Solidarité entre sorcières ? [Patchouli Knowledge]

Koakuma, toujours au sol, reprend petit à petit connaissance, à cette vitesse, c'est surement grâce à un sort. Sentant son intimité s'humidifier, elle aussi, elle se tortille et bouge les jambes comme-ci quelqu'un était en train de la doigter. Poussant des gémissements d'une voix douce et pourtant si coquine, elle rougit fortement lorsqu'elle voit Edea juste devant elle, en train de gémir aussi. Du coup elle sursaute et se lève légèrement, toussant et crachant un peu de sang, apparament, la Calamité du Tomberry a du la toucher non loin du coeur, et vu que Koakuma peut mourrir comme un simple humain, cela l'affecte comme-ci elle était humaine. Elle se lève lentement et se tient au mur d'une main, et légèrement en dessous de la poitrine de l'autre, au niveau de sa profonde blessure.

Je ne compte pas non plus m'éterniser dans cet endroit, allons nous-en d'ici.

Elle garde un air normal malgrès qu'elle est blessée, pour ne pas inquiéter Edea, après tout, elle a déjà subi pire dans le temps. Bien qu'elle se tient toujours au niveau de sa blessure, elle fait signe à Edea de sorti d'ici avec elle, n'oubliant pas son livre magique. Elle sait pertinament qu'elle ne tiendra jamais assez longtemps pour retourner à la bibliothèque, mais elle se débrouillera comme elle le pourra.

Le petit traitement d’Edea sembla produire ses effets sur Koakuma. La succube se redressa lentement, ses jambes se frottant l’une contre l’autre, et elle ne tarda pas à reprendre conscience. La sorcière, de son côté, tenta de verrouiller son esprit aux émanations de magie rose. Cette dernière était décidément très efficace sur le corps de cette succube. Redressée, elle ne tarda pas à relever la proposition d’Edea, et les deux femmes avancèrent vers la sortie du Tombeau. Ce dernier étant plutôt labyrinthique, Edea ouvrit sa paume, faisant apparaître de petites poussières. Elle souffla dessus, tout en s’expliquant à Koakuma.

« Tu as entendu parler de ces contes où de jeunes enfants devant s’enfoncer dans la forêt utilisent des miettes de pain pour retrouver leur route ? J’utilise un système similaire avec la magie. Cette poussière m’indiquera comment rentrer, en me disant de revenir sur mes pas, calculant l’itinéraire en fonction des pas que j’ai fait, choisissant le plus rapide. »

La magie avait bien des utilités, et Edea s’avança, suivant les indications magiques. Elle continuait à mouiller, mais était suffisamment maîtresse d’elle-même pour ne pas le montrer. Koakuma l’excitait, tout simplement. Ce n’était pas plus compliqué que ça. Elle avait envie, très envie, du corps de cette succube. Elle voulait revivre ce qu’elle voyait quand elle fermait les yeux, ces flashs érotiques où elle s’envoyait en l’air dans un lieu inconnu avec des démons. Elle remontait le long de la Tombe, et leur retour fut assez tranquille. Quelques monstres vinrent les embêter, mais Edea n’eut aucune difficulté à les terrasser.

Elles revinrent ainsi dehors, où un officier galbadien, dans un uniforme rouge, ne tarda pas à se rapprocher d’elle.

« Madame ! s’exclama-t-il, formant le salut militaire.
 -  Repos, officier.
 -  Votre entraînement s’est bien passé ? s’enquit l’officier. Votre élève a refusé que nos hommes la suivent, nous espérons qu’elle vous a retrouvé sans difficulté. »

Son élève ? Edea tiqua, avant de se rappeler que Koakuma était entrée dans la Tombe en soudoyant les gardes. Elle n’avait pas pu tous les tuer, ni les séduire, et leur avait donc menti, utilisant à son compte la magie rose. Elle leur avait fait croire qu’elle était l’une des élèves de la sorcière. Cette dernière hésita. Elle avait envie de les punir, d’en tuer un, mais la présence de cette succube, bien que surprenante, s’était avérée assez réconfortante... A tel point qu’elle avait été jusqu’à la sauver. Partant de là, elle se voyait mal punir les soldats... Surtout qu’elle était fatiguée, et avait envie d’être seule avec la succube. Avec sa robe déchirée près de sa poitrine et de ses fesses, cette dernière la suivait.

« Nous retournons à Deling City, lâcha-t-elle tout simplement.
 -  Bien, Madame.
 -  Préparez la voiture. »

Les Galbadiens hochèrent la tête, et Edea s’avança vers une espèce de limousine noire, faisant signe à Koakuma de la suivre. Cette dernière ne tarda pas à démarrer, entourée par des motos et des véhicules militaires. Edea s’assit confortablement à l’arrière de la limousine, et contempla Koakuma.

« Approche-toi de moi... » ordonna Edea.

Elle parlait d’un ton calme et détaché, et il n’était pas bien difficile de comprendre ce qu’elle avait derrière la tête.

La belle succube se retrouvant dans une voiture protégée par des véhicules militaire, ce qu'elle n'aime pas spécialement. Elle regarde alors la sorcière qui, semblant très attirée par elle, lui propose de s'approcher d'elle. Elle approche donc, prennant cette phrase comme un ordre, elle s'éxécute comme une esclave. Prennan un peu d'avantage, elle va s'assoir sur les jambes d'Edea, à califourchon, ce qui laisse apparaître une partie de sa culotte blanche avec des rayures rouge, regardant Edea d'un air mignon mais provocateur.

Suis-je assez près, comme ça ?


Elle décide finalement de prendre le dessus, l'envoutant d'un simple regard, elle aussi a envie de profiter du corps de cette sorcière qui est loin de ne pas avoir d'expérience dans le domaine des relations charnelles.

Est-ce que ça te plairait....que je te montre à quel point je mérite mon très célèbre surnom de succube, belle sorcière ? Je peux sentir la chaleur de ce liquide qui coule d'entre tes jambes, je sais que tu en as envie, alors....pourquoi s'en priver, hmm ?

La succube commence à jouer être d'humeur coquine et va alors toucher entre les jambes d'Edea tout en concetrant sa magie rose sur sa main du fait que, d'un simple mouvement machinal de caresse sur cette partie intime qui ne demande que cela d'être touchée, lui procure beaucoup de plaisir.Elle continue donc ses douces mais pourtant si divines caresses à travers la robe qui commence à être bien mouillée.

Suivant son injonction, Koakuma vint se poser sur elle, s’asseyant à califourchon sur ses jambes. Edea la laissa faire, sentant le désir monter rapidement. Elle ressentit des émotions assez particulières et plaisantes, notamment le durcissement de ses seins. La sorcière se mordilla les lèvres, et tendit ses mains le long des jambes de la succube. Elle avait une peau douce et délicieuse, remontant sous sa robe pour attraper entre ses longs doigts les ficelles de sa culotte. Koakuma restait collée contre elle, et se mit à la caresser, utilisant sa magie rose pour la caresser. Edea soupirait à nouveau, fermant les yeux, continuant à mouiller sur place.

« Est-ce que ça te plairait....que je te montre à quel point je mérite mon très célèbre surnom de succube, belle sorcière ? Je peux sentir la chaleur de ce liquide qui coule d'entre tes jambes, je sais que tu en as envie, alors....pourquoi s'en priver, hmm ? »

La sorcière rouvrit les yeux, souriant, et leva l’une de ses mains, enfonçant son doigt pointu dans la bouche de Koakuma. Le temps que le convoi retourne à Deling City, elles avaient amplement le temps de s’amuser ensemble. Il fallait redescendre le long de la falaise, afin de rejoindre la ville, à quelques dizaines de kilomètres. Edea enfonça donc son doigt dans sa bouche, bien loin, utilisant ensuite son autre main pour caresser l’un des seins de la succube à travers sa robe.

« Tu es la voix de la raison, ma belle... »

Edea ignorait d’où venait ce désir, mais il était là, et elle comptait se satisfaire. Elle n’avait encore jamais invoqué de démons pour soulager ses pulsions sexuelles. Pourtant, elle connaissait dans sa tête les formules à utiliser, le rituel à faire, et se souvenait même de démons qui l’avaient fait hurler de joie... Alors qu’elle ne l’avait jamais fait ! Devenait-elle folle ? La question était préoccupante, et Edea décida de l’occulter, de ne pas s’en préoccuper. Elle continua à presser le sein de la femme, et retira son doigt de sa bouche, glissant ensuite cette main pour caresser les fesses de la femme, les pressant tendrement, son doigt glissant sur sa culotte, titillant l’emplacement de sa raie, s’enfonçant dans le tissu.

Koakuma était une succube très excitante, et Edea la pelotait, avant de l’embrasser. Sa main posée sur son sein se décala pour agripper sa nuque, et l’embrasser. Ce fut un sulfureux et merveilleux baiser, leurs langues se mélangeant l’une à l’autre. La sorcière ne put s’empêcher de gémir, continuant à l’embrasser, prolongeant le frottement de leurs lèvres. Elle enfonça sa langue dans la bouche de Koakuma, et rompit le baiser après de nombreuses secondes.

« Ta bouche est magnifique, Koakuma... »

Edea commença alors à déshabiller cette dernière, cherchant à lui ôter sa robe, savourant ce corps chaud et délicieux. Elle sentait les émanations roses de la succube, qui l’enivraient, et glissa l’une de ses mains sur son décolleté, écartant un peu sa robe, faisant glisser la discrète fermeture qui la retenait. On put ainsi voir un peu mieux sa belle poitrine. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait lentement, expression de l’envie qu’elle ressentait avec cette femme.

La belle succube commence donc par sucer le doigt qui lui ai si gentiment offert, le suçant comme un sexe d'homme, avec envie et faisant glisser sa langue dessus, comme une vraie petite experte. Lorsqu'elle sent une main lui caresser un sein, elle émet des petits sons coquins étouffés par le doigt dans sa bouche. Elle appuie un peu sur la main pour que la pression sur son sein soit plus forte, une vraie petite coquine, cette fille.

Lorsque le doigt quitte sa bouche, elle peut enfin exprimer ce qu'elle ressent avec des vrais gémissements de plaisir d'une belle et douce voix. Sentant une main aller sur ses fesses, elle se penche un peu vers Edea, la tête près de sa poitrne et dandinne un peu des fesses pour lui montrer qu'elle peut continuer.

Hmmm...

Elle ne se gêne pas de gémir de plaisir alors qu'un doigt la titille davantage, les soldats à l'avant regardent derrière, rendant la succube tout rouge, elle se penche à nouveau et lui dit à l'oreille.

Ils nous regardent, je trouve ça très gênant, ma belle...

Elle lui mordille une oreille et se cache das ses bras, comme un enfant qui va dans les bras de sa mère. Mais alors que les soldats voient Edea les regarder de manière à ce qu'ils se retournent tout de suite, ils ne cherchent pas à comprendre et se retournent.

Koakuma fait donc tortiller ses fesses pour bien sentir le doigt qui la titille, puis, voyant son sein libre, elle voit qu'Edea l'embrasse et décide d'y répondre avec grand plaisir, un baiser si merveilleux, si magique. Elle continue quant à elle de la caresser entre les jambes puis, prise d'excitation en sentant la langue de la sorcière entrer dans sa bouche, elle va lui peloter les seins à son tour et caresse la divine langue qui se présente à elle avec la sienne, de manière très envieuse.

Ses mains expertes pressent les deux gros seins de la sorcière comme des oranges, appuyant parfois sur les tétons, tout en continuant ce délicieux baiser. Koakuma remarque alors que sa robe bouge et, elle comprend rapidement que c'est Edea qui la lui retire, alors pourquoi ne pas la laisser faire ? Elle remarque la main toucher son corps, ce qui la fait un peu frémirde plaisir et, quand elle la sent au niveau de son décolleté, elle a coompris qu'on voulait lui retirer aussi, elle bouge doncde manière à ce qu'il puisse plus facilement être ôté, sa poitrine bougeant de haut en bas, ce qui veut tout dire.

C'est ça, ma belle, montre-moi ce dont tu es capable, coquine, j'aime tes mains si balladeuses et ta bouche si exquise.

Edea réalisa, suite à la remarque de Koakuma, qu’elle avait oublié  de fermer la vitre noire séparant la cabine de pilotage de l’arrière. Une erreur qu’elle rectifia vite, agacée, se promettant de changer de chauffeur par la suite, voire même de faire fusiller celui-là. Déranger la sorcière de Galbadia quand elle se faisait plaisir était un odieux sacrilège, tout simplement. Revenant au moment présent, elle savoura le contact des mains curieuses de la succube sur ses seins. Cette dernière avait un comportement assez enfantin, ce qui était, d’après ce qu’Edea en savait, l’un des comportements typiques des succubes. On ne savait jamais vraiment sur quel pied danser avec elles. Kaokuma s’amusait à presser les lourds seins d’Edea, largement visibles à travers sa longue robe ouverte. La sorcière soupirait faiblement, fermant parfois les yeux, son visage pâle révélant alors des gémissements onctueux et délicieux. Elle continuait à caresser le corps de la succube avec ses doigts griffus, à la déshabiller, à caresser ses hanches, ses formes délicieuses... Edea ressentait des plaisirs inédits à agir ainsi, quelque chose qu’elle n’avait encore jamais découvert jusque-là... Et dont elle était, curieusement, familière.

« C'est ça, ma belle, montre-moi ce dont tu es capable, coquine, j'aime tes mains si balladeuses et ta bouche si exquise »

Elle sourit devant cette réflexion, et obtempère, toujours silencieuse, continuant à la déshabiller. Sa robe tombe sur le sol, ainsi que le reste de ses vêtements, ne lui laissant finalement plus que sa culotte blanche. Koakuma ressemblait vraiment à une espèce de gamine adulte. Elle l’avait prouvé en se blottissant dans les bras de la sorcière. Edea contempla son corps, ses seins fermes et solides, et pencha sa tête vers eux, venant les embrasser tendrement, en fourrant un dans sa bouche, tout en glissant l’une de ses mains, agrippant le derrière de la succube. Elle caressa l’une de ses fesses, faisant glisser ses griffes sur sa queue, et remonte son autre main pour caresser sa nuque.

Soupirant lentement, Edea lui mordilla son téton, glissant sa langue sur son sein. C’était si bon, tellement délicieux... De tels délices... Edea ne pouvait s’empêcher de ressentir du plaisir, mouillant encore un peu plus, et s’attaqua à son autre sein, poussant des gémissements. Elle s’attaqua à ses deux seins alternativement, pendant de longues minutes, tandis que la limousine continuait à rouler rapidement.

« Hum... Tu es si bonne, Koakuma... »

La belle et coquine petite succube se laisse faire par les délicieux traitements de la sorcière, elle aime ça alors pourquoi s'en priverait-elle ? Elle gémit sans gêne désormais, des gémissement d'une voix douce et fine, mais aussi très coquine, se tortillant de plaisir sous les douces et sensuelles caresses de sa partenaire experte. C'est vrai, cette façon qu'elle a de la toucher, et ses ongles griffus, rien qu'à les sentir effleurer sa douce peau l'excite, elle n'y parait pas au premier abord mais, Koakuma est une vraie cochonne, c'est une succube, après tout, mais elle a choisi de vivre du bon coté, pas en compagnie d'autres démons du sexe.

Alors qu'elle sent les doigts de la sorcière lui toucher sa queue, elle se cambre un peu et fait gigoter sa queue de gauche à droite, cette-dernière étant très sensible au toucher et étant sa zone érogène par excellence.

Haan, ma queue...c'est si.....haaa ♥

Elle se laisse pleinement toucher par la sorcière, rien que le simple fait de sentir une telle caresser sur sa queue la force à prendre une position de soumission. Elle s'allonge donc sur le reste du long siège et se caresse sensuellement le corps pour bien donner envie à Edea de lui faire les choses les plus folles qui soient. Elle en rajoute une couche en lui faisant un clin d'œil coquin et en allant lui caresser le visage avec sa queue.

Cette succube offrait à Edea des plaisirs assez inédits. Elle ne s’attendait clairement pas à éprouver de telles choses avec cette femme. La succube se tortillait entre les bras de la sorcière. Cette dernière pouvait sentir le plaisir que la démone offrait quand on s’intéressait à sa queue. Une zone sensible, qui amena Koakuma à finir par s’allonger sur l’un des longs sièges, offrant à la sorcière une vue superbe sur son petit corps. Comme elle était belle ! Edea n’était pas ignare. Elle connaissait les plaisirs liés au sexe, mais elle était juste surprise, agréablement surprise, de ressentir du désir en la circonstance. C’était totalement imprévu, et ce n’était pas une chose à laquelle elle était habituée. Elle se mordilla encore une fois les lèvres, et se redressa un peu, se rapprochant de la succube. La double queue de cette dernière vint frotter le visage d’Edea, qui ne fit rien pour l’en empêcher, se surprenant au contraire à trouver ce contact très plaisant. Comme quoi, on pouvait toujours être surprise.

Elle caressa même avec sa langue cette queue noirâtre, tout en glissant ses mains le long des jambes de la succube, les griffant tendrement. Edea soupira à nouveau, commençant à écarter chaque jambe l’une de l’autre, et coucha Koakuma sur le ventre. Elle ne portait plus que sa culotte, et les mains d’Edea, lentement, remontèrent le long des belles jambes tendres et fines de la succube. La sorcière, dans sa tête, se rappelait de ce lointain dicton qu’on utilisait pour parler des succubes : « des trésors aux mortels interdits ». Des femmes belles et dangereuses, mais la sorcière, par expérience, savait que la réalité était parfois plus nuancée. Bien des succubes n’étaient pas dangereuses, et une succube bien dressée ne pouvait pas se révolter contre son propriétaire. Edea n’était certes pas la propriétaire de Koakuma, mais elle sentait bien que cette dernière était inoffensive.

Les fines mains griffues d’Edea continuèrent à remonter le long des jambes, et elle se pencha sur ses fesses, embrassant sa culotte avec ses lèvres, tirant un peu dessus, la décollant de sa peau. Edea se surprenait à faire des choses dont elle ne se serait jamais crue capable. Était-ce l’effet de la magie rose ? Ou autre chose ? Un désir plus profond, plus inconscient, que la succube avait inconsciemment réveillé ? La sorcière l’ignorait, et s’en moquait bien, pour le moment. Ses pensées étaient embrumées. Elle se positionna un peu mieux sur le long banc en cuir, et continua à embrasser et à caresser le fessier de la succube. Elle sentait sa double queue remuer contre elle, et elle vint tirer sur sa culotte, après avoir donné à cette dernière de nombreux baisers. Elle s’amusait notamment à tirer sur la culotte avec ses dents, mordillant le tissu pour la soulever, et la relâcher. De cette manière, la culotte claquait contre les fesses de la femme, et elle continua à agir ainsi, tirant encore dessus, la léchant et l’embrassant.

« Je crois que je t’adore, petite succube... Ta Maîtresse a bien de la chance de t’avoir. »

Edea tira sur la culotte, la retirant, et commença ensuite à presser chacune des fesses de la succube avec ses mains, appuyant fermement sur elles. Elle lécha la croupe de la succube, écartant ses fesses, puis déplaça ses lèvres, venant lécher, avec sa langue, la longue queue de Koakuma.

« Hum... Comment te sens-tu, ma belle ? »

Koakuma n'en revient pas, ça fait si longtemps qu'on ne s'était pas occupé d'elle avec autant d'attention, sa maîtresse a de la chance, certes, mais, n'ayant aucune envie de quelconque acte sexuel, elle ne touche jamais Koakuma de manière indescente comme elle le souhaiterait, et puis, faire des effort pendant l'acte alors qu'elle est asthmatique, cela serait suicidaire. Bref, se laissant toucher par la sorcière, jouant son rôle de succube, elle garde sa magie rose toujours active, celle-ci étant concentrée sur le bout de ses queues, comme un dard de scorpion. Lorsqu'elle sent cette double queue se faire lécher, elle en gémit de plaisir et d'envie, une envie qui s'amplifie sans cesse, une envie d'être follement touchée, d'être pénétrée, après tout, ça fait un moment que personne n'est allé aussi loin avec elle, en général, les gens qui ont pu la pénétrer ont aussitôt péri, cela viendrait du fait que, à cause de sa maîtresse, Koakuma a en elle une part de pureté qui l'empêche d'être pénétrée pour éventuellement tomber enceinte, car oui, quelqu'un à déjà voulu mettre enceinte cette belle petite créature. Dans le cas présent, elle sait que, avec tout les bon traitements qu'elle reçoit depuis un moment par la sorcière, ce "sceau" risque d'être désactivé, le truc étant de lui toucher sa queue le plus possible pour la faire flancher.

Elle se met bien sur le ventre comme Edea le souhaite, mettant bien en valeur ses fesses toujours plaisantes bien que cachées par la petite culotte. Lorsque sa queue se fait lécher, Koakuma semble totalement soumise à Edea, c'est un de ses phantasmes préférés, mais, en échange, elle sait que, la magie concentrée sur les bouts de sa queue fera tout de suite effet, ayant l'effet d'un puissant aphrodisiaque et donnant une folle envie de sexe avec la succube, elle a bien prévu son coup, cette coquine.

La petite créature semble apprécier le petit jeu avec sa culotte, surtout quand celle-ci claque contre ses fesses, on peut l'entendre gémir comme une vraie petite coquine, un gémissement qui exalterait les sens de bien des personnes pour leur donner envie de faire des choses qu'il n'auraient jamais fait auparavant. Lorsqu'elle sent que sa culotte et ôtée, elle dandine un peu des fesses et soupire de plaisir en les sentant se faire presser comme on le fait avec une poitrine, marmonnant des mots coquins à Edea.

Je me sens tellement bien, Edea...tellement....excitée, tu es tellement douée pour ça, n'hésite surtout pas à....m'en donner encore plus ♥

C’était comme une espèce de cercle vertueux... Ou vicieux, en l’occurrence. Les queues démoniaques de Koakuma enivraient Edea, qui sentait clairement les émanations magiques qui en ressortaient. C’était comme si une aura enveloppait la succube, berçant la sorcière, lui donnant envie de lui faire l’amour avec encore plus de passion et de sauvagerie. Le plus étonnant, pour elle, est que, malgré le fait qu’elle soit en train de mouiller, elle arrivait à conserver son calme, à agir calmement, et à faire l’amour à Koakuma sans perdre son contrôle. C’était troublant, car Edea n’avait pas cette expérience que Koakuma lui attribuait. C’était comme dans la tombe du Roi Inconnu. Elle agissait instinctivement, mais avec les souvenirs d’une autre personne. C’était... Troublant. Elle léchait ses fesses, les écartait, continuant à s’occuper de la succube, sans aucune hésitation.

La sorcière se redressa un peu, et posa une main sur le devant de Koakuma, l’aidant à se redresser.

« Je vais t’en donner plus, ne t’en fais pas pour ça... »

Elle parlait sur un ton calme et sensuel. La magie rose continuait à l’enivrer, et, en fermant les yeux, en soupirant, elle revit des images de ce château... Elle était recouverte de sperme, faisant l’amour avec des démons, sentant leurs griffes couper sa peau, la faisant hurler pendant des heures... Des images troublantes. Elle regarda Koakuma, qui se tenait désormais à quatre pattes, et enfonça l’un de ses doigts dans ses fesses, l’un de ses longs doigts et gantés. Elle savait que les succubes, généralement, appréciaient plutôt bien les séances de sexe brut, sans sentiment affectueux ou amoureux à côté. Quoi de mieux qu’une sodomie pour exprimer la dimension perverse du sexe ? Edea continuait à la prendre, sentant les deux queues de la succube glisser près de son ventre.

Avec sa robe ouverte, il était possible de se glisser dans l’intimité d’Edea. La limousine, de son côté, avait descendu la falaise, longeant la côte en roulant sur une route menant à Deling City. Edea sentait clairement que la seconde mi-temps allait se passer dans son palais, car le convoi se rapprochait de plus en plus de la ville. Si les deux femmes avaient un peu plus observé la région, elles auraient pu voir, à gauche, la paroi rocheuse d’une falaise, et, à droite, la plage, avec quelques embarcations, des bateaux de pêche, et des cabanes en bois. Mais, en toute honnêteté, il était bien plus attirant de s’occuper du fessier de la succube, ce qu’Edea était précisément en train de faire.

« Utilise tes queues pour caresser mes trous, Koakuma... »

Ce contact aurait des effets détonants sur la succube, Edea n’en doutait pas, car une zone très érogène allait rencontrer une autre zone particulièrement érogène. Autant dire que ce retour inattendu était curieusement extrêmement plaisant pour la sombre sorcière.

En effet, Edea est bel est bien en train de procurer davantage de plaisir à la succube qui, excitée à un très haut point, ne cesse de dire des mots coquins entre ses gémissements des mots qui, prononcés d'une manière aussi perverse, semblent même affecter les deux hommes qui conduisent, une sorte de gémissement aphrodisiaque, particulièrement efficace sur les hommes, pour les femmes, ça ne fait que réveiller ou accentuer leur envie de sexe, quoi de plus normal de faire ça pour une succube, c'est vrai, après tout, même si elle est différente des autres de son espèce, elle affectionne particulièrement bien la sodomie.

D'ailleurs, il est assez facile de remarquer que Koakuma prend son pied, elle fait dandiner ses fesses de manière très excitante, se doigts semblant lui rappeler à quel point la sodomie est une chose tellement agréable et aussi, à quel point un doigt peut se révéler tout aussi excitant qu'un sexe d'homme, voir même bien plus, car un doigt peut se faufiler plus facilement et bouger de différentes manière une fois à l'intérieur. Et puis, cela fait longtemps qu'on ne l'avait pas sodomisé, c'est vrai, la maîtresse de cette succube n'est pas du tout le genre de personne à aimer le sexe, du coup, elle ne peut pas beaucoup s'amuser avec tout le travail qu'elle a à faire dans la bibliothèque.

Pendant que la sorcière sodomise continuellement la succube, cette dernière utilise alors sa double queue pour aller se faufiler bien entre les jambes d'Edea, l'une caressant son intimité déjà toute mouillée, l'autre plus discrète, caresse très minutieusement entre ses fesses puis y entre ensuite légèrement, histoire de commencer à sodomiser légèrement cette sorcière tout en se laissant toujours dominer par celle-ci.

Alors que les cris sensuels de Koakuma se font bien entendre, lorsqu'elle caresse l'intimité de la sorcière avec sa queue, les deux hommes semblent pris d'un soudain excès de colère et réprimandent la petite succube qui ne faisait qu'exprimer son bien être. Le conducteur, sans doute le plus inconscient, regardant à derrière lui pour bien mâter le corps nu divin de la succube.

Héé, la ferme, gamine, tu m'empêches de conduire correctement !!

Il suffit alors de quelques secondes d'innatention, pour que le chauffeur regarde à nouveau devant lui et, voyant qu'il heurte un une paroi rocheuse, perd le contrôle du véhicule et ne parvient pas à empêcher la chute de la limousine, le choc provoqué par la paroi heurté fait donc bouger viollement la sorcière qui est la moins protégé vu qu'elle était à quatre pattes, elle est donc partie en avant à cause du choc et s'est cogné très méchamment la tête contre la vitre avant de perdre connaissance. La voiture reste donc en hauteur, en train de se pencher vers le trou de la falaise, pouvant tomber à n'importe quel moment. Les soldats, quant à eux, semblent s'en être sortis indemne et décide de kidnapper la succube pour l'emmener dans un coin tranquille afin de finir ce qu'Edea avait commencé, il est facile, pour un homme, de profiter d'une femme inconsciente pour la prendre comme un sauvage, mais alors pour deux hommes, c'est une scène qu'il ne vaut mieux pas imaginer.

Galbadia était certes un État militaire, mais la discipline n’était pas très développée. C’était l’une des principales faiblesses de l’arme galbadienne. Les soldats étaient généralement des brutes épaisses qui profitaient du fait d’avoir un uniforme et une armure de combat pour faire ce que bon leur semblait, sans vraiment tenir compte de la législation en vigueur. Edea le savait, mais ce problème ne l’avait jamais vraiment préoccupé, car elle n’était pas vraiment intéressée par l’aspect juridique et administratif de son statut de souveraine. Pour l’heure, elle se faisait plaisir, savourant cette joie inattendue et intense. Koakuma décida de la satisfaire, enfonçant ses queue sous sa robe, devant forcer le passage. La robe d’Edea, moulante, était bien serrée, mais les queues réussirent à passer, pour atteindre leurs orifices. Fermant les yeux, Edea se laissa faire, gémissant de plaisir. Elle ne fit même pas attention quand un chauffeur leur demande se de taire, visiblement perturbé par les émanations de magie rose émanant de la succube. Edea était tentée de le tuer sur place, mais se réserva ce plaisir pour plus tard... Jusqu’à ce que la limousine heurte l’un des rochers bordant la route filant le long des falaises. Il y eut un choc sourd, le pneu heurta ensuite un nid-de-poule, et la voiture partit en vrille, heurtant le sol, dévalant une pente menant vers un précipice. Edea, surprise, tomba à la renverse, et heurta violemment, tête la première, un rebord de la voiture. Elle sombra dans le coma, du sang s’échappant de sa tempe, tandis que, à l’avant, les airbags se déclenchèrent, sonnant les hommes, mais sans commettre trop de dégâts.

Étalée sur le sol, Edea était inanimée. Les deux chauffeurs savaient ce que leur imprudence signifiait : une mort particulièrement horrible et longue, probablement en étant dévorés vivants par les monstres de la prêtresse. Les autres Galbadiens se rapprochaient rapidement, et ils choisirent donc de s’enfuir, prenant au passage le corps inanimé de la succube. Ils filèrent par l’arrière, faisant tanguer la voiture, qui glissait près du précipice, et se dépêchèrent de filer.

« Arrêtez-vous ! » hurla un officier galbadien en les voyant.

La chance était toujours avec les mauvaises herbes. A proximité, les deux mécréants virent en effet un sentier permettant de descendre, un petit escalier en pierre, et s’empressèrent de le descendre. L’officier ordonna à plusieurs soldats de les poursuivre, tandis que l’essentiel des soldats avançait vers la limousine. Les officiers galbadiens n’avaient malheureusement aucune connaissance magique, et les sorcières d’Edea n’étaient pas venues avec elle. L’officier ordonna donc qu’on sorte des treuils, afin d’attacher l’arrière de la limousine. Elle était lourde et grosse, mais eux disposaient de puissantes voitures. Edea, quant à elle, était pour le coup sonnée. Le choc avait été dur, et, si elle était certes une très puissante magicienne, son corps restait celui d’une simple femme. Elle n’avait eu le temps de lancer aucun sort de protection, tant son plaisir sexuel l’avait troublé.

Quant aux deux soldats galbadiens, ils descendaient. L’un d’eux portait la succube endormie sur l’épaule, et l’autre tirait avec un fusil, visant les Galbadiens derrière lui. Il réussit à en atteindre un à la jambe, et l’homme se mit à dévaler les marches, tombant comme une pierre, avant que sa tête ne heurte dans un bruit sinistre la paroi. Les autres soldats continuaient à tirer, mais les deux fuyards avaient atteint la plage, se mettant à courir au milieu des récifs. L’un d’eux connaissait bien cette plage, car il y venait souvent, étant jeune. Il y avait tout un réseau de grottes et de canaux souterrains, et ils ne tardèrent pas à en voir une, alors que l’eau de la marée revenait. La marée haute allait bientôt les protéger des poursuivants. Ils se dépêchèrent, et parvinrent ainsi à s’enfoncer dans une grotte qui montait. Ils montèrent, et l’un des deux renégats utilisa une grenade de sa ceinture pour obstruer l’entrée.

« De toute manière, j’en pouvais plus de cette salope de sorcière, grogna l’un des traîtres.
 -  On rejoint la cabane, on s’amuse avec cette petite pute, et on fout le camp. »

C’était un bon plan. Le petit bateau de pêche leur permettrait aisément de quitter Galbadia, afin de rejoindre Horizon, une espèce de ville juchée sur une plate-forme, d’où ils pourraient sans problème embarquer à bord d’un navire plus gros pour rejoindre le continent. Ils traversèrent la grotte, rejoignant une petite crique avec un ponton en bois. La marée étant haute, le ponton était juste au-dessus de l’eau, et le navire de pêche flottait, retenu par une solide corde. La cabane de pêche était vide, et sentait une forte odeur de poisson. Koakuma fut balancée sur le sol, et on l’attacha par les mains, bras écartés, à l’aide de solides cordes.

« Réveille-là. J’ai les couilles qui me démangent, un truc de fou. »

L’autre Galbadien attrapa un seau, le remplit d’eau, et le balança à la tête de la succube.