Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Discussion démarrée par: Magdalena Takao le jeudi 08 juin 2017, 23:58:15
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Faire la fête encore et toujours et se faire plaisir de manière continue, c’était à peu de chose près la vie de Magdalena qui passait sa vie entre les tournage de film porno amateur, les session de sexcam sur son site et les moment d’amusement où elle cherchait toujours plus de garçon avec qui coucher pour agrandir encore plus son tableau de chasse. Elle passait donc sa vie à s’envoyer en l’air avec n’importe qui et à ne rien faire d’autre et elle n’avait aucun problème à assumer son comportement. Sa richesse lui permettait de vivre toute sa vie sans avoir besoin de vrai travail et ce qu’elle gagnait grâce à ses prestations sexuelles n’était rien d’autre que de l’argent de poche.
Comme tous les soirs, après avoir passer une bonne partie de la journée à poser pour un film ou un shooting photo, elle avait encore envie de passer du bon temps et avait décidé d’aller faire la fête dans une boite de nuit. Elle s’était habillé dans une de ses tenues favorites, un petit ensemble faisant penser à une tenue de mère noël sexy, ses seins presque nus qui n’était couvert que d’une bande de latex rouge qui tenait avec un anneau au milieu de la poitrine et qui serrait sa chair jusqu’à la faire déborder. Sa jupe très courte elle aussi rouge et blanche ne la couvrait que jusqu’à la limite de l’indécence et ses bas noirs habituels faisait le reste du travail.
C’était donc une demoiselle qui ne cachait absolument pas ses intentions de ne pas rester seule bien longtemps et cela se ressentait dans son comportement sur la piste, en train de se coller aux hommes et de presque leur monter dessus. Certains prenaient la fuite en se faisant ainsi aborder, la plupart à cause de leur copine pas très loin et qui les regardait d’un mauvais œil. D’autres étaient contents d’avoir un peu d’intérêt de la part d’une fille aussi canon mais elle s’entoura bien vite des garçon les plus balèze, beaucoup la reconnaissait et n’hésitait pas à se montrer plus qu’entreprenant, lui attrapant les seins, se frottant à ses fesses ou l’embrassant à pleine bouche. Si le club n’avait pas été publique, la piste de danse se serait transformer en scène de sexe tant l’ambiance était chaude mais malgré les attouchements pas très purs,tout se passait bien et tout le monde s’amusait à danser avec la petit star du porno et tout le monde espérait être celui qui serait choisi pour la suivre et continuer la soirée de manière encore moins sage.
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Une boite. Un samedi soir. Là, près du bar, se tenait un prédateur. Grand, dépassant les petits japonais de plusieurs têtes, et particulièrement... touffu ? Exactement ! Après tout, le mâle dont le regard vairon observait la salle n'était personne d'autre que Ghanor, Terranide, contrebandier, et décorateur d'intérieurs à temps partiel. L'homme s'était autorisé une petite sortie, après l'entraînement de boxe. Le corps meurtrit par les coups de son coach, qui malgré son âge avait une droite du tonnerre, son esprit et son âme n'en restaient pas moins affamés. De nourriture ? Ah ! Cette faim serait particulièrement facile à combler et ça ne serait pas dans un tel lieu de débauche qu'il passerait son temps. Non. Ce sentiment qui emplissait son être, ce besoin qui faisait battre son était tout autre : le sexe. Le doux plaisir de la chair. L'homme n'était pas un Loup pour rien. Il avait ces moments, où cette envie charnelle prenait le pas sur tout. Des moments où son côté animal reprenait le dessus. Ghanor n'était plus un contrebandier, c'était un mâle à la recherche d'une femelle.
Et cette femelle, il venait de la trouver. Une ravissante jeune femme, au corps possédant des formes à damner un saint. Son visage, il s'en souvenait. Des flashs, des bribes. C'était une femme qui participait à des films pornographiques amateurs, apparaissant d'ailleurs relativement souvent. Connue pour sa perversité, il était plutôt étonnant de la voir dans un tel endroit. Une telle personne pouvait trouver chaussure à son pied en quelques minutes. Mais cette fois, elle s'était mêlée à la foule pour choisir parmi le "peuple". Un sourire aux lèvres, notre Terranide avait de son côté décidé de faire de ce joli brin de personne sa petite femelle de ce soir. Avait-il une chance face aux multiples hommes tentant d'obtenir ses faveurs ?
Absolument.
D'un pas lourd, droit et assuré, le contrebandier s'approcha alors de la piste de danse. Usant de son corps musclé, cette véritable montagne pousse littéralement les quelques autres hommes tentant de s'approcher de Magdelana. Ghanor ne se reconnaissait presque plus dans ce genre de moments. Ce n'était plus sa tête qui contrôlait ses actions, mais son instinct animal. Dominant, sûr de lui, les autres n'ont pas la force pour tenter de lui résister, se contentant de reculer en grognant. En même temps, que pouvait-ils faire ? Pour le Terranide, ils étaient aussi simples à briser que de petits bâtons trouvés par un enfant dans la forêt. Vouloir s'en prendre à lui signifierait se prendre une droite directement dans la mâchoire et finir la soirée dans les bras de Morphée.
Au bout de quelques pas, il arrive alors devant la belle qui dansait avec quelques personnes. Observant la scène de sa hauteur, il lance un grognement puissant, animal, qui fait tout de suite réagir les quelques personnes occupées avec la femelle. Ils observent le prédateur et comprenant, sans même avoir besoin de mots, ils reculent de quelques pas pour lui laisser le champ libre. Son regard sombre devient plus calme, même si cette lueur de perversité était toujours présente. D'une main, il saisit ainsi le fruit mûr pour le coller contre lui, l'enlaçant avec puissance. Son torse musclé compresse les seins à peine cachés par le tissu, alors qu'il pose une main sur son fessier, dans une légère claque sonore. Approchant son visage du sien, il mêle leurs deux souffles avant de lancer, d'une voix suave et pleine de promesses.
« Envie de.. danser ? »
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Avec elle, il était difficile de faire la différence entre une production amatrice et une production professionnelle dans le film pour adulte, elle tournait tellement et avec tant de monde avec une qualité telle qu’on pouvait se demander pourquoi elle n’était pas encore passer pro. Mais au final, la réponse était assez simple, elle était si populaire en restant dans un pseudo amateurisme qu’elle ne gagnerait rien à devenir professionnelle à part peut être pouvoir s’envoyer en l’air avec des acteurs hors de sa portée. Mais au final, il n’était pas difficile de venir s’inviter entre ses cuisses, la voluptueuse blonde était très ouverte et ne regardait pas vraiment qui la besognait tant qu’elle prenait son pied, qu’un parfait inconnu l’interpelle dans la rue pour lui demander si elle voulait coucher avec ne la dérangeait pas vraiment et elle accepterait tout de suite, ça n’arrivait pas tout les jour mais elle était toujours excitée quand ça arrivait.
Oui, elle aimait ça, on pouvait la traiter de salope, de nymphomane ou d’autre terme peu appréciables, elle s’en fichait car elle assumait totalement ce qu’elle était et elle le revendiquait. Elle avait toujours trouver ça amusant que tout le monde dénigre le porno ou la prostitution alors que tout le monde s’envoyait en l’air ou regardait des films pour adultes. De plus, personne ne résistait à une belle femme et elle, elle était sublime et elle le savait que ce soit sa plastique généreuse tout en étant naturelle ou sa douceur extrême.
Et dans cette boite de nuit bondée où elle se retrouvait entourée par de beaux garçons sachant très bien ce qu’elle voulait, elle jouait de ses charmes à outrance. Elle s’amusait comme une petite folle à tous les chauffer et à les faire se dresser comme des bœufs, ça se sentait. La fête alla encore plus loin quand tous ses prétendant furent évincer par un autre encore plus intéressant. Elle se laissa attraper par le nouvel arrivant et se colla contre lui en gloussant à sa demande. Elle posa une main sur son torse et l’autre dans le bas de son dos :
« Ça dépend quelle danse tu me propose. Tu arrive là en faisant fuir tous mes petits gars pour m’avoir pour toi tout seul alors il faut au moins que tu sois aussi bon que tous en même temps. »
Elle lui sourit en le regardant avec plein de malice, elle ne sous-entendant même plus de manière subtile ce qu’elle voulait. Après tout, il était la pour ça alors elle allait lui donner ce qu’il voulait :
« J’aime qu’on me porte pour me mener sur les piste de danse les plus plaisantes. »
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L'invitation du loup était très certainement loin d'être particulièrement fine. La plupart des gens comprenaient assez facilement le sous-entendu derrière, surtout si on ajoute à ce fait que le terme de danser était de toute manière une manière de parler de l'acte sexuel en lui même. Et puis, bon, la boite en elle même semblait de toute manière être faites pour ce genre de rencontres. L'endroit était blindé l'alcool, de musique invitant les différents partenaires à se coller l'un à l'autre et quelques chambres étaient mêmes disponibles au dessus de la piste, permettant à d'éventuels couples éphémères de passer la nuit sous la couette. De son côté, Ghanor ne pensait même pas à aller dans une de ces pièces au lit grand permettant de folles heures de plaisir. Non. Cette belle jeune femme avait une bien trop grande bouche pour mériter une telle attention. Sauvage et impitoyable, le contrebandier comptait déjà la sauter sans même se soucier d'elle. Mais pour le moment, ses oreilles levées vers l'avant écoutent les mots de la jeune femme. Grande bouche, comme dit précédemment. La belle l'engueulait presque d'avoir fait partir ses prétendants, stipulant qu'il devait être bien meilleur qu'eux tous en même temps pour contrebalancer ce fait !
Collé à lui, le loup ne peut s'empêcher d'afficher un rictus de satisfaction. Les babines légèrement retroussées, il dévoile sa dentition de prédateur, grommelant doucement face aux mots de la belle. Pour qui se prenait-elle ? Certes, son corps aux formes parfaites lui permettait d'enchaîner les prétendants, de qualité plus ou moins bonne néanmoins, mais quand même ! Elle n'était pas pour autant une princesse possédant un royaume à ses pieds. Ce n'était qu'une simple femelle qu'il prendrait pour son simple plaisir, par simple caprice.
« Tu risques d'avoir des surprises. » Lance-t-il, d'une voix suave, mais néanmoins forte.
Sa main sur son fessier malaxe sans réellement se soucier des autres le beau globe de chair. Il profite naturellement de la vue de son corps à peine recouvert par le tissu, sans réellement faire attention aux multiples regards jaloux des anciens prétendants, désormais obligés de simplement observer le mâle voler devant leurs yeux la belle actrice. C'était la première fois que le Terranide allait sauter une femelle travaillant dans le porno, et comme tout un chacun, il se posait toujours cette question basique : était-elle un coup divin ? Avec autant d'expérience, c'était possible... Comme il était tout aussi possible qu'elle ne soit qu'un coup comme un autre. De toute manière, il allait le savoir assez vite.
Son autre patte rejoins alors sa jumelle pour saisir fermement le cul bombé de sa petite victime. D'un mouvement puissant, il la soulève alors, collant tout son corps contre le sien.
« Tu mérites même pas une piste, salope. »
Soudainement, il l'embarque littéralement avec lui, la tenant simplement par ses mains sur son cul, lui laissant le plaisir de mieux se tenir à son corps touffu et musclé. Nullement intéressé par les escaliers menant aux chambres, c'est dans les toilettes des hommes, vides à ce moment, que le Loup s'enfonce. Fermant la porte derrière lui, il plaque la belle contre cette dernière, la bloquant entre le bois peint et son torse taillé, son corps semblable à une montagne imprenable.
« C'est ton élément, ici, non ? » crache-t-il presque, un sourire satisfait figé sur ses lèvres.
Ses instincts de prédateur prenaient littéralement le dessus sur sa simple raison d'homme. Avançant son visage, il embrasse alors fougueusement sa partenaire, perversement, chaudement. Sa langue de loup, plus épaisse et longue que celle d'un homme, vient même briser la limite de ses lèvres pour prendre totalement possession de sa bouche. Il visite son nouveau domaine, roulant une pelle chaude et perverse à la belle. Sa main saisit alors le simple bout de tissu protégeant ses seins opulents, tissu qu'il déchire sans même se soucier de la belle. Il attrape alors un sein, qu'il se met à malaxer avec envie, tâtant et jouant de son globe de chair, frottant même son coussinet contre son mamelon, le massant avec plaisir.
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Elle aimait les mâles dominants, ceux qui prenaient les choses en mains et qui lui donnait un maximum de plaisir sans qu’elle ne se dépense trop. Cependant, être dominant ne suffisait pas pour envoyer Magdalena au septième ciel, elle en avait connu des mecs bien baraqués montés comme des chevaux mais qui l’avaient terriblement ennuyé pendant qu’ils lui rentraient dedans. Il n’y avait pas vraiment de profil type pour que Magdalena prenne son pied mais y aller vraiment fort était la clef, il lui fallait un maximum de brutalité dans l’acte pour qu’elle sente quelque chose l’exciter. Elle n’en pouvait plus du sexe doux que font un couple normal, elle ne faisait pas l’amour elle, elle baisait et c’était la toute la différence. Elle ne m’était pas de sentiments particuliers dans l’acte sexuel, seul le plaisir reçu et donné comptait.
C’est pour ça que son nouveau prétendant lui plaisait bien, il semblait vouloir la même chose, juste tiré son coup et rien de plus que de se vider dans une femelle faite pour ça. Ce genre de type misogyne, macho ou avec aucune respect pour les femmes ne dérangeait pas Magdalena, c’était la plupart du temps ceux qui y allait le plus fort pour bien montrer leur supériorité. Elle gloussa donc lorsqu’il la souleva en la prenant par les fesses et se laissa mener. Pendant qu’elle se faisait emmener aux toilettes, elle en profita pour lui caresser le torse en souriant, au moins elle ne perdait pas son temps.
Elle hocha la tête de satisfaction lorsqu’il demanda si elle était dans son élément, partout où^elle pouvait baiser était son élément et les toilettes en faisait partie, c’était classique mais elle ne demandait pas trop de folie, juste du plaisir. Elle bomba la poitrine pour lui donner le plein accès à ses voluptueuse courbe lorsqu’il lui déchira le tissu qui les retenait. Elle faisait danser sa langue avec la sienne alors qu’il l’embrassait avec ardeur.
Alors que les mains de son partenaire lui parcourais les seins et les fesses, les siennes caressait son torse et descendait pour aller jouer directement avec la partie intéressante de l’anatomie d’un homme. Sans perdre de temps, elle plongea donc sa main dans le bas de son compagnon pour lui caresser le sexe. Elle ne faisait jamais durer l’attente, elle avait envie de s’amuser maintenant et elle était sûr que lui aussi avait envie de la prendre tout de suite alors elle lui montrait qu’il pouvait y aller franchement.
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Le loup était-il du genre à maltraiter ses femelles ? Ohh, oui. De la même manière que la belle actrice, l'homme n'était pas là pour simplement faire l'amour, partager un moment intime avec une jeune femme. Non. Ce que le Terranide désirait, c'était se vider. Défoncer une simple petite salope, à la faire rugir de plaisir. Certes, le fait qu'elle prenne son pied elle aussi importait au loup, mais actuellement, au vu de ses instincts qui reprenaient le dessus, il ne désirait qu'engrosser cette vulgaire pute. En faire sa simple chose. Il ne perdrait pas de temps en blabla inutile, en préliminaires bien trop long. Non. Sa queue, tendue, était compressée par le tissu et il désirait ardemment l'enfoncer au fond du fourreau de chair de l'actrice. Grommelant, observant le corps de la belle se courber pour mettre en valeur ses seins, Ghanor en profite pour mieux les malaxer. Ses doigts touffus compriment ainsi la chair bombée, la malaxant avec une dextérité tout à fait étonnante. Observant ses mamelons durcir sous ses caresses, il vient même s'en saisir, pinçant, torturant ces bouts tendus.
La belle acceptait sans rechigner la violence de son mâle. Et c'était tant mieux. La voir aussi salope, offerte, excitait particulièrement le contrebandier qui avait décidément bien du mal à tenir. Lorsqu'elle glissa sa main pour caresser sa verge, il poussa un long soupir de satisfaction. Le contact chaud contre sa queue fit encore grossir sa virilité, qui commençait à être bien trop serrée pour l'homme. Relâchant sa poitrine quelques secondes, il libère alors son membre chaud, qui s'échappe d'un bond. Sa bite est épaisse, longue, animale. Elle n'a rien à voir avec une queue humaine, bien plus massive, veineuse, au nœud étrange en sa base. Il rompit alors le baiser, retirant sa langue épaisse, laissant un mince filet de salive relier leurs lèvres. Le regard chaud, pétillant d'excitation, il glisse sa main sous la jupe de la belle pour littéralement déchirer son sous-vêtement. Pervers, ses doigts viennent alors visiter l'intimité de sa partenaire, pénétrant ses lèvres intimes pour la doigter rapidement avec deux doigts, tâtant le terrain.
« T'es vraiment une belle petite chienne toi, hein ? Oh, j'vais te faire crier. Tout le monde va t'entendre prendre ton pied, salope. »
Étirant son sourire carnassier, il sortit finalement ses doigts pour saisir le cul de sa petite soumise. Ghanor la souleva alors, lui laissant le plaisir d'enfermer son corps de ses jambes. Se mordant la lèvre de plaisir, il vient frotter son épais membre contre la chatte trempée de sa partenaire. Puis, d'un mouvement, d'un puissant coup de rein, il enfonça l'entièreté de son chibre au fond de la fleur de la jeune femme, tapant au fond de son être, dans un long et puissant râle animal. Elle était... si serrée. Ce délicieux étau de chair comprimait avec délectation sa colonne de chair, le loup entamant alors directement de brutaux vas et viens, alors qu'il revient embrasser langoureusement sa petite salope.
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Magdalena avait cette spécificité d’être toute serrée encore plus qu’une pucelle malgré le fait qu’elle se soit fait écarter par un nombre incalculable de chibres, humain, animal ou en jouet. Et c’est ça qu’on appréciait la plupart du temps de se faire presser la queue avec force et être obligé de devoir y aller comme un bourrin pour pouvoir avancer. La belle bimbo blonde n’en ressentait que plus de plaisir et remerciait d’avoir été conçu comme ça et sire qu’on avait voulu l’élever dans des valeurs de chasteté alors qu’elle avec un corps fait pour recevoir et donner du plaisir charnel.
Elle gloussait en continuant de se faire porter par son partenaire qui la doigtait avant de la soulever pour la mettre bien à l’horizontal pour recevoir son pieu de chair en elle. Elle enroulait donc ses jambes autour du torse de son bel amant et serrait fort pour être tout près. Et elle se mit à gémir très fort lorsqu’il entra en elle avec force, elle mouillait déjà, lubrifiant le passage étroit et aidant le sexe à mieux glisser, que c’était bon de ressentir ça :
« Ha ! Ha ! Oui, c’est bon ! Ha ! Vas y ! Plus fort ! Encore plus fort ! Je suis ta chose, détruis moi ma petite chatte que je sente ta grosse queue dans mon ventre ! Ha ! »
Des paroles sales et crues dignes d’un film porno mais c’était vraiment sa manière de s’exprimer lors des parties de jambes en l’air, elle en voulait toujours plus, qu’on la détruise encore plus fort à chaque fois. Elle en avait besoin pour ressentir du plaisir, qu’on y aille toujours plus fort en elle sinon elle ne ressentait que de petit soubresauts de plaisir.
Elle mêlait sa langue à la sienne, ne rompant le baiser que pour dire encore plus d’obscénité afin de le galvanisé ou l’énervé, les deux lui permettrait de se donner en plus violemment. Pendant que sa chatte et sa langue était prises, elle se pelotait les seins avec passion.
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Eh bien, cette belle se défendait ! Une véritable petite chienne, aux paroles salaces qui fusaient si vites de sa petite bouche, juste après un baiser torride. C'en était presque parodique, et les gens à l'extérieur des toilettes utilisés pour la luxure pourraient presque croire que le loup écoutait simplement un film pornographique aléatoire. Néanmoins, entendre cette ravissante soumise prendre son pied et demander toujours plus de violence excitait particulièrement le mâle, qui sautait sa petite chatte trempée avec brutalité, sans même se soucier d'une quelconque douleur. Et puis, comment pouvait-elle avoir mal, de toute manière ? Son intimité était trempée, de la mouille s'écoulant sur ses cuisses à chaque fois qu'il retirait assez sa queue pour permettre au liquide de passer. Après tout, épais comme il était, l'homme occupait tout l'espace, planté au fond de sa fleur. Son chibre chaud raclait littéralement l'intérieur de la belle, tapant contre le fond de son être, tapant contre son col, comme s'il souhaitait entrer. Allait-il tenter ? Après tout, toute sa queue ne s'enfonçait pas, bien trop longue pour la petite chienne qu'était Magdalena !
« T'es vraiment la dernière des putes à apprécier te faire défoncer dans un tel endroit ! Oh, j'vais t'briser salope ! » Hurla-t-il presque, entre deux gémissements.
Sa queue, qui semblait pourtant déjà extrêmement tendue, arriva à durcir un peu plus, se gonflant au fond de son intimité, histoire de l'étirer un maximum. Moulant l'endroit pour sa queue, Ghanor prenait un pied phénoménal à sentir le délicieux étau de chair humide comprimer chaque parcelle de sa queue. Retirant une de ses mains de son divin fessier, le prédateur attrape sa pauvre victime par le cou, la plaquant avec violence contre le bois de la porte, rompant le baiser. Utilisant son pouce, il l'enfonce entre les lèvres de sa petite chienne pour l'obliger à ouvrir la bouche. Puis, il lui cracha littéralement à la gueule, l'obligeant à avaler sa salive, un sourire carnassier figé sur ses babines. Le loup était affamé, et cette petite chienne était un délicieux repas pour calmer ses envies.
« Tu ne vas me servir qu'à me vider, petite femelle ! »
Soudainement, il accéléra de plusieurs crans ses coups de reins, éclatant avec violente et brutalité la petite chatte serrée de la belle. Quittant son cou, histoire de la laisser mieux respirer, il attrape la main qui malaxait ses seins pour le faire à sa place, palpant, torturant son globe de chair. Et histoire de ne pas faire jaloux, le prédateur descend sa tête pour attraper le sein laissé seul, le suçotant, le léchant, s'attardant sur son mamelon tendu pour la rendre folle.
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C’était ça qu’elle aimait comme rythme alors elle n’allait pas faire semblant de na pas apprécier, il n’était pas le premier à lui promettre de la briser et c’est bien ce qu’elle voulait. Il en avait sans doute déjà tirer des salopes mais aucunes ne pouvait espérer qu’effleurer le niveau de Magdalena dans cette discipline. Elle gémissait de plaisir de se faire littéralement défoncer et elle mouillait abondement, ayant de petit jet qui s’écoulait en flaque lorsque le sexe qui lui comblait son trou de plaisir se retirait de temps à autre. Elle prenait donc son pied ainsi et elle espérait que ça ne faisait que commencer et c’était en effet le cas.
Elle se fit soulever par le cou pour se faire plaquer contre la porte, elle reçu le crachat alors qu’elle se faisait étouffer mais ne broncha pas, ce n’était pas quelque chose d’inhabituel pour elle, ça pouvait sembler dégradant mais elle se fichait bien de tout ce qui se passait tant qu’elle prenait du plaisir. Elle gémit plus fort lorsque la main qui l’étranglait la lacha pour aller lui malaxer les seins avec force, sa voluptueuse poitrine, ferme et douce qui se faisait maltraiter la rendait encore plus folle. Et pour compléter tout ça il allait s’occuper de l’autre avec sa bouche. Elle n’avait pas grand-chose d’autre à faire que de gémir, de mouiller de prendre son pied comme à chaque fois qu’on la besognait de la sorte. Elle eu tout de même un petit sourire en voyant que la longue queue qui la transperçait ne rentrait pas entièrement en elle, elle n’avait donc qu’à le faire lui éclater le passage pour prendre encore plus son pied en l’accueillant dans sa totalité :
« Hmpf, tu sais, un fourreau c’est fait pour y ranger la lame jusqu’à la garde pas qu’une partie reste en dehors. Ha ! »
C’était simple et direct, elle voulait le sentir lui remuer l’intérieur à coup de butoir, l’entendre lui dire qu’il allait l’engrosser en se vidant au plus profond d’elle même si le fantasme de beaucoup d’homme de se taper une Magdalena ne pourrait jamais se concrétiser puisqu’elle était infertile.
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Ghanor ne ressentait qu'une envie brutale et sale de sexe. Une envie qui lui semblait insatiable, violente, intenable. Concernant le dernier point, avait-il besoin de toute manière de se retenir ? Pas le moins du monde ! Occupé à limer l'intimité ruisselante de la jeune actrice, le contrebandier ne pensait plus qu'à ça. Le lieu, l'endroit, le fait que de nombreuses personnes écoutaient très certainement en ce moment même les ébats des deux amants... L'homme oublia tout. Seule cette partie de jambes en l'air comptait à ses yeux. Ce plaisir, cette envie de monter au septième ciel, d'entendre la belle gémir à chacun de ces coups de butoirs... Bordel de merde ! Il prenait littéralement son pied. Comment ne pas adorer cette sensation ? Son chibre, épais, si différent d'une queue humaine, se faisait littéralement comprimer par cet étau de chair humide. Néanmoins, il lui rendait bien. Même sans s'enfoncer totalement, l'homme donnait de puissants coups de reins, raclant l'intérieur de son être à chacun de ses mouvements, moulant lentement cette chatte plus serrée que celle d'une pucelle pour en faire le fourreau parfait pour sa bite veineuse.
Lorsque la belle l'encouragea à s'enfoncer au maximum, le loup lâche quelques secondes son mamelon pour rire. Bordel, ce n'était vraiment qu'une simple pute. Elle était utilisée comme un simple objet, et elle en demandait encore ! Les chiottes étaient très certainement le lieu parfait pour détruire cette chienne.
« Je vais te briser, petite soumise. »
Le loup décida alors de lentement s'arrêter. Elle voulait de la violence ? Oh, cette salope aura ce qu'elle veut. Reculant lentement son bassin, il sortit la quasi-totalité de sa queue, jusqu'au bout de son gland gonflé. Puis, il donna un coup. Un seul. Bien plus puissant que les autres, enfonçant son chibre jusqu'à la base, violant littéralement les parois intimes de la petite actrice, pénétrant son col et prenant possession de la totalité de son être. Une bosse apparaissait même sur le petit corps de sa pauvre victime, signe que sa virilité occupait désormais l'utérus avide de la belle. Poussant un puissant râle de plaisir, le loup profita ainsi de quelques secondes de plaisir violent, avant de reprendre ses mouvements de vas et viens.
Véritable animal en rut, Ghanor défonçait Magdalena sans même se soucier d'une éventuelle douleur. A ces yeux, elle n'était qu'un simple outil pour son propre plaisir. Durant de longues minutes, il la besogna ainsi contre la porte, claquant son corps contre le bois dans un concert obscène dédié au stupre et à la luxure. Leurs corps brûlants claquaient au rythme des gémissements, et il était désormais sûr que tout le monde écoutait avec attention la manière dont le mâle sautait cette simple serpillière à foutre. Malgré son endurance, la chatte serrée de sa partenaire vint lentement à bout de sa résistance, l'orgasme devenant proche.
« Bordel de merde... Tu vas me faire gicler, salope ! J'vais t'remplir, te foutre en cloque ! Tu ne sers.. ah.. qu'à ça, petite pute ! »
Et il vint. Dans un ultime coup de reins, se plantant une nouvelle fois au fond de la belle, l'homme se vida. Son chibre, animal, gonfla alors à un endroit précis, bloquant simplement la sortie de sa queue, étirant encore plus la chatte serrée de Magdalena. De nombreux jets de foutre, épais, chauds, remplirent alors l'intimité de la belle. Des quantités phénoménales, démontrant du pied que venait de prendre le Terranide, qui se servait de la jeune femme comme d'un simple vide couille.
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Elle réussissait toujours à avoir ce qu’elle voulait et c’était en cela que Magdalena était différente des autres, bien qu’elle préfère se laisser faire et qu’elle paraisse totalement soumise à celui qui lui remplissait les tréfonds, c’était elle qui menait la danse avec ses envies. Et il ne valait mieux pas qu’elle commence à s’ennuyer et à prendre les choses en mains lors du rapport, elle n’était pas du genre y aller doucement et elle vidait totalement ceux qui ne la comblait pas comme le désirait. Sans doute n’avait elle pas été créer dans le bon plan d’existence, bien qu’elle soit humaine tout en elle indiquait une succube, les pouvoirs en moins.
Elle se laissait donc faire en gémissant très fort alors que son intimité se resserrait encore plus contre le pieu de chair qui s’y trouvait. Elle avait couiner lorsqu’il était entrer brutalement pour s’enfoncer jusqu’à la garde pour lui montrer quelle le sentait bien et elel continuait de gémir plus ou moins fort à chaque coup. C’était ça qu’elle voulait et elle mouillait encore plus en étant combler comme elle le désirait. A force d’y aller aussi férocement et en ressentant le corps de la belle tout faire pour le pousser à bout, son partenaire allait bientôt se vider en elle.
Ce ne fut pas très long à attendre et la voluptueuse blonde sentit son intimité se remplir franchement du foutre chaud qui lui était offert. Elle jouit en même temps en gémissant bien fort, ça lui plaisait beaucoup comme séance de sexe. Il jouissait tellement que même avec la queue encore enfoncée, une partie de son offrande débordait en ressortant pat là où il était entré :
« Haaaaaaaa ! Ouiiiiiiiii ! C’est pas mal ouai ! Tu baise plutôt bien. »
Elle appréciait cette petite séance de jambe en l’air alors elle le disait à ça manière, c’était assez rare qu’elle complimente ses partenaires.
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Le loup restait ainsi planté au fond de la chatte de sa partenaire, durant de longues secondes. L'orgasme était violent, bestial, et ce fut avec plaisir qu'il se délecta des nombreux jets de foutre remplissant la belle. Reprenant doucement son souffle, son regard de prédateur dévora littéralement le corps de petite salope qu'elle arborait avec tant de perversité. Putain. C'était une véritable petite chienne avec laquelle il allait surement entièrement se vider. Le Terranide était du genre à ne pas s'arrêter à un simple coup, et à ne laisser sa proie tranquille qu'une fois les couilles entièrement vides. Et là... Elles étaient encore pleines, malgré la quantité phénoménale de crème épaisse qu'il venait de gicler au fond de son être.
Lorsqu'elle prit la parole, un léger ricanement s'échappa des lèvres de Ghanor, qui vint l'embrasser avec passion. Enfonçant sa langue, prenant possession de sa bouche, il saisit sa mâchoire pour accentuer l'échange buccal, comme pour la forcer à l'accepter jusqu'à la fin. Enfin "la forcer", elle ne semblait de toute manière pas du genre à repousser ce roulage de pelle particulièrement torride. Sa queue était toujours plantée, le loup appréciant chaque instant de l'intimité encore palpitante de la belle. L'orgasme de cette salope avait décuplé les sensations du contrebandier, qui, lors de son orgasme, avait sentit les chairs humides de Magdalena littéralement traire sa queue pour en extraire le moindre centilitre de jus. Ce n'était pas tout les jours qu'il prenait autant son pied.
Rompant le baiser, laissant d'épais filets de salive relier leurs lèvres, le loup arbore toujours un rictus de satisfaction et de défis. D'un coup, il lâche la belle, la laissant tomber violemment contre le sol.
« Oh, toi aussi, cochonne. Mais c'est pas fini. »
Saisissant sa tête, il l'oblige à relever son visage. Elle avait ainsi devant ses yeux l'épaisse queue animale de Ghanor. Un chibre épais, long, aux veines gorgées de sang. Une bite particulièrement imposante, bien au delà des standards humains, qu'elle avait pourtant accueillis sans la moindre difficulté. L'objet était maculé de sperme et de cyprine, faisant légèrement reluire la colonne de chair, à cause de la lumière fade de ces toilettes crasseuses. Il tapota alors le visage de sa petite pute de sa queue dégueulasse, laissant cette odeur bestiale de sexe emplir les narines de sa partenaire.
« Montre moi ce que tu sais faire avec cette petite bouche, salope. »
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Elle prenait son pied, c’était plutôt pas mal comme séance de sexe mais elle avait oublier quelque chose d’important et elle y pensait seulement maintenant. Même lorsque ce n’était pas un tournage prévu, elle aimait filmer ses parties de jambes en l’air elle fit donc la moue durant toute la durée du baiser animal qu’elle échangeait avec son partenaire et soupira en se retrouvant face au sexe qui n’attendait qu’une bonne fellation. Avoir louper d’enregistrer le début l’avait dépiter mais elle lui sourit :
« Avant ça, je viens de penser à quelque chose qu’on a oublier. »
Elle se glisse pour attraper son sac et en sortir son caméscope et le tend à Ghanor :
« Voilà, filme tout notre partie de jambe en l’air, ça sera parfait comment ça. »
En gloussant en ayant totalement repris son air enjoué, elle soulève sa grosse poitrine pour la faire envelopper le sexe qui lui est proposé et va le prendre en bouche en même temps. Elle va et vient dessus rapidement et de manière très profonde, s’arrêtant quelque seconde en gorge profonde pour tourner sa langue tout autour de sa sucette avant de remonter pour respirer et redescendre pour reprendre.
Elle le suce avec passion et expérience, jouant magnifiquement avec sa bouche et ses seins le long de se membre de chair des plus appétissant, le nettoyant et avalant le sperme s’y trouvant.
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Les hormones du jeune loup étaient en ébullition. Ghanor était connu pour être un Terranide aux envies de luxures violentes et bestiales. Dès qu'on le lançait, il ne s'arrêtait qu'une fois totalement vidé, quitte à briser mentalement et physiquement sa misérable partenaire. Il n'était pas rare qu'il finisse par simplement se servir du corps usé de son amante à la manière d'un bête objet, une fois usée par sa queue épaisse. Néanmoins, rien qu'à voir comment Magdalena avait si facilement encaissé son membre, il sentait très bien qu'il n'aurait pas à aller dans de tels extrêmes pour prendre totalement son pied.
Il haussa néanmoins un sourcil en voyant l'air plutôt dépité de la jeune femme. N'était-elle pas une adepte des fellations ? Avait-il mal réalisé quelque chose ? Il comprit finalement lorsqu'elle expliqua avoir oublié quelque chose, avant de sortir un... Caméscope ? Oh, attend, sérieux ? Un léger rictus se figea sur les lèvres du loup, terriblement excité à l'idée de filmer cette petite chienne entrain de lui pomper la queue et après, lorsqu'il la baisera encore jusqu'à lui faire perdre totalement la tête.
« J'aime beaucoup cette idée ! » Dit-il, en se léchant perversement les lèvres.
Sans attendre, il alluma alors l'appareil. Jetant un oeil de temps en temps pour être certain que le cadrage était réussi, il enregistra alors cette belle vision du paradis. Cette petite chienne vint envelopper son chibre encore chaud de ses seins opulents, deux gros coussins qui comprimaient littéralement sa virilité toujours tendue. Se mordant la lèvre pour ne pas gémir, il ne pouvait néanmoins qu'adorer cette sensation. Il avait l'impression de fondre, bordel ! Mais sa virilité animale était néanmoins bien assez longue pour dépasser de manière provocante de cette poitrine parfaite. Ce n'était bien-sûr pas un problème, l'actrice venant prendre le bout sortant entre ses douces lèvres humides, enfermant son gland gonflé et une partie de sa queue dans un délicieux étau de chair humide.
Glissant une patte dans les cheveux de sa partenaire, Ghanor ne pût retenir quelques gémissements qui s'échappèrent finalement de ses lèvres. Des râles bestiaux, animés de luxure et d'envie. C'était si bon, bordel ! Elle le suçait avec application, démontrant de tout son savoir faire. Sa queue reprit totalement sa taille d'avant acte, un pieu énorme, chaud.
« Regarde la caméra, petite pute.. Mwh... montre à quel point t'aimes ça, sentir une queue chaude dans ta petite bouche.. ! »
Appréciant plutôt son rôle de metteur en scène improvisé, le Terranide vint soudainement appuyé le crâne de la belle en donnant un gros coup de rein, pour enfoncé au mieux son pieu de chair dans la petite bouche délicieuse de sa partenaire, explorant et écartant sa gorge étroite à lui en faire perdre la respiration, dans un concert de bruits pervers de déglutitions et de gémissements torrides.
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On pouvait parfois se demander si la belle actrice de film pornographique amateur était bien humaine lorsqu’on la voyait encaisser de puissants assauts au plus profond d’elle. Elle était très résistante et elle pratiquait ce genre de sexe depuis si longtemps qu’elle y était habituée. Toute sa vie était dédié au seul plaisir du sexe, chaque instant devait servir la luxure, son but dans la vie était assez simple : baiser le plus possible et avec le plus de monde possible. Servir de vide-couille dans les toilettes d’une boîte de nuit était donc totalement en accord avec son mode de vie.
Elle se régalait avec cette puissante queue qui avait exploré sa petite chatte avant de se retrouver entre ses seins et dans sa bouche. Elle pressait son sexe assez fort pour qu’il est l’impression d’être à l’intérieur et elle suçait avec gourmandise, faisant tourner sa langue autour de la délicieuse sucette. Elle se laissa faire lorsqu’il donna un violent coup de rein pour faire entrer son sexe dans sa gorge et continua de procéder de la même manière mais en le gardant en gorge profonde.
Elle gardait les yeux rivé sur l’objectif de la caméra pour que le plan soit des meilleurs, elle ne faisait que des films de hautes qualités et ce n’est pas celui ci qui dérogerait à la règle. Elle mettait un point d’honneur à filmer toutes ses sessions de jambes en l’air, il n’y avait rien de meilleur comme film qu’une scène réelle tournée sans aucunes prévisions, c’est ce qui avait fait aussi bien fonctionner son site.
Elle s’activait donc à montrer une très belle gorge profonde à la caméra en allant et venant férocement le long de se grand pieu de chair en gardant la bouche ouverte pour qu’on le voit bien se faire absorber.
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Même si le mâle avait l'habitude de finir au lit avec une jolie inconnue lors de ses multiples soirées dans les diverses boites de la Terre, c'était bien la première fois qu'il passait un si bon moment dans des toilettes aussi sales d'un endroit miteux. Gémissant de plaisir, le Terranide avait ainsi droit au savoir faire d'une véritable experte, surpassant largement la moyenne de ses propres amantes. Comment ne pas apprécier une telle dextérité ? Outre l'étau humide de sa petite bouche enfermant sa queue, ses seins, ses globes de chairs dodus, comprimaient le reste de son membre dans une étreinte divine. Une combinaison de facteurs, de plaisirs, qui obligeaient le contrebandier à légèrement basculer la tête en arrière par réflexe, à cause du pied qu'il prenait. Grommelant, gémissant, sa gueule s'entrouvre pour laisser s'échapper sa langue, sa respiration haletante, à la manière d'un chien. Après tout, malgré son apparence, Ghanor restait un être en grande partie canin ! Heureusement pour lui, cela ne dérangeait pas cette jolie petite salope.
Son membre était tendu à son maximum. Entre le plaisir, le lieu, et l'idée qu'il filmait une actrice durant son prochain film, tout était là pour rendre son chibre aussi gros que possible. Une queue épaisse, massive, gorgée de sang à en palpiter, les veines parsemant la colonne de chair semblant prêtes à exploser. Malgré son état d'excitation intense, le mâle gardait toujours un oeil sur l'objectif, histoire d'offrir une scène délicieusement perverse, un véritable appel au stupre et à la luxure. Après tout, des gens allaient surement regarder Magdalena sucer cette grosse queue dans des toilettes sales, à pomper et tenter de faire cracher un chibre animal dans un concert de bruits obscènes... Bien-sûr que le tout devait être filmé avec qualité !
Malheureusement, les limites du mâle étaient très vites atteintes. Il sentait petit à petit qu'il n'allait plus pouvoir se retenir, que la jouissance allait arriver, violente, intense. Normalement, il aurait apprécié s'enfoncer au fond de sa gorge pour directement s'y vider, mais il pensait au fait qu'il filmait une scène de porno. Bien décidé à rendre le tout pervers à l'extrême, il vient soudainement se retirer de la bouche de la jeune femme. D'un mouvement, il attrape son menton et relève son visage.
« Ouvre bien la bouche, ma belle.. »
Le mâle se masturbait désormais devant le visage innocent mais incroyablement pervers de l'actrice. Et dans un râle animal, bestial, Ghanor fini par jouir. De nombreux jets de sperme chaud vinrent ainsi s'éclater sur le visage de la jeune femme. Souillant sa petite face d'ange, l'abreuvant directement en tombant dans sa bouche. La scène était divine à regarder. Reprenant lentement son souffle, même le contrebandier se délecte de cette scène, de cette vision du paradis : le visage de l'actrice, recouvert de sperme chaud et odorant, qui coule sur sa peau pâle, jusqu'à souiller ses gros seins mis à nu.
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La magnifique blonde avait cette faculté à pousser les mâles dans leur plus profond retranchement, ils avaient beau se la jouer comme s’ils étaient des coups divins à se taper, Magdalena les faisaient revenir sur terre en leur montrant ce qu’était une véritable professionnelle du sexe. La bimbo, elle était vraiment insatiable, elle semblait éternellement en chaleur et chassait les queues d’hommes avec avidité. Une véritable succube coincé dans le corps d’une humaine pour le plus grand plaisir des hommes avec qui elle finissait par s’envoyer en l’air.
Elle suçait avec avidité cette grosse queue gonflée par le désir et elle llui faisait connaître ce qu’était sans doute la meilleure félation qu’elle n’avait jamais eu. Elle était gourmande et ça se sentait, elle lui aspirait la queue jusqu’à ce que son compagnon d’un soir la retire pour se branler devant elle. Elle sourit en comprenant qu’il voulait lui jouir au visage, elel ferma donc les yeux et ouvrir gras la bouche pour recevoir son offrande.
Elle reçu l’épais sperme de son amant sur le visage, dans la bouche et partout sur le corps selon là où finissait le jet qu’il lui offrait. Elle aimait ça et l’odeur ne la dérangeait pas, elle avait tellement goûter de fluide différent qu’elle ne devait plus vraiment avoir l’odorat assez fin pour reconnaître quelque chose de puant à quelque chose de normal. Elle rouvrit donc les yeux quand il eut fini de lui jouir dessus et retourna lui donner des petits coup de langue sur le sexe pour lui nettoyer ce qu’il restait de précieuse semence.
Elle lui sourit après lui avoir rendu son sexe tout propre :
« Tu sais qu’il me reste un trou à explorer hein? Mon petit cul tout serré à envie de manger ta grosse bite et de la traire jusqu’à ce que tu n’ai plus rien à offrir. »
Elle se lécha les lèvre devant lui et devant la caméra avant de se retourner pour lui tendre ses fesses et se caresse le trou de son anus tout serré et fermé avec un doigt :
« T’as envie de l’ouvrir d’un coup sec en rentrant tout hein ? C’est ce qu’il attend. »
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Le mâle devait bien avouer qu'il prenait un pied plutôt énorme lors de cette baise. Habitué aux coups rapides, à ses parties de jambes en l'air d'un soir, Ghanor n'enchaînait pourtant pas les amantes de qualités. Seules certaines valaient réellement le coup... et Magdalena en faisait clairement partit. Gémissant d'envie, il puait littéralement la luxure et la perversité, ses yeux bicolores pétillants, cette étincelle de sexe alimentant clairement son être. La jeune femme n'était rien d'autre qu'une humaine, mais montrait des capacités bien au delà de sa propre race. Et dieu, qu'observer son visage recouvert de foutre était bandant ! Cette petite pute affichait un véritable regard de chienne avide, gourmande, n'attendant que sa dose de sperme, sa dose de queue. Une véritable démone humaine, qui devait très certainement abattre de nombreux mâles lors de ses fameux plateaux de tournages.
Parce que dieu, qu'elle mettait sa propre endurance à rude épreuve ! Certes, sa queue était toujours tendue à son maximum, gorgée de sang, les veines palpitantes et prêtes à exploser... Mais quand même, merde ! Des femelles capable de le faire jouir en boucle ainsi, vider et traire ses bourses remplies de sperme avec une telle aisance, une telle envie... Dieu qu'il appréciait cette salope. Il ne s'étonnait même plus qu'autant de mâles cherchaient à se la taper. Mais non, c'était lui qui avait cette chance, dans ses toilettes sales, puantes, même si désormais c'était bien plus une odeur de sperme mêlée à de la sueur qui était présente.
Bonne actrice, Magda regardait d'ailleurs en permanence l'objectif, comme si elle voyait d'avance le regard lubrique de ses partenaires.
Sans attendre, la belle vint alors se retourner pour lui présenter sa croupe dodue. Croupe qu'il n'avait pas eu le temps de bien observer, mais dont il profitait désormais pleinement. Se léchant les lèvres, il vint glisser ses mains contre ses globes de chair pour les malaxer avec envie et perversité. Bordel, quelle croupe de chienne ! Il sentait ses mains avoir du mal à en faire le tour, à les attraper. Dieu qu'il aimait les culs bien épais comme cela.
« Mh.. oh que oui ma belle... j'vais défoncer cette rondelle de petite pute. »
Dans un mouvement brutal, le Loup vint alors s'enfoncer de tout son long dans l'étroit conduit de la jeune femme. Plantant son glaive tendu, il écarte et racle littéralement ce trou bien plus serré que sa chatte humide. Poussant un long et puissant râle animal, le Terranide commence alors à limer brutalement son intimité, sans même se soucier de son état, claquant son bassin contre ses fesses.
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Elle prenait son pied avec cet admirable amant au sexe si délicieux qui lui avait déjà rempli la chatte et qui lui avait cracher dessus pour la couvrir de son sperme si chaud qu’elle gardait sur elle d’ailleurs. Cette fois ci c’était au tour de son anus de se faire transpercer par cette queue animale encore toute tendue et gonflée. Comme pour ce qu’il était de son vagin, l’anus de Magdalena semblait ne jamais avoir reçu de visite, il était si serré que c’était incroyable de croire que c’était celui d’une adepte de la sodomie hardcore, il ne demandait qu’une seule chose, se faire ouvrir par une imposante bite.
Elle s’amusait à faire rebondir ses fesses lorsqu’il les malaxa, elle était doté d’un fessier tout aussi doux et rebondi que ses seins qu’il était bon de caresser, un gros cul prêt à avaler la première queue venue pour l’explorer. C’est sans préparation et dans un trou totalement sec et fermé que s’enfonça d’un coup brutal le sexe de bonne taille de son amant. Elle cria de plaisir en le sentant entrer en elle :
« Ah oui ! Oui ! Oui ! Vas y comme un fou ! T’arrête pas ! Ralentis pas ! Casse moi le cul, vas y ! »
Elle criait vraiment fort, sans doute qu’on l’entendait dans tout le couloir qui menait aux toilettes mais se faire prendre férocement l’anus était une des choses qu’elle préférait alors elle ne pouvait s’empêcher de demander à son amant d’y aller vraiment férocement :
« Baise mon cul comme tu n’as jamais défoncer le cul d’une salope, j’veux que t’en crève tellement t’auras tout donner pour me détruire le cul ! »
Elle était vulgaire et elle criait mais ce n’était pas seulement pour le galvaniser pour qu’il donne de son maximum, elle avait vraiment envie de ce faire prendre comme ça. Toujours plus de brutalité était neccessaire pour lui procurer un véritable orgasme.
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Préparation ? Pourquoi faire ? Ghanor considérait cette petite pute comme un simple vide couille. Un jouet dans lequel il vidait ses bourses, rien de plus, rien de moins. Tout ce qu'il faisait, c'était prendre son pied dans une chienne de compétition, très certainement l'une des humaines avec qui il prenait le plus de plaisir. Et putain, comment pouvait-il ne pas le prendre ?! Le cul de cette salope était serré à l'extrême, comme si c'était la première fois qu'elle se faisait éclater ! Et pourtant, malgré cette brutalité, malgré cette croupe comprimant violemment la queue du mâle, la petite chienne de Magdalena prends tout simplement un pied terrible à se faire traiter de la sorte. Elle gémit, crie, laisse des plaintes de plaisir s'échapper de cette bouche pulpeuse. La scène est délicieusement perverse, et donnera très certainement un film de qualité. Après tout, la caméra filmait l'énorme cul de l'actrice. Deux globes épais, à l'image de ses seins, dont la courbure parfait formait un cœur qui embrassait le bassin du Terranide. Cadré ainsi, le spectateur pouvait observer avec perfection l'orifice de la jeune femme avalant avec gourmandise tout le membre épais du loup.
Et elle en redemandait ! La langue bien pendue, la belle lui lançait des encouragements pour qu'il la défonce au maximum de sa force. Elle veut se faire détruire et le mâle comptait bien le faire. Retirant presque entièrement sa queue de ses chairs serrés, il recommença alors à l'enculer violemment, avec une force nouvelle, décuplée. Comme s'il ne faisait que se retenir depuis le départ. Son membre écartait avec brutalité son trou, qui allait surement rester bien béant quand il en aura fini avec. Il comptait l'exploser comme personne avant !
« Oh que oui, petite pute ! J'vais t'éclater, et tu rentrera chez toi en boitant, bordel ! »
Brutal, violent, Ghanor n'était plus qu'un simple animal, un chien en rut défonçant le cul de sa petite femelle en chaleur. Gémissant, prenant son pied, ses coups sont délicieux, son bassin claquant contre son gros cul dodu. Lui montant carrément dessus pour mieux la prendre, il vient se saisir de ses seins d'une main pour les malaxer, l'autre attrapant sa tête pour lever son visage et venir l'embrasser avec violence, lui roulant une pelle torride. A l'extérieur, le bruit des claquements des corps brûlant était tout à faut audible, comme les gémissements de plaisir de l'actrice.
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Elle aimait ça ou plutôt elle adorait ça, après avoir eu temps de partenaire différent, d’avoir servi à un nombre incalculable de sexe différent, elle ne se sentait jamais aussi excitée que lorsqu’elle se faisait pénétrer avec brutalité. Elle en demandait toujours plus et il était parfois difficile d’obtenir ce qu’elle voulait mais ça lui était nécessaire pour prendre un maximum de plaisir. Avec un ou plusieurs partenaires en même, elle ne prenait réellement son pied que lorsqu’elle sentait ses fondements se faire bousculer, remplir et que ça n’en finissait jamais. Sur les vidéos n pouvait d’ailleurs souvent la voir en plein milieu de gang bang regroupant des dizaines et des dizaines d’hommes qui lui brutalisait chacun de ses trou en même temps et à plusieurs par trou lorsque c’était possible. Il ne fallait pas considérer la belle blonde à forte poitrine comme une simple nymphomane, elle était bien plus que ça depuis un bon moment déjà.
Et cette queue qui la ramonait avec tant de hargne, tant de violence et tant de brutalité, à en lui retourner l’anus lui prodiguait un intense plaisir. Les paroi de son anus se pressait très fortement contre l’imposant membre qui se retrouvait comprimer et dont la pénétration serait très difficile s’il s’y prenait doucement mais en y allant aussi fort, il la dilatait subitement et le temps qu’elle se referme, il était déjà ressortie pour rentrer de nouveau.
Elle ne gémissait plus de plaisir, elle c’était carrément mis à crier comme dans les films les plus hardcore où on se demandait si l’actrice prenait vraiment du plaisir à se faire casser ainsi, Magdalena oui en tout cas. Elle se faisait littéralement monter comme une chienne, ses seins peloter avec force et sa bouche en feu qui embrassait son bestial amant avec fougue et ardeur. Elle mouillait tellement que cela finissait par faire de petite flaque sous elle. C’était comme ça qu’elle aimait le sexe.
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Violence. Brutalité. De véritables animaux, voilà ce qu'ils étaient actuellement. Deux êtres partageant un pur moment de plaisir bestial, copulant en oubliant le monde autour d'eux. Ne se souciant de rien d'autre que du plaisir ressentis, de cette envie incontrôlable d'une luxure profonde et délicieuse. Enfoncés dans cet océan d'envie, leurs âmes s'entremêlant à l'image de leurs langues, ces deux êtres ne font qu'un, unis dans une baise délicieuse. Le contraire parfait d'un couple amoureux réalisant un acte considéré comme la preuve ultime d'amour, là où eux n'avaient aucun réels sentiments l'un pour l'autre. Surement s'oublieraient-ils une fois ce moment passé, surement se souviendront-ils plus du corps de l'autre que de son nom ou du timbre de sa voix, mais était-ce une mauvaise chose ? La vie était certes faite d'aventures, de rencontres, d'amitiés, d'amour. Mais parfois la vie, c'était ça. Un coup, rapide, dans des toilettes crades, à ne faire qu'une chose : du bien.
Et là... C'était exactement ce qu'il faisait. Limant, éclatant le cul dodu de sa partenaire, Ghanor ne se préoccupa que de ça. Concentré, se délectant de cette sensation exquise des parois de sa rondelle qui comprimait si parfaitement son membre. Enfonçant sa langue dans la bouche de sa petite chienne du moment, l'embrassant, prenant totalement possession de sa bouche. Putain, c'était si bon, si délicieusement animal ! L'un monté sur l'autre, Magdalena en était réduite à n'être qu'un vide couille pour un mâle en rut, qu'une femelle servant simplement à copuler, à se faire engrosser, même si ce n'était pas réellement possible.
Mais le plaisir est trop puissant, trop rapide. Au fur et à mesure qu'il la lime, que son bassin claque sa croupe dodue, il sentait le foutre monter, l'orgasme s'approcher.
« Mwh.. j'vais te remplir ce trou aussi, han! Tu vas.. mwh.. être remplie de partout ! »
Dans un ultime coup de rein, brisant une dernière fois les parois de son cul serré, le mâle se vide alors dans l'antre de la jeune femme. Se plantant au fond de ses globes de chair, de cet étau humide, son membre se met à palpiter avec brutalité pendant qu'il gicles de nombreux jets, une quantité agréable de sperme épais qui remplis le trou de la belle à le faire déborder. Il oses même retirer sa queue au dernier moment pour recouvrir son délicieux fessier de sa crème.
Attrapant son menton entre ses doigts puissants, il attrape de son autre main la poignet de la porte.
« Je sais que j'ai du faire beaucoup de jaloux... Mais ils ont de la chance, j'aime partager. »
Il ouvre alors la porte des toilettes, laissant tomber la belle recouverte de son sperme contre le sol du couloir, où de nombreux mâles semblaient écouter leurs ébats. De son regard bicolore, Ghanor lance un regard qui voulait tout dire à la jeune femme, notamment lorsqu'il lui indiqua les nombreuses érections des spectateurs d'un mouvement de tête.
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Il n’y avait que le sexe dans la vie de Magdalena et il n’y avait de la place pour rien d’autre, en connaissant son éducation ultra-stricte et régie par des règles absurdes il n’y a que deux possibilité, devenir nonne où craquer totalement et se libérer totalement en faisant ce qui nous est interdit et au dernière nouvelle Magdalena n’était pas devenu bonne sœur. Depuis qu’elle avait goûté au sexe à un âge que deux mains suffisent encore à compté, elle savait qu’elle serait quelqu’un d’à part, de différent de ce que voulait faire ses parents d’elle et c’est ce qu’elle était. Ne serait-ce qu’évoquer le fait de se toucher entre file et garçon lui avait été interdit ? Eh bien la voila maintenant en train de se faire fracasser l’anus par une queue immense dans les toilettes d’une boîte de nuit. Le sexe était une chose sale et immorale ? Que cela ne tienne, elle était devenue une des actrice porno les plus populaire sur internet. Et elle aimait sa vie, elle aimait passer toute sa journée à ne rien faire d’autre que de sucer des sexe ou de les accueillir dans son vagin ou son anus et même le jour où elle ne gagnerait plus un seul centime de ses vidéos, elle continuerait à baiser pour le plaisir comme ce qu’elle était en train de faire.
Oui, toute cette tension sexuelle la faisait perdre pied et à chaque fois qu’elle sentait l’orgasme venir, elle pensait à sa vie passée et se voyait en train de faire un immense doigt d’honneur à toutes les règles qu’ont lui avait fait apprendre plus jeune. Et cette grosse queue de loup la menait vers l’orgasme en lui ramonant l’anus avec toute cette brutalité animale. Elle criait à en perdre la voix et son ventre se faisait cabosser à chaque fois qu’il s’enfonçait au maximum. Elle eut un orgasme et se mit à jouir comme une fontaine en même temps qu’elle sentait son ventre se remplir de sperme chaud, cette sensation agréable de sentir un partenaire se vider en elle pour la remplir de semence.
Elle avait pris un pied monumental avec cette homme qu’elle ne reverrait sans doute pas après cela ou peut être que si, elle n’était pas difficile à reconnaître ni à contacter. Et au moment où il ouvrir la porte pour laisser voir la scène aux voyeur qui attendait dehors, elle savait que la nuit allait encore durer avec tout pleins d’autre homme. Elle les accueillit avec plaisir, tous les trou ouvert pour recevoir leur queue.
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Et voilà désormais que Ghanor laissait en pâture la belle actrice aux mains des nombreux spectateurs qui se languissaient de passer sur la jeune femme. Le sourire aux lèvres, le regard pervers, il jette la caméra aux mains d'un des hommes en lui montrant bien d'un signe de tête qu'il avait intérêt à tout filmer. Le garçon, légèrement apeuré par l'ordre donné par le puissant Terranide, se dépêche alors d'observer l'angle pour tenter d'offrir la meilleure expérience possible aux futurs personnes qui tomberont sur cette vidéo bien coquine. Sur les images, ils pourront alors voir les multiples mains se saisir du corps recouvert de sperme de Magdalena, l'emportant au centre d'un cercle composé de multiples hommes aux queues tendues. Bien vite, elle fut forcée de sucer, pomper, branler chaque membre chaud, gorgé de sang juste pour elle. Pendant ce temps, le loup ne faisait qu'observer cette scène de luxure.
S'étirant lentement, il commença alors à quitter la salle, sans réellement apporter de nouveau regard à la belle. Il comptait peut-être recontacter l'actrice un de ces jours, pour profiter à nouveau d'une baise brutale et délicieuse, d'un pur moment de plaisir à deux, ou pourquoi pas à bien plus. Après tout, le mâle était particulièrement ouvert d'esprit.
C'est ainsi qu'il quitta la boite, en laissant derrière lui la jeune femme. Quiconque rentrerait désormais dans cette pièce n'entendrait plus la musique, mais bien les hurlements de plaisir d'une belle petite chienne qui profitait de plusieurs dizaines de mâles, qu'elle vidait de ses nombreux orifices. Un gangbang improvisé, qui partit à la base d'une baise sale dans des toilettes qui puaient désormais le sperme, la cyprine et le sexe. Plutôt content de cette soirée, Ghanor rentra alors tranquillement chez lui, prêt à s'enfoncer de nouveau dans son train-train quotidien. Après tout, ses artefacts n'allaient pas se vendre tout seul.
Fin.