Le début vers une nouvelle vie (PV Kumiko)

En cet bel après midi ensoleillé, Carmody parcourait les rues bondé du marché de la place centrale. Il n'avait pas vraiment de marchandises à acheter ou de choses urgentes à acquérir, mais il aimait se balader et flâner dans le quartier marchand. Il avait quelques belles gemmes sur lui qu'il avait fait évaluer il y a peu à un bon prix. Des gemmes obtenu lors d'une pérégrination dans un ancien temple.

Le prêtre arriva sur la place centrale ou les marchands rivalisaient d'audaces pour attirer le client et vendre leurs marchandises. Il y avait pas mal de marchands d'esclaves de toutes sortes. Certains étaient renommé pour les créatures de qualité ou rare qu'ils vendaient, d'autres étaient spécialisé dans les créatures exotiques. Même si la plupart n'étaient pas des marchands très riches, il n'y avait qu'a voir l'état des créatures vendues, parfois sous alimenté, battu ou malade.

Le regard du prêtre s'arrêta sur certains esclaves. La plupart faisait pitié à voir, mais l'esclavage était légale et il n'y avait rien a dire la dessus. A un moment, il aperçut une jeune femme aux cheveux rouges en assez piteux état. Il resta à la regarder un instant, avant de se décider.

- Combien pour cette jeune femme ?

Le marchand lui dit le prix, pas très élevé. Le marchand était plus occupé à négocier des créatures plus chers avec des clients plus riches que le père.

- Bon écouté, c'est d'accord, je l’achète

Le prêtre sortit trois gemmes de sa poche, Le marchand examina attentivement les pierres avant de serrer la main du prêtre.

- Vendu, elle est a vous !

Le marchand, sortit les clés des chaines de la jeune femme, il la libéra avant de lui signifier de s'en aller. Le prêtre souria à la jeune femme et lui tendit la main.

- Comment t'appelles tu ? Moi c'est John.

Carmody observa la jeune femme de bas en haut.

- Bon, on va essayer de te trouver des vêtements corrects, allons y.

C'est une bien triste journée qui recommence pour moi, un tel cauchemar je n'en peux plus de le supporter, mais malheureusement me voila entreposée sur un stand d'esclave, mon ancien proprio a décider de ce débarrasser de moi une bonne fois pour toute, elle espérait surement que je tombe sur ce genre de personne, malhonnête et que j'aille crever en enfer par la suite, parce que mon état était vraiment critique, bref les passants eux s'en foutent pas plus que ça, car le marché d'esclave est légal sur terra. J'irais bien me réfugier dans un endroit ou l'esclavagisme n'existe pas ! Mais pour l'heure me voila retenue a cause de ses chaines.

Un prêtre cependant va voir le marchand, en disant qu'il veut m'acheter moi ? Mais pour qu'elle raison ? Est-ce de la pitié ? Ou bien tout simplement pour me débarrasser de ses chaines infectes. J'espère qu'il ne sera pas super dur avec moi, mais de toute façon j'ai perdue l'envie de parler aux gens, et je suis devenue craintive,  l'esclavagiste en question me libère donc et me fais signe de dégager avant qu'il ne change d'avis. Je suis donc le prêtre en étant un peu distante. Il faut d'abord que je vois si il a de bonne ou mauvaise intentions a mon égard. Mais le voila qui me tend la main et il se présente ? C'est plutôt inattendue. Alors un peu craintive au début je n'ose pas trop m'approcher mais toutes fois, je prend rapidement sa main...

- Comment t'appelles tu ? Moi c'est John.
-k... Kumiko...

Dis-je en bégaillant, car j'ai peur de lui pour l'instant, et je suis souffrante je peux m'écrouler d'une minute a l'autre, ces gens sont vraiment ignoble de disposer des vies comme ça ? Je suis pas d'accord du tout moi ! Oh que non. Mais voila que notre Mystérieux prêtre m'observe de haut en bas, et constate l'état dans le quel je me trouve  actuellement. Il me propose d'aller chercher une tenue correcte ? Aurais-je affaire a une personne digne de confiance pour une fois ? Je ne peux pas encore en conclure mais ce serait une bonne chose si c'était le cas. 

- Bon, on va essayer de te trouver des vêtements corrects, allons y.
-.....

Je n'ai même pas la force de dire, quelque chose que j'ai des larmes aux yeux, toutes fois j'accepte de le suivre et on se dirige alors vers le marcher ou il vendent tout un tas de textiles, de vêtements et autres. Mais je n'ai pas d'argent pour payer ça, tout ma été voler lors de ma capture, j'ai été totalement réduite en esclave. J'espère vite quitter cet endroit charger de mauvais souvenir. 

La jeune femme était hésitante et craintive, ce qui était  normal vu ce qu'elle avait du vivre. Le prêtre arriva devant une échoppe qui vendait des vêtements. Il regarda les articles vendues exposé sur le stand. De temps en temps il regardait la jeune pour voir si les vêtements correspondaient à sa taille. Carmody prit soin de demander l'avis de la jeune femme avant d'acheter plusieurs types de vêtements différents : robe, t shirt, chemise, jupe, tunique, etc.

- Voila, avec sa tu auras plus chaud.

Le prêtre acheta également des chaussettes, des bas, des sous vêtements et des chaussures. Il l'aida à enfiler ses nouvelles chaussures, puis il retira sa grande veste de cuir et la déposa sur les épaules de la jeune femme.

- Bien, il est temps de retourner à la maison, je vais te faire à manger et tu pourras te reposer.

Ils sortirent du brouhaha du marché, empruntant des rues annexes moins fréquenté. Le prêtre n'habitait pas loin, à dix minutes de marches, dans un coin un peu excentré. Ils arrivèrent devant la petite église du prêtre, église de style classique, bien conservé. Le prêtre ouvrit le portail en fer et invita la jeune femme à entrer. Puis après avoir traversé le joli petit jardin, le prêtre ouvrit les portes de l'église.

- Voila ton nouveau chez toi, pour l'instant...

Carmody traversa la salle de l'autel, se dirigeant vers le fond de la salle, invitant la jeune femme à le suivre. Il descendit les escaliers en colimaçon et il ouvrit la porte de droite qui donnait sur la cuisine.

- Assieds toi

Le prêtre, réchauffa de la soupe et il amena le bol à la jeune femme, accompagné d'un morceau de pain et d'un plat avec de la viande poulet et des pommes de terre. Puis Carmody s'assit en face de Kumiko.

- Saches que tu es libre désormais

Celui ci fait preuve d'une grande générosité, on entre alors dans une échoppe ou le type a l'acceuil me regarde bizarrement mais vu qu'il voit que je suis accompagnée, il me fout la paix et le prêtre m'aide a m'habillée comme si j'étais quelqu'un de normal, je peux enfin goutter a des vêtements chauds, douillet. Contrairement a ce que j'avais avant : Des morceaux de tissus et pas des plus confortables. Je me demande pourquoi il fait tout ça pour moi, mais je lui en suis extrêmement reconnaissante même si je suis craintive toujours, je me méfie et chaque fois qu'il y a des gens pas net dans la boutique, je me " rapproche de lui " en regardant discrètement la personne concernée. Mais ma fois les achats se passent sans problème apparent.

- Bien, il est temps de retourner à la maison, je vais te faire à manger et tu pourras te reposer.
-D' d'accord... 

Rentrer a la maison ? Je n'ai pas spécialement de maison, mais lui il doit certainement parler de la sienne ? Je suis curieuse de voir comment vive les prêtres et je n'ai pas attendue ma réponse, on quitte le brouahaha des marcher de nexus pour ce rendre dans un coin isoler et très sympathique, loin de toutes ses horreurs de la ville. L'église dans la quel on va est particulièrement bien conservé surement  parce qu'ils font souvent des travaux d'entretiens, avant j'étais tuée a la tache et c'est moi qui faisais tous leurs sales boulot. Il y a qu'a voir l'état de mes mains pour comprendre que ce n'étais pas de tout repos avant. On passe alors le portail et on rentre dans l'église, le calme qui y repose me laisse sans voix. C'est si calme. Cela me fait déjà le plus grand bien, je suis le prêtre dans une cuisine.

- Voila ton nouveau chez toi, pour l'instant...
-J Je n-ne sais p pas o ou aller... Je suis complètement perdue.

Dis-je alors que celui ci descends un escalier en colimaçon on arrive effectivement dans la cuisine, et il m'invite a s'assoir pendant qu'il prépare un bon repas bien chaud, avec les instrument de cuisine, d'ailleurs j'ai complètement oubliée comment il fallait s'y prendre puisque mes tortures etaient pour la plus part d'ordre sexuel. Et lorsqu'on me donnait des trucs a cuisiner il fallait le faire en cinq minute et du coup c'était infecte. Généralement,  je m'assois donc a la table et je le regarde faire, une fois qu'il vient avec le repas il m'annonce ce que j'ai temps esperer jusqu'a maintenant.

- Saches que tu es libre désormais
-L-libre ?

Dis-je en étant très surprise, je n'ai qu'une envie : Pleurer, je n'ai pus supporter ses mois et voila que je finis par craquer de soulagement, que tout ceci soit terminer. Je peux en effet remercier le prêtre pour ce qu'il a fait et jamais je ne l'oublierais. Mais pour l'heure je n'arrive pas a contrôler mes émotions et mes larmes coules a flots, je peux enfin retirer ce collier que j'avais au coup qui faisais de moi une animal et non une humaine comme tout le monde. Je retrouvera mes pouvoirs progressivement. Mais pour l'heure je suis encore trop faible, je pleure de joie et de tristesse, c'est assez difficile a définir. Je suis enfin libérer. C'est d'un soulagement. 

-J-je ne sais pas c comment j je dois v vous remercier...

- Tu peux rester ici tant que tu voudras, il y a une chambre de libre, tu n'a qu'a la prendre.

La jeune femme se mit à pleurer, surement des larmes de joie.

- Allons, allons, ce n'est pas la peine de pleurer.

Carmody prit un mouchoir propre et il essuya les larmes de la jeune femme. Elle avait le visage tuméfié et sale par endroits, du aux mauvais traitements de son ancien maître.

- J'ai toujours détesté l'esclavagisme, de temps en temps, quand mes finances me le permette, je racheté des esclaves auquel je rends la liberté. Ils me tiennent un peu compagnie, pendant quelque temps, le temps de se refaire une nouvelle vie. Pour me remercier, dis tu ? Quand je te verrais heureuse, souriante et en bonne santé, prêtre à refaire ta vie, la je serais remercié...

Le prêtre se leva et il sortit une bouteille de vin ainsi qu'un verre. Il se rassit avant d'ouvrir la bouteille et de se verser un verre.

- Tu devrais manger tant que c'est chaud.

Il referma la bouteille avant de boire une gorgée du liquide. La jeune femme pourrait l'aider dans l'entretien de l'église et du jardin, durant le temps ou elle resterait ici. Il fallait d'abord qu'elle se requinque avant tout.

- Quand tu auras fini, je te montrerais ta chambre et tu pourras prendre une douche si tu veux.

- Tu peux rester ici tant que tu voudras, il y a une chambre de libre, tu n'a qu'a la prendre.
-J-je vous remercie infiniment...

dis-je alors que celui ci m'avais vraiment rendu ma liberté je lui dois beaucoup. Mais on continue de parler cependant alors je me contente de répondre a ses questions même si j'ai bien du mal a me calmer, c'est compréhensible après tout tout ce qu j'ai endurée ses dernier mois est tout bonnement sans égal tellement c'était abominable. Il sors un mouchoir et aide a me sécher mes larmes.

- J'ai toujours détesté l'esclavagisme, de temps en temps, quand mes finances me le permette, je racheté des esclaves auquel je rends la liberté. Ils me tiennent un peu compagnie, pendant quelque temps, le temps de se refaire une nouvelle vie. Pour me remercier, dis tu ? Quand je te verrais heureuse, souriante et en bonne santé, prêtre à refaire ta vie, la je serais remercié...

-J j'y c compte bien... !v vous avez un objectif n noble...  N N'ayant plus rien a faire, en tê te peut être pourrais-je vous aider ?

Il ce sers du  vin a boire, et il referme la bouteille il me dit alors que je devait manger pendant que c'est chaud. Un repas chaud ? Je n'ai pas manger ça depuis longtemps ! Et qui plus est c'est délicieux ce qui l'a préparer lorsque je porte la fourchette a ma bouche, une larme coule de mon visage. ça me change du pain en bouille et de l'eau qu'on me sers habituellement, ou ses reste de pain dur aussi c'est pas mal pour eux, vu que c'est mauvais pour moi. Je me contente de manger ce bon repas chaud et et ...  Je suis trop contente de goutter un tel repas ! Je crois rêver ?  J'ai une chance pas possible, une fois que j'ai  finis le repas je le remercie pour sa cuisine et il me répond.

je te montrerais ta chambre et tu pourras prendre une douche si tu veux.
-J je ne dis p pas non a l'idée de m me laver... Toutes fois les plaies risques de cee réveiller...

Dis-je en me levant, avec difficulté, je me casse la figure tellement je suis fatiguée, et mal en point. J'ai bien du mal a me relever toute fois le fait de manger ma fait redonner quelques sensation et force. Même si c'est loin d'être suffisant. 

-A aie ! J je n'ai plus assez de force...  Même pour utiliser mes pouvoirs je ne peux plus. 

- Oui si tu veux, tu pourra m'aider à entretenir l'église, il y a toujours pleins de choses à faire.

La demoiselle semble apprécier le plat que je viens de cuisiner. Je ne suis pourtant pas vraiment doué pour cela. Je sais juste faire le minimum, sans que sa ne soit trop mauvais. Mais vu qu'elle est maigre et sous alimenté, elle ne devait pas manger tous les jours à sa faim. On allait pouvoir déjà remédier à cela. Après avoir fini de manger, Kumiko tente de se lever mais s'effondre trop fatigué pour marcher.

- Tu es encore faible, je vais t'aider.

Je la soulève alors, la portant a bout de bras. Comme elle sous alimenté, elle ne pèse pas bien lourd. Je sors de la cuisine et je traverse le couloir avant d'entrer dans une chambre. La je dépose la jeune femme sur le lit. Dans la pièce il y a une armoire, une table de chevet, une table avec un miroir dans un coin (parfait pour une femme) et un évier.

- Voila ta nouvelle chambre. Elle est spécialement aménagé pour une femme, cela m'est arrivé d'en héberger dans la passé.

Je regarde ses mains, sales et abimés. Je prends un linge propre et je remplis une petite bassine d'eau chaude. Je trempe le linge dedans et je posa la bassine par terre. Puis je  m'assieds a coté de la jeune femme avant de nettoyer délicatement ses mains.

- Tes mains sont toute abimés ! Je vais devoir appliquer des onguents pour les soigner

Une fois les mains de Kumiko nettoyés, je vais chercher un onguent spécial et je reviens dans la chambre. Je me rassieds et passe doucement une sorte de crème sur la peau de ses mains.

- Je vais prendre soin de toi, pour que tu soit en parfaite santé

- Tu es encore faible, je vais t'aider.

Celui ci vient alors m'aider, il me porte sur son dos avec pas grande difficulter mais vue que je suis pas très bien nourrie dans mon ancien lieu cela explique, le fait que j'ai perdue beaucoup de poids. On va alors dans une sorte de chambre avec un lit un évier et tout ce qu'il faut pour une fille en faite. Il m'explique deux ou trois bricoles concernant sa chambre.

- Voila ta nouvelle chambre. Elle est spécialement aménagé pour une femme, cela m'est arrivé d'en héberger dans la passé.
-Je je vous remercie...

Dis-je en souriant faiblement, ce dernier me pose alors sur le lit et va remplir un bassin d'eau chaude afin certainement de me laver un peu et j'ai aussitôt ma réponse,  positive en plus.

- Tes mains sont toute abimés ! Je vais devoir appliquer des onguents pour les soigner

Des onguents ? Je ne sais pas trop ce que c'est, et puis ce n'est pas grave, peut être va t-il me montrer vu qu'il va m'aider a me soigner. Il commence alors a nettoyer les plaies, et a enlever la couche de sale qui était dessus. Je retrouve une certaine couleur, même si les traces ne sont pas effacées cela partira avec le temps. Et d'ailleurs ce lit est très confortable, je n'ai pas été dans un lit depuis ma capture, je n'ai eu droit qu'au sol froids des pièces et cela m'étais interdit. Il part alors chercher ce fameux onguents, c'est une sorte de crème qui a certainement pour but de revigorer la peau ou quelques chose comme ça.

- Je vais prendre soin de toi, pour que tu soit en parfaite santé

J'incline la tête en guise de remerciement, mais le sommeils me gagne, je peux enfin peut être me reposer ? Même si c'est impoli je suis épuisée et je n'y résiste pas, en seulement quelques minutes me voila plonger dans les songes. Je commence alors a récupérer des forces, et je dors a poings fermer mon sommeil est si profond, qu'il en sera dur de m'en tirer avant au moins deux jours. Car vu le temps au quel  je suis restée éveiller une nuit ne suffira pas a me redonner espoir. Néanmoins sur mon visage, il a l'air apaiser que toutes ses souffrances soient finit. Et il affiche un petit sourire, ce sourire qui fait chaud au coeur. Celui qui fait de nous un enfant quand on dors.

Alors que je finis d'appliquer un onguent réparateur sur les mains de ma nouvelle protégée, je la vois s'endormir. Je l'allonge alors sur le lit, avant de tirer les draps et la couverture et la glisser dessous. Puis je recouvre la jeune femme avec un drap et une chaude couverture. Je reste la regardait en soupirant, caressant son front. Elle n'a pas de température, c'est déjà sa.

- Pauvre fille, tu as du en baver dans la vie...Mais maintenant c'est fini, tu peux dormir tranquille

Je reprends mes affaires avant de sortir de la chambre pour la laisser dormir. Je referme la porte et je retourne déposer la bassine et l'onguent dans la salle de bain au fond de la pièce. L’après midi passa bien vite et je vaquait à mes occupations habituelles : faire le ménage, accueillir des pèlerins et des fidèles, étudiait. Le soir venu, je fermais la porte de l'église et je retournais dans mes quartiers. Je passais la soirée à lire et étudier dans le salon, prés du feu de la cheminée. je me couchais ensuite après avoir bu un verre de whisky.

Le lendemain matin, je me levais plus tard, sur les coups de 9 h. Après m'être lavé et avoir pris mon petit déjeuner je préparais un plateau repas avec du pain, du riz et de la viande avec un verre de jus d'orange. Je pénétra dans la pièce et je posais le plateau en silence sur le bureau. Elle dormait toujours, visiblement très fatigué.

Je la laissais dormir et je passais une autre journée seul avant d'aller me coucher. Le lendemain, je préparais un autre plateau, après avoir repris le précédent. Je rentrais dans la pièce en silence et je posais le plateau repas sur la table de chevet. C'est alors qu'elle se réveille.

- Bonjour, alors bien dormi ? Tu dois avoir faim, tu as dormi presque deux jours !

Durant ces deux dernier jours, je n'ai fais que dormir et au matin je me réveille enfin ! Je me réveille dans cette chambre, ce n'était visiblement pas un rêve car mon esprit continue d'être torturer dans mes rêves, quand je serais habituée a cette liberté soudaine, je pense que ces cauchemar disparaitrons avec le temps, mais pour l'instant ce n'est pas très important j'ai faim ! Mais je n'ai pas a attendre beaucoup car le prêtre arrive avec un repas. Il en profite également pour me saluer. J'ai reprise un peu de couleur et certaines éraflures ont disparue depuis le temps que je dormais.

- Bonjour, alors bien dormi ? Tu dois avoir faim, tu as dormi presque deux jours !
-B bonjour. Deux jour ? ? ? A ce point ? Je devais vraiment être fatiguée... 

je prends alors le plateau qu'il me tend et je commence a manger , un bon repas chaud, j'en avais vraiment besoin ! Et puis sa cuisine contrairement a ce que j'ai eu est délicieuse. Je ne vais pas m'en pleindre et je lui fais même avoir mes anciennes conditions d'esclave pour qu'il sache a quel point j'étais maltraitée.

-Vos repas sont délicieux, a coté de ça je mangeais du pain parfois réduit en bouille dans de l'eau. Et j'étais enchainée au mur et non dans un lit. 

Dis-je en lui souriant, tout ceci est finit et je profite désormais de son hospitalité afin que je puisse guérir, je ferais peut être bien de lui parler de mes pouvoirs. Si ils n'étaient pas au courant j'aurais couté beaucoup plus chère que 3 gemmes. A la fin de mon repas je le remercie pour ce plat et je lui explique donc ce dont je suis capable. 

-Dites, vous vous souvenez quand je me suis écroulée l'autre soir. je vous avais parler de pouvoir n'est-ce pas ? J'en ai deux a ma connaissance. Le premier c'est que je peux devenir invisible, et le second je peux prendre l'apparence de n'importe qui. Même de vous si je le désirais. Malheureusement mes ravisseurs, m'ont mit un collier au tour du cou avec de l'obsidienne, qui annule mes pouvoirs...

La remarque de la jeune femme me fit rire.

- Oui, oui, tu as bien dormi deux jours

Kumiko mangea avec entrain, ne laissant pas une miette du repas que je lui avait préparé.

- Vraiment ? je ne suis pourtant pas très doué. Mais je suppose que après ce que tu mangeais durant ton esclavage, sa doit être un festin. Merci en tout cas !

- C'est que du naturel venant du jardin, j'ai un petit potager ou je cultives quelques légumes.

Je prends ensuite un air plus grave.

- En tout cas, maintenant ton calvaire est fini, tu vas pouvoir mené une vie normale

Je regardais ensuite ses mains et plus particulièrement la paume, plus fragile et délicate, la ou la peau plissé était la plus sensible. je constatais avec satisfaction que les diverses entailles et blessures avaient presque cicatrisé.

- Dans deux ou trois jours, tes mains seront comme avant, presque sans cicatrices. Cependant il vaut mieux que tu ne ne manipule pas trop de choses avec, cela va accélérer la guérison. Je vais te remettre de l'onguent.

Je l'écoutais ensuite parler de ses pouvoirs tout en appliquant une nouvelle fois l'onguent spécial sur ses mains. C'est vrai qu'elle m'en avait parlé quand on était dans la cuisine, il y a deux jours de cela. Mais elle n'avait pu continué, car elle était trop faible et puis ce n'était pas vraiment le moment pour elle.

- Vraiment ? Eh bien sa doit être pratique. C'est curieux...Mais ou as tu appris cela ? J'ai un peu d’expérience en magie, bien que je sois un novice et  tu sembles trop jeune pour les avoir appris. Ou alors tu es vraiment très doué.

Je soulevé ces cheveux, me rapprochant afin de mieux examiner le collier en question. C'est vrai que j'avais aperçu ce collier, mais je n'y avais pas prêté attention jusque ici. En effet, le collier était fait dans de l'argent contenant des pierres d'obsidiennes magiques.

- Je vois... mes connaissances ne sont pas assez grandes pour enlever ce collier. Il faudrait déjà pouvoir le désenchanter, avant de le couper. J'ai un ami qui pourrait nous aider. C'est un mage de l'ordre assez puissant. Le sort qui est appliqué sur ce collier parait assez faible. je vais le contacter quand je pourrais.

- En attendant, tu es ici chez toi. Fais comme bon te semble. Il y a une salle de bain avec une douche et une baignoire au fond du couloir. Ma chambre est juste en face de la tienne, si tu as besoin de me parler. Tu peux également aller dans la salle d'études, il y a bon nombre de livres. Peut être trouveras tu quelque chose qui t’intéresseras. Enfin il y a un salon avec des sièges confortables prés de la cheminée, tu peux venir y lire un livre, étudier, jouer ou venir discuter avec moi si tu veux.

- Si tu as d'autres blessures sur le corps, des entailles ou même des bleues, il te suffit de passer cet onguent dessus. Trois applications par jour et quatre jours après, il n'y paraitra plus rien.

- Vraiment ? je ne suis pourtant pas très doué. Mais je suppose que après ce que tu mangeais durant ton esclavage, sa doit être un festin. Merci en tout cas !

-Du pain et de l'eau parfois que de l'eau, donc a coté votre cuisine est délicieuse.

- C'est que du naturel venant du jardin, j'ai un petit potager ou je cultives quelques légumes.

-Ah oui ? Vous avez un potager ? 

Dis-je en écoutant le prêtre parler, visiblement une conversation s'engage entre nous, du moins c'est bien parti ! Il prend un air plus grave et le sujet change alors.

- En tout cas, maintenant ton calvaire est fini, tu vas pouvoir mené une vie normale

-J je vous remercie, même si mes rêves continuent d'être torturer je suppose que ça partira quand je serais revenue "normalement".

Il regarde ensuite mes mains dans l'espoir que ça ce cicatrise et il m'informe de quelque chose.

- Dans deux ou trois jours, tes mains seront comme avant, presque sans cicatrices. Cependant il vaut mieux que tu ne ne manipule pas trop de choses avec, cela va accélérer la guérison. Je vais te remettre de l'onguent.

-D' d'accord.

Il m'applique une fois de plus de cette creme sur mes mains, cela me procure un soulagement, aucune crème n'est en réalité pour le moins efficace mais c'est un soutient supplémentaire.

- Vraiment ? Eh bien sa doit être pratique. C'est curieux...Mais ou as tu appris cela ? J'ai un peu d’expérience en magie, bien que je sois un novice et  tu sembles trop jeune pour les avoir appris. Ou alors tu es vraiment très doué.

-Oh vous savez, j'ai commencer très tôt, mais  avec ce collier je ne peux pas faire grand chose puisque mes pouvoirs sont en faite neutraliser par l'obsidienne.

Celui ci regarde alors ce fameux collier qu'il m'est impossible de retirer comme ça sinon je l'aurais déjà faite.

- Je vois... mes connaissances ne sont pas assez grandes pour enlever ce collier. Il faudrait déjà pouvoir le désenchanter, avant de le couper. J'ai un ami qui pourrait nous aider. C'est un mage de l'ordre assez puissant. Le sort qui est appliqué sur ce collier parait assez faible. je vais le contacter quand je pourrais.

-D d'accord et c ce mage o on peut lui f faire confiance ? 

- En attendant, tu es ici chez toi. Fais comme bon te semble. Il y a une salle de bain avec une douche et une baignoire au fond du couloir. Ma chambre est juste en face de la tienne, si tu as besoin de me parler. Tu peux également aller dans la salle d'études, il y a bon nombre de livres. Peut être trouveras tu quelque chose qui t’intéresseras. Enfin il y a un salon avec des sièges confortables prés de la cheminée, tu peux venir y lire un livre, étudier, jouer ou venir discuter avec moi si tu veux.

-O oui oui je vous remercie d'ailleurs, ce que vous faite je l'apprécie grandement.

- Si tu as d'autres blessures sur le corps, des entailles ou même des bleues, il te suffit de passer cet onguent dessus. Trois applications par jour et quatre jours après, il n'y paraitra plus rien.

-d'accord j'essayerais de ne pas oubliée je vous remercie, quand j'irais mieux je pourrais vous aidez mais la je pense que je suis encore faible.

- Oui, la pierre d'obsidienne à un pouvoir naturel qui permet d’atténuer voir de contrer la magie. C'est pourquoi tu ne pourras utiliser la magie avant d'avoir ôter le collier.

- Oui, ne t’inquiètes pas, c'est un vieil ami qui a les mêmes positions que moi sur l'esclavagisme. Tu n'as rien à craindre.

La jeune femme semblait craintive et méfiante envers les étrangers. mais quoi de plus normal après qu'elle ait subit tout ses mauvais traitements. Je posais ma main sur sa tête et je caressais ses cheveux.

- Oui, il faut donc que tu reprennes des forces. Si tu as faim tu peux te servir dans la cuisine, si tu sais cuisiner. Sinon tu peux me demander, je pourrais éventuellement t'apprendre le peu que je sais.

- Sa fait plaisir de voir que tu as de l’appétit

Ce serait rapide, car je n'avais pas de quoi écrire un dictionnaire de recettes de cuisine. Mais si elle ne savait pas, sa lui serait toujours utile.

- Ah j'oubliais, il y a une autre personne qui vient à l'église de temps en temps, le père François. il s'agit de mon disciple qui doit avoir a peu prés le même âge que toi. Il est très gentil mais très timide envers les filles, ne t’étonne donc pas si il parait fuyant et si il t’évites au début. Je crois même qu'il en a peur.  Il vient ici trois jours par semaine. Il viendra demain.

- En tout cas prends tout le temps qu'il te faudra. Je veux te voir en pleine forme !

Je me levais afin de prendre les sacs que j'avais laissé dans le couloir. Je revins dans la chambre avant de sortir les vêtements que j'avais acheté il y a deux jours. Puis je mis les vêtements sur de cintres avant de les ranger dans l'armoire de la chambre de Kumiko.

- Tu auras au moins de quoi te vêtir pendant quelques temps.

Puis une fois fini, je fermais la porte de l'armoire et revins m'assoir sur le bord du lit.

- Bien, que veux tu faire maintenant ? Peut être préfères tu rester encore un peu au lit ? Je peux t'apporter des livres aussi si tu veux. Qu'est ce que tu aimes lire d'habitude ?

On aurait dit un vrai papa poule. Qui aurait peu dire que dix ans auparavant je faisais partie des troupes d'élites de l'armée, ancien Marines puis Legionnaire parachutiste ?

- Oui, ne t’inquiètes pas, c'est un vieil ami qui a les mêmes positions que moi sur l'esclavagisme. Tu n'as rien à craindre.

- v vraiment ? S soit ! Si il peut l'enlever alors...  Je ne dis pas non je ne tiens pas a être privée de mes pouvoirs pour le restant de mes jours.

Celui ci vient me caresser alors mes cheveux en douceur afin certainement de me réconforter. Il recommence a parler et je l'écoute.

- Oui, il faut donc que tu reprennes des forces. Si tu as faim tu peux te servir dans la cuisine, si tu sais cuisiner. Sinon tu peux me demander, je pourrais éventuellement t'apprendre le peu que je sais.

-M Merci pour l'instant ça va aller. Je n'ai pas très faim en faite !

- Sa fait plaisir de voir que tu as de l’appétit

-je n'avais pas mangée depuis quelques jours donc j'avais très faim. 

Il change encore de sujet et cette fois il m'explique alors quelque chose concernant son disciple. J'écoute ses recommandations.

- Ah j'oubliais, il y a une autre personne qui vient à l'église de temps en temps, le père François. il s'agit de mon disciple qui doit avoir a peu prés le même âge que toi. Il est très gentil mais très timide envers les filles, ne t’étonne donc pas si il parait fuyant et si il t’évites au début. Je crois même qu'il en a peur.  Il vient ici trois jours par semaine. Il viendra demain.

-Ah oui un disciple ? J'ignorais cela, merci... Même si il a peur des femmes j'espère qu'il ne me fera pas de mal si on ce croise...

- En tout cas prends tout le temps qu'il te faudra. Je veux te voir en pleine forme !

-Je vous remercie.

Ce dernier ce lève alors et va chercher des sacs dans le couloir, ce sont les vêtements qu'on avait acheter la veille des deux jours et il les ranges dans une armoire.

- Tu auras au moins de quoi te vêtir pendant quelques temps.

-Merci c'est vraiment très gentil.

Une fois finit il revient près du lit et me demande ce que je veux faire ensuite

- Bien, que veux tu faire maintenant ? Peut être préfères tu rester encore un peu au lit ? Je peux t'apporter des livres aussi si tu veux. Qu'est ce que tu aimes lire d'habitude ?

-Et bien en faite je ne sais pas vraiment quoi faire, cette libertée si soudaine me perturbe un peu, mais bon je suppose que ça va passer, j'en ai presque oubliée les rayons du soleil sur la peau... J'irais bien faire un tour dehors !

- Il ne devrait pas avoir de problèmes pour cela, j'essaierais de le voir dés demain. Je lui parlerais de ton collier. Peut être qu'il passeras si il a le temps.

Elle me dit ensuite qu'elle n'a pas très faim pour l'instant. Il faut que son corps se réhabitue à manger sans aucun doute.

- Comme tu veux.

Elle me parles ensuite de son disciple et sa réaction me fait sourire.

- Tu n'as pas d’inquiétude à avoir, c'est l'une des personnes les plus timides que je connaisse. Ce serait plutôt lui qui partirait en courant si il te voit arriver vers lui !

Elle me dit ensuite qu'elle aimerais faire un tour dehors.

- Bonne idée, il fait beau en plus aujourd'hui. Je te laisse te changer, viens me voir en cuisine quand tu auras fini et je te ferais visiter le jardin. Dis moi si tu as besoin d'aide.

Je débarrassais ensuite le plateau repas de la jeune femme, le ramenant en cuisine. Je vidais les restes dans la poubelle, avant de laver la vaisselle ajouté à celle que j'avais oublié de faire, le soir d'avant. Une dizaine de minutes plus tard la jeune femme entra dans la cuisine.