Oh, déçue qu’il l’ait jetée par la fenêtre ? Peut-être … il était juste sûr qu’elle ne chercherait plus à revendiquer le fait qu’elle n’avait pas à lui obéir. De toute manière, bon gré et mal gré elle avait obéi, et elle était complètement nue, si vite déshabillée face à lui, face à ses représentation… il éclata de rire avec ses paroles. Il avait un exemple frappant du contraste entre les paroles et les actes avec elle, elle protestait en obéissant, voilà quelque chose qui lui faisait monter un très grand sourire aux lèvres ! Il eut un air goguenard alors qu’elle se retrouvait, les yeux larmoyants. Il attendit. Elle n’était pas vilainement foutue, bien au contraire, même, elle était équipée de grosses mamelles que l’on aurait pu croire pleines de lait. Et quand elle se tourna pour pouvoir observer la rue en dessous, la rue sur laquelle elle allait devoir se pencher, exposer ses nibards de vraie vache à lait pour aboyer comme une chienne...
Enfin, elle se mit à aboyer et se pencher à la fenêtre, d’abord doucement. Il hésita à la reprendre, mais elle sembla l’avoir senti puisqu’elle recommença, criant presque. Depuis un coin de la fenêtre, il regarda les passants s’arrêter et regarder en l’air, les yeux ronds, que faisait cette blonde ainsi penchée à sa fenêtre. Gabriel se plaça derrière elle pour finalement lui palper la croupe nue, lui écarter les fesses pour voir l’état de son œillet, et enfin passer sa main entre ses cuisses.
« Tu n’es pas vilaine… je suis sûr qu’une fois bien préparée tu seras la plus grande salope de la ville, grâce à maître Gabriel…. Je suis sûr que tu me remercieras…. Et tu verras, après avoir gouté à la grosse queue bien dure d’un vrai mâle dans tes trous, tu verras que ta maitresse ne vaut rien…. Aboie une fois pour confirmer, et deux fois si tu as une question ! »
Il ricana et laissa la main qui venait de lui fouiller l’entrecuisse remonter le long de son ventre pour venir lui malmener un sein…. Il fit subir le même sort à l’autre avant de finalement venir lui saisir son collier et la tirer en arrière et peu importe si elle en était un peu étranglée…. Il lui tapota la joue avant de finalement lui détacher son collier et de le regarder…. Bof, il ne le trouvait pas extra. Il le fourra dans la poche de son trench et ensuite il lui donna de nouveaux ordres.
« Va me chercher une ceinture, tu dois bien avoir une ceinture marronne et assez large ? Si oui dépêche-toi, sinon tu gouteras à la mienne ! Tu vas apprendre ce que c’est qu’n vrai maître. Tu as compris ? Si oui, aboie de nouveau une fois, et rajoute donc bien maitre Gabriel quand tu t’adresses à moi, ce sera le début, ma petite chienne, mon petit vide couilles personnel, mon petit sac à foutre, ma vache à lait… »
Elle ne voulait pas qu’il frappe de nouveau, n’est-ce pas ? Car oui, c’était bien ce qu’elle risquait à ne pas obéir, à ne pas agir ! Il comptait bien lui montrer exactement qui commandait, et ce qu’il y gagnerait comme ce qu’elle pourrait y perdre… en tout cas si elle obéissait promptement, il en profiterait pour chercher son téléphone, et, s’il n’était pas verrouillé, en récupérer le numéro au même titre qu’il effacerait complètement son répertoire, le vidant complètement, rendant le téléphone vierge, mais encore fallait-il qu’il ait accès à son téléphone, et qu’il ait le code… et dans le pire des cas, il le lui demanderait ! et elle savait désormais ce qu’elle risquait à ne pas le contenter, n’est-ce pas.