Nom : Anciennement Souzas, plus aucun à présent.
Prénom : Iani
Surnom : La favorite, la rose des sables, la venimeuse
Âge : 26 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Orientation sexuelle: Bisexuelle
PhysiqueLes yeux étaient rivés sur le rideau. Un simple voilage transparent derrière lequel on ne distinguait qu'une forme. Elle se mouvait au rythme lent de la musique. Une silhouette féminine. Fragile.
La musique se fit plus forte et d'entre les voiles on put voir une main fine, délicate, avec des doigts longs et un poignet mince. Un dessin commençait à l’extrémité d'un doigt. Il se prolongeait par une tige, enroulée autour du poignet et alors que le bras émergeait à son tour, elle s'entrelaçait sur elle même, s'ornant d’épines acérées. Elles scintillaient, sensuelles et cruelles, attirantes et dangereuses.
Sinueuse, la Rose des sables sortit lentement de derrière le voile jusqu’à être en pleine lumière. Cependant, elle gardait la tête penchée, de longs cheveux aussi noir que l'ébène lui dissimulant le visage. Une chevelure abondante, mousseuse. Des boucles ensorcelantes et ondulantes.
Elle releva lentement la tête, la beauté délicate de sa gorge pâle soulignée par d’artistiques volutes peintes à même sa peau ambrée. Ses cheveux retombèrent en arrière alors qu’elle faisait face à la lumière comme pour accueillir le jour nouveau. Ses lèvres pleines apparurent, rouges et humides, entrouvertes. Ses yeux sombre et provocateurs.
Elle était vêtue de couches superposées de tissu soyeux en satin et en soie. Cachant en laissant l'imagination dériver sur les courbes naissance sous le jeu de lumière. Chacun de ses mouvements faisait tournoyer les couches de tissu autour d’elle, jusqu’à ce que les voiles ne semblent danser seuls autour de son corps. Ils s’écartaient parfois pour laisser entrevoir une jambe fine et galbée.
Chaque tour au milieu des convives voyait s’affaler gracieusement un voile au sol. Ses mains étaient si discrètes que les morceaux de tissus semblaient se détacher d’eux-mêmes. D’abord les plus clairs et les morceaux de voile, puis les plus lourds en satin. Bientôt, on put distinguer jusqu’aux cuisses ses jambes parfaitement bronzées. Un voile de satin lui couvrant le ventre tomba ensuite, arraché aux bretelles d’un haut ne masquant que sa poitrine rebondie et souple.
Elle tourna une ultime fois laissant glisser le long de ses formes le derniers morceau de tissu offrant ainsi aux spectateurs une vue sur le galbe de ses fesses. Elle s'immobilisa. Nue dans la pénombre qui venait à présent recouvrir son corps la faisant peu à peu disparaître. Elle laissait là deux hommes entre eux pour discuter.
L'ambassadeur ashnardien resta un moment muet, sa gorge nouée par le spectacle. Après quelque seconde qui parurent de longues minutes, il s'émerveilla et complimenta son hôte sur le choix de cette femme. Femme qu'il aimerait bien connaître un peu mieux.
Histoire : Au départ, rien n'aurait pu destiner l'héroïne de cette petite histoire à devenir celle qu'elle est aujourd'hui.
Iani est née au Brésil. Son père était un homme d'affaire reconnu et sa mère n'a jamais eut à travailler et passa donc son temps à s'occuper de sa fille unique. La vie était facile et tranquille. La jeune enfant était choyée par ses parents et le moindre de ses caprices lui étaient cédés. Les parents n'eurent cependant aucun reproche concernant l'attitude de leur fille. Elle était polie, studieuse et agréable de compagnie. Pour ne rien gâcher au tableau, elle avait hérité de sa mère sa beauté.
Lorsque la jeune fille eut l'âge de quinze ans, ses parents décidèrent de les fêter en faisant un beau voyage. C'est Iani qui put choisir la destination. La petite famille se retrouva alors au Japon dans l'un des beaux hôtels de la ville. Ils visitèrent beaucoup. Iani était ravi de ce voyage et ne souhaitait plus rentrer. Peut-être par hasard ou peut-être par magie son voeux se réalisa.
Le dernier jour, alors qu'ils se préparaient à rentrer, un étrange phénomène se produisit. En route vers une dernière visite au parc de Seikusu pour prendre quelques photos, la famille voyagea encore plus loin que le Japon. L'escapade ne se déroula pas comme prévue. Alors que le père demandait à sa femme et sa fille de se placer, il les vit disparaître, purement et simplement. Complètement paniqué, il courut vers l'endroit où les deux femmes de sa vie venaient de s'évaporer. Là, il fut happé et se retrouva dans un désert. Une très grande étendue de sable courant à perte de vue. Ses yeux mirent un instant à s'habituer avant qu'il ne puisse avoir la joie de voir deux visages heureux et inquiets à la fois.
Le paysage était égal. Peu importe où leurs yeux se portaient. Peu importe où leurs pas les menaient. Du sable. Un sable blanc. Un sable chaud. Très chaud.
Complètement perdue, la famille tenta de marcher droit afin de tomber sur un endroit civilisé où on pourrait les aider. Plus les heures défilaient et plus cela semblait irréalisable. Ils finirent par croire qu'ils étaient les seuls êtres vivants présents. Fort heureusement, un groupe de cavaliers les détrompa. Ils exultèrent leurs joies avant de se rendre compte que les hommes étaient armés et n'avaient pas l'air vraiment civilisés.
Menaçants de leurs épées tranchantes, les hommes capturèrent les Souzas et les traînèrent derrière leurs chevaux, au bout d'une corde. Déjà éprouvée par sa marche sous un soleil de plomb, Iani tomba inanimée laissant des volutes de sables recouvrir une partie de son corps meurtri.
Elle se réveilla bien plus tard. Seule et dans une chambre somptueuse où tout lui paraissait surdimensionné. La pièce était éclairée de bougies. Une atmosphère sereine et douce baignait le lieu. Iani se rendit compte que ses maux étaient partis. Elle avait visiblement été soignée et parée d'une robe de nuit en satin. Bien qu'émerveillée par l'endroit, elle s'inquiéta d'être seule, de ne point voir sa mère ou son père. Téméraire, la toute jeune femme se leva et décida de partir à la recherche de ses parents.
Elle ne déambula pas longtemps avant de tomber sur un homme. Un homme à la peau sombre. Un homme inquiétant. Sans un mot, il lui intima de le suivre. Elle s'exécuta, pénétrant dans les méandres d'un labyrinthe orné d'or et d'une multitude de sculptures en pierre brut. L'homme finit par ouvrir une porte, elle aussi richement décorée et si massive qu'elle semblait ne pas pouvoir bouger. C'est pourtant sans un bruit qu'elle s'ouvrit, laissant une vue sur une salle aux milles couleurs. De nombreuse tentures colorées flottaient ça et là, couvrant entièrement le plafond. Des odeurs d'épices s'envolaient. Des rires de femmes parfois entrecoupés par ceux d'hommes. L'un d'enter eux attira son attention. Un rire qu'elle connaissait bien. Iani ne put retenir ses pas et courut vers l'origine du son. Son père. Assis sur un coussin, ce dernier étaient en conversation joyeuse avec un autre homme. Près de lui, sa mère. Tout deux vêtus à l'oriental. Elle se précipita sur eux pour une étreinte et surtout un amoncellement de questions.
Ce fut l'homme en conversation avec son père qui lui répondit. Il se présenta d'abord sous le nom d'Ebu Sarki, Sultan du Royaume de
Mor Zariha.Il expliqua que ce royaume se trouvait sur Terra dans ce qu'on nommait les Terres Sauvages. Il précisa qu'il ne connaissait aucun moyen pour sa famille d'espérer rentrer chez eux ne comprenant pas d'où ils venaient. L'homme promit que ses soldats chercheraient une solution afin de faire rentrer la famille chez elle. En attendant, Ebu Sarki offrait son hospitalité à ses nouveaux amis sans rien demander en échange. Iani ne sut que répondre, la pilule était difficile à digérer et seules les larmes coulèrent sur son beau visage. Ses parents eux, ne semblaient pas s'inquiéter outre mesure, à croire qu'ils étaient heureux. Iani ne participa pas à la fête ambiante et retourna les mots du Sultan dans sa tête afin de les assimiler. Comment y croire et comment rejeter l'évidence ?
Les jours passèrent et Iani eut beau visiter la ville de fond en comble, elle dut se rendre à l'évidence. La ville royaume était perdue au milieu du désert et rien ne pouvait donner l'impression qu'un retour sur Terre était envisageable. Pourtant, chaque jour elle demandait. Chaque jour elle espérait. Elle constata que ses parents s'habituaient à leur nouvelle façon de vivre. Une vie sans complication. Une vie où toutes les folies sont permises. Une vie de luxe et de luxure. Pourtant, cette vie changea. Si au début ils pouvaient faire ce que bon leurs semblaient et aller où ils le souhaitaient, ce ne fut plus le cas après quelques semaines. D'abords, le Sultan commença par leurs interdire de sortir du Palais. Puis ce fut de leur chambre. Ils étaient reclus. Emprisonnés.
Ebu Sarki vint un jour leur annoncer une grande nouvelle : il savait comment les renvoyer chez eux. En échange de l'information et de leur liberté, le Sultan ne demandait qu'une seule chose. Iani. Révoltés, les parents refusèrent un tel chantage. Régulièrement, le sultan venait demander s'ils avaient changés d'avis mais la réponse restait la même. L'ordre fut donné de ne faire qu'un seul repas par jour, un repas pour trois. Rien de plus. La fatigue arriva rapidement tout comme la rancoeur, le dégoût. Les parents d'Iani la rejetaient.
Un soir, alors qu'Iani était assoupi, les parents demandèrent à voir le Sultan. Celui ci comprit imédiatement qu'il était victorieux. Ils abandonnaient. Ils cédaient la chair de leur chair. Ebu Sarki respecta sa part du marché et libéra les parents. Il leur donna un itinéraire à suivre pour retrouver leur contré. Iani ne fut pas dupe et rongée par la colère d'être laissée en guise de monnaie elle ne les prévint pas du danger. Ils mourront avant même le coucher du soleil. Le Sultant n'a fait que jouer avec eux.
Iani fut conduite au Harem où elle devint une novice à éduquer. La favorite lui expliqua les règles du Harem. On lui apprit à être belle. On lui apprit à se faire désirable. On lui apprit à être intéressante...mais pas trop. Seulement, Iani était plus fine et sut parfaitement mener sa barque. A la fin de sa rééducation, elle fut présentée à Ebu Sarki. Elle fut parfaite. Elle lui montra qu'un sang brûlant coulait dans ses veines. le Maître partagea souvent sa couche avec elle par la suite.
Il en lui fallut que quelques mois pour devenir la nouvelle favorite. Elle fit égorger l'ancienne marquant son territoire avec son sang.
Caractère :Elle est feu et glace réunis.
Le maître mot est sensualité. Iani à comprit une chose, son corps est une arme et elle sait s'en servir. Elle utilise le pouvoir de sa féminité poussée à son paroxysme pour parvenir à ses fins, elle ne se donne jamais complètement. Il y a quelque chose d’elle qui échappe sans cesse à celui qu’elle convoite. Comme un secret qu'elle garde au fond d'elle.
Sous le joug de son Maître, elle sera douce comme le miel. Jamais un mot de trop. La voix chaude pour attiser. Des manière irréprochable et une soumission totale. Avenante tout en sachant rester à sa place. Une femme souriante qui aime rire, danser et chanter. Elle saura montrer à qui le voudra qu'elle l'aime foncièrement.
Pour ceux qui la connaisse vraiment, c'est une femme aussi froide que la glace. Seul son rang la préoccupe. Elle est intelligente et à toujours su qu'elle n'avait pas les moyens d'échapper à Ebu Sarki, alors elle use et abuse de ses charmes pour s'attirer les faveurs du Sultan. Elle est capable de tout pour qu'il soit fou d'elle. Tuer ne la dérangerait pas.
La manipulation est sa distraction préférée. Elle fait tourner le monde autour d'elle comme elle l'entend même si elle donne l'impression que les idées viennent d'une autre personne. Son coeur est fermé. La clé est quelque part mais bien trop loin pour la grande majorité des gens autour d'elle.
Situation de départ : Très expérimentée.
Autres : Une très grande connaissance en potions bénéfique ou non. Elle sait particulièrement bien faire les aphrodisiaques donnant aux mets qu'elle prépare une saveur toute particulière.
Iani dompte les serpents, aucun ne peut lui faire de mal. On dit qu'elle a reçu une bénédiction du Dieu Serpent. D'autres disent qu'elle à forniqué avec un Démon.
Hiérarchie au sein du Harem :-
Le Sultan : Grand Maître des lieu, il a droit de vie et de mort sur toute personne séjournant sur ses terres. Actuellement, il s'agit de Ebu Sarki, homme d'une quarantaine d'année. Il s'avère être un homme fin stratège, usant de ruse pour obtenir ce qu'il veut. Dans les légendes, on dit que le Maître de Mor Zariha est celui qui connaît les secrets du désert. Plusieurs centaines d'années et pourtant, toujours des traits de jeune homme.
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La favorite : C'est la femme préférée du Sultan. Elle est celle qui commande le Harem. Son statu lui permet d'aller en dehors de l'enceinte du palais. Tant qu'elle a les faveurs du Sultan, elle est libre de ses mouvements, pour autant que ceux ci soient tolérés par Abu Serki. Iani est l'élue et ne laissera personne prendre sa place. Si elle devait perdre son titre, cela signifierait sa mort, mort au choix de la nouvelle favorite.
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Les femmes du Harem : Au même titre que la favorite, les femmes qui composent le Harem sont toutes les épouses du Sultan. Toutes d'une grande beauté. Elle sont cloîtrées dans une aile réservée à elles seules et ne sortent qu'à la demande du Sultan ou de sa favorite. Elle vivent dans le luxe et n'ont que pour seul objectif de se faire apprécier du Sultan. Si un jour l'une d'entre elle n'est plus au goût de ce dernier, elle est purement et simplement tuée. Personne n'a le droit de les toucher, sous peine de se voir éviscéré. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est la favorite et non le Sultan qui choisit qui passera la nuit avec lui.
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Les gardes : Bien que le royaume soit de petite taille, l'armée du Sultan est suffisamment grande pour repousser une éventuelle tentative d'invasion de ses voisins. Des hommes bien entraînés qui servent aveuglément le Sultan. Ce ne sont, pour la plupart, pas de simples humains. Démons et mage se côtoient et s'entendent dans un même but.
- Les servants : Ce sont eux qui doivent tenir le palais en ordre. Bien qu'ils ne soient pas trop mal traités, pour la plupart ils aspirent à d'autres horizons. Le labeur et dur et parfois c'est si difficile que la mort vient les prendre. Ils n'y a pas de discrimination racial, ni de genre. On trouve s'y fréquentant d'anciennes princesses ou d'anciens esclaves de naissances. Ils sont discrets, personne ne doit les remarquer.
Comment avez vous connu le forum : Google my friend !
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Je ne sais pas.
