La tempête était visiblement passée, pour le plus grand plaisir de Pamela. Catwoman répondit en effet au baiser de la femme, la plaquant contre son bureau, écartant, avec l’aide des tentacules d’Ivy, ce qui se trouvait dessus. Le bureau était également atteint par le décor particulier de Pamela. Une mousse verdâtre trônait sur ce dernier, formant une espèce de couche rendant ce dernier agréable. Avec ses mains sur ses fesses, Sandra plaça Pamela dessus, excitant cette dernière, lui faisant oublier la vive douleur qu’elle avait subie, la noyant dans des élancements de plaisir, avant que Sandra ne largue, comme pour la titiller :
« Oh ! Tu veux que je te baise, hein ? »
C’était dit avec un tel raffinement que Pamela ne put s’empêcher de sourire, alors qu’elle se mettait à califourchon sur son corps. Sandra était une femme forte, et, si près d’elle, Ivy put alors voir un léger détail anatomique : une cicatrice assez affreuse à hauteur de son estomac. Visiblement, elle n’avait pas eu une vie facile. Sandra s’attaqua ensuite à son téton, et la vision de cette cicatrice disparut de la tête de Pamela, qui se mit à soupirer, se tortillant sur le bureau.
« Ah... Oui, Sandra, baise-moi... Baise-moi fort ! soupira l’intéressée, les bruissements des plantes témoignant du plaisir sincère et honnête que la femme recevait.
- Alors je vais te baiser comme on t'as jamais baisée, ma belle... » lui promit-elle.
Le jeu commença par un simple et très agréable cunnilingus, la langue de Sandra filant entre les cuisses d’Ivy pendant plusieurs minutes, léchant son sexe avec un certain talent. Ivy était alors convaincue que cette femme avait un indéniable talent pour les relations sexuelles. Elle était de plus en plus curieuse d’en savoir plus sur sa vie passée, sur ce qu’elle avait été, avant de devenir une voleuse d’élite. Vu son goût pour le cuir, et cette facilité avec laquelle elle envisageait le sexe, Poison Ivy avait bien quelques idées, mais, dans ce genre de domaines, il était risqué de s’avancer. Elle déplaça ainsi sa langue sur le corps de Pamela, l’embrassant ici et là, enfonçant un doigt en elle, et le show commença. Ivy eut alors, clairement, la confirmation que, dans le sexe, Sandra était une vraie bête, une reine.
Sous les actions de Catwoman, le temps sembla comme se diluer, les minutes s’absorbant, alors qu’elle faisait divinement l’amour à Pamela, la pressant contre elle, l’embrassant, la mordillant, enlaçant leurs corps nus et couverts de sueur, faisant jouir la professeur de biologie sans relâche, enfonçant ses doigts dans ses trous, se délectant de la voir gémir, la coinçant entre ses jambes pour serrer fort, tandis qu’elle invitait Pamela à embrasser ses seins, à les mordiller, à fourrer sa tête contre eux. Elles revenaient contre le bureau, Sandra dominant très largement leurs ébats. Pamela ne pouvait que la caresser, généralement dans le dos, ou l’embrasser, mais ce fut elle qui enchaîna les orgasmes, les répandant généreusement.
Au bout d’une bonne heure, Sandra et elle se retrouvèrent allongées sur le sol, Pamela respirant lourdement, des gouttes de sueur glissant le long de son corps, alors qu’elle caressait évasivement son vagin, visitée à de nombreuses reprises par Sandra, tout comme ses fesses, qui étaient légèrement endolories. Elle frottait ces dernières contre le sol, jusqu’à ce que Sandra se mette à lui parler, caressant son corps, légèrement voûtée sur elle :
« Alors ? Satisfaite ? Ou t'en reveut encore ? »
Ivy lui sourit, et l’embrassa, posant ses mains sur le torse de Sandra, et repoussa cette dernière, l’allongeant sur le sol, et se lova contre elle, embrassant l’un de ses seins, le prenant en bouche à hauteur de son téton.
« Hum... Je suis très satisfaite, ma belle... Mais je suis une femme assez insatiable... »
Elle retourna l’embrasser sur les lèvres, tandis qu’un tentacule se mettait à circuler le long du sol, sortant lentement du sol. C’était un tentacule verdâtre, dont l’extrémité était un pénis. Il frotta contre les jambes de la femme, et Pamela rompit son baiser, posant ses doigts sur les lèvres de la femme, les caressant, alors que le tentacule, lentement, continuait son approche vers l’entrejambes de la jeune femme.
« Nous dormirons ensemble ce soir... Cependant, avant que ça n’arrive, j’ai encore envie de m’occuper de mon invitée... Pour ça, je te propose deux solutions... »
Elle leva alors un doigt, exprimant la première, tandis que le tentacule se rapprochait.
« Soit tu me laisses m’occuper de toi avec mon corps et mes tentacules, soit tu reprends ton idée initiale, en me dominant... Mais, dans cette seconde hypothèse, j’aimerais beaucoup que tu enfiles ta combinaison de cuir, je trouve... Je trouve que ça fera de toi une Maîtresse bien plus excitante. Je te laisse décider, ma belle, mais ne traîne pas trop, car je ne pourrais pas retenir éternellement mes tentacules... Ils ont autant envie de toi que moi. »