Une malheureuse glissade [pv Hikari Minamoto]

La piscine ! Le meilleur endroit pour mater les demoiselles ! Bon il y a effectivement la plage également mais disons que c’est un peu loin et puis… Il ne fait pas si chaud en ce moment, je ne risque pas de voir grand monde. Voir toutes ces petites fesses se dandiner de la sorte est un pur régal. Puis… Il y a ce petit côté excitant de s’imaginer ce qui se cache en dessous, de savoir si la fille en question s’épile, de quelle manière, de quelle couleur peuvent être ses poils enfin tout un tas de choses super intéressante digne d’un puceau…ce que je suis.

Oh il y a bien eu des femmes dans ma vie et plusieurs occasions, malheureusement je n’ai jamais pu conclure et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Cela dit, je l’assume à 200% ce n’est pas grave et puis, je me réserve pour Madame Onizuka, c’est romantique ça non ? Bon en réalité, je m’en fiche pas, c’est mon excuse principale mais ça fait de moi un type Great n’est-ce pas ?

Armé de mon arme de séduction numéro un, un magnifique short de bain Hawaïen, je plonge dans l’eau tempérée de la piscine sous le regard de… personne. Finalement, mieux vaut faire quelques longueurs, au moins je pourrais attirer le regard des jolies demoiselles. Et de une… et op nage papillon, le crawl maintenant et… EHHHHHHHHH Pourquoi il n’y a presque plus personne dans l’eau ? Bon… mieux vaut en sortir finalement… J’en ai ras le bol de nager.

C’est alors que je vois une charmante demoiselle, probablement une lycéenne qui… est peut-être dans ma classe… Il faudra vraiment que je lise ma liste de présence un jour car je ne sais toujours pas combien j’ai d’élève en tout… En même temps, on peux dire que je suis arrangeant vu que du coup, je ne signale aucune absence… bref je la regarde, il faut dire qu’elle fait très mature et qu’elle est loin d’être laide la gamine.

Bref, je regrette de pas avoir pris des jumelles et alors que je commence à ronchoner, seul dans mon coin, je la vois se faire bousculer par un étrange type qui se dirige vers la sortie. Peut être que ce mec a peur de se retrouver enfermé en cas de fermeture ? Possible mais… C’est vraiment pas sympa de laisser la demoiselle toute seule au sol sans même s’excuser.. D’autant qu’elle à l’air d’avoir mal… Elle ne se relève toujours pas ? Eh ! C’est ma chance ! Je dois la saisir, avec un peu de chance, elle me remerciera et…. Si j’assure, elle m’offrira peut être une de ses culottes !!!

C’est décidé, je vais jouer les chevaliers servants, sort de la piscine et me dirige vers la jeune fille avant de m’abaisser et de lui tendre la main, lui offrant mon plus beau sourire Colgate.

« Ça va aller mademoiselle ? »

Oui… je n’ai rien trouvé de plus malin à lui dire en même temps c’est bête de dire à quelqu’un « ça va » alors qu’elle semble avoir mal mais bon… C’est pas logique, je ne suis pas logique, je suis le Great Teacher Onizuka après tout !

« Voilà pourquoi je dis toujours à mes élèves de ne pas courir le long de la piscine. »

Désolé j'ai pas pu m'empecher de faire une blague vaseuse...

J'ai toujours aimé la piscine. Elle nous permet de nous détendre tout en entretenant notre corps. C'est pourquoi j'y allais souvent, mêlant plaisir et sport de cette manière. J'aime et je crois que j'aimerai toujours la sensation de l'eau entourant votre corps et rien que pour cela, j'étais prête à renoncer à tout mes cours de langues pour y aller. Comment ça je n'y vais de toute façon pas ? Le sacrifice a déjà été fais voilà tout.
J'étais donc venue plus tard que d'habitude, retenue par une amie et son problème de couple. Elle avait surpris son petit ami en train de se toucher devant des photos de ses amies. Normal qu'elle le plaque non ? Enfin plus que le fait qu'il se touche devant des photos, ce qui m'avait choqué était le fait qu'il ait photographié ces filles à leur insu. Un beau sens moral non ? Enfin tout cela pour quoi ? Hormis perdre un temps fou je ne vois pas.
Je suis finalement arrivée à la piscine vers la fin d'après-midi. Jetant un rapide coup d'œil à ma montre, je vis qu'il me restait deux petites heures. Je m'en contenterai ce n'était pas grave.
Je choisis en vitesse une cabine et me mis à nue dedans afin d'enfiler mon nouveau maillot de bain. Un cadeau de l'amie dont je vous ais parlé plus tôt. Un magnifique maillot bleu sombre, très léger et plutôt mignon mais qui m'allait à ravir selon elle.
Enfin vêtue de ce maillot, je me dirigeai vers la piscine déjà presque vide. Finalement, venir tard était plutôt un bon plan. J'aurai la piscine pour moi alors.

Je me posais au bord de la piscine, fermant le yeux doucement et plongeais dans l'eau fraîche qui me tendait les bras. Nageant durant quelques minutes, je finis par m'arrêter, gênée par certains posés sur moi. Autant aux regards des beaux et séduisants jeunes hommes je répondais par un sourire provocateur, autant les regards des vieux pervers posés à l'instant sur moi me donnait des frissons. Je sortis alors de l'eau et me dirigeais vers le maître nageur. Une femme. Voilà qui faisait bien mon affaire. Je n'eus pas à développer plus de deux secondes qu'elle les mettaient déjà à la porte. La solidarité féminine vous croyez ? Ou bien peut être était elle tout aussi dégoûtée que moi.
Sur un remerciement, je retournais dans l'eau, passant ainsi les minutes puis l'heure qu'il me restait.
Tout se passa bien, je me détendais, je nageais, je me détendais de nouveau et je sortis, l'heure de fermeture approchant.
Je fus alors bousculée par un homme visiblement pressé de rentrer chez lui. Sa femme allait rentrer de chez son amant et il souhaitait la surprendre ou quoi ?
J'étais par terre et, souhaitant me relever, je retombais aussitôt, laissant un petit cri de douleur s'échapper.
Ma cheville me faisait mal. J'avais gagné le gros lot moi et me voilà avec la cheville tordue ou foulée même allez savoir.
C'est alors qu'un homme vint m'aider avec un grand sourire, me tendant la main.

« Ça va aller mademoiselle ? »
« Voilà pourquoi je dis toujours à mes élèves de ne pas courir le long de la piscine. »

Il existait donc encore des gens corrects ici ?
Je le remerciais alors d'un simple sourire suivis de quelques mots.

« Oui merci, enfin je crois que je me suis foulé la cheville »

Je pris alors sa main dans la mienne et, profitant de son aide, je parvins enfin à me relever. Je passais alors mon bras autour de sa taille, m'accrochant au seul homme qui semblait galant et au secours des dames afin de pouvoir tenir debout sans trop de mal.

« Vous avez dis que vous aviez des élèves non ? Vous êtes professeur ? Oh ! J'allais oublier. »

Je lui offris alors un magnifique sourire, le regardant droit dans les yeux.

« Je m'appelle Hikari, encore merci pour votre aide »

La piscine c’est bien c’est un peu comme Meetic.fr sauf que c’est gratuit. Enfin pas vraiment mais avec mon pass enseignant je suis le roi du monde et surtout, je peux utiliser mes sous pour louer des films à la vidéothèque. Vous savez, dans ce coin séparé du reste de la boutique par un long rideau rouge ? oui voilà… le coin des DVDs consacré aux sciences de la vie et de la terre. Ben quoi ? Quand j’ai loué la semaine dernière le journal intime d’une Lycéenne, c’était avant tout pour mieux comprendre la nouvelle génération, une sorte d’étude sociologique… N’allez pas vous imaginer autre chose.

Bref, vous l’aurez compris, je suis great et surtout je suis à l’écoute de mes élèves enfin… Surtout quand elles sont ce que j’aime appeler : Physiquement Intelligente. Ben quoi ? J’aime bien les décolletés et au moins ça me permet de mater en paix. Bon après pour ce que la nana va raconter… Pas besoin d’écouter, elle s’est forcément fait larguer par un vilain garçon qu’il faut critiquer obligatoirement sous peine d’arrêt immédiat de la séance de matage.

Du coup, me voilà en train de nager, d’utiliser ma technique de drague aquatique qui doit probablement ne marcher que sur les sirènes… manque de bol il n’y en a pas une seule ici… C’est surement pour cette raison que personne ne vient me voir. C’est alors que le drame se produit… Oui un drame d’une extrême gravité au moment ou un inconnu bouscule une petite Lycéenne sans même lui poser une main aux fesses et ça c’est scandaleux ! Non mais la nana elle met un maillot de bain tout ce qu’il y a de plus sexy et personne ne la respecte en mettant la main là où il faut ! Vous savez, moi je suis un féministe de premier ordre, je respecte la condition des femmes ainsi et comme tout féministe, moi j’aurais respecté cette dame, moi monsieur, j’aurais mis la main parce que rien n’est plus important que la notion de respect.

Bref… Après cet accident, je me décide à jouer les preux chevaliers en allant secourir la petite princesse qui est loin de ressembler à Blanche Neige. Ouais… Elle au moins, elle a des seins pas comme ces princesses probablement consanguines à force de se marier avec leurs frères. Tendant la main, je lui demande alors si elle va bien avant de lui rappeler qu’il ne faut pas courir sur le bord de la piscine. Et oui on vous le repète sans cesse mais vous jouez les rebelles et vous n’écoutez pas ! Ben voilà… Finalement on le comprend que quand on a bobo, comme les gosses qui mettent leur main dans la porte jusqu’au jour ou ils se font pincer, je vous jure qu’après ils ne recommencent pas.., A moins que cela ait réveillé en eux un délire sadomasochiste mais ça reste une minorité.

Ainsi, la demoiselle m’apprend qu’elle s’est surement foulé la cheville, chose qui arrive parfois mais qui est quelque peu génant parce que mine de rien… C’est vachement utile une cheville. On peut faire un paquet de choses avec. La regardant, je la vois me faire un jolie sourire. Bon j’avoue que sur le moment j’étais plus concentré sur sa poitrine mais bon… Un sourire c’est déjà ça car comme on dit chez moi, femme qui sourit… Femme qui jouit. Enfin… vu le nombre de filles que j’ai fait sourire je crois que leurs amants ont dû être content…  Bref, elle me demanda si j’étais prof et me donna son nom… Hikari… Ok Mais pourquoi j’ai pas lu ce fichu carnet de présence, j’aurais put lui faire du chantage !

« Je suis le professeur Onizuka, j’enseigne l’éducation civique à Mishima et toi tu es…Lycéenne ? »

Je la regardais s’agripper à moi comme elle le pouvait c’est alors que je posai ma main sur son postérieur. Non pas pour toucher mais tout simplement pour la soulever et la porter façon princesse. Ça c’est la classe non ? Elle était plutôt légère la gamine… Encore une qui doit se faire vomir après chaque repas… Mais putain c’est quoi cette poitrine… A son âge ce n’est pas normal ! Je suis sûr que c’est à cause de tous ces OGM ça fait n’importe quoi à nos jolies petits corps.

« Je vais te trouver un endroit ou t’assoir et après je regarderai ta cheville. Dis-moi t’as un petit copain ? Non c’est juste pour contacter quelqu’un pour venir te chercher quoi. »

Comment ça de quoi je me mêle ? Oui je sais normalement j’aurais dû lui parler de ses parents mais avant toute chose, il faut que je me renseigne. Non pas que j’ai peur de me faire taper c’est plutôt l’inverse… Noyer un second type dans la baie de Tokyo quelques jours après mon arrivée c’est pas vraiment Great…

Professeur d'éducation civique ? Était-ce une blague ? Il n'avait pas du tout l'air d'être ce genre de professeur. Enfin, les apparences, toujours les apparences. Quoi que mes soupçons se renforcèrent bien vite. Il paraissait aimable, serviable et tout à fait fait charmant à première vu et le fait qu'il me porte aurait sûrement renforcer cette belle image de lui, enfin s'il avait placé sa main autre part. Qu'elle jeune femme n'a jamais rêvé de se faire porter telle une princesse dans les bras d'un bel homme au corps musclé ? Et bien aujourd'hui j'avais la chance de vivre ce moment mais... une main. Une seule main mal placée. Je n'étais pas folle après tout. Je sentais bel et bien la main du serviable professeur sur mes fesses. Et le voilà se trahissant un peu plus. Déjà, une minute plus tôt, alors que je lui souriais et me présentait, le professeur Onizuka avait, disons, le regard fuyant vers autre chose que mes yeux. Enfin je n'avais rien dis car cela m'amusait plutôt.
Quoiqu'il en soit, j'étais dans les bras de la seule personne à avoir voulu m'aider et pour cela je pouvais bien lui laisser la petite récompense qu'il s'était accordée.
Je me laissais alors transporter jusqu'à aux vestiaires où Onizuka me déposa sur un banc. J'allongeais ma jambe blessée devant moi, ne pouvant réprimer un petit rictus de douleur. C'était désagréable, ça faisait mal. Mais vous devez savoir ce qu'est la douleur non ? Personne n'a vécu sans jamais ressentir de douleur. C'est impossible, donc vous comprenez cette sensation de mal-être que l'on ressent à ces instants.
Je regardais de nouveau le professeur et vis son regard toujours posé sur ma poitrine. Quelle idée avais-je eu de mettre ce maillot ? J'espérais du moins qu'il ne m'avait oublié, perdu dans ses contemplations.
C'est donc d'un claquement de doigts que j'essaie de le ramener sur terre.

« Monsieur ? Je suis là, pas plus bas »

La situation m'amusait tout de même et cela m'arracha un sourire. Comment cet homme pouvait être professeur ? D'éducation civique qui plus est. Ses cours devaient être...  pour le moins originaux je dirai. Cela me donnait presque envie de venir au prochain cours.Après tout, cela pourrait-être drôle non ? Si ses qualités d'enseignements étaient à la hauteur de ce que je voyais à l'instant, cela promettait de belles rigolades en cours. Je me décidais peu à peu à essayer lorsque de très légers tremblements me prirent. En même temps, j'étais trempée et le vent frais qui devait se glisser sous la porte ne m'aidait pas.

« Excusez moi monsieur mais, pouvez vous m'apporter mes affaires ? Elles sont dans le casier juste derrière vous, un peu à votre droite. »

Je lui tendais alors la clé que j'avais gardé en main afin de pouvoir récupérer mes affaires.

« S'il vous plait »

Je rougissais très légèrement en pensant au fait qu'il récupérerait toutes mes affaires, mon blazer, ma chemise, la serviette qui était dedans mais aussi mes sous vêtements. Chose en soit qui ne me gênait pas spécialement car après tout, ils étaient moins osés que le maillot que je portais à l'instant mais... je ne savais pas pourquoi mais j'avais le sentiment qu'avec lui, rien n'était jamais simple. Il en faisait trop, il semblait fier et quelque peu arrogant, un peu trop même. Un homme tout à fait fascinant mais qui pouvait être dangereux pour son entourage. Je ne parlais pas du fait qu'il soit un type mauvais, non, il ne me semblait pas en tout cas et puis s'il me voulait du mal, il l'aurait déjà fait. Nous étions seuls dans le vestiaire quand même. Je parlais plutôt de belles catastrophes qu'il pouvait commettre, volontairement ou non. Un prof pas banal en tout cas et qui me donnait envie de le connaître un peu mieux.

Bon… Je sais qu’en tant que professeur,  la décence et surtout une plainte pour attouchement sur mineur serait du plus mauvais effet sur mon CV qui n’avait pas besoin de plus pour faire pâlir n’importe quel repris de justice. Et puis…Cela faisait à peine une semaine que j’avais rejoint ce lycée, ce serait triste de se faire virer maintenant alors que j’ai enfin accès à des jeunes filles d’âges mures et plus à des collégiennes comme c’était le cas auparavant. En tous les cas, ma main posée sur ses fesses ne semblait pas la déranger. Ou alors elle n’osait pas le dire, de peur que je ne la lâche et la laisse seule à son triste sort.

Bon c’est le moment de dire ce que j’en pense non ? Et bien je dois l’avouer, elles sont bien fermes, ça aurait été regrettable de ne pas l’avoir su non ? Maintenant je peux rajouter au dossier de la jeune fille : « Hikari à des fesses très agréables ce qui pourrait lui être très utile dans sa vie professionnelle en cas de perfectionnement dans la section : promotion canapé ».  Du plus bel effet n’est-ce pas ? Ben oui vu qu’elle ne vient pas à mes cours, faut bien que je mette quelque chose sur son bulletin du premier trimestre non ?

Alors voilà, ce n’était pas de la perversité, juste une façon de mieux connaitre une élève qui sèche mes cours. Oui c’est pédagogique ! Voilà, vous comprenez mieux. Ainsi, je l’emmène donc dans les vestiaires, seul endroit un minimum intéressant… Enfin je veux dire… avec des sièges quoi. Non parce que le vestiaire des filles ce n’est pas désagréable, surtout si l’une d’entre elle a oublié ses sous-vêtements dans un casier. Allez, une fois qu’elle est partit, j’organise une fouille intégrale du vestiaire.  Bref, ainsi déposée sur le banc, je la fixe enfin… Surtout son décolleté avant qu’elle ne se mette à claque des doigts pour me dire quoi ? Que son visage était plus bas… Hum… C’est le moment de chercher une excuse.

« De quoi ? Non je regardais ton tatouage, c’est un faux j’espère ? Parce que tu es mineur et en théorie les tatouages c’est interdit sans une autorisation parentale et je ne vois pas tes parents dire : Oui je veux que ma fille ait un tatouage au-dessus des seins. Bon… Même si je dois avouer que ça te va bien et que ça te donne un petit côté sexy qui n’est pas désagréable. »

Eh ! C’est qui le patron ? Vous l’avez vu le petit compliment en plein milieu de la remontrance ? Pas mal d’ailleurs l’excuse non ? Voir si c’est un vrai… franchement, comme si les tatouages Malabars ça donnait cet effet-là ! Donc je m’en suis sorti ce qui est plutôt pas mal alors que je regarde sa cheville avant de poser ma main de dessus pour la masser délicatement tandis que je la sentit trembler. C’est vrai qu’il ne faisait pas chaud ! Et donc ? Elle veut que je lui donne ses affaires ? Pff égoïste va, moi aussi je suis en maillot et je ne viens pas me plaindre quoique… Si son chemisier est blanc… Avec l’eau ça risque d’être transparent non ? Surtout si par mégarde je ne retrouve pas son soutient gorge. D’ailleurs je viens de penser à un truc ! Si elle doit se changer et au vue de sa cheville foulée… Elle risque de devoir le faire devant moi ! Eh… C’est bon ça ! C’est un juste remerciement pour l’avoir sauvé des eaux…Ouais comme Moise.

«  Ok… Pas de soucis, je suis ton professeur… Enfin peut être… faudra que je vérifie…  alors tu peux me faire confiance. »

Mais oui c’est ça, fais-moi confiance, si j’avais pu préparer mon coup, ne t’en fais pas que j’aurais installé des dizaines de caméras dans ce vestiaire. Je pris alors la clef, me dirigeant vers son casier… Enfin vers le mauvais casier avant de finalement trouver le sien après plusieurs tentatives infructueuses.  J’ouvre alors la caverne aux merveilles d’Aladin sans même avoir de diamant d’innocence et tombe sur un blazer… un chemisier… Une jupe… D’ailleurs très courte, ils ont sacrément du gout dans ce lycée et enfin… Ses sous-vêtements. Un peu décevant… Même pas de string ? A son âge toutes les jeunes demoiselles devraient en porter, c’est une question de respect ! Oui encore le respect, vous me connaissez maintenant, j’y tient beaucoup.

Bon, je lui donne d’abord sa jupe, puis son chemisier, je pose le blazer sur le banc et lui tend sa culotte. Je dois l’avouer, j’aurais bien voulu la renifler mais devant ses yeux…ça risquerait de la choquer. Me tournant, dos au casier, je faisais glisser le soutient gorge dans la poche arrière de mon short de bain. Et oui, voilà pourquoi il ne faut jamais porter de moule-kiki…

«  C’est bon ? Tu as tout ? »

Bien sûr que non qu’elle n’a pas tout ! De toute façon elle rêve, son soutif je compte bien le garder…

«  T’es en quelle classe en fait ? D’ailleurs tu ne m’as pas répondu concernant la personne à prévenir. Ton petit copain doit être inquiet. Je ne voudrais pas qu’il se fasse de fausses idées. Après tout, je viens quand même d’avoir ta culotte entre mes mains, ça peut prêter à confusion ! »

Vous le sentez le mec qui ne lâche pas l’affaire ? Et bien oui c’est moi et je suis Great !