Algogia était bien décidée à les faire souffrir, à les baiser énergiquement. Cette tornade de sexe continuait depuis plusieurs heures. Alice avait le corps brisé, mais elle restait toujours active, ce qu’elle illustra en allant embrasser tendrement l’un des lourds seins de la Drider. Las, celle-ci la repoussa, afin de se focaliser sur Cirillia. Malheureusement, sur Terra, Alice n’avait pas ces objets technologiques évolués qui existaient sur Terre, comme les téléphones portables. Là, elle n’avait que ses yeux pour observer, ce qu’elle fit donc. Une patte arachnéenne d’Algogia manqua alors de la bousculer, et Alice choisit de rester prudemment à distance, pendant que la Drider continuait à bourrer Cirillia.
Prise à quatre pattes, Ciri’ hurla encore, fermant les yeux, tout en suant longuement, et sentit alors l’une des puissantes mains de la Drider se saisir de ses cheveux, tirant furieusement dessus, soulevant le corps de la sorceleuse, qui se mit à hurler encore.
« Pu-PUTAIN, BORDEL !! »
Là, Cirillia se lâchait clairement. Elle prenait violemment son pied à se faire ainsi tringler, et... Oh, que c’était bon ! Terriblement bon, même ! Cirillia était pourtant une solide guerrière, une femme endurcie à l’esprit fort, qui ne se laissait pas facilement dominer... Mais là, elle était bien incapable de lutter. Elle hurlait encore, se tortillant sur place, sentant les coups de reins de la Drider se multiplier dans son dos. Sa salive en jaillit sur le sol, et elle couina encore, ses yeux se révulsant dans ses orbites. La jeune femme n’arrivait même plus à parler, ou même à avoir des pensées cohérentes.
Au lieu de ça, Cirillia bavait abondamment, la respiration venant à lui manquer, tandis que, inlassablement, énergiquement, et sans fin, Algogia continuait à la bourrer, puissamment, goulûment...
...Et Cirillia ne pouvait qu’adorer cela !