Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Comment faire accuser quelqu'un de vol - démonstration pratique ! [Misaka]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Misaka B. Ishikawa

Humain(e)

Crapuleux, violent, sans morale, voilà comment qualifier cet homme qui était occupé à abuser la petite Misaka, il ne répondit même pas à la question de la jeune fille, à la place, il mit un coup de pied dans l'intimité de sa victime, juste assez fort pour lui faire mal.

« Tais toi et applique toi ! Tu vois, quand tu obéis bien sagement, sans rien dire ni rien demander, je ne te fais aucun mal, quand en fais trop, tu es punie… je n’y suis pour rien, je n’aime pas te punir, mais tu ne me laisse pas le choix… Surtout que maintenant, je veux que tu me taille une vraie pipe…. Je vais même t’y aider ! »


Avait-il des remords envers elle qu'il ne voulait pas l'entendre ou était-ce juste de l'animosité ? Il voulait lui faire croire qu'il n'aimait pas la punir.. comme si c'était elle qui avait commis un crime, vraiment sans gènes pour un flic. Le policier ne voulait pas de simples léchouilles, il prit les cheveux de la jeune fille et la tira vers lui pour coller sa masculinité contre son visage, il fit glisser l'extrémité de son sexe jusqu'aux lèvres de Misaka, avant de lui pincer le nez, histoire de l'obliger à ouvrir la bouche pour respirer et profita de cela pour y engouffrer son phallus dans l'entièreté, au risque de l'étouffer.

« Tais toi et suce, voilà ce à quoi tu sers… un simple objet de plaisir… c’est tout… »


Misaka émit un cri étouffé lorsque le policer enfonça son sexe dans sa gorge, la jeune fille faillit presque s'étouffer avec, il ne lui restait plus qu'à faire une fellation à ce type. Elle se mit à enlacer de sa langue le membre viril qui se trouvait dans sa bouche, faisant des vas et viens, caressant de ses lèvres le pourtour du sexe, n'ayant jamais fait cela, elle allait jusqu'à la garde, le gland de l'homme s'enfonçait à chaque va-et-vient dans la gorge de la jeune fille.

Le flic fit descendre sa main jusqu'à la poitrine de Misaka pour la pincer, à ce moment, une nouvelle vague de chaleur parcourra la jeune fille qui ne s'était pas encore remise de l'orgasme précédent, elle n'avait jamais connue ça, sa tête allait exploser, le plaisir était si intense.


« Qui est la petite chienne à Gabriel ? C’est Misa… »


Voilà pourquoi Misaka n'aime pas les hommes, ils ne pensent qu'à eux et si l'on est pas assez fort pour leur résister, ils vous traitent comme leurs jouets sexuel, juste pour leur plaisir personnel, ce sont juste des rats. Même si elle aurait préféré une femme plus gentille que cet homme horrible, elle prenait plaisir à cette partie de sexe, avec les orgasmes qu'elle avait déjà eut, cela l'étonnait d'ailleurs, ce type devait sans doutes bien si prendre.

La jeune fille continua ses va-et-vient avec le phallus du policer, mais en même temps, elle ne put se retenir d'aller caresser son propre sexe, y mettant un doigt, sachant que l'homme n'allait pas en rester là, elle préférait prendre plaisir à cette situation plutôt que de la subir.
Kit by Anéa :3

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Il la regarda faire… pour une débutante elle ne s’y prenait pas si mal que ça… ouais, ce n’était pas trop mal du tout même ! Pas non plus de quoi jouir en quatrième vitesse, mais de quoi bien se faire plaisir, le nier aurait été criminel. Surtout quand on savait qu’elle s’appliquait pas trop mal ! Elle faisait son boulot consciencieusement et avec application, il ne pouvait pas lui enlever ça !

« Tu suces comme si tu étais née pour ça ! »

Il sourit la laissa continuer alors qu’il voyait la main de la jeune femme commencer à se glisser entre les cuisses de celle-ci… oh non, certainement pas !  Elle aurait du plaisir quand il le déciderait, pas avant !  Il lui donna un coup de pied, encore une fois, dans son poignet, assez fort pour qu’elle interrompt son action. Il décidait ce qu’elle faisait.

« En fait je suis sur que tu fais ça en douce sous le bureau à tous tes camarades, vu que tu suces comme une vraie putain… normal donc que j’ai ma part… »

Il lui caressa les cheveux, geste étonnamment tendre vu qu’il venait de la frapper ! Mais ce faisant il diffusait dans son corps de violentes ondes de plaisir, un plaisir orgasmique douloureusement plaisant. Il faisait en sorte qu’elle sente un peu la douleur du fait de l’électricité le temps que cela rejoigne ses points sensibles nerveux pour lui offrir deux nouveaux orgasmes successifs…

« Dis, c’est moi ou tu jouis juste en te sachant comme ça, complètement soumise à ma volonté ? Moi je trouve que pour une personne aussi timide tu fais sacrément salope… »

Et un nouvel orgasme coordonné au mot grossier… il faisait tout pour qu’elle croit que malgré elle, elle aime tout ce qu’il lui faisait subir, y compris le rabaissement moral… il savait qu’elle finirait par supplier d’en avoir plus… à la fin elle ne serait sans plus en mesure de bouger… d’ailleurs, pour la conforter dans l’idée de base qu’il voulait lui inculquer, il la saisit par les cheveux en commença à imprimer le rythme des vas et viens. D’abord en s’enfonçant dans sa gorge aussi loin que possible et y restant jusqu’à ce qu’il sente la demoiselle parcourue par un haut le cœur il y joint un nouvel orgasme. A force n’allait-elle pas créer un lac de mouille sur le sol ? Puis il reprit des vas et viens violent, venant faire claquer les scrotums contre son menton, allant violemment jusqu’au fond et à chaque fois qu’il touchait le fond, il luyi offrait un orgasme, elle n’avait pas le temps d’en savourer un qu’un autre venait…

« Tu vois, tu apprécies ça, o du moins, ton corps apprécie, ose dire le contraire !  Allez, gobe les boules et remets toi au travail, Misa, ma petite chienne !  Mais mieux, avant de te remettre au travail, montre comme ma petite chienne aboie ! »

Il sourit, il était ravi de tout ça, et si elle savait !  Cela ne venait que de commencer !

Misaka B. Ishikawa

Humain(e)

Qu'elle prenne du plaisir.. il ne l'acceptait pas, un violent coup de pied vint frapper le poignet de la jeune fille pour lui faire comprendre d'arrêter son action.

« En fait je suis sur que tu fais ça en douce sous le bureau à tous tes camarades, vu que tu suces comme une vraie putain… normal donc que j’ai ma part… »


Misaka, sa main gauche soutenant son poignet releva les yeux vers l'homme souriant, elle regarda avec haine, cet homme était une véritable enflure, il parlait d'elle comme s'il la connaissait, l'insultait. La main de l'homme vint caresser les cheveux de la jeune fille, de la tendresse après cette brutalité, ce n'était pas sans une idée malsaine derrière la tête, il jouait avec la nature, détraquant le corps de la petite Misaka. Elle n'en pouvait plus, tous ces orgasmes, ce mélange de douleur et de plaisir intense devenait insoutenable.

« Dis, c’est moi ou tu jouis juste en te sachant comme ça, complètement soumise à ma volonté ? Moi je trouve que pour une personne aussi timide tu fais sacrément salope… »


Comment ces mots ou même cet homme pouvait l'exciter. Elle ne le comprenait pas, était-ce seulement le fait que ce soit du sexe, alors cela valait encore bien mieux avec un animal que ce flic. L'homme lui laissait à peine le temps de réfléchir qu'il se mit à saisir les cheveux de sa victime et l'accompagna brutalement dans le rythme de ses va et vient, il enfonçait son pénis plus profondément dans la gorge de la jeune fille, sa garde sur les lèvres de celle-ci, y restant le plus longtemps possible, avant qu'elle n'ait une nausée, il ne cessait de lui donner des orgasmes, il prenait plaisir de voir cette fille qu'il humiliait, qui ne comprenait rien de rien de ce qui se passait. L'intimité de la jeune fille était déjà bien gonflée et cela faisait un moment qu'elle noyait sous l'excitation.

« Tu vois, tu apprécies ça, o du moins, ton corps apprécie, ose dire le contraire !  Allez, gobe les boules et remets toi au travail, Misa, ma petite chienne !  Mais mieux, avant de te remettre au travail, montre comme ma petite chienne aboie ! »


Cet homme n'avait donc aucune morale, il voulait qu'elle soit sa petite chienne au sens propre et ne la voyait même pas comme une femme, mais comme un objet de plaisir. La jeune fille retira le sexe de sa bouche s'essuya la bouche pleine d'un mélange de salive et liquide pré-séminale et se mit maladroitement à aboyer.

- ... Wi.. Wif ! Wiiif !!

Elle devenait rouge de honte, c'était rabaissant à souhait et ils le savaient tous les deux. Misaka ne continua pas ses.. aboiements et se mit à lécher et sucer les testicules de l'homme, plutôt elle aura fini, plutôt elle pourra rentrer se laver de toute cette crasse.
Kit by Anéa :3

Gabriel Valmy

E.S.P.er

La morale n’était que dose d’emmerdes supplémentaires, le scrupule n’était qu’une mauvaise excuse pour justifier l’incapacité. Il n’éprouvait aucun remord et aucune compassion pour elle… elle était une pigeonne et s’était bêtement faite avoir. Il n’avait aucune raison de se retenir de prendre son pied. Et il n’avait aucune raison d’épargner le corps de la jeune femme ! Oh non, elle allait vite comprendre qu’elle ne pourrait plus se passer de ces orgasmes à répétition, car outre le plaisir que son anatomie prenait bien malgré elle – comment pouvait-elle apprécier les mauvais traitements qu’il lui infligeait ? -  le passage de l’électricité dans son corps ne se faisait pas normalement, en fait cela ne passait pas par l’organe stimulé avant interprétation du cerveau, non, le cerveau dictait tout seul toutes les actions. Et en fait, à force, le cerveau prenait le pli d’attendre ce déclencheur, rendant cette sensation semblable à une drogue, drogue dont on pouvait se passer, mais qui nous manquait un peu.

Le jeune homme avait le sourire aux lèvres, il était ravi de la voir obtempérer sans la moindre hésitation, certes, elle n’aboyait pas très bien, mais on ne pouvait pas tout avoir, elle aboyait tout de même, quoiqu’elle jappa plus qu’elle n’aboya vu le volume sonore et le côté aigu. Il ne protesta néanmoins pas. Il n’était pas ;à pour lui apprendre à aboyer ! Non, il était là pour profiter de la situation sans la moindre vergogne…

Elle était honteuse et ça l’amusait, il riait bien volontiers. De son malheur avec grand plaisir il profita ensuite qu’elle se mette à lui lécher et sucer les scrotums. Il soupira d’aise en la congratulant avec un nouvel orgasme. Lui-même allait sans doute pas tarder à vider sa première cartouche…

« Brave chienne, dommage que tu n’aies pas la langue plus rapeuse, ça aurait été mieux… enfin bon, c’est déjà bien… »

Il la repoussa doucement avant de poser sa main sur son intimité, et lui envoyer un violent orgasme pour tremper ses doigts de cyprine. Il les porta au niveau du visage de la jeune femme qu’il caressa avec avant de lui saisir les cheveux pour  un nouveau coït buccal violent de quelques vas et viens avant de se retirer et laisser exploser sa jouissance sur le corps de la jeune femme, ou plutôt son visage, et dans une moindre mesure, sur le sol poussiéreux.

« Ah merci ma petite chienne… je te laisse nettoyer le sol, mais pour ton visage, tu le laisse comme ça, je veux qu’on voit que tu n’es qu’une putain dès qu’on pose les yeux sur ton visage… »

Il sourit et lui caressa le bras avant de la hisser pour la regarder droit dans les yeux… même s’il était obligé de baisser les yeux de toute manière pour ça. Il lui sourit et descendit ses lèvres pour venir lui mordre un téton avec forvce, mais pas de quoi faire perler le sang, juste pour lui faire mal avant de passer à la suite.

« Je crois que j’avais une fouille au corps à finir, moi ! »

Il glissa la main vers son entrecuisse dont il viola l’intimité, lui fouillant les chairs de ses doigts habiles, non sans la dose d’électricité désormais habituelle.

Misaka B. Ishikawa

Humain(e)

Misaka voulait en finir vite, enfin, surtout avec ce chibre, rien que le sentir la dégoutait. Elle continuait de jouir sans en comprendre la raison, cela la rendait folle, aimait-elle se faire abuser ? Certainement pas ! Peut-être aurait-elle une préférence pour la soumission ou bien serait-elle simplement une perverse refoulée. La jeune fille fut stoppée dans ses pensées par l'explosion de jouissance de son bourreau, le cop venait de tirer sa première cartouche et en pleine tête.

« Ah merci ma petite chienne... je te laisse nettoyer le sol, mais pour ton visage, tu le laisse comme ça, je veux qu'on voit que tu n'es qu'une putain dès qu'on pose les yeux sur ton visage... »

Recouverte de cette semence, dégoulinant de son visage, Misaka eut peine le temps d'essayer de passer sa main sur ses yeux aveuglés par ce nectar, que l'homme la saisissait déjà par le bras pour la lever à sa hauteur, enfin, plutôt jusqu'à son cou, pour la regarder droit dans les yeux. Son regard hypocrite, elle le haïssait. Saisissant la jeune fille par ses deux bras, le flic glissa ses lèvres doucement vers un des deux bouts de chair de la jeune fille pour venir le mordre bestialement, sans la blesser, mais assez fort pour la faire gémir.

« Je crois que j’avais une fouille au corps à finir, moi ! »

"Abasourdi" C'était le bon mot pour qualifier l’état de la jeune fille. Elle qui pensait en finir, elle qui espérait rentrer et oublier toute cette horrible histoire. Tout ne faisait en réalité que commencer. L'homme glissa sa main entre les cuisses de la jeune Misaka pétrifiée par cette désillusion, il passait ses doigts le long de sa cuisse remontant rapidement pour venir violer l'intimité de sa petite victime. Elle se sentait au Paradis, mais en même temps en Enfer, ce duo de plaisir et de souffrance ne cessait d’assaillir la jeune fille qui jouissait sur demande forcée du flic. Les doigts de l'homme caressait la chair de la jeune fille, ils s’enfonçaient toujours plus loin pour revenir aussi vite. L'homme prenait un malin plaisir à regarder le visage de sa partenaire qui ne savait plus quoi faire sous cette pression et surtout, sous toutes ces doses électrifiées.

*J-je n'en peux plus.. j'ai mal !.. je n'arrive p-presque plus à tenir debout..*

Tout en continuant de jouer avec son intimité, le flic passa son autre main sur l'un des seins de la jeune fille pour s’amuser avec aussi, non pas sans la vélocité et la brutalité habituelle.

*Pou-pourquoi Brooke ne réagit pas.. Elle devrait m'aider..*

Non, Brooke ne se montrerait pas aujourd'hui, peut-être que la situation lui plaisait, peut-être que quelque chose l'en empêchait. Misaka n'attendit pas plus longtemps, avec la force qui lui restait, elle poussa le flic collé à elle qui, apparemment, ne s'y attendait pas, pour reculer de quelques pas et se rattraper à une grande caisse en bois qui se trouvait un petit mètre derrière lui.

*Pourquoi j'ai fais ça..!? Il va me tuer maintenant !*

La jeune fille se recula contre le mur se laissant glisser à genoux, cachant son corps déjà souillée, à la vue de son bourreau, lui murmurant en pleur de la laisser.

- Pi-pitié...
Kit by Anéa :3

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Désemparée, oui, la jeune femme était désemparée, mais au fond, était-ce son problème ? Non, il prenait ce qu'il voulait, il jetait le reste ! Il voulait en elle son cul, sa bouche, son entrecuisses et basta ! Le jeune homme sourit et la regarda, elle était terrifiée, et en même temps, elle comme,nçait à croire que son corps aimait ce qu'elle subissait à force d'orgasmes !

Il la regarda, elle tenait debout avec difficulté, le sperme lui emplissant le visage comme du beurre généreusement étalé sur une tartine, le côté appétissant en moins ! Elle semblait espérer quelque chose qui semblait décidé à ne pas se manifester, tant pis pour elle. Il retira ses doigts de son intimité et les porta à sa propre bouche pour se délecter de son nectar, il avait toujours ce petit sourire en coin qui en disait long sur ses arrières pensées...

Il fut surpris qu'elle ose l'écarter de lui, mais au fond, qu'elle résiste donnait un peu de piment à la situation, non ? C'était de quoi relever la situation, tout simplement. Mais ça restait une agréable surprise. Mais bon, elle en fit les frais apparemment tout de même, elle ne semblait plus être en état de marcher...

Elle réussit à se retenir à une caisse puis contre le mur avant de  finalement s'écrouler au sol, à genoux, cachant ce qu'elle pouvait comme elle pouvait, c'est à dire, difficilement, pleurant à chaudes larmes... mais elle avait de la chance, il ne l'avait pas encore vraiment brutalisée, oui une ou deux tartes, ce n'est pas de la brutalité, juste de la fermeté.

Et là, elle se mettait à lui demandé une forme de pitié.... idiote... il en faisait déjà preuve... avec douceur, il vint se pencher vers elle pour lui careser les cheveux avec douceur, alors qu'en même temps, il lui demandait sur un ton chaleureux qui ne lui ressemblait pas.

« De la pitié ? Tu veux de la pitié ? Mais je t'en offre déjà, réfléchis, ma petite chienne, si je ne m'occupais pas de toi, tu serais en ce moment même en direction de la prison pour mineur ou de l'orphelinat... crois mioi, tu n'as pas envie d'y aller... écoute moi bien, tu vas te détendre et te pencher en avant une fois levée, que je finisse ma fouille, si tu veux résister, résiste, sinon, alors obéis bien sagement, ma petite chienne. Je me demandais, vu ta raction, tu es encore vierge ou tu t'es déjà faite baisée à couilles rabattues ? »

Il glissa la main entre ses cuisses et lui pinça le clitoris violemment.

« Allez, obéis, une fois que ce sera fait, je te promets une chose, c'est que l'on sort d'ici, d'accord ? »

Misaka B. Ishikawa

Humain(e)

La jeune femme ne savait plus où se mettre. Cet homme était l'incarnation d'un démon pour elle, un vrai monstre qui abusait d'elle et il ne voulait pas s'arrêter là. Le flic continuait de lui lancer des insultes salaces, insinuant encore et toujours qu'elle serait une "fille facile", alors que la petite Misaka est pour ainsi dire l'incarnation de la vierge innocente et fragile. La pitié ne devait pas signifier grand chose pour cet homme, certes il ne l'avait pas rouer de coups, mais cela restait de la violence, non pas de la pitié. Voilà qu'à présent il la menace, habilement même, de façon à faire croire à la jeune fille, qu'il tient plus du gentil que du méchant, voulant encore la persuader que c'est elle la fautive. Elle risquerait bien d'y croire à la fin..

« De la pitié ? Tu veux de la pitié ? Mais je t'en offre déjà, réfléchis, ma petite chienne, si je ne m'occupais pas de toi, tu serais en ce moment même en direction de la prison pour mineur ou de l'orphelinat... crois mioi, tu n'as pas envie d'y aller... écoute moi bien, tu vas te détendre et te pencher en avant une fois levée, que je finisse ma fouille, si tu veux résister, résiste, sinon, alors obéis bien sagement, ma petite chienne. Je me demandais, vu ta raction, tu es encore vierge ou tu t'es déjà faite baisée à couilles rabattues ? »

Prison, orphelinat.. à ces mots, la jeune Misaka releva la tête cessant de pleurer, le visage apeuré, après tout, elle restait une jeune fille fragile et naïve et pour elle, la prison semblait le pire endroit sur terre. Il voulait encore jouer avec son corps, abuser d'elle.. Mais à quoi bon résister, elle ne pouvait rien faire contre lui, autant que tout cela se finissent vite. Elle se releva sans prononcer un mot, ni regarder son bourreau, se dévoilant une nouvelle fois, entièrement nue.

*Ce.. Ce ne sera peut-être pas si.. désagréable...*

Le policier, heureux qu'elle obéise, n'hésita pas à passer sa main dans l'entre jambe de sa victime, lui pinçant violament son intimité. Elle fit une grimace sous la douleur, mais ne broncha pas. Dans ses mouvements lent et mous, on pouvait voir qu'elle avait abandonnée, qu'elle ne souhaitait plus résister, sans doutes une bonne chose pour ce flic. Elle se mit face au mur derrière elle et se cambra, prenant appui avec ses mains sur le mur, attendant le moment fatidique. Après tout, il avait promit qu'après il sortirait de cette pièce. Une bonne chose, non ?..
Kit by Anéa :3

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Finalement, elle obéit, se redressa et se pencha un peu en avant, il continuait à bien lui fouiller l’intimité avec tout sauf la conscience professionnelle, et bien sur il ne comptait s’arrêter là. Il fouillerait complètement et partout ! par contre,  elle n’avait pas répondu à sa question, et il voulait savoir, donc il glissa sa main pleine de cyprine sur le sein droit, le saisit et le tordit violemment. Alors il soupira et et lui mit une bonne fessée.

« Ça c’est pour n’avoir pas répondu, alors, tu es encore une pucelle ou tu as déjà du kilomètre au compteur ? Attention, soit tu réponds maintenant, soit je fais entre dans la pièce tout le personnel…. Et en plus tu auras le droit à la prison pour mineur, l’orphelinat serait trop doux… il faut répondfre quand quelqu’un te pose une question, et surtout quand je t’en pose une, réponds avec la vérité ! »

Il lui remit une fessée, pour faire bonne mesure et se décida à lui rappeler qui était le patron. Il saisit la matraque de flic et commença à lui mettre de violents coups, tant sur son postérieur que sur ses lèvres intimes. Et c’est seulement après une bonne raclée (assortie d’orgasme à chaque copup bien sur !), pour que la leçon rentre bien profondément, à défaut d’autre chose pour instant !

« Regarde ce que je suis obligé de faire pour avoir des réponses de ta part. Tu crois que ça me fait plaisir d’agir ainsi ? Tu crois que je m’amuse vraiment ? Et bien non, mais parce que tu ne me laisse pas le choix, je dois sévir….et pis encore, tu as l’air d’aimer que je sévisse… quel genre de chienne es-tu donc pour agir comme ça ?»

Il lui pétrit la fesse avant de finalement de reprendre sa fouille vaginale avec plus d’ardeur, pour finalement abandonner cette tâche, à la main du moins. Il sourit et laissa sa verge errer entre ses fesses avant de lui dire, sur un ton qui était tout sauf amical.

« Ça va faire mal, mais si tu ne te détends pas ce sera encore pire, parce que…. J’ai changé d’avis…. »

Il positionna sa verge à l’entrée de son petit anneau rectal, et commença à forcer pour y entrer, sans la moindre vergogne.


Répondre
Tags :