Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Conduire en état d'ébriété, c'est mauvais pour le permis [Nathan Joyce]

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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Si Nathan se délectait du tableau qu’offrait la veuve en lui prodiguant cette caresse buccale appuyée, prolongée, elle-même appréciait de voir l’effet qu’elle lui faisait. A genoux, sous l’eau qui les lavaient de leurs sueurs et qui délassait leurs muscles, elle ne se sentait pas soumise. Pas même quand le beau policier prit peu à peu le contrôle. Au contraire, elle adorait ça, elle sentait toute la force du désir qu’il pouvait ressentir pour elle, toute la domination qu’elle pouvait exercer sur lui. Ses lèvres affamées dévoraient sensuellement la verge raidie qui -était-ce encore possible ?- s’épaississait davantage entre elles.

Taquine, elle prenait plaisir à faire durer la torture, avant de le prendre encore plus profondément, de le sucer comme si elle cherchait à en aspirer la moindre goutte de son plaisir mâle. Sa langue n’était pas en reste, caressant la peau veinée autant qu’elle le pouvait, s’enroulant passionnément autour, se glissant malicieusement dans les recoins les plus sensibles pour venir l’y harceler, aguichante et corruptrice.

Clignant régulièrement des paupières pour chasser l’eau qui perlait au bout de ses longs cils sombres, Catalina gémissait de façon étouffée. Dieux qu’elle adorait avoir ainsi la gorge occupée. Autant qu’elle appréciait quand elle sentait la puissance de Nathan alors qu’il donnait lui-même quelques coups de reins, de plus en plus profondément. Les mâchoires largement écartées pour lui laisser plus de latitude, la brunette lui faisait parfois malicieusement sentir le bout de ses dents, comme une caresse appuyée plutôt que comme une morsure ou une griffure de l’émail, resserrant fermement ses lippes gonflées autour du sexe tendu qui naviguait entre elles.

Libérant l’une de ses mains, elle profita d’un instant où le regard du brun était revenu sur elle pour la glisser lentement sur son corps, espérant l’aguicher de plus belle par ses caresses lascives. Elle déglutissait parfois, mais salivait le plus souvent comme pour mieux lubrifier encore l’organe viril qui prenait possession de sa gorge, et ses doigts descendaient langoureusement sur son corps, s’arrêtant momentanément sur sa poitrine. Elle la palpa, la massa, la souleva comme pour lui en mettre plein la vue, ses ongles traçant un léger sillon rouge sur la chair d’albâtre, et la pulpe de ses doigts venant agacer le téton arrogant. Rapidement, la seconde main relâcha sa prise sur le corps de Nathan, venant s’occuper du deuxième globe de la même manière. Et elle gémissait de plus belle, lui faisant entendre combien elle adorait qu’il agisse de la sorte, combien cette fellation l’excitait elle-même au point qu’elle ne désirait rien d’autre que de continuer jusqu’à aspirer la dernière goutte de semence entre ses lèvres généreuses.

Bientôt, ses doigts agiles quittèrent le confort de ses seins ronds et fermes, dont les tétons pointaient fièrement, pour glisser contre son ventre. Elle écarta un peu plus les cuisses, et ses doigts vinrent fouiller ses lèvres intimes ruisselantes, agaçant son clitoris gonflé tout en pénétrant son intimité sensible. Trois doigts glissèrent en elle, et s’agitèrent au même rythme que celui qu’avait pris le policier pour honorer sa gorge. Du bout de l’ongle, presque avec délicatesse, elle effleurait ses zones érogènes internes, alors que ses doigts continuaient de maltraiter malicieusement sa perle intime. La chaleur de ses reins était presque insupportable, et la brunette faisait tout pour soulager la tension qui allait croissant. Elle pouvait jouir seulement en suçant son amant, et elle en faisait un spectacle terriblement érotique. Ses prunelles céruléennes ne quittèrent pas le policier du regard, comme pour lui dire « Tiens, regardes, je t’offre ma jouissance en plus de la tienne. Ce spectacle est rien que pour toi. Oh oui, continue de la sorte, j’aime tellement ! ».

Ses reins aussi ondulaient, au rythme des coups de bassins du brun entre ses lèvres, au rythme de ses doigts qui prenaient un soin particulier à fouiller les replis suintants de son intimité sensible. Elle respirait par à-coups, par le nez, pour ne pas s’étouffer. Elle s’offrait toute entière à Nathan, sans restriction, et elle adorait ça autant qu’elle voyait combien il aimait.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

C’était un doux moment, sensuel, plein d’énergie et de vitalité. Nathan et Catalina continuaient encore à jouer ensemble, à s’explorer mutuellement. Elle, cette fantastique nymphe, le faisait rêver, comme toujours. Il y avait, en elle, outre cette beauté phénoménale, cette puissance, cette force, ce charme exquis et jouissif. En un sens, elle était divine, inépuisable, infatigable, faisant preuve d’une assurance folle. Impossible de rester de marbre devant elle, impossible d’ignorer l’étendue de ses incroyables talents. Elle le suçait, et il répondait, remuant sa verge en elle, caressant ses cheveux trompés, son regard mélangé au sien, voyant ce qu’elle faisait. Comme pour mieux l’aguicher, elle caressait ses seins, puis profita ensuite du fait que Nathan avait commencé à agir pour se masturber, enfonçant ses beaux doigts en elle.

Lorsqu’il fermait les yeux, Nathan se représentait la scène, comme s’il était une sorte d’observateur extérieur, observant ce fascinant couple de profil. Et le spectacle valait la chandelle. Elle, si belle, si parfaite, en train de se caresser, tout en remuant sa bouche le long du vit tendu et brûlant de son amant. L’eau les couvrait mutuellement, noyant leurs soupirs et leurs gouttes de sueur. Nathan la voyait, le regard fort, intense, baignant d’assurance, de détermination, et de la plus profonde des envies.

« Oh, Cata’… »

Le dévot poursuivit sur ce rythme, la laissant agir. La danse continuait, se poursuivait, les minutes s’égrenaient au rythme de l’eau qui fusait du pommeau de douche. La respiration lourde et profonde, Nathan filait en elle, glissant dans sa bouche, d’avant en arrière, encore et encore, encore et toujours. Ce n’était néanmoins plus le rythme soutenu du début, il avait décru. C’était celui de deux amants qui, après avoir fait joyeusement l’amour, poursuivaient, non pas pour épancher leurs soifs, mais pour la beauté du geste, pour le simple plaisir de coucher ensemble. Comme deux amants tendres et passionnés entre eux.

Elle suçait sa queue, continuant à le défier du regard, comme pour lui dire qu’elle pouvait encore endurer, qu’elle aimait le sentir, et qu’elle ne comptait pas s’arrêter aussi facilement. Nathan soupira donc, et continua à remuer en elle. La merveilleuse sensation de sentir son membre taper contre les lèvres de cette femme, s’appuyer contre sa gorge, avec cette salive qui remuait dessus, le recouvrant comme un magnifique cocon… Voilà qui, tout simplement, était très bon.

« Hhmmm… »

Nathan jouait donc encore avec elle, longuement.

« Pré… Prépare-toi, hum… Tu… Tu vas sentir ma… Ton cadeau. »

Son sexe devenait en effet de plus en plus douloureux, et ses muscles se contractèrent finalement. Ses doigts se crispèrent sur les cheveux de la femme, et, dans un énième soupir, il sentit l’orgasme le traverser, comme un coup de fouet qui résonna dans tout son être.

Et c’est dans ces conditions qu’il se vida dans sa belle bouche d’amour.
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Comment ne pas aimer les fellations ? Sentir cette rigidité épaisse coulisser entre ses lèvres, flatter les moindres recoins de cette peau veinée et brûlante avec la pointe de la langue, flatter chaque parcelle de peau du plat de cette même langue, saliver dessus pour sentir la virilité tendue trouver sa place au fond de sa gorge… Ces sensations étaient divines, pour la veuve, et elle démontrait avec assez d’ardeur le plaisir que ça lui procurait. Malgré l’eau de la douche qui coulait toujours, lui faisant parfois fermer les yeux (autant pour chasser les gouttes qui s’accrochaient à ces longs cils bruns que pour chasser les larmes qui perlaient au coin de ses paupières quand elle restait longtemps avec le sexe de Nathan au fond de sa gorge), Catalina remplissait sa mission avec dextérité et passion.

Leur petit jeu l’excitait d’autant plus -pour cette gourmandise qu’elle lui offrait- qu’il participait gaiement, et qu’il anticipait presque les désirs de la jeune femme. Malgré leur nuit sans repos, la brunette en était toujours aussi avide. Son corps commençait à montrer des signes d’épuisement, et elle était peut-être moins vigoureuse qu’au départ, mais elle était tout aussi ardente, il n’y avait pas de doutes.

Quand elle commença à sentir les premiers signes de la libération de son amant, quand elle sentit les premiers tremblements, et la crispation des muscles qui indiquait qu’il se retenait, ses yeux brillèrent de contentement. La douche délassait ses muscles, mais son corps était encore tendu par le plaisir, par le désir. La tension de ses reins ne diminuait pas, et elle haussa les sourcils d’une façon entendue à l’adresse du brun alors qu’il la prévenait de l’imminence de sa jouissance. Elle était plus que prête !

Collant ses lèvres à l’aine du policier alors qu’il donnait un dernier coup de rein avant de lui offrir son présent charnel. Elle laissa glisser la liqueur mâle dans sa gorge, appréciant la chaleur qui glissait dans sa trachée, avant de reculer légèrement la tête pour profiter de la saveur légèrement salée sur ses papilles. Elle reprit alors le coulissement de ses lèvres affamées sur la peau veinée, sa langue s’occupant de nettoyer les dernières gouttes qu’elle pouvait trouver.

Quand elle eut fini, elle suçota encore un peu le gland violacée, passant la pointe de sa langue sous la corolle, et le relâcha après un dernier baiser langoureux. Elle se redressa alors, fière et brûlante, tandis que ses doigts glissaient sur son corps, reprenant leur danse sensuelle entre ses lèvres intimes rougies par la vigueur qu’elle mettait à se faire plaisir. Un sourire taquin aux lèvres, elle s’appuya contre le mur de la douche, et offrit à Nathan le ravissant spectacle de son corps aux prises avec les affres d’un orgasme tout proche. Son pouce appuyait avec précision sur son clitoris gonflé alors que le reste de ses doigts s’occupaient de la pénétrer avec ardeur. Sa poitrine se soulevait par saccade, tant sa respiration était haletante. Un sourire coquin aux lèvres, elle glissa sa langue sur celles-ci comme pour les nettoyer des quelques gouttes qui auraient pu s’y loger.

Finalement, elle rejeta la tête en arrière.

« Pour toi, mon beau policier, souffla-t-elle quelques secondes avant d’être achevée par un tourbillon de plaisir qui ravagea son être. »

Adossée à la parois, elle arqua le dos, crispant les doigts de sa main libre sur sa lourde poitrine, alors que ses reins bougeaient d’avant en arrière. S’il n’y avait pas eu le mur, elle se serait effondrée. Ses jambes tremblaient alors qu’elle criait son plaisir, et elle finit par s’agripper à Nathan alors qu’elles menaçaient de se dérober.

« Je ne sais pas toi, finit-elle par murmurer, calée contre son torse puissant, les bras passés atour de sa nuque, mais je crois que je serais très à l’aise dans le lit, entre tes bras musclés. »

Un sourire satisfait flottait sur ses lèvres. Elle leva la tête vers le policier, calant son menton contre son épaule.

« Ou le canapé, ou même sur le tapis avec quelques draps. Je suis ouverte à toute proposition, ajouta-t-elle, le regard malicieux. »

Elle était complètement dégrisée à présent. Des effets de l’alcool, tout au moins. Ses sens étaient encore pas mal embrouillés par la multitude d’orgasmes qui avaient dévasté son corps dans les heures précédentes.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Après cette fellation, sublime, Catalina lui offrit un after qui était homérique. Là, debout face à elle, il la vit se masturber, massant avec sa main libre l’un de ses seins. Silencieux, Nathan l’observait. L’eau chaude, mélangée à leur chaleur corporelle, créait une forte vapeur d’eau, ce qui avait pour effet de magnifier encore plus sa beauté. Comme si une sorte de nymphe était là, face à lui, une beauté spectrale, entourée de brume. Nathan respirait lourdement, muet de stupeur, étouffé par l’écrasante fascination qui l’aplatissait devant le spectacle de ce corps. Il n’arrivait même plus à prononcer son nom, et la laissa jouir devant lui. Elle s’affaissa contre la cabine de la douche, et la main de Nathan alla couper l’eau. Il resta ensuite contre elle, et alla la prendre dans ses bras. Catalina avait tiré ses dernières cartouches, et lui... Lui, pour une fois, pour l’une des très rares fois dans sa vie, il se sentait apaisé. Apaisé comme il ne l’avait jamais été auparavant. La Bête, le symbiote vivant en lui, était rassasiée. Et tout ça, il le devait grâce à Catalina.

« Merci, Catalina... »

Sans doute-elle ne comprendrait-elle pas, sur le coup, à quoi ce « merci » faisait vraiment allusion, faute d’avoir tous les éléments en main. Il la serrait contre lui, une main sur ses cheveux, et, quand la femme demanda à dormir ensemble, proposant divers lieux, il sourit. S’écartant un peu d’elle, Nathan l’embrassa sur les lèvres.

« Le lit sera parfait, Catalina... Même si, dans le fond, comme tu dormiras entre mes bras et sur mon torse, je crois que tous les endroits t’iront. »

Nathan sortit ensuite de la douche, et rejoignit le lit après s’être séché rapidement. Ils se couchèrent donc ensemble, et, comme prévu, Catalina se lova contre lui. Le sommeil, bien entendu, ne vint pas tout de suite. Ils remuèrent ensemble dans le lit, s’embrassant, se caressant. L’attraction des corps, une alchimie basique et ancestrale, les unissait, comme deux êtres préhistoriques qui copuleraient ensemble pour se témoigner leur affection. Pas de mots, pas de faux-semblants, pas de vaines tentatives de séduction, ils se contentaient de faire l’amour ensemble. Doucement, tendrement. Catalina dansa finalement sur lui, et lui l’observait, caressant ses hanches, ses cuisses, et, quand l’orgasme les traversa, elle s’écroula pour de bon, fée nocturne, ayant ensemencé les rêves de Nathan.

Son membre resta encore niché en elle pendant quelques instants, avant de progressivement se retirer, baignant dans un mélange de foutre et de cyprine, et c’est comme ça que lui aussi vint à dormir, en maintenant le corps chaud de Catalina contre le sien.



« J’te dis qu’elle vit là...
 -  T’es sûr de ton coup ?
 -  Ouais ! J’ai couvert tous ses meurtres, je sais de quoi je parle ! »

Ken Smith était relativement formel, et plutôt agacé qu’on cherche à contester ses informations. Leur petit groupe s’avançait lentement dans les couloirs menant à l’appartement de leur proie. Catalina Taylor. Ken Smith était un individu sans histoire... Quelqu’un qui, en réalité, connaissait indirectement Catalina Taylor. Ils avaient travaillé ensemble dans la même organisation, et il connaissait, naturellement, la « Veuve Fatale », comme on l’avait surnommé au bureau. Il avait fait partie des agents chargés de maquiller ses crimes en suicides, ou en disparitions inexpliquées, et de couvrir son passé.

La femme avait quitté l’organisation après son treizième meurtre, avec la promesse que son dossier avait été effacé, et une magnifique prime. C’était cette prime qui intéressait Smith (Smith, au demeurant, n’était pas son vrai nom, mais ce n’était pas bien grave). Ken Smith n’avait pas apprécié d’être renvoyé de l’organisation, et les indemnités-chômages n’étant pas très élevées, il avait décidé de traquer cette femme, qui était presque une légende à l’époque.

Et ce autant pour lui voler son argent que pour avoir enfin l’occasion d’enfoncer sa queue dans le cul de cette femme.

Pour cela, il avait réuni une bande d’abrutis avec lui, des gangsters de seconde zone qui faisaient partie de son réseau personnel, un réseau que l’agent secret à la retraite (avant de travailler pour le privé, il avait servi auprès de divers agences d’espionnage américaines) avait utilisé pour remonter la trace de Catalina.

Maintenant, il comptait bien enfin se satisfaire. Et c’est à cette fin qu’il s’approchait de la porte de son appartement, afin de s’y immiscer...
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Oh, ce qu'elle était bien là, calée contre Nathan -sur Nathan serait plus exact-, au chaud, entre ses cuisses, entre ses bras. La tête posée contre son torse, elle s'est réveillée doucement, poussée par une sorte d'instinct. Elle ne savait pas quoi, mais elle prenait lentement conscience de son environnement. De son corps nu agréablement réchauffé par celui du policier, de la respiration calme et régulière de ce dernier, de cette force tranquille qui émanait de lui. Elle bougea un peu les pieds, caressant ceux de son amant au passage, frissonnant sous le courant d'air induit par l'ouverture de la porte de la chambre.

Une minute. L'ouverture de la porte de la chambre ? Quelque chose clochait. Elle redressa la tête, doucement, ses cheveux balayant le torse puissant de Nathan, et tourna le regard vers l'ouverture. Il faisait nuit noire, mais ses yeux étaient accoutumés à l'obscurité après le sommeil. Bien que sa vision soit encore un peu floue, justement à cause de celui-ci. Elle crut pourtant voir une forme humaine entrer dans la chambre. Suivie d'une autre.

Son cœur se mit à battre follement, ses doigts se crispèrent sur les draps. Elle remonta finalement une main vers l'épaule du policier, l'autre se plaçant sur ses lèvres pour prévenir tout son impromptu, et le secoua doucement. Un peu plus. Elle ne voyait plus l'entrée de la chambre. Elle ne savait pas combien de personnes étaient rentrées. Mais elle entendait les bruits des pas, discrets, sur la moquette.

Et ce fut trop tard. Un cri lui échappa alors qu'une main tirait sa crinière en arrière, un bras venant aussitôt s'enrouler autour de sa gorge. La lumière resta éteinte, inexplicablement. Peut-être que les bandits étaient plus à l'aise dans le noir ? Où croyaient-ils qu'elle était seule et que ce serait plus amusant pour la terrifier ?

« Tu es un beau petit brin de femme, tu sais ? Susurra une voix à son oreille tandis que la main qui ne tenait plus ses cheveux venaient caresser son corps nu avec des intentions clairement libidineuse. T'avais raison, Smith. Elle a de beaux nichons, ta veuve fatale ! »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Nathan avait besoin de dormir. Même avec la Bête qui sommeillait en lui, il avait ce besoin physiologique de devoir dormir. De fait, la Bête ne faisait que renforcer la fatigue, car contrôler continuellement cette créature était un effort éreintant, une lutte de tous les instants. Ce que Nathan ignorait davantage, en revanche, c’était que, la nuit, la Bête prenait le contrôle. Contrairement à lui, la créature qu’il portait n’avait nullement besoin de dormir. Le symbiote extraterrestre ignorait le concept de sommeil. Il n’en avait pas besoin, et, la nuit, il profitait des faiblesses de son hôte pour prendre le contrôle. La relation entre Nathan et la Bête était loin d’être paisible. Elle était conflictuelle, contradictoire, ambivalente. La Bête avait besoin de Nathan et savait qu’elle ne pouvait pas se développer si Nathan s’opposait trop à elle. La nuit, elle en profitait, et, cette nuit, la Bête était pleine d’énergie, revigorée. Nathan avait copieusement fait l’amour avec Catalina, et le sexe avait nourri la Bête. Tout le sperme qui avait jailli dans le corps de Catalina avait permis à la Bête d’avoir une sorte de relation fusionnelle avec elle. Oh, rien qui ne permette au monstre de la contrôler, ni de la contaminer, mais suffisamment pour pouvoir se connecter à elle, et pouvoir, à sa manière, influer sur les autres.

C’est ainsi que, pendant que les voyous entrèrent, le symbiote maintint Nathan dans le sommeil. Là encore, si quelqu’un venait attaquer Nathan, venait le frapper, ou lui hurler dans les oreilles, le policier se réveillerait. Mais, là, dans le lit, il baignait d’un sommeil réparateur, et, après avoir fait longuement l’amour avec son hôte, se sentait inhabituellement heureux, apaisé... De quoi aider la Bête à mieux le contrôler. De fait, quand Catalina se réveilla, la Bête sentit également la menace, et se mit en position défensive. Le corps de Nathan se recouvrit de tâches noires gluantes, brillant légèrement, et les petites portions de lui dans le corps de Catalina sentirent la panique de cette dernière.

Smith, de son côté, examinait les lieux avec ses hommes, quand ils entendirent des bruits de pas. Il savait la réputation de cette femme au sein du cartel qu’il avait quitté, et sourit donc. Finalement, ses hommes la maîtrisèrent sans difficulté, et l’un d’eux, un Noir chauve plutôt bien baraqué, sortit un couteau, le mettant contre la gorge de la femme, tout en utilisant son autre main pour palper son corps. Smith sourit malicieusement devant Catalina, et s’approcha d’elle, juste assez pour qu’elle puisse voir son visage.

« Évidemment qu’elle est bonne, c’était l’agente la plus roulée du service ! Tu te souviens de moi, Catalina ? Parce que moi, je ne t’ai jamais oublié... »

Smith n’était évidemment pas le vrai nom de cet individu. Il était encore suffisamment malin pour pouvoir le masquer aux autres. Difficile de dire si Catalina pouvait le reconnaître.

« C’est toujours moi qui ai recouvert ton joli cul, ma chérie, et j’ai jamais pu en profiter pleinement. Merde, tu n’imagines pas à quel point c’est compliqué de maquiller douze meurtres. Douze, putain ! Les mecs, cette salope, c’est une véritable beauté infernale ! »

Il s’approcha d’elle. Catalina étant nue, il admirait volontiers ses formes, un sourire sur les lèvres. En fait, Catalina et elle avaient déjà eu l’occasion de se rencontrer. Maquiller des cènes de crime était tout un art pour l’agent Smith, qui avait dirigé une petite équipe de nettoyage. Il rencontrait à chaque fois Catalina pour qu’elle organise son discours auprès de la police locale. Mais, à chaque fois, Smith avait été suffisamment professionnel pour ne pas s’impliquer outre mesure. L’organisation dans laquelle ils avaient tous les deux travaillé fonctionnait beaucoup sur le principe de la compartimentation. Smith et Catalina appartenaient à deux cellules différentes, qui ne pouvaient que se croiser. Quand Catalina avait quitté l’agence, c’était également lui qui s’était chargé de nettoyer toutes les traces de sa présence. Mais le fait est qu’il n’avait jamais pu oublier cet insolent fessier, ce corps de rêve...

Ken se rapprocha donc, et caressa le visage de la femme, descendant ensuite, massant ses côtes, et serra ensuite ses fesses, sa queue en érection déformant son pantalon pour caresser les cuisses de la femme. La langue du grand Noir glissa alors sur la joue de la femme, et il ricana grassement.

« Merde, elle est si bonne, putain !
 -  Tu n’as pas idée... Elle a toujours fait jouir ses maris avant de les tuer. »

L’homme défit alors son pantalon. Pendant ce temps, la Bête s’étirait. Elle entendait ce qui se passait, et percevait l’aura sexuelle ambiante... Mais s’agaçait aussi fortement de la situation. Non pas qu’elle veuille en soi protéger Catalina, mais la Bête considérait Catalina comme sa femelle. C’était donc au symbiote de décider quoi en faire, et il n’était pas dans ses intentions de la partager gratuitement. Lentement, les tentacules s’étiraient, difficiles à voir dans la pénombre, surtout que Ken et les siens étaient très occupés par le corps délicieux de Catalina. Celle-ci avait été jetée à terre sans ménagement, et Smith se glissa dans son dos, posant ses mains sur ses hanches, avant de gifler son cul à plusieurs reprises.

« Merde, merde... Depuis le temps que j’avais envie de te baiser, ma salope... »

Il la pénétra alors, sans guère plus de cérémonial, mais, au bout de quelques secondes, l’un des tentacules de la Bête le frappa dans le dos. L’homme en poussa un grognement, inaudible en raison de sa position, mais son corps se mit rapidement à évoluer, tandis que d’autres tentacules frappaient également ses acolytes.

« Haaaa... Mais... Mais que, bordel... »

L’homme grogna encore, et poussa un hurlement inaudible, bestial, tout en accélérant brusquement ses coups de reins. Sa queue se mit à gonfler et à s’épaissir, s’allongeant, tandis que tout son corps évoluait, se recouvrant d’une couche noire gluante.

« À moi... Haaaa... À moi, MA FEMELLE !! »
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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
La brune avait toujours fait très attention à ne pas mélanger boulot et plaisir. Enfin. Plaisir personnel. Aussi, si elle reconnut le visage de Smith, elle ne parvint pas à mettre un nom dessus. Elle se gifla mentalement. Elle aurait dû faire attention, ne pas placer son entière confiance dans l'organisation. Elle aurait dû garder une trace personnelle de chaque personne qu'elle avait côtoyée.

Un grognement lui échappa, et elle résista à l'envie de lui cracher dessus. Elle n'était pas vraiment en position de se montrer insolente. Et puis, elle espérait que Nathan vienne la délivrer. Elle songeait qu'il était sûrement éveillé, avec un plan, et que c'est pour cela qu'il n'intervenait pas tout de suite. Après tout, c'était un policier. Il avait forcément un plan, un entraînement pour ce type de situations. Elle devait juste tenir. Gagner du temps.

Un second grognement lui échappa alors qu'elle se réceptionna durement sur le sol. Ses coudes amortirent la plupart de l'impact, mais elle grimaça.

« Je suis une pro, mon chou. Je ne mélange jamais ma vie personnelle et professionnelle. Ce que tu aurais dû continuer à faire. »

Sa voix laissait entendre une pointe de menace. Qu'ils se creusent donc la tête, pour savoir ce que ça voulait dire. Elle n'osait pas regarder en direction du lit. Elle avait peur que, malgré l'obscurité, ils suivent la direction de son regard, et ne remarquent le policier.

Elle se mordit la lèvre quand il claqua ses fesses. Pas qu'elle trouve cela désagréable, au demeurant. Mais elle ne voulait pas ressentir du plaisir alors que ce sinistre individu profitait d'elle.

« Tu ne... Aah ! »

Elle ne put s'empêcher de gémir, alors qu'il la pénétrait. Qu'il la découvrait, malgré la situation (ou à cause de la situation), trempée. Prête. Elle s'arqua contre lui, ses ongles griffant le sol. Rapidement, il changea. La veuve ne parvint pas à déceler ce changement. Elle mit sa soudaine grosseur sur le dos d'une érection pas tout à fait complète à l'introduction. Elle haleta, alors que le rythme changeait, et dut se mordre à nouveau la lèvre pour ne pas laisser échapper d'autres gémissements. Elle appréciait beaucoup les mâles bien pourvus, et elle n'avait aucune idée que ça pouvait être le cas de Smith.

Mais ses paroles l'alertèrent. Lui firent lever la tête, perplexe. Elle ne s'appesantit pas longtemps dessus, son corps cédant malgré sa volonté de résister. Et elle gémit à nouveau, fermant les yeux, alors que la rudesse, la bestialité de son violeur, submergeait ses sens. Embrasait ses nerfs. Elle secoua la tête, vaine tentative pour reprendre ses esprits, essai futile pour se dégager. Elle se cambra, s'offrant à ce mâle qui la possédait charnellement. Elle en oubliait presque la présence de Nathan, à quelques pas de là. Des autres hommes, autour d'elle. Elle soupira, elle ondula contre les assauts brutaux qui éveillait sa libido pourtant rassasiée la veille.
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Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Nathan ne répondait plus. Il était aux abonnés absents pour la nuit. Profitant de son plaisir, de sa fatigue, la Bête avait pris le contrôle de ses synapses, de son corps, et exploitait ses capacités redoutables. C’était un symbiote extraterrestre puissant, agissant comme un virus. Et là, les hommes qui étaient entrés ici furent attaqués par lui. Leur libido l’aidait à les contrôler, et l’agent Smith était sous son contrôle. Ses grognements étaient de plus en plus inhumains, mais il en allait de même pour les autres, qui se transformaient également. Et, dans leur dos, une fine ligne symbiotique partait à chaque fois, remontant jusqu’à Nathan. Le contrôle mental était sans aucun doute facilité par les traitements que ces hommes avaient reçu. La Bête ignorait d’où ils venaient, mais elle sentit que leurs esprits avaient déjà été modifiés, qu’ils avaient déjà subi des conditionnements hypnotiques. Un champ béant que le monstre n’eut qu’à franchir également, pour se synchroniser avec eux, et les contrôler lentement.

C’est ainsi que la verge de Smith se recouvrit d’une excroissance noirâtre, sa queue atteignant alors la dureté et l’épaisseur de la verge d’un chien, avec une concentration à la base, formant comme une sorte de nœud qui empêchait l’homme de se retirer. Et même Catalina ne pouvait pas lutter. Nathan avait joui en elle, et même à plusieurs reprises. Et son sperme, tout comme le reste de son corps, était contaminé. Dans le ventre de Catalina, d’infimes parties de la Bête s’étaient dilués, et, comme la Bête appréciait beaucoup Catalina, ces infimes morceaux de lui se mélangeaient pour stimuler davantage sa libido. Un luxe sans aucun doute superfétatoire, vu la perversité naturelle de Catalina, mais qui aurait des conséquences à long terme. Pour le dire autrement, Catalina était incapable de ressentir autre chose qu’un plaisir profond à l’idée d’être pénétrée par Nathan, ou par l’une de ces créatures. Et, soucieuse d’offrir à cette femme un spectacle digne de ce nom, la Bête se surpassait.

« Gnnn... Haaaaa... !!
 -  Hnnnn... !! »

Les minutes s’écoulaient, tandis que Smith n’arrivait pas à jouir. Il en avait envie, pourtant, furieusement envie, et sa queue lui faisait mal, très mal, mais il ne pouvait pas s’arrêter. Il la bourrait encore, ne retenant plus sa salive, une longue langue reptilienne jaillissant de ses lèvres, tandis qu’il giflait furieusement le cul de  Catalina.

« Hmmm... Rrrrrr... !! Que... Nyyaaaarrghhh... !! »

De la salive coulait abondamment, et une main noirâtre et griffue saisit les cheveux de Catalina, la soulevant violemment, sans ménagement. Devant elle, l’un des comparses de Smith s’approcha. Il avait, lui aussi, une très belle verge, noirâtre, surhumaine. De petits tentacules tournoyaient autour de cette verge, et les mains de l’homme se posèrent sur le visage de Catalina, serrant fort... Avant qu’il n’enfonce d’un coup sec son bracquemart en elle, et ne commence à remuer, sans ménagement.

« Hrrrmmmm... Rrrrrrrraaaa... !! »

Les violeurs étaient en train de se transformer en espèce de démons noirâtres, le symbiote recouvrant peu à peu l’intégralité de leur chair, faisant d’eux des amants endiablés, assoiffés... Et totalement insatiables.
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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Elle ne savait pas ce qui se passait. Ses sens était submergés par la présence de Smith, derrière elle. En elle. Elle gémissait, sourdement, alors que sa queue semblait changer, s'épaissir, se transformer. Pour son plus grand plaisir, mais à sa plus grande surprise.  L'obscurité l'empêchait de bien distinguer ce qu'il se passait. Et, de toute façon, elle n'en avait pas le loisir. Son désir, intense, lui coupait le souffle. Elle adorait sentir l'agent la défoncer de la sorte. Comme si c'était une bête, et non un homme, qui allait et venait avec force, qui lui tirait des gémissements, des cris, de satisfaction.

Elle ne se rendit pas compte tout de suite de la salive qui lui coulait sur le dos, creusant les reins quand quelque chose frappa ses fesses. Elle ne put que crier, conquise, et onduler de plus belle, en redemandant entre deux soupirs. Penchant la tête vers le sol, sa crinière formant un rideau sombre devant ses yeux. Catalina agrippait le sol de ses ongles, forçant sur ses bras pour envoyer son corps vers l'arrière, entrechoquant ses reins à ceux de Smith.

« Oui... Oui.... Aaaah ! »

Sa dernière exclamation finit étouffée, alors que quelqu'un -quelque chose !- lui relevait la tête. Le membre qui se dressait face à ses yeux... Eh bien. Ce n'était pas humain. La brunette n'en avait pas vu de semblable, auparavant, et une pointe de crainte se perdit au milieu du maelström de luxure, qu'elle ressentait. Elle n'eut pas le temps de se questionner plus longtemps. D'une part, son esprit s'éparpilla, le plaisir noyant sa réflexion, et d'autre part, l'engin força la barrière de ses lèvres entrouvertes. Elle n'eut plus le loisir de songer à quoi que ce soit, préférant s'activer à écarter ses mâchoires au maximum, resserrant ses lèvres sur cette curiosité de taille plus que respectable.

Sa langue se réveilla, lapant la longueur comme elle pouvait, découvrant la nature surhumaine de l'instrument qui emplissait sa bouche, sa gorge. Instinctivement, elle inspirait par le nez, écoutant son corps qui se mouvait presque tout seul, ses instincts qui la poussait à satisfaire les mâles qui s'occupaient d'elle.

Elle ne pouvait plus faire autrement que gémir, les sons s'étouffant sur la masse qui obstruait sa gorge, et griffer le sol, perdue dans le plaisir qui incendiait son corps, dans les sensations qui électrisait chacun de ses nerfs. La veuve ne pensait plus qu'à la jouissance qui lui tendait les. Elle voulait son plaisir, oui, mais elle voulait aussi goûter celui du mâle entre ses lèvres. Sentir celui de Smith qui la possédait férocement. Et accueillir aussi celui des autres, qu'elle se rappelait avoir aperçu.
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Les minutes passèrent ainsi, sous ce gang bang effréné. Les hommes possédés étaient en train de la baiser furieusement, comme ils n’avaient jamais baisé quelqu’un auparavant. Smith et ses hommes avaient indéniablement joué de malchance en débarquant le jour où Catalina avait été contrôlée par ce policier. C’était l’une de ces histoires improbables qui faisait la richesse des faits divers sur Internet... En occultant la baise sauvage et les symbiotes extraterrestres.  La présence de Smith avait toutefois permis de réveiller la Bête, dans une sorte de réflexe de survie inconscient de Nathan. Le policier laissait le monstre prendre le contrôle pour protéger Catalina, et la faire sienne. L’éducation, la civilisation, l’apprentissage de l’égalité entre les sexes... Tout cela n’était que des fioritures, une couche superficielle qui ne permettait pas de dissimuler la véritable nature des gens. Une nature préhistorique, sauvage, fondamentale, qui était simple à comprendre : l’Homme avait un phallus pour prendre la Femme. Ce simple constat justifiait tout le reste. Il appartenait à l’Homme de protéger la Femme et de l’engrosser. La Bête avait d’ores et déjà décidé de se débarrasser de Smith et de ses alliés. Plus ils souillaient le corps de sa Femme, et plus la Bête était furieuse. Le monstre savait qu’il aurait été dans l’impossibilité de les empêcher de profiter d’elle, alors il avait donc développé une nouvelle stratégie, avec la bénédiction inconsciente de son hôte.

Smith et les siens se mirent à jouir en elle. Celui dans sa bouche se relâcha en elle, lâchant un sperme très particulier, qui se répandit dans le corps de Catalina, tout comme Smith. Leurs corps étaient alors entièrement recouverts, et, tandis que Catalina était à genoux, la Bête se déploya. Lentement, elle avait recouvert tout le corps de Nathan, et la créature apparut finalement dans le salon.

« Rrrrrr... !! »

Le reste fut particulièrement rapide, et sans doute difficile à comprendre pour Catalina, qui devait être sonnée. La Bête les attaqua avec efficacité... En les dévorant sur place. Les symbiotes qui les recouvraient se collèrent au corps principal, et la Bête les avala, tout simplement. C’était l’une de ses capacités, qu’elle utilisait normalement pour changer d’apparence. En quelques secondes, il ne resta plus rien des inopportuns, et la Bête se retourna vers Catalina.

Nathan faisait plus de deux mètres de haut, avec un corps massif, musculeux, recouvert de noir, et présentant un chibre monstrueux, ainsi qu’une flopée de tentacules noirs ondulant dans son dos, et même autour de son sexe. Une grande gueule déformait son visage, avec une longue baveuse, de la salive s’égouttant doucement.

« Catalina... » gronda-t-il d’une voix forte.

Nathan était désormais face à elle, et l’un des tentacules situés sous son sexe se déplaça, et se posa sur le menton de la femme. Il était gluant, et releva ainsi son menton.

« Tu es... À moi ! »

Il l’empoigna par les cheveux, et la souleva sans difficulté, puis retourna la pénétrer, tout en plaquant le corps de la femme contre le sien. Inutile de dire que Catalina ne touchait même plus le sol, tandis qu’un mandrin de gros calibre s’enfonçait en elle. Il lui offrit un baiser intense, relativement baveux, sa langue reptilienne s’enfonçant en elle, tout en usant des parties de lui qui étaient dans le corps de la femme. Ainsi, et ce malgré la répulsion légitime qu’elle devait ressentir, il jouait avec ses hormones, afin que son corps ressente du plaisir. Il la prenait sèchement, le corps de Catalina collé contre le sien, et se déplaça, venant l’envoyer contre le mur. Un choc sourd à côté de la table de la cuisine, et le pied de Catalina vola au passage, renversant une carafe sur le sol. Celle-ci s’explosa en heurtant le carrelage, et le monstre commença à la prendre vigoureusement.

La soirée surréaliste de Catalina devenait maintenant une virée monstrueuse face à un colosse noir bien décidé à épancher en elle sa soif de stupre !
« Modifié: mardi 07 août 2018, 17:28:15 par Nathan Joyce »
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Catalina Taylor

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Encore sensible, encore réceptive, la veuve avait déjà jouit une fois. Smith, dans son dos, et l'autre entre ses lèvres, avaient réussi à amener la brune aux portes du plaisir, ses cris s'étouffant contre la présence imposante qui fouillait sa gorge. Pantelante, elle en oubliait qu'ils l'avaient forcée, qu'ils étaient entrés par effraction. Elle se cabrait, elle ondulait, ses lèvres se resserraient avec force sur sa gourmandise, ses muscles intimes emprisonnaient Smith. Nue, haletante, électrisée, elle atteignit une seconde fois le point culminant de son plaisir alors qu'elle les sentait se répandre en elle.

Elle entendit le grognement de la Bête, sans toutefois réagir immédiatement. Ses amants semblèrent l'abandonner, et son corps se coula sur le sol comme elle reprenait son souffle, qu'elle avalait les dernières gouttes qui perlaient encore sur sa langue. Elle leva un regard troublé sur l'immense silhouette qui se dessinait dans la pièce. Un être comme elle n'en avait jamais vu. Elle regarda, éberluée, la créature... avaler ? Fusionner ? Avec les bandits. Elle haleta, surprise, peut-être un peu terrifiée, au fond d'elle, mais sans pouvoir réagir. Le désir courait encore dans ses veines, réchauffant sa peau, brouillant son esprit.

Ses prunelles écarquillées étudiaient ce qu'elles pouvaient du corps de l'être, de la Bête qui se tenait devant elle. Grande. Puissante. Fière. Indéniablement masculine. Elle frissonna. Du désir, avec une pointe de crainte pour relever le tout. Elle ne comprenait pas, mais, à vrai dire, ce n'était pas nécessaire. Son corps, lui, savait ce qu'il voulait. Elle se fit docile sous la poigne de la Bête, frémissante sous sa longue langue reptilienne. Elle gémit même, alors qu'il la soulevait, arquant son corps souple pour s'offrir, accueillant avec un plaisir non-dissimulé l'imposante virilité qui vint la posséder.

Les gémissements de la veuve se perdirent dans le baiser qu'il lui offrit. Elle s'agrippa à ses massives épaules, ses jambes venant encercler sa taille. Il était grand, il était puissant, il était bien pourvu. A quoi ça servait de s'interroger sur sa nature ? Il n'était pas humain, certes. Il était impressionnant. Un peu terrifiant. Peut-être aurait-elle pu être rebutée, si elle avait été moins excitée, si ses sens n'avaient pas été attisés par une nuit de débauche avec Nathan, puis par ce petit en-cas juste avant.

« A... A toi... Oui... »

Elle eut le souffle coupé, quand son dos rencontra le mur. Elle ne fit pas attention au bruit de verre qui se brise, elle était entièrement concentrée sur le plaisir qui la submergeait, sur cette virilité qui l'écartelait, qui la faisait trembler, crier son plaisir. La pensée de Nathan effleura son esprit. Est-ce qu'elle avait imaginé tout ça, ou bien il avait vraiment le sommeil lourd ? Elle ignorait ce qu'il en était. Et avec la Bête, survenue du coin où il se trouvait...

Un sursaut de lucidité se fraya un passage dans son esprit embrumé.

« Nathan ? Questionna-t-elle, cherchant à savoir ce que l'être noirâtre en avait fait. »

Puis elle renversa la tête en arrière, griffant les muscles noirâtres en gémissant sourdement, marmonnant un « Encore ! » alors que ses cuisses se resserraient autour de son amant monstrueux.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

« Noooonnn... Pas Naaaathaaaannn... » croassa-t-il difficilement, peu habitué au fait de parler.

La Bête grogna encore. Elle copulait avec la Belle, dans un remake sexuel et trash du vieux conte. Toutefois, la Bête n’était pas en état de parler, et amplifia ses propres ondes pour que Catalina ne lui pose pas trop de questions. Il y avait tellement longtemps que cette créature attendait ça. Elle se nourrissait de sexe, presque exclusivement, mais, avec un hôte comme Nathan, qui avait toujours peur de son ombre, la Bête était très souvent frustrée. Cette Catalina tenait donc pour la créature extraterrestre d’une sorte de bénédiction divine, un cadeau magique qu’il comptait honorer longuement. Nathan en avait profité, et c’était maintenant à la Bête d’agir. Son mandrin disproportionné pilonnait furieusement Catalina, et, inconsciemment, il aidait cette dernière, grâce aux substances que Catalina avait ingéré. Par ce biais, il l’empêchait de tomber dans les pommes, et lui permettait de rendre cette situation à peine supportable, dans le sens où, s’il n’atténuait pas la douleur que la femme ressentait, il en amplifiait le plaisir, tout en évitant qu’elle ne tombe dans le coma. Catalina se faisait donc furieusement baiser, et personne, en ce moment, n’aurait pu éloigner la Bête de son repas.

Car, en définitive, c’est tout ce que Catalina était en ce moment : un repas. Un mets onctueux et délicieux, précieux et rare. Un magnifique diamant que le monstre baisait sans vergogne. Ses coups de reins s’amplifiaient, faisant trembler le mur, et sa longue langue revenait souvent lécher le cou de Catalina, glissant dessus, décorant sa magnifique peau de sa salive. Ses mains palpaient les fesses de Catalina, s’appuyant sur son cul, et il grogna encore. Sa queue se tortillait sur place, et des tentacules s’enroulaient autour des cuisses et des jambes de Catalina, et même de son ventre. Des tentacules qui ressemblaient en réalité davantage à des excroissances de son propre symbiote, enchaînant Catalina à son corps, et aidant la Bête à la prendre. En effet, le corps de Catalina remuait d’avant en arrière, tandis que la Bête redécouvrait le plaisir unique, intense, exquis, indescriptible, du plaisir sexuel.

« Hmmmmrrrr... »

La Bête grognait et soupirait en même temps, puis serra dans sa main les cheveux de son amante. Plusieurs tentacules se déplacèrent ensuite, et se posèrent sur les fesses de la femme, à hauteur de sa croupe. Aussi fins que des doigts, ils adhérèrent à sa peau, et écartèrent ses fesses l’une de l’autre, permettant à un autre tentacule, plus gros, et de forme phallique, de se rapprocher. Prisonnière de la Bête, prisonnière de ce torrent ardent qui hurlait en elle, Catalina ne pouvait qu’en réclamer plus.

Et elle en eut plus. Le tentacule se planta dans son cul, venant la prendre avec le même tact que les coups de reins devant. En réalité, les tentacules entourant le corps de Catalina servaient aussi à la protéger, à atténuer l’intensité des coups que la femme recevait. Dans le cas contraire, la Bête aurait en effet pu lui briser les reins. Vu sa corpulence, sa masse musculaire, et sa soif de sexe, c’était presque comme si la jeune femme se faisait baiser par un minotaure.

Et il fallait tout de même éviter que sa belle amante ne finisse à l’hôpital aux termes de leurs ébats.
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Douleur. Excitation. Plaisir. Il n'y avait que ces trois notions dans l'esprit de l'ancienne tueuse, à cet instant. La Bête niait être Nathan. Mais la brune avait déjà oublié sa question. Pas que le sort du policier lui était égal, mais elle ne pouvait juste pas se concentrer dessus. Sa fleur était malmenée par l'énorme sexe qui la remplissait. Et pourtant, elle aimait ça. Est-ce qu'elle aimait vraiment, où tout ceci n'était-il l'oeuvre que des substances ingérées ? Même si elle avait été au courant, Catalina n'aurait su répondre. Elle n'aurait pas pu y songer, en fait, puisque tout ce que son esprit enfiévré captait, c'était qu'elle en voulait plus. Plus fort. Plus vite. Encore.

Elle criait. Parce qu'elle avait mal. Parce qu'elle aimait ça. Elle aimait avoir mal, ou elle aimait le plaisir qui en découlait ? Elle s'en fichait. Elle s'offrait. Nue, vulnérable. Lascive. Elle s'accrochait à son amant monstrueux, ses mains caressant les muscles puissants, les tentacules qu'elle pouvait atteindre. Elle gigotait d'ailleurs, elle ondulait, dans l'étreinte des tentacules, dans celle de la créature. Elle l'encourageait, de ses soupirs, de ses gémissements. De ses cris et hurlements. Heureusement qu'il n'y avait pas de voisins de palier, vu qu'elle occupait tout le palier. Heureusement que c'était bien insonorisé, aussi. Ou la police aurait pu rappliquer rapidement.

« Oui ! Hurlait-elle. Aaah, encore... Plus fort ! Mmmh... »

Et ses suppliques furent entendues. Un cri s'étrangla dans sa gorge alors qu'elle rejetait la tête en arrière, qu'elle appuyait son crâne contre la main de la Bête. Elle était comblée, physiquement, par le même amant. Partout, ou presque. Elle ne savait pas si elle avait plus de mal que de bien. Elle ne savait plus, se contentant de réagir, de se laisser envahir avec volupté, encourageant encore plus son amant aux proportions démesurées. Horrifiques. Excitantes.

Elle était fragile et minuscule, entre les bras de l'effroyable créature. Et pourtant, elle n'était pas encore déchirée, elle n'était pas encore en pièces. Et son corps souple répondait avec ardeur à la fougue bestiale. Elle frottait les rondeurs de sa poitrine contre le torse puissant, elle encerclait la taille de la Bête de ses jambes sans sembler vouloir le relâcher. Ses lèvres s'ouvraient en grand, pour crier, mais elle n'avait plus assez de souffle pour cela, et elle se contentait de griffer son compagnon insatiable avec fougue.

Elle avait chaud, si chaud. Elle était si bien. La tension entre ses reins, si forte, commençaient à devenir insoutenable. Et se sentir ainsi prise de chaque côté, c'était étourdissant. A tel point que le symbiote pouvait la sentir se contracter plus souvent autour de sa présence. Plus fort. Pour finir par exploser. Une déferlante de plaisir, qui consumait toute pensée consciente qui aurait pu traverser l'esprit de la veuve. Son corps se raidit, se crispa un instant, avant de s'alanguir, de se raccrocher tant bien que mal à la Bête. Heureusement qu'elle était maintenue, parce que Catalina n'aurait pas été en état de se retenir.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Vu de l’extérieur, on aurait effectivement pu croire à une scène de torture, à une femme qui se faisait violenter par un époux alcoolique rentré chez lui fou de colère, et cherchant n’importe quelle excuse pour foutre une rouste à sa ménagère. La Bête était une bonne élève, et, si elle n’était pas originaire de la Terre, et n’en comprenait guère les codes, il y avait des choses qu’elle comprenait. Nathan n’était pas du genre à se laisser aller envers des femmes, et, dans ces conditions, il compensait sa grande frustration sexuelle (essentiellement liée à la présence du symbiote en lui) par une surconsommation de films pornographiques. Toutes ces images avaient éduqué la Bête en matière sexuelle, et c’était ce genre de scénario qu’il s’efforçait de reproduire, en bourrant sauvagement la femme. L’anal, par exemple. C’était une situation à laquelle il n’aurait jamais pensé, et qu’il avait découvert par le biais de l’ingéniosité humaine. Comme quoi, les Terriens avaient beau avoir une logique incompréhensible à ses yeux, le fait est qu’ils avaient parfois d’excellentes idées.

Son tentacule s’enfonça donc dans le cul de Catalina, répandant rapidement un liquide lubrifiant qui suinta de ses pores, afin de faciliter la pénétration anale. C’est ce qu’il faisait en ce moment, tout en aidant sa partenaire à tenir le coup. Toutefois, même avec cette aide, il était fréquent que les partenaires qu’il choisissait (généralement des prostituées) s’effondrent en pleine action. Il se débrouillait pour ne pas les tuer, mais les laissait dans un tel état qu’elles avaient sans doute besoin d’une longue séance de repos pour pouvoir retourner au tapin ensuite. Mais là… Là, il y avait quelque chose de différent. La Bête l’avait senti dès le début, et cette appréhension se confirmait.

Catalina n’était pas comme les autres.

Il ne s’agissait pas juste de son insolente beauté, du ronflement magnifique et somptueux de son fessier, de sa chute de reins, de ses longs cheveux, de ses formes magnifiques. Elle avait une endurance sexuelle impressionnante, témoignant d’un vigoureux appétit en la matière. Peut-être était-ce cela qui avait amené la Bête à sortir pleinement, à prendre le contrôle, le sentiment ténu qu’il avait enfin trouvé, chez cette femme, son semblable, une femme qui lui parviendrait à oublier Sylvie Joyce, la femme de Nathan, porteuse d’un symbiote similaire au sien, mais qui avait pleinement accepté ce dernier, contrairement à Nathan. La Bête avait trouvé une femme exceptionnelle, et l’honorait à sa manière, de la seule façon qu’il connaisse : en faisant l’amour intensivement.

« Ca… Catalina, hmmm… »

Autre fait notable, là où le sexe faisait perdre la tête aux hommes, le sexe avait tendance à rendre la Bête plus intelligente, à purifier la créature de sa forte frustration, et à lui permettre de réfléchir calmement. Plus il bourrait Catalina, et plus il réfléchissait calmement. D’où venait la subite intensité de ses sentiments pour elle ? Sans même qu’il ne le réalise, des tentacules supplémentaires avaient jailli de son corps massif, formant des bouches qui se posèrent sur les seins de Catalina. À l’intérieur de ces bouches, de multiples langues rosâtres s’enroulèrent sur ses tétons, tirant dessus, compressant ses seins sous la masse symbiotique.

Il vit alors une scène qui n’était pas la sienne, un souvenir qui n’était, ni le sien, ni celui de Nathan.

Une journée très ensoleillée. Une magnifique femme, vraiment magnifique, dans une belle robe de mariée, qui s’apprêtait à quitter le manoir pour rejoindre le jardin, le kiosque où son époux l’attendait. Et lui attrapa sa main, avant de lui présenter un dossier.

« Steven Doyle. Un promoteur immobilier influent. Tu as réussi à l’approcher, comme nous l’attendions. Notre investigation confirme qu’il se livre à des trafics pédopornographiques. Nous t’enverrons bientôt les éléments pour le supprimer de la meilleure des manières. »


La Bête grogna doucement, chassant cette vision, et embrassa la femme. Un baiser plus humain, tandis que sa gueule difforme s’était contractée pour former une bouche plus humaine, mais avec une langue reptilienne toujours aussi grosse, qui s’enfonça dans la bouche de la femme. C’était les souvenirs de Smith qui remontaient en lui, des souvenirs impliquant Catalina… Et l’amour profond que l’homme lui vouait.

Un amour qui se matérialisait par les coups de reins que la Bête lui infligeait. Il avait senti Catalina jouir, et, fait notable, aucune goutte ne glissa sur le sol. La Bête avait tout absorbé, et se délectait de ce liquide, le plus parfait des nectars, avec un autre objectif en tête.

La faire jouir. Encore. Encore et encore. Jusqu’à ce qu’elle en perde la raison. Ou que lui-même ne finisse par jouir, tant il était excité par la situation actuelle, par elle.

C’était l’amour qui s’exprimait, un amour vorace, brûlant, vif, terrible. Un amour concentré et tourné exclusivement sur elle.
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Son corps indolent plaqué contre le monstre, la brunette peinait à reprendre pied dans la réalité. Non, en fait, elle tentait, sans y arriver. Son étreinte sur la créature s'était relâchée, alors que son orgasme la laissait presque sans force. Mais il était toujours aussi furieux, aussi bon, aussi affamé. Elle appréciait d'autant plus que son corps était sensible, que ses nerfs étaient à fleur de peau. Le plaisir, et la douleur, semblaient décuplés. Elle n'en pouvait plus, et pourtant, elle en voulait encore. Déchirée par la vigueur de la Bête, Catalina haletait, incapable de se concentrer. Elle se faisait besogner par un monstre. Non, elle se faisait défoncer par un monstre. Et tout ce à quoi elle pouvait songer, quand elle arrivait à réunir ses esprit assez longtemps, c'est qu'elle adorait ça.

L'embrassant avec ferveur, avec ardeur, elle suçait cette longue langue reptilienne presque comme si c'était un organe viril, l'aspirant entre ses lèvres, étouffant ses gémissements, ses cris, contre la bouche de son amant effroyable. L'orgasme l'avait laissée presque sans force, détendue, et son corps en profitait pour s'adapter plus parfaitement aux dimensions inhumaines de la Bête. Et le désir ne l'a pas quittée pour autant. Son sang s'échauffe de plus belle, alors que son corps est toujours autant sollicité, malmené. Caressé, brutalisé. Oh, la douleur irradie dans chacun de ses nerfs, bien vite compensée par un plaisir sans nom. C'était étourdissant.

La brunette, coincée contre le corps massif, ne pouvait que subir, apprécier, hurler. Elle ne se rendait pas compte des étrangetés de la scène. Elle ne savait même plus pourquoi elle perdait son temps à essayer de penser, de réfléchir, alors qu'elle devrait se livrer corps et âme à cette débauche des sens incroyable.

« Com-Comment... Comment dois-je vous... T'app-Appeler ? Siffla-t-elle en coordonnant difficilement ses pensées. »

Elle avait l'impression d'être plongée dans un bain tantôt bouillant, tantôt glacé, la souffrance disputant sa place avec l'étonnante déferlante de volupté. Ses seins, sa bouche, ses reins, ses fesses... L'intégralité de son corps était couvert par la Bête. L'intégralité de son corps, et de son esprit.

Elle ne pensait pas que son organisme succomberait aussitôt, mais elle se raidit à nouveau, se contractant autour de chaque appendice effroyable qui la fouillait. Elle agrippa la créature, ses ongles griffant sa chair sombre, ses muscles puissants. Les sons qu'elle produisaient s'étouffaient tantôt contre la langue reptilienne qui envahissait sa bouche, tantôt contre l'épaule massive qu'elle venait embrasser, mordiller, mordre même. Son corps était en feu. Rougi, brûlant, extrêmement sensible.
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.


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Tags : policier erotique