La polymorphe voulait chavirée, elle voulait sombrer dans cette abime sans fin qu’est celle de la luxure, elle voulait connaître au plus fin de plaisir, aux plus hautes sensations, au délice interdit. Elle voulait connaitre ce que cet incube était capable de faire, elle voulait savoir comment il allait la déguster! Elle en voulait plus, toujours plus, elle avait cette faim, cette envie qui tiraillait si fort son ventre, son corps, ses pensées, son âme! Tout son être demandait à cet incube de la faire chavirer encore plus qu’elle l’est déjà, de la faire devenir rien de moins qu’un objet de plaisir pour cette soirée, cette journée? Cette semaine, ce mois, cette année? Pour toujours…?
Ses doigts s’occupaient de cette digne partie de l’Incube, une partie qui pouvait faire jalousée bien des hommes, cette fierté qui faisait rêver bien des femmes et peut-être même des hommes, qui sait? Mais nous ne pouvons pas nous en empêcher, qui pourrait y résister? La vampire n’était pas dans celle qui pouvait résister à ce charme, elle subissait l’assaut et elle s’y laissait parfaitement emporter, docile. Chaque doigts détaillaient ce membre pour en connaître toute les formes, mais après chacun des mouvements c’était comme si c’était une nouveauté qui était sous ses doigts, toujours plus délicieux, plus chauds, plus désirant.
Les soupire de l’incube excitait d’avantage la pauvre Arashi qui tremblait légèrement sous ce plaisir qui augmentait. Sentir ce membre qui se durcissait était si formidable, si délicieux, si encourageant, cela la forçait à continuer et à tout faire pour être meilleur et entendre encore plus de ses soupires, de l’entendre encore plus montrer le plaisir qu’il ressentait à ses caresses. Elle observait se membre qui pourtant démontrait bien qu’il n’était pas au bout de ses surprises, qu’il pouvait devenir plus invitant qu’il ne l’est déjà. La vampire ce disait qu’elle pourrait goûter à se monde, faire subir sa petite bouche à se membre si tentant.
Mais le cruel incube, connaissant comme il était, il n’en avait pas assez, jamais assez, il en fallait plus et encore plus. Vaelh se colla contre le petit corps de la vampire, leurs chaleurs mutuels se touchant, mais cette de l’incube était si torride, si puissante, qu’elle en faisait presque baver la vampire. Son membre glisser entre ses cuisses, se mouvant contre son intimité, sans pour autant y entrer, y décrivant des mouvements comme s’il était en elle, caressant lèvre et son petit bouton de chair. Elle laissa un soupire sortir de ses lèvres rosâtres, son regard entrant dans lui de l’incube, le dominateur infernal qui contrôlait la docile dominée qui subissait avec plaisir.
Le plaisir était fort, puissant, n’étant pas juste entre ses jambes, non loin de là. Ce plaisir montait, encore et encore plus haut, parcourant chaque parcelle de son être qui en demandait plus et toujours plus, elle avait faim, faim de sensualité, faim de luxure, faim du corps de l’incube. Mais elle savait qu’il serait toujours cruel, il attendrait que le moment propice pour lui donner ce qu’elle désire, malheureusement. Mais en cette étrange soirée, elle appartenait à cet incube, oubliant passé, présent et futur, ne pensant juste à ce membre et à cet être face à elle.
Elle subissait les assauts, aussi bien physique que mental, mais elle se laissait allez, subissant sans chercher à se défendre, ce laissant aller dans ce torrent, augmentant son plaisir de seconde en seconde, grandissant son désir encore plus haut, à un point que jamais elle n’avait ressentie par avant. Elle désirait cet incube si cruel, elle allait l’avoir, elle se faisait une promesse que leurs corps serait unis en cette soirée électrisante. Elle espérait que jamais cette soirée ne terminera, elle voulait que ce plaisir vive toujours. Tout ce qui se passait était au-dessus d’elle, ce plaisir était si fort, si inhumain. Mais elle adorait l’inhumanité, avait de la misère à respirer sous ce plaisir qui se faisait toujours plus fort et plus parfait.
Puis l’incube vint glisser sa voix dans ce moment, glissant ses mots jusqu’au fond de son âme.
Inutile de te demander si tu perçois ma raideur. Mais confie moi à quel point cela te plait. Oh oui, confie toi, ouvre toi toute entière...
Elle allait répondre, oui elle allait le faire, ou du moins tentée de le faire. Mais l’incube au combien cruel en avait d’autre plan. Ses doigts agiles venant poser maintenant caresse à sa poitrine, lui faisant échapper des gémissements plaisant. Elle allait encore tentée d’ouvrir la bouche pour vouloir lui exprimer ce plaisir qui lui faisait plaisir, mais le parfait incube vint coller ses lèvres contre celle de la polymorphe, le plaisir devenant si fort qu’elle en perdit l’esprit, tout en continuant se baiser à l’allure de la perversion.
Elle fut à ce moment perdue dans le néant, elle ne voyait plus le temps passé… Le temps avançait t-il plus vite ou plus lentement? Les secondes étaient telle encore des secondes? Elle ne savait plus rien, mais en gros elle s’en foutait. Elle voulait continuer à subir ce plaisir. Leurs lèvres se séparèrent et il glissa les siennes près de son oreille, parlant d’un air provocant mais qui sonna si doux dans le creux de l’oreille de la vampire.
Si je te dis que le plaisir que tu reçois est proportionnel à mon excitation, me crois-tu ? C'est pourtant la pure vérité... Alors voilà précisément ce que tu vas faire, chère amante : tu vas t'agenouiller au moment même où je t'en donnerais l'ordre, et en me montrant toute ta ferveur sans la moindre honte, en me gémissant ton envie de moi, tu prendre mon membre à pleine main pour le guider vers ta bouche. Donne lui ces quelques onces de raideur qu'il lui manque, donne moi l'envie d'écarteler ton étroitesse, et tu as ma parole que tu perdras l'usage de tes belles petites jambes galbées lorsque j'aurais finit d'aller et venir en toi après des heures et des heures de plaisir impossible. Et ne t'inquiète pas pour ton adorable petit sexe, il continuera de vibrer d'un plaisir plus doux quand mon membre sera passé de ton entre jambe à ta bouche. Agis à présent. Fais le. Prend le entre tes lèvres, contre ta langue et ton palais. Mais gare à ne pas y planter tes petits crocs
Elle n’aurait jamais oser mordre dans cette délicieuse friandise. Son regard observa l’incube, elle se mordit la lèvre avec lenteur et dû se faire violence pour écarter leurs corps, elle le fit glisser dos contre les couvertures, la polymorphe fixant droit dans les yeux le séducteur incube puis avec lenteur et soupire elle posa un baiser à ses lèvres et débuta doucement à descendre ses lèvres pour caresser son corps, ses doigts caressant cette virilité avec plaisir. Agenouillé face à lui, son visage à présent si près de son membre, elle fit couler son souffle chaud contre cette fierté. Lentement son regard l’analysa, puis un petit sourire se dessina au cœur des lèvres, elle passa sa langue contre le bout de son membre un léger soupire se fit, les sensations étaient si forte.
Elle prit une respiration et rouvrit la bouche pour apposer ses lèvres contre son gland, sa langue caressant son extrémité alors que ses doigts vint sur son membre pour entamée des mouvements alors que sa bouche suçotait son gland avec plaisir, envie. Le corps de la polymorphe tremblant alors qu’elle semblait mouillé encore plus entre ses lèvres intimes, réclamant caresses. Lentement elle se mit à enfoncer son membre dans sa bouche, faisant de doux mouvement de sa bouche accompagnée de sa langue, sa main était là pour l’aider aussi, mais elle vint vite changer de placer pour caresser ses bourses du bout de ses doigts avec délicatesse, pendant ce temps sa bouche s’occupait de son membre, variant ses mouvements de sa bouche, y appliquant une ferme prise, suçotant le bout de son membre quand elle arrivait à son gland, l’enfonçant légèrement dans sa gorge pour lui offrir des sensations plus forte, elle tentant de variée les sensations, elle agirait ainsi jusqu’à ce qu’il lui demande quelque chose d’autre… Elle était à ce moment à lui, son corps ne répondant qu’à lui seuls en cette nuit de désire inhumain.