejoindre... En tout bien, tout honneur. »

Demain, ils pourraient tester la douche. Mais pas ce soir. Pas s'il voulait qu'elle soit un brin active, quand même.

Elle disparut dans la salle de bain, après un dernier sourire. Elle se regarda un instant dans le miroir. Elle était... Différente ? Peut-être. Son regard brillait, ses joues étaient un peu rouges, et ses lèvres étaient gonflées par les baisers. Elle était en sueur également, et... Et elle se dépêcha d'aller à la douche, pour éviter que le sperme qui coulait contre ses cuisses ne coule par terre.

En allumant le jet d'eau, elle eut brusquement une pensée pour les préservatifs. Il y en avait, sur le bord du lavabo. Mais... Mais ils n'en avaient pas utilisés. C'était... Embêtant. Mais elle n'y pensa plus dès que l'eau chaude coula contre son corps éreinté. Elle prit son temps. Au moins une demi-heure. Elle en ressortit somnolente, et se sécha mollement, avant de retourner dans la chambre, nue et avec des gouttes d'eau coulant de ses cheveux contre son dos. Elle avait pourtant fait son possible pour les essorer.

Elle retrouva Alastar avec un sourire, et elle vint se glisser sous les draps, avide de chaleur, et de sommeil.

« Bonne nuit, mon beau démon... »

Sa voix ensommeillée s'éteignit alors, tandis que sa tête vint se nicher contre l'Incube.

* * *

Le réveil sonna à dix heures. Calliope gémit dans son sommeil, et lança une main heurter le réveil pour qu'il se taise. Elle était si bien, dans le lit, avec cet homme... Cet homme ?

Elle ouvrit un oeil. Non, ce n'était pas un homme. C'était un démon. Un incube. Alastar.

Un sourire ensommeillé étira ses lèvres, alors qu'elle lança, d'une voix légèrement étouffée :

« Bonjour, vous... »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le jeudi 21 août 2014, 02:44:26
Il la laissa prendre sa douche seule. Alastar en profita pour se masturber, mais, galant, il nettoya après avoir éjaculé. Il imaginait Calliope dans la douche, et lui en train de la baiser sèchement... Et il éjacula rapidement entre ses doigts. Sans aucune gêne, Alastar se les lécha ensuite, goûtant à son propre sperme, et soupira lentement. Il baignait dans cette odeur d’intime féminité, dans le lit d’une fille. Alastar avait beau avoir une expérience sexuelle phénoménale, et avoir le profil d’un violeur en série, il réagissait toujours un peu comme un enfant, savourant le fait d’être dans le lit d’une femme. Son plus grand plaisir était de dormir dans le lit d’une ménagère frustrée, une femme ayant dépassé la quarantaine, et qui se faisait chier au lit avec un amant impuissant, tout en ayant une foule de fantasmes phénoménaux en tête. Ça, ça, c’était vraiment jouissif ! Cependant, il n’allait pas faire son difficile. Cette fille était belle, elle était gourmande, en manque... Et elle était rousse.

Le Diablotin aurait pu la poursuivre, et user de sa magie rose pour qu’elle soit encore en manque, sexuellement parlant. Un autre Incube que lui l’aurait sans doute fait, afin de la baiser fiévreusement pendant quatre jours d’affilée, sans aucun pause... Mais Alastar n’était pas comme ça. S’il faisait ça, cette petite Calliope risquait d’avoir des lésions cérébrales irréversibles, et, de, plus, grâce à l’éducation fournie par sa charmante sœur, Onyxian, le Diablotin savait que, dans le domaine du sexe, la frustration et l’attente avaient quelque chose de bon. L’acte en lui-même n’en devenait que plus agréable après... Malheureusement, la patience n’avait jamais été le fort des démons de Luxure, pour qui le sexe était une sorte d’essence vitale. Si Alastar ne couchait pas, il perdait progressivement la raison, jusqu’à sombrer dans la folie. Néanmoins, il pouvait tenir une nuit... Du moins, l’espérait-il. En effet, quand il avait vu Calliope lécher sa queue caudale, il avait à nouveau senti le désir affluer, et, quand elle retourna le voir, pleine d’énergie, propre, toute belle, ce désir explosa à nouveau.

Elle se blottit contre lui, toute fraîche, toute pimpante, et lui avait une trique de tous les diables. Il était plus de quatre heures du matin, il l’avait défoncé comme la pire des traînées pendant plusieurs heures, et, pourtant, c’était comme si ces longues heures avaient disparu. Son sexe recommençait à lui faire mal, et il posa sa main sur la chevelure de la femme, la serrant contre son corps.

« Repose-toi bien, jeune femme, et rêve... Les fantasmes sont tellement importants. »

Il l’embrassa sur les lèvres, et constata qu’elle dormait déjà. Encore une fois, il aurait pu la pénétrer alors qu’elle dormait, mais, au lieu de ça, le Diablotin trouva un autre moyen de s’occuper. Fermant les yeux, il étendit ses cercles de perception magique dans les environs, et débarqua chez une voisine frustrée, la saillant pendant la nuit. Elle se réveilla, bien évidemment, mais se rendormit rapidement, son corps et son esprit embrumés par la magie rose du Diablotin. Il éjacula en elle, se déversant dans son corps, et la laissa, semblable à un marchand de sables venant ensemencer les rêves des femmes. Quand cette dame se réveillerait, elle aurait une formidable envie de baiser. Elle rappellerait son ex’ pour qu’il vienne lui ramoner le fondement, ou irait se taper son facteur en l’accueillant en guêpière et en porte-jarretelles. Ce faisant, Alastar contribuait à renforcer les liens entre les individus, confirmant la tâche sociale de son rôle.

Galant, il laissa donc Calliope dormir. Lui ne dormit pas, et passa une bonne partie de la nuit à l’observer en train de paisiblement dormir, savourant ce spectacle. Une femme en train de dormir... N’était-ce pas l’une des plus belles choses au monde ? Si on excluait les flatulences de la nuit... Mais Calliope se faisait discrète, et, comble du bonheur, elle ne ronflait pas. Il lui caressait tendrement les cheveux, et, quand son sexe le démangeait trop, il allait voir les femmes du voisinage, vagabondant généreusement dans leurs cuisses, avant de revenir.

Il sentit progressivement la femme émerger du sommeil, à travers ses cycles, et, quand elle se réveilla, il était prêt. Les rayons du jour éclairaient délicatement le visage de la femme, et, quand elle lui sourit, il lui sourit, sa peau rouge se dressant face à elle.

« Bonjour, vous... »

Le Diablotin lui répondit à la manière des Incubes, en déposant un tendre baiser sur ses lèvres.

« Salut..., répliqua-t-il ensuite. Tu ressembles à un gros bébé quand tu dors, Calliope... Même moi, je n’ai pas osé te troubler dans ton sommeil, tant tu étais belle... Alors, je me suis dit que tu méritais un petit traitement spécial. »

Il l’invita à regarder à côté d’elle. Sur la table de chevet, Alastar lui avait préparé un petit-déjeuner, servi sur un plateau en argent. Il y avait un bol comprenant un chocolat chaud, et, à côté, une baguette de pain, des croissants, du beurre. Comme par magie, le plateau s’éleva, flottant dans les airs, et alla atterrir sur le lit, tombant doucement sur le corps de la femme.

« Mange, ma belle, faisait Alastar en lui caressant l’une de ses épaules. J’ai toujours adoré la gastronomie française. Pas étonnant que leurs femmes soient si chaudes au lit. La gastronomie entretien d’importantes relations avec le sexe... En fait, quasiment tout est, de près ou de loin, lié au sexe... Et, même si je suis un Incube, et que le sexe me soit aussi vital que respirer, je ne vois pas en toi un vulgaire sac à foutre bon à baiser non-stop. »

Le Diablotin était un démon plein de paradoxe, et, tandis que la femme commençait à manger, à reprendre des forces, il lui caressait les cheveux.

« Je me demande vraiment pourquoi une femme aussi belle que toi n’a pas de petit ami... De ce que je sais de vous, les Terriens, les belles filles ont toujours tendance à s’enticher d’un amant... Généralement quelqu’un qui est incapable de rendre hommage à leur beauté. Parfois, j’interviens pour les sauver d’une vie morne et sans épanouissement... Mais toi... Quel est ton secret, ma petite chatte ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le vendredi 22 août 2014, 19:13:24
Elle ferma brièvement les yeux en abandonnant ses lèvres au Diablotin.

« Salut... Tu ressembles à un gros bébé quand tu dors, Calliope... Même moi, je n’ai pas osé te troubler dans ton sommeil, tant tu étais belle... Alors, je me suis dit que tu méritais un petit traitement spécial. »

Calliope esquissa un sourire, ramenant sa chevelure dans son dos. Se réveiller auprès d'un homme, même un démon, c'était toujours agréable. Son regard se tourna dans la direction indiqué par Alastar. Ses yeux pétillèrent de plaisir en voyant le plateau contenant le petit déjeuner. C'était tout ce qu'elle aimait en plus. Son sourire s'agrandit tandis que le plateau arrivait vers elle en lévitant, et elle se rendit compte qu'elle était affamée. Elle n'avait pas mangé hier soir, et elle le sentait bien maintenant, son ventre gargouillant bruyamment.

« Mange, ma belle. J’ai toujours adoré la gastronomie française. Pas étonnant que leurs femmes soient si chaudes au lit. La gastronomie entretien d’importantes relations avec le sexe... En fait, quasiment tout est, de près ou de loin, lié au sexe... Et, même si je suis un Incube, et que le sexe me soit aussi vital que respirer, je ne vois pas en toi un vulgaire sac à foutre bon à baiser non-stop. »

Un petit rire quitta ses lèvres tandis qu'elle se redressait sur ses oreillers, et qu'elle s'attaquait avec appétit aux croissants, trempant un bout dans le chocolat chaud avant de croquer à pleines dents dans la viennoiserie. Ils étaient vraiment bon ces croissants, comme s'ils sortaient de la boulangerie.

« Merci beaucoup Alastar, c'est vraiment agréable d'avoir le petit déjeuner au lit. »

Elle mangea rapidement, mais sans ressembler à ces goinfres que l'on voit à la télé, dans les films de comédie américains le plus souvent. Elle finissait le pain beurre quand le démon reprit la parole, et caressait ses cheveux avec douceur. Presque avec... Amour.

« Je me demande vraiment pourquoi une femme aussi belle que toi n’a pas de petit ami... De ce que je sais de vous, les Terriens, les belles filles ont toujours tendance à s’enticher d’un amant... Généralement quelqu’un qui est incapable de rendre hommage à leur beauté. Parfois, j’interviens pour les sauver d’une vie morne et sans épanouissement... Mais toi... Quel est ton secret, ma petite chatte ? »

Elle prit le bol entre ses mains, et but une longue gorgée de chocolat chaud, avant de répondre, d'un ton peut-être un peu dépité.

« En fait... C'est un tout. Disons que... Et bien, je tombe toujours sur des hommes néfastes. Certains m'ont frappée, d'autres m'ont forcée... D'autres encore m'ont fait les deux, et certains m'ont même trompée allègrement. Avec trois femmes en même temps. »

Elle reprit une longue gorgée de chocolat, avant de poursuivre.

« Je n'ai jamais eu de chance avec les hommes. Je suis toujours attirée par les mauvais. Je suis peut-être maudite, qui sait ? »

Elle eut un rire sans joie, et finit son bol avant de le reposer sur le plateau. Ses doigts enserrèrent le plastique pour aller le déposer sur la table de chevet, et elle repoussa la couette, offrant à l'incube la vision de son corps nu et encore brûlant de la chaleur de la nuit.

« Mais, je le vis bien, malgré tout. »

Et surtout quand je vois un tel mâle devant moi, aurait-elle pu ajouter, malicieuse.

La jeune femme ayant reçu le baiser du feu, rapport à sa couleur de cheveux, s'étira, et se redressa jusqu'à atteindre la bouche d'Alastar. Elle planta un baiser chaste sur ses lèvres, mais ouvert à d'autres activités moins chastes, bien entendu.

« Tu as passé une bonne nuit ? »

Etant donné que les draps n'était pas très froissés, elle se doutait qu'il n'avait pas dû passer toute la nuit près d'elle. Elle ne l'avait pas demandé, par ailleurs.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le samedi 23 août 2014, 02:56:56
Allongé dans le dos, Alastar ne pouvait qu’acquiescer. Des mecs qui battaient leurs copines, qui les forçaient, qui les trompaient dans des partouzes... Vous comprenez pourquoi il aimait tant ce monde, non ? Ah, l’amour ! C’était définitivement bien peu de choses face à la Luxure ! Le Diablotin se contenta d’un léger sourire. Calliope termina son autobiographie en avouant, dépitée, qu’elle était sans doute maudite. Lui se contentait de la caresser. L’amour, ce n’était pas vraiment avec un Incube qu’il fallait s’attendre à le trouver... Mais, à sa manière, Alastar savait être le plus galant et le plus amoureux de tous les amants romantiques de la planète. Ne lui avait-il pas offert son petit-déjeuner au lit ? Un délicieux petit-déjeuner bien chaud qu’elle avait savouré avec plaisir ! Et, mieux encore, il ne l’avait même pas butiné un peu cette nuit ! Hey, c’est que notre beau démon finissait par devenir social, à force. Calliope semblait maintenant toute prête à retrouver le contact de son amant diabolique, et le prouva même en allant l’embrasser, se blottissant contre lui. Ses généreux seins s’enfoncèrent contre son torse, et il posa une main sur ses cheveux, continuant à les caresser. Comme elle avait tardivement pris sa douche, ils étaient encore soyeux et agréables, confortables à toucher. Son autre main vint caresser la courbe du dos de la jeune femme, savourant sa belle peau contre ses doigts chauds. Il finit par la poser sur sa jambe, la soulevant, plaquant ainsi davantage la femme contre lui, si bien qu’elle put sentir, contre son corps, la verge en érection du Diablotin. C’était presque à croire que son sexe avait un mode automatique le faisant automatiquement bander quand une jolie femme était proche de lui.

Un sourire retourna éclairer son visage, et il remua un peu, déplaçant la femme, son sexe venant frotter contre son pubis. C’était comme si sa verge se déplaçait toute seule. En réalité, autour d’elle, de fins tentacules rouges en étaient sortis, se plaquant contre le corps de Calliope, et poussaient la verge du diable, la faisant se frotter contre la peau tendre et nue de la femme, la rapprochant ainsi de ses lèvres intimes.

« Comme tu le vois, je ne t’ai pas touché pendant que tu dormais... Mais, si certains de tes voisins se mettent à divorcer quand leurs maris apprendront que les gosses de leurs chéries ne sont pas d’eux... Hum, disons que je n’y serais pas totalement étranger. »

Alastar sourit de manière insolente, et embrassa la femme sur le bout du nez.

« J’ai connu la Déesse des Malédictions, tu sais... Et je ne sens pas sa présence sur toi. Et puis, si tu étais maudite, tu ne m’aurais jamais rencontré, pas vrai ? Je t’offre quatre jours de pure folie et de pure liberté, et tu es en compagnie du plus merveilleux amant qui puisse être... »

Alastar aimait bien se jeter des fleurs, mais il était dans son rôle : celui de l’Incube. Il l’embrassa sur les lèvres, et glissa son sexe en elle, sans se presser. La main caressant les fesses de la femme se retira ensuite pour titiller l’un de ses seins, le pressant, et sa queue caudale s’enroula autour de la taille de la femme, tandis qu’il caressait avec son autre main les cheveux de la belle, frottant sa nuque tendrement, ses ongles glissant dessus.

« J’aimerais... Humm... J’aimerais te dire que tu n’es tombée que sur des mufles, ma perle... Mais... Tu comprends... Je suis pour que chacun puisse profiter de la beauté de mes... Hummrrr... Copines... S’ils s’en montrent... Dignes... »

Il l’embrassa sur le menton, mordillant légèrement sa peau, et ensuite sur la joue, léchant sa peau.

« Toujours aussi délicieuse... »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 09 septembre 2014, 15:52:52
« Comme tu le vois, je ne t’ai pas touché pendant que tu dormais... Mais, si certains de tes voisins se mettent à divorcer quand leurs maris apprendront que les gosses de leurs chéries ne sont pas d’eux... Hum, disons que je n’y serais pas totalement étranger. »

Un petit rire parcourut le corps de l'irlandaise, et elle ferma brièvement les yeux en sentant le Diablotin déposer un baiser sur son nez. Elle s'étira doucement par la suite, écoutant la réponses de son amant, quant à sa possible malédiction.

« J’ai connu la Déesse des Malédictions, tu sais... Et je ne sens pas sa présence sur toi. Et puis, si tu étais maudite, tu ne m’aurais jamais rencontré, pas vrai ? Je t’offre quatre jours de pure folie et de pure liberté, et tu es en compagnie du plus merveilleux amant qui puisse être... »

Hochant doucement la tête, elle fit vagabonder la pulpe de ses doigts sur le bras du démon, souriant plus sereinement. Oui, c'était vrai. Si jamais elle était vraiment maudite, elle n'aurait sans doute jamais eu la chance de voir débarquer ce mâle plein d'entrain et de vigueur. Ou alors, ça ne se serait pas passé aussi bien.

Elle arqua légèrement les reins, laissant la queue du diablotin se glisser autour de sa taille, et profita des caresses qu'il lui offrait si généreusement. Elle frémit en le sentant s'insinuer en elle, écartant lentement ses chairs humides, et imposant sa taille.

Elle laissa des soupirs quitter ses lèvres, cambrant doucement son dos, appréciant les caresses qu'il lui dispensait. Elle sentait sa peau s'embraser sous ses doigts experts.

« J’aimerais... Humm... J’aimerais te dire que tu n’es tombée que sur des mufles, ma perle... Mais... Tu comprends... Je suis pour que chacun puisse profiter de la beauté de mes... Hummrrr... Copines... S’ils s’en montrent... Dignes... »

Elle sourit en laissant un gémissement glisser hors de ses lèvres qui s'entrouvraient, ses mains à elle venant entourer sa nuque. Ce qu'elle aimait le sentir en elle. Sur elle. Le contact avec son corps mâle viril l'émoustillait. Elle ne pourrait jamais s'en lasser. Elle gémit de plus belle en avançant les reins, suivant le rythme qu'il avait initié.

« Toujours aussi délicieuse... »

Un sourire éclaire son visage, tandis que son souffle se fait plus court. Son sang commence à bouillir dans ses veines, tandis que la passion la fait sienne, et qu'elle penche la tête sur le côté, venant à son tour embrasser son cou, sa mâchoire, titillant le lobe de son oreille du bout de ses dents.

« Et toujours aussi... Hmm... Imposant, flatte-t-elle son amant démoniaque dans un soupir. »

Elle a toujours aimé ce genre de réveil coquin. Faire l'amour au saut du lit, c'était vraiment divin. A peine émergée du pays des rêves, voilà que des sensations presque oniriques venaient faire trembler son corps. De passion, de frisson, de désir. Elle s'animait sous les coups de reins langoureux d'Alastar. Elle avait les lèvres entrouvertes, les joues un peu rougies, mais surtout, elle avait le regard brillant de concupiscence.

Dès qu'Alastar remuait en elle, même faiblement, elle en oubliait ses mauvaises expériences. Elle se laissait aller à ses mains expertes, à sa queue caudale qui se faisait douce et ferme. Elle vivait une sorte de thérapie, par le sexe. Et c'était vraiment, vraiment bon.

« Oh... Alastar..., souffla-t-elle en avançant le bassin pour le sentir plus profondément en elle. »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le mercredi 10 septembre 2014, 01:49:33
Sa verge se faufilait en elle, pour une délicieuse pénétration matinale. Voilà une manière de bien entamer la journée, en faisant l’amour, en la pénétrant longuement et agréablement. Il la serrait contre lui, et il savoura le contact des lèvres de la femme sur son cou. Elle gémissait contre lui, belle, voluptueuse, magnifique et agréable. Quatre jours avec elle... Il risquait de les adorer, et de ne pas les sentir passer. Oh, ils n’allaient pas les passer intégralement dans le lit, bien entendu, mais, pour l’heure, c’était un excellent moyen de réveiller la jeune femme. Sa queue caudale titillait ses belles fesses, s’enfonçant dans ces dernières, en appréciant la volupté, la rondeur, la douceur. Il remuait très lentement le corps de la femme contre le sien. Rien à voir avec la manière dont il l’avait langoureusement assailli hier soir, en la pénétrant avec ses deux queues. Le Diablotin était un excellent charmeur, un séducteur qui préférait faire plaisir aux femmes pour qu’elles tombent dans sa main plutôt que de les tuer sexuellement en les baisant tellement qu’elles finissaient par sombrer dans le coma.

Elle soupirait son nom, lentement, de sa belle bouche, et lui souriait, continuant à la prendre, caressant son dos, jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir. Il ne jouit qu’à ce moment, contrôlant à la perfection son propre plaisir. N’était-il pas un démon de luxure et de plaisir, après tout ? Il jouit également en elle, et la conserva contre son corps pendant quelques secondes, savourant le contact de ses cheveux, la chaleur de son corps, ses seins enfoncés contre son torse. Ils restèrent ainsi pendant quelques minutes, son torse se soulevant et s’abaissant lourdement, puis, lentement, avec une délicatesse infinie, presque comme s’il avait peur de casser ce fragile et tendre corps, Alastar la repoussa. Cette rousse sulfureuse était l’incarnation même du beau sexe, et, tout en s’écartant d’elle, il caressa la commissure de ses lèvres avec l’un de ses doigts griffus.

« Tu es une humaine que j’apprécie beaucoup, ma belle Calliope... Mais je ne vais pas passer ces quatre journées à rester affalé sur ton lit. »

Oh, ce n’est pas que ça lui déplairait, car ce lit était très agréable, mais il savait les humaines gourmandes, et capricieuses. Elles aimaient la diversité, et c’était tout à leur honneur. Alastar s’extirpa du lit, en lui délivrant quelques ultimes baisers, puis se redressa. Il était toujours nu, et se retourna face à elle, récupérant le plateau-repas.

« Tu vas pouvoir que je suis un amant élégant, je vais m’occuper de la vaisselle. »

Si ce n’était pas admirable ! Alastar était un démon s’amusant à briser les clichés, sans doute parce qu’il avait comme grande sœur une femme autoritaire qui prenait un malin plaisir à le torturer sexuellement. Cette éducation originale, là où bien des incubes étaient formés pour être des hommes dominateurs et brutaux, des amants cruels et violents, expliquait l’apparente complexité de son mode de raisonnement. Il sortit de la chambre, délaissant la délicieuse odeur de la femme, qu’il retrouva toutefois assez rapidement dans le reste de l’appartement, et entreprit de faire le ménage. Laver fut en réalité très rapide, et l’idée était surtout de lui laisser le temps de sortir de sa chambre, de ne pas la brusquer. Ils avaient encore toute la journée pour baiser comme des taureaux.

Quand il la sentit s’approcher, il se mit à ouvrir la boucle, parlant sans la regarder, avec sa queue caudale qui frottait sur le sol :

« Est-ce que tu as un boulot ? Je te dis ça, car je suis un homme qui aime bien faire du sexe dans des endroits... Non prévus pour. »

Il se retourna vers elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

Calliope pouvait s’attendre au pire !
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le jeudi 11 septembre 2014, 22:18:20
Le plaisir montait, dévastait le moindre brin de raison, et plongeait Calliope dans une déferlante de sensation. Elle gémissait le nom du démon, s'agrippant à lui toujours plus, et bientôt, le paroxysme du plaisir arriva, et la rousse eut l'impression de s'échouer sur les rives du septième ciel.

Elle sentit également l'Incube venir en elle, et ça redoubla sa jouissance, alors qu'elle serrait les cuisses contre lui, comme pour le faire épouser parfaitement chaque courbe de son corps.

Quand le délice de l'orgasme décrut, l'irlandaise était plongée dans une douce torpeur, enserrant Alastar entre ses bras et ses cuisses. Mais tout à une fin, même momentanée. Il la repoussa doucement, comme pour ne pas la blessée, et passa une griffe sur les lèvres entrouvertes de la belle. Un sourire éclaira ses traits tandis qu'elle tournait légèrement la tête pour le regarder, pour apprécier sa beauté.

« Tu es une humaine que j’apprécie beaucoup, ma belle Calliope... Mais je ne vais pas passer ces quatre journées à rester affalé sur ton lit. »

Elle rit un peu. A vrai dire, elle se disait exactement la même chose. Pas que la perspective de passer quatre jours dans ce lit à s'envoyer en l'air lui déplaisait, mais elle avait un travail quand même. On était dimanche aujourd'hui, alors ça allait. Mais le lendemain, elle reprenait le boulot. S'étirant alors contre le démon, Calliope hocha la tête.

« Tu vas pouvoir que je suis un amant élégant, je vais m’occuper de la vaisselle. »

Un sourire fleurit derechef sur ses lèvres alors qu'il se levait en l'embrassant légèrement.

« C'est vraiment très attentionné, merci. »

Elle le laissa quitter la chambre avant de se lever à son tour, et de se glisser dans la douche. Comme à son habitude, la douche du matin ne prenait jamais très longtemps. Cinq minutes sous le jet qui, d'eau chaude, devenait froide à la fin. C'était pour se réveiller, et être d'attaque pour une bonne journée.

En sortant de la douche, elle ne mit qu'un léger déshabillé noir (http://myglamourdress.fr/deshabille-noir-blanc-rouge-ou-violet-dentelle-sexy), presque transparent, et une robe de chambre blanche, en satin, fluide et épousant chaque courbe de son corps.

« Est-ce que tu as un boulot ? Je te dis ça, car je suis un homme qui aime bien faire du sexe dans des endroits... Non prévus pour. »

Un rire lui échappa, et elle se glissa contre lui, ses cheveux encore mouillés de la douche.

« Oui, j'en ai un, effectivement. Je suis sûr que ça va te plaire, en plus... »

Avec un sourire, elle s'adossa au plan de travail, où la vaisselle était posée, propre.

« Je suis secrétaire de direction pour un grand PDG de Glamorous, une grande marque de lingerie sexy. »

Elle se mordilla la lèvre, se demandant ce qu'il allait apprécier le plus. Le fait qu'elle s'habillerais en tailleur-jupe plutôt sexy, ou le fait qu'elle reçoive souvent des échantillons de nouvelles collection pour montrer au PDG, et que parfois, elle les mettait pour démonstration.

« Je ne suis pas femme à dire non à l'insolite, par ailleurs. »

Elle triturait la lanière de sa robe de chambre, qui masquait encore le déshabillé qu'elle portait.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le vendredi 12 septembre 2014, 09:22:03
La voir se mordiller les lèvres était toujours un plaisir visuel intense, et il savait qu’elle lui cachait quelque chose... Sous ce peignoir qu’elle serrait, tout en lui expliquant qu’elle travaillait à Glamorous. Le nom ne lui disait absolument rien, mais elle précisa que c’était une grande entreprise spécialisée dans la lingerie sexy, ce qui amena Alastar à sourire. Un franc sourire amusé, alors qu’il s’approchait d’elle. La femme avait pris une nouvelle douche, étant désormais toute propre, avec très certainement une nouvelle envie de se faire butiner. Dans le cas contraire, elle n’aurait pas mordillé ses belles petites lèvres. Pour lui, c’était un véritable appel au viol, au sexe sauvage et intense, où l’idée était juste de baiser en hommage à la beauté, à la volupté, et au sexe.

Il se rapprocha donc d’elle, et tendit sa main, venant caresser sa joue, sous ses mèches de cheveux, ses doigts allant empoigner l’une de ses oreilles, la caressant tendrement, délicatement.

« Il y a une chose que j’aime beaucoup chez les humains... Et en particulier chez les femmes. Vous avez beau être déjà belles, vous prenez un malin plaisir à l’être encore plus. Ce parfum, ces gestes nerveux... Et vos vêtements, surtout. Les succubes ne portent généralement que du cuir ou du latex moulant. Je ne dirais pas que c’est laid, et je mentirais en affirmant une telle chose, mais... Un peu de diversité ne fait pas de mal. »

Ses doigts remuaient, et il se pencha vers elle, venant l’embrasser, tandis que sa queue caudale remontait délicatement le long d’une des jambes de la femme. Elle remontait de plus en plus, vers le haut, filant sous le peignoir, ce qui lui permit de constater qu’elle avait, sous cette tenue, une autre tenue, plus fine, à dentelle. Il la frotta à hauteur du bassin, près de son intimité, et le côté tranchant de sa queue vint frotter son sexe, remuant un peu dessus, avant qu’il ne la retira. Ses mains glissèrent sur les pans de sa robe de chambre, appuyant dessus.

« Montre-moi ça... Les goûts d’une femme belle qui sait s’entretenir... »

Il tira d’un coup sec, et la robe de chambre tomba à même le sol. Le regard d’Alastar s’illumina de malice et de désir, et il sentit son sexe recommencer à lui faire mal devant le magnifique spectacle qui s’offrait pour ses yeux ébahis. Sa robe de chambre était déjà un appel au viol, mais ça, là... C’était une ode à la beauté. Une fine tenue noire à dentelle, qui cachait autant qu’elle masquait. Ses mains en tremblaient légèrement, et il massa les seins de la femme à travers sa tenue, un sourire sur le coin des lèvres, ses pouces glissant le long de ses tétons, les frottant fermement.

Sa queue caudale continuait à se déplacer, frottant les jambes de la femme, pour filer dans son dos, retournant titiller ses fesses.

« Ne te déshabille pas, ma belle, conserve ton emballage... »

Il se pencha à nouveau contre elle, son nez venant frotter tendrement le sien, et il l’embrassa encore, gobant sa lèvre supérieure entre les siennes, tirant dessus, avant de fourrer sa langue dans sa bouche, jouant avec la sienne. L’une de ses mains remonta pour agripper sa nuque, et il s’avança un peu, venant la plaquer contre le mur à proximité, sa verge venant frotter contre sa tenue à dentelles. Son autre main vint agripper l’une des jambes de la femme, la soulevant pour qu’elle enroule les siennes autour de sa taille. Il déplaça ensuite cette main, griffant sa cuisse, soulevant sa tenue, gagnant ainsi accès à son vagin, à son intimité... Qu’il alal explorer sans se poser plus de questions, la pénétrant d’un coup sec, sa verge glissant merveilleusement dans son trou.

« Huuuummm... Ce que tu es bonne, ma chérie !! »

Et c’est ainsi que l’insatiable Diablotin recommença à la pénétrer, sans aucune hésitation.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le vendredi 07 novembre 2014, 12:52:45
La rousse était impatiente qu'il découvre sa tenue. Elle était certaine qu'il aimerait ce qu'il verrait. Mais il fit durer le plaisir, se contentant de la flatter, de l'effleurer... Calliope frissonnait de plaisir sous ses doigts, sous son appendice caudal. Elle avait relevé la tête, observant le Diablotin avec un désir non feint. Elle ne regrettait plus le tour raté de la veille. Si ses amies savaient... Mais non. La rousse ne partagerait pas ce secret. C'était son petit plaisir. Malgré la grande expérience de son amant, et son amour des femmes, elle avait l'impression d'être exclusive. Unique. Ça, ça lui plaisait à la belle. Elle se dévergondait avec plaisir sœur ses caresses.

Ses lèvres se mêlèrent naturellement à celles du diabolique amant, et Calliope ferma les yeux, se laissant porter par le désir qui grimpait encore un échelon. Ses hanches s'avancèrent d'elle-même vers l'homme, alors qu'elle dardait sa langue à l'assaut de celle d'Alastar.

Quand le peignoir tomba enfin, Calliope ne put retenir une expression de plaisir sincère en voyant la réaction du démon de la luxure. Un gémissement lui échappa quand il tortura délicieusement sa poitrine. Elle creusa le dos, avançant presque son buste vers lui, avide. Ses hanches restèrent en arrière, profitant de cette délicieuse intruse qui venait flatter sa croupe.

« Pas de risque... Je garderais tout ce que tu voudras... »

Sa voix rauque et sensuelle se mua en un soupir quand il approcha de nouveau son visage du sien. Le baiser, intense, n'était rien comparé avec la violence du désir qui la tenailla dès lors qu'il la plaquant contre le mur. Ses jambes remontèrent naturellement contre lui, pressée qu'elle était de le sentir à nouveau en lui.

Sa gorge laissa échapper une plainte satisfaite dès lors qu'il fut enfoncé en elle, et ses mains se nouèrent sans se faire prier à la nuque de l'incube terriblement séduisant.

« Oh, Alastar... »

Elle bougea ses hanches au rythme qu'il imposait, son souffle commençant à avoir quelques irrégularités. Elle était aimée comme si elle était une véritable déesse, et ça flattait son ego. Se sentir aimée, désirée, voir l'admiration dans les yeux d'autrui... Elle ne s'en passerait pas. Ça lui redonnait confiance en elle. En la vie. En les hommes même. Avoir invoqué Alastar était mieux qu'une thérapie, et la rousse en profitait au maximum, arquant son bassin pour l'entrechoquer avec celui du diablotin.

Elle ne voyait pas le temps passer lorsqu'elle se trouvait entre ses bras, comme ceci. Elle était haletante et respirait le plaisir par tout les pores de sa peau. Ses soupirs, mués en gémissements, puis en cris, n'étaient pas feints.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le samedi 08 novembre 2014, 02:16:00
Alastar avait pour lui d’être, contrairement aux autres démons peuplant l’Enfer, quelqu’un qui était capable d’humour. C’était malheureux à dire, mais l’engeance démoniaque avait un sens de l’humour absolument déplorable. La fierté, de fait, s’accommodait mal avec l’humour, tendant même à la court-circuiter. Impossible de faire de l’ironie face à un individu trop borné, et trop susceptible. Or, l’Incube était un homme avec un sacré sens de l’humour, et ce même si son humour, très particulier, pouvait ne pas être perçu par les humains. Il s’amusait notamment beaucoup à jouer avec leurs clichés. Les humains pensaient, naïvement, que les démons étaient tous des êtres maléfiques et monstrueux, une logique confortable qui les amenait à se prendre pour des gens bons et sympathiques. Le Diablotin en usait énormément, et sa galanterie était une certaine forme d’ironie sociale. Il était aussi galant que brutal, comme il le démontrait en ce moment même en prenant Calliope, en lui faisant l’amour. Sa verge s’enfonçait en elle, ses bras la maintenaient, et il savait qu’elle était en son pouvoir. Aurait-il été un brin plus autoritaire et plus mâture qu’il aurait pu faire d’elle son esclave, obtenir sa soumission dans un acte de passion dément, l’un de ces moments où la raison s’effaçait totalement.

Le Diablotin la prenait avec ses vêtements, plaquant l’agréable corps de la femme contre le mur, lui roulant des pelles à plusieurs reprises. Sa queue caudale retourna à l’assaut, non pas pour explorer à nouveau ses fesses, mais pour s’enrouler autour du corps de la femme. Alastar usa alors de sa magie, afin de se servir de cette queue pour la durcir, dans le sens où elle devint plus résistante, plus lourde, et donc plus à même de soutenir le corps de la femme. De cette manière, il put déplacer ses mains, et les déplaça sur chacun de ses seins. Il les malaxa fermement, à travers le tissu de son vêtement, et retourna l’embrasser, fiévreusement, sa langue filant dans la bouche de la jeune femme, son membre se perdant dans les tréfonds de son corps, remuant d’avant en arrière. Les minutes se succédèrent aux secondes, et les coups de trique du Diablotin rythmèrent leurs ébats, ainsi que les orgasmes de la femme.

Il se retenait, se contrôlait, le plaisir de Calliope, ses soupirs, ses couinements, ses gémissements et ses cris le renforçant. Lui-même lui offrit sa semence à plusieurs reprises, sa vigueur redevenant à chaque fois intacte. La magie rose les entourait. Il pétrit pendant de longues secondes les seins de la femme, et entreprit de la déshabiller à nouveau, puis continua à remuer. Les corps étaient enlacés, dans une longue danse, sensuelle et ardente. Assoiffé, son membre partait à l’assaut, dans les profondeurs du corps de la femme, la prenant longuement, intensivement, avec une passion diabolique. L’entendre gémir son nom était un véritable régal.

Au bout d’un moment, il finit par se déplacer. Il avait pitié du dos de la femme, et préféra le ménager en la repoussant. Ils finirent sur sa table, Alastar repoussant de la main les objets qui pouvaient éventuellement s’y trouver. Nus, ensemble, ils se faisaient l’amour avec la passion dévorante de deux jeunes amants ayant attendu des années avant de passer à l’acte. Le Diablotin haletait et soupirait, la sueur coulant de son corps pour glisser sur celle de la femme, se mélangeant à la sienne, soupirs et cris fusionnant ensemble en harmonie. Il la coucha sur la table, et partit à l’assaut de cette dernière, son corps suivant le sien, attiré comme un aimant.

Sa main droite s’appuya sur le rebord de la table, et la gauche alla pincer son téton. Ayant libéré son ventre, sa queue caudale fouettait l’air libre.

« Aaaah, Calliope... »

Étalé contre son corps, sa main libéra le rebord de la table pour caresser brièvement sa joue.

« Si j’étais du genre à me marier, je te demanderais de m’épouser pour pouvoir profiter pleinement de ton corps magnifique... »

Dans la bouche d’Alastar, c’était un compliment.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le lundi 10 novembre 2014, 16:37:25
Depuis combien de temps étaient-ils ainsi, imbriqués l'un et l'autre, gémissant et criant ? Elle ne savait pas. Elle ne savait plus. Perdue dans un maelström de sensations grisantes, la rousse s'agrippait au démon de la luxure comme une naufragée à sa bouée. Le mur s'éloigna de son dos pour laisser place à la table. Son déshabillé était trempé de sueur. Il glissa sur ses épaules. Les liens s'étaient dénoués, et le fragile sous-vêtements glissa, dévoilant sa nudité. Ses seins appréciaient les attentions de l'incube. La pointe en était dressée, sensible et délicieusement malmenée par son amant.

Ses cris se succédaient, au même titre que ses orgasmes. Elle n'avait jamais connu ça. Elle savourait chaque vague d'extase, chaque coup de rein puissant qu'il lui donnait. Elle était folle de plaisir. Elle ferait littéralement tout ce qu'il lui demandait à cet instant, incapable de raisonner convenablement.

« Ah, Alastar ! »

Elle se sentait flattée de ce qu'il venait se dire, et, en ouvrant ses yeux, elle le regarda avec désir.

« Si... Mh... Si c'était mon genre... Je... Aaah ! Je dirais... OUIII... »

Une déferlante de plaisir l'acheva à cet instant. Elle arqua le dos, griffant la table, le Diablotin et même sa poitrine, son esprit en feu voyant des étoiles, des feux d'artifices même.

Calliope ferma les yeux. Emportée par le plaisir et par la puissance qui se dégageait des coups de reins de son amant. Quand l'orgasme cessa, la rousse était haletante. Son bassin répondait toujours aux attentions d'Alastar, alors que ses.doigts caressaient les griffures avec tendresse. Elle releva le buste, venant embrasser le démon sur le torse, remontant dans son cou, et venant capturer ses lèvres. Une de ses mains glissa sur la table, allant enserre l'appendice caudal.


[H-S -- un petit peu plus court que ce que je ne pensais, désolée ^^]
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le mercredi 12 novembre 2014, 01:35:18
Fort heureusement, ce n’était pas le genre d’Alastar non plus. Libre, il voulait rester libre ! S’unir, ce n’était pas pour lui, il voulait rester l’amant hyperactif qu’il était, afin de continuer à butiner des femmes comme elle. Un presque inconnu pour elle, qui l’avait à moitié violé dans son lit, et qui continuait à la prendre, contre la table, comme une vulgaire traînée. Les deux amants étant d’un côté de la table, selon leurs mouvements, cette dernière avait tendance à se redresser, amenant alors Alastar à poser le plat de sa main sur le rebord opposé de la table, afin de la faire basculer, de la ramener à un niveau acceptable. Il continua à la prendre, grognant et soupirant, sa verge continuant à enfler, presque automatiquement. Incube, adepte de la magie rose, il pouvait volontiers augmenter la taille de sa verge, et avait souvent tendance à le faire dans des coïts de cet acabit. Son sexe grossissait pour remplir autant que possible la fente de la femme. Elle jouit, et lui aussi, encore et encore. La table finit par se redresser à nouveau, avant de se rabattre sur le sol, Alastar soulevant le corps de la femme, se maintenant ensuite au-dessus d’elle. Il voulait la voir en train de jouir, il voulait voir ce visage irradier de plaisir, il voulait voir ce spectacle visuel, ce bouquet magnifique... Honnêtement, voir une femme jouir, la voir en plein extase, c’était l’une des plus belles choses qui soient... Si ce n’est LA plus belle. Romantique jusqu’au bout des ongles, pour un démon, il la regarda donc s’abandonner sur la table, son visage n’exprimant que du bonheur... Du bonheur pur, comme si elle était au Paradis. Lui, un démon, était en train d’insuffler le bonheur dans le cœur et dans le corps des autres. C’était le monde à l’envers !

Difficile de dire ce qui provoqua sa propre jouissance : était-ce l’acte sexuel en lui-même, ou le spectacle, magnifique, de cette femme traversée par le plaisir, et qui remplit son cœur d’allégresse ? L’un des deux, probablement, ou sûrement les deux. Dans un soupir, il se répandit également en elle, déversant sa semence dans son con. À nouveau, il espérait que cette femme, souhaitant rester libre et autonome, prenne la pilule, car l’Incube était un homme à la semence fertile. Il balança sa crème dans le ventre de la femme, et sortit ensuite, comme elle, de ce moment d’extase, cette parenthèse de bonheur qui lui était offerte. Le plaisir de cette femme avait été tellement fort qu’elle avait fait couiner la table, et lui avait griffé le dos.

Diable ! Une vraie bombe en feu !

« Haaaa... Haaaaaa... »

Alastar respirait vivement. Il conservait toujours le même teint de peau rouge, mais de la sueur commençait à couler le long de son corps. Calliope était contre lui, et elle se mit à agir à nouveau, venant caresser les marques qu’elle lui avait faite dans son dos, courbant la tête pour aller embrasser son torse. Lui maintenait l’équilibre, précaire, de la table avec ses deux bras tendues, et frissonna. Cette femme avait une pile au cul, et une telle perversion brûlait en elle qu’il était convaincu que, si jamais elle finissant en Enfer, il insisterait auprès de sa sœur pour venir récupérer son âme, afin d’en faire une succube. Elle glissa le long de son cou, remontant tout près de ses lèvres, ce qui l’amena à poser une main sur ses cheveux quand elle se rapprocha, et à murmurer son nom :

« Calliope... »

Il n’y avait que dans les ébats sexuels que répéter le nom de son partenaire avait quelque chose d’excitant. Ils s’embrassèrent à nouveau, tendrement, comme deux amants en pleine passion, et il eut l’agréable surprise de sentir la main de la femme s’éloigner pour venir attraper sa longue queue caudale, le faisant soupirer... Et sourire en même temps. Alastar se redressa, entraînant Calliope avec lui, soulageant la table de leur présence. Sa queue ondula sur elle-même, et vint caresser le dos de Calliope, remontant le long de sa colonne vertébrale. Alastar aurait pu la prendre dans la même position qu’hier, sa verge dans son con, sa queue caudale plantée dans son fondement, jusqu’à la faire tomber d’épuisement à nouveau. Sa verge était toujours, en effet, en érection, frottant contre les cuisses de la femme, laissant sur sa tendre peau une traînée de sperme et de mouille.

« Ma queue te manque ? C’est vrai que je ne l’ai pas trop utilisé aujourd’hui, celle-là... Il est temps de changer ça. »

Calliope allait voir tout ce qu’on pouvait faire avec une longue queue flexible comme ça ! Il n’attendit pas vraiment son avis, et la relâcha.

« Mets-toi à quatre pattes, en bonne chienne que tu es ! »

Il avait haussé le ton. Il aimait le beau sexe, c’était un fait, et c’était indéniable... Mais il aimait aussi donner des ordres, et voir les femmes se plier à ses quatre volontés. Une fois que Calliope mise en position, sa queue caudale fila sur le côté, et s’enroula brièvement autour du cou de la femme, avant que la pointe de la queue ne remonte, puis ne décrive un arc à hauteur des lèvres de la femme. L’extrémité avait de nouveau pris la forme profilée et arrondie d’une verge, et formait comme un collier autour du cou de la femme. Cependant, la queue ne l’étouffait pas, et laissait suffisamment de mou pour ne pas gêner Alastar.

S’humectant les doigts avec ses lèvres, il les enfonça ensuite dans le fondement de la femme, venant humecter ses parois internes, cherchant à bien les lubrifier, puis posa ses mains sur ses fesses... Et la pénétra. Quand son vit entra en elle, s’enfonçant dans son anus, sur le devant, le bout de sa queue caudale rentra dans sa bouche, afin qu’elle puisse la sucer. Et, comme elle l’avait griffé, Alastar ne tarda pas à donner le tempo, en lui administrant une belle claque sur ses fesses.

« Là, là, ma salope, c’est parfait ! »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 25 novembre 2014, 15:33:08
Un sourire taquin ornait les lèvres de la rousse, qui caressait l'appendice caudale, avant qu'Alastar ne les change de place et de position. Elle déposa de petits baisers un peu partout, sur les griffures qui étaient à portée de ses lèvres, tandis qu'il parlait. Elle frissonna au son de sa voix, impatiente de la suite. Elle était vraiment enfiévrée. Elle était un peu épuisée, mais toujours partante. Elle ne se reconnaissait plus. Mais elle adorait ça.

Docilement, avec le regard brillant de convoitise, l'irlandaise se mit en position, comme demandé par Alastar. Ses genoux se posèrent sur le carrelage de la pièce, alors que sa croupe se relevait, et que son dos se creusait. Ses mains se posèrent à plat, et sa peau frissonna en réponse à la soudaine fraîcheur de son appui, comparé à la chaleur qui émanait de son corps.

Un nouveau frisson la secoua tandis que l'appendice caudale se glissait sur son corps, entourant sa nuque et venant effleurer ses lèvres. Elle avait repris cet aspect si semblable à une verge. Gourmande, Calliope ouvrit les lèvres, lapant le membre. Elle gémit sourdement alors que les doigts du démon se faisaient inquisiteur, et elle creusa un peu plus le dos, totalement offerte à la convoitise de son amant diabolique.

« Oh, Alastar... »

Elle ne put continuer car le mâle venait enfin en elle, forçant son entrée lubrifiée avec passion. Et l'autre appendice glissait entre ses lèvres, étouffant les sons de de ses gémissements. Elle commença alors à aspirer le membre dressé, sa langue venant le cajoler avec douceur.

Elle gémit quand une main claqua sur ses fesses, et ondula en réponse, son corps s'adaptant à la présence de l'incube. Calliope soupirait, suçotant le sexe dressé qui coulissait entre ses lèvres. Elle avançait et reculait la tête en rythme. Le même que celui qui était donné par les coups de reins de son amant déchaîné. Elle recula la tête un instant, le temps de soupirer le nom du démon et d'avaler sa salive, pour ne pas baver partout.

« Alastar... Mmmh ! »

Elle reprit l'appendice entre ses lèvres, mettant plus d'ardeur encore à sucer, aspirer et jouer tout contre la peau veinée avec le bout de sa langue.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le jeudi 27 novembre 2014, 01:16:44
Discrètement, la magie rose agit à nouveau. Subtilement, Alastar continuait à être le bon amant qu’il prétendait être. Il influa sur les jambes de Calliope, dans le but de les protéger face au carrelage. En effet, son corps risquait de glisser dessus, et il ne voulait pas que la jeune femme s’écorche dessus. Il tâcha donc de renforcer un peu la résistance de la peau de la femme à cet endroit. Cette humaine était une bonne hôtesse, il se devait d’être aussi, en retour, un bon démon. Un bon compagnon et un bon amant. Juste retour des choses. Il ne s’était pas reçu un coup de poêle en pleine figure, ou une croix chrétienne dressée devant lui accompagnée d’un tonitruant « Vade Retro » ! Cette femme l’avait pleinement accepté, peut-être même avec un peu trop de facilité, mais il n’allait pas se plaindre. Il pouvait ainsi donner dans son couplet : le sexe. L’Incube rentra donc en elle, son mât se nichant dans la porte arrière de la femme, butinant avec la délicatesse d’un éléphant dansant du rock le corps de la femme.

Sa verge remuait en elle, glissant de plus en plus facilement dans cet étroit corridor. Il fallait bien l’admettre : Alastar ressentait un profond plaisir à l’idée de prendre ainsi cette femme. C’était comme si le plaisir de la sodomie était génétiquement encodé dans son corps. Les démons étaient reconnus pour être de grands sodomites. L’imaginaire collectif terrien ne se limitait-il pas à cette image ? Celle d’individus condamnés à être perpétuellement sodomisés par des démons en rut, aux visages grimaçants et aux mains griffues ? L’image, si elle était furieusement clichée, n’en décelait pas moins une certaine part de vérité. Le Diablotin remuait en elle, et sentait le plaisir venir, augmentant avec son labeur. Il prenait Calliope sans relâche, en allant de plus en plus vite, en s’enfonçant de plus en plus profondément, sa queue caudale faisant de même. Elle remuait comme un serpent dans la bouche de la femme, provoquant de délicieux bruits de succion et de mastication. Cette femme était vraiment une perle rare. L’avoir pour lui tout seul, et ce même si Alastar était fondamentalement quelqu’un d’ouvert au partage, était un grand plaisir. Il se régalait en la prenant ainsi, remuant en elle, remuant dans son corps, sa virilité tendue s’enfonçant de plus en plus dans sa chair. Ses mains se crispaient sur sa peau tendre et chaude, distribuant parfois quelques gifles sur ses fesses, toujours un peu plus fortes. Grognant et haletant, le démon se révélait fidèle à lui-même : un amant intensif, mais non moins empreint d’une certaine forme d’attention, de tendresse… Un être paradoxal, mais qui s’estimait diaboliquement efficace. Ses mains s’écartaient parfois des fesses de la femme pour caresser ses hanches, pour glisser sur ses côtes. Mine de rien, Alastar avait été formé. Il savait, grâce aux succubes de sa maison, notamment grâce à sa sœur, que le corps féminin recelait de multiples zones érogènes, ces zones de plaisir où de simples pressions pouvaient déclencher le plaisir. Afin de se révéler être un bon Incube, le Diablotin avait notamment dû caresser le corps de certaines femmes, afin de les faire jouir, mais sans jamais toucher leur sexe. Il l’avait fait, et, quand ses mains s’écartaient, c’était le signe qu’il s’attaquait aux zones érogènes de la femme. Ses doigts s’appuyaient sur les hanches de la femme, à des endroits très précis, uniquement destinés à libérer son plaisir, à la laisser aller.

« Hum… Tu as vraiment… Un corps magnifique… »

Depuis sa position, il voyait toute la magnificence du corps de Calliope. Il voyait son dos magnifique, sa longue chevelure de feu, et ne pouvait s’empêcher de se dire que la petite Calliope était bien chanceuse. Son invocation ratée aurait pu avoir de fâcheuses conséquences, en emmenant chez elle un démon qui l’aurait déchiqueté, aurait dévoré son corps, puis pissé sur ses os et chié dans ses organes. Au lieu de ça, elle tombait sur un impayable amant qui se faisait royalement plaisir à la défoncer. Sa verge, en effet, s’enfonçait de plus en plus, labourant la porte arrière de la jeune femme. Il s’y enfonçait sans aucune réelle gêne, sans aucune véritable hésitation, simplement pour le plaisir de s’y enfoncer, et de pouvoir la pénétrer avec plaisir et envie. L’homme ne faisait rien de plus que de remuer en elle, de remuer de plus en plus vite, et sentait la mouille de la femme.

N’était-ce pas là le plus beau des nectars du monde ? Il griffait son corps, pinçait sa peau, puis retournait malaxer ses fesses, son délicieux cul. Oui, que cette femme n’ait aucun amant, aucun copain prêt à bondir dès qu’un type la reluquerait de trop près, était curieux. Soit elle préférait les enchaîner, soit elle avait, elle aussi, quelques squelettes dissimulées dans ses placards… Mais, hey, ce n’était clairement pas lui qui allait la juger pour quoi que ce soit ! Alastar ne voulait qu’une chose : que son voyage ici n’ait pas été fait pour rien. Pour lui, se présenter à cette femme était pour elle un honneur, car il estimait être un amant exceptionnel…

« Là, là… Ma petite salope, hummm… Un beau corps, bien… Bien comme je les aime, hunn… »

Sa queue caudale se retirait parfois de la bouche de la femme, et venait frotter ses joues, dans un geste qui se voulait affectueux. Elle retournait ensuite s’enfoncer dans sa bouche, et ne tarda pas à jouir, bien plus rapidement que l’autre queue du Diablotin, celle nichée dans les tréfonds du corps de la femme, et qui ne voulait rien faire pour en sortir… Car elle n’avait aucune raison d’en sortir.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mardi 27 janvier 2015, 22:59:29
La présence du Diablotin en elle était vraiment délicieuse. Si Calliope n'avait jamais eu de chance avec les hommes, elle s'avérait néanmoins affamée dans le domaine du sexe. Elle ne résistait jamais face à un homme rentrant dans ses critères. Alors Alastar... Il était plus que dans ses critères. Il exsudait la sensualité, littéralement, et ça avait suffit à la rousse pour qu'elle tombe sous le charme.

Les yeux mi-clos, la belle étrangère ondulait sous les coups de reins puissant du démon, oubliant parfois même qui elle était. Son esprit était enfiévré par le désir. Par la fièvre du sexe. Elle suçait avec application, passionnée, souhaitant rendre le plaisir qu'il lui donnait. Elle se cambrait au maximum qu'il lui était possible, gémissant tant qu'elle le pouvait, malgré sa bouche occupée.

Un bref instant, elle s'étonna de ne pas ressentir la douleur du frottement de ses genoux contre le sol carrelé, mais elle oublia bien vite cette pensée alors qu'il déverse son plaisir en elle. Elle manque de s'étouffer, mais réussit à en avaler une grande partie. Elle gémit sourdement quand la liqueur légèrement salée coula de la commissure de ses lèvres.

« Alastar... mh... »

Sa voix est profonde et sensuelle, marquée par des accents plus aigus quand le plaisir se fait plus pénétrant.

« Encore... Oui...

Encore des compliments, songeait-elle, sous le charme. Encore des sursauts de plaisir... Elle aspira encore cette appendice caudale qui venait de décharger une belle quantité de sperme entre ses lèvres, enfiévrée. Elle remuait comme elle pouvait, possédée par le désir et le plaisir. Elle se cabrait, elle ondulait contre les coups de reins du diable qui la ramonait. Elle était brûlante. Elle était ensorcelée.

« Oh ouiii... »

Elle n'en pouvait plus, et pourtant, elle en redemandait. Son amant était exceptionnel. Elle se devait de l'être tout autant. Elle en avait réellement envie.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le jeudi 29 janvier 2015, 02:10:08
Ils étaient comme deux amants en rut, mutuellement en manque, baisant sauvagement et sans relâche pour entretenir la flamme qui brûlait en eux. Calliope était aussi belle que perverse. Un Incube se trouvait dans sa maison, avec la soif sexuelle d’un démon de Luxure. Calliope, elle, était une simple femme, en train de se faire sauvagement prendre par l’homme. Le Diablotin la prenait rudement, ses mains se crispant sur ses fesses, s’appuyant sur sa peau douce et chaude. Le Diablotin avait joui dans sa bouche, et, plus il jouissait, et plus il avait envie de jouir. La fatigue physique qu’il ressentait, et qui le faisait suer, le rendant plus nerveux, plus impatient, plus assoiffé, était compensé et amoindri par sa perversion et par le plaisir naturel qu’il ressentait en couchant avec cette femme, en forniquant longuement et joyeusement avec elle. Sa queue enflait en elle, comme un monstre assoiffé, et chacun des soupirs et des cris de la femme l’excitait, le motivait, galvanisant ses pulsions et sa passion. Le Diablotin la prenait, encore et encore, toujours, avec une force et une énergie insoupçonnables.

« Oh oui... Hunnn... Calliope, haaaaa... »

Remuant en elle et contre elle, ses coups de reins se multipliaient, de plus en plus forts, de plus en plus impatients, de plus en plus rugueux. Il ne cherchait nullement à l’épargner, mais la traitait de la même manière qu’il traiterait une esclave de son harem, ou une femme mariée se faisant chier au lit avec son mari, et qui se faisait prendre par le Diablotin en pleine nuit dans sa cuisine, ou en allant aux toilettes... Si ce n’est dans son lit conjugal, face à un mari profondément endormi. Plus c’était pervers, et plus Alastar était excité. Après tout, avant d’être amoureux du beau sexe et du sexe tout court, il restait un démon de Luxure. Le Diablotin s’enfonçait en elle, les minutes s’étirant, comme s’il avait oublié de jouir. Sa queue remuait en elle, profondément, lourdement, tapant contre son clitoris, défonçant son bouton de plaisir.

Il la faisait hurler, la défonçant joyeusement. Qu’elle hurle, qu’elle se casse la voix, il ne demandait que ça ! Qu’elle verse des larmes de souffrance et d’un plaisir insondable tandis qu’il continuerait à la prendre, à la pénétrer, à la baiser joyeusement. Les minutes se prolongeait joyeusement, jusqu’à ce qu’il finisse par se déverser en elle. Dans un long soupir, Alastar se crispa sur les fesses de la femme, appuyant sur sa chair, la meurtrissant, puis il jouit, longuement et généreusement, balançant dans son corps de multiples giclées de foutre.

« Haaa.. Haaaa, ma belle... »

Pendant une bonne minute, il avait répandu son foutre en elle, et laissa sa queue en elle pendant un certain temps. Sa main gifla alors les fesses de Calliope.

« Alors, ma chérie... Tu te sens bien, avec mon foutre dans ton corps ? »

Le Diablotin avait joyeusement joui en elle, et sa queue caudale venait caresser son ventre, frottant son estomac, là où le sperme venait de s’accumuler, gonflant très légèrement sa peau. Quand Alastar retira son sexe, le sperme se déversa sur le sol, en compagnie de la mouille de la femme, filant entre ses jambes, éclaboussant ses cuisses.

« Ne te repose pas trop, ma chérie, ma queue a encore envie de se nicher dans ta bouche... »

Pas sa queue caudale... L’autre.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le jeudi 05 février 2015, 18:55:22
Le temps semblait avoir arrêté son cours, pour la rousse haletante. Elle ne savait plus quelle heure il était, ou depuis combien de temps ils étaient ainsi. Tout ce qu’elle savait, c’était que c’était putain de bon, et qu’elle prenait un pied d’enfer. Son corps souple se courbait sous les coups de reins du démon, alors qu’elle criait à s’en casser la voix. Elle plaignait ses voisins. Ou, tout au moins, elle les plaindrait si elle avait les idées claires. Elle faisait un boucan de tous les diables. Si quelqu’un appelait la police pour tapage, elle n’en serait pas étonnée.

« Alastaaaar ! »

Elle avait l’impression de flotter, de nager, dans un océan de désir, de plaisir. Son corps était parcouru de frissons. Sa peau était aussi brûlante que le feu au creux de ses reins. Elle criait à s’en faire mal à la gorge, mais elle n’en avait cure. Le flot impétueux du plaisir noyait son bon sens, et la forçait à venir s’échouer sur les rivages de l’orgasme, encore et encore.

Quand elle ressentit l’instant où le Diablotin aussi se libérait en elle, elle gémit à nouveau, creusant les reins pour l’accueillir au plus profond d’elle. Et quand il se retira, libérant alors le trop plein en elle, elle gémit à nouveau, essoufflée. Le liquide chaud coula entre ses cuisses, déclenchant une nouvelle vague de frissons.

« C’est… Mmm…. Délicieux ! »

Complètement chavirée par la jouissance, Calliope avait les yeux mi-clos. Un sourire étira ses lèvres alors que son amant lui faisait part d’une envie. Elle se redressa, étirant légèrement son corps, avant de se retourner pour faire face au démon. Elle se mordilla la lèvre inférieure, et son regard quitta celui d’Alastar pour descendre jusqu’à cet appendice encore luisant qui venait de quitter le confort chaleureux de son entrejambe. Elle approcha ses lèvres, les arrondissant pour laisser passer le membre toujours dur de façon à ce qu’il soit constamment en contact avec elles. Elle aspirait en même temps, l’invitant à se nicher toujours plus loin.

Ses mains étaient venues se poser sur les hanches de l’amant diabolique, le rapprochant d’elle à mesure qu’elle faisait disparaître le sexe érigé entre ses lèvres carmines. Sa langue se mit à l’ouvrage, alors qu’elle commençait à initier un mouvement de coulissement lent, et langoureux. Elle creusait les joues, l’aspirant jusqu’à ce qu’il touche le fond de sa gorge, et le repoussait, toujours en l’aspirant, nettoyant la peau rouge de leurs précédents ébats.

Puis, peu à peu, le rythme se modifia, devenant plus rapides, plus… Hachés. Elle prenait plaisir à lui faire cette gâterie, et y mettait tout son cœur. Ses cuisses serrées retenaient le flot humide qui ne cessait de vouloir s’échapper, les rendant collantes. Et ses mains vagabondaient sur le corps parfait de l’incube, descendant doucement vers les bourses cachées, pour les malaxer.

De temps à autres, ses lèvres relâchaient leur étreinte sur la verge tendue pour venir aspirer ces dernières, les suçotant avec malice, puis elles revenaient à ce sucre d’orge qu’elle dégustait. Quelques fois, elle relâchait tout, remettant en place sa crinière de feu, et venant parsemer de baiser le bas-ventre d’Alastar. Puis elle reprenait son ouvrage, avec toujours plus de passion.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le lundi 09 février 2015, 01:39:54
Les deux amants continuaient à s’amuser, sans relâche, avec le même désir, et avec une passion toujours renouvelée. C’est ça qui était terrible avec un Incube : peu importe la fatigue physique que le démon ressentait, ses batteries se rechargeraient toujours, tant que son ou ses partenaires étaient excités. Les pulsions sexuelles étaient sa force vitale, ce dont il se nourrissait, et il les avalait avec joie, retrouvant à chaque fois sa vigueur et sa force naturelle. À genoux devant lui, Calliope ne pouvait que se laisser faire, et lui obéir, optant pour une nouvelle fellation... Qui ne serait sûrement pas la dernière. Alastar soupira. Le Diablotin lui caressa les cheveux, relevant la tête, avant de la regarder à nouveau. Depuis hier, ils baisaient comme des animaux en rut, comme des bêtes en manque, et, pour autant, il n’arrivait pas à se lasser... Pour Calliope, l’exploit était d’autant plus fort qu’elle n’était pas une succube, et qu’elle était seule. Oh, qu’elle était douée ! Indiscutablement, si, au jour du Jugement, elle finissait en Enfer, Alastar se débrouillerait pour récupérer son âme errante dans les Limbes, afin de pouvoir la former, en faire sa concubine... Calliope serait une magnifique succube, Alastar la voyait déjà avec de belles petites ailes rouges, une queue caudale, à séduire de jeunes éphèbes sur Terre, des hommes amoureux qui se jetteraient entre ses bras.. Chez le Diablotin, le sexe oral avait la faculté de galvaniser son imagination, car, pour une fois, l’hyperactif Incube n’avait pas grand-chose à faire. Il laissait Calliope agir, caressant ses cheveux, la laissant toute à son expertise de sa belle queue gonflée.

Elle savait y faire, cette petite, et elle le prouva en continuant à le sucer, remuant le long de sa queue. C’était magnifique, savoureux, et Alastar la laissait faire, sentant progressivement les doigts de la jeune femme flatter ses testicules... Une autre partie du sexe qu’il ne fallait pas négliger. Calliope multipliait les gorges profondes, et l’érection du beau diable s’emballa, son membre durcissant de plus en plus. Alternant, Calliope retirait parfois sa bouche de son sexe, et allait aspirer et lécher ses testicules, glissant sa langue sur ses poils pubiens.

« Ah, Calliope, Calliope... Quelle énergie, quelle motivation... Vas-y, vas-y, continue, continue, ma belle... »

Il la récompensait, caressant tendrement ses cheveux, les frottait délicatement, avec une tendresse infinie. Après tout, il était important de lui montrer toute son affection. Elle couchait avec un Incube, dans ce qui, pour elle, semblait assurément relever du rêve. Alastar souriait lentement, gai comme un pinson. Qu’il était bon, en effet, de sentir une femme s’activer sur votre verge, vous montrer toute son affection, tout le désir qu’une queue gonflée et chargée de désir lui inspirait. Le Diablotin n’avait aucune raison de la repousser, et, pendant de longues minutes, on n’entendit rien de plus, dans la pièce que les bruits de succion de la bouche de la femme rousse, se mélangeant à ses soupirs et à ses gémissements.

Douée et motivée, Calliope variait les plaisirs, remettant sa chevelure en place, puis elle embrassait le corps d’Alastar, ce qui faisait que son membre turgescent frottait son menton. Il glissait sur sa peau, et il la laissait faire, caressant ses cheveux. Les minutes défilaient, et sa queue caudale venait caresser le dos de Calliope, glissant sur son corps.

« Là, Calliope, là... Ouii... Ouiii... »

Peu à peu, le plaisir avalait le corps du Diablotin, ce qui se manifesta par une belle érection, et par un bel orgasme. Sa main se crispa sur les cheveux de la femme, et il enfonça son membre dans sa bouche, puis balança en elle un foutre blanc et chaud, haletant et soupirant profondément, balançant des chapelets de foutre en elle. Le Diablotin s’abandonna en elle, longuement, généreusement. Il balança en elle son foutre chaud, et laissa ensuite son sexe en elle, plantée dans sa bouche. Il avait bien rempli cette dernière, et le sperme déformait les joues de Calliope.

« Bois lentement ta soupe, Calliope... Tu es si bonne, ma petite chérie... »

Il lui laissa le temps de le faire, puis retira son sexe, et s’étira les bras.

Ah, qu’est-ce qu’il pouvait aimer ces êtres humains !
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le lundi 11 mai 2015, 20:36:25
La rousse aimait prodiguer ainsi du plaisir à un homme. Ses lèvres gourmandes flattaient la verge tendue, se resserraient dessus pour l’aspirer avec vigueur, avec passion. Elle était comme une nymphomane affamée, à cette instant, prenant soin de chaque partie de l’anatomie mâle du démon. Ses mains fines et agiles comblaient son corps de délicates attentions, ne négligeant rien sur leur passage. Et qu’il était dur, ainsi fiché entre ses lèvres ! Elle aimait le sexe, et ne s’en cachait pas. Sa langue virevoltait comme elle pouvait sur la douce peau veinée. Si au début le teint rouge du Diablotin avait surpris Calliope, elle s’y était vite habituée.

Pompant avec ardeur cette délicieuse virilité, la petite humaine y prenait grand plaisir. Grâce aux encouragements d’Alastar, elle savait qu’elle s’y prenait bien. Elle aimait l’entendre le lui dire. Avec un gémissement, alors qu’elle sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir une nouvelle fois. Elle le laissa docilement agripper sa chevelure, et modula sa respiration alors qu’il se plantait plus loin encore dans sa gorge. Elle sentit le sperme qui jaillissait par jet, tapissant sa gorge, coulant dans sa trachée mais pas seulement. Alors qu’elle avalait comme elle pouvait ce qu’il lui offrait si généreusement, un surplus venait envahir le reste de sa bouche, faisant gonfler ses joues comme elle serrait les lèvres plus fort sur la queue dressée pour ne rien perdre.

L’appendice caudale contre son dos l’avait faite frissonner au départ, et son dos s’était doucement creusé pour s’y frotter doucement. Sous les encouragements de l’incube, la jeune femme avalait doucement sa jouissance, savourant la texture et le goût. Etait-ce aphrodisiaque ? Peut-être. Elle ne saurait le dire. Mais son excitation redoubla encore, stimulée par le fait de l’avoir senti se libérer en elle, par le fait de déguster, littéralement, ce plaisir qui venait de jaillir.

Finalement, elle réussit à tout avaler. Quand le démon retira sa masculinité encore érigée d’entre ses lèvres, la coquine rousse ne manqua pas de la nettoyer d’un coup de langue taquin. Assise sur ses talons, elle l’observait avec amusement et désir. Son regard brillait de convoitise, alors qu’elle se redressait doucement, venait se coller contre lui en embrassant sa peau rouge avec délectation.

« Tu es délicieux, Alastar, souffla-t-elle alors que ses lèvres atteignaient le lobe de son oreille. »

Ses mains l’enlacèrent tandis qu’elle venait l’embrasser presque chastement, sa bouche filant sur sa joue pour glisser dans son cou et y mordiller sa peau. Elle était encore chaude comme la braise, la petite Calliope. Brûlante de désir. Entre ses cuisses déjà trempée, elle sentait le feu de son excitation enfler.

« J’aime cette ardeur que tu as… Et cette vigueur insatiable… »

Elle aimait vraiment ces étreintes avec l’incube. Elle se sentait belle, désirée. Choyée. Chose qui ne lui était pas arrivée depuis très longtemps. Ses mauvais souvenirs s’effaçaient finalement, remplacés par ces instants de plaisir pur, de jouissance du corps et de l’âme.

« Tu veux qu’on essaie le salon à présent ? Chuchota-t-elle avec un plaisir évident. »

Dans cet appartement, c’était la première fois qu’elle y prenait du plaisir ainsi. Ou même, du plaisir tout court. Elle n’avait jamais invité d’homme ici, et ne s’était pas vraiment donné de plaisir en solitaire depuis un moment. Prenant les mains du Diablotin, elle le tira avec elle, féline, vers le canapé qui campait dans le salon. Un caméscope était rangé sur une étagère, au-dessus de l’écran plat. Quand son regard passa dessus, une idée naquit dans son esprit. Elle n’avait jamais trop aimé le fait de filmer des ébats, principalement parce que les seules fois où son amant avait fait ça, c’était pour mieux la faire chanter après. Mais tant qu’elle y était à reprendre confiance en elle, autant briser les tabous qu’elle s’était imposé.

Relâchant les mains de l’incube, l’irlandaise se déplaça en roulant des hanches jusqu’aux étagères, et se mit sur la pointe des pieds, en tendant le bras, pour attraper l’appareil qu’elle visait. Dépliant le caméscope, elle constata qu’elle avait enlevé la batterie pour qu’il ne se décharge par trop. Tâtonnant encore un peu sur l’étagère, elle finit par trouver cette dernière, et sourit en l’insérant dans la cavité faite exprès. Allumant l’appareil, elle se retourna vers Alastar avec un grand sourire.

« Est-ce que ça te tente d’enregistrer nos performances pour voir ce que ça donne après ? »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le vendredi 15 mai 2015, 01:27:31
Cette femme était une véritable petite perle, et elle était la preuve de l’amour inconsidéré d’Alastar pour les humains. Ah ! Quelle idée certains de ses confrères démoniaques avait de vouloir les asservir ! Ils étaient tellement plus amusants ainsi, tellement plus atypiques, avec leur moralité contradictoire, avec leurs désirs, leurs pulsions, leurs envies secrètes et profondes… Oui, Alastar les aimait beaucoup, et cette Calliope, cette petite salope qui venait encore de le sucer, et qui se révélait insatiable, avait déjà une petite place dans le cœur chaud d’Alastar. L’Incube se régalait de ces femmes, de ce beau sexe maltraité et délaissé, qui ne demandait qu’à se faire besogner. Il avait joui en elle, et, docile, la suivit dans le salon. Il savourait son corps quand elle frottait sa peau douce et tendre contre le sien, il savourait ses soupirs, ses frottements, ses gémissements, son espièglerie, sa joie de vivre… Magnifique, elle était tout simplement magnifique. Alastar se retrouva donc dans le salon, avec un sourire sur les lèvres.

« C’est normal, je suis un Incube… Plus je suis sexuellement satisfait, et plus je suis excite. C’est ce qu’on peut vraiment appeler une cercle vicieux… Toi, en revanche… Tes capacités sont incroyables. »

Et il ne disait pas ça que pour la flatter, il le pensait sincèrement. Insatiable, cette Calliope voulait continuer à lui faire l’amour, et ça ne dérangeait nullement Alastar. Il pouvait volontiers passer des jours et des jours à faire l’amour, sans rien d’autre. La majeure partie du temps de l’Incube était consacrée aux relations sexuelles, après tout, et cette femme n’allait pas être une exception. Ils se rapprochèrent donc du fauteuil, quand Calliope eut une autre idée. En souriant lentement, Alastar s’assit sur le fauteuil, et la vit chercher un caméscope avec une batterie, en roulant délicieusement des hanches. Tout à fait naturellement, l’être à la peau rouge n’en perdait pas une miette, se délectant de ses longues jambes fuselées, et, bien entendu, de son beau petit cul. Il n’y avait pas à dire : Alastar adorait les fesses des femmes. De belles bosses rondes et tendres, extrêmement douces et moelleuses. Il adorait les pétrir, il adorait sentir les femmes s’abandonner entre ses bras, leur corps s’affaiblissant contre lui, leurs soupirs dans ses oreilles, leur corps se frottant contre son torse musclé et glabre… Oui, oui, tout cela était superbe.

Il la vit se hisser sur la pointe des pieds, et il put voir que, entre ses cuisses, sa mouille coulait lentement, venant laisser, sur le sol, de petits traînées, comme de délicates gouttelettes. Il sourit à nouveau, puis elle se retourna, en lui présentant l’objet, avec une envie derrière la tête, une envie comme il les aimait… Une envie perverse. Assise sur le fauteuil, mains posées sur les accoudoirs, jambes écartées, son sexe pointant vers la femme, et elle lui proposa de… Filmer leurs ébats.

« Est-ce que ça te tente d’enregistrer nos performances pour voir ce que ça donne après ? »

Alastar sourit donc, amusé, et, soudain, l’appareil s’échappa des mains de Calliope, et s’illumina en l’air, tournoyant sur place.

« Hum… C’est une idée… Très inspirante, ma belle Calliope. Mais je sais déjà ce que nous donnons, tous les deux… Néanmoins, j’aime l’idée que, quand le bel Ange que je suis disparaîtra de ta vie, tu t’amuseras à contempler cette vidéo, et, quand tu te coucheras seule dans ton grand lit, ou avec un homme incapable de te satisfaire, car tu auras goûté au plus beau des fruits, tu invoqueras mon nom… Qu’il est bon, ma chère, de t’imaginer me désirer, te caresser intimement dans ton lit en murmurant entre tes belles petites lèvres assoiffées mon nom… »

Du moins, ce n’était pas son vrai nom, mais chaque démon connaissait la règle : si quelqu’un connaissait son vrai nom, alors il était son esclave. Alastar s’amusait, et était orgueilleux… Mais il pouvait se permettre de l’être, car il était un Incube. En attendant, l’appareil filmait les jambes de la femme, ses fesses, ses seins, remontant tout autour d’elle. Il se releva ensuite, et l’appareil s’écarta, afin de faire un plan plus large, zoomant toutefois sur le sexe de l’homme.

« Maintenant, Calliope, je vais te faire hurler… »

Son corps s’était rapproché du sien, et sa main caressa sa joue, avant de s’appuyer sur son menton. Il souleva légèrement sa belle tête, et l’embrassa sur les lèvres, tendrement, enfonçant sa langue dans sa bouche, sa queue caudale en profitant pour frotter ses jambes, ses ailerons récoltant un peu de sa cyprine, la grattant afin de la faire frissonner. Il prolongea le baiser pendant quelques secondes, roulant sa langue dans celle de la femme, et s’écarta ensuite d’elle, conservant sur les lèvres son sourire.

« Mets-toi à quatre pattes… Comme la petite chienne que tu es aimes bien… Puis demande à ce que je te baise… Sois convaincante, car la caméra sera devant ton visage, à fixer ta souffrance et ton désir… »

Sa voix roulait doucement le long de ses lèvres, mais était chargée de désir et de pulsions sexuelles.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le dimanche 26 juillet 2015, 16:48:06
Le compliment, car c’en était un, fit sourire la rousse. Elle ne se considérait pas aussi spéciale. Bien que, il est vrai, sa résistance était assez surprenante. Mais son côté pragmatique résolut le problème pour elle, penchant en faveur de l’hypothèse suivante : La présence de l’incube à ses côtés, sa faveur et ses jouissances en elle favorisaient son endurance. Parce que, franchement, elle n’avait rien d’incroyable, si ce n’était sa capacité à tomber sur les mauvais gars, jusqu’alors. Satisfaite de l’explication que son esprit venait de formuler, la jeune femme continua sur sa lancée, proposant de filmer leurs ébats. Une façon, pour elle, de garder une trace du fait que sa chance avait enfin tourné.

Le Diablotin avait une autre raison d’accepter avec joie, et Calliope ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait aussi raison, en partie. Se remémorer simplement leurs ébats n’aurait peut-être pas suffit. Alors que si elle avait la vidéo sous les yeux… Rien qu’à cette idée, son intimité se remit à s’humidifier, une nouvelle fois, impatiente d’accueillir la vigueur de l’incube en elle. Elle observa un instant la caméra, qui s’était mise à léviter, scintillante, et tournoyant autour d’elle pour filmer les détails les plus intimes de son corps.

Elle sourit quand il s’avança vers elle, et leva la tête pour profiter de ses lèvres, ouvrant les siennes de bon gré pour mêler sa langue à la sienne. Elle appréciait son contact, autant qu’il semblait l’apprécier elle. Ses mains se mirent à caresser distraitement le corps masculin, s’accrochant aux contours des muscles fermes, remontant dans son dos pour venir lui agripper la nuque alors qu’il faisait couler sa queue caudale contre elle. Elle frissonna à nouveau, sous son toucher, alors que son excitation s’amplifiait. Ses yeux accrochèrent la caméra, et elle frémit de plus belle.

Quand il s’écarta, pour lui ordonner de se mettre à quatre pattes, elle s’exécuta aussi docilement que si cela avait été son idée. Elle aurait pu l’être, mais le fait qu’il l’ait mentionnée en premier le rendait maître de cette union, ce que ne détestait pas la belle rousse. Les mains ainsi posées sur le sol, les genoux repliés, elle creusa le dos pour lui tendre son fessier rebondi, le regard agrandit par le désir. Elle détourna ses prunelles de celles d’Alastar, fixant à présent la caméra comme s’il s’agissait du démon lui-même. Ses lèvres brillaient, humidifiées par sa langue qui venait de les parcourir.

« Oh, Alastar, tu me rends folle… Folle de désir, de plaisir… J’ai l’impression d’être en manque… Je ne désir qu’une chose, c’est que tu viennes me combler. Encore, et encore. Viens me prendre, je t’en prie, mon très cher et séduisant incube. Viens posséder ta petite chienne assoiffée de toi. Mmm… Je suis déjà prête pour toi, attendre ainsi me frustre… C’en est presque douloureux. Et pourtant… Mmm, et pourtant c’est délicieux aussi… Alastar, je t’en supplie… Prends-moi, comme une bête. Baise-moi, fais-moi l’amour, rempli-moi de ton jus… »

Elle y mettait tout son cœur, n’ayant même pas à feindre devant la caméra. Elle haletait presque, rien qu’en imaginant qu’il venait la posséder ainsi, son esprit partant déjà dans ses fantasmes les plus crus.

« Je veux sentir ta vigueur me pénétrer, me marteler… Je veux sentir ta queue me déchirer, me combler encore plus… »

Et elle retourna la tête, ondulant ses hanches, pour gratifier le Diablotin d’une œillade tout sauf chaste.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le jeudi 30 juillet 2015, 11:59:10
Quand on voyait Calliope, on comprenait mieux pourquoi Alastar était un si mauvais Incube. Mauvais, car, contrairement à bien de ses confrères ou consœurs, il ne mangeait jamais l’âme de ses partenaires. Quand on invoquait un démon, il fallait toujours se méfier des lignes en petits caractères sur le contrat. Car, quand on couchait avec un démon de Luxure, ce dernier avait le droit, si vous ne l’aviez pas épuisé, d’avaler votre âme. C’est ainsi qu’on disait que les succubes étaient des trésors aux mortels interdits. Alastar, lui, n’avait toutefois jamais été incapable de tuer ses amantes ou ses amants, et, pour le comprendre, il suffisait de s’arrêter sur cette scène. À quatre pattes, Calliope était là, devant lui, sorte d’ode flamboyante à la beauté, nymphe à la chevelure de feu, dans une position des plus sexuelles. Quand elle courbait ses reins, ou remuait ses hanches, elle était d’une beauté, d’une telle beauté… Oh oui, Alastar ne pouvait que l’aimer, et, plus elle se mettait à parler, devant l’objectif de la caméra, qui oscillait entre des plans serrés sur son visage ou des plans élargis permettant de voir la courbe de ses seins, et plus sa queue devenait dure et douloureuse. Le Diablotin serra lentement les poings, enfonçant ses griffes dans sa chair, et les rouvrit encore, en respirant lentement. Sa queue caudale remuait de gauche à droite, et il louchait sur le joli cul de Calliope.

Ils baisaient ensemble depuis des heures, et ce n’était pas sur le point d’arriver, pour le plus grand plaisir du beau diable, qui s’approcha lentement d’elle. Elle parlait, d’une voix si belle, prononçant des mots si beaux… Ahlàlà, et dire qu’elle était célibataire ?! Pour lui, la seule explication raisonnable venait du fait qu’elle était tout simplement trop belle et trop douée pour pouvoir s’entacher avec un seul homme. Non, elle méritait d’avoir autant d’hommes qu’elle le voulait, car elle était comme une Princesse du sexe, une Reine de la luxure. Elle finit par tourner la tête, l’observant avec ses yeux de braise, ceux d’une magnifique et sensuelle séductrice. Oui, oui, si belle… Ah, quel heureux veinard ! Le brave Diablotin la vit remuer des hanches, montrant ses belles fesses, et il s’approcha encore… La caméra se déplaça alors, se relevant pour se rapprocher d’Alastar, et fixa le bassin de la femme, son beau petit cul, puis la grosse verge rouge de l’Incube, saillante et tendue, avec une veine qui remuait le long de sa peau.

« Hmmm… »

Il se pinça les lèvres, et l’une de ses mains caressa tendrement le postérieur de la femme… Puis il pinça sa chair moelleuse entre ses doigts griffus, et sa queue caudale se déplaça, et fouetta le cul de la femme. Un délicat coup de fouet, qui le fit sourire. Sa queue tendue heurta ensuite sa chair, et il posa son autre main sur elle, et s’humecta les lèvres.

« Ah, ma chère Calliope, tu es vraiment une femme incroyable… Je sais que, vous les humains, n’aimez pas trop ça, mais… Quand tu seras morte, sache que je me battrais pour récupérer ton âme. Tu feras une succube magnifique, ma chérie… »

Parler de mort était toujours glauque pour les humains, ce qui, pour Alastar, était un peu contradictoire. La mort était l’étape naturelle de la vie, et il lui semblait donc naturel de l’évoquer, et ce d’autant plus qu’un démon savait qu’elle ne signifiait pas la fin. De plus, les humains eux-mêmes ne décrivaient-ils pas l’orgasme comme une petite mort ? Il y avait bien des choses qu’il ne comprenait pas chez les humains, mais il était sûr d’une chose : quand Calliope mourrait, si son âme finissait en Enfer, il lui réserverait une place dans leur palais. Une belle place chaude et douillette.

Ses mains continuaient à pétrit ses fesses, et il finit par agir. L’homme s’avança, se courbant en avant, et son torse épousa la forme de son dos. Sa queue caudale se déplaça encore, et s’enroula autour de la taille de Calliope, heurtant son tendre estomac, ses mains venant se crisper sur ses seins. Il les massa, tout en y trouvant un appui supplémentaire. Alastar usa alors de ses muscles d’Incube, et souleva la jeune femme. Il y alla lentement, et la plaqua contre lui, en se redressant, pour la maintenir en hauteur face à lui. Elle était là, suspendue au-dessus du vide, et il glissa ses mains de ses seins pour s’appuyer sur ses chevilles, et embrassa le creux de son cou, léchant et mordillant sa belle peau.

« Observe bien, maintenant, ma chérie… Les pouvoirs et les petits tours d’un Incube espiègle qui a envie de te traiter comme la pute lubrique que tu es… »

L’être rouge avait murmuré ça dans le creux de son oreille, et tendit son doigt vers la télévision, face aux deux amants. Cette dernière s’alluma alors, et diffusa l’image affichée sur la caméra.


« Je vais te baiser sous tes yeux… »

La caméra se fixa alors sur la vulve de la femme. On pouvait voir, dans les angles, les doigts rouges d’Alastar, et, au centre le sexe de la femme, et la verge rouge, pointue et assoiffée, du diable. Il souleva alors le corps de la femme, puis son sexe se redressa, et, ensuite… Et bien, il crispa ses doigts sur la chair de la femme, pour la faire souffrir un peu, et abaissa ensuite ses hanches… Sa vulve trempée s’empala sur le sexe, le trou rencontra le bâton, et il y eut un petit bruit de claquement. Ce délicieux petit bruit.

Cet irrésistible petit bruit.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le mercredi 25 mai 2016, 19:07:10
Calliope se laissait complètement aller, avec Alastar. Elle explorait sa sexualité encore plus profondément qu’elle ne l’avait jamais fait. Et pourtant, elle avait eu l’occasion de le faire à de nombreuses reprises, par le passé. Mais à ce moment-là, on l’utilisait. Et ça, elle ne pouvait l’accepter. On l’utilisait sans son consentement. C’était inadmissible. Pour la jeune femme, des relations sexuelles épanouies passaient par le plaisir mutuel, par le consentement tacite et par une confiance inébranlable. Or, elle n’avait eu aucun de ces trois critères, lors de ses mésaventures.

Avec l’incube, par contre, ils étaient là, les critères. Elle appréciait d’autant plus cette relation qu’il lui permettait de reprendre confiance en elle, de pouvoir à nouveau apprécier son corps et sa sensualité, et d’apprécier un mâle. Elle se sentait vraiment bien. Et excitée, aussi. Très très excitée.

L’irlandaise ondula doucement sous la prise du démon, appréciant son toucher, le son de sa voix et les jeux coquins à venir. Elle sourit en voyant la camera braquée sur elle, et son sourire s’élargit en avisant la télé qui s’alluma soudain. La chaleur qui l’embrasait toute entière fit palpiter son cœur un peu plus vite, alors que l’image montrait un gros plan sur son intimité détrempée. L’image de la vilité écarlate du démon -érigée pour elle, par elle, pour son plaisir- lui fit pousser un gémissement d’envie. Ses lèvres intimes étaient rouges aussi. Moins que la chair de l’incube, mais malgré tout plus que la normale. Il faut dire qu’ils n’y allaient pas de main morte, et que ce qui allait suivre ne serait pas leur première étreinte.

Elle fit un petit bruit de gorge alors que les doigts d’Alastar s’enfonçaient un peu plus dans sa chair, impatiente et brûlante. C’est un râle de plaisir qui suivit ensuite, alors que la verge tendue venait pourfendre ses chairs intimes, s’enfonçant en elle pour y retrouvé le doux fourreau qu’elle était. Les sensations, c’était une chose. Mais le voir en face, en même temps, ça en était une autre. Cette situation était vraiment perverse et vraiment très excitante. Elle en gémit d’autant plus, manquant de couvrir le bruit de succion que faisait son abricot trempé en aspirant la virilité du démon, que la sensation de le retrouver en elle manqua de la faire défaillir. Elle ne s’en lassait pas. Loin de là. Ivre de ces sensations grisantes, elle bénit le démon de la retenir de la sorte. S’il n’avait pas été là pour la soutenir, elle se serait effondrée au sol, molle poupée de chair abandonnée aux affres du plaisir.

« Oh, Alastar…, lâcha-t-elle dans un gémissement alors qu’il se calait au fond de son être, cognant contre ce fameux point C, non loin du col de son utérus. »

Comme un automatisme, son corps chercha à bouger, à ressentir encore cette plénitude qu’elle avait lorsqu’il s’enfonçait en elle. Rejetant la tête en arrière, de biais, la rousse pouvait encore voir l’écran et son excitation redoubla, si c’était possible.

« Baise-moi comme une chienne, défonce-moi face à cette caméra, lâcha-t-elle d’un ton rauque de désir. Fais-moi tienne, remplis-moi, comme la salope que je suis, poursuivit-elle en tendant une main derrière elle pour agripper le démon. »

Elle aimait cette vulgarité, cette situation. Elle appréciait de n’être qu’une marionnette de chair que l’incube manipulait, qu’il utilisait de la sorte. Et pourtant, elle n’aurait jamais pensé aimé se soumettre de la sorte pendant des rapports intimes. Mais Alastar dépassait toutes ses inhibitions, il la guérissait et lui rendait cette confiance en elle qu’elle n’aurait jamais dû perdre.

Ses prunelles étaient fixées sur la télévision, et elle poussa un gémissement étranglé en contractant ses muscles vaginaux autour de sa hampe de chair.

« Aaaah, je t’en supplie, glissa-t-elle en bougeant ses hanches, impatiente et électrisée. »
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le vendredi 27 mai 2016, 08:14:13
En tapant à la porte de l’Incube, Calliope avait frappé à la bonne porte. Les démons de Luxure étaient loin, pour la plupart, d’être aussi gentils que lui. En ce moment, Alastar était surtout intéressé par faire plaisir à cette femme, par satisfaire l’appétit terrible qui semblait habiter en elle. C’était aussi pour ça qu’il aimait bien Seikusu. Avec cette ville, il y avait quelque chose de particulier, quelque chose qu’il ne retrouvait pas ailleurs. Les femmes de Seikusu étaient relativement résistantes, très endurantes, comme s’il y avait, dans cette ville, quelque chose qui justifiait la forte lubricité qui y régnait. Et, quoi que soit ce quelque chose, il ne dérangeait sûrement pas Alastar. Que ce soit les lycéennes en culotte courte du lycée Mishima,  ou les femmes mûres comme Calliope, les délicieux fruits qui se trouvaient ici étaient tous très mûrs.

Il explorait doucement le corps de Calliope, caressant sa peau, se frottant à elle, comme si ce corps était celui d’une idole. Une peau chaude, tendre, moelleuse à souhait, attestant de hanches solides. La magie se mélangeait au sexe, ce qui ne gênait clairement pas Calliope. Elle voyait les caméras flottant autour d’eux comme un moyen supplémentaire d’excitation, notamment quand, jaugeant son œil sur l’écran télévisé, elle y vit un gros plan sur leurs sexes mutuels.

Ensemble, ils avaient déjà fait de multiples positions, elle avait pu voir que son amant était solide, résistant, et costaud. Et il comptait encore longuement profiter d’elle, poursuivre cette délicieuse orgie. Soupirant lentement, il appréciait cette sensation. Cette attente, comme l’insupportable calme avant la tempête... La sensation ô combien douloureuse de son mandrin, lourd et tendu, qui semblait respirer les effluves de plaisir s’échappant des délicieuses lèvres intimes de Calliope. Il était là, dressé devant, comme un soldat aiguisant et lubrifiant sa baïonnette avant de charger dans la tranchée ennemie. Alastar remuait un peu des hanches, soulevant ainsi sa queue, qui se redressait pour taper contre le corps de la femme, glissant dessus. Oui, il la frustrait, et il se frustrait, comme un stentor qui modulerait sa voix pour enflammer l’ardeur de ses troupes.

Alors, elle lui demanda de la baiser comme une « chienne », de la remplir comme une « salope », et, bonheur suprême, ultime excitation de sa fierté masculine comblée, le supplia. Il ne put que sourire, sa queue caudale venant caresser son corps... Puis il donna une petite gifle sur ses fesses.

« Oui, si tu me prends par les sentiments... »

Il se pencha alors vers elle, courbant son dos vers l’avant, sa queue venant davantage caresser ses cuisses, et il se rapprocha ainsi de sa tête, venant mordiller un peu son cou.

« ...Laisse-moi donc te faire hurler. »

Il se releva alors, se remettant bien debout, écarta un peu les jambes, puis crispa ses mains sur les hanches de la femme... Et donna un coup de reins. Comme si son sexe était aimanté par celui de Calliope, il s’enfonça alors en elle, lourdement, filant en quelques secondes jusqu’à la garde, puis se recula, et retourna en elle. Sa queue avait beau être grosse et épaisse, les lèvres intimes de Calliope avaient déjà goûté à ce membre, à cette virilité, et, ce faisant, elles étaient prêtes à le recevoir, prêtes à danser avec lui. La chair claqua contre celle de Calliope, ses testicules heurtèrent ses fesses, tandis qu’il se reculait, puis revenait à l’assaut, s’enfonçant davantage dans cette tranchée luisante et inondée.

Ses mains serraient les fesses de la femme, et il la prenait en levrette, soupirant lentement, la sentant couiner et gémir, en subissant ses assauts. La levrette, une position magique, qu’Alastar aimait autant que celle où il se retrouvait sous le corps de la femme. L’Incube avait ses petites préférences, et, s’il aimait bien la position actuelle, c’était parce que son amante était à quatre pattes devant lui, et qu’il avait, outre une vue fantastique, une amplitude beaucoup plus forte. Les mouvements que l’homme pouvait donner étaient bien plus importants, bien plus forts.

« Haaaa... !! Putain, ouais ! »

Une nouvelle gifle s’abattit sur la croupe de la femme, plus forte. Il sentait l’adrénaline éclater en lui, fusant le long de ses veines, tout en continuant ses mouvements, tout en la prenant, encore et encore.

« Tu aimes ça, hein, ma petite pute ? Hhhmmm... J’ai beau t’avoir déjà baisé dans tous les sens possibles... Haaa... Je me sens encore comme un assoiffé quand je m’enfonce en toi. Hum, ma douce Calliope ! Quelle chienne formidable tu fais ! »

Sa main caressa ses cheveux, et il s’empara alors de ces derniers. Il ne cherchait pas à les arracher, mais à maximiser encore les mouvements qu’il faisait, en s’en servant pour soulever le corps de Calliope, avant de les relâcher.

Alastar était bien loin d’en avoir fini avec elle, et sa main alternait entre les cheveux et le cul de Calliope, sur lequel il revenait fréquemment se poser, afin de la gifler... Encore.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Calliope Tick le lundi 06 juin 2016, 20:00:26
Oh oui, oh oui, oui, oui, mille fois oui. Calliope adorait qu’Alastar la démonte de la sorte. A quatre pattes sur le sol, elle ondulait et gémissait, criant même quand il giflait ses fesses bombées, adorant ce soupçon de souffrance qui rougissait sa peau tendre, et la prise dans sa crinière ne faisait que renforcer cette tension insoutenable qui l’habitait. Elle adorait qu’il la pénètre avec force et volupté, et de voir leurs ébats sur la télé, grâce à la caméra qui filmait toujours, ça la rendait encore plus tremblante de désir.

« J’adore, parvint-elle à haleter. Possèdes-moi comme…Ah ! Comme ta petite putain personnelle, ajouta-t-elle en gémissant de plus belle. »

Son désir exacerbé par l’angle nouveau sous lequel elle observait leur étreinte, sous lequel elle s’observait être prise sauvagement… C’était terriblement sexy. Déglutissant avant de s’étouffer à force de gémir sans avaler sa salive, la rousse ondulait son corps pour répondre aux sollicitations de l’incube. La caméra se déplaça devant elle, et filma encore plus bas, se glissant sous sa lourde poitrine qui ballotait pour venir la laisser admirer l’emboîtement de leurs sexes sur le grand écran.

« Oh, dieu, oui ! Cria-t-elle en observant son intimité ruisselante et rougie, gonflée par le plaisir charnel. »

Elle redoubla d’ardeur à creuser le dos, ses muscles intimes se resserrant férocement sur le sexe raidi qui la pénétrait, l’aspirant encore plus si c’était possible.  Ses gémissements ressortaient par les enceintes de la télé, et donnait à la scène une sorte d’irréalité fascinante, comme un écho qui se poursuivrait bien après la fin.

« Oh Alastar…. Plus fort, lâcha-t-elle, sa voix se changeant en un cri rauque sur la fin alors qu’elle se cambrait de plus belle. Pitié, démontes-moi comme la pire des traînées. »

Oh, qu’elle était vilaine, la petite Calliope. Transfigurée par le plaisir qui faisait trembler ses membres, qui déformait ses traits en une grimace de luxure pure. Elle serrait tellement ses muscles, ses cuisses, que sa féminité suintait de plus belle de cette liqueur féminine à l’arôme lourd.

« J’ai-J’aime quand tu me prends ainsi… J’aime voi-voir ça sur grand écran… »

La caméra s’était à nouveau déplacée, pour fixer un gros plan sur le dessus de son dos. On y voyait à présent les rondeurs de ses fesses et, plus bas, la verge écarlate qui labourait son vagin. On voyait aussi l’anneau rougi de son anus, presque pourpre, exposé en gros plan. Et Calliope se mit à supplier le démon de l’honorer également par la suite.
Titre: Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]
Posté par: Le Diablotin le mercredi 08 juin 2016, 08:08:35
Ah, quelle femme ! Cette Calliope était une autochtone admirable, la preuve que les démons avaient raison de banquer sur les humains. Ils faisaient l’amour depuis des heures, maintenant, avaient exploré quantité de positions, et, à chaque fois, Calliope en redemandait, revenait à la charge. Rien ne semblait pouvoir l’épuiser, ni tarir sa soif. Pauvre femme... Oui, le Diablotin se sentait désolé pour elle, car il savait que les humains étaient peu endurants par nature, les mâles ayant tendance à se dégonfler dès le premier coup tiré. Alors, quand on voyait une telle femme, une telle énergie... Oui, Alastar comprenait pourquoi elle était célibataire, alors qu’elle avait toutes les qualités requises pour plaire à n’importe quel homme. Elle avait justement tropde qualités, trop d’endurance, trop de soif... Bien trop pour qu’un simple humain puisse la contenter. En ce sens, leur rencontre avait quelque chose de miraculeux, Alastar venant épancher les soifs de cette femme.

Calliope se faisait ainsi prendre en étant à quatre pattes, tandis que l’homme, imperturbablement, la labourait, s’enfonçant dans son vagin. La position de la levrette marchait très bien, tant pour un coït que pour une sodomie, car, étant debout, il avait naturellement plus d’amplitude. Le Diablotin la prenait donc, s’enfonçant en elle, sa virilité bien grosse labourant les chairs de la femme. Ses mains se crispaient sur son corps, et il admirait le spectacle, salivant dessus, de la sueur coulant progressivement le long de son torse.

« Hmmm... Ah... Calliope, hmmm... »

Elle haletait, elle hurlait, mais, tout en la prenant, il sentait sa frustration croître. Diable ! Quelle femme ! Alors qu’il la prenait, et qu’elle mouillait, elle en voulait encore plus ! Alastar aurait pu utiliser sa queue caudale pour pouvoir la prendre par le cul, mais... Il avait déjà fait ça, et une autre idée vint germer dans son esprit. Un fin et bref sourire naquit même sur ses lèvres, et, probablement à la surprise de Calliope, il se retira alors. Le choc fut saisissant, sa grosse queue sortant d’un corps agréable, chaud et liquide, pour se retrouver à l’air libre. Une brève sensation de vertige le traversa, tandis que son membre semblait pulser dans le vide, oscillant à chacune des profondes respirations de son porteur. Serrant les poings, Alastar soupira lentement, puis ferma les yeux, et se concentra.

La magie se mit à vibrer autour de lui, et, très rapidement, Calliope allait comprendre ce qu’il faisait. En effet, au bout de quelques instants, une sorte de fine vapeur rouge s’échappa de son corps, tournoyant autour de lui, répandant un souffle chaud et sensuel, puis la vapeur grossit, se concentra... Et se transforma. C’est ainsi que, à côté d’Alastar, un autre Alastar arriva. Un clone de l’Incube, similaire en tout point à ce dernier, avec la même rigidité à hauteur de la queue.

« Haaaa... Navré de t’avoir fait attendre, ma salope...
 -  Mais, pour soulager une pute comme toi, il va falloir mettre les bouchées doubles ! »

Les deux Incubes s’approchèrent alors, et la magie continua à agir. Depuis le plafond, des tentacules rouges jaillirent, et vinrent saisir les poignets de la femme, puis la forcèrent à se redresser. D’autres tentacules s’enroulèrent autour de ses chevilles pour faciliter le déplacement, et, en quelques instants, la femme se retrouva avec les bras et les jambes écartés, en position de croix, entourée par les deux démons.

Arborant un sourire vorace, Alastar, qui se masturbait légèrement, retourna se perdre en elle, et son clone, de son côté, en profita pour s’enfoncer dans ses fesses.

Il n’y eut aucun baiser, si ce n’est un mordillement du cou de la femme. Aucun baiser, car Alastar voulait l’entendre hurler.