Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Entreprise [PV : Alice]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 75 lundi 21 janvier 2019, 01:09:45

Avait-elle réussi ? Tout portait à le croire. Leona avait dressé Lucie, elle avait tué Lucie... Mais elle devrait encore s’en assurer. Et, fort heureusement, elle avait pour ça un excellent moyen de le voir : Jeanne. Leona la regarda brièvement, en levant les yeux. Étalée au sol, la femme était épuisée, du sperme s’écoulant abondamment de ses cuisses. Elle semblait brisée, au loin, mais Leona pouvait encore discerner une flamme dans ses yeux. Elle nota cela pour plus tard, et regarda alors F-182. Barbara s’était glissée dans le dos de la femme, maintenant F-182. Leona, elle, avait ouvert la fermeture Éclair de sa culotte, permettant de voir ses lèvres intimes. Une délicieuse mouille s’en échappait encore, tombant sur les lèvres de F-182. Leona se concentra alors, et son sphincter se relâcha...

...Puis Leona soupira ne urinant sur F-182. Un jet doré fila dans la bouche de la femme, qui n’avait pas d’autre choix que de boire ce liquide. Une récompense, un immense honneur ! Boire l’urine de Leona était un cadeau rare, la preuve de toute l’estime que Leona vouait à ses esclaves. Elle urina pendant une bonne dizaine de secondes, se pinçant les lèvres en forçant, son jet doré s’intensifiant pendant quelques secondes, avant que Leona ne s’arrête progressivement.

« Haaaa... »

Elle soupira encore, ses joues ayant rougi de plaisir. Leona observa encore sa proie, conservant sur ses lèvres son sourire narquois, une lueur malveillante brûlant dans ses yeux.

« Avale bien tout, F-182... Quant à toi, Michelle, viens nettoyer mon sexe avec ta langue. »

La doctoresse obéit sans hésitation, et, après quelques secondes, Leona referma sa culotte, puis ses esclaves se rapprochèrent. Un collier fut mis autour du cou de F-182, et Leona récupéra la laisse, puis tira dessus, se rapprochant de Jeanne. La femme avait été remise sur pied, et installée sur un fauteuil. On avait attaché ses poignets et ses chevilles à de solides sangles, et elle avait les yeux dans le vague, peinant encore à réagir, à reprendre son calme, à retrouver ses esprits.

« Tu vas la former, F-182. Nous avons encore une ou deux semaines au grand maximum avant que je ne parte préparer l’anniversaire de Maman. Si tu arrives à bien la dresser, elle viendra avec nous. »

Leona s’arrêta alors :

« Ou alors, tu restes avec moi pour la durée du séjour, comme ma chienne de compagnie. Je ne sais pas trop... Vu que tu es capable de parler, F-182, que préfères-tu ? Sachant que, même si tu choisis de former cette pute, je viendrais te baiser tous les jours, cela va de soi... »

Le choix revenait à la jeune esclave, si elle était capable de le faire...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 76 mardi 22 janvier 2019, 22:36:40

Vous vous rappelez quand au début du RP, notre fameuse Lucie trouvait l’urine dégueulasse, et détestait l’urophilie de sa déesse ? Et ouais, cela avait bien changé. Maintenant, c’était un nectar divin. Alors, la question que vous vous posez forcément, c’est : « Elle aime donc l’urine maintenant ? » Et bien… Non, non, en effet, elle n’aimait pas spécialement l’urine… Mais elle aimait complètement tout ce qui sortait de sa maîtresse. Donc, CQFD, elle aimait.. L’urine de sa maîtresse ! Voilà, vous avez bien compris, vous pourrez devenir Lucie si vous avez envie. Quoi donc ? Vous n’avez pas envie ? Et bien, vous le regretterez, car franchement, c’est cool sa vie, cela ne fait aucun doute.

« Avale bien tout, F-182... Quant à toi, Michelle, viens nettoyer mon sexe avec ta langue. »

Les deux obéirent bien évidemment… Et ainsi, notre F-182, car c’était comme ça, put bien avaler toute l’urine de sa maîtresse. De suite, la doctoresse termina le travail, et tout fut rondement mené, avec une perfection quasi chirurgicale. Pas une goutte d’urine n’échappa aux deux femmes, qui furent efficace. Bref, quoiqu’il en soit, une fois cette épisode passé, la fameuse F-182 fut bien attachée, pour être promener… Mais pas très loin, étant donné qu’on l’amena jusqu’à la fameuse Jeanne, qui était toujours dans un état second, ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire… Ou plutôt qui était incapable de faire quoique ce soit ! Bref, ainsi, la fameuse Leona fit alors une proposition que notre chère F-182 ne pouvait pas refuser...

« Tu vas la former, F-182. Nous avons encore une ou deux semaines au grand maximum avant que je ne parte préparer l’anniversaire de Maman. Si tu arrives à bien la dresser, elle viendra avec nous. Ou alors, tu restes avec moi pour la durée du séjour, comme ma chienne de compagnie. Je ne sais pas trop... Vu que tu es capable de parler, F-182, que préfères-tu ? Sachant que, même si tu choisis de former cette pute, je viendrais te baiser tous les jours, cela va de soi... »

« ... »

Elle ne répondit rien. Pourtant, on l’avait vu, elle était capable de parler, elle en avait les capacités, donc… Pourquoi elle ne parlait pas ? Elle décidait de rester muette… ? C’était étrange comme situation, si vous voulez mon avis… Elle regardait attentivement la fameuse Jeanne, qui n’était pas tout à fait consciente de ce qui était autour d’elle, et donc, qui n’avait pas remarquée… Que Lucie était là, elle avait enfin la personne qu’elle avait cherché depuis si longtemps… Mais déjà, celle-ci ne semblait pas spécialement contente de la voir, alors qu’il y a encore peu, elle aurait vraiment voulu que la fameuse Jeanne vienne la sauver… Mais maintenant… La situation était bien différente, et ainsi…

« Elle me fait peur maîtresse... »

Les mots furent dit avec une grande humanité. Et ouais, malgré ce qu’elle avait subis, malgré le fait qu’elle était une chienne, elle restait humaine. Alors euh, oui, ma phrase est très étrange, je vous l’accorde, mais ce que je veux expliquer par là, c’est qu’elle sortit ça avec une grande humanité… Et qu’elle avait vraiment peur. Elle ne le montrait pas beaucoup car en temps que futurs cadeau pour la mère de Leona, elle devait être parfaite, et surtout, ne pas montrer trop qu’elle était du genre à… à avoir peur… Pourtant, c’était le cas, et elle ne pouvait pas le cacher éternellement. De toute façon, elle devait dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité à sa maîtresse, c’était obligatoire… Et donc, elle explicita un peu sa situation, en déclarant :

« J’ai peur d’elle. Elle me rappelle quelques choses. Elle me rappelle des choses… Des tas de choses... »

Et oui ! C’était ça ! Sa mémoire n’était pas totalement brisée, ou plutôt, si elle était brisée, elle n’était pas effacée. Elle n’était pas passé par une méthode robotique qui aurait effacé la totalité de sa mémoire, ou quelques choses… Non, sa mémoire existait toujours, et donc… Tout se qui se passait, elle le savait, elle le connaissait… Mais elle ne s’en rappelait plus. Donc voir Jeanne, c’était un stimuli qui lui rappelait des souvenirs… Des souvenirs d’une autre vie, une autre vie bien différente… Bref, était-ce mauvais signe ? On pouvait croire avec tout cela que donc, rester avec Jeanne était une mauvaise idée, et qu’ainsi, en restant avant la fameuse Jeanne, elle risquait de redevenir comme avant… N’était-ce pas possible, non ? Bref, oui, cela serait potentiellement possible… Mais...

« Je dois la baiser, la briser, je dois faire d’elle une pute… ce qu’elle doit être... »

Mais il n’y avait pas de retour en arrière pour Jeanne, autant être clair ! Elle était prête donc à faire subir à Jeanne ce qu’elle avait subit, pour qu’ainsi, disparaisse son ancienne elle. C’était en « éliminant » Jeanne, qu’elle se débarrasserait aussi de Lucie… Maintenant, il fallait voir ce qui allait se passer… Car il y avait, au fond, un risque non ? Et ouais, il y avait un risque que ce soit une rechute pour l’obéissance de Lucie… Bref, c’était quitte ou double, soit elle avait de la chance et tout se passait bien, soit elle risquait de sombrer encore plus… Quoi ? Dans quel sens je dis cela ? Et bien, interprêtez cela comme vous le voulez mes enfants, chacun pense ce qu’il veut ! Quoiqu’il en soit, on allait bien voir ce qu’allait dire la déesse de Lucie sur tout cela… C’était elle qui avait proposé après tout.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 77 lundi 04 février 2019, 01:09:57

Leona écouta F-182 lui confier ses craintes, ce qu’elle fit au bout d’un temps asse zlong. Patiente, Leona la regarda, sentant bien que sa jeune esclave réfléchissait. Bien sûr, Leona savait qu’elle prenait des risques en faisant ça, qu’il y avait une possibilité de rechute, mais le dressage de Jeanne serait évidemment surveillé, et, à la moindre difficulté, Leona agirait en conséquence. Elle n’allait pas perdre tous les progrès accomplis pour ça ! Après tout, elle devait offrir F-182 à sa mère, et ce présent était pour Leona le plus beau des cadeaux. Il était par conséquent hors-de-question qu’elle échoue. F-182 finit alors par répondre à sa Maîtresse, avec grande sincérité, en lui expliquant qu’elle ressentait des émotions ambivalentes et contradictoires en regardant Jeanne. Leona savait bien entendu de quoi il s’agissait. Le dressage de F-182 était une réussite, mais on ne pouvait jamais empêcher une rechute. Il ne fallait pas oublier que le dressage était encore récent, et Leona hocha doucement la tête. Au moins, F-182 était sincère, et exprima son envie de la baiser.

Plus maligne que ce qu’on pourrait croire, Leona fit claquer ses talons en se rapprochant de son esclave... Et caressa brusquement doucement sa joue. Elle lui sourit alors, et son pouce glissa sur les lèvres de F-182, caressant ses lèvres. Toute aussi violente qu’elle soit en temps normal, Leona pouvait aussi, en fonction des circonstances, se montrer d’une incroyable douceur.

« C’est normal, F-182. Avant que je ne te récupère, tu étais comme Jeanne, une personne sans le moindre but, une humaine qui se contentait de vivre. Je t’ai rééduqué pour que tu ailles mieux, pour que tu n’aies plus de fardeau sur les épaules, et ne vive que pour le bonheur et pour le plaisir de me servir. Car c’est le rôle des humains, F-182... Servir vos Dieux. C’est inscrit dans vos gènes, dans votre ADN, et c’est ce que tu ressens avec moi. Je t’aime, F-182, car tu es mon esclave. »

Et, brusquement, Leona se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres. Un geste aussi inattendu que tendre, plein d’amour et de passion. Leona savait y faire, et prolongea volontiers le baiser, déplaçant son autre main pour la poser sur les fesses de F-182, et crispa ses doigts sur sa croupe, s’y appuyant avec plaisir, tout en continuant le baiser. Sa langue se fourra alors dans la bouche de F-182, offrant à cette dernière du plaisir à l’état brut, du bonheur jouissif...

...Puis Leona rompit le baiser, un léger sourire sur les lèvres, et frotta son petit nez contre le sien.

« Bientôt, tu jouiras juste au contact de mes lèvres, F-182... »

Leona s’écarta ensuite de la jeune femme, et rejoignit le corps de Jeanne. Elle l’observa ensuite, et caressa le pied de Jeanne avec son pied, soulevant son visage, pour constater que sa tête retombait ensuite mollement sur ses épaules.

« Elle a besoin de repos... Tu devras lui montrer la lumière, F-182, comme je te l’ai montré... Lui montrer qu’elle doit renoncer à son individualité, avant de se complaire dans le bonheur naturel que prodigue la soumission. »

C’était exactement ce qui était arrivé à F-182, et, somme toute, le résultat final était plutôt réussi, non ? Leona se retourna alors sur F-182.

« Tu commenceras à l’éduquer demain. Pour l’heure, tu vas passer la nuit avec moi, F-182. Estime-toi heureuse, tu vas avoir la chance immense de faire partie de mes courtisanes nocturnes ! »

Car c’était indéniablement une très grande chance !

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 78 mercredi 06 février 2019, 14:07:33

« C’est normal, F-182. Avant que je ne te récupère, tu étais comme Jeanne, une personne sans le moindre but, une humaine qui se contentait de vivre. Je t’ai rééduqué pour que tu ailles mieux, pour que tu n’aies plus de fardeau sur les épaules, et ne vive que pour le bonheur et pour le plaisir de me servir. Car c’est le rôle des humains, F-182... Servir vos Dieux. C’est inscrit dans vos gènes, dans votre ADN, et c’est ce que tu ressens avec moi. Je t’aime, F-182, car tu es mon esclave. »

Tout devenait plus clair. Voilà pourquoi elle l’a connaissait. C’était une technique dangereuse de Leona, mais comme dirait l’agent le plus groovy de la galaxie, et bien… « I also like to live dangerously »… En effet, c’était risqué dans le sens où lui mentionner, alors qu’elle avait oubliée, qu’elle avait vécu une vie bien différente autrefois, et bien… C’était prendre le risque de la laisser redécouvrir son passé ! Et donc… De s’enfuir, ou tout du moins, revouloir vivre ce passé. Vous imaginez bien que le risque était de taille… Mais Leona n’était pas devenue ce qu’elle était sans ses coups de pokers, et ces coups de pokers n’avaient pas réussis sans évidemment qu’elle fasse juste de multiples précautions… Et ouais, elle était pas bête ! Elle était loin d’être bête, et était donc tout le contraire, extrêmement intelligente… D’ailleurs, elle avait son arme, la plus redoutable des armes, encore dans sa manche.

« Bientôt, tu jouiras juste au contact de mes lèvres, F-182... »

La douceur. C’était quelques choses qui était EXTRÊMEMENT REDOUTABLE dans le cas de notre F-182. Pourquoi cela ? Et bien, toute sa vie, elle n’avait connu qu’une seule et unique chose : la violence. On avait toujours été violent avec elle. Et voilà que tout d’un coup, on lui offrait une douceur sans pareil, n’hésitant pas à lui faire des caresses et des baisers qui étaient extrêmement plaisant, cela ne faisait aucun doute. Cette douceur était extrêmement surprenante, et elle n’avait pas connu ça depuis… Depuis… Avait-elle connu cela ? Elle ne savait même plus, elle en doutait… Bref, elle ne doutait pas cependant que ce genre de traitement serait capable de la faire jouir. Elle avait tellement de bonheur, quand on s’occupait d’elle...

« Elle a besoin de repos... Tu devras lui montrer la lumière, F-182, comme je te l’ai montré... Lui montrer qu’elle doit renoncer à son individualité, avant de se complaire dans le bonheur naturel que prodigue la soumission. »

Elle acceptait cela, elle voulait même le faire. Car elle voulait s’assurer que Jeanne ne lui ferait plus peur. Elle avait déjà moins peur maintenant qu’elle arrivait à comprendre POURQUOI elle avait eu peur de cette fameuse fille. Maintenant qu’elle comprenait, elle pouvait se préparer à tenir, justement, elle pouvait se préparer à faire de cette fille une pute. Elle en avait à la fois l’envie et le besoin… Ainsi, on pouvait penser que cela commençait déjà bien avec Leona, car maintenant, si Jeanne tentait de ramener Lucie, elle partirait en situation de désavantage, contrairement à si elle était arrivée plus tôt ! Pas de bol ! Surtout que Leona n’allait pas finir le dressage de F-182 pour si peu… En effet…

« Tu commenceras à l’éduquer demain. Pour l’heure, tu vas passer la nuit avec moi, F-182. Estime-toi heureuse, tu vas avoir la chance immense de faire partie de mes courtisanes nocturnes ! »

« Bien, ô déesse. »


F-182 alors se mit à genoux, avant de s’abaisser jusqu’aux pieds de Leona, et lui baiser les pieds. Ce que lui offrait Leona était un immense honneur, et elle devait absolument en profiter, elle remerciait alors sa déesse qui lui offrait un tel cadeau… C’était un cadeau immense, et elle en était extrêmement heureuse. Elle s’estimait heureuse ? Oh que oui. Elle avait conscience de la chance qu’elle avait, et faire partie des courtisanes nocturnes d’une telle déesse… Bon dieu, quelle chance ! La chance lui souriait énormément. Elle en était incroyablement heureuse, et donc, suivi sa maîtresse, qui pouvait l’amener où elle voulait. Elle ferait tout ce que sa maîtresse… Non, sa déesse ! Oh oui, sa déesse, tout ce que sa déesse lui demanderait. Car c’était ça qu’elle était. La servante, la propriété, elle était dans le bonheur ultime. Celui de la béatitude d’être possédée par la plus grande Déesse qui soit !

Ainsi, Jeanne était tout autant prisonnière de la Lactos que l’était Lucie maintenant, seul son esprit n’était pas encore captif comme l’était celui de Lucie. Maintenant, la question se posait… Qu’allait-on vraiment faire d’elle ? Contrairement à bien d’autres filles de la Lactos, et bien, elle n’était pas parfaite physiquement. Allait-elle connaître des changements ? Allait-être modifier physiquement pour convenir ? On ne pouvait guère le savoir, car on abandonnait Jeanne là aux bons soins de la doctoresse Michelle, qui après s’être inclinée, mis à terre même, devant la fameuse Leona, et ayant baisé ses pieds, emportant Jeanne pour qu’elle puisse se « reposer », et qu’elle soit prête le lendemain, après la nuit que Leona et Lucie allait penser ensemble. Il faudra qu’elle soit parfaite, cela ne faisait aucun doute. Car quand on parle de Leona, et bien… Tout ce doit d’être parfait ! L’inverse était impensable.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 79 lundi 11 février 2019, 01:00:26

Avant de partir, Leona s’entretint brièvement avec la doctoresse Michelle, et lui expliqua d’appliquer pour Jeanne un traitement particulier. Habituellement, les sujets de la Lactos étaient suivis en fonction de multiples critères très précis, dont leur beauté. Et ceux qui ne remplissaient pas les critères esthétiques requis subissaient des traitements hormonaux et spéciaux. Dans le cas de Jeanne, il fallait néanmoins recourir à une autre méthode, à d’autres techniques. Des techniques plus onéreuses, mais Leona avait pour habitude de dépenser sans compter.

« Il en sera fait selon vos désirs, Maîtresse.
 -  Voilà qui me ravit. Occupe-toi d’elle, qu’elle soit prête pour demain matin. »

Michelle devait bien admettre être un peu jalouse de F-182, car elle passerait la nuit en compagnie de leur Maîtresse... Mais elle n’aurait jamais été contre un ordre direct de Leona. Elle fit donc signe à plusieurs infirmiers, et ils conduisirent Jeanne, non pas vers l’une des cellules que F-182 avait utilisé, mais vers une autre section de l’institut Ravenborn. Quant à Leona, elle s’avança à travers les couloirs, tenant F-182 par une laisse reliée à un collier mis autour de son cou. Pour bien la préparer, les autres esclaves avaient glissé un plug anal dans le fessier de F-182, avec une queue poilue. Une plug tail, donc, ce qui s’accompagna naturellement d’une petite clochette fixée au collier, de sorte que, à chaque déplacement de F-182, la clochette carillonnait.

Tout ceci faisait d’elle la chienne de Leona. En chemin, F-182 put voir que, la nuit, l’institut Ravenborn semblait sombrer dans l’orgie la plus totale. Avant de rejoindre sa chambre, Leona rejoignit en effet le centre de contrôle de l’institut. Une sorte de salle avec de multiples ordinateurs et de nombreux écrans retransmettant les caméras de sécurité de l’ensemble de l’institut. Chaque cellule était dotée d’une caméra, ainsi que les couloirs, et des techniciens et des opérateurs surveillaient régulièrement tout ce qui se passait.

De fait, sur les écrans, on voyait très souvent des scènes de sexe. Où que le regard se pose, c’était la même scène qui se répétait. Dans une cellule, deux captifs forniquaient copieusement. Dans une autre, des infirmiers s’y mettaient, enculant une jeune femme, ou un jeune homme, tout en enchaînant les fellations. Mais il y avait aussi d’autres pièces, différentes, ressemblant à des salles de laboratoire. Là, des hommes étaient formés dans des cuves. Ainsi, sous le regard concupiscent d’une infirmière, un homme subissait un traitement hormonal intense. Son sexe disparaissait dans un étrange appareil qui veillait à le stimuler, à renforcer son endurance ainsi que la taille de sa queue, tandis qu’un casque de réalité virtuelle sur son image le conditionnait.

« Oh, vous voilà, Maîtresse ! »

Un homme en costume-cravate approcha. Un homme ventripotent, qui était le directeur de cet établissement. Il jeta un bref regard sur F-182, occupée à se frotter contre les jambes de sa Maîtresse.

« Je regarde un peu comment vous vous en sortez...
 -  Comme vous le voyez, l’institut se porte très bien.
 -  Alors même que des individus ont réussi à entrer de force à l’intérieur ce soir ? »

Le directeur se crispa sur place.

« Nous travaillons déjà à corriger les failles de sécurité de cet incident... Votre nouvelle pensionnaire va bientôt être dans l’une de nos cuves de traitement. Il y en aura pour quelques heures, mais, après la préparation que vous lui avez fait subir, le traitement fonctionnera ! »

Leona sourit brièvement.

« Je veux qu’elle soit très belle, je compte la rapprocher de ma petite chienne. Tu entends ça, F-182 ? Le Monsieur devant toi va faire de Jeanne ta petite-amie. Tu devrais remercier le Monsieur bien comme il faut, je crois que sa queue attend ta bouche... »

Le directeur était assez gros, et rougit légèrement. En s’approchant de lui, on pourrait effectivement constater qu’une bosse commençait à déformer son pantalon, même si son érection venait surtout du fait de voir Leona dans une tenue si courte...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 80 jeudi 14 février 2019, 22:12:55

Elle allait passer sa nuit avec sa déesse. C’était un honneur immense, même pas imaginable pour une femme comme elle ! Surtout que… Enfin… Elle arrivait pas à le croire. Pour F-182, il y avait eu infiniment beaucoup trop d’honneur en si peu de temps. C’était incroyable ! Vous ne trouvez pas ? Non ? Et bien, c’est que vous n’êtes pas dans l’état d’esprit de la fameuse F-182, et donc, j’ai le regret de vous dire que vous n’aurez pas la chance de subir le même sort qu’elle ! Ou au contraire, vous devez subir le même sort qu’elle, si vous voulez finir en son état. Oh, ne cachez pas, je sais qu’au fond, vous avez tous envie de cela, c’était une suite de vie beaucoup trop alléchante pour que vous refusiez que cela arrive, non ? Non ? Vous ratez quelques choses… C’est moi qui vous le dis !

Mais avant il fallait la préparer. Et ouais, elle n’allait pas aller jusqu’à la chambre de sa déesse sans un minimum de préparation… Quand même ! Surtout que visiblement, la déesse avait quelques choses à faire avant. Quelques choses d’important, étant donné qu’il était lié à la doctoresse Michelle, celle avec qui Lucie avait concouru pour avoir le droit d’avoir la pisse de la déesse. Bref, quoiqu’il en soit, concentrons-nous sur l’esclave. D’autres esclaves commencèrent à la préparer. Plusieurs chose. D’un côté, et bien, ce fut alors une queue qui lui fut installée au niveau de l’anus, avec un beau plug qui dilata bien son anus, pour pouvoir bien se coincer. Hors de question qu’il tombe ainsi !

Mais il y avait autre chose… Une clochette fut installée à son collier… Une clochette ? Mais pourquoi cela me demanderiez-vous ? Et bien que fait une clochette à votre avis ? Mmh… ? Vous ne savez pas ? Réfléchissez un peu… Que fait une clochette à part sonner ? Et bien, ouais voilà, la clochette, elle sonnait… Mais pas les matines… Elle sonnait étant donné que voilà notre chère F-182 à quatre pattes, promener en laisse par Leona qui était donc de retour ! Voilà donc ce qui se passait, elle se promenait à quatre pattes, les seins bien pendant, et avec la clochette qui avertissait ainsi à chacun de ses pas. Si c’était pas merveilleux comme situation ?  Oh, que oui. C’était vraiment merveilleux.

La promenade se coupa alors, jusqu’à une scène doté de nombreux écrans. Les écrans étaient visiblement le moyen de prendre conscience que nous étions ici dans le centre névralgique de Ravensborn. On pouvait tout voir… Et donc, surtout, des scènes de sexe ! Énormément de scène de sexe, des plus horribles aux plus délicieuse ! On pouvait voir des familles entière entrain de faire l’amour, des fils violer leur mère, des pères violer leur fille, des infirmiers enculant des patientes, un patient masculin qui se faisait prendre par trois femmes qui le dominait très clairement, un patient masculin se faisant enculer par deux futanaris… Bref, tout semblait possible dans ce paradis de Luxure, dirigé par une déesse...

C’est dans ce cadre qu’arriva donc un homme. Bien habillé, il faisait presque tache dans ce lieu où on pouvait observer les pires idées orgiaques possibles… Mais bon, on va être clair cinq minutes… Franchement, l’arrivée de ce mec… Et bien, F-182 n’en n’avait rien à faire. Là, elle était une petite chienne… Une vraie petite chienne. Elle se caressait aux jambes de sa déesse, et l’arrivée de cet homme… Franchement, elle en avait rien à foutre. C’était très sérieux pourtant ! Mais ainsi, elle rata la magnifique ironie de notre fameuse Déesse, qui fit glacer le fameux mec ventripotent, et directeur de l’établissement. Quand même ! Cependant, si la première partie de la discussion n’intéressa pas donc le moins du monde la fameuse F-182… La suite fut plus intéressante, car elle fut concernée… Et qu’elle avait quelques choses à faire !

« Je veux qu’elle soit très belle, je compte la rapprocher de ma petite chienne. Tu entends ça, F-182 ? Le Monsieur devant toi va faire de Jeanne ta petite-amie. Tu devrais remercier le Monsieur bien comme il faut, je crois que sa queue attend ta bouche... »

Ni une, ni deux, elle se lança sur l’homme. Il n’eut pas le temps de dire quoique ce soit, étant donné que son pantalon tomba aussi vite qu’une pierre que tu jettes du haut du quatrième étage. Dans son sous-vêtement -propre, heureusement, même si franchement, F-182 n’en n’aurait eu strictement rien à foutre-, et bien, on pouvait voir que le phallus commençait à être vraiment d’une belle taille, et qu’elle devenait donc de plus en plus dur. Il n’avait pas un phallus d’une taille ridicule, même si tout n’était pas proportionnel. Dommage qu’il n’était pas aussi gros de bite qu’il était gros de ventre ! Faut dire les deux n’avaient rien à voir… Bref, de toute façon, quelques soit la taille, cela ne changeait absolument rien pour Lucie…

Maintenant que le sous-vêtement avait été baisser, et bien… F-182 pouvait commencer à faire ce qu’elle devait faire… Sucer ! Et elle prit en bouche la bite, de suite, avec une efficacité absolument démoniaque. Elle ne savait pas quelle était le degré d’expérience du chef de l’établissement de Ravensborn, mais il avait intérêt à être accrocher, étant donné que… Elle n’était pas n’importe qui. Elle était F-182. L’une des dernières créations, une des grandes réussites de Ravensborn, mais surtout de sa déesse Leona. Elle était un futur cadeau pour la cheffe de la Lactos Compagnie… Et donc, hors de question de ne pas être à la hauteur. Cet homme allait recevoir la meilleure fellation de sa vie, il allait pas comprendre… Mais elle s’en fout, mais alors, foutait complètement qu’il comprenne ou non. Non, le plus important, là… C’est qu’il allait… Kiffer. Enormément kiffer. Cela allait être sa fête !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 81 lundi 18 février 2019, 01:02:40

Il n’y eut absolument aucune hésitation dans le comportement de F-182. Leona lui donna sa cible, et elle s’y précipita, sans demander son reste, sans hésitation aucune. Le scientifique bedonnant frémit quand la femme déboutonna son pantalon, l’ouvrit, et libéra son sexe. Une queue se dressa fièrement, et ne tarda pas à se durcir et à gonfler quand la petite bouche de la belle blonde s’y glissa. La main du scientifique s’appuya sur les cheveux de la femme, et il soupira sur place, tandis que F-182 s’attaquait à son membre. Pas d’hésitation, donc, mais au contraire un plaisir croissant, qui ne pouvait que faire plaisir à Leona. Plus le temps passait, et plus elle était intimement convaincue que F-182 était définitivement prête. Il y avait sans doute encore des vérifications supplémentaires à faire, mais Leona se félicitait du progrès accompli !

Quant au docteur, l’homme était, comme bien d’autres scientifiques ici, venu sans trop savoir ce qui allait lui arriver. C’était un homme qui avait connu un revers de sa fortune dans sa carrière, un praticien qui avait commis une erreur médicale. Aucun hôpital ni clinique n’avait voulu l’embaucher, jusqu’à ce que l’institut Ravenborn le débauche du fond du bar où il passait ses soirées à boire pour oublier la détresse de sa vie. Il avait su rebondir, et était, depuis, similaire au Docteur Michelle, et à tout le personnel des lieux. Il n’oserait jamais se révolter contre Leona Morimoto, et profitait au contraire volontiers des multiples patientes de l’institut, qu’il pouvait violer sans crainte, et ce d’autant qu’elles finissaient toujours par aimer ça... Comme F-182. Il frémit donc, essayant de se montrer calme et serein face à Leona, ce qui était difficile. La richissime Morimoto aimait se promener en portant des tenues courtes, très indécentes, et elle aimait se sentir admirée, savoir qu’elle était belle, désirable, qu’elle hantait les nuits des hommes et des femmes.

Elle se déplaça lentement, observant brièvement les écrans. Ravenborn était l’une des plus grosses cellules de la Lactos Company, et elle caressa le visage de l’un des techniciens, qui rougit sur place, avant de sentir les doigts gantés de Leona tripoter ses lèvres.

« Sur qui travailles-tu en ce moment, toi ?
 -  Oh, hmmm... C’est... Celle-là est une toxico’ qui élevait son garçon dans une ville perdue du pays... Cherbourg, je crois. Elle s’envoyait en l’air dans son studio pour avoir de la drogue, sous les yeux de sa fille. »

La Lactos avait récupéré ces déchets de l’humanité. La mère avait été sevrée, soignée, et la fille était devenue une perverse. Maintenant, dans leur cellule, la mère pouvait sodomiser sa mère à l’aide d’un strap-on. Elles couchaient maintenant ensemble depuis une bonne heure, alternant les positions. Leona sourit doucement, et libéra le jeune homme, le laissant avec son érection naissante, puis retourna voir F-182.

Concentrée, la petite chienne pompait avec appétit la queue du docteur, qui restait sur place, soupirant lentement, cherchant à tenir aussi longtemps que possible avant de jouir. Il aurait été indécent de se relâcher trop vite dans la bouche de l’animal de compagnie de Leona trop vite ! Il tint donc... Puis, au bout de plusieurs minutes, sa queue tressauta, et balança quelques filaments de sperme dans la bouche de F-182.

« Ohhhh... »

Heureux et soulagé, l’homme reprit ensuite son souffle, tandis que Leona se mit à sourire malicieusement, se mordillant les lèvres.

« Avale bien tout, F-182... »

Une fois ceci fait, Leona salua les ingénieurs, puis sortit avec sa chienne et ses esclaves, dans un concert de talons claquant sur le sol.

« C’était bon, F-182 ? Sois heureuse, tu vas goûter encore plein de sperme ce soir ! »

Leona se rendit vers la plus grande chambre de Ravenborn, au sommet de l’institut. Il y avait une grande terrasse intégrée, et elle avait surtout aménagé les lieux, car, outre ses esclaves féminins, il y avait aussi une dizaine d’hommes, qui étaient attachés le long des murs. Nus, ils portaient chacun une cagoule en latex dissimulant leur visage, exhibant des corps parfaits et savamment taillés, une culotte noire en latex sur leur corps, laissant toutefois pointer leurs verges.

Visiblement, les nuits de Leona étaient très intenses...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 82 jeudi 21 février 2019, 20:57:45

Ni hésitation, ni doute. Ni refus, ni même ne serait-ce qu’un moment de recul. On lui avait dit de faire cela, elle avait foncé le faire. Un peu comme un chien que tu envoies à l’attaque. Après tout n’était pas une chienne ? Elle avait été éduquée un peu comme une chienne, sauf qu’au lieu d’attaquer, de mordre, de déchiqueter, et bien, elle avait foncée pour pouvoir… Sucer ! Et ouais, vous l’avez bien capté. Elle n’avait pas hésité le moins du monde pour une raison très simple… Pourquoi aurait-elle hésité d’abord ? Elle avait eu une mission, un ordre… Et donc, elle devait le faire. Le plus efficacement possible. Mais il y avait une différence, contrairement à quand elle faisait quelques choses pour sa maîtresse… Et bien, il n’y avait aucune admiration, vénération, amour… Vous comprenez ?

Est-ce que cela voulait dire qu’elle le faisait mal ? Genre qu’elle ne faisait aucun effort ? Bien sur que non ! Je vous rassure ! Cela restait quand même d’une grande qualité. Pour plusieurs raisons. Premièrement, car elle aimait ça maintenant, elle avait prit un certain goût à ce genre de situation… Et franchement, ouais, c’était cool. Mais la seconde raison était beaucoup plus importante… Hors de question de désobéir à sa précieuse maîtresse, ou mal faire le travail qu’elle lui avait confiée… Elle se devait de le faire le plus formidablement possible. Pour elle, il n’y avait pas la moindre hésitation. Elle serait excellente. Quoiqu’il arrive. Et donc, elle suçait, activement, avec efficacité, une efficacité redoutable, étant donné que le mec… Commençait à...

« Avale bien tout, F-182... »

Mais oui, vous avez bien deviné ! Il avait commencé à jouir ! Faut dire, notre chère Lucie était devenue redoutable… Enfin, à ce stade, peut-on encore dire Lucie ? Non bien entendue. Elle était devenue corps et âme F-182. Et elle allait le devenir encore plus, quand elle commencerait à briser notre chère Jeanne, mais chut, n’allons pas plus vite que la musique. C’est quand même important. Ainsi, Leona n’avait rien à craindre sur le fait qu’elle allait bien avalée tout. Franchement, elle n’allait pas faire le moindre gaspillage ! Quand même, elle se devait d’être efficace et de sucer sans faire la moindre tache. Ainsi, pas d’inquiétude les gens. Tout le sperme fut entièrement avalé, et à la fin, il n’en resta plus rien. Plus rien du tout. Elle avait avalé tout, et donc… Leona lui demanda tout logiquement...

« C’était bon, F-182 ? Sois heureuse, tu vas goûter encore plein de sperme ce soir ! »

« Excellent, ô déesse. »

Elle le déclara tout de suite, sans la moindre hésitation, encore une fois… Et offrant même un sourire à notre chère déesse ! Et ouais, vous auriez pu avoir l’impression qu’elle était devenue « robotique » à cause du côté froid des derniers posts… Mais non, elle restait chaleureuse envers sa maîtresse. C’est juste qu’à part sa Déesse, et plus encore, sa future déesse suprème, et bien… Elle ne s’intéressait pas vraiment au reste. Franchement, l’homme aurait pu faire un arrêt cardiaque alors qu’elle était entrain de le sucer, et bien, elle aurait continué de le sucer, sans se soucier du fait qu’il serait entrain de mourir. Non, ce qui comptait ? Sa maîtresse. Sa précieuse déesse. C’est tout. C’est pour ça qu’elle suivait avec impatience ce dernière, ayant hâte de découvrir cette chambre… Humaine pour sa déesse. Oui, Chambre Humaine, étant donné qu’elle savait qu’elle n’avait pas encore découvert le lieu le plus important… Le lieu où sa déesse était, et où la mère de sa déesse s’y trouvait également… !

Bon, maintenant… Nous sommes arrivés ! De suite, F-182 resta de marbre devant cette décoration… Particulière ! Et bah ouais… Ce qu’elle avait vu dans le casque de réalité virtuel, cela avait été bien pire. Donc… Sur une grande terasse aménagée, on trouvait de nombreuses esclaves féminines. F-182 était sans doute la plus jeune, la petite nouvelle, il y en avait des plus vieilles… Mais ce qui frapperait Lucie, si elle y était entrée avant d’être bien brisée… Et bien, cela aurait été tout ces… Ces… Pouvait-on encore les appeler des hommes ? C’était des décorations murales. Littéralement. Entièrement déshumanisés, ils ne semblaient n’être réduis qu’à leur phallus. Dans un sens, c’était une belle revanche. Combien de fois des femmes avaient été réduite à cela… Pour une fois que c’était des hommes… Leona pourrait presque devenir un symbole du féminisme, ça, c’est moi qui vous le dit ! Bon, d’accord, elle exclavagisait aussi des femmes, donc, ça réduit un peu la portée symbolique… Mais quand même !

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 83 lundi 25 février 2019, 00:51:34

À voir le traitement réservé aux hommes, on aurait pu se demander si Leona n’avait pas, inconsciemment, un problème avec le sexe masculin. Après tout, avait-elle une fois parlé de son père depuis son arrivée ici ? Mais, d’un autre côté, lui reconnaître un traumatisme lié à son enfance, ce serait, en un sens, l’humaniser, et contester son statut de Déesse. Il fallait donc se résoudre à admettre que Leona était cruelle avec les deux sexes, pour leur bien, mais que les hommes n’étaient pas aussi sensibles aux gestes affectueux que les femmes. Il fallait donc les dresser plus sauvagement, d’autant que, et c’était là une simple histoire de goût personnel, Leona préférait le corps des femmes à ceux des hommes. Il y avait plus de formes, il y avait des seins à peloter, un corps plus doux, plus tendre. Chez les hommes, mis à part leur montagne de muscles et leurs verges, il n’y avait pas grand-chose d’autre. De plus, Leona développait justement des programmes visant à avoir des esclaves de sexe féminin au corps bodybuildé, ce qui lui permettrait de se séparer encore davantage des hommes... Ce qui revenait à considérer qu’elle avait sans doute un problème avec le sexe masculin.

Mais, encore une fois, ce ne serait pas sa cour qui oserait le lui dire. En l’état, F-182 put voir qu’il y avait bien dans la pièce une quinzaine de femmes. Elles portaient toutes des tenues très courtes, des combinaisons érotiques en latex, ou juste nues, avec des gants et des collants. Elles avaient patiemment entendu leur Maîtresse, et Leona s’avança au milieu de ces femmes agenouillées sur le sol, formant une double rangée. Les mains de Leona caressèrent leurs visages, et elle traversa sa cour pour s’asseoir sur le bord de son lit, et leur fit face.

« Mes chéries, je vous présente une nouvelle recrue ! »

L’appeler « F-182 » ne serait sans doute pas très harmonieux au sein de sa cour, et Leona la baptisa rapidement :

« Vous l’appellerez... Choupette ! C’est ma chienne personnelle, et je compte l’offrir en cadeau à ma mère ! »

Cette situation semblait irréelle. Croire que toutes ces femmes avaient, comme F-182 (ou, maintenant, comme Choupette) subi un lavage de cerveaux... Jusqu’où pouvait s’étendre l’influence et la puissance des Morimoto ? À voir tous ces esclaves ainsi docilement prostrés, des nymphes au corps somptueux, on ne pouvait que comprendre l’hubris de Leona. Elle tapa ensuite dans ses mains, et deux beautés au corps adulte se rapprochèrent de Choupette : Laura, et Carrie.

« On va s’occuper de toi, Choupette...
 -  Que tu ne manques pas d’amour... »

D’autres esclaves se rapprochaient également de Leona, qui sentit leurs lèvres se poser sur ses bottes.

Et l’orgie put ainsi commencer...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 84 jeudi 28 février 2019, 19:34:33

Leona avait-elle des soucis psychologiques ? Alors là, je dis oui ! Comme dirait Julien Lepers. Enfin, si Julien Lepers lit ce genre de RP, ou participer à ce genre de truc, là, je vous avoue que je suis pas mal choquée. Franchement… Julien, ce n’est pas raisonnable ! Mais bref, alors, donc, oui, il y avait clairement des soucis entre elle, et les autres, et particulièrement le sexe masculin. Sans doute que Kenji en la voyant penserait qu’elle est membre du complot féministe (spoiler, si vous n’avez pas joué à Katawa Shoujo, jouez y. Franchement. En plus c’est gratuit.).. Mais elle avait un soucis. Peut-être un complexe, une souffrance, une mauvaise éducation… Tant de choses possibles, bien que l’éducation était sans doute lié. Etait-elle une victime ? Non sans aucun doute. Mais il y avait des choses à comprendre… Dans son comportement.

Mais abandonnons un peu cela, et concentrons-nous donc sur la scène. Nous avons vu les hommes, nous les avons étudiés, nous avons fait des blagues sur eux -ce qui est grosso-modo 80 % de mes paragraphes, n’est-ce pas ?-, Et bien là, concentrons-nous sur le beau sexe, comme dirait Ronsard ! (Oui, Juliens Lepers est accompagné de Ronsard). Donc, il y avait des femmes, mais elles n’étaient pas dans la même position que les hommes. Elles, elles n’étaient pas réduites à de la Forniphilies (quand vous aimez les objets, et l’objectification), mais elles restaient des esclaves, c’étaient des femmes de harem… Et là, Lucie devait rejoindre ce « harem » pour le moment. Ainsi, Leona la présenta au groupe :

« Mes chéries, je vous présente une nouvelle recrue !  Vous l’appellerez... Choupette ! C’est ma chienne personnelle, et je compte l’offrir en cadeau à ma mère ! »

Lucie, enfin, Choupette s’inclina. Donc, c’était sa son nom ? Elle allait pas cacher non plus… Elle était extrêmement honoré d’entendre qu’elle était la « chienne personnelle » de Leona. Alors, ok, elle devinait que c’était que temporaire, ce n’était que exceptionnelle pour cette soirée. Mais quand même ! C’est franchement un immense honneur d’entendre cela ! Elle rayonnait à l’intérieur, mais elle tentait de le montrer le moins possible. Donc, elle regardait les deux femmes qui furent les premières parmi la quinzaine d’esclave ici présente, à s’intéresser à elle. Pendant qu’elles venaient, Lucie, enfin Choupette remarqua donc les quelques femmes qui allèrent vers Leona. De suite, reflexe, elle surveilla ses esclaves, avant de se raviser. C’était stupide, sans aucun doute que celle-ci étaient tout autant formée, et donc, ne posait aucun soucis.

« On va s’occuper de toi, Choupette...
 -  Que tu ne manques pas d’amour...
 »

Elle fut surprise -mais tenta de nullement le montrer, quand même, c’est important-, par les femmes.  Physiquement, elle était parfaite, comme toutes les autres femmes, cela ne faisait aucun doute. Elle devinait que la Lactos -oh, c’est surprenant vu le nom-, se concentrait énormément sur les seins, qui étaient souvent la partie la plus belle des femmes ici présentes. Mais ce fut surtout le comportement des deux femmes. Etait-elle toujours à Ravenborn ? Sérieusement ? Elle se souvenait de la violence, de comment elle avait été brisée. Et voilà qu’elle se retrouvait dans des situations ou… Tout le monde était gentil avec elle ! Et elle en était contente. Mais elle ne devait pas le montrer non ? Elle devait être parfaite. Pour sa déesse. Ainsi, elle déclara :

« Merci à vous. »

Ouah, froid ! Elle déclara cela d’un ton mécanique, prête à faire ce qu’elle allait devoir faire, c’est à dire, du sexe. C’était à ça qu’elle était bonne. C’était sa spécialité, c’était ce qu’elle devait faire avant tout. C’était très important, étant donné qu’elle devait toujours satisfaire ses divins propriétaires non ? Donc, y comprit les deux autres esclaves qui étaient devant elle. Avec elles aussi, elle devait être parfaite. Pour que Leona soit satisfaite. Depuis qu’elle était ainsi, elle ne pensait qu’à une seule chose : Satisfaire sa déesse, faire ce qu’elle devait faire, être parfaite. Car ainsi, sa déesse serait satisfaite. Et c’était ça qui était important. Donc, en toute logique, elle commença à déclarer :

« Que dois-faire Choupette ? »

Oh, peut-etre que le lavage de cerveau, avait un peu trop bien marché. Elle était peut-être devenue un peu trop docile et obéissante. Peut-être… Ou peut-être que cet étape était tout à fait dans le système de formation, permettant après avoir développé son obéissance, et sa parfaite soumission, de lui redonner un peu d’indépendance, tout en ne retirant en rien sa soumission. C’était aussi le plan avait l’élevage qu’elle avait fait de notre chère Jeanne ! C’était justement ça le but. Faire en sorte qu’elle soit toujours soumise et obéissante envers Leona et sa mère, cela ne faisait aucun doute, mais qu’elle soit pas non plus froide et déshumanisé. Faire un mélange entre Lucie et F-182, c’est à dire… Oui, exactement ça. Choupette. Elle avait été Lucie. Elle était F-182. Il était temps de devenir Choupette maintenant.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 85 lundi 04 mars 2019, 00:51:41

Comme toutes les autres personnes ici, Laura et Carrie n’étaient pas leurs noms de baptême. Comme Choupette, elles étaient des esclaves, des filles qui avaient été brisées par la Lactos Company, et qui avaient eu l’immense honneur, parmi les nombreux esclaves de la Lactos, de rejoindre la cour personnelle de Leona. Celle-ci s’assit sur le rebord du lit et croisa les jambes. Devant elle, Choupette demanda ce qu’elle allait faire, ce qui fit glousser Laura et Carrie. D’autres esclaves venaient déjà s’occuper de Leona, massant ses épaules, ou venant lécher ses pieds. La riche blonde laissa ses esclaves agir, et Laura, dans le dos de Choupette, lui intima de se mettre à quatre pattes.

Sous les yeux de Choupette, Carrie se plaça devant elle, caressant ses cheveux, et approcha son sexe de son visage, avec ce beau cœur qui se retrouvait à hauteur de ses lèvres intimes.

« Sois une bonne chienne, Choupette... Et lèche ! »

Choupette n’eut plus qu’à relever la tête, et put ainsi lécher le sexe de Carrie, qui crispa ses doigts sur sa chevelure. Carrie gémit doucement, remuant d’avant en ailleurs, accompagnant les mouvements buccaux de la jeune femme. Elle y allait calmement, tranquillement, ce qui tranchait clairement d’avec tout le reste, avec toutes les séances de sexe lourdes et violentes que la jeune femme avait subi dans le passé. Au contraire, Carrie optait pour la douceur, et, de son côté, Laura faisait de même... Mais avec un peu de sel !

Dans le dos de la jeune femme, elle commença par malaxer les fesses de Choupette, pinçant son cul, et gloussa doucement, avant de la gifler, donnant une série de gifles. Ces deux femmes étaient esclaves depuis si longtemps qu’elles ne vivaient plus que pour ça. Leona n’avait donc aucun besoin d’être violente avec elles, car elles ne se révolteraient jamais. Elles étaient totalement sous son contrôle, ce qui serait bientôt le cas de Choupette aussi.

« Hihi, ton cul est très agréable, Choupette !
 -  C’est une bonne chienne, ça, hein ? Lèche, là, ouiii, lèche, ma belle... ! »

Leona se régalait de ce délicieux spectacle. C’était à croire qu’avec elle, le sexe était omniprésent. Pourtant, elle était bien dans sa chambre à coucher, mais le sommeil semblait encore loin de la guetter. Ou peut-être qu’elle préparait juste Choupette pour la suite des évènements ? En tout cas, tout en la giflant, Laura déplaça ensuite ses mains, et vint masturber la jeune femme, tout en la sodomisant également. Elle utilisait pour cela chacune de ses mains, l’une se glissant dans ses lèvres intimes, l’autre dans son fondement. Elle glissa deux doigts dans sa chatte, sentant la mouille de cette dernière le long de ses doigts, et sourit doucement.

Carrie s’appuyait aussi contre le corps de la jeune Choupette, gémissant à son tour. Aucune des deux femmes n’était particulièrement pressée d’agir, et il était clair qu’elles cherchaient toutes les deux à bien la préparer pour la suite...

...Avec Leona !


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