Il était impensable qu’elle s’effondre, impensable qu’elle s’écroule. La Bête ne le voulait pas, et elle avait donc mis en œuvre ses impressionnants pouvoirs pour cela. Elle était à la fois hors du corps de Catalina et à l’intérieur, ayant usé de ses toxines pour renforcer l’endurance de celle-ci, pour augmenter son adrénaline, faisant ainsi sauter les blocages inconscients de l’esprit humain, pour qu’elle profite pleinement de cela. Évidemment, le risque était qu’elle en perde la raison, mais la Bête ne s’inquiétait pas. Catalina lui avait prouvé être une femme forte et endurante, d’une beauté incroyable. À sa manière, la Bête découvrait cet étrange phénomène, typiquement humain, qu’on appelait l’amour... Une étonnante affection, qui s’exprimait chez ce monstre extraterrestre de manière bien particulière. Sa longue langue baveuse retournait fréquemment dans la bouche de la femme, s’enfonçant en elle, tapant contre sa gorge. Au vu de l’épaisseur de cette membrane, on aurait presque pu dire qu’il lui faisait une gorge profonde.
En tout cas, la Bête se régalait, au point d’avoir créé un clone d’elle-même, ce qui était le signe qu’elle commençait à mieux comprendre ses pouvoirs. En effet, Nathan avait toujours refusé cette symbiose avec le symbiote, et avait toujours cherché à réprimer la Bête, ce qui faisait que ses pouvoirs étaient encore primaires, latents... Ce qui n’était pas sans poser problème face à Sylvie, l’ex-femme de Nathan, qui avait, elle, totalement accepté sa transformation. Et, là, avec Catalina, qui agissait comme une sorte de vaccin, la Bête était unifiée à Nathan, et pouvait ainsi, à travers le sexe, augmenter ses pouvoirs.
Son clone maltraitait les seins de Catalina, des seins opulents, les pinçant, tirant sur les tétons, tandis que ses propres mains maltraitaient le cul de Catalina. Il malaxait son postérieur, écartant ses fesses les unes de l’autre, facilitant ainsi le passage du membre de son clone en elle. D’ailleurs, tout autour de cette verge, de fins tentacules noirs avaient jailli, se posant sur les cuisses de Catalina, enserrant sa chair, facilitant cette intense sodomie.
Très rapidement, la Bête se retrouvait face à un dilemme. D’un côté, la créature adorait embrasser sa dulcinée, sentir ses lèvres tendres, sa salive suave glisser le long de sa langue, mais, de l’autre... Il adorait l’entendre crier. Et, vu l’intensité de cette double pénétration, Catalina hurlait beaucoup, ses cris se mélangeant aux claquements spongieux des symbiotes s’écrasant contre elle. Deux torses luisants et musclés, saillants et solides, légèrement humides, un mélange de sueur et de cette peau symbiotique, gluante et collante. Aucune irritation n’était à craindre sur le corps parfait de Catalina.
« Hmmm... Si bonne, si bonne, ma Reine... » grogna la Bête.
La créature libéra les lèvres de la femme, et lécha ensuite son cou, mordillant sa chair. Les minutes défilaient, témoignant de l’endurance impressionnante du monstre. Catalina devait vivre une sorte de rêve, de paradis sexuel tandis que, inlassablement, les deux monstres continuaient à la besogner. Et le clone était lié à la Bête, qui sentait le plaisir croître. La créature elle-même commençait à perdre la raison, subissant cette double dose de plaisir. Elle accélérait encore le rythme, pénétrant encore et encore sa partenaire, donnant lieu à une séance incroyablement jouissive et violente.
« Ca-Cata, hmmm... Catalina... !! »
La Bête avait perdu le compte. Depuis combien de temps prenait-il ainsi en duo sa beauté ? En tout cas, il sentit le plaisir atteindre l’étape suprême. Ses deux queues bien grosses se relâchèrent alors, un puissant orgasme, le sperme semblant exploser dans le corps de Catalina. Un afflux massif de foutre qui gonfla le ventre de la femme. La Bête grogna longuement en se relâchant, donnant des coups de reins pour jouir, ses giclées de foutre jaillissant de ses queues encore et encore. Un orgasme disproportionné, à la hauteur de ce qui se passait, et la Bête se relâcha ainsi pendant une bonne minute, jouissant joyeusement dans la chatte et dans le cul de Catalina, venant remplir son ventre de spermatozoïdes extraterrestres.
À jamais sienne, la Bête venait de marquer Catalina dans le stupre et la douleur !