Un cours insoutenable [Le Cercle]

La membre du cercle dans la plante transmit rapidement l'idée générale du message de Poison Ivy, à savoir qu'elle voulait souffrir pour jouir.
 C'était en général l'un des meilleurs moyens de rendre le Cercle fou. si somme toute peu étaient de pures dominatrices, toutes en avaient un embryon. c'était quelque chose qu'on gagnait avec l'habitude de coucher selon ses goûts, de se complaire dans l'ascendant qu'on a sur ceux qu'on séduit. les membres du Cercle se rapprochèrent d'elle à mesure que les autres partenaires s'effondraient, et commencèrent à la mordiller, à la lécher, une E.S.Per commença à la cribler de mini chocs électriques.
 Trois élèves parmi les plus endurantes réalisèrent que pour que la plante ne les rende pas comateuses très rapidement, avec ce nouvel ordre, il faudrait être plus nombreuses dedans. elle y allèrent toutes les trois, réduisant considérablement l'impact sur chacune d'elles.
 
Les tentacules renversèrent Ivy à l'horizontal, tenue et écartelée par les bras et les jambes à hauteur de reins. de cette manière, un maximum de corps pouvaient entrer contact avec elle.
les tentacules fouets partirent marteler la totalité de son corps, avec une insistance et une méticulosité exemplaire. deux tentacules verges supplémentaires glissèrent dans sa bouche, trois tentacules-bouches agrippèrent ses cheveux pour les tirer en cadence avec les mouvement pénétratoires qu'elle subissait. d'autres tentacules-verges se frottèrent vigoureusement sur son corps, certaines éjaculant sur son ventre.

à présent, la majorité de la salle gisait inconsciente, laissant le Cercle et les plus solides autres personnes disposer de la Prof. le premier périphérique et le troisième groupe étaient désormais parfaitement calmes tandis que le second groupe se reportait petit à petit sur Ivy. Seika commença à pendre d'assaut son ventre, le mordillant et le griffant, aboyant toujours d'enthousiasme. les deux filles qui avait pris sa tête d'assaut se mirent à genoux et reprirent rejointes par d'autres. une vampire se laissa à lui sucer le sang, en prenant soin pourtant de ne pas la contaminer. la prof de math, rejointe en cela par trois élèves, continuait sa besogne sur les fesses de miss Pamela, et pénétra même cet orifice avec gode encore gluant que quelqu'un avait laissé trainer.

Les prétendants à la vulve d'Ivy se faisaient de plus en plus violent à mesure de leur succession, influencés par l'attitude des filles du Cercle. ceux qui ne pouvaient rejoindre la précieuse fente (trois élèves la pénétraient successivement, plus quatre tentacules) se soulageaient en se masturbant en faisant face à son corps, la visant avec leurs jets. elle se retrouva ainsi avec une quantité embarrassante de sperme sur la figure, le ventre, les cuisses, et loin de l'en débarrasser, les membres du Cercle s'affairant autour d'elle étalaient le liquide sur tout son corps.
 l'ESper produisait des chocs plus violents sur ses tétons de manière singulièrement localisée, et fut rejoint par une autre, capable de chauffer n'importe quelle surface qu'elle touchait jusqu'au point où la douleur faisait s’évanouir des hommes solides. en l’occurrence elle brûlait le mont de Vénus de la femme plante. les quand à eux se virent l'objet de pas moins de six tentacules bouche et deux tentacules verges.     

puis d'autre tombèrent, et il n'y eut plus d'hommes pour demander son son sexe. tandis que les hommes restant s'attribuaient les mains (elle dut tenir trois pénis dans chaque mains) ou s'ingéniaient à la caresser, la mordre ou la frapper, les filles du Cercle s'emparèrent du tribut non revendiqué. une dizaine d’entre elles plongèrent leur doigt dans cette intimité, une autre en lécha la partie inférieure.

Mettre au défi le Cercle, c’était probablement signer son arrêt de mort. Ivy s’engageait avec ce groupe dans une espèce de bras de fer sexuel, et ô combien pervers. Poison Ivy voulait voir de quoi ces petites étaient capables, et, sur ce point, elle ne fut pas spécialement déçue. Loin de là, même. Ces dernières éprouvèrent fortement l’efficacité de sa plante. Normalement, cette dernière n’était conçue que pour contenir une seule femme, mais même un membre du Cercle ne pouvait supporter cette déferlante de plaisirs. Elles choisirent donc d’y aller à trois, se collant, et Ivy se mit brièvement à craindre que sa plante ne se meure. Au lieu de ça, cette dernière réussit à survivre.

*L’échantillon d’Alraunya est encore plus efficace que ce que je croyais...*

Poison Ivy sentit les tentacules la soulever, la mettant en position horizontale. Les tentacules tiraient sur son corps, et l’Empoisonneuse put constater que, plus la situation avançait, plus les lycéens s’effondraient. Ils avaient beau être des fanfarons et se croire infatigables, ils venaient d’affronter leurs limites. Comme Motoe, toujours inerte, bien des camarades étaient écroulés sur le sol, entortillés dans des tentacules. Il ne restait quasiment plus que plusieurs hommes et les femmes du Cercle. Les hommes, eux, étaient caressés par les tentacules, mis sans pouvoir être soulagés, ne pouvant se satisfaire qu’en baisant leur prof’. Ce n’était pas vraiment pour les déranger.

Pour les lycéens endormis, les tentacules les caressaient tendrement, continuant à lentement les pénétrer. Bien qu’endormis, les étudiants continuaient de temps en temps à jouir et à gémir. Même Motoe n’était pas épargnée. Il y avait tout simplement des tentacules partout, recouvrant les fenêtres, entourant la porte d’entrée, formant un couloir verdâtre où certains étudiants étaient plaqués contre les murs, se diluant dans les tentacules. Le lycée de Seikusu n’avait plus rien à voir avec le lycée, mais ressemblait plutôt à une grosse jungle tentaculaire et grouillante.

Poison Ivy ressentait tout ça, mais elle n’eut bientôt plus vraiment l’occasion d’y songer, se retrouvant au coeur d’un véritable gang bang. Les tentacules la fouettaient un peu partout, et elle sentait les crocs d’une vampire dans son cou, suçant lentement son sang. Difficile de savoir où donner de la tête, vu que toutes les parties de son corps, de la plante des pieds jusqu’à la crête des cheveux, étaient sous l’effet des hommes et des femmes. Ils jouissaient sur elle, et elle sentait les mains et les langues des filles du Cercle répandre ce sperme sur son corps. Si elle l’avait voulu, Ivy aurait pu avaler ce sperme, nettoyer son corps, mais elle n’en fit rien, se disant qu’elle était plus sexy ainsi.

Entre ses doigts, elle sentait des pénis glisser, et, pour faire simple, Ivy était à peu de choses près proche de l’état qui avait conduit Motoe à finir dans le coma. Tout son corps était malmené et excité, et, quand elle n’avait pas la bouche pleine, Poison Ivy poussait des petits cris saccadés, n’ayant pas la force d’hurler. Elle ne put même plus avaler le sperme qu’on lui ingérait, en recrachant une bonne partie. Si elle n’avait pas cette endurance spéciale que les plantes lui donnaient, elle se serait déjà effondrée. La prof’ n’en pouvait plus, son intimité transformée en une espèce de fontaine crachant sans arrêt de la cyprine, éclaboussant sa petite chienne.

A moitié inerte, Poison Ivy finit par s’écrouler sur le sol lorsque les tentacules la relâchèrent. Tout son corps dégoulinait de cette substance blanche et gluante, allant jusqu’à tâcher ses cheveux. Sonnée, Ivy tentait de se redresser, de rester éveillée, respirant lourdement, baignant dans un mélange de sperme et de cyprine. Reprenant peu à peu son souffle, Ivy s’appuyait sur ses avant-bras. De tous les êtres autour d’elle, il n’y avait que Seika pour lui lécher le corps, restant à quatre pattes près d’elle. Cette dernière avait après tout toujours une liane autour du cou, la serrant et la maintenant.

« Et bien, mes chéries... souffla lentement Ivy. Vous... Vous illustrez parfaitement le proverbe... »

S’agrippant à une table, Ivy entreprit de se redresser, et commença à absorber le sperme. Toute sa peau était désormais verte, et elle essaya de se maintenir dessus, tandis que Seika allait lécher ses bottes. Ivy tira pensivement sur le tentacule, afin de relever la tête de la membre du Cercle, qui alla lécher sa jambe, continuant à faire de nombreux baisers. Poison Ivy regarda ensuite les autres membres du Cercle, poursuivant ce qu’elle avait à leur dire :

« L’union fait la force... Vous m’avez épuisé... Laissez-moi me remettre un peu... Je ne suis pas super-résistante, moi... Mais, si cela peut vous rassurer, je ne divulguerai pas votre petit secret... Tant que vous saurez tenir votre langue... »

Ivy ne tenait pas à ce que tout un chacun sache qu’elle était une mutante. Les étudiants qui dormaient oublieraient ce qui s’était passé. Les tentacules d’Ivy n’avaient pas de faculté amnésique, mais, quand les lycéens se réveilleraient, hébétés, ils préféraient croire n’importe quoi, plutôt qu’une plante tentaculaire qui les avait tous pénétrés... Leurs esprits inventeraient bien des excuses, et, pour ceux qui ne voudraient pas se voiler la face, ils préféreraient conserver ça dans leurs rêves, plutôt que d’en parler à leurs parents. Le seul problème restait donc le Cercle.

*Nous avons tous intérêt à rester silencieuses...*

Poison Ivy reprenait lentement son souffle, sentant des tentacules revenir vers elle. Elle en lécha lentement un.

« Qui sait... Peut-être que je pourrais rejoindre votre petit cercle, dans le fond... »

 En voyant l'état de fatigue avancée de la prof, les filles dans la plante songèrent que ça commençait à devenir dangereux. de plus, Poison Ivy était de toute évidence passée dans l'état qui créerait son oubli. il ne fallait bien sûr pas pas la tuer, ni la rendre comateuse. elles relâchèrent donc toutes les étreintes, faisant tomber à terre une femme très fatiguée.

 cela eut pour conséquence d'arrêter net la furie qui s'était déchainée sur elle, avec juste Seika qui la léchait et un dernier lycéen qui lui éjacula dessus, avant de s'allonger pour dormir.
Ivy combattit avec énergie la torpeur qui frappait les personnes qui achevait du sexe à ce niveau-là, forçant le respect muet du Cercle. elle s'agrippait à une table, tentant avec obstination de se maintenir debout.

  Elle proposa un marché: le secret du Cercle contre celui de son identité. elle ne réalisait pas que dès qu'elle se laisserait gagner par cette fatigue, elle oublierait les visages, les noms, pour ne garder qu'un vague souvenir qui ne ferait au pire qu'ajouter à la rumeur qui courrait déjà.

Ivy continua:
« Qui sait... Peut-être que je pourrais rejoindre votre petit cercle, dans le fond... »
Motoe se releva, et s’approcha d'elle pour lui répondre avec une voix douce:
-ça aurait été un honneur, vraiment. malheureusement, notre Cercle ne fait entrer en son sein que des élèves du lycée. elle lui caressa doucement les cheveux et l'embrassa.-mais nous nous reverront, vous deviendrez peut-être même une de nos clientes favorites. avec plus de discrétion que cette fois-là, par contre. avec une infinie précaution, elle l'amena à se recoucher par ses caresses et en l'emportant dans sa propre descente. dans cet état ou se trouvait Ivy, elle était aisément manipulable, tout membre du cercle avait comme une force hypnotique sur elle. une fois à genoux, elle reprit,la guidant vers la position couchée:
- quand  à votre secret, il sera bien gardé. vous avez put le constater, nous en avons gardé beaucoup, beaucoup d'autres...
les dernières ''Cerclistes'' s'occupèrent d'emmener au pays des rêves les autres participants, usant du même type d'influence sur ceux-là.

 il fallut trois membres, plus quelques tentacules, pour intimer Pamela au repos. Seika, toujours sur son rôle de chien, se blotti conte son dos en lui léchant affectueusement le coté et le bras, Motoe s’était allongée en face d'elle, la main sur son épaule, l'embrassant régulièrement, une dernière membre lui caressait les fesses, tandis que les tentacules glissaient tendrement sur elle. tout ceci, l’enveloppant de la chaleur des corps, devrait l'amener au sommeil. puis, lorsque ce fut fait, quelqu'un demanda:
-mince! qu'est-ce qu'on fait de la plante maintenant?
les filles du Cercle se regardèrent avec incertitude. faillait-il l'abandonner là, pour faire croire que tout c'était produit à cause d'une plante inconnue? fallait-il réveiller la dame aux plantes, au risque qu'elle ait déjà oublié ou que le processus d'oubli ne soit plus possible? fallait-il essayer de la ranger dans la salle, en espérant que ces appendices se rétracteraient?

Fatiguée, Ivy ne put lutter contre les membres du Cercle qui se ruèrent sur elle pour l’amener à s’endormir. Il était possible qu’elle oublie l’existence du Cercle après ça, mais elle en doutait. Sa plante, elle, n’oublierait pas, mais, de toute manière, elle avait bien trop de choses à penser. Faiblement, l’Empoisonneuse tenta de lutter, mais reçut des baisers, des caresses, des câlins, tout un tas de douceur qui l’envoyèrent définitivement rejoindre le pays de Morphée. Il lui fut impossible de résister, quand bien même elle l’aurait voulu, et elle se retrouva glissée dans les tentacules gluants.

*Non, ne... essayait-elle de dire. Vous ne comprenez pas, elle...*

Mais Ivy ne réussit jamais à parler, et un tentacule recouvrit ses yeux, tandis que d’autres s’enroulaient autour d’elle, l’enfermant dans une espèce de cocon. Un tentacule la pénétra lentement, restant dans son vagin, et elle s’effondra. Malheureusement, les membres du Cercle ne tardèrent pas à comprendre qu’elles avaient oublié quelque chose... La grosse plante dont les immenses tentacules fantastiques avaient recouvert l’intérieur du lycée.

« Mince ! Qu'est-ce qu'on fait de la plante maintenant ? »

Une sacrée question, car la plante, contrairement aux humains, ne ressentait pas la fatigue, et était une créature vivante ne demandant qu’une chose : vivre. Une créature vivante conçue à partir de la forêt géante et consciente Alraunya, une forêt sexuelle sans limite. La plante d’Ivy continuait à grossir et à enfler, se nourrissant des fluides sexuelles de tous les lycéens endormis pour continuer à grossir. Elle sentait un véritable vivier de créatures sexuelles autour d’elle, toute la population de Seikusu, et comptait bien continuer à se répandre.

Les femmes du Cercle n’allaient pas tarder à comprendre que, sans Ivy pour réfréner l’appétit de sa plante, celle-ci était insatiable. Déjà, de nouveaux tentacules allaient revoir les femmes du Cercle, la plante comprenant que ces dernières, éveillées, pouvaient bien plus facilement la nourrir. Plusieurs tentacules s’emparèrent d’une femme sans tenir compte de ses protestations, la pénétrant violemment et avec sauvagerie.

Le Cercle ne pouvait pas lutter contre cette plante et la calmer. Le seul moyen était de réveiller Ivy, mais cette dernière avait disparu au milieu d’un amas de tentacules s’étalant sur toute la salle, cet amas l’enveloppant et la serrant fort. Plusieurs tentacules allèrent briser les vitres, commençant à se promener le long des murs. Chaque tentacule transmettait à la plante les jus sexuels et intimes des habitants, faisant grossir cette dernière. Les tentacules se multipliaient et se durcissaient de plus en plus.

Lorsque les tentacules reprirent leurs attaques sur une des leurs, le Cercle subit un vent de panique.
Heuresement,You Koide chef du Cercle de cette année, reprit ses esprits la première et donna ses instructions:
« qu'est-ce que vous attendez? Libérez-la! »
une Esper lanceuse de flammes  lui obéit en flambant les tentacules trop baladeuses, libérant de ce fait l'élève complètement terrorisée.
La plante eut un mouvement de recul, se demandant probablement ce qui pouvait bien la bruler ainsi.
« vite, quelqu'un pour contrôler la plante! Vous autres, on réveille la prof! On a pas le choix, elle est la seule à savoir comment cesser ce délire. »
deux élèves coururent vers la fleur géante, tandis que les autres cherchaient un accès parmi les lianes qui formaient le cocon de Poison Ivy.
 La plante, après avoir éteint les flammes ses membres, emporta une autre élève  tout en cherchant à attirer les autres. Mais celles-ci furent suffisamment habiles, suffisamment rapides pour éviter ces  attaques. Bien sûr ça n'allait pas être éternel.
« rien à faire, c'est trop solidement attaché. »
un bris de glace se fit entendre.

 Les tentacules sortaient, la plante allait attaquer la ville. Le cercle, malgré leur goût pour le sexe, savait bien qu'il ne fallait pas laisser cette plante prendre tout Seikusu. tout le plaisir du sexe venait de son irruption dans le quotidien. Une ville dans laquelle le sexe était permanent et forcé serait une ville dont le plaisir serait banni. Ceci fit que personne ne contredit aucun ordre, on devait absolument se serrer les coudes dans ces conditions.

Il n'y avait plus de temps à perdre. les deux coureuses étaient encore loin de la fleur, tentant désespérément d'échapper aux tentacules qui les poursuivaient. Une décision rapide devait être prise.
« électrochoc!! LE PLUS QUE TU PEUX! » cria You à l'une des ''Cerclistes''. Celle-ci prit à pleine main l'un des tentacules.


Il y eut un  violent éclat de lumière.
Puis un grand fracas, au moment où la plante fit tomber toutes ses tentacules.
 L'ESper était à terre, presque évanouie. Elle leva trois doigts. Et sombra.
 Trois minutes. Très peu.
« retirer ce barda, maintenant! »
c'était déjà plus facile, toutes les tentacules s'étant relâchées.

On prit Poison Ivy, et on chercha à la réveiller.
« Miss Lilian! Miss Lilian! Vite! » 
inutile. Le sommeil était trop profond.

Avisant un vibro-masseur, You le ramassa et, après l'avoir allumé et mis en puissance maximale, elle la fourra sèchement dans Miss Lilian. Si ça ne la réveillait pas, il resterait plus que d'attaquer l'anus.
Elle lui cria:
« pas le moment de dormir, madame! Comment on arrête votre plante? » 
un cri perçant se fit entendre. La plante avait reprit ses esprits et avait capturé celles qui tentaient de l'infiltrer.

Ivy était dans une espèce de coma léthargique profond. Vaguement, de très loin, elle sentit les tentacules qui la serraient se détendre, la relâcher. Les membres du Cercle tentèrent alors de la réveiller, la secouant.

*Oui, oui avait envie de leur dire Ivy, laissez-moi juste le temps de...*

Le temps était cependant un élément qui manquait, et les membres du Cercle étaient paniquées. On pouvait les comprendre ; elles réalisaient à quel point elles étaient insignifiantes par rapport aux forces de la Nature. Elles attaquaient et blessaient sa plante, Ivy avait senti cette dernière gémir dans sa tête quand on avait enflammé l’un de ses tentacules, mais elle était incapable de l’aider. Elle émergeait lentement, ses yeux peinant à s’ouvrir. Comme ses paupières pouvaient être lourdes ! Elle sentit alors quelque chose s’enfoncer dans son intimité, et un courant électrique envahit son corps, la stimulant et la réveillant d’emblée.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAA ! » hurla cette dernière en bondissant.

Elle se retrouva sur ses pieds, réveillée, et le vibromasseur tomba entre ses jambes, heurtant le sol.

« Hum... Vous avez des méthodes de réveil efficaces, mes petites chéries... »

La plante s’agitait, nerveuse. Poison Ivy la regarda silencieusement.

« Et vous avez plutôt bien excité ma plante... Vous l’avez fait souffrir, constata-t-elle avec un ton de reproche dans la voix. Elle a peur, et elle est nerveuse... Pour la calmer, il faudrait que j’aille dans mon laboratoire... »

Ivy avait des potions capables de réfréner les pulsions de la plante, mais, pour cela, il fallait atteindre le laboratoire. Des tentacules se trouvaient dedans, et la plante était agitée. Elle peinait à reconnaître sa génitrice, mais, en revanche, le sexe la motivait toujours autant. Ivy regarda les membres du Cercle, reconnaissant leur chef, une simple lycéenne.

« Libérez l’accès à mon laboratoire, mes chéries... Ma plante a peur, mais le sexe est toujours ce dont elle désire. Amenez vos beaux petits culs près des tentacules, et je pourrais entrer dans le laboratoire. »

Elle croisa les bras. Quelques tentacules la frôlaient et la touchaient timidement. Ivy tendit cependant un doigt tentaculaire vers You, l’enroulant autour de son cou.

« Toi, par contre, tu restes avec moi... lança-t-elle. Quand nous aurons calmé la plante, nous aurons besoin d’une petite discussion... »

La prof se leva, sans manifester de surprise particulière quand au bazar sans nom qui régnait dans la salle. le processus d'oubli avait dû s'enrayer.
 d'une certaine manière, c'était préférable, puisque l’explication aurait posé problème. mais d'un autre point de vue, les filles sentaient qu'elles auraient du mal à réaliser de nouveau cette frénésie qui avait permis le sommeil de la prof, remettant en question la sécurité de l'organisme qui n'avait jusque-là jamais eut à composer avec une non-initiée connaissant leur secret. 


« Vous l’avez fait souffrir » fit la prof, semblant presque regretter qu'on ait décidé de la réveiller. personne ne fit la remarque que si cette plant e savait se tenir, il ne serait rien arrivé. les événements étaient trop graves pour permettre une querelle entre les deux modes de pensées.

Poison Ivy leur ordonna rapidement de libérer l'accès à son labo, et les membres du Cercle se dirigèrent vivement vers les tentacules gênantes, déviant le parcours de ceux-ci  pour que la porte soit disponible. Quelques-unes réveillèrent celles qui, ayant succombé plus tôt dans la partie, étaient de nouveau disponibles pour une ultime coucherie.

Poison Ivy se posa tranquillement, attendant que le chemin se libère. elle enroula une tentacule digitale autour du cou de You Koide, qui était restée en arrière pour ranimer celles qu'elle pouvait.

« Quand nous aurons calmé la plante, nous aurons besoin d’une petite discussion... »

*une discussion? j’espère qu'elle n'aura pas d'exigence excessive, je ne sais pas ce que donnerait un second sommeil après l’échec du premier...*
pensa calmement la présidente  du Cercle. elle ne craignait pas les foudre d'une institutrice, même si celle-ci se montrait équipée de plantes vertes.

quelques cri de plaisirs s’élevèrent, prouvant la vigueur du Cercle même après une orgie pareille. You Koide sentit qu'on pouvait passer, et elle le fit savoir à l'institutrice:

-la voie est libre, madame Lilian.

« La voie est libre, madame Lilian. »

Souriant, Ivy s’avança alors, en la tirant par le cou, dans son laboratoire. Les tentacules étaient partout, mais aucun n’osa gêner Ivy. Cette dernière ouvrit l’un de ses placards, se contentant d’ordonner aux tentacules de la plante de s’écarter. Elle sortit alors un petit flacon sans étiquettes, l’ouvrit, le renifla, et un rictus déforma ses lèvres.

« Voilà ce dont nous avons besoin... Tiens, prends ça... »

Elle balança vers Koide un petit flacon vert, Ivy conservant avec elle celui qui annihilerait la puissance de la plante.

« Je t’interdis de l’ouvrir et d’en respirer le contenu. C’est un aphrodisiaque pur. Le simple fait de le respirer, dans ton état, te rendrait folle... »

Ivy sortit ensuite du laboratoire, son tentacule flottant longuement vers le bas pour ne pas trop tirer sur le cou de la présidente du Cercle. Retournant dans la salle, Ivy vit que les membres du Cercle étaient prisonnières des tentacules, et avaient l’air d’être d’heureuses prisonnières. Regardant brièvement par la fenêtre, Ivy vit que les tentacules continuaient à grossir, et que des badauds observaient, intrigués, cette flore végétale grossir, recouvrant les murs du lycée. Poison Ivy s’approcha du cœur de la plante, et ouvrit le flacon. Un liquide violet descendit, atteignant la réserve de cyprine de la créature. Elle en versa l’intégralité, et la plante commença à trembler. Ivy ferma les yeux en soupirant, et versa une larme.

« Navrée, ma belle... Tu ne demandes qu’à vivre, mais je vais devoir calmer ta croissance exponentielle... »

La plante ne gémit pas, mais on pouvait sentir les tentacules trembler, commençant à se rétracter. La force des tentacules disparut, et les membres du Cercle encore prisonnières furent libérées. Au bout de plusieurs minutes, tous les tentacules se rétractèrent, diminuant de taille, d’épaisseur, pour retourner dans la plante. Ivy s’approcha des membres du Cercle.

« Pendant que je vais aller m’entretenir avec votre Présidente, je vous invite à toutes vous réunir pour rassembler les lycéens et le personnel dans le gymnase, les rhabiller, et me prévenir ensuite... Vous en aurez bien pour une bonne heure, au moins, ce qui me laissera amplement le temps de converser avec votre Présidente... Sinon... Où est-elle, déjà... ? »

Regardant à gauche et à droite, Ivy finit par retrouver la lycéenne qui avait été sa petite chienne. Relâchant le cou de Koide, elle alla désormais enrouler un tentacule autour de celui de la lycéenne.

« Toi, par contre, tu restes avec moi... Tu es ma petite chienne, après tout, non ? »

Ivy regarda ensuite Koide, et lui fit signe de venir. Les trois femmes rejoignirent donc le bureau d’Ivy, dans la direction. Les secrétaires étaient également K.-O. Ivy monta dans son bureau, et laissa Koide entrer, refermant la porte, avant de s’asseoir de l’autre côté du bureau, offrant l’une de ses vertes bottes à la langue de la membre du Cercle. Ivy parla rapidement :

« Je vais aller droit au but, Koide... Comme tu as pu le voir, mes plantes ont besoin de fluides sexuelles, et il semblerait que je doive légèrement compenser la croissance de ces dernières... J’aurais donc besoin de cobayes pour tester à l’avenir mes nouvelles plantes... Et je pense que cette organisation occulte que tu présides pourrait de temps en temps me fournir quelques belles volontaires pour se faire prendre par des tentacules... En retour, je vous offrirai des aphrodisiaques puissants, comme celui que tu tiens en main. Pose-en quelques gouttes dans le corps d’un homme, et son membre sera tendu pendant des heures. Qu’est-ce que tu en dis ? »

  La  plante avait beau devenir plus puissante après chaque orgasme qu'elle produisait, il lui était impossible de mettre au tapis le Cercle. la nature ''minutewomen'' du groupe lui conférait une très grande résistance, et le répit qu'avait produit l’électrochoc sur la plante avait permit aux membres de se réorganiser. You Koide était très fière de cette victoire, car s'en était une, sur la plante. ça prouvait que le Cercle était devenu une vraie puissance au sein du lycée.

Poison Ivy ne semblait  pas enthousiaste quand à la destruction de la plante. elle avait une larme au moment déverser le liquide violet dedans, et elle lui formula même une épitaphe:

« Navrée, ma belle... Tu ne demandes qu’à vivre, mais je vais devoir calmer ta croissance exponentielle... »

en assez peu de temps, la plante se rétracta, laisser tomber les filles du Cercle, qui se relevèrent pour commencer à évacuer leurs comparses endormies. le danger était terminé,la catastrophe avait été évitée, et le Cercle reprenait lentement ses occupations du quotidien. Poison Ivy le interrompit cependant, leur ordonnant de réunir tout le monde dans le gymnase et de les rhabiller.
un regard de Koide confirma l'ordre et l'on se mit au travail.

Seika Kashiwagi, qui avait quitté son rôle de chien peu avant, fut emmenée par Poison Ivy pour l'accompagner  jusqu'à son bureau, pour parler à Koide des conditions de leur cohabitation.
 
 Ce que dit Miss Lilian eut elle premier résultat de gonfler l'orgueil de You Koide. Elle réalisait qu'elles avaient marqué un point en la mettant out. la femme qui se tenait devant elle n'avait pas ordonné qu'on lui donne des cobayes, comme elle l'aurait certainement fait en temps normal. elle faisait une proposition avec même une contrepartie. proposition que You prit le temps de soupeser, consciente de l'importance de cet accord, avant répondre:

« avec le respect dû à une institutrice, une force surnaturelle, et surtout une femme aussi sexuelle que vous, je dois soulever un point de détail que vous avez négligé de mentionner... »
Koide s'exprimait en prenant le soin garder un sérieux de circonstance. Seika, peu à l'aise, portait le regard tour à tour sur Lilian et sur elle. You nota une pointe de désir dans son œil quand elle regardait la prof.
«vous en savez trop, et surtout trop clairement.
  Je ne vous demande pas de taire ce qui s'est passé, vous savez bien qu'on ne doit pas partir sur ces terrains. mais vous n'êtes pas du Cercle, nous ne pouvons pas savoir quand vous avez parlé après avoir trop bût, ou quand quelqu'un vous soutire votre secret de force, vous n'avez pas non plus de protection contre la télépathie, ni aucune autre sécurité que notre statut nous donne.
ne croyez pas non plus que vous êtes assez puissante pour éviter le secret d'être divulgué. les mémoires du Cercle regorge de récits de rencontres surnaturelles, parfois de êtres extrêmement puissants. vous êtes puissante, mais pas autant qu'eux. »
 elle se cala plus confortablement sur son siège et reprit:

« Ce que vous proposez demeure néanmoins alléchant. nous n'avons pas forcément besoin d'aphrodisiaque, mais si l'endurance de certains partenaire peut s'améliorer, nous ne nous en plaindrons pas. quand aux volontaires, nous vous en trouverons très facilement. à commencer par Motoe, vous vous en doutez.
 mais je propose d'ajouter au traité, et c'est le but de mes explications précédentes, de vous adjoindre une assistante de notre équipe.
 celle-ci vous aidera officiellement pour différentes manipulation chimiques et pour le rangement du matériel en fin de journée. ce genre de choses. Officieusement, elle sera un moyen de nous contacter en cas de problème, produira une extension de la protection dont nous bénéficions grâce à des rapports sexuels réguliers avec elle,  et sera donc une amante régulière disponible et compétente. qu'en penses-tu, Seika? tu voudrai prendre cette fonction?»

celle-ci s'était relevée, augmentant son attention à mesure que le poste d'assistante était décrit, et s’apprêtait à se proposer quand la question lui fut posé. elle accepta d'un mouvement de la tête.
You se tourna vers l’institutrice et lui demanda:
« Miss Lilian, acceptez-vous cette offre? vous pouvez me croire, vous ne perdez pas à la prendre avec vous. elle adore être dominée!»

Jambes croisées sur son fauteuil, Ivy écouta Koide lui répondre. Visiblement, la petite était légèrement paranoïaque. A l’entendre, le Cercle relevait du secret défense ! Diable, pour Ivy, ce n’était qu’une simple société secrète. Ah, ces jeunes... A entendre Koide, le Cercle avait des ennemis surpuissants. Le fameux « Complot » dont on avait à chaque fois le droit en écoutant les piliers de comptoir. Ces mystérieux hommes en costume qui contrôlaient le monde entier. Les propos de Koide tenaient, selon Ivy, un peu de cette doctrine-là. Ivy ne dit rien, ne croyant nullement qu’elle aurait un jour affaire à des télépathes pour la forcer à dire tout ce qu’elle savait sur le Cercle. Si elle avait réussi à savoir, n’importe qui d’un tant soit peu intelligent le saurait. Le Cercle pouvait réussir à rester secret au sein d’un simple lycée, mais ils ne ressemblaient pas vraiment à des professionnels de la discrétion.

*Inutile de froisser sa susceptibilité... Tant qu’elle n’envisage pas de tripatouiller à mon cerveau, c’est tout ce que je demande...*

Au lieu de ça, Koide lui proposa d’avoir une assistante. Ivy haussa légèrement les sourcils, mais, quand elle suggéra d’utiliser Seika, la petite qui semblait adorer l’idée de lécher les pieds de l’Empoisonneuse, ce fut ses épaules qu’elle haussa. Si ça pouvait lui faire plaisir...

« Je n’ai jamais pensé à avoir une assistante, mais pourquoi pas... Elle me servira à ranger les bocaux, essuyer les éprouvettes... Et quelques autres choses aussi... C’est d’accord. »

Si c’était tout ce que Koide avait à exiger, Ivy ne se voyait pas imposer trop de choses. Elle croisa à nouveau les jambes, et se mit alors à parler à son tour :

« Quant à votre secret, vous n’avez pas à vous en faire. Sans vouloir vous froisser, si un télépathe venait un jour à s’infiltrer dans ma tête, l’existence du Cercle sera probablement la moindre des choses qu’il recherchera. Je pense que des télépathes seront bien plus intéressés par mes recherches génétiques sur les accroissements moléculaires et les modifications génétiques, plutôt que sur un groupe de lycéennes qui prennent du bon temps ensemble. Si l’existence de ton groupe devient un jour public, ce ne sera pas de mon fait. Je suis une femme qui vit dans le secret. Un de plus ou un de moins, ça ne fait pas une grande différence... Maintenant, je crois toutefois qu’il est temps d’aborder quelque chose de plus sérieux... Et d’ailleurs, toi, puisque tu es mon assistante, commence donc à travailler... »

Ivy pointa l’un de ses tentacules autour du cou de Seika, s’en servant comme d’une espèce de laisse avant de l’amener vers ses jambes, pour qu’elle retourne les lécher. Ce faisant, Pamela tourna sa tête vers Koide, et lui parla donc de quelque chose qui, à ses yeux, semblait plus important :

« Si j’ai demandé à tes membres de réunir tout le personnel dans le vestiaire, c’est parce que je compte leur dire, une fois qu’ils seront réveillés, que ce qu’ils ont vu était une mauvaise blague... Du moins, pour être exact, une erreur de ma part. Je leur expliquerai que j’ai fait des recherches sur certains phéromones des plantes, et que ces derniers se sont répandus par erreur dans le système de ventilation, provoquant des hallucinations en provoquant un sommeil forcé chez ceux l’inhalant. La logique rationaliste de ce monde aidera à convaincre leurs esprits que ce qu’ils ont vécu était effectivement un rêve... Un rêve très réaliste. Je m’en sortirais avec un simple blâme. Partant de là, je conseille à toutes tes amies de faire semblant de dormir également. »

Le plan d’Ivy était relativement simple, et sans faille. Elle était une scientifique, ce qui impliquait qu’elle savait que l’esprit humain, face à une situation bizarre, se rattacherait toujours à la solution la plus cohérente et la plus logique. Il en irait de même pour le personnel de Seikusu. Ivy se releva donc, et souffla un baiser vers Koide.

« Je fournirais à Seika mes produits. Pour l’heure, nous allons aller au gymnase. »

Elle lui fit un clin d’œil, et sortit ensuite de son bureau. Le gymnase était rempli, et les membres du Cercle avaient rhabillé un peu à la và-vite les individus. Ivy commença donc à parler, allant près d’un podium. Les élèves se réveillaient, surpris, gênés, essayant de comprendre ce qu’ils faisaient là. Poison Ivy choisit ce moment pour parler.

« Mesdames et messieurs... Je suis Pamela Isley, professeur de biologie au sein de cet établissement... Et je crois que j’ai fait une légère erreur en travaillant sur les phéromones issues d’une plante... »

Et le discours commença, mettant un point final à cette histoire.

[HRP – Je te laisse décider si tu veux poster à la suite pour conclure, ou pas x)]