Dans des toilettes... Jamais elle ne se serait cru capable de faire une chose pareil dans un endroit aussi glauque... Mais depuis qu'elle avait le membre entre les jambes, elle ne pouvait plus se controler, et les phéromones de la professeur n'y etaient pas pour rien dans tous cela... Hay' devenait bestiale, à l'indentique de son homologue demoniaque, tout du moins, son Penis pointant et durcit par le jeu de hanches de la jeune femme en face d'elle, qui approchait, souriante. AInsi donc, la succube avait fait exprés de lacher ses odeurs excitantes... Croyait elle s'en sortir ainsi? Duper la flic, et s'en aller libre de toutes accusations? L'esprit embrumé de desir de la policiére tentait une derniére fois de reprendre le controle de son corps, mais rien a faire, elle ne pouvait que se laisser aller a sa bestialité et a son envie du moment, tandis que les mains de l'enseignante parcouraient sa poitrine volumineuse, et que ses lévres s'occupée egalement de l'un de ses seins...
La flic soupira, se cambrant sous l'effet des caresses sur son fessier, le visage regardant le plafond de ces toilettes... Elle saisit sans attendre les cheveux de la jeune femme, lui ordonnant silencieusement de continuer, ne plus s'arreter, sa queue se tendant au maximum, lui faisant méme mal à présent. Elle se laissa entrainer contre le mur, tandis que la succube continuer son petit manége pour la rendre folle... N'avait elle pas compris qu'Hayley avait atteint un point de non retour, et qu'elle ne sera satisfaite, qu'une fois son sexe assoifée totalement etanché?...Souriante, predatrice, l'agent de police se colla un peu plus a son amante, la plaquant sur le mur de carrelage blanc, passant ses mains sur la poitrine d'Emilia, decouvrant la douceur de cette derniére, jouant avec ses mamélons, les pincant, avec une touche de sadisme, le regard enflammé...
Elle glissa une de ses mains le long du corps de sa prisonniére, qui parvient enfin a son entre jambes.. La, sans plus de cérémonie, elle arracha le bout de tissus de son dessous, dans un craquement, pour devoiler son sexe demandeur de caresses. Miss Stevens ne se fit pas prier, et ses doigts decouvrirent le pubis brulant de sa partenaire... Grand dieu que les succubes etaient desirables... Ses doigt ecartérent les lévres inférieurs, les tirant doucement, les massants, avant de venir prendre entre deux, le clitoris qui etait apparant sous l'effet du plaisir. Elle jouat a le faire rouler, a le titiller, avant qu'un doigt, le majeur, n'entre en elle, profondement, comme pour preparer ce qui allait suivre...