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Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

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John Rosewood

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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 15 jeudi 10 octobre 2013, 14:35:41

Le rouquin attendait patiemment sa rouquine, restant planté là, seul, mais profitant de cet instant seul pour se défouler vraiment un peu. Quand la musique changeait, John la reconnaissait de suite, une de ses préférées qui commençait violemment histoire de bien te foutre dans l'ambiance. Les bras levés, mimant des coups de poings dans le vide et en sautant, de quoi bien te crever en une chanson. Quand il était dans cet état là, limite en transe, on ne l'approchait plus de trop de risques de se prendre un coup, faut dire, quand il est à fond dedans, ce n'est pas qu'un peu et pas que pour la musique si vous voyez ce que je veux dire.

Quetz revenait pile poile au moment où la musique se calmait, laissant place à une très belle voix masculine. Le rouquin frissonnait au contact de sa belle, se laissant faire tout en enlaçant, répondant à son baiser avec la même ardeur et puis...


- Je n’ai plus de culotte…


Bon bah là, vous vous imaginez bien la tronche de John, un air un peu surpris et puis un air mais vraiment de pervers et à votre avis, que va-t-il faire ? Vérifier les dires de la dame bien sûr ! Et d'un petit glissement de doigt, il vérifiait qu'en effet, cette partie un peu humide était libérée. Il en profitait pour caresser l'endroit un court instant avant de remonter sa main pour la poser sur une des fesses de Quetz. Le jeune homme devenait de plus en plus excité, cela se voyait et se sentait aussi. Il s'amusait à passer son index de temps à autres sur son intimité d'une manière assez furtive, cherchant à surprendre sa partenaire, mais surtout pour profiter de ce contact qui lui plaisait énormément.

Et nos tourtereaux continuaient leur jeu de séduction, tout autour les gens dansaient, d'autres couples se collaient et le Dj mettait une ambiance de folie. Son choix de musique n'était pas du tout mauvais et son mix continuait encore, passant cette musique. Les gens bougeaient à chaque kick se faisant entendre, l'ambiance était géniale, mais les deux autres ne se préoccupaient pas vraiment de ça.

"J'espère que tu peux tenir longtemps, car je ne vais pas te lâcher pendant un long moment."


Il lui avait murmuré ça d'une manière bien sensuelle, cherchant lui aussi à la faire grimper. C'est comme un jeu, qui craquera le premier ? En tout cas, la suite se montre plus qu'intéressante. John ne faisait que danser, glisser ses doigts sur les courbes parfaites de la rouquine, venant chatouiller son clitoris quand l'envie lui prendrait. Ses mains passant dans sa chevelure, sa nuque, passant sur ses épaules. Il aimait bien effleurer les pointes de ses seins, laissant parfois deux doigts passer au-delà du décolleté pour venir les pincer. Son autre main descendant de temps à autres, passant sur ses fesses, les pressant, doucement, fortement sans lui faire mal avant de passer devant, sous sa robe, restant discret et cherchant le plaisir de la belle demoiselle. Alors, petit rouquine, comment vas-tu répondre à ça ?


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Quetzalcóatl

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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 16 vendredi 18 octobre 2013, 20:11:21

Grisant. Que tout cela était grisant. C’était bien à celui qui allait craquer le premier et se jeter sur l’autre pour assouvir ses envies. Ce petit jeu de séduction était en train de faire perdre la tête à la déesse, qui trouvait toujours de quoi faire succomber le rouquin. Pour le coup, l’immortelle avait sorti le grand jeu. Revenant des waters où elle avait tiré les bretelles d’une jeune demoiselle trop collante, le Serpent à Plumes réservait une bien belle surprise à son compagnon de soirée. En réalité, la jeune femme était quasiment nue. Quetzalcóatl ne portait que sa robe noire, déjà bien assez légère. Pas de soutien-gorge. Plus de petit shorty en dentelle noire. J’suis toute nue sous mon pull ! Y’a la rue qui est maboule, jolie môme ! Sauf que là, celui qui devait en perdre la tête, c’est bien John. Qui serait capable de tenir face à ce genre de spectacle ? La mésoaméricaine était certaine de son coup, John lui sauterait dessus et l’amènerait dans la limousine pour rejoindre son appartement afin de faire des folies de leurs corps nus. Pourtant, le bougre résistait bien. La belle rousse avait pensé trop vite. Cependant, la surprise de cette déclaration se lisait dans les yeux sombres du beau mâle, avant qu’une lueur de lubricité ne vienne illuminer davantage son regard. Un franc sourire vint étirer les lèvres pulpeuses de l’émeraude divine. Bien. Elle n’avait pas réussi sur ce coup, mais au moins, il était clair et net que cela était loin de laisser John indifférent.

Et même plus que ça encore. Le coquin se révélait être bien curieux et tenait à vérifier les dires de la belle rousse. Mensonge ou vérité ? Quetz avait assez de cran et d’audace pour faire ce genre de choses, mais le jeune homme, ne la connaissant que depuis très peu de temps, quelques heures en réalité, en doutait. L’un de ses doigts s’aventura sous la robe de la demoiselle, venant caresser son entrejambe, pour être sûr et certain qu’elle était belle et bien à nue. La vérification faite, John n’en retira pas pour autant son doigt, espiègle. Bien au contraire, il en profita pour flatter de caresses son intimité et ses fesses rebondies. La divinité se délecta de tant d’attentions. Se mordillant la lèvre inférieure comme pour refreiner ses envies de lui sauter dessus, le regard émeraude de Quetzalcóatl ne cessait de fixer le visage du jeune homme, captant la moindre de ses réactions. La seule chose que la jeune femme espérait, c’est que personne d’autre ne voyait son corps presque dénudé dans cette foule. Non, ça, c’était le privilège de John, et non d’un autre…

Non. L’immortelle devait être honnête. Au fond d’elle-même, le bel oiseau souhaitait que John craque réellement, mais le jeune homme est coriace. Qu’il craque, ou bien, ce sera elle qui ne pourra plus attendre. Ses murmures la faisaient frissonner. Tenir longtemps ? Oui, mais pour quoi ? Ne pas lui sauter dessus ? C’était bien mal parti. Pour rester dans la boîte à danser collé-serré ? L’émeraude divine ne le désirait pas, et de même pour John, vu ce qu’il a dit au début de la soirée. Mais, pour sûr, qu’il ne la lâche pas. Elle ne prendrait pas la fuite, même pour jouer. Non, le retour en arrière n’était plus possible. L’envie grondait de trop dans le bas-ventre de la déesse, alors que son cœur tambourinait dans sa poitrine, bien trop fort, bien trop rapidement. À moins que ce ne soit à cause de la musique ? Non, impossible.

Ce John la mettait dans tous ses états. De chauds soupirs s’échappaient lentement d’entre ses lèvres pulpeuses, le regard empli de désir ardent pour ce jeune homme à la toison de feu. Ses mains lui faisaient connaître une torture qu’elle avait oubliée, son corps parcouru de spasmes. Son esprit s’embrumait, ses tympans captant à peine la musique ambiante, trop concentrée sur la respiration de John et ses possibles murmures. Vil ensorceleur. Oui, parce que ce qu’il en sortait du passage de ses doigts, c’était magique. Grr. La déesse n’avait pas dit son dernier mot. Vengeance. Lentement, elle se colla à lui. Ses lèvres vinrent capturer la chair de son cou, la croquant tendrement entre ses lèvres, non loin de cette marque qu’elle lui avait laissée auparavant, ce suçon. Ses doigts filèrent sur la morsure, avant de s’éloigner très légèrement de John. Alors qu’auparavant, elle lui faisait face, Quetz lui offrait une vue de sa chute de reins désormais. Seulement pour quelques secondes, car la jeune femme vint se forcer tout contre lui, remontant légèrement l’arrière de sa robe pour plaquer son fessier dénudé tout contre son bas-ventre, et naturellement contre son entrejambe. Délicatement, son dos se creusa pour se cambrer. Tout en rythme avec la mélodie qui passait alors dans la boîte, Quetz remua du bassin, accentuant les frottements de sa peau de nacre contre le jean tendu du beau mâle. Ondulant des épaules, son visage se tourna vers John, plongeant ses émeraudes dans l’obscurité de ses yeux. Espiègle. Malicieuse. Perverse.


- John…

Un murmure. Un soupir chaud. Un appel. Qu’il l’achève ! À ses paroles, elle attrapa les mains du jeune homme avec les siennes, pour les lui plaquer sur ses hanches, qui dansaient sensuellement. Un autre contact avec lui. Toujours en garder un, au minimum. Un frisson lui parcourut l’échine, la faisant sourire. Mince. Est-ce que la déesse était sur le point de succomber ? Peut-être. Sûrement même. À force de chercher à faire tomber l’autre, elle s’enfonçait davantage grâce au doux parfum de luxure qui régnait autour d’eux. Flûte. Mmh, comme si cela était regrettable…
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 17 mardi 22 octobre 2013, 13:55:16

Comment voulez-vous résister à ça ? A cette beauté qui se retourne, vous montre ses fesses et les frottes contre vous, comme ça... Personne ne remarquait le petit jeu qu'ils se livraient et John n'en avait pas fini avec elle, oh ça non... Il n'allait pas lâcher maintenant et avait sa petite idée pour ennuyer la déesse. Abaissant la fermeture éclair de son pantalon, John faisait passer une toute petite partie de son membre, frotter son gland contre ce cul dénudé ce qui lui arrachait quelque soupire.

"Ah putain ma belle... ta gagné..."

Il rangeait son engin, rabaissait la robe de Quetz et lui prenait la main pour l'emmener très rapidement en dehors de la boîte. Direction le limousine. Il entre dedans, la poussant sur le long siège tout en appuyant sur le bouton pour couper la vue que le chauffeur à sur eux. Il dit rapidement son adresse avant de venir embrasser Quetz avec beaucoup de passion, tournant sa langue sur la sienne alors qu'il vient libérer sa poitrine en descendant le haut de sa robe, juste ce qu'il faut. Sans attendre, il quitte ses lèvres pour venir s'occuper de sa poitrine, aspirant, mordillant, léchant, il n'y en a pour tout les gouts. Le rouquin ressemble à un affamé, ses mains caressant le corps de la belle, tout son corps. Bon dieu qu'elle était belle, douce, jamais une femme ne lui avait donné plus d'envie que ça, jamais il n'avait cédé au point d'en devenir fou, fou de ce corps si parfait à ses yeux. Il était plutôt rapide, enfin, c'est de l'excitation. Il quittait déjà ses lèvres pour descendre plus bas, plongeant ses lèves au contact de son intimité déjà bien humide. Il l'embrassait, la léchait avant de s'occuper plus particulièrement de son petit bout de chair, cherchant à lui donner beaucoup de plaisir.

Même si il l'aurait voulu, John n'aurait pas pu s'empêcher de faire ça, l'envie était trop forte. Il en sortait même sa queue de son pantalon, gonflée comme jamais, celle-ci se sentait un peu à l'étroit.

"Ah ma belle, jamais on ne m'a donné plus envies que ça... Je te veux, je te veux pour longtemps..."


La limousine continuait sa route et John ses traitements, sa respiration devenait rapide, les battements de son coeur aussi. Elle le rendait dingue et doit sans doute le comprendre à le voir dans cet état. Si elle n'était pas consentante, cela ressemblait à un viol, mais bon, après tout ce jeu, quand on relâche, on se relâche à fond !

Une main s'occupe de sa poitrine, sa langue de son clitoris et son autre main glisse le long de ses jambes avant de venir se glisser entre ses jambes, venant glisser plusieurs doigts en elle, déjà rapide, ne pouvant s'arrêter, ne pouvant être plus doux, si elle voulait avoir une nuit de folies, elle allait l'avoir. Cette nuit sera sans doute magnifique.

"Je vais te faire l'amour jusqu'à épuisement et t'inquiète pas qu'il m'en faut beaucoup pour m'épuiser, surtout dans mon état."

la limousine ne tarderait pas à arriver chez John. En parlant de la limousine, le rouquin ne pensait même pas au chauffeur qui doit tout entendre pour compenser le fait qu’il ne voit rien. Cela doit sans doute l'exciter, il a sans doute remarqué la déesse au premier trajet et il a pu voir à quelle point elle était magnifique, alors avec ces gémissements qu’elle laissait échapper avec John qui lui donnait du plaisir, on ne se demande pas à quel point l'excitation de ce petit chauffeur était grande. D’ailleurs, si Quetz fait attention, elle entendra un gémissement venant du chauffeur, que faisait donc ce petit coquin ?

John n'entendait pas ce petit gémissement, trop occupé. Il ne voulait que le plaisir de Quetz en ce moment même, voulant qu'elle se souvienne de lui à jamais, qu’elle ait envie de lui les prochaines fois qu'elle le verrait, qu'elle prenne son pied comme jamais elle ne l'a pris. Si c'était but de la déesse de rendre le lycéen fou, elle avait tapé dans le mille, va peut-être falloir le calmer le bonhomme, enfin, peut-être pas après tout.

"Ah ma belle... Reste avec moi plusieurs jours, plusieurs nuits, je te veux... Ah putain je te veux à fond..."


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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 18 samedi 23 novembre 2013, 04:58:45

La musique dans la boîte de nuit ? À vrai dire, Quetzalcóatl ne l’entendait clairement plus, trop concentrée sur autre chose que sur les chansons qui faisaient pourtant danser les gens autour d’elle. La mélodie qui parvenait à ses tympans n’était faite que des soupirs chauds de John, des légères plaintes qui réussissaient à s’échapper d’entre ses lèvres pulpeuses, ou bien même les bruits de frottements de sa peau de nacre sur le jean tendu du rouquin. Et punaise, que ce genre de petit concert, aux multiples sons de débauches, ravissait les oreilles du Serpent à Plumes. Son postérieur, bien bombé et légèrement dénudé, se frictionnait lentement contre le pantalon du jeune homme, au niveau de son entrejambe. Il se balançait au rythme des seuls kicks que la demoiselle entendait. Son esprit, tout son corps même, s’enflammait d’un désir de plus en plus pressant pour cet humain aux épis de feu. Cela faisait déjà un petit moment que leur jeu de séduction était devenu plus…Tactile. Les esprits s’échauffaient chez le couple, de la meilleure manière qui soit, mais à force de jouer avec le feu, on finit bien par se brûler. Il suffisait d’attendre un peu pour savoir qui allait succomber. Quetz savait y faire, vraiment. On ne trompe pas une déesse sur les jeux de séduction et de luxure, mais la belle devait bien avouer que John n’était pas non plus un débutant en la matière. Le coquin venait d’ouvrir sa braguette pour ne laisser dépasser qu’une infime partie de son membre tendu. Son gland, à nu, se glissait entre les fesses de l’émeraude divine, à chaque ondulation de son bassin. Grr.

Ca y est. Il craque. Ding ding ding ! Le vainqueur est…Roulement de tambour. Quetzalcóatl ! Et oui, le jeune homme s’avouait vaincu, et ceci ne fit qu’étirer davantage les lèvres pulpeuses de l’immortelle. Tout allait très vite. John rangea son membre encore tout tendu dans son pantalon, rabattant la robe de la demoiselle sur ses fesses, les dissimulant de nouveau. Le rouquin n’en pouvait plus. Et la déesse non plus, finalement. C’est sans résistance qu’elle se laissa guider par son compagnon de soirée hors de la boîte de nuit, le sourire aux lèvres. Elle avait gagné, gagné le droit de stopper les ondulations de son corps sous sa robe, pour pouvoir les offrir ensuite de nouveau à John et rien qu’à John. Il avait craqué et ça se ressentait dans ses gestes, surtout quand il se précipita dans la limousine, poussant son amante sur la banquette de cuir noir, avant d’indiquer au chauffeur l’adresse de leur destination finale. Et lorsque le véhicule démarra, ce fut la libération.

John avait tout du fauve. Sa légère crinière de feu mais aussi l’impatience pour le coup. Il s’empara avec envie de la bouche de la jeune femme, venant faire valser sa langue contre celle de sa partenaire, l’enlaçant passionnément. D’un geste rapide, l’émeraude divine se retrouva le buste à l’air, sa bouche délaissée, alors que ses seins se faisaient picorer. Alternant entre des coups de langue francs, des suçotements obscènes, et des doux mordillements, le rouquin ne laissait rien au hasard pour combler sa belle. Quetz, prise d’une fièvre qu’on connaît tous, l’observa un instant, se mordillant la lèvre avec envie, avant de le voir filer vers son intimité libérée. Il n’est pas fou non, il est plutôt gourmand et sans hésiter, le jeune homme vient s’abreuver à la source. Du bout de sa langue, un simple contact sur son bouton de rose, et l’immortelle se mit à gémir fortement, laissant sa tête basculer en arrière et son dos se creuser sous l’envie qui le tenaillait.


- John…

Ô bon dieu, il la rendait folle ! Il avait envie d’elle pour un moment, alors qu’il la garde, et la garde pour longtemps ! Quetz était aux anges qu’on la désire si violemment, si ardemment. Grr. Et il était clair que le jeune homme ne pouvait plus attendre pour profiter du corps de son amante. Son festin commençait dans la limousine même et la mésoaméricaine ne s’en plaindrait pas. Elle couina de plaisir quand John la pénétra de ses doigts, les remuant fortement en elle, écartant délicatement ses chairs. Son esprit s’embrumait, son cœur s’affolait et déjà son corps se crispait d’envie, ne se relâchant que pour ouvrir les yeux, encore un peu mi-clos de ces préliminaires, et observait son amant. La belle rousse sentait son jus d’amour ruisseler le long de sa fente, ainsi que le haut de ses cuisses, ne songeant certainement pas à l’état du cuir de la banquette de la limousine. Les paroles de John ne calmaient en rien les envies de la déesse. Faire l’amour jusqu’à l’épuisement ? Mais elle n’attendait que ça, et cela se traduisit dans ce petit gémissement plaintif alors qu’elle fixait le rouquin, passant une douce main dans ses épis de flammes.

Mais même l’esprit s’insinuant dans la débauche, Quetzalcóatl n’en était pas pour autant sourde. Derrière ses petits gémissements qui en réclamaient davantage, derrière les bruits obscènes de succion, mélange de salive et de mouille, se cachaient, à peine, des soupirs chauds. Pour sûr, ils n’émanaient pas de John ou de la rouquine, et la seule personne qui restait, c’était le chauffeur. Le petit coquin les regardait-il à travers la fenêtre qui les séparait ? Ou bien, ne faisait-il que les entendre ? Qu’importe. Pour Quetz, cela n’en était que plus excitant. Savoir qu’on les entendait, voyait peut-être, ça la fit frissonner. Foutrement bon tout ça. John n’aidait pas à calmer le jeu. Rester avec lui bien plus qu’une nuit ? À réfléchir ? Non, le choix est déjà tout fait.


- Oh oui…Garde-moi avec toi pour un petit moment et fais-moi l’amour comme jamais !

À ses mots, la belle demoiselle rouvrit les yeux. Ses mains se posèrent de chaque côté du visage du jeune homme, le forçant gentiment à délaisser son intimité. Sa bouche était trempée et la jolie rousse eut un soupir d’aise qui brisa la barrière de sa bouche. Un sourire déforma son teint rougi avant qu’elle ne se saisisse des lèvres de l’éphèbe, goûtant alors son propre suc intime. Tremblotante, elle le força tout contre elle, collant sa poitrine dénudée tout contre son tee-shirt. Ce qu’elle avait envie de le déshabiller et de se jeter sur lui, là, de suite, et de lui faire l’amour à péter les suspensions de la limousine ! Mais la mésoaméricaine se faisait violence, encore, et pas qu’un peu.

Sa patience ne tarda pas à payer lorsque le Serpent à Plumes sentit son corps légèrement basculer, secouer par le freinage du véhicule. Toc, toc ! Un bruit contre la vitre séparant le couple du conducteur, indiquant que les rouquins étaient arrivés à destination. Forçant John à retirer ses doigts de son intimité, la jeune femme, légèrement débraillée, se rhabillant rapidement. Elle tira sur le bas de sa robe pour être présentable, alors qu’elle remettait le tissu correctement au niveau de sa poitrine, obtenant de nouveau ce sublime décolleté. Avec un sourire taquin aux lèvres, la belle se pencha sur le jeune homme, et d’un coup de langue furtif, elle taquina le gland échaudé de John. Juste quelques secondes pour lui donner un avant-goût de la chose. Oh la vilaine. Pire encore, Quetz passa à quatre pattes pour passer au dessus de John alors que celui-ci était assis sur la banquette, comme s’il n’y avait point de place dans ce véhicule. Envie, encore envie. Elle se montrait séductrice, provocatrice même, encore maintenant. Elle appuya sur la poignée pour ouvrir la portière, et d’un clin d’œil, invita son amant à la suivre alors qu’elle galopait doucement vers les escaliers menant à l’immeuble de John. Vite pour grimper à son appartement. Vite pour se retrouver enfin nus. Vite pour profiter pleinement l’un de l’autre jusqu’à plus soif. D’un signe de main, ou plutôt d’index, elle l’appelait.


- Date prisa, cariño…

En anglais, ça l’aurait peut-être plus fait, mais les terres d’origines de Quetz parlaient espagnol désormais. Et la jeune femme n’attendit pas son partenaire, disparaissant derrière la porte d’entrée de l’immeuble. Impatiente ? Oh oui. Hurry, baby. I want to have some sex with you.
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John Rosewood

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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 19 lundi 13 janvier 2014, 07:00:20

John était dans son mode, en train de faire plaisir à une jeune femme qu'il avait trouvé quelques heures plus tôt dans une soirée de bourge. Ce genre de situation, il en a connu des vingtaines, si pas plus. Mais là, il y avait quelque chose de différent, Quetz n'est pas banale, pas comme celle avec qui il tire son coup une fois et puis basta. Elle l'attirait, vraiment et de plus en plus ce qui d'un côté lui faisait un peu peur, faudrait pas qu'il se laisse de trop aller le p'tit rouquin, l'amour ce n'est pas pour lui ça tout le monde le sait.

Enfin, des pensées, mais au final on s'en fou, on lèche encore et toujours et on pelote, y'a que ça de vrai ! Enfin, petite déception tout de même lorsque l'on doit arrêter, délaissé ce beau corps, mais pas pour longtemps. Cette rouquine continuait avec ces petites provocations, un petit baiser sur le gland, un passage à quatre patte, une vue de nouveau plongeante sur ce décolleté de rêve. John se demandait quand il verrait un défaut parce que pour l'instant, il y en a aucun, à pars qu'elle est trop parfaite peut-être... Montre-t-elle ce qu'elle est vraiment où joue-t-elle un rôle car elle a juste envie d'une bonne baise pendant une nuit... Mouais, on s'en fou, de base c'est ce que John veut, pourquoi commence-t-il à s’inquiéter avec ça ?

A peine sorti de la limousine que la rouquine le devance et se presse à fond après avoir dit quelque chose en langage inconnu. Enfin, le rouquin pensait que ça devrait dire « Viens me prendre » ou « J'ai envie de toi » ou un truc du genre, c'est normal aussi, c'est John. La suivant de près, il lui attrapait le bras avant de la diriger vers l’ascenseur, habitant au quatrième étage, il y avait une petite montée à faire. Mais la durée du voyage en ascenseur n'est pas assez longue pour décrire ici une scène digne de vos fantasmes les plus fous, à pars si Quetz décide de le bloquer avec un coup de patte bien fourbe.

Revenons à nos rouquins ! John entraînait donc la rouquine dans l’ascenseur, la plaquant contre un des côtés avant de venir l'embrasser. Au fur et à mesure du temps qui filait, elle pouvait ressentir que son baiser évoluait. Passion, intensité, ... Il se laissait tout simplement aller et ne se rendait pas vraiment compte que ses émotions parlaient pour lui, baboum petit coeur tout fragile, elle fait un drôle d'effet cette femme là, c'est d'la bonne !

Le petit voyage en ascenseur ne durait pas très longtemps donc, le temps d'un petit baiser avant que les portes s'ouvrent et hop, on se précipite vers la porte de son appart. Ouverture rapide ds portes, on entre, on referme derrière à clef et on se libère ! Cocotte, tu va choper sévère, il ne le disait pas mais le pensait bien haut. C'est sur cette belle pensée qu'il la plaquait contre le mur le plus proche, revenant l'embrasser tout en la déshabillant comme un sauvage africain en rûte qui a envie de faire « woumbawoumba » comme ils disent par là-bas. Bon, trêve de plaisanterie, les choses sérieuses commence mon p'tit John, faut que t'assure sévère pour qu'elle s'en souvienne.

Il lui retirait donc sa robe tout en l'embrassant, la mettant ainsi nue. Il s'agenouillait ensuite, s'abaissant en venant embrasser sa poitrine, son ventre, un petit coup de langue au niveau de son intimité avant de passer par ses jambes tout en lui retirant ce qui couvrait encore ses pieds. La voyant donc complètement nue, le rouquin restait bloqué un petit instant, glissant son regard partout sur elle, un regard plutôt pervers mais pas que. Il se réveillait quelques secondes après son petit blocage, la retournant pour venir embrasser l'arrière de ses jambes, venant ensuite mordiller ses fesses, parfaites elles aussi... Il remontait doucement au niveau de son dos avant de se plaquer contre elle, se focalisant sur sa nuque à cet instant. Pas la peine de dire qu'il était plus qu'excité vu qu'elle pouvait sentir son membre bien en forme se collant contre ses fesses. On le sentait palpiter des fois, l'envie de sortir et de pénétrer la rouquine était forte, mais John attendait, il voulait lui donner les commandes à son tour ce qu'il annonça d'un murmure suave.

« Je suis à toi... »


Il se demandait ce qu'elle allait faire, déjà excité avec toutes des pensées lui traversant l'esprit. La nuit commençait seulement et elle risque d'être très longue, pas que la nuit d'ailleurs.

John n'y pensait plus, mais ses émotions se ressentait de plus en plus, s'éveillait en lui un sentiment assez proche de l'amour sans être vraiment de l'amour. Compliqué la cervelle du rouquin... Au fond de lui, il était persuadé qu'il ne tomberait jamais amoureux, aimant trop les femmes pour se focaliser que sur une, mais bon, parfois, ça tape sans prévenir. On pouvait le comprendre aussi, une Quetz qui te fait du rentre dedans comme ça, pas moyen de résister.


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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 20 dimanche 26 janvier 2014, 18:27:06

Quelle torture ! Devoir arrêter toutes les attentions de ce jeune homme fougueux dans la limousine, même si c’est pour mieux les recommencer par la suite. Quel déchirement, vraiment ! Il y avait de quoi frustrer davantage la déesse en cet instant, mais tout de même ! Intérieurement, la divinité bouillonnait clairement. Les deux amants s’étaient tellement chauffés que Quetzalcóatl n’en pouvait plus. Elle n’aspirait qu’à une chose : qu’il lui fasse l’amour comme jamais on ne le lui avait fait. Cela voudrait dire pour un mortel de dépasser des dieux ? Et bien oui ! Et l’émeraude divine pensait clairement que John en était capable. Après tout, il avait réussi à faire monter la flamme du désir en elle, tellement qu’elle commençait à en devenir folle. Une seconde sans sentir le moindre contact avec lui la rendait dingue.

Quetz lui ferait payer tout ceci, au centuple. Lui donner envie jusqu’à ce qu’il en perde la raison, qu’il ne désire que son corps, pour des jours et des nuits. Autant qu’il le souhaite, sincèrement. La belle rousse se sentait perdre pied avec lui. Adieu la Terre, ici le Septième Ciel ! Et bon dieu, qu’elle voulait l’atteindre, ce septième ciel. Elle était certaine que le jeune rouquin pouvait la faire venir rien qu’avec ses doigts. Mais pour l’instant, la demoiselle ne faisait que l’attiser un peu plus. Ses roulements de hanches alors qu’elle monte avec empressement les escaliers qui amènent au hall d’entrée de l’immeuble de John, ce n’était que pour le faire impatienter encore plus. Et elle avec. Bordel ! C’est ça de jouer la séduction. Au bout d’un moment, l’effet était à double tranchant. Autant Quetz souhaitait faire faillir John, autant son petit jeu se retournait contre elle. Pauvre immortelle…

Qu’il se presse, car la déesse a follement envie de lui. Pour ne pas dire diablement, car oui, c’est comme si le Diable en personne avait pris possession de son corps et la pousser à la luxure, indéniablement. John serait-il une créature de Satan, un de ses envoyées de luxure, des incubes comme on ose les appeler ? Le Serpent à Plumes n’en avait que faire à l’instant. Devant elle, c’était John. Qu’il soit ce qu’il veut, elle s’en fiche royalement. Le désir brûlant en elle l’aidait grandement, et puis, en tant qu’immortelle, la jeune femme en avait vu des choses durant sa longue vie. Alors si elle était face à une créature, ce ne la dégoûterait pas pour autant. Ce rouquin est si…Grr.

Si impatient. Rapidement, il rejoignit sa belle rousse, attrapant son bras au passage, alors qu’elle attendait dans le hall. Il l’entraîna alors dans l’ascenseur afin de se rendre dans l’appartement de l’éphèbe. Lui, si fougueux, plaqua la demoiselle contre un coin du monte-personnes, quand celui-ci referma les portes sur eux. Emprisonnée par son corps, la déesse se laissa faire, frissonnant comme pas possible. Ses lèvres joignirent celles du rouquin avec plaisir, leurs langues entamant une valse endiablée. Son baiser se faisait si…Envoûtant. La belle se sentait fondre au fur et à mesure, approfondissant le baiser, glissant presque contre la paroi de l’ascenseur, avant d’être ramenée à la dure réalité de devoir sortir de cet ascenseur et de rompre encore contact avec ses lèvres qui l’appelaient sans cesse.

C’est précipité que John se rua hors de l’ascenseur, se dirigeant d’un pas assuré et hâtif vers la porte de son appartement, sortant les clefs de son pantalon, tel Lucky Luke qui dégaine son pistolet pour tirer. Et hum…John aussi allait tirer, si l’on peut dire. Quetzalcóatl en dansait légèrement, ses cuisses frottant l’une contre l’autre, ne pouvant se contrôler. Elle avait atteint le point de non-retour. Le rouquin l’attira à elle et reprit alors là où le couple s’était arrêté. Il la plaqua de nouveau contre un mur proche, pressant son corps contre celui de la déesse. Nouveau baiser. Baiser brûlant. Brûlant comme le toucher de John. Le jeune homme vint déshabiller avec précipitation, déchirant presque la robe de la belle. Il ne lui restait déjà pas grand-chose à enlever, vu que la rousse ne portait plus de sous-vêtements. Plus la robe dévalait son corps tout en courbes gracieuses, plus l’éphèbe lui dévorait la peau. Il termina la séance d’effeuillage par les talons de la belle, ainsi complètement dénudée devant lui. John se figea quelques secondes sur ce corps qui se dévoilait enfin entièrement à lui. Le voyant ainsi, Quetz ne put s’empêcher de ricaner un peu, le trouvant mignon sur l’instant, avant que la belle ne se morde la lèvre inférieure avec envie.

Revenant à lui, le rouquin retourna la jeune femme pour qu’il puisse avoir une vision de derrière également. Tout aussi beau que le devant, n’est-ce pas ? Le Serpent à Plumes en remua doucement des fesses, ses seins se pressant contre le mur légèrement froid, ce qui lui provoqua un frisson, secouant son corps. John en profitait pour goûter encore à son corps, ses jambes, ses fesses qu’il mordilla, arrachant un petit couinement de la part de l’immortelle. Puis il vint se plaquer à son dos, déposant un baiser dans sa nuque.


- Ah…Mmh…

Nouveau frisson. L’émeraude divine fond. Littéralement. La déesse pouvait même sentir cette énorme bosse, encore protégée par du tissu, frotter contre ses fesses bien rebondies et parfaites. Nom d’un…Qu’il dézippe son pantalon et qu’il prenne Quetz comme un sauvageon ! Allez John ! Elle n’attend que ça. Mais non, le rouquin laissait à la jeune femme le loisir de faire ce qu’elle avait envie. Tournant légèrement la tête vers l’éphèbe, l’émeraude divine vint le fixer du coin de l’œil, se mordant violemment la lèvre inférieure, la faisant rouler sous ses dents blanches. Faire ce qu’elle veut ? Punaise. Il ne faut pas lui dire deux fois. Ah ça, non !

Brusquement mais tout de même emplie de grâce, la jeune femme se retourna vers John, l’embrassant fiévreusement. Tout doucement, sa main s’aventura le long de son corps, défaisant les boutons du pantalon de John. Ses doigts graciles se posèrent sur cette bosse bien tendue, tremblant presque de pouvoir y toucher, et la frotta fortement. Comme pour essayer de la tendre encore davantage. En même temps, Quetz poussa le rouquin, le forçant à reculer lentement pour qu’il tombe sur le canapé et puisse s’asseoir. S’agenouillant devant lui, il pouvait sentir tout le désir qu’elle avait pour lui, cette envie brûlante qui lui rongeait les tripes. Tout ça dans son regard. Les seins lourds de la belle rousse frottaient contre le pantalon du jeune homme, légèrement rougies par le tissu. Sa bouche entrouverte laissait planer un parfum de luxure comme jamais. Alors, la mésoaméricaine tira sur le pantalon de John, ainsi que sur son caleçon, pour en libérer enfin la bête qu’il renfermait.


- Mhaaaan…Mmh…Je vais me régaler…

Et c’est peu dire. Le visage de l’immortelle se rapprocha dangereusement du membre tendu du jeune homme. Elle ouvrit doucement les lèvres comme pour le prendre déjà en bouche. Mais nouvelle illusion. Tirant sa langue, elle vint effleurer le pieu de chair de sa pointe humide, le parcourt de toute sa longueur, de haut en bas, déposant un baiser sur chaque bourse, bien chaudes. Avant de finalement remonter sa langue sur le chibre tendu, ses yeux verts fixant John inlassablement. Un baiser sur le gland chaud et, avec gourmandise, Quetz se mit à le suçoter. L’ourlet de sa langue passait et repassait sur ce bout humide, prémisse à bien plus qu’une fellation. Mais pour l’instant, le Serpent à Plumes n’en restait pas là. Ses dents se pressèrent légèrement sur le gland, avant de finalement le prendre en bouche et faire un premier et très lent vas et vient. Et piou, le membre de John quitta cette grotte chaude et humide, entièrement. La belle fixait toujours son amant avec envie, passant sa langue sur ses lèvres, pourléchant ses babines tel un fauve prêt à se repaître de sa proie. Chose que fit la belle rousse. Rabattant sa chevelure de feu dans son dos, elle se jeta sur le membre tendu du jeune homme, creusant ses joues, entamant un ballet sensuel de sa bouche sur ce pieu de chair rien que pour elle. Du moins, pour ce soir. Cette nuit. Pour plusieurs jours, non ? Cette petite bouche ne se lassait pas de sentir palpiter ce chibre, alors que parfois, elle le gardait au fond de sa gorge quelques secondes…Mmh…Quel délice.
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

John Rosewood

Créature

Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 21 lundi 03 mars 2014, 12:32:42

John se demandait si il avait déjà été aussi excité que cela... l en avait connue des situations, mais bien souvent le sexe arrivait vite, trop vite. Ce qu'il aimait bien chez Quetz c'est le fait qu'elle faisait comme lui, elle faisait durer les choses, allant même juste un peu le repousser parfois pour le frustrer et lui en remettait des couches, encore et encore, jusqu'à tant que l'un d'eux craque. Cette fois, c'est John qui craquait le premier, cette magnifique rouquine au corps juste parfait l'avait mis hors de lui, mais dans le bon sens, rassurez-vous. Sa soif sexuelle n'avait fait qu'augmenter au fil de la soirée pour ensuite exploser. Sans se vanter, le rouquin n'est pas mauvais au lit, alors dans un état pareil... Mais il ne sera pas du genre à sauter sur le demoiselle et limite la violer sur le champs... Oh non, à chaque chose en son temps et découvrir son corps nu était agréable, le toucher de partout, des doigts, de la langue, la sentir frissonner, l'entendre gémir... Rien que ça le mettait dans tout ses états, mais John en voulait aussi et il savait qu'elle se montrerait gourmande, même plus qu'il ne l'avait imaginé en fait... Il se laissait gentiment faire, gémissant au contact de ses doigts contre cette belle bosse que formait son membre. Il se laissait aussi aller par après, reculant doucement au rythme de sa poussée avant de se laisser tomber sur le fauteuil, la belle demoiselle agenouillée devant lui.

Ses mots l'ont encore plus excité, qu'elle se régale donc le lycéen n'attendait que ça.. Mais la vilaine prenait apparemment du plaisir à l'excité d'avantage, titillant simplement son membre au départ ce qui le faisait déjà palpiter de nombreuses fois...

« Hmm... Vilaine... »


A ces mots, John ricanait un peu, gémissant de plus en plus en sentant ses lèvres parcourir son membre, descendant même pour faire plaisir aux p'tites boules se trouvant par là. Léchant, bisoutant... C'était déjà bien bon mais... John n'avait encore rien vu ! Lorsqu'elle se décidait enfin à prendre son pieu de chair en bouche, le rouquin gémissait bien plus, la fixant. Il était troublé qu'elle le fixe de cette façon, gourmande à l'apparence et aux gestes, comme ayant soif de sexe, enfin, surtout soif de son sexe pour le coup vu comment elle le prend en bouche.

« Anh putain... Hm... »


Cela ne servait à rien de se retenir, le plaisir était trop bon, autant se laisser aller, gémir, balancer parfois des petits mots comme ça qui décrivait encore plus le plaisir que l'on ressentait. En tout cas, John ne la quittait pas du regard et elle marquait un point en le faisant aussi car cela l'excitait d'avantage.

Ah ! Vous le savez bien, notre p'tit rouquin ne reste pas bien longtemps inactif et décide d'enlever ses chaussures, frottant ses pieds l'un contre l'autre, enlevant ensuite ses chaussettes, se retrouvant donc pieds nus. Il n'attendait pas plus longtemps pour diriger le dessus d'un de ses pieds vers l'intimité coulante de la demoiselle, allant dessus jute pour s'y frotter, ne cherchant pas vraiment à lui donner beaucoup de plaisir mais juste à l'attiser, voulant la chauffer un peu plus. Il savait très bien que plus une femme est excitée et plus elle mettra du coeur à l’ouvrage. Il se penchait alors légèrement pour frôler sa poitrine de la paume de sa main avant de se redresser à nouveau, attisant encore un peu, joueur, souriant en coin avant que son visage ne se rechange, pris par le plaisir qu'elle lui offre en enfonçant son membre au plus profond de sa gorge. Ce geste rendait presque fou le jeune homme, en tout cas il semblait apprécier.


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Quetzalcóatl

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Re : Derrière mon loup, devinez qui je suis...[pv John]

Réponse 22 samedi 08 mars 2014, 19:55:39

Elle, vilaine ? Bien sûr qu’elle l’était. Quetzalcóatl en avait connu, des personnes qui avaient partagées sa couche, mais ce soir, c’était en tout cas différent…La jeune femme bouillonnait depuis trop longtemps, à vrai dire, depuis que ce rouquin s’était approché d’elle, lors de cette soirée mondaine. Qu’est-ce qui lui avait donné envie d’aller vers elle ? Son visage ? Non, impossible, elle avait son masque. Peut-être parce qu’elle était seule et donnait l’impression de clairement s’ennuyer ? Plausible. Et s’il était venu près d’elle et l’avait accostée à cause de son physique de femme parfaite ? Ah ça, c’était plus que possible. Quetz en était même certaine. Il avait souhaité du bon temps avec la belle jeune femme à la crinière de feu, et elle n’en demandait pas plus. Cette nuit, elle allait se faire plaisir, et ferait de même pour John. Cette nuit et peut-être plus encore…

Les soupirs chauds et les gémissements de John ne faisaient qu’attiser l’envie de la déesse à s’occuper de lui, ou plutôt de son pieu de chair. Ses émeraudes restaient plantées dans les orbes sombres du jeune homme. Voilà comment augmenter l’envie chez l’immortelle, mais aussi assurément chez le rouquin. Ses cheveux de flammes rabattus dans son dos, Quetzalcóatl laissait sa bouche coulisser sur le vit de son amant, en grande gourmande qu’elle était. Elle plaqua ses mains sur l’intérieur des cuisses du jeune homme, ses ongles s’enfonçant légèrement et raclant sa peau claire tel un félin. Sa bouche coulissa sur le chibre de son partenaire, ses lèvres pulpeuses le branlant littéralement. Quetz ferma doucement ses yeux durant quelques instants, entama des vas et vient profonds et lents sur le membre de cet homme, gémissant de tout son saoul. Elle s’arrêta parfois sur son gland, le suçotant comme s’il s’agissait d’un gros bonbon qui ne fondait pas, en dessinant de sa langue le pourtour de ce bout de chair. Elle se stoppa un instant, l’ôtant de sa bouche pour mieux reprendre son souffle, avant de se jeter de nouveau, comme une affamée, sur le sexe tendu de John.


- Mmh…Mh !

Replongeant son membre en bouche, elle espérait que John appréciait grandement. Non pas que la mésoaméricaine doutait de ses capacités et de son expérience en la matière, mais qui sait, certains aimaient, d’autres non. Le Serpent à Plumes s’efforçait de prendre complètement en bouche ce pieu de chair, le faisant taper de temps à autre tout contre l’intérieur de ses joues, avant de le nicher dans sa gorge chaude et étroite. Pour que le rouquin ressente davantage de plaisir, l’immortelle prit la peine de creuser les joues pour accentuer les frottements contre son chibre, désormais luisant de salive. Pour lui faire perdre pied, la jeune femme apposa une main à la base de son sexe et commença à le branler, de petits vas et vient au même rythme que ses lèvres pulpeuses sur son chibre.

Mais lui aussi était coquin. Se libérant de ses chaussures et de ses chaussettes,   John, le sourire en coin, vint frotter le dessus de son pied sur l’intimité ruisselante de Quetz. Le contact était frais et cela arracha un soupir et un coup de frisson chez la belle. Instinctivement, le dos cambré, le bassin de la divinité se mit à onduler sensuellement, accentuant les frottements sur son sexe, s’imaginant déjà le rouquin en elle. Grr…Quelle torture ! Le coin de ses lèvres rougissait de plus en plus, à force des vas et vient rapides et profonds dans sa bouche chaude et humide. Elle gobait littéralement ce sexe tendu qu’elle aimait tant. Mais ce n’était que trop de frustration. Alors, même si elle sentait ce membre grossir et palpiter entre ses lèvres pulpeuses, Quetz le délaissa à regret…


- Haaa…

Un énième soupir d’aise et de frustration aussi…Ses orbes verts ne cessaient de fixer le jeune homme, un beau sourire pervers sur le visage. Quetzalcóatl se releva prestement. Elle vint se placer sur John, écartant lentement les cuisses pour s’installer sur lui sans l’écraser, le chevauchant. Le contact entre son intimité et le chibre tendu du jeune homme lui arracha un gémissement. La mésoaméricaine posa ses bras sur les épaules de son amant, ses mains plaquer dans sa nuque, la pressant un peu comme pour l’amener en direction de sa poitrine. La belle se cambra légèrement avant d’entamer une danse sensuelle tout contre son partenaire. Son bassin ondula alors, de sorte à ce que son membre coulisse le long de sa fente luisante de jus d’amour. Parfois, le gland de John tapait sur son entrée, presque prêt à entrer en elle, avant de filer titiller le bouton de rose de la jeune femme.

- Haaa…John…

Son souffle brûlant filait sur le visage de son amant, comme pour le chauffer plus qu’il ne l’était. La belle tremblait à chaque mouvement, réellement frustrée, réclamant davantage. Ses émeraudes ne quittaient les yeux sombres de John. Ses lourds seins ballotaient et frottaient sur le torse de l’éphèbe à chaque ondulation de la demoiselle. Son cœur battait à tout rompre. Ses lèvres charnues ne retenaient aucun soupir, aucun gémissement, aucun petit couinement de sa part. Mais elle ne fit rien d’autre. Elle se voulait terriblement envoûtante, et qu’enfin, il cède…
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
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Je suis l'éternité.


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