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L'ennemi de mon ennemi... Un ami? [PV: Alerick et Patapon]

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Hiro

E.S.P.er



Tu dois le reconnaître, Hiro, ça nous ferait un sacré pactole de remplir ce contrat. En plus, même si le contrat tombe à l'eau, ces femmes là sont tellement soumises qu'elles seraient très faciles à revendre au gros prix!


Et une belle jambe. T'imagines? Les landes dévastées! Les soldats vont avoir la trouille et je ne tiens pas à me retrouver seul dans un endroit pareil.


Ino soupira en se détournant de la table où était une carte des landes dévastées, avec quelques pions de bois sur le dessus, laissant ses cheveux blonds flotter au vent. Ma sœur a toujours été comme ça, toujours à vouloir viser plus grosse bête qu'elle. Son avidité et sa confiance en elle n'ont rien à envier aux miennes. Croisant les bras, je regardai ma sœur cadette se détourner, me faisant dos. La connaissant mieux que n'importe qui, j'avais déjà deviné ce qu'elle allait me dire.


Je suis la nouvelle propriétaire de cette entreprise, Hiro, et tu as décidé que tu ne serais que mon chef de terrain, tu te dois de m'obéir, et ce, même si tu es mon frère ainé!


Un grand rire sorti de ma bouche. Généralement, je ne laissais personne me parler sur ce ton, mais je ne pouvais pas me mettre en colère contre ma sœur, surtout par le fait qu'elle était la seule famille qui me restait. Ébouriffant les cheveux de ma  sœur je lançai sur un ton amusé


Bien, "patron", je vais chercher les hommes au château et nous partons dès ce soir!


Je sortis alors du luxueux, enfin, luxueux pour les habitants de Terra, (disons simplement que mon condos à Seikusu possède beaucoup plus de commodités) manoir de ma sœur, pour prendre la direction du bâtiment des soldats de Nexus. Tout le monde dans le coin le sait, le roi est comme un marchand, là où il y a de la possibilité de s'enrichir, il s'implique. Cette fois, il nous a offert une trentaine de soldats pour que nous puissions aller chercher nos jeunes esclaves en devenir. Dans cette histoire, pour sa contribution à notre plan, nous lui offrons quinze pourcent des profits que nous engendrerons avec la vente.


--Quelques heures plus tard, au crépuscule--



Nous voilà prêt à partir, tous les hommes sont sur leur monture et n'attendent que l'ordre de pouvoir décoller. Avant de se mettre en route, je donne les derniers ordres aux soldats et nous partons pour les landes dévastées. Le voyage d'avant fût très calme, aucune de ses créatures tentaculaires avaient tenté de nous attaquer, voyant le lourd convoi, chaque animal restait terré dans sa cachette. Je commençais à croire que ce n'était peut-être pas si stupide que ça finalement… Jusqu'à ce que nous arrivions un village.

Là-bas, il n'y avait pas de défense, aucun garde ni rien, ce qui est risqué pour l'endroit où était situé le village… Un seul homme se tenait devant nous.

Hors de notre chemin ou je te fais écarteler!

« Modifié: jeudi 26 mai 2011, 19:13:52 par Hiro »

alerick neifel

Créature

Devant moi,   une trentaine d’homme au moins.  Et dernier une centaine de  civil. Je n’avais donc pas le droit de   fuir. J’avais une dette et il était temps que je la paye. Alors, je ne bougerais pas. Jamais, plutôt être condamné à vivre sur cette terre éternellement.

Ce qui motive ma détermination ? je vais vous expliquez, mais cela risque de prendre quelques temps.  Il y a de cela une semaine, je ne connaissais personne.  C’était la première fois que je  me rendais sur les landes dévastées de terra.   Les circonstances étaient toujours les mêmes,  un contrat à  remplir.  Plus exactement, une livraison de minerai. Je n’en savais pas vraiment plus, mais  ce n’était pas important car la société pour laquelle était destinée cette cargaison, était surtout réputée pour ses ustensiles divers. Mais passons, ou en étais-je ?
 A oui,  mon arrivé dans se village, et bien, comme a mon habitude, après avoir  remplie mon objectif, j’essayais de me rendre utile, ce fut comme cela, que je fus engagé comme mercenaire pour accompagner une petite caravane.  A mon arrivée, je suis tombé sur ce petit village paisible.  Il ressemblait… Il ressemblait vraiment a mon chez moi.  Cela peut vous paraitre idiot, mais il y avait la même ambiance de pays reculé.  Oui, même si la technologie manque, ici, les  gens sont bienveillants  envers vous.  Voila, c’est donc pour cela que je me bas aujourd’hui. Pour évité que ce village ne finisse en cendre comme le mien, il y a de cela   un siècle… enfin, a peu prêt hein ?

Me voici donc planté devant une garnison entière de soldat. Et  ce que je sais, c’est que ces hommes ne sont pas la pour aider la population. Non,  c’était même le contraire.  Ici, lorsque l’armée vint vous voir, c’est que vous allez finir dans une cage et sur les étales du nexus. Il faut dire que   la vente d’esclave et la principale source de revenue du régime, et que Les habitants des lieux les plus reculés finissent souvent dans des cages. Raison de plus pour me battre, je ne laisserais personne s’en prendre a ceux qui m’ont accepté. Il y a trop longtemps que je recherche un endroit comme celui-ci, un endroit ou les peuples vivent en paix.

 Je fus tiré de mes réflexions par un de ces bouffons… Ce sont certes des soldats, mais à trente contre un, il n’y a aucun honneur à  se battre comme cela.  Soit, Et bien, au moins, je ferrais en sorte de les faire mourir rapidement.   Me faire écarteler ? les pauvres, ils ne savaient même pas qui je suis.


-Je pense que vous ne savais pas qui je suis, Je suis Alerick. Alerick neifel. Aussi connus sous le  nom du guerrier invincible.   Alors, vos menaces ne me font pas peur… Par contre,  je vous conseille de fuir pendant que cela vous est encore possible. Ce sera mon ultime avertissement.  Alors, voulez vous mourir aujourd’hui ?

  Cela ne plut sans doute pas a celui qui semblait être le chef  de ce groupuscule.   Qui lança l’assaut…  Grossière erreur.   Mais a trente contre un, le combat risquait de prendre un peu de temps.   Il fallait donc  que je me débarrasse d’eux. 

Dégaine.
Frappe.
Trois de moins…  Mais, j’ai déjà prit de nombreux coup.  Bon, j’avais  intérêt  à quitter cette illusion. Si ce corps prenait  trop de  dégât. J’allais   encore finir dans les vapes.  Ainsi, ils auraient la chance de me voir sous ma véritable forme …

L’illusion prit fin. Laissant place à un squelette.  Les orbites vides de tous organes. Et pourtant pouvant se mouvoir.  Un mort… vivant.  Ce qui allait sans doute provoquer un mouvement de panic que ses pauvres créatures : Tant pis pour eux… C’était la fin.

-Je vous avez prévenu. Je suis la mort en personne.  Je suis votre fin. Alors, courrez tant que vous avez encore vos jambes.


Joli effet théâtral hein ?  En réalité il n’avait jamais eut affaire a la mort dans sa longue cape cramoisie. Mais ce genre de chose avait quand même son petit effet.
Une chose lui faisait peur cependant, qu'elle était ce son lointain?


Patapon

Légion

Re : L'ennemi de mon ennemi... Un ami? [PV: Alerick et Patapon]

Réponse 2 dimanche 12 juin 2011, 00:54:32

Des sons de tambour, de beaucoup d'instrument à percussions. Tout d'abord, très léger, comme fondu parmi les chants des oiseaux et les bruits de pas des soldats.

Pon, pon...

Le son se rapproche, et il devient indistinct si c'est de la musique ou bien un fort bruit rythmé qui leur parviens aux oreilles. Le son semblait loin, mais maintenant il semble bien plus proche, même si toujours hors de vue.

Pata, pata...

Le son s'était encore plus rapproché, et maintenant on distinguait bien le son: il s'agissait d'instrument mêlé a des bruits de pas bien cadencé, comme ceux d'une troupe de militaire en parade, un "bam-bam-bam-bam" régulier et qui avançait rapidement vers eux.

Pon, pata...

Le bruit ne pouvait plus être ignoré, car maintenant on entendait des cris, des chants, et surtout la cacophonie du métal qui s'entrechoque, comme ceux de l'armure d'un chevalier qui marche. Maintenant, on apercevait bien s'approcher une grosse troupe de personnages en armure noire, dont les personnes de front transportaient d'énormes boucliers aux décorations orange, et arborant une sorte de grand oeil d'un rond parfait. Les chants devenaient distinct, à présent.

Pata, pon...

L'armée était enfin arrivée à leur hauteur, un détachement de 40 femmes en armure, dont l'une d'elle portait un gigantesque étendard et jouait de la musique en même temps, alors que ses compagnons s'étaient mis à chanter en avancant au rythme de la musique et au son joué. 40 femmes, bien distinguée par leur rôle à travers leur armure, qui portait plusieurs couleurs selon leur classe: Tatepon, Yaripon et Yumipon. Yumipons armées d'arcs, vêtues d'armure aux décorations bleues et dont le casque leur couvrait la vue, laissant à ces dernières le soin à leurs autres sens pour les aider à tirer. Tatepons à l'avant, vêtues de décorations orange sur leur armure, brandissant leur bouclier imposant et armée d'épée décorées au nom du Tout-Puissant, et Yaripons en armure aux décorations vertes, munies de grande lances afin d'aider les Tatepons à repousser les adversaire, autant de près comme de loin.


- Chaka Chaka Pata Pon !

A ce son, tous les Patapons s'arrêtèrent devant le curieux groupe, les Tatepons brandissant déjà leur boucliers, prêtes à se défendre, alors qu'Hatapon la porte-étendard tentait de voir à travers le groupe ce qui se passait.

" Je ne vois pas bien, qu'est ce qui se passe devant ?! "

Les autres Patapons, incapable de parler dans une autre langue que celle apprise par tous les Patapons, ne savaient pas s'exprimer en langue commune de Terra comme le faisait Hatapon.

Hiro

E.S.P.er


Ce qui était censé être une simple prise de contrôle sur un village indigène des landes dévastées était devenu un véritable cauchemar. Encore là, l'opposition de l'homme face à mon armée ne nous avait pas du tout ralentit, au contraire. Mais c'est au moment de l'opposition de trois de mes hommes que ça a tourné à son avantage… Les trois soldats envoyés se firent descendre les uns après les autres, cependant l'homme était bien amoché, et quelques autres hommes suffiraient à le tuer, ou encore le blesser assez sérieusement pour le forcer à nous laisser entrer, s'il tenait à la vie.

Allez, abandonne si tu veux la vie sauve! Et peut-être te laisserons nous aller retrouver ceux que tu aimes avant que nous les emmenions, tu es un bon combattant, tu serais très bien payé à travailler pour moi!

C'est alors que l'impensable se produisit. C'était comme si son corps fondait, ne laissant qu'un squelette…On se serait dit dans une œuvre tout droit sortie de l'esprit tordu de Stephen King… La créature se présenta comme étant la mort. À ces propos, plusieurs de mes hommes tressaillirent, même qu'un de ceux-ci eut tellement peur qu'il avait prit ses jambes à son cou.

Ma main passa sous mon armure pour y tirer mon M1911 delta avant de faire sauter la cervelle du fuyard. Évidemment, comme mon arme avait toujours son silencieux attaché, il n'y eut qu'un faible bruit, se projetant dans l'infini des landes…

Plus un pas en arrière ou je le descend comme j'ai fait avec le fuyard… Quant à toi, créature mystique, sache que je n'ai pas peur de la mort, j'ai tellement envoyé d'adeptes à Hadès qu'il m'accueillera avec du vin de Bacchus et un manoir digne de ce nom!De toute façon, même une créature comme toi ne peut nous arrêter!

C'est alors qu'un bruit, d'abord lointain, ensuite se rapprochant assez rapidement, se fit entendre….Pata Pata… On dirait la marche de soldats, accompagnés de tambours… Puis, au loin, se dessinait une armée, la lumière du jour se reflétait sur leur armure… À notre hauteur, ils s'arrêtèrent, tout à fait coordonnés…

Vous me comprenez? Qui êtes vous? Et que venez vous faire ici? Sachez que si vous vous mettez en travers de notre route, nous vous écarterons, tout comme cette créature là bas!

Une seule avait semblé réagir à ce que j'avais dit, ce qui me confirmait qu'ils ne parlaient pas notre langage. Je pointai alors celle qui portait l'étendard de l'armée.

Toi! Tu nous serviras de traductrice…   


alerick neifel

Créature

Faisons un rapide topo de la situation.  D’un coté, les civils. De l’autre l’armée du nexus  au vu des blasons sur les armures des soldats qu’il avait abattu.  Il avait un avantage par contre :  Le fait que sa véritable forme  ait provoqué la terreur, serait sans doute une bonne chose. Même si les soldats restaient sur le champ de bataille, ils seraient déstabilisés, ce qui  signifiait qu’il avait donc un avantage.

Le jeune homme sourit lorsque il vit le soldat tentait de fuir, c’était pour lui la meilleurs solution. Il ne voulait pas de blessés.  Son sourire se dissipa toutefois lorsqu’il vit le fuyard se faire descendre sans somation.  Apparemment, le coup de feu semblait venir de celui qui semblait  être le commandant.  Mais comment réfléchir avec le son  de ces fichus tambours? C’était juste impossible… D’ailleurs d’où venait  ce son.

Le squelette releva la tête. Et il n’en croyait pas ses yeux.  Encore une armée,   la question étant dans qu’elle camp… De toutefois façon il n’avait pas le choix.  Il Devait faire le ménage, mais ces guerrières,  il n’avait jamais vu sauf sur thekos des armées uniquement constitué de femme… Encore moins  avec ce genre d’armoiries…

Le squelette regrettait ce qu’il allait faire, mais il n’avait pas le choix,  a un contre soixante dix, il devait profiter de la moindre occasion.   Si ces guerrières étaient des ennemis du nexus, les deux armées s’entretueraient mais il ne pouvait pas prendre ce genre de risque.

Profitant de  la diversion offerte par l’armée  pour en finir avec les soldats du nexus.  Le temps que ceux-ci réagissent, il en avait déjà tué quatre. C’était certainement honteux comme comportement, d’attaquer de dos un adversaire déstabilisé par de si jolie femme, mais a la guerre comme a la guerre non ? 

 Il observait  l’armée des patapons. Se demandant ce qu’il était entrain de se tramer. Toutefois, son  attention fut vite ré attiré par une épée de type espadon qu’il évita de justesse. Certes, il n’était un tas d’os mais s’il prenait trop de coup il pouvait être off course. Et la, c’était fini. Il n’y aurait plus personne pour défendre ces pauvres villageois.   Une dance de lame venait de commençait,   entouré d’adversaire, la moindre faute pouvait être fatale, mais cela ne lui faisait pas peur.  Il esquivait, bondissant comme un diable dans sa boite…

Pour un mort, il avait quand même de bon reflexe.  Mais cela serait il suffisant ?  Il y avait aussi le fait qu’il soit trop loin pour comprendre ce qu’il était entrain de se passer.   Si seulement il savait si les nouvelles venues étaient des alliés ou des adversaires, il pourrait alors établir une stratégie Digne de ce nom.  De plus, il ignorait totalement le niveau des nouvelles venues.  Comment faire alors ?  bha, il ferrait bien…

Il esquiva un coup de hache. Non, il devait vraiment se concentrer. Sinon, il ne pourrait pas protéger  ses amis…



( pas des masses d'inspirations... )


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