In der Halle des Bergkönigs.. [Ouvert, MP]

Ma reprise de conscience se fit on ne peut plus lentement, d'abord, je dus m'extirper des méandres du sommeil, sommeil qui avait été chez moi peuplé de cauchemars plus horribles les un que les autres. Et quels cauchemars, mon imagination avait mêlé les pires situations que j'avais vécu avec des suppositions qui étaient tout sauf plaisante sur le futur. Et une fois la conscience acquise, je devais lutter pour ne pas retourner dans mon monde onirique peuplé d'humiliations et de tortures. Heureusement, cette lutte fut relativement de courte durée. Maintenant complètement réveillé, je dus affronter le rappel des évènements récents. Et quels évènements, je m'en apercevais maintenant, j'avais littéralement pété un câble. Jamais encore je n'avais perdu ainsi la maîtrise de moi-même, me rebeller aussi ouvertement et attaquer pour rien Law, voilà une chose que je n'aurais jamais faite dans mon état normal. Comment j'allais pouvoir rattraper ça, c'était une bonne question à laquelle j'allais m'atteler à répondre. Cependant, avant cela, je contais faire un rapide tour de ma situation.

Bougeant doucement ma tête, je pus remarquer avec surprise qu'elle ne me faisait pas mal, un miracle quand on considérait comment Law l'avait maltraité. Au sujet de mes membres, il n'y avait rien à signaler hormis que mes bras étaient immobilisées par des chaînes qui retenaient mes poignets, ces derniers commençant d'ailleurs à s'engourdir. Pour le reste, eh bien, je devinais être enchaîné sur le ventre à un lit ce qui ne laissait rien présager de bon sur la suite des évènements. Surtout que j'avais les yeux bandés, d'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi. Dans ma position, je m'avérais déjà être totalement impuissante. Alors pourquoi cette précaution supplémentaire, peut-être que mon tortionnaire voulait faire grandir ma peur et mon appréhension à me privant de la vue. D'ailleurs, mon bandeau devait bien être mis car je ne distinguais même pas la moindre source de lumière, pourtant mon odorat me rapportait l'odeur de cire fondu, il y devait donc avoir des bougies en nombre suffisant pour parfumer la pièce. Mais plus que l'absence de lumière, c'est l'absence de bruit qui m'inquiéta, pas un chuchotement, pas un bruit de pas feutré, même pas le bruit de conversation lointaine.  

Quittant, l'aspect extérieur, je me penchais vers l'aspect intérieur de mon être, et le constat n'était pas fameux. J'étais énervée contre moi-même. Même si je voulais tuer Law et m'échapper, car cette constante n'avait à rien changer, je voulais réellement me venger, je n'avais pas à perdre mon sang-froid comme ça. Dans ma situation, je ne pouvais pas me permettre de laisser passer mes émotions véritables. Ce que je devais faire maintenant était bien simple, d'abords, établir une liste des priorités à laquelle ne pas déroger sous aucun prétexte. En premier m'échapper, cela était ma priorité absolue, ensuite me venger, cela pouvait attendre, j'étaie encore jeune et Law ne paraissait pas trop vieux non plus, de plus, je voulais mettre toutes les chances de mon côté au moment d'accomplir ma juste vengeance. Le seul problème, c'est que pour me libérer, dans ma situation actuelle, j'avais besoin d'une aide extérieure qui n'allait surement pas venir de si tôt, ici pas de prince charmant pour venir me délivrer et je n'avais pas d'amis suffisant puissant et malin pour d'abord me retrouver et ensuite me venir en aide. Autant dire que j'étais dans une merde noire. Mon seul recourt était donc de plaire à Law, même si cela m'allait être dur, je n'avais pas le choix, j'espérais quand lui plaisant, il me laisse de plus en plus de liberté et le moment venu, je puisse lui fausser compagnie. Autant dire qu'après ce que je venais de faire, tout cela me prendrait au mieux un an, mais avais-je le choix, malheureusement non.

Reportant mon attention sur mon environnement, j'essayais de capter un bruit qui m'avait auparavant échappé. Malheureusement, j'avais beau me concentrer, il n'y avait que le silence qui me répondait. Cependant, il y avait bien un moyen de voir si quelqu'un était là, tout simplement en le demandant. C'est donc d'une voie assurait et n'ayant pas la moindre trace de peur que je demandais :

-Il y a quelqu'un. Law, vous êtes là ?

Dès l'appel de son nom, son corps se mouvait lentement. Le cuir crisse derrière elle, dans ce son si fondant et caractéristique par lequel on reconnaissait sans problème la peau tannée d'un animal, qui servait maintenant de siège à un dandy tortionnaire, mais élégamment tortionnaire. Ses pas feutrés s'approchent jusqu'au lit, il ne semblait pas bien loin, et ses doigts effleurent délicatement le derme de la jambe de la captive, d'une cheville jusqu'à ses fesses, où il s'arrêtera avant même d'en atteindre les courbes.

Le point de non-retour, vous vous souvenez.. La fatalité. Désormais, il va vous falloir tellement d'épreuve avant que j'accepte des choses à votre égard. Ne serait-ce que.. vous donner à manger sans devoir vous extirper quelques souffrances avant, par exemple. D'ailleurs, vous avez faim ?

Et, dans l'optique de lui donner un aperçu pervers, un avant-goût dont elle voudrait sûrement éviter toute suite, il lui offre une magistrale claque sur ses globes de chairs, dont le vent fera osciller la flamme d'une bougie trônant sur la table de chevet à un mètre de là. Je crois que j'ai oublié de le mentionner donc je le dit maintenant : Elle est nue. D'ailleurs, il fera commentaire à ce sujet.

J'ai beaucoup apprécié de devoir vous déshabiller entièrement. Cela m'a prit un temps fou. Je ne tenais pas à vous abîmer, et j'ai cruellement dû me retenir de vous faire subir un sévice dans votre inconscience. Mais j'ai réprimé mes instincts !

Et, enfin, il rompt le contact de ses doigts avec le fessier d'une condamnée, s'éloignant un bref instant, pendant lequel elle entendra des sons bas, non-identifiables. Un frottement sur du bois, la chute d'un objet semblant élastique. Seul lui sait ce qui se trame de l'autre côté du bandeau qui entrave la vue de la bohémienne.

Vous devez m'appeler Maître, vous vous souvenez ? Mais je vous laisserais un temps d'adaptation avant de vous y faire, je ne suis pas un monstre. Relevez votre taille, un peu. J'aimerais que vous vous cambriez.

Pour accompagner la demande, somme toute assez formelle et polie, une puissante douleur s'abat sur son derrière, accompagné du claquement sonore d'un fouet solide, assez court, puisqu'il arrive à l'utiliser avec bien peu de distance. Ce sera son seul coup de semonce. Encore une fois, il lui laisse une chance de s'en tirer sans trop de bobo. Il n'y a que deux alternatives : Soit elle refuse, et elle devra subir ses terribles assauts. Soit elle accepte, et il prendra ça pour une fausse soumission - car il sait qu'elle n'est pas encore prête pour devenir un objet à part entière, totalement intégrée dans le mobilier de Law. Ainsi, dans tout les cas, il est conscient qu'il devra faire preuve de violence envers elle. Peut-être ses paroles peuvent changer cet état de fait, mais il en doute.

   Il y avait effectivement quelqu'un dans la pièce, j'en eux la confirmation quand j'entendis un crissement de cuir et des pas feutrés se rapprocher de moi. Ensuite, ce sont des doigts qui me confirmèrent la présence d'une personne, car ces derniers me caressèrent la jambe gauche, commençant à ma cheville pour s'arrêter à la lisière de mes fesses. Enfin, une voie s'éleva et m'apporta l'identité de celui qui m'avait fournis cette caresse. C'était Law et ses paroles ne m'apportèrent aucun réconfort, juste pour me donner à manger, il allait me torturer, autant dire que j'allais vivre un véritable enfer. D'ailleurs, il me donna un petit aperçu de ce qui m'attendait en giflant mes fesses. Cette action me fit d'ailleurs pousser un cri qui, je m'en doutais, serait le premier d'une longue série. Après une nouvelle tirade qui n'était là encore pas trop réjouissante, il s'éloigna de moi pour aller chercher un objet, qui, je le supposais, était dans cette pièce pour m'apporter souffrance. D'ailleurs, je sus vite ce que c'était car après un rappel et une demande, Law ponctua sa phrase avec cet objet qui s'avéra être un fouet dont je reçue la morsure sur mes fesses déjà malmenées par les claques précédentes.

Après un nouveau cri beaucoup plus puissant que le précédant, j'obéissais sur-le-champ, me cabrant à mon maximum pour plaire à mon tortionnaire. Car je contais bien sûr suivre mon plan, je devais lui obéir en tout jusqu'à qu'il me laisse suffisamment de liberté pour m'échapper à coup sûr. Cependant, je ne contais pas souffrir pour rien. Je pensais Law en colère et la colère qui l'habitait était une colère froide qui appelait une vengeance ignoblement affreuse et même si je savais par avance ne pas l'annuler, je pouvais toujours tenter de la réduire. C'est donc d'une voie chargée de respect et transpirant la soumission que je pris la parole.

-Maître Law, je suis désolée pour ma réaction de tout à l'heure. Je .... J'ai perdu le contrôle de moi-même et je n'aurais jamais dû vous agresser. Mais comprenez-moi, passer de l'état de personne libre à esclave ... Je vous pris d'accepter mes excuses, je comprends que vous vouliez me punir pour ma réaction. Mais quand j'ai refusé votre proposition, était-il nécessaire de me violenter. Un simple avertissement oral et une menace auraient suffis à me faire comprendre ma place. D'ailleurs, je peux vous assurer que je l'ai maintenant comprise. Je ne me rebellerais pas.

Je n'étais pas idiote, je savais que Law ne croirait pas un seul mot de ce que j'avais dit, par contre, je contais lui faire croire que je ne mentais pas au fur et à mesure que le temps passe. J'allais lui obéir, c'était ce qu'il voulait, le seul problème et que je ne contais pas le faire toute ma vie.

Ainsi donc choisissait-elle la soumission. Hm. La nouvelle situation ne satisfaisait pas Law complètement. D'ailleurs, tout rictus aura disparu de sa face, et il toisait sa Chose avec insistance, dans un silence complet. Ses yeux parcouraient son corps, s'échappaient jusqu'à sa taille, dont elle avait dressée les plus belles formes en l'air, assignant sa croupe magnifique à la tâche dévolue par le maître des lieux. Non, cela perdait de son charme. Il voulait qu'elle crie encore. Il n'est pas forcément sadique, mais il voudrait apprécier sa vengeance au maximum. Consommer le Talion jusqu'à ce qu'enfin, il estime la faute réparée.

Après sa courte réflexion, il grimpait sur le lit. Elle sentira brièvement le contact de ses genoux nus sur ses cuisses. Le Dandy semblait donc complètement déshabillé. L'horizon des sévices qu'il allait lui procurer devenait bien plus lisibles, alors qu'il l'était déjà bien assez.

Penses-tu donc qu'ainsi j'aurais confiance en toi ? Tu commences déjà à me mentir.. Ce n'est pas ta vile parole que je veux corrompre, c'est ton esprit. Ton.. putain d'esprit rebelle. Oui, je sais qu'il est encore rebelle. Je sais que tu rêves de me faire la peau et de te venger.

Son fouet s'abat, tel le couperet d'une guillotine, net et sec, au niveau de sa nuque. Puis un autre dans le dos, entre les omoplates. Il temporisait, marquant un temps d'arrêt semblant providentiel pour le corps de la Bohémienne, cadeau qui s'estompait très vite lorsqu'il frappait de nouveau, un peu plus bas. Encore une fois, il aura marqué une pause avant que le cuir incisif ne s'abattent de nouveau sur elle, près des reins.

Reste bien cambrée. Je sens d'ici ton odeur qui m'appelle, sale petite chienne.

L'index et le majeur joints viennent frôler son entrejambe, tanière où se logent la satisfaction de ses bas instincts. Ils s'y posent et appuie contre l'entrée, menaçant d'en forcer la porte. Eut-être cru à un peu de repos ? Nullement, puisque le fouet vient claquer contre elle. Et, une fois n'est pas coutume, ses fesses en seront victimes.

Law, avant de m'annonçais qu'il ne croyait pas une seul mot de ce que je lui avais dit, vint se placer juste derrière moi. Je pus d'ailleurs sentir ses genoux sur mes cuisses, genoux qui s'avérèrent d'ailleurs être nu. Ce qui laissait supposer pareil de toute sa personne. Tout cela me fit aussi comprendre que le début de mes sévisses ne faisait que commencer et que Law n'allait pas que se contenter de me fouettait. D'ailleurs, en parlant de fouet, il recommença à me frapper, au début sur la nuque puis descendant progressivement. J'eus droit à trois coups qui m'arrachèrent à chaque fois des puissants cris de douleurs. Enfin, mon tortionnaire mis fin à son action à me traitant à nouveau de sale petite chienne. Cependant, je n'eus pas le temps d'accorder mon attention à ces paroles car je sentis des doigts frôler mon intimité avant de si poser. En réponse à tout cela, ma respiration c'était fait plus lente et j'étais à la limite de ne plus respirer. Même si je me doutais de ce qui allait suivre, ce que j'imaginais d'ailleurs très bien, je ne pouvais m'empêcher d'appréhender ce moment et là ce n'était que ses doigts, qu'est-ce que cela allait être quand il menacerait mon entré interdite avec son membre viril. Alors que j'essayais de retrouver mon calme, Law fouetta une nouvelle fois mon fessier déjà bien malmené. Ceci me fit bien entendu pousser à nouveau un cri de souffrance, mais aussi bouger mon fessier ce qui eu pour conséquence une entrée aussi brève que soudaine des doigts de Law en moi. D'ailleurs je ne pus retenir un petit gémissement qui se rajouta à la fin de mon cri précédant.

Après tout cela, j'eus un petit moment de flottement auquel je mis un terme en reprenant la parole d'une voix que je voulais sûre et ferme :

-Je me doute bien que vous n'allez pas me faire confiance sur le champ maître Law, d'ailleurs, je ne demande pas votre confiance. Mais vous contez vraiment corrompre mon esprit à me frappant, je ne pense pas que cela marche. Si je puis me permettre, si vous me frappez en ce moment, ce n'est pas pour me corrompre, c'est pour vous venger, d'ailleurs je comprens tout à fait votre envie. Et si j'ai bien compris, vous ne voulez pas forcément me briser, tout ce que vous voulez, c'est que je vous obéisse. Ce que je compte d'ailleurs faire, je n'aime pas souffrir inutilement, hors, me rebeller contre vous m'apporterait que des souffrances inutiles. Et au sujet des choses que j'ai dites tout à l'heure, je vous prierais de ne pas en tenir compte, elles étaient dites sous le coup de la colère et ne sont pas forcément ce que je pense réellement. D'ailleurs, je vous supplie à nouveau de bien vouloir me pardonner.

Bien entendu, je me moquais totalement de son pardon et tout ce que j'avais dit sous le coup de la colère était vrai. Mes dernières paroles n'étaient que mensonges et là encore, je me doutais que Law ne me croirait pas sur-le-champ. Cependant, à force de le répéter et de montrer ma docilité, il allait finir peut-être par le croire. Surtout que j'avais énoncé le pourquoi de mon obéissance, je ne voulais pas souffrir. Certes c'était vrai, je n'aime pas souffrir pour rien, mais bon, en réalité, je voulais surtout endormir la méfiance de Law, ce qui allait être long. Mais une autre idée assez particulière et qui nécessiterait beaucoup de sacrifices de ma part venait d'arriver dans mon cerveau. 

C'est décidément.. désagréable, quand elles se soumettent trop vite. La sensation de manger des pommes de terre sans sel, ou des fraises sans sucre. C'est bon, jouissif même, avec le festin visuel de sa petite croupe qu'elle lève et offre en propitiation à sa concupiscence sans limite. Mais il y a le manque de quelque chose. Le plaisir est dénué de son enrobage sucré. L'indigence de chocolat dans toute bonne pâtisserie digne de ce nom.

Mais qui es-tu, impie, pour oser retirer à Law le plaisir de la dégustation ?

Il veut le sucre glace sur son moelleux, il veut la sauce chasseur sur son rôti de biche, il veut la confiture sur ses tranches de pain, il veut toutes ces petites choses, pas forcément utiles, mais qui sont nécessaires pour apprécier le festin. Il va la prendre. La violer, peut-être comme aucune autre auparavant. Il veut que son plaisir soit complet. Il ne supporterait pas qu'elle puisse ainsi gâcher l'agape de son stupre. La rage monte.

Ca ne marchera pas comme ça. Tu t'aplatis comme si tu étais déjà soumise. Je veux t'entendre crier, me supplier de t'épargner. Je ne veux pas que tu sois docile, je veux te le faire devenir !

Ca y est, il est en colère de nouveau. Ses doigts entrent en elle sans plus de ménagement, et à l'intérieur, désynchronisés, l'index et le majeur s'agitent dans un ballet déjà rapide, simulant une pénétration en elle, alors que cette fois-ci, les fessées seront "artisanales", faites à la main, le fouet ayant été abandonné à côté de lui.

Hurle ! Comprend le pouvoir que j'ai ! Celui de te faire souffrir ou de te tuer à ma guise !

[Et un post culinaire, un.]

De la frustration, Law était frustré. Si j'avais été une observatrice extérieure et non pas la victime de la frustration, de la colère et de la rage de Law, cela m'aurait fait bien rire. D'ailleurs, j'allais encore lui répondre que c'était ses traitements précédent et la peur des futurs qui me faisaient être docile, mais je n'en eus pas l'occasion. Le maître, voulant obtenir des cris de souffrance de ma part, enfonça profondément et sans aucune douceur ses doigts dans mon jardin secret. Et comme il l'espérait, je poussais rapidement un cri montrant ma douleur.

Ce qui suivit ensuite commença à me faire perdre raison. En effet, je commençais à osciller entre plaisir et douleur. Douleur, car Law avait recommencé à martyriser mes fesses en les frappants de sa main libre, d'ailleurs, après un tel traitement, j'étais sûre de ne pas pouvoir m'asseoir pendant un long moment. Plaisir, car même si les mouvements des doigts de mon tortionnaire en moi n'était surement pas fait en ce sens, ils me provoquaient un plaisir impossible à dissimuler. D'ailleurs, mon corps commençait à s'habituer et réagir, la cyprine commençait à couler, rendant les frottements plus agréable au fur et à mesure que le temps s'écoulait.

Autant dire que non, je n'hurlais pas, c'était plutôt des gémissements de plaisir et de douleur mêlaient qui sortaient de ma gorge. Je me doutais que cela allait encore plus énerver Law, je prenais du plaisir alors que, sans vraiment le vouloir, je lui enlevais le sien. Mais que voulez-vous, il y a des choses qui ne ce contrôle pas.

[Hrp : désoler un peu court, mais je ne voyais pas quoi dire de plus]

[C'ma faute, j'te donne pas matière, désolé ><.]

Par Dieu, elle gémissait. Après un court instant où il pensait avoir remporté sa petite victoire, voilà qu'elle se mettait à profiter de la situation. Il bout de rage, rugit à l'intérieur de lui. Il voudrait instamment la buter, en l'étouffant, pour consumer sa rage et annihiler ce sentiment qui grimpe dangereusement en lui, lancé comme un train fou sur des rails sans fin, sans freins.
Non, Law, ce n'est pas digne de toi. Ta divine destinée est parsemée d'obstacles, mais tu dois garder ton calme et rester pur pour atteindre enfin le summum de l'existence. Ces cloportes rampants ne sont rien face à toi, ils ne peuvent t'atteindre.
Le tortionnaire respire, et reprend une relative quiétude. Le mouvement de ses doigts s'arrête. Il les retire, humides, et les porte à sa bouche. Dans de légers bruits de succion, il aspire tout liquide présent dessus, aspire et lèche, jusqu'à ce que toute traçe de cyprine ait été remplacée par sa salive.

Hm.. Délicieux, ma chienne.

Voilà, il est revenu dans l'inébranlable placidité dont il aime baigner. En revanche, son festin ne faisait que commencer. Il a décidé que la garniture de son repas se trouverait dans ses cris de jouissance plus que dans ceux de souffrance. Ainsi, il compte lui donner orgasmes sur orgasmes, profitant de l'occasion pour lui infliger ses tortures, et elle finirait par les aimer, jusqu'à les désirer.
Jusqu'à ne plus pouvoir se passer du plaisir qu'il voudra lui donner, et de la géhenne où il la plongera.

Tout mouvement s'est stoppé. Il contemple son oeuvre. Qu'est ce que j'ai fait ? J'aurais pu l'abîmer. Froisser un peu trop cette toile. Si il doit retoucher ce portait, il doit le faire avec parcimonie, pour ne pas trop dénaturer l'ouvrage.

Ses mains, désormais, carressent avec un malin plaisir la peau nue de sa captive. Il se penchera un peu, déposant quelques baisers doux sur les fesses endolories. Symétrique, il passera lentement sur ses hanches, remontant le long de son buste pour ensuite attendre ses côtes, et finalement ses seins. Les doigts surmontent, un à un, les tétons plongés dans le tissu des draps, et font demi-tour pour finalement s'y attarder, l'index et le pouce les pinçant légèrement, la paume continuant de se mouvoir autour pour câliner le reste du sein.
Quant à son ventre, il effleure le fessier de la demoiselle, celui qu'il embrassait quelques secondes plus tôt. Il monte, descend, et remonte. Il simule une pénétration, mais sans contact d'aucun des deux sexes. Ne cessant pas les délicatesses sur la poitrine, il se redresse un peu, et Aya sentira enfin le contact du membre de Law. Nul besoin de dire qu'il est tendu à l'extrème.

Il cale ce dernier entre les jambes écartées de sa prisonnière, et, de nouveau, imitera le mouvement de la pénétration. Effleurant le clitoris, et l'entrée de sa vulve, le gland va et vient sans jamais s'insinuer dedans, s'humidifiant de la mouille qu'il recueille, le contact des mains se faisant plus pressant. Pour lui aussi, c'était une torture.. Mais il aimait ce genre de torture.

Non décidément, je n'arrivais pas à comprendre et anticiper les actions de Law. Je pensais qu'il allait littéralement entrer en rage, chose que je craignais plus ou moins consciemment quand il retira ses doigts. Cependant, au lieu de recevoir des coups violents, Law, après avoir goûté à mon jus intérieur, commença à me caresser, puis il disposa des baisés sur les cibles de sa violence précédente.

Oui, cette réaction ne pouvait que me troubler, est-ce mes gémissements qui avaient déclenché cette douceur, car oui, maintenant Law faisaient preuve de douceur, caressant mes hanches pour remonter jusqu'à mes seins auxquels il fit subir un traitement plus qu'agréable. D'ailleurs, il dut surement le remarquer au nombreux soupirs et gémissements qui s'échappaient. De plus, je commençais à me tortiller, même si j'apprécie ses douces tortures, j'ai comme réflexe d'essayer de mis soustraire, cela est plus fort que moi. Et alors que Law commençait  à frotter son ventre contre mes fesses, je remuais ces dernières, pas dans le but de l'exciter, mais plutôt dans le but de me défaire de ses attentions que j'ai énormément de mal à supporter, cela n'est pas volontaire, c'est instinctif. D'ailleurs, tout ce que je faisais à cet instant était instinctif.

Même quand Law présenta enfin membre que je sentais dressé à mes portes intimes, cela ne me fit pas revenir à mon état normal, je n'avais plus la froide et profonde réflexion habituelle. Law me traitait de chienne, à ce stade-là, il n'avait pas tellement tort, je réagissais comme un animal, à l'instinct. Hors là, mon instinct ne faisait que me dire de me soustraire à ces douces caresse que j'appréciais pourtant beaucoup. Et alors que je savais que c'était totalement inutile, j'essayais de m'échapper, tirant de toutes mes forces sur les chaînes qui me retenaient captives, chaînes qui cliquetaient dans le concert de gémissement que je poussais, car le Maître de Lieu, mon maître actuel, au lieu de mettre un terme aux délicatesses qu'il faisait sur mes seins, en rajouta même plus. En effet, il se mit à caresser mon intimité sans jamais la forcer, augmentant ainsi l'intensité de mes gémissements de plaisirs, qui était pourtant déjà assez important.

Et alors que j'avais précédemment eu peur de l'acte qui allait surement suivre, je le voyais maintenant comme une chose normale qui ne faisait que suivre les précédentes actions. Il faut dire quand jouant sur la douceur, Law me faisait subir quelque chose auquel je n'étais pas habitué. Et cela y faisait beaucoup.

Après toupil un mois de chute d'inspiration, retrouvons notre Bergkönig dans sa forme olympique.

La patience est une interrogation de plus dans notre univers. L'éternelle et épineuse question la concernant est de savoir : À partir de combien de temps est-il possible de se dire que l'on a trop attendu ? Que l'on a trop usé de patience ? Est-ce que je dois encore rester là à ne rien faire ? Ou peut-être suis-je déjà resté trop longtemps dans l'indécision ?

En ce qui concerne Law, c'est déjà choisi : Cela fait bien trop longtemps qu'il la fait languir (le joueur aussi d'ailleurs.). Plus question de faire attendre. D'un trait, il écartèlera les chairs de sa captive, rentrant d'un trait dans son fourreau divin, oubliant toute forme de délicatesse, de gentillesse. Il n'est pas là pour ça, après tout. Il se stoppe une fois complètement à l'intérieur, soupirant d'aise, comme repus après une longue faim. Sa main fait claquer la peau de ses fesses une nouvelle fois, et il l'agrippe. Il a l'air aux anges.[/i]

Mouaaa.. On est trop bien à l'intérieur de toi ma chienne.. T'es bien étroite, comme le désire ton maître.. T'as intérêt à le rester.

Son bassin commence à remuer. Le plaisir déferle déjà en lui, comme une violente tempête, et envahit son esprit rongé par ses désirs malsains par des bourrasques atrocement bouillantes et sensuelles. Quel déroulement pourrait se voir exécuté, sinon celui de devoir se laisser submerger par ses envies ?