Tout ça pour une foutue plante ? [PV : Ivy / Black Cat (& Batgirl ?)]

La tempête était visiblement passée, pour le plus grand plaisir de Pamela. Catwoman répondit en effet au baiser de la femme, la plaquant contre son bureau, écartant, avec l’aide des tentacules d’Ivy, ce qui se trouvait dessus. Le bureau était également atteint par le décor particulier de Pamela. Une mousse verdâtre trônait sur ce dernier, formant une espèce de couche rendant ce dernier agréable. Avec ses mains sur ses fesses, Sandra plaça Pamela dessus, excitant cette dernière, lui faisant oublier la vive douleur qu’elle avait subie, la noyant dans des élancements de plaisir, avant que Sandra ne largue, comme pour la titiller :

« Oh ! Tu veux que je te baise, hein ? »

C’était dit avec un tel raffinement que Pamela ne put s’empêcher de sourire, alors qu’elle se mettait à califourchon sur son corps. Sandra était une femme forte, et, si près d’elle, Ivy put alors voir un léger détail anatomique : une cicatrice assez affreuse à hauteur de son estomac. Visiblement, elle n’avait pas eu une vie facile. Sandra s’attaqua ensuite à son téton, et la vision de cette cicatrice disparut de la tête de Pamela, qui se mit à soupirer, se tortillant sur le bureau.

« Ah... Oui, Sandra, baise-moi... Baise-moi fort ! soupira l’intéressée, les bruissements des plantes témoignant du plaisir sincère et honnête que la femme recevait.
 -  Alors je vais te baiser comme on t'as jamais baisée, ma belle... » lui promit-elle.

Le jeu commença par un simple et très agréable cunnilingus, la langue de Sandra filant entre les cuisses d’Ivy pendant plusieurs minutes, léchant son sexe avec un certain talent. Ivy était alors convaincue que cette femme avait un indéniable talent pour les relations sexuelles. Elle était de plus en plus curieuse d’en savoir plus sur sa vie passée, sur ce qu’elle avait été, avant de devenir une voleuse d’élite. Vu son goût pour le cuir, et cette facilité avec laquelle elle envisageait le sexe, Poison Ivy avait bien quelques idées, mais, dans ce genre de domaines, il était risqué de s’avancer. Elle déplaça ainsi sa langue sur le corps de Pamela, l’embrassant ici et là, enfonçant un doigt en elle, et le show commença. Ivy eut alors, clairement, la confirmation que, dans le sexe, Sandra était une vraie bête, une reine.

Sous les actions de Catwoman, le temps sembla comme se diluer, les minutes s’absorbant, alors qu’elle faisait divinement l’amour à Pamela, la pressant contre elle, l’embrassant, la mordillant, enlaçant leurs corps nus et couverts de sueur, faisant jouir la professeur de biologie sans relâche, enfonçant ses doigts dans ses trous, se délectant de la voir gémir, la coinçant entre ses jambes pour serrer fort, tandis qu’elle invitait Pamela à embrasser ses seins, à les mordiller, à fourrer sa tête contre eux. Elles revenaient contre le bureau, Sandra dominant très largement leurs ébats. Pamela ne pouvait que la caresser, généralement dans le dos, ou l’embrasser, mais ce fut elle qui enchaîna les orgasmes, les répandant généreusement.

Au bout d’une bonne heure, Sandra et elle se retrouvèrent allongées sur le sol, Pamela respirant lourdement, des gouttes de sueur glissant le long de son corps, alors qu’elle caressait évasivement son vagin, visitée à de nombreuses reprises par Sandra, tout comme ses fesses, qui étaient légèrement endolories. Elle frottait ces dernières contre le sol, jusqu’à ce que Sandra se mette à lui parler, caressant son corps, légèrement voûtée sur elle :

« Alors ? Satisfaite ? Ou t'en reveut encore ? »

Ivy lui sourit, et l’embrassa, posant ses mains sur le torse de Sandra, et repoussa cette dernière, l’allongeant sur le sol, et se lova contre elle, embrassant l’un de ses seins, le prenant en bouche à hauteur de son téton.

« Hum... Je suis très satisfaite, ma belle... Mais je suis une femme assez insatiable... »

Elle retourna l’embrasser sur les lèvres, tandis qu’un tentacule se mettait à circuler le long du sol, sortant lentement du sol. C’était un tentacule verdâtre, dont l’extrémité était un pénis. Il frotta contre les jambes de la femme, et Pamela rompit son baiser, posant ses doigts sur les lèvres de la femme, les caressant, alors que le tentacule, lentement, continuait son approche vers l’entrejambes de la jeune femme.

« Nous dormirons ensemble ce soir... Cependant, avant que ça n’arrive, j’ai encore envie de m’occuper de mon invitée... Pour ça, je te propose deux solutions... »

Elle leva alors un doigt, exprimant la première, tandis que le tentacule se rapprochait.

« Soit tu me laisses m’occuper de toi avec mon corps et mes tentacules, soit tu reprends ton idée initiale, en me dominant... Mais, dans cette seconde hypothèse, j’aimerais beaucoup que tu enfiles ta combinaison de cuir, je trouve... Je trouve que ça fera de toi une Maîtresse bien plus excitante. Je te laisse décider, ma belle, mais ne traîne pas trop, car je ne pourrais pas retenir éternellement mes tentacules... Ils ont autant envie de toi que moi. »

Après des dizaines de minutes de longs et torrides ébats, Sandra n'en pouvait plus. Et pourtant, malgré tout les orgasmes qu'elle avait déjà donnée à Pamela, elle se sentait capable de lui donner encore tant d'amour ! Pour le moment, elle se contentait de caresser la douce poitrine verdâtre de la scientifique, allongée sur le sol à côté de sa nouvelle partenaire. L'histoire du cambriolage ayant mal tournée et la plante qu'elle devait voler pour se racheter était déjà bien loin. Pamela lui sourit alors, puis elle l'embrassa en posant ses mains sur son torse. Puis elle la repoussa pour l'allonger. Sandra se mit à gémir quand Pam embrassa son téton.

-- Hum... Je suis très satisfaite, ma belle... Mais je suis une femme assez insatiable...
-- Grrrraaaaou !

Ronronna Sandra, ravie d'apprendre que Pamela était pleinement satisfaite. Cela dit, le fait qu'elle soit insatiable ne l'effrayait nullement. La scientifique était si excitante qu'elle pourrait bien trouver l'énergie nécessaire pour lui faire l'amour pendant des jours entiers ! C'est alors qu'elle sentit un bien drôle d'appendice végétal se balader et se frotter contre ses jambes, ce qui la fit tressaillir et sursauter. Pamela n'envisageait tout de même pas... ?

-- Nous dormirons ensemble ce soir... Cependant, avant que ça n’arrive, j’ai encore envie de m’occuper de mon invitée... Pour ça, je te propose deux solutions... Soit tu me laisses m’occuper de toi avec mon corps et mes tentacules, soit tu reprends ton idée initiale, en me dominant... Mais, dans cette seconde hypothèse, j’aimerais beaucoup que tu enfiles ta combinaison de cuir, je trouve... Je trouve que ça fera de toi une Maîtresse bien plus excitante. Je te laisse décider, ma belle, mais ne traîne pas trop, car je ne pourrais pas retenir éternellement mes tentacules... Ils ont autant envie de toi que moi.

Ben si... Sandra comprit alors que ses doutes s'étaient confirmés... Elle n'avait que deux options et un cruel choix à faire concernant l'une d'elle. Elle pouvait bien sûr choisir la seconde solution, ce qui revenait à choisir la facilité. Mais elle avait tellement envie que ce soit Pamela qui s'occupe d'elle pour changer un peu. Cela dit...

-- Ben... J'aimerai bien que tu t'occupe de moi mais... Je ne veux pas de tes tentacules... Je trouve ça dégoutant !

Elle se pinça les lèvres, espérant vraiment que Pamela ne le prendrait pas mal. Malgré son vécu d'esclave sexuelle, Sandra avait un peu peur de ce "phénomène" qu'était de pratiquer l'acte sexuel avec des tentacules. Elle ne l'avait jamais fait et l'idée même la dégoutait. Elle avait beau avoir tout exploré ou presque quand elle était sous la coupe de son propriétaire, il y avait encore des choses qu'elle n'avait pas vécue et qu'elle n'avait pas spécialement envie de connaitre.

-- Ne le prends pas mal mais je peut pas. Pourtant, j'ai très envie de toi tu sais ?


[HRP : Tu me diras, ben oui, mais... Pourtant tu as fait Glouby ? Et bien cher ami, je te répondrai : fais toi plaisir ! XD Je t'encourage bien évidemment à faire changer Sandra d'avis sur le shokushu ;P ]

« Ben... J'aimerai bien que tu t'occupe de moi mais... Je ne veux pas de tes tentacules... Je trouve ça dégoutant ! »

Dégoûtant ? A ce mot, Pamela fronça les sourcils, surprise. Qu’est-ce que ça avait de dégoûtant ? Elle vit Sandra se mordiller les lèvres, ayant visiblement compris qu’elle s’attaquait à un terrain glissant, dangereux, instable. Dire à Pamela que ses tentacules étaient dégoûtants, c’était dangereux, même quand on était une très belle femme, endurante, et qu’on portait du cuir. Réalisant probablement qu’elle prenait des risques, Sandra s’empressa de faire quelques précisions :

« Ne le prends pas mal mais je peut pas. Pourtant, j'ai très envie de toi tu sais ? »

Ivy lui sourit, et l’embrassa sur les lèvres, tendrement, leurs lèvres claquant l’une contre l’autre. Ce fut un baiser assez osnore, destiné à rassurer Sandra, qui semblait très gênée, tandis que les tentacules, sous elles, les entouraient, s’avançant lentement, glissant sous cette tendre végétation. Pamela retira ses lèvres, lui souriant, et lui caressa le visage.

« Hum... Tu ne peux pas ? Ou tu ne veux pas ? Car il y a une différence entre la peur de faire quelque chose, et la volonté de ne pas le faire... »

La langue de Sandra avait fourché. Elle avait commencé par dire qu’elle ne voulait pas des tentacules, avant de dire qu’elle ne pouvait pas. Cette simple différence de mot impliquait une pensée différente. Dans le premier cas, le fait de ne pas vouloir semblait signifier qu’elle n’aimait pas ça, alors, que dans le second, qu’elle ne puisse pas témoignait plutôt d’une sorte de crainte, d’appréhension, qu’il convenait donc naturellement de balayer. Elle lui caressait donc tendrement le visage, puis s’écarta un peu, tandis qu’un tentacule apparut le long de son ventre, roulant autour de son corps, alors qu’elle se mettait à le caresser.

« Pourtant, mes tentacules ne sont nullement repoussants... Ils sont lisses et même assez doux. »

Des tentacules gluants, Pamela en avait aussi, mais elle ne tenait pas vraiment à les montrer à Sandra, vu sa réaction. Le tentacule ondulait le long du corps de sa maîtresse, frottant contre sa joue, alors qu’elle caressait l’extrémité. La peau verdâtre du tentacule, à l’extrémité, manquait se replier, révélant, sous cette dernière, l’extrémité d’un pénis.

« Tu n’as aucune raison d’avoir peur, Sandra... Aucune... Touche-le, vas-y... Et tu verras qu’il est inoffensif... »

Faire l’amour sans tentacules était difficile pour Ivy, car, pour elle, ces tiges vertes étaient comme les doigts de la Nature. Et Ivy adorait la nature, lui vouant une sorte de culte fanatique. Donner son corps à cette dernière était pour elle la plus magnifique des offrandes, qu’elle répétait sans cesse. Convertir Sandra à ce qui était sa religion était naturellement tentant, d’autant plus que le corps ferme et endurant de cette dernière s’y prêtait volontiers. Tandis que le tentacule continuait à vibrer contre le corps de Pamela, un autre sortit du sol, s’approchant de Sandra, mais sans la toucher, se contentant de remuer en l’air. Le tentacule attendait que Sandra le touche et le caresse.

[HRP : Alors dans ce cas je vais faire ch... Ivy jusqu'au bout ! XD]

Sandra était bien, allongée là, à côté de la belle Pamela. Seule ombre au tableau, pour qu'elle se sente vraiment apaisée, c'était la menace d'être touchée et prise par ces tentacules qu'elle appréhendait avec angoisse malgré le baiser et la caresse d'Ivy destinés à la rassurer.

-- Hum... Tu ne peux pas ? Ou tu ne veux pas ? Car il y a une différence entre la peur de faire quelque chose, et la volonté de ne pas le faire...

Pour la russe, c'était l'évidence même : les deux ! Elle ne voulait pas, parce qu'elle trouvait cela répugnant, et ne pouvait pas, parce qu'elle avait peur, comme pour chaque nouveauté sexuelle que voulait lui faire son maître quand elle n'était encore qu'une enfant, car elle avait en tête les manga hentai de type shokushu avec les monstres tentaculaires violant les demoiselles sans états d'âme. Cette crainte des tentacules était assez paradoxale. D'un côté il y avait cette partie Catwoman qui voulait désormais refuser toute forme de soumission à un symbole phallique, et de l'autre cette partie Sandra qui était comme une petite chatte battue et appeurée par son maitre... Probablement encore un jeu de dualité de personnalités entre elle et cette nouvelle force de caractère féline récemment acquise lorsqu'elle est revenue d'entre les morts sous la personnalité de Catwoman. Celle-ci vit son angoisse grandir quand un tentacule apparut et entoura Pamela...

-- Pourtant, mes tentacules ne sont nullement repoussants... Ils sont lisses et même assez doux.

La Catwoman poussa un petit cri de dégout en voyant l'engin faire mumuse avec Ivy et réciproquement. Sandra était dégoutée, littéralement écoeurée par ce spectacle. Comment pouvait-elle faire ça ? Se laisser tripoter et prendre par ce genre de... choses !? Pour elle, le plaisir n'était une raison suffisament valable pour justifier cette pratique.

-- Tu n’as aucune raison d’avoir peur, Sandra... Aucune... Touche-le, vas-y... Et tu verras qu’il est inoffensif...

Keuha !? Sandra commençait à penser que Pamela était vraiment folle dans ses cheveux. En plus, un autre tentacule sortait du sol juste devant elle, remuant comme un chien le ferait avec sa queue en réclamant une caresse ou une friandise.

-- Non ! Je...

Les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche, et de grosses gouttes de sueur commençaient à perler sur le front de la russe. Mais c'était frustrant parce qu'elle avait envie de faire plaisir à cette Pamela. Sauf qu'elle n'était pas prête à vivre ce type d'expérience. Alors elle tenta, à trois reprises, approchant timidement ses doigts du tentacule qui sembla d'abord ravi de recevoir un peu d'affection puis frustré qu'elle se rétracte.

-- Je peux pas. Je suis désolée mais je peux vraiment pas !

Dit-elle juste après la troisième tentative avortée. Elle se contracta alors, complètement crispée et tétanisée par la frousse. Elle avait toujours cette vision en tête, d'une demoiselle, aux cheveux blonds, dans un shokushu, qui était ligotée en X par les poignets et les chevilles par quatre tentacules tandis que trois autres s'étaient introduits en elle par la bouche, le vagin et l'anus, et que deux autres encore répandaient sur elle leurs sperme en  quantité à faire crever de jalousie une vingtaine d'acteurs porno filmés dans une scène de bukkake... Et cela lui rappelait également le soir fatidique où... elle avait été entravée et qu'après plusieurs heures d'une souffrance innommable, elle avait un disgrâcieux souvenir sous la forme d'une cicatrice très laide sur son ventre. Une expérience qui l'avait traumatisée et que la Catwoman russe refusait absolument de revivre d'une quelconque manière que ce soit...

Oui ? Non ? Peut-être ? Passe son tour ? Pamela voyait Sandra hésiter, approchant timidement sa main du tentacule, avant de la replier. Elle refit ce geste à plusieurs reprises, avant de finalement s’avouer vaincue.

« Je peux pas. Je suis désolée mais je peux vraiment pas ! »

Elle était stressée, pour le coup, et terriblement nerveuse, tandis que le tentacule, tel un serpent, ondulait au-dessus d’elle, déçu. Ivy l’empêchait d’agir, et s’approcha de Sandra. Elle pouvait arrêter, et simplement lui faire l’amour, mais Pamela était du genre têtue... D’autant plus que, pour elle, les tentacules étaient l’expression de la Nature. Avoir peur de la Nature, c’était monstrueux ! Comme une sorte de maladie psychologique face à laquelle elle se devait d’agir. Elle se pencha vers Sandra, et posa sa main sur son ventre, caressant sa peau nue, remontant pour aller caresser sa joue, accroupie à côté d’elle.

« Là, là, détends-toi, Sandra, tu es entre de bonnes mains... Tu ne risques rien ici... »

Elle réfléchissait, comprenant que Sandra affrontait une sorte de traumatisme qui la paralysait. Elle se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Un bref baiser, qu’elle rompit, pour le reprendre, tout en se déplaçant un peu, se positionnant, tendant ses jambes, de manière à s’allonger sur elle. Elle glissa une jambe entre celles de Sandra, et se mit ainsi, progressivement, en position, jusqu’à se retrouver sur elle. Poison Ivy posa une main sur les cheveux de Sandra, et l’embrassa bien plus longuement, fourrant sa langue dans sa bouche. Le baiser fut bien plus long, et bien plus intense, Pamela remuant sur le corps de Sandra, se frottant contre le sien. Elle voulait qu’elle se détende, qu’elle se calme, qu’elle comprenne qu’elle était entre de bonnes mains, et qu’elle n’avait rien à craindre ici. Sa langue remuait dans sa bouche délicieusement, remuant à l’intérieur, et elle finit par le rompre, souriant.

L’une de ses mains venait se poser sur l’un des seins de Sandra, le pressant, coinçant le téton entre deux doigts. Elle tira un peu sur son sein, et l’embrassa sur la joue. Pamela comprenait que Sandra était, comme tous les individus costumés, une personne souffrant d’un dédoublement de la personnalité. Il y avait Sandra, et Catwoman. Pamela, par expérience, savait à quel point on se sentait plus libres, et plus confiants, quand on portait un costume. Et cette vérité l’amena à envisager un autre angle d’attaque.

« Tu as peur, je le sens... »

Elle se redressa un peu, se mettant à califourchon sur la belle femme, et massa ses deux seins, les frottant vigoureusement, les empoignant. Elle souriait, et se releva alors.

« Où est donc passée la femme qui affrontait mes tentacules avec vigueur, hum ? »

Debout, Pamela tendit sa main, et aida Sandra à se relever. Elle s’avança ensuite vers son bureau, et trouva la combinaison de cuir de Sandra, relativement intacte. Elle la prit, puis se tourna vers Sandra.

« Puisque Sandra n’arrive pas à les affronter, autant rappeler Catwoman, non ? La courageuse femme-chat qui brave héroïquement le danger en se moquant des conséquences... Remets-là, Sandra, je suis sûre que tout ira beaucoup mieux ensuite. »

Pamela raisonnait aussi de manière psychologique. Sous le costume, on oubliait ses propres faiblesses, car on devenait ce symbole invincible et éternel, écumant les toits, qui ne craignait rien, parce qu’il était un symbole empreint d’immortalité. Et puis, Sandra était très sexy dans sa combinaison en cuir.

Sandra était vraiment trop écoeurée par ce tentacule-pénis végétal. Et pourtant elle pouvait voir que ledit appendice semblait comme "déçu" si tant était que cette chose puisse ressentir ce genre d'émotion... Les caresses de Pamela la rassurait néanmoins quelque peu. Au moins elle n'était pas vexée, c'était déjà ça.

-- Là, là, détends-toi, Sandra, tu es entre de bonnes mains... Tu ne risques rien ici...
-- Je sais, mais...

Sa phrase fut interrompue par un baiser d'Ivy qu'elle trouva bien trop court mais heureusement un second arriva juste après, que la miss se soit correctement positionnée, allongée sur elle. Sandra aimait beaucoup le gout de sa langue et de sa bouche. Cela lui faisait de petits picotements, comme si elle était en train de tomber amoureuse d'elle... Un truc de dingue ! En plus, la manière dont elle bougeait ainsi sur elle... c'était so hot !
 
*Oh, Pam... Tu me rends dingue... !*

Elle lui sourit alors que la scientifique posait une main sur son sein gauche pour jouer avec le téton ce qui fit mouiller Sandra en abondance.

-- Ooooh...

Soupira-t-elle, langoureusement.

-- Tu as peur, je le sens... Où est donc passée la femme qui affrontait mes tentacules avec vigueur, hum ?

C'était pas faux... A l'invitation de Pamela, Sandra se releva, se demandant bien ce qu'elle lui réservait... Elle fut curieuse de comprendre pourquoi Pamela lui tendait son costume de Catwoman... Elle ne voulait plus la voir ?

-- Puisque Sandra n’arrive pas à les affronter, autant rappeler Catwoman, non ? La courageuse femme-chat qui brave héroïquement le danger en se moquant des conséquences... Remets-là, Sandra, je suis sûre que tout ira beaucoup mieux ensuite.

Oh ? C'était donc ça ? Elle pensait vraiment que ça y changerait quoi que ce soit ?

-- Après tout pourquoi pas... Mais je doute que ça soit bien différent tu sais... Mi-a-ou !

S'amusa à miauler Sandra. Au moins, cela leur permettait tout de même quelques jeux coquins. Sandra prit donc sa tenue, et se rhabilla entièrement, ne laissant entrevoir qu'une petite partie de sa poitrine.

-- Je te plais comme ça, hein ? Rrrrrronrrrr...

Tout en ronronnant, elle se remit à embrasser Pamela, sans toutefois se préoccuper des tentacules-phallus. Pour elle, il était hors de question qu'elle y touche, même s'il était vrai qu'elle se sentait déjà plus forte vêtue ainsi.

« Après tout pourquoi pas... Mais je doute que ça soit bien différent tu sais... Mi-a-ou ! »

Ivy se retint d’ajouter qu’il faudrait mieux que ce le soit. Pour elle, il était tout simplement inconcevable d’avoir peur des bienfaits de la Nature. C’était une incohérence totale. La Nature était la mère des êtres vivants. La craindre n’avait pas de sens. On pouvait craindre l’humanité pour sa malice, pour son vice, pour sa propension à exploiter tout ce qui existe pour satisfaire à ses besoins égoïstes, mais on ne pouvait pas blâmer quelque chose d’aussi beau et harmonieux que le monde végétal. La perfection était atteinte quand on voyait un arbre s’épanouir, quand on voyait un champ de roses et de tulipes. Il était dommage que cette perfection soit en elle-même si fragile, et que de bêtes êtres humains puissent aussi impunément la fouler. Alors, non, Pamela ne tolérerait pas qu’une femme soit effrayée par des tentacules végétaux.

Trouvant le miaulement de Sandra très sexy, elle la laissa se rhabiller, renfilant sa belle tenue en cuir, une tenue qui procurait des frissons à Poison Ivy. Certes, elle appréciait la nudité, mais, parfois, la beauté méritait des exceptions. Et Catwoman en était une. Poison Ivy avait eu quantité de raisons, à Gotham, de tuer Selina Kyle, et avait eu quantité d’occasions de le faire. La petite chatte était agile, mais, piégée dans ses tentacules, elle n’était plus qu’une poupée. Pour autant, elle ne lui avait jamais broyé les os. A l’époque, où elle était aveuglée par sa haine envers l’humanité, elle ne se l’expliquait pas, mais, avec le recul, elle comprenait mieux les raisons qui l’avaient poussé à agir ainsi. Catwoman était... Elle était tout simplement bandante, et Ivy, très sensible à ce qui concernait la beauté, avait toujours tendance à être plus tolérante. Selina, naturellement, l’avait toujours su, et en avait toujours joué. Pamela ne pouvait qu’espérer que Sandra serait moins taquine, mais elle éprouvait des doutes à ce sujet.

*Je suis une faible femme...*

Toute drapée de cuir, Sandra laissa juste un décolleté assez vertigineux, en remontant très peu sa fermeture Éclair. Maintenant habillée, Catwoman revint lentement vers Poison Ivy, avec cette démarche féline tellement sexy :

« Je te plais comme ça, hein ? Rrrrrronrrrr... »

Pamela lui répondit en l’embrassant, se blottissant contre son corps, savourant sa belle peau. Ses mains caressèrent les hanches en cuir de la jeune femme, glissant sur sa combinaison, tandis que les deux optèrent pour un baiser relativement long. Pamela fourra sans hésitation sa langue dans sa bouche de Catwoman. Elle sentait les tremblements et les frissons parcourir son beau corps, alors que ses baisers aphrodisiaques continuaient à influer sur elle. En théorie, une femme ayant moins de caractère aurait déjà tombé entre ses bras, vu les baisers insistants que Pamela faisait. Elle savait que Sandra en mouillait, et Poison Ivy se pressait contre sa combinaison en cuir. Ses mains glissèrent pour presser les belles fesses de cette dernière, éprouvant la résistance du cuir, et la manière dont la combinaison moulait le corps parfait de la Russe.

« Hum-hummm... » gémissait Pamela.

Yeux clos, elle profitait pleinement de son baiser, et tira un peu sur la lèvre inférieure de Sandra, l’avalant entre ses lèvres, avant de revenir à l’assaut, pour des baisers fougueux. Elle gémissait de plus belle, et sentit alors un tentacule s’approcher lentement, glissant sur ses mollets, avant de s’approcher également des jambes de Catwoman, glissant contre eux.

« N’aie pas peur, Catwoman... fit alors Ivy en l’embrassant sur la joue. Catwoman n’a peur de rien... »

Et le tentacule remonta un peu, s’enroulant encore une fois autour d’Ivy, à hauteur de ses fesses, puis s’enroula également autour du dos de Catwoman. Il les plaquait ainsi l’une contre l’autre, et ne faisait rien d’autre. Pamela en ressentait des frissons, à être ainsi ligotée contre une si belle femme. Dommage qu’elle soit aussi nerveuse et craintive à l’égard de simples tentacules...

*Il faut croire que toutes les Catwoman de cette planète sont nées pour me frustrer...*