Mon tee-shirt blanc trempé et mes sous-vêtements striée de couleur noirs et rouge, formant une parfaite harmonie, voilà ce qui me restaient, à vrai dire rien de bien consistant. Avec la facilité qu'il m'avait ôter ma veste et mon pantalon, le reste ne faira pas long feu. Et je devinais aismément que le reste allait suivre rapidement, je tremblais à cette idée. Tout mais pas ça, par pitié ! Foutue montre qu'il m'a brisé les crocs...Je le regardais :
" Tu as raison sur le fait que tu es plus fort que moi, mais je refuse de devenir ton esclave...Humain".
Je le regardais, le regard haineux, comment cet homme en apaprence sympathique pouvait il être aussi vil et fourbe ? Moi qui pensais que je serais loin des marchands d'esclaves de Terra, je m'étais trompée et pas qu'un peu. Je lançais avec un petit rictus :
"Oh bien sûr j'oublais que vous nous mettez en esclavage pour nous maitrîser, à savoir si la raison n'est pas celle de la peur, on empêche un peuple de vivre à son aise pour se sentir en sécurité, être les plus forts ... et éviter tout risque de rébellion...Tss...Pitoyable".
Il voulait que j'accepte le fait d'être esclave et que je lui obéisse au doigt et à l'oeil ? Plutôt mourir que subir tel affront, passant légérement le bout de la langue sur mes canines je sentie que le bout était brisé mais en ce moment, si j'aurais plus de force, ça aurait était autre chose que j''aurais brisé, en l'occurance, le cou de Dorian. Cette pensée me fit avoir un regain d'énergie que je déployais afin d'essayais de me soustraire de l'emprise de Dorian. Tirant avec mes mains sur celle qui empoignait mon cou, oui j'avais mal en bougeant ainsi, oui je savais que ça ne servais à rien mais je garder une petite lueur d'espoir. Mes jambes s'agitaient en l'air tendant de repousser l'homme imposant afin qu'il me lâche. Mais que faire contre un colosse musclé ? Rien. Je finis par arrêter de bouger, toujours maintenue en l'air, la respiration saccadée, la queue immobile. Je venais d'utiliser de l'énergie pour rien, je jetais un regard vers la fenêtre y apercevant les gouttes de pluies s'abattant contre la vitre de cette dernière. Il pleut dans la ville comme il pleut dans mon coeur ( Poésie time !xD)