Montre-moi ton loup ! [PV Ghanor]

Même si le mâle avait l'habitude de finir au lit avec une jolie inconnue lors de ses multiples soirées dans les diverses boites de la Terre, c'était bien la première fois qu'il passait un si bon moment dans des toilettes aussi sales d'un endroit miteux. Gémissant de plaisir, le Terranide avait ainsi droit au savoir faire d'une véritable experte, surpassant largement la moyenne de ses propres amantes. Comment ne pas apprécier une telle dextérité ? Outre l'étau humide de sa petite bouche enfermant sa queue, ses seins, ses globes de chairs dodus, comprimaient le reste de son membre dans une étreinte divine. Une combinaison de facteurs, de plaisirs, qui obligeaient le contrebandier à légèrement basculer la tête en arrière par réflexe, à cause du pied qu'il prenait. Grommelant, gémissant, sa gueule s'entrouvre pour laisser s'échapper sa langue, sa respiration haletante, à la manière d'un chien. Après tout, malgré son apparence, Ghanor restait un être en grande partie canin ! Heureusement pour lui, cela ne dérangeait pas cette jolie petite salope.

Son membre était tendu à son maximum. Entre le plaisir, le lieu, et l'idée qu'il filmait une actrice durant son prochain film, tout était là pour rendre son chibre aussi gros que possible. Une queue épaisse, massive, gorgée de sang à en palpiter, les veines parsemant la colonne de chair semblant prêtes à exploser. Malgré son état d'excitation intense, le mâle gardait toujours un oeil sur l'objectif, histoire d'offrir une scène délicieusement perverse, un véritable appel au stupre et à la luxure. Après tout, des gens allaient surement regarder Magdalena sucer cette grosse queue dans des toilettes sales, à pomper et tenter de faire cracher un chibre animal dans un concert de bruits obscènes... Bien-sûr que le tout devait être filmé avec qualité !

Malheureusement, les limites du mâle étaient très vites atteintes. Il sentait petit à petit qu'il n'allait plus pouvoir se retenir, que la jouissance allait arriver, violente, intense. Normalement, il aurait apprécié s'enfoncer au fond de sa gorge pour directement s'y vider, mais il pensait au fait qu'il filmait une scène de porno. Bien décidé à rendre le tout pervers à l'extrême, il vient soudainement se retirer de la bouche de la jeune femme. D'un mouvement, il attrape son menton et relève son visage.

« Ouvre bien la bouche, ma belle.. »

Le mâle se masturbait désormais devant le visage innocent mais incroyablement pervers de l'actrice. Et dans un râle animal, bestial, Ghanor fini par jouir. De nombreux jets de sperme chaud vinrent ainsi s'éclater sur le visage de la jeune femme. Souillant sa petite face d'ange, l'abreuvant directement en tombant dans sa bouche. La scène était divine à regarder. Reprenant lentement son souffle, même le contrebandier se délecte de cette scène, de cette vision du paradis : le visage de l'actrice, recouvert de sperme chaud et odorant, qui coule sur sa peau pâle, jusqu'à souiller ses gros seins mis à nu.

La magnifique blonde avait cette faculté à pousser les mâles dans leur plus profond retranchement, ils avaient beau se la jouer comme s’ils étaient des coups divins à se taper, Magdalena les faisaient revenir sur terre en leur montrant ce qu’était une véritable professionnelle du sexe. La bimbo, elle était vraiment insatiable, elle semblait éternellement en chaleur et chassait les queues d’hommes avec avidité. Une véritable succube coincé dans le corps d’une humaine pour le plus grand plaisir des hommes avec qui elle finissait par s’envoyer en l’air.

Elle suçait avec avidité cette grosse queue gonflée par le désir et elle llui faisait connaître ce qu’était sans doute la meilleure félation qu’elle n’avait jamais eu. Elle était gourmande et ça se sentait, elle lui aspirait la queue jusqu’à ce que son compagnon d’un soir la retire pour se branler devant elle. Elle sourit en comprenant qu’il voulait lui jouir au visage, elel ferma donc les yeux et ouvrir gras la bouche pour recevoir son offrande.

Elle reçu l’épais sperme de son amant sur le visage, dans la bouche et partout sur le corps selon là où finissait le jet qu’il lui offrait. Elle aimait ça et l’odeur ne la dérangeait pas, elle avait tellement goûter de fluide différent qu’elle ne devait plus vraiment avoir l’odorat assez fin pour reconnaître quelque chose de puant à quelque chose de normal. Elle rouvrit donc les yeux quand il eut fini de lui jouir dessus et retourna lui donner des petits coup de langue sur le sexe pour lui nettoyer ce qu’il restait de précieuse semence.

Elle lui sourit après lui avoir rendu son sexe tout propre :

« Tu sais qu’il me reste un trou à explorer hein? Mon petit cul tout serré à envie de manger ta grosse bite et de la traire jusqu’à ce que tu n’ai plus rien à offrir. »

Elle se lécha les lèvre devant lui et devant la caméra avant de se retourner pour lui tendre ses fesses et se caresse le trou de son anus tout serré et fermé avec un doigt :

« T’as envie de l’ouvrir d’un coup sec en rentrant tout hein ? C’est ce qu’il attend. »

Le mâle devait bien avouer qu'il prenait un pied plutôt énorme lors de cette baise. Habitué aux coups rapides, à ses parties de jambes en l'air d'un soir, Ghanor n'enchaînait pourtant pas les amantes de qualités. Seules certaines valaient réellement le coup... et Magdalena en faisait clairement partit. Gémissant d'envie, il puait littéralement la luxure et la perversité, ses yeux bicolores pétillants, cette étincelle de sexe alimentant clairement son être. La jeune femme n'était rien d'autre qu'une humaine, mais montrait des capacités bien au delà de sa propre race. Et dieu, qu'observer son visage recouvert de foutre était bandant ! Cette petite pute affichait un véritable regard de chienne avide, gourmande, n'attendant que sa dose de sperme, sa dose de queue. Une véritable démone humaine, qui devait très certainement abattre de nombreux mâles lors de ses fameux plateaux de tournages.

Parce que dieu, qu'elle mettait sa propre endurance à rude épreuve ! Certes, sa queue était toujours  tendue à son maximum, gorgée de sang, les veines palpitantes et prêtes à exploser... Mais quand même, merde ! Des femelles capable de le faire jouir en boucle ainsi, vider et traire ses bourses remplies de sperme avec une telle aisance, une telle envie... Dieu qu'il appréciait cette salope. Il ne s'étonnait même plus qu'autant de mâles cherchaient à se la taper. Mais non, c'était lui qui avait cette chance, dans ses toilettes sales, puantes, même si désormais c'était bien plus une odeur de sperme mêlée à de la sueur qui était présente.

Bonne actrice, Magda regardait d'ailleurs en permanence l'objectif, comme si elle voyait d'avance le regard lubrique de ses partenaires.

Sans attendre, la belle vint alors se retourner pour lui présenter sa croupe dodue. Croupe qu'il n'avait pas eu le temps de bien observer, mais dont il profitait désormais pleinement. Se léchant les lèvres, il vint glisser ses mains contre ses globes de chair pour les malaxer avec envie et perversité. Bordel, quelle croupe de chienne ! Il sentait ses mains avoir du mal à en faire le tour, à les attraper. Dieu qu'il aimait les culs bien épais comme cela.

« Mh.. oh que oui ma belle... j'vais défoncer cette rondelle de petite pute. »

Dans un mouvement brutal, le Loup vint alors s'enfoncer de tout son long dans l'étroit conduit de la jeune femme. Plantant son glaive tendu, il écarte et racle littéralement ce trou bien plus serré que sa chatte humide. Poussant un long et puissant râle animal, le Terranide commence alors à limer brutalement son intimité, sans même se soucier de son état, claquant son bassin contre ses fesses.

Elle prenait son pied avec cet admirable amant au sexe si délicieux qui lui avait déjà rempli la chatte  et qui lui avait cracher dessus pour la couvrir de son sperme si chaud qu’elle gardait sur elle d’ailleurs. Cette fois ci c’était au tour de son anus de se faire transpercer par cette queue animale encore toute tendue et gonflée. Comme pour ce qu’il était de son vagin, l’anus de Magdalena semblait ne jamais avoir reçu de visite, il était si serré que c’était incroyable de croire que c’était celui d’une adepte de la sodomie hardcore, il ne demandait qu’une seule chose, se faire ouvrir par une imposante bite.

Elle s’amusait à faire rebondir ses fesses lorsqu’il les malaxa, elle était doté d’un fessier tout aussi doux et rebondi que ses seins qu’il était bon de caresser, un gros cul prêt à avaler la première queue venue pour l’explorer. C’est sans préparation et dans un trou totalement sec et fermé que s’enfonça d’un coup brutal le sexe de bonne taille de son amant. Elle cria de plaisir en le sentant entrer en elle :

« Ah oui ! Oui ! Oui ! Vas y comme un fou ! T’arrête pas ! Ralentis pas ! Casse moi le cul, vas y ! »

Elle criait vraiment fort, sans doute qu’on l’entendait dans tout le couloir qui menait aux toilettes mais se faire prendre férocement l’anus était une des choses qu’elle préférait alors elle ne pouvait s’empêcher de demander à son amant d’y aller vraiment férocement :

« Baise mon cul comme tu n’as jamais défoncer le cul d’une salope, j’veux que t’en crève tellement t’auras tout donner pour me détruire le cul ! »

Elle était vulgaire et elle criait mais ce n’était pas seulement pour le galvaniser pour qu’il donne de son maximum, elle avait vraiment envie de ce faire prendre comme ça. Toujours plus de brutalité était neccessaire pour lui procurer un véritable orgasme.

Préparation ? Pourquoi faire ? Ghanor considérait cette petite pute comme un simple vide couille. Un jouet dans lequel il vidait ses bourses, rien de plus, rien de moins. Tout ce qu'il faisait, c'était prendre son pied dans une chienne de compétition, très certainement l'une des humaines avec qui il prenait le plus de plaisir. Et putain, comment pouvait-il ne pas le prendre ?! Le cul de cette salope était serré à l'extrême, comme si c'était la première fois qu'elle se faisait éclater ! Et pourtant, malgré cette brutalité, malgré cette croupe comprimant violemment la queue du mâle, la petite chienne de Magdalena prends tout simplement un pied terrible à se faire traiter de la sorte. Elle gémit, crie, laisse des plaintes de plaisir s'échapper de cette bouche pulpeuse. La scène est délicieusement perverse, et donnera très certainement un film de qualité. Après tout, la caméra filmait l'énorme cul de l'actrice. Deux globes épais, à l'image de ses seins, dont la courbure parfait formait un cœur qui embrassait le bassin du Terranide. Cadré ainsi, le spectateur pouvait observer avec perfection l'orifice de la jeune femme avalant avec gourmandise tout le membre épais du loup.

Et elle en redemandait ! La langue bien pendue, la belle lui lançait des encouragements pour qu'il la défonce au maximum de sa force. Elle veut se faire détruire et le mâle comptait bien le faire. Retirant presque entièrement sa queue de ses chairs serrés, il recommença alors à l'enculer violemment, avec une force nouvelle, décuplée. Comme s'il ne faisait que se retenir depuis le départ. Son membre écartait avec brutalité son trou, qui allait surement rester bien béant quand il en aura fini avec. Il comptait l'exploser comme personne avant !

« Oh que oui, petite pute ! J'vais t'éclater, et tu rentrera chez toi en boitant, bordel ! »

Brutal, violent, Ghanor n'était plus qu'un simple animal, un chien en rut défonçant le cul de sa petite femelle en chaleur. Gémissant, prenant son pied, ses coups sont délicieux, son bassin claquant contre son gros cul dodu. Lui montant carrément dessus pour mieux la prendre, il vient se saisir de ses seins d'une main pour les malaxer, l'autre attrapant sa tête pour lever son visage et venir l'embrasser avec violence, lui roulant une pelle torride. A l'extérieur, le bruit des claquements des corps brûlant était tout à faut audible, comme les gémissements de plaisir de l'actrice.

Elle aimait ça ou plutôt elle adorait ça, après avoir eu temps de partenaire différent, d’avoir servi à un nombre incalculable de sexe différent, elle ne se sentait jamais aussi excitée que lorsqu’elle se faisait pénétrer avec brutalité. Elle en demandait toujours plus et il était parfois difficile d’obtenir ce qu’elle voulait mais ça lui était nécessaire pour prendre un maximum de plaisir. Avec un ou plusieurs partenaires en même, elle ne prenait réellement son pied que lorsqu’elle sentait ses fondements se faire bousculer, remplir et que ça n’en finissait jamais. Sur les vidéos n pouvait d’ailleurs souvent la voir en plein milieu de gang bang regroupant des dizaines et des dizaines d’hommes qui lui brutalisait chacun de ses trou en même temps et à plusieurs par trou lorsque c’était possible. Il ne fallait pas considérer la belle blonde à forte poitrine comme une simple nymphomane, elle était bien plus que ça depuis un bon moment déjà.

Et cette queue qui la ramonait avec tant de hargne, tant de violence et tant de brutalité, à en lui retourner l’anus lui prodiguait un intense plaisir. Les paroi de son anus se pressait très fortement contre l’imposant membre qui se retrouvait comprimer et dont la pénétration serait très difficile s’il s’y prenait doucement mais en y allant aussi fort, il la dilatait subitement et le temps qu’elle se referme, il était déjà ressortie pour rentrer de nouveau.

Elle ne gémissait plus de plaisir, elle c’était carrément mis à crier comme dans les films les plus hardcore où on se demandait si l’actrice prenait vraiment du plaisir à se faire casser ainsi, Magdalena oui en tout cas. Elle se faisait littéralement monter comme une chienne, ses seins peloter avec force et sa bouche en feu qui embrassait son bestial amant avec fougue et ardeur. Elle mouillait tellement que cela finissait par faire de petite flaque sous elle. C’était comme ça qu’elle aimait le sexe.

Violence. Brutalité. De véritables animaux, voilà ce qu'ils étaient actuellement. Deux êtres partageant un pur moment de plaisir bestial, copulant en oubliant le monde autour d'eux. Ne se souciant de rien d'autre que du plaisir ressentis, de cette envie incontrôlable d'une luxure profonde et délicieuse. Enfoncés dans cet océan d'envie, leurs âmes s'entremêlant à l'image de leurs langues, ces deux êtres ne font qu'un, unis dans une baise délicieuse. Le contraire parfait d'un couple amoureux réalisant un acte considéré comme la preuve ultime d'amour, là où eux n'avaient aucun réels sentiments l'un pour l'autre. Surement s'oublieraient-ils une fois ce moment passé, surement se souviendront-ils plus du corps de l'autre que de son nom ou du timbre de sa voix, mais était-ce une mauvaise chose ? La vie était certes faite d'aventures, de rencontres, d'amitiés, d'amour. Mais parfois la vie, c'était ça. Un coup, rapide, dans des toilettes crades, à ne faire qu'une chose : du bien.

Et là... C'était exactement ce qu'il faisait. Limant, éclatant le cul dodu de sa partenaire, Ghanor ne se préoccupa que de ça. Concentré, se délectant de cette sensation exquise des parois de sa rondelle qui comprimait si parfaitement son membre. Enfonçant sa langue dans la bouche de sa petite chienne du moment, l'embrassant, prenant totalement possession de sa bouche. Putain, c'était si bon, si délicieusement animal ! L'un monté sur l'autre, Magdalena en était réduite à n'être qu'un vide couille pour un mâle en rut, qu'une femelle servant simplement à copuler, à se faire engrosser, même si ce n'était pas réellement possible.

Mais le plaisir est trop puissant, trop rapide. Au fur et à mesure qu'il la lime, que son bassin claque sa croupe dodue, il sentait le foutre monter, l'orgasme s'approcher.

« Mwh.. j'vais te remplir ce trou aussi, han! Tu vas.. mwh.. être remplie de partout ! »

Dans un ultime coup de rein, brisant une dernière fois les parois de son cul serré, le mâle se vide alors dans l'antre de la jeune femme. Se plantant au fond de ses globes de chair, de cet étau humide, son membre se met à palpiter avec brutalité pendant qu'il gicles de nombreux jets, une quantité agréable de sperme épais qui remplis le trou de la belle à le faire déborder. Il oses même retirer sa queue au dernier moment pour recouvrir son délicieux fessier de sa crème.

Attrapant son menton entre ses doigts puissants, il attrape de son autre main la poignet de la porte.

« Je sais que j'ai du faire beaucoup de jaloux... Mais ils ont de la chance, j'aime partager. »

Il ouvre alors la porte des toilettes, laissant tomber la belle recouverte de son sperme contre le sol du couloir, où de nombreux mâles semblaient écouter leurs ébats. De son regard bicolore, Ghanor lance un regard qui voulait tout dire à la jeune femme, notamment lorsqu'il lui indiqua les nombreuses érections des spectateurs d'un mouvement de tête.

Il n’y avait que le sexe dans la vie de Magdalena et il n’y avait de la place pour rien d’autre, en connaissant son éducation ultra-stricte et régie par des règles absurdes il n’y a que deux possibilité, devenir nonne où craquer totalement et se libérer totalement en faisant ce qui nous est interdit et au dernière nouvelle Magdalena n’était pas devenu bonne sœur. Depuis qu’elle avait goûté au sexe à un âge que deux mains suffisent encore à compté, elle savait qu’elle serait quelqu’un d’à part, de différent de ce que voulait faire ses parents d’elle et c’est ce qu’elle était. Ne serait-ce qu’évoquer le fait de se toucher entre file et garçon lui avait été interdit ? Eh bien la voila maintenant en train de se faire fracasser l’anus par une queue immense dans les toilettes d’une boîte de nuit. Le sexe était une chose sale et immorale ? Que cela ne tienne, elle était devenue une des actrice porno les plus populaire sur internet. Et elle aimait sa vie, elle aimait passer toute sa journée à ne rien faire d’autre que de sucer des sexe ou de les accueillir dans son vagin ou son anus et même le jour où elle ne gagnerait plus un seul centime de ses vidéos, elle continuerait à baiser pour le plaisir comme ce qu’elle était en train de faire.

Oui, toute cette tension sexuelle la faisait perdre pied et à chaque fois qu’elle sentait l’orgasme venir, elle pensait à sa vie passée et se voyait en train de faire un immense doigt d’honneur à toutes les règles qu’ont lui avait fait apprendre plus jeune. Et cette grosse queue de loup la menait vers l’orgasme en lui ramonant l’anus avec toute cette brutalité animale. Elle criait à en perdre la voix et son ventre se faisait cabosser à chaque fois qu’il s’enfonçait au maximum. Elle eut un orgasme et se mit à jouir comme une fontaine en même temps qu’elle sentait son ventre se remplir de sperme chaud, cette sensation agréable de sentir un partenaire se vider en elle pour la remplir de semence.

Elle avait pris un pied monumental avec cette homme qu’elle ne reverrait sans doute pas après cela ou peut être que si, elle n’était pas difficile à reconnaître ni à contacter. Et au moment où il ouvrir la porte pour laisser voir la scène aux voyeur qui attendait dehors, elle savait que la nuit allait encore durer avec tout pleins d’autre homme. Elle les accueillit avec plaisir, tous les trou ouvert pour recevoir leur queue.

Et voilà désormais que Ghanor laissait en pâture la belle actrice aux mains des nombreux spectateurs qui se languissaient de passer sur la jeune femme. Le sourire aux lèvres, le regard pervers, il jette la caméra aux mains d'un des hommes en lui montrant bien d'un signe de tête qu'il avait intérêt à tout filmer. Le garçon, légèrement apeuré par l'ordre donné par le puissant Terranide, se dépêche alors d'observer l'angle pour tenter d'offrir la meilleure expérience possible aux futurs personnes qui tomberont sur cette vidéo bien coquine. Sur les images, ils pourront alors voir les multiples mains se saisir du corps recouvert de sperme de Magdalena, l'emportant au centre d'un cercle composé de multiples hommes aux queues tendues. Bien vite, elle fut forcée de sucer, pomper, branler chaque membre chaud, gorgé de sang juste pour elle. Pendant ce temps, le loup ne faisait qu'observer cette scène de luxure.

S'étirant lentement, il commença alors à quitter la salle, sans réellement apporter de nouveau regard à la belle. Il comptait peut-être recontacter l'actrice un de ces jours, pour profiter à nouveau d'une baise brutale et délicieuse, d'un pur moment de plaisir à deux, ou pourquoi pas à bien plus. Après tout, le mâle était particulièrement ouvert d'esprit.

C'est ainsi qu'il quitta la boite, en laissant derrière lui la jeune femme. Quiconque rentrerait désormais dans cette pièce n'entendrait plus la musique, mais bien les hurlements de plaisir d'une belle petite chienne qui profitait de plusieurs dizaines de mâles, qu'elle vidait de ses nombreux orifices. Un gangbang improvisé, qui partit à la base d'une baise sale dans des toilettes qui puaient désormais le sperme, la cyprine et le sexe. Plutôt content de cette soirée, Ghanor rentra alors tranquillement chez lui, prêt à s'enfoncer de nouveau dans son train-train quotidien. Après tout, ses artefacts n'allaient pas se vendre tout seul.

Fin.