Slade n’était pas inquiet le moins du monde. Avait-il raison de ne pas s’inquiéter pour Jubal ? Sans doute, oui… il estimait relativement peu dangereux malgré la présence du démon le frère de sa fiancée. Sûr de lui, sans doute au-delà de la limite de l’arrogance, il était sûr de pouvoir le défaire en cas de besoin. Personne n’avait jamais pu le toucher, ou plutôt, n’avait jamais pu le blesser. Il n’avait aucune raison de penser que ça allait changer dans un avenir plus ou moins proche, voir même lointain. Il était, estimait-il, invulnérable, alors pourquoi s’en faire ? Il préférait largement continuer d’assouvir des envies plus que naturelles avec cette compagne fort plaisante qu’il allait devoir supporter au quotidien bon gré mal gré. Autant que ce soit bon gré, non ?
Autant vous dire qu’il comptait lui faire son affaire en beauté, quitte à ce qu’elle mette un peu de temps à s’en remettre, qu’elle reste debout au lieu de s’asseoir, ou toute autre chose de la sorte… ça lui ferait du bien ! Et à elle aussi, ou du moins, temporairement, avant qu’elle en ressente le contrecoup, aussi violent qu’il puisse être, car il ne la ménageait clairement pas ! En même temps, il n’avait à aucun moment estimé qu’elle devait être ménagée… et elle le prouvait alors qu’elle se cambrait, tendue par la douleur alors qu’il forçait pour lui labourer les entrailles de sa turgescence…
Enfin, peu à peu, à rythme de ses coups de reins de plus en plus violents, alors qu’une fine pellicule de sueur commençait à glisser sur son visage, il la sentait se détendre, gémir même. C’est à ce moment-là qu’il se décida à faire bien plus. Il se pencha sur son corps cambré, lui mordant l’épaule presque jusqu’au sang alors que sa main se glissait entre ses cuisses pour tâter de son humidité naissante non sans lui faire, à cette sensation un petit commentaire graveleux.
« Et bien tu y prends goût il faut croire… je croyais que ce n’était pas digne d’une princesse ? Mais tu as raison, c’est juste digne d’une catin… » [/b][/i]
Il lui fit un sourire, l’embrassa dans le coup au rythme d’un coup de rein particulièrement brutal.
« C’est peut être ça… Dame Astrid, princesse des catins, ma princesse des catins… » [/b][/i]
Il avait en tête des obscénités sans nom à mettre en pratique avec elle, et sans doute plutôt deux fois qu’une ! Il lui sourit et continua ainsi jusqu’à finalement se caler bien au fond et jouir entre ses fesses, se retirant sur la fi, après nombre de jets de foutre glaciaux qui allaient peu à peur pour couler de ses fesses jusque sur ses cuisses. Il la retourna alors dos contre le mur pour lui plonger le regard droit dans les yeux.
« Et vu comment tu couines, je ne doutes pas que tu adores ça… »[/b][/i]
Il l’embrassa avec fougue, la bloquant entre lui et le mur.